#etudiant infirmier
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Hi guys.
I've got my nursing diploma in 2018.
I've worked the first 4 years of my career in a clinic. During those years, I've met countless healthcare professionals and amongst them was Rémi. He's the best nurse assistant I've ever had the chance to work with. One of those people who care with all their senses and sensiblity. He listens to hear and understand you not just to answer back, he speaks to explain and calm not to be right, he watches to analyse, assess, remember not to judge, he touches to soothe and ease not with violence. He taught me that empathy and humility can be neverending.
Rémi is the proud dad of 3 kiddos and was working to provide for them while helping others. But he had this dream of being a nurse too one day, and he decided to jump and reach to it. Unfortunately, going back to school is never easy. Life wasn't nice to him during those years and his mental health declined rapidly. He had to take breaks in order to stay alive. And that means missing school.. and having to take another year.. that he has to fully pay.
If you have a little bit or big amounts of money to spare or just sharing this fundraising link, it would be just glorious.
Please, help Rémi help people and find his way back to life after those harsh years. God knows we need good people in our hospitals.
#nurse#infirmier#nursing student#etudiant infirmier#fundraising#daddy#mental health#nursing school#healthcare workers
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https://jobs.chirec.be/fr/vacature/88620/etudiants-nursing-2023-2024--hbw/
ETUDIANTS NURSING - CHIRURGIE ORTHOPÉDIQUE CHIREC BRAINE L'ALLEUD
Fonction
Le département des soins infirmiers recherche régulièrement des étudiants jobistes.
Profil
Qualifications et compétences :
Vous êtes étudiant en soins infirmiers et êtes à la recherche d'un job étudiant.
Vous souhaitez acquérir de l'expérience.
Vous faites preuve d'empathie et avez de bonnes compétences communicationelles.
Vous êtes motivé(e) et dynamique.
Vous êtes en possession de l'attestation de fréquentation scolaire, de la copie de votre student@work et votre visa d'aide soignant.
Envie de donner du sens à votre travail et de rejoindre des équipes dynamiques et passionnées ? ça tombe bien, elles n'attendent plus que vous !
Offre
Nous vous offrons :
Contrat étudiant.
1 weekend sur 2 - chirurgie orthopédique
Début le 02/09/23 jusqu'au 30/06/24
Horaire 07h00 - 15h30.
Une atmosphère de travail bienveillante.
Une première expérience dans le domaine de la santé.
Des repas au restaurant d'entreprise à un tarif réduit pour le personnel.
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Hey, nursing students here ? 🤗
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ETUDIANT INFIRMIER 1 ÈRE ANNÉE VALIDÉE (F/H)
ETUDIANT INFIRMIER 1 ÈRE ANNÉE VALIDÉE (F/H)
Job title: ETUDIANT INFIRMIER 1 ÈRE ANNÉE VALIDÉE (F/H) Company: JBM Médical Job description: JBM est votre partenaire emploi médical et paramédical sur Paris et l’Ile de France. JBM vous propose des missions d’intérim et des postes en CDD – CDI parfaitement adaptés à vos compétences et à vos souhaits. Inscrivez-vous dès aujourd’hui… Expected salary: Location: Lambesc, Bouches-du-Rhône Job date:…
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L'été 2023 sera bientôt là et le CHN William Lennox est à la recherche d'étudiants pour ses unités de soins. Tu intègres l'équipe comme aide-soignant ou infirmier afin de prodiguer les soins nécessaires aux patients du service et travailles avec l'ensemble de l'équipe pluridisciplinaire. Il s'agit d'horaire de jour: matin, soir ou journée.
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Coronavirus: Etudiants en santé et volontaires pendant la crise sanitaire, cette expérience a-t-elle modifié vos choix de carrière ?
Illustration de soignants faisant des tests PCR en drive à l’hôpital de Purpan, à Toulouse. — FRED SCHEIBER/SIPA
Ils étaient habitués aux bancs bondés de la faculté. Moins au bloc opératoire ou à la réanimation. Pendant la crise du coronavirus, certaines étudiantes et étudiants en soins infirmiers et en médecine sont venus prêter main-forte dans les hôpitaux à leurs futurs collègues. Découvrant…
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Epuisés, stressés, angoissés : c’est un bilan de santé catastrophique que révèle la Fédération nationale des étudiants en soin infirmiers (Fnési) avec la publication de son enquête sur le bien-être des étudiants infirmier, lundi 18 septembre.
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Algérie: étudiants et personnel médical défilent contre Bouteflika 78682 homes
http://www.78682homes.com/algerie-etudiants-et-personnel-medical-defilent-contre-bouteflika
Algérie: étudiants et personnel médical défilent contre Bouteflika
Quelques milliers d’étudiants défilent dans le centre d’Alger mardi pour réclamer à nouveau le départ du président Abdelaziz Bouteflika qui a répété qu’il entendait rester au pouvoir, a constaté une journaliste de l’AFP.Des professeurs d’université, mais aussi des employés du secteur médical – médecins, infirmiers… – manifestent également ce mardi, jour anniversaire de la fin de la guerre d’indépendance de l’Algérie, selon des journalistes de l’AFP sur place. »19 mars 1962:…
homms2013
#Informationsanté
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C’est un petit paquet de feuilles jaunies par le temps, qui sommeille aujourd’hui dans le tiroir d’une vieille commode. Une vingtaine de pages noircies d’une écriture fine, qui racontent l’une des semaines les plus sanglantes de l’histoire de France. Un récit clinique, celui des tout premiers jours de la bataille de Verdun, tels que les a vécu un jeune homme de 23 ans que rien ne prédestinait à ce rôle de chroniqueur.
Il s’appelait René Prieur. Né le 10 août 1891, ce fils d’un professeur d’histoire enseignant au lycée Charlemagne, à Paris, fait partie des quelque trois millions et demi de jeunes Français qui ont répondu à l’ordre de mobilisation générale en août 1914. Etudiant en médecine au moment de la déclaration de guerre, cela fait maintenant huit mois qu’il se trouve dans le secteur de Verdun quand, à l’aube du lundi 21 février 1916, les Allemands déclenchent l’opération Gericht, début de ce qu’on appellera plus tard la bataille de Verdun.
Quand commence l’offensive, ce matin-là, René Prieur, lui, est au bois des Fosses, près de Louvemont. Situé à une dizaine de kilomètres au nord de Verdun et à peu près autant des batteries allemandes, ce petit village abrite l’un des postes de secours que le 29e régiment d’infanterie territoriale a installé près de la ligne de front pour recueillir et soigner les blessés. A la tête d’un petit groupe d’infirmiers, il a notamment pour mission de tenir un registre précis de ce qui se passe dans son secteur. Une tâche dont il s’acquitte dès le premier soir de l’offensive, en commençant par dresser la liste des blessés de la journée avant de résumer en quelques lignes ces premières heures de la bataille : « Aujourd’hui, j’ai dû faire de nombreux pansements, diriger les brancardiers et choisir les chemins les moins exposés pour aller ramasser les blessés, installer un 2e poste de secours, à droite de celui où j’étais établi pour abriter tous les blessés. Nous avons reçu beaucoup de gaz lacrymogènes, le bombardement ne cesse pas et les nouvelles les plus invraisemblables circulent. »
René Prieur, à droite, devant le poste de secours du bois des Fosses, près de Louvemont (Meuse), mi-février 1916.
Le médecin-auxiliaire René Prieur (tenant une canne) entouré d'infirmiers membres du 29e R.I. territoriale, dans le secteur de Verdun, janvier-février 1916.
Pour René Prieur, la nuit du 21 au 22 février sera courte. Une heure de sommeil à peine puis le bombardement à nouveau, un bombardement « plus intense » que la veille et qui place maintenant Louvemont sous le feu direct de l’ennemi – le petit village, entièrement ravagé dans les jours et les semaines qui suivent, ne sera jamais reconstruit. En ce deuxième jour de bataille, le jeune médecin raconte : « L’abri de droite en sortant du poste a été détruit par un 305 pendant que j’aidais l’infirmier Mathiot du 165e à arrêter une hémorragie d’un blessé atteint à la cuisse. Le poste était encombré. Plusieurs morts gisaient à l’entrée, dont trois à genoux, le sac encore au dos. Plusieurs blessés ont été tués par le 305 et à côté de moi. »
Lettre de René Prieur à son père Raoul écrite au bois des Fosses, 22 février 1916.
23 février : « Les Allemands lancent de plus en plus de gaz lacrymogènes. Il est impossible de prendre les noms des blessés. »24 février : cette fois, « les Allemands sont là ». Tout près. Si près qu’à la nuit tombée, « ramenant des blessés gisant dans la neige », René Prieur se trouve sous le feu direct de « sentinelles ennemies ». Au cours de cette seule journée, « j’ai été enseveli quatre fois sous des trous d’obus », écrit le jeune homme qui, pour la première fois, avoue qu’il pense à sa propre mort : « Bien qu’il faisait froid et grelottant, boueux, sanglant, j’ai dormi de fatigue après une pensée pour maman, mon cher papa, ma petite Henriette (...), songeant à la mort possible, à l’éternité peut-être très proche et troublante, revoyant rapidement ma vie et me recommandant à Dieu. Oh mon Dieu, ayez pitié de moi dans ma faiblesse où je crie avec sincérité du fond de mon être. »
25 février 1916. « La nuit, il a neigé et le sol est blanc », constate René Prieur à son réveil, à 7 heures du matin. Un matin anormalement calme. « Rien de particulier » sinon « l’attente d’une contre-attaque qui peut-être nous délivrera ». Espoir hélas vite dissipé car à 10 heures, surgissant du petit bois qui surplombe Louvemont, c’est une « patrouille allemande » qu’aperçoit le jeune médecin. La suite, la voici : « Mettant mon sac au dos, ma couverture en bandoulière, je me suis avancé tout seul, tendant en avant mon mouchoir blanc et par dessus mon brassard de la Croix Rouge, criant : “Nous sommes prisonniers !” On me répond en français, tout en me mettant en joue à 10 mètres : “Nous ne sommes pas des barbares, on ne vous fera pas de mal, combien d’hommes sont avec vous ?
– Environ 25.
– Dites leur de sortir sans arme.”
Et je crie : “Allons mes amis, avancez sans arme, on ne vous fera pas de mal.” Mes amis sortent et je préviens le caporal allemand qu’il reste des blessés. Il me dit : “On va venir les chercher, ils seront soignés.” Alors le caporal et 4 soldats du 8e nous ont mené à travers le bois des Fosses saccagé, détruit, défoncé, vers le sentier où il y a encore l’écriteau Herbebois Wavrille. Le 75 tire et des Allemands tombent. Mes amis me suivent en ordre, sautant par dessus les troncs d’arbre. Le caporal allemand me demande si j’ai faim. J’accepte un bout de pain noir mais je lui montre que j’ai encore des vivres dans ma musette. Vers le milieu du ravin de l’Herbebois, nous rencontrons un officier. Il nous fait arrêter. Il me dit de rester seul, que je serai conduit près du médecin plus tard. Mes amis me quittent et défilent devant moi en me serrant la main pendant que le 75 tire avec rage. Je leur dis : “Au revoir et bon courage, ils ne sont pas à Verdun et nous les aurons quand même !” Alors l’officier dit : “Français, braves, bons soldats.”
Louvemont (Meuse), 1915
Aujourd'hui (cliquer pour agrandir)
25 février, 16 heures. Quatre heures que René Prieur est aux mains de l’ennemi. Après une brève accalmie, les combats reprennent. Et la fin d’après-midi sera terrible. « Le 75 fauche tout, les bras, les têtes, les membres volent en l’air. Je suis éclaboussé de sang. Le ravin est comblé de morts qui s’amoncellent et, vers quatre heures et quart, quand je me dégage de dessous ma tranchée et des arbres, je marche sur des morts. Je ne sais pas où je vais. Je n’ai rien vu de plus infernal. J’entendrai toute ma vie le son métallique du 75, les branches craquant sinistrement, les cris des blessés, le nombre inouï de morts. » Le récit fait penser à celui des jours précédents. A ceci près que c’est maintenant le carnage causé par des obus français que décrit René Prieur. Et que c’est désormais à des soldats ennemis qu’il apporte les premiers soins. « Je panse des blessés allemands », écrit le jeune médecin, non sans s’étonner au passage de la qualité des pansements allemands, « petits » et « peu pratiques ».
René Prieur dans une tranchée près du village de Haumont-près-Samogneux, en 1915. Détruit pendant la bataille de Verdun, le village n'a pas été reconstruit après la guerre.
25 février, toujours. Arrive maintenant la nuit. C’est alors que, près d’un « immense trou d’obus », René Prieur tombe par hasard sur deux officiers allemands. Une conversation s’engage. « Très polis ces officiers me parlent de la guerre. Ils m’annoncent la prise de Verdun pour le 27 [février], le Kaiser à Verdun le 1er [mars], me montrent des cartes, affirment que tout se déroule mathématiquement. Je réponds qu’ils ne passeront pas, parce que persuadé sincèrement que les Allemands pouvaient passer les deux premiers jours, [qu’]ils ont été retenus, et que maintenant les réserves nombreuses en hommes, artillerie, vivres, étaient là. D’ailleurs voici 6 jours que le bombardement ne cesse pas, voyez, j’ai encore pour 3 jours de vivres dans ma musette. Nous avons tout de même des repas chauds ! Ils sourient , disent : “Français, braves !”, mais Verdun : “bald kaput !” Et la conversation continue pendant que nos canons tirent toujours mais avec moins d’intensité dans le ravin. Vers 7 heures, un blessé atteint à la cuisse me conduit vers le poste de secours en suivant un cordon blanc. Des brancardiers portent des blessés dans des toiles de tente et se guident avec de grandes cartes du bois des Fosses. Dans le poste il y a deux médecins. L’un est officier et fume, l’autre, sous-officier, fait des pansements et j’aide à panser les blessés. On m’offre à boire du café, à manger du pâté de foie en conserve.
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(...) En avant du poste, les Allemands creusent de petites tranchées individuelles, font du feu, installent chacun leur toile de tente et le canon gronde toujours et les obus éclatent sinistrement semant la mort. De nombreux blessés allemands arrivent au poste de secours. Un bon feu flambe dans un âtre où réchauffe du café dans de grandes marmites. Les infirmiers sont très occupés et travaillent sans arrêt, prenant pansements, morphine, iode dans de grands paniers. Je remarque qu’il y a très peu d’ouate et qu’on se sert de préférence d’un tissu qui y ressemble et se rapproche du papier. Exténué, je demande la permission de me reposer. On me prête une couverture. Je m’enroule dedans et reposant la tête sur mon sac, je m’endors profondément jusqu’au matin à 10 heures, j’ai dormi si profondément que je n’ai même pas bougé quand un 75 est tombé sur le poste de secours. Mais au réveil le poste est vide, les médecins allemands ont pu évacuer leurs blessés. Comme j’ai dormi tout de même, c’est la 1ère fois que je dors vraiment depuis 10 jours ! »
C’est sur ces mots, rédigés le 26 février 1916 « au poste de secours allemand en avant du bois des Fosses, à droite de Louvemont », que s’achève le petit carnet de René Prieur. Ce qui lui arrivera dans les jours qui suivent ? Impossible de le savoir aujourd’hui. Aucun autre écrit intime n’a été conservé dans les archives familiales. Aucune lettre non plus. Ou plutôt si, quelques lettres, mais écrites par ses camarades et non par lui-même, et qui disent toutes la même chose : passée la date du 24 février, personne n’est en mesure de dire ce qu’est devenu René Prieur, ni même s’il est encore vivant. C’est notamment le cas du commandant Dath, chef du bataillon dont dépend le jeune médecin, qui, le 21 mars, adresse ce bref courrier au père de celui-ci :« Je suis resté avec M. Prieur, médecin auxiliaire, jusqu’au 24 février dans la soirée. Je ne l’ai quitté que vers 16h30 lorsque les derniers éléments de mon bataillon, menacés d’encerclement ont dû quitter le bois des fosses. M. Prieur, avec le personnel du service de santé qui restait alors dans les abris, a dû rester auprès des nombreux blessés des différents corps qui qui concouru à la défense du bois. Il a dû tomber entre les mains de l’ennemi le soir vers 17 heures. Il est probable que vous ayez maintenant de ses nouvelles d’Allemagne, à moins qu’il n’ait été maintenu dans la région envahie pour continuer ses soins aux blessés non transportables. Dans ce dernier cas, vous auriez plus difficilement de ses nouvelles car je sais que les Allemands n’accordent pas facilement la liberté d’écrire à ceux de nos compatriotes qui doivent être maintenus en pays envahi. Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments très distingués. »
A la lecture de ce courrier, qui formule des hypothèses plus qu’il n’apporte de réponse, on imagine dans quelle inquiétude fut alors plongée la famille du jeune médecin. Inquiétude d’autant plus grande que les dernières nouvelles données directement par le jeune homme, une lettre à sa famille datée du 23 février, étaient tout sauf rassurantes. « Mon cher papa, voici la 50e heure de bombardement.(…) C’est effrayant. Nous avons reçu des gaz, des obus asphyxiants, des obus lacrymogènes, de tout. Quelques-uns sont devenus fous.(…) Tout va bien, mais quel déluge de feu, de fer, que de destructions, de ruines, de morts, de blessés. C’est une boucherie inouïe. Mais les Boches n’auront pas Ver… qu’ils ont bombardé, et nous les repousserons. Je vais bien, j’ai pu manger, boire, dormir quelques heures après trois jours. (…) Allons, confiance et courage. Je t’embrasse de tout mon coeur, ainsi que maman et la sœur. René. »
Lettre de René Prieur à son père Raoul écrite au bois des Fosses, 23 février 1916.
Combien de temps les parents du jeune homme resteront-ils sans nouvelles de leur fils ? Difficile à dire. Le seul indice dont on dispose est une lettre conservée dans les archives familiales et datée du 11 juin 1916, dans laquelle le jeune homme décrit sa nouvelle vie : « Nos santés sont excellentes malgré le mauvais temps. J’ai fait très peu de musique cette semaine mais on va s’y remettre. On travaille et on lit encore bien plus, n’est-ce pas le moment ou jamais ? Le temps passe vite ainsi. Il ne manque que vous tous. Je pense que ce sera à la fin de l’année qu’on se retrouvera. Je reçois bien lettres et colis. »
René Prieur en captivité au camp de Mannheim (Allemagne), en 1916.
Croix de guerre
De la lecture, de la musique, des colis... Ce que décrit ici René Prieur n’est autre que sa vie dans un camp de prisonniers, en l’occurrence celui de Mannheim, au sud-ouest de l’Allemagne, d’où il ne sort qu’à l’automne 1916 grâce, si l’on peut dire, à une péritonite. Evacué vers la Suisse par la Croix-Rouge, le jeune homme, selon une pratique alors en vigueur, est ensuite « échangé » contre un médecin allemand prisonnier en France. De retour dans le secteur de Verdun au début de 1917, il ne sera démobilisé qu’en 1919, sans imaginer qu’il sera à nouveau appelé sous les drapeaux vingt ans plus tard, en 1939, cette fois comme médecin capitaine.
Marié à Madeleine Bonnecaze, sœur d’un camarade médecin rencontré lors de sa captivité à Mannheim, René Prieur aura trois enfants, onze petits-enfants et seize arrière-petits enfants, dont l’auteur de ces lignes. Jusqu’à sa mort, en 1981, à l’âge de 89 ans, il gardera sous son lit une vieille valise marron en carton bouilli remplie de vieux souvenirs. Parmi eux, sa croix-de-guerre et une petite liasse de feuilles jaunies où l’on peut lire, écrit au crayon noir : « Evénements survenus depuis le 21 février 1916 ».
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Election territoriale des 3 et 10 décembre 2017 "L'AVENIR, LA CORSE EN COMMUN - L'AVVENE A CORSICA IN CUMUNU"
Corse Insoumise / PCF / Ensemble / Manca-Alternativa
1 Jacques CASAMARTA, 64 ans, Militant associatif et politique (Ajaccio - Haut Taravo)
2 Josette RISTERUCCI (FDG), 59 ans, Syndicaliste Hôpital de Bastia, Conseillère territoriale (Santa Severa)
3 Michel STEFANI (PCF), 57 ans, Ancien président des Chemins de fer de la Corse, Conseiller territorial (Pietranera)
4 Amélie RAFAELLI, épouse FRANCESCHI, 59 ans, Animatrice culturelle en langue Corse (Ortiporio)
5 Alexandre GONZALEZ, 58 ans, Militant syndicaliste (Villanova)
6 Anissa-Flore AMZIANE (PCF), 38 ans, Cadre dans le mouvement associatif (Ajaccio)
7 Nicolas ALARIS (PCF), 56 ans, Directeur de camping, conseiller municipal à Sartène
8 Christine MALFROY, 56 ans, Militante associative et politique (Ajaccio)
9 Xavier BERNARDINI, 54 ans, Elu du rural (Bisinchi)
10 Toussainte DEVOTI (PCF), 63 ans, Militante associative, Conseillère municipale à Bastia
11 François Xavier RIOLACCI (PCF), 66 ans, Conseiller municipal à Bastia, ancien conseiller territorial
12 Fatima PUPONNI, 36 ans, Employée ressources humaines, militante associative (Ajaccio)
13 Dylan CHAMPEAU, 18 ans, Etudiant, conseiller municipal des jeunes (Ajaccio-Ocana)
14 Catherine LOVICHI (PCF), 64 ans, Cadre dans le tourisme social et culturel (Ajaccio-Sartène)
15 Jean Louis AMIDEI (FDG), 60 ans, Infirmier libéral, ancien adjoint au maire d’Ajaccio (Ajaccio-Vico)
16 Muriel BUISSON, 58 ans, Cadre de santé, militante associative (Ajaccio)
17 Daniel NATALINI, 53 ans, Artiste (Ville di Pietrabugno)
18 Dominique TORRE (PCF), 53 ans, Cadre Air France (Furiani)
19 Loris ALBERTINI (PCF), 18 ans, Etudiant (Miomo)
20 Catherine LAURENTI, 53 ans, Conseiller principal d'éducation (Saint Florent)
21 Guy LANNOY, 63 ans, Chef d’entreprise, militant associatif et politique (Ota-Porto)
22 Viviane BIANCARELLI (PCF), 45 ans, Educatrice spécialisée, ancienne conseillère territoriale (Porto-Vecchio)
23 Maxime FAZZINI (PCF), 24 ans, Agent EDF, membre de l'Assemblea di a Ghjuventù (Bastelicaccia)
24 Pénélope BOUQUET, 55 ans, Infirmière de l'éducation nationale (Afa)
25 Sébastien CAÏOZZI, 25 ans, Commis de cuisine (Belgodère)
26 Marie Thérèse HUROT (PCF), 51 ans, Enseignante au Lycée maritime de Bastia (Bastia-Corte)
27 René FINI (PCF), 70 ans, Chaudronnier retraité, mutualiste, adjoint au maire de Furiani
28 Eve MARTINEZ, 42 ans, Serveuse (Ponte Leccia)
29 Thomas SANTONI, 18 ans, Etudiant (Eccica-Suarella)
30 Catherine SORO (PCF), 36 ans, Secrétaire (Cargèse)
31 Gérard GAGLIARDI (PCF), 67 ans, Syndicaliste enseignant, ancien conseiller municipal de Bastelicaccia, militant associatif (Ajaccio)
32 Françoise MELA, 70 ans, Militante associative et politique (Ajaccio)
33 Daniel SOBRA, 52 ans, Enseignant (Ajaccio)
34 Sophie DEMICHEL (PCF) 40 ans Ecrivain public, comédienne (San Nicolao)
35 Jean Marc PENCIOLELLI (PCF) 53 ans Conseiller principal d'éducation (Corte)
36 Anghjula Maria CASANOVA, 19 ans, Etudiante (Ajaccio)
37 Dominique OTTAVI, 67 ans, Auteur-compositeur-interprète, conseiller municipal à Tavaco
38 Stéphanie TRAMONI (PCF), 38 ans, Sapeur-pompier professionnel (Sartène)
39 Laurent CHIOCCA (PCF), 52 ans, Entrepreneur de travaux forestiers (Tasso)
40 Régine MAURY, 56 ans, Secrétaire (Biguglia)
41 Aldo MANDORLA, 63 ans, Médecin anesthésiste (Brando)
42 Marie Ange MORACCHINI (PCF), 58 ans, Cadre commercial ex SNCM (Bastia)
43 Dominique VITTORI (PCF), 70 ans, Retraité de l'INRA, adjoint au maire de Vescovato
44 Juliette ALESANDRI, 63 ans, Retraitée de l’enseignement, Militante associative (Alata)
45 Jean François CASALTA, 68 ans, Retraité, militant syndical (Ocana)
46 Michèle SANTAMARIA-SOGNO (PCF), 58 ans, Infirmière secteur psychiatrique retraitée (Cuttoli)
47 Etienne BASTELICA (FDG), 66 ans, Conseiller municipal à Ajaccio, ancien conseiller territorial
48 Christine GIE, 61 ans, Artisan couturière (Ajaccio)
49 Jean Baptiste LORENZI, 67 ans, Retraité EDF (Venzolasca)
50 Valérie FILIPPI (PCF), 50 ans, Infirmière libérale (Macinaggio)
51 Julien PERRAUDIN (PCF), 28 ans, Postier syndicaliste (Barbaggio)
52 Claudette RANCE, 70 ans, Retraitée Assistante sociale (Ajaccio)
53 Christophe LEVEQUE, 50 ans, Contrôleur principal des douanes (Borgo)
54 Jeanine BARTOLI épouse MONDOLONI (PCF), 61 ans, Directrice d’école retraitée (Sartène)
55 Paul Antoine LUCIANI (PCF), 72 ans, Conseiller municipal à Ajaccio, ancien conseiller territorial
56 Kristen PREVERT, 30 ans, Infirmière libérale (Tavera-Ajaccio)
57 Jean Paul MAUTI, 63 ans, Retraité, professeur d'arts plastiques (Olmi Cappella)
58 Marina LUCIANI (PCF), 44 ans, Fonctionnaire territoriale (Bastia)
59 Pascal ROSSI (PCF), 44 ans, Enseignant, militant associatif (Linguizzetta)
60 Angela THOINET, 38 ans, enseignante, engagée dans le monde associatif (Ajaccio)
61 Francis PERETTI, 68 ans, Chef d’entreprise, militant associatif et politique (Ajaccio)
62 Hélène AGOSTINI (FDG), 31 ans, Cadre dans le tourisme social (Porto-Vecchio)
63 Dominique BUCCHINI (PCF), 74 ans, Ancien président de l'Assemblée de Corse (Sartène)
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Guide des examens de laboratoire: Etudiants et professionnels infirmiers
Guide des examens de laboratoire: Etudiants et professionnels infirmiers
Guide des examens de laboratoire: Etudiants et professionnels infirmiers livre a été vendu pour EUR 27,00 chaque copie, Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles en téléchargement gratuit. L’inscription était gratuite. Télécharger Guide des examens de laboratoire: Etudiants et professionnels infirmiers pdf PDF EPUB TÉLÉCHARGER
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Description de l’offre
Professionnel(le) engagé(e) et passionné(e), rejoignez LNA SANTE ! Notre vision : Conjuguer management de proximité et autonomie, collaboratif et esprit d'initiative. Notre mission : Soigner et prendre soin. En tant qu'étudiant infirmier vous réaliser les soins d'hygiène des résidents, assurer le suivi et le maintien d'un bon état de santé. Plus largement, vous participer à l'amélioration de la qualité et de la sécurité des soins des résidents en lien avec l'équipe pluridisciplinaire de l'établissement (AS, infirmier, médecin, psychologue...).
Profil recherché
Vous faites des études d'infirmier et disposez idéalement d'un numéro de visa De nature sérieuse, vous êtes dynamique et investi(e). Vous disposez d'une aisance relationnelle (écoute, empathie, conseil) et souhaitez assurer votre métier avec toute la bienveillance attendue par nos résidents. Vous cherchez à : - vous épanouir et à progresser - évoluer dans une entreprise pérenne et dynamique - déployer vos compétences dans une ambiance conviviale et en équipe Vous vous reconnaissez Si on parlait de vous maintenant Avantages : - Aide au développement professionnel - Formation continue - Horaires flexible - Indemnité kilométrique - Indemnité kilométrique vélo - Des repas au restaurant d'entreprise à un tarif démocratique - Une atmosphère de travail bienveillante
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Nouveau post sur http://www.blogpresso.com/stresses-epuises-harceles-le-calvaire-des-etudiants-infirmiers-stanislaskazal/
Stressés, épuisés, harcelés: le calvaire des étudiants infirmiers @stanislaskazal
Qui pour soigner les étudiants infirmiers ? C’est un fait, ces derniers vont mal. Très mal même, à en croire le bilan de santé catastrophique révélé par la Fédération nationale des étudiants en soin infirmiers (Fnési), et publié Source link
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Création de la Cité Saint-François à Nice : un pôle de santé dynamique !
La Cité Saint-François, c’est un ensemble de projets collaboratifs, au sein d’un bâtiment responsable et moderne de 5000m², et portés par différents partenaires : une résidence étudiants, une crèche, un centre de conférences, une brasserie, des bureaux pour la cliniques et deux hôpitaux de jour (un de nutrition et un de psychiatrie) avec, au cœur de cette cité : la Clinique Saint-François !
A l’origine, la Clinique Saint François est une clinique indépendante de 100 lits et places de chirurgie et de psychiatrie mais qui dispose d’un terrain d’un hectare au cœur du quartier Pasteur, le « quartier Santé » de Nice avec à proximité immédiate : la Faculté de Médecine, les écoles de formations en soins du CHU et de la CRF, l’Hôpital Pasteur 2 (CHU de Nice), le Centre Antoine Lacassagne (Unicancer), des cliniques et maisons de retraites privées…
C’est donc tout logiquement que l’équipe de Direction et les administrateurs ont travaillé à la structuration de ce projet immobilier d’ampleur qui a lui seul pouvait répondre à plusieurs besoins importants des salariés, étudiants, chercheurs, patients et habitants du quartier et de Nice avec :
Une Résidence Etudiants de 43 studios, propriété du Groupe Pasteur Mutualité, et accueillant 95% d’étudiants venant de la Faculté de Médecine et des instituts de formation en soins infirmiers du quartier. Ces étudiants d’aujourd’hui sont les soignants et médecins de la Clinique de demain.
La Crèche de la Voie Romaine, crèche privée et indépendante gérée en interne et avec une capacité de 40 places. Cette crèche ouverte de 6h45 à 20h15 a permis de développer des conventions avec les établissements du quartier et la Mairie de Nice. Actuellement, 90% des enfants accueillis ont au moins un de leurs parents qui travaille dans le secteur de la santé.
Depuis octobre 2016, la Brasserie « le 65 » est ouverte de 8h à 18h, du lundi au vendredi, permettant aux étudiants, équipes médicales, professionnels du quartier, famille de patient,… de se retrouver, de se rencontrer dans un cadre unique. Cette brasserie assure également la partie restauration du Centre de conférences.
Le Centre de Conférences de la Cité a ouvert en octobre 2016 et dispose de salles parfaitement équipées (fibre, système de visioconférence,…), modulables, et pouvant recevoir jusqu’à 150 personnes. Ce centre accueille régulièrement des événements avec souvent une connotation santé et permet également aux acteurs du secteur de se retrouver et de partager.
Un hôpital de jour dédié à la nutrition qui accueille des patients diabétiques et obèses.
Le parking de la Cité, parking public ouvert à tous avec plus de 100 places.
Et, au cœur de la Cité, bien entendu la Clinique Saint-François qui a multiplié les conventions avec les établissements de santé du quartier (CHU de Nice, CAL, IAT…), dispose d’un agrément de l’Agence Régionale de Santé pour recevoir des internes de spécialité CPRE de la Faculté de Médecine de Nice, accueille une centaine de stagiaires soignants chaque année avec les différents IFSI de Nice, est administrateur du Centre d’Innovation et d’Usage en Santé, et organise des soirées médicales avec ses équipes dans le Centre de conférences de la Cité et à la Brasserie « le 65 ».
Au travers de la Cité Saint-François, la clinique est devenue un acteur clef de la Cité Européenne de la Santé de Nice et s’est clairement repositionnée en termes d’image dans le paysage de la Santé Niçoise !
Cité Saint-François : 65 Voie Romaine - 06000 Nice. Tél : 04.93.13.68.34. Facebook : Cité Saint François www.cité-saint-francois.fr
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