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La chirurgie du rachis à la Polyclinique de l’Europe, première concrétisation de la démarche territoriale du Groupe Vivalto Santé en Pays-de-la-Loire
Les chirurgiens du rachis du Centre Rachis Nantes (CRN) de l’Hôpital Privé du Confluent, en partenariat avec l’équipe de chirurgie orthopédique de la Polyclinique de l’Europe à Saint-Nazaire, ont ouvert une consultation de chirurgie du rachis à la Polyclinique de l’Europe en mai dernier.
Dans l’objectif de proposer une offre de soins de proximité la plus complète possible, cette collaboration territoriale entre deux établissements du Groupe Vivalto Santé permettra prochainement le démarrage d’une activité chirurgicale.
Concrétisation de la démarche territoriale du Groupe en Pays-de-la-Loire :
Dans le but de proposer aux patients et usagers de la région des circuits de soins complets, fluides et simplifiés, les trois établissements du Groupe Vivalto Santé, la Polyclinique de l’Europe à Saint-Nazaire, la Polyclinique du Parc à Cholet et l’Hôpital Privé du Confluent à Nantes, ont construit un Projet Médical commun à l’échelle de leur territoire.
La volonté est de créer des synergies fortes entre les établissements, des coopérations médicales et du partage d’expertise scientifique, pour apporter une offre de soins au plus proche des besoins en santé de la région.
L’équipe du Centre Rachis Nantes prend en charge toutes les pathologies de la colonne vertébrale à la fois l’étage cervical, dorsal et lombaire tant dans le domaine dégénératif (hernies discales, canal rachidien rétréci, discopathies) que dans le domaine traumatique (fractures, cals vicieux) et tumoral (primitif et secondaire). Une compétence particulière concerne le traitement des déformations rachidiennes de l’enfant et de l’adulte (scoliose, cyphose).
L’équipe de chirurgie orthopédique de la Polyclinique de l’Europe comprend désormais 6 praticiens et deux pôles d’excellence : un pôle chirurgie orthopédique des membres inférieurs et supérieurs et un pôle chirurgie de la colonne vertébrale.
Crédit photo : L’Hôpital Privé du Confluent
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La chirurgie robot-assistée s'installe à l’Hôpital privé Saint François

L’Hôpital privé Saint François à Montluçon (Auvergne - Groupe Elsan) s’est récemment doté (en juin dernier) d’un robot innovant en orthopédie : une révolution chirurgicale pour la pose de prothèse de genou, partielle ou totale.
Navio®, c’est le nom de ce robot encore rare en France (moins d’une dizaine sur le territoire). Cette technologie de pointe était attendue avec impatience par l’équipe d’orthopédie de l’établissement. Grâce à ce nouveau dispositif, le chirurgien peut effectuer un positionnement des prothèses et un équilibrage ligamentaire des articulations avec un degré de précision inaccessible à la seule main de l’homme.
Mais il faut le souligner : l’instrument robotique est contrôlé par le chirurgien. « Le robot et le médecin forment un couple indissociable », explique le Dr Nicolas Caumon, orthopédiste à l’Hôpital privé Saint François, formé à l’utilisation du robot en Angleterre. « Il s’agit d’un assistant robotique intelligent qui suit les indications programmées en amont par le chirurgien, pour obtenir une extrême précision et rendre l’intervention la moins invasive possible. » Le Dr Caumon est formel : « La robotique représente l'avenir de l'orthopédie. »
Comment ça marche ?
En s’appuyant sur les données médicales du patient, l’assistant robotisé établit une véritable cartographie en 3D du genou à opérer. Le binôme programme exactement la zone où le robot devra retirer l’arthrose de l��os pour laisser place à la prothèse. Un outil aux allures de pistolet va alors fraiser l’os en fonction des paramétrages pré établis. Il a toute liberté de mouvement mais le système robotique rétracte la fraise par sécurité, quand elle se situe hors de la zone planifiée. Quand le robot a retiré toute l'arthrose du genou, le chirurgien reprend les commandes pour la pose de la prothèse. « Grâce à cette technologie, on peut réaliser une chirurgie à la carte ! », se réjouit le Dr Caumon. Aujourd’hui, le système permet de traiter tous les types d’arthroses du genou et d’implanter différents genres de prothèses.
En complément, le Dr Caumon utilise un dispositif de navigation par réalité augmentée qui guide le praticien grâce à des lunettes connectées, à la façon d'un GPS. « Des informations essentielles de guidage s'affichent dans mon champ de vision par ces lunettes connectées, pour encore plus de précision », explique le médecin.
Grâce à ces deux technologies, les bénéfices pour le patient sont remarquables : le positionnement des implants peut être totalement adapté à la morphologie de chaque patient, la chirurgie peut être moins invasive que lors d'une intervention classique et la fiabilité du geste chirurgical devient supérieure. « Tous nos patients sont déjà pris en charge soit en ambulatoire, soit dans le cadre du protocole de récupération rapide qui est maintenant le gold standard, le robot va nous permettre d’optimiser encore plus ce protocole. »
crédit photo : Saint François
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Le Centre d’Oncologie-Radiothérapie de la Clinique Sainte-Clotilde à La Réunion
entre de référence et de haute technicité du traitement du cancer à La Réunion, le Centre d’Oncologie-Radiothérapie de la Clinique Sainte-Clotilde (97), créé en 1970, est aujourd’hui particulièrement engagé dans l’activité de la recherche clinique, afin de contribuer à l’amélioration de la santé de la population et en proposant des thérapeutiques innovantes (hormonothérapie, immunothérapie, radiothérapie en arcthérapie volumétrique par modulation d’intensité et radiothérapie en condition stéréotaxique). Il dispose d’une offre de soins cancérologique globale (radiothérapie, chimiothérapie, chirurgie carcinologique, service de médecine oncologique de 30 lits). L’année 2021 a été très mouvementée pour le centre qui a acquis des équipements de radiothérapie de dernière génération : un deuxième accélérateur TrueBeam installé en janvier, et depuis aout le Cyberknife, 1er robot de radiochirurgie de la zone Océan Indien.
Le TRUEBEAM : Entièrement numérisé, l’accélérateur de particules permet la mise en place de techniques d’irradiations d’une grande précision et d’une puissance redoutable vis à vis des cibles cancéreuses. Depuis l’acquisition de son premier accélérateur en 2016, le Centre a pu généraliser ses indications de radiothérapie en arcthérapie volumétrique par modulation d’intensité, garantissant à ses patients une irradiation efficace, épargnant au maximum les organes sains pour une meilleure tolérance. De surcroit, le TrueBeam permet à l’établissement de développer la radiothérapie hypo-fractionnée en condition stéréotaxique. Le principe de cette technique consiste à délivrer dans un volume tumoral cible une forte dose d’irradiation en un nombre de séances très limité. En clair, elle délivre de très fortes doses sur des volumes restreints et laisse peu de place à l’aléatoire. Cela permet d’augmenter considérablement l’efficacité de l’irradiation. Ce traitement en stéréotaxie requiert en contrepartie une précision millimétrique aussi bien dans la détermination du volume à traiter, que dans le contrôle de la position de la tumeur, la précision du faisceau et la délivrance de la dose à chaque séance. Face au problème des tumeurs positionnées dans un organe mobile (poumon, foie), la technologie 4D qui équipe désormais son scanner dosimétrique permet au Centre de contrôler, en temps réel, la position de la tumeur et donc de renforcer la précision de nos traitements.
Le CYBERKNIFE : A l’issue de son paramétrage, ce système de radiothérapie stéréotaxique, prouesse technologique la plus innovante à ce jour, a vu son premier patient le 9 aout dernier. Seul appareil robotisé qui permet de délivrer de fortes doses d’irradiation en peu de séances, il se présente sous la forme d’un robot articulé très mobile, pouvant traiter une lésion même très petite, qu’elle soit fixe ou mobile, n’importe où dans le corps, et ce, avec une précision infra millimétrique ! Alternative non invasive à la chirurgie pour certaines tumeurs cancéreuses, il ne nécessite aucun système de contention ou de fixation invasif, ce qui améliore nettement le confort des patients réunionnais. Les indications de traitement par Cyberknife concernent les petites et moyennes tumeurs, intra et extra crâniennes : cerveau, poumon, rachis et moelle épinière, foie, pancréas, prostate, sein... ainsi que la ré-irradiation en zones déjà traitées. Cette technologie était attendue depuis plus d’un an dans le Centre, qui a fait l’objet de travaux avec la construction de son 3ème bunker, une salle spécialement adaptée et protégeant l’extérieur des rayonnements émis à l’intérieur avec des murs de plomb d’1 mètre 90 d’épaisseur. Il permet ainsi une utilisation sans risque d’exposition du personnel et du public. Deux manipulatrices du service ont bénéficié d'un stage d'immersion Cyberknife à Nice en partenariat avec le Centre Lacassagne.
Ces investissements démontrent la volonté de la clinique et de ses équipes à maintenir leur niveau d’exigence et visent à positionner l’activité de radiothérapie comme l’un des services les plus performants de la zone Océan Indien et des centres ultra-marins de France. Ils s’inscrivent dans le cadre du développement de techniques de radiothérapie de haute précision déjà mises en place depuis plusieurs années dans le service. L’établissement, qui dispense annuellement 1500 traitements de radiothérapie, propose ainsi de plus en plus de solutions face à des tumeurs qui n’étaient jusqu’à présent pas accessibles à un traitement curatif par technique conventionnelle. Evitant aux patients des chimiothérapies longues et améliorant leur confort de vie, les traitements stéréotaxiques proposés réduisent la toxicité des irradiations, limitent leur déplacement grâce au nombre très réduit de séances, et renforcent ainsi considérablement l’arsenal thérapeutique offert aux patients pour lutter efficacement contre le cancer.
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RÉÉDUCATION À DISTANCE POUR LES PATIENTS ATTEINTS DU "SYNDROME POST-COVID 19
La Clinique IRIS, sur ses sites de Saint-Priest et Marcy l’Etoile (Ramsay Santé), situés dans le Rhône, a développé un programme de télé-rééducation permettant la prise en charge des patients adultes souffrant de symptômes post-Covid persistants.
Près de 10 % de la population ayant contracté la Covid-19 a du mal à se rétablir et à reprendre ses activités habituelles, même après plusieurs semaines de repos. L’ensemble des équipes de rééducation de la Clinique IRIS a élaboré un programme de télé-rééducation permettant la prise en charge des patients adultes souffrant de ces symptômes persistants : un programme individualisé de reconditionnement à l’effort par télé-rééducation post-Covid 19 ».
Une prise en charge des patients à risque d’isolement : Fatigue chronique, douleurs thoraciques et articulaires persistantes, difficultés respiratoires, vertiges, perte de l’odorat et de l’élan vital… Les séquelles physiques et psychologiques des patients atteints du
« syndrome post-Covid 19 » peuvent être nombreuses et perdurer plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Cela peut engendrer un déconditionnement médico-psycho-social, source de désinsertion et d’isolement. Pour prendre soins de ces patients et les aider à retrouver leur vie et occupations antérieures, la Clinique IRIS propose un programme innovant dont le but est de reconditionner physiquement, mais aussi psychologiquement ces patients, en proposant de la télé-rééducation avec un accompagnement régulier. La rééducation se fait à distance, grâce à des exercices que le patient doit réaliser tous les jours à domicile.
« La rééducation post-Covid est un parcours de soins assez identifié en hospitalisation complète, explique Sandrine Adamiak, coordinatrice des services de rééducation. Avec ce programme qui s’effectue à distance, notre objectif est d’offrir cette prise en charge aux patients qui n’ont pas été hospitalisés et qui se retrouvent démunis face à leurs symptômes persistants, avec parfois même un sentiment d’abandon. »
Un programme sur-mesure de neuf semaines : Le patient qui entre dans le programme se voit proposer un parcours de neuf semaines, ponctué de passages à la clinique. « La première semaine, nous le recevons trois demi-journées pour faire une évaluation complète de son état de santé et de ses capacités, explique le Dr Amar Bouguerra, médecin MPR (médecine physique et réadaptation), responsable d’une unité de patients en rééducation neurologique et orthopédique. En fonction de ce bilan, plusieurs exercices adaptés, y compris un entrainement olfactif, sont réalisés et des observations sont notées dans un livret de suivi. Puis, toutes les deux semaines, nous revoyons le patient pour faire le point. Le médecin traitant est informé de la prise en charge et il reçoit un compte rendu en fin de séjour ». Pour accompagner les participants, plus de 120 vidéos explicatives ont été réalisées.
Ce programme de télé-rééducation fonctionnelle post-Covid a été réfléchi par une équipe pluridisciplinaire constituée de médecins, kinésithérapeutes, ergothérapeutes, psychologues, diététiciens, orthophonistes, éducateurs sportifs en activité physique adaptée et infirmières. De nombreux experts ont donc apporté leur pierre à l’édifice pour offrir un programme le plus complet possible.
Les premiers patients ont pu le tester dès avril dernier. Il offre des perspectives pour d’autres spécialités ; ce type de prise en charge pouvant être dupliqué en rééducation cardiaque, ou encore pour les patients qui ont une prothèse de la hanche. Il serait également intéressant d’offrir des ateliers à distance pour les patients victimes d’AVC, dans le cadre de nos programmes d’éducation thérapeutique.
Un dispositif qui a ouvert le champ des possibles en matière de rééducation fonctionnelle.
Site Web Marcy l’Etoile : https://clinique-iris-marcy-etoile.ramsaygds.fr
Site Web Lyon 8ème : https://clinique-iris-lyon.ramsaygds.fr
Site Web Saint-Priest : https://clinique-iris-saint-priest.ramsaygds.fr
Facebook : https://www.facebook.com/clinique.iris.ramsaysante
LinkedIn : https://www.linkedin.com/showcase/clinique-iris-ramsaysante
Crédit photo : Ramsay Santé
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Ramsay Santé se mobilise aux côtés de l’association « Mon Bonnet Rose » et La Roche-Posay pour les patientes atteintes d’un cancer du sein
À l’occasion d’Octobre Rose, mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein, Ramsay Santé renouvelle son partenariat avec La Roche-Posay, et sa participation au challenge lancé par l’association « Mon Bonnet Rose », dont l’objectif est de rendre accessibles aux femmes les bonnets, foulards et autres accessoires pour pallier les effets indésirables de la chimiothérapie.
Le cancer du sein reste encore aujourd’hui le cancer le plus fréquent et le plus mortel chez la femme. Sa prise en charge s’est considérablement améliorée mais les traitements entraînent encore des effets indésirables ayant un impact sur la qualité de vie des patientes.
À l’occasion de cette campagne nationale, en partenariat avec La Roche Posay, des ateliers d’onco-esthétiques sont organisés dans 28 établissements du Groupe. Des socio-esthéticiennes y prodiguent des soins des ongles avec l’installation de bars à ongles, mais aussi des conseils beauté, des soins du visage et un maquillage correcteur. La prise en charge d’un cancer ne s’arrête pas au seul traitement de la maladie. Les séances de chimiothérapie peuvent avoir un lourd impact sur l’image de soi et sur le moral des patientes. L’onco-esthétique peut leur redonner confiance.
« Nous avons souhaité reconduire notre partenariat avec La Roche-Posay mis en place depuis 2017, car affronter la maladie passe également par une réappropriation de son corps et de ses envies » déclare Carole Micheneau, référente de la filière cancérologie de Ramsay Santé.
Ramsay Santé s’associe pour la deuxième année consécutive à l’association « Mon Bonnet Rose ». Dans le cadre d’un challenge solidaire organisé durant tout le mois d’Octobre Rose, le Groupe invite le grand public à confectionner des bonnets de chimiothérapie à partir de tee-shirts recyclés. Fin octobre, tous les bonnets confectionnés pourront être déposés auprès des établissements participants. Lors de la campagne 2020, l’association « Mon Bonnet Rose » a réussi à récolter 26 505 bonnets, grâce à l’engagement des équipes ; bonnets offerts à 250 centres d’Oncologie en France, soit 10 fois plus qu’en 2019 (2 626 bonnets).Une démarche solidaire, porteuse de sens et génératrice de lien social.
Bravo à eux ! Les établissements mobilisés durant Octobre Rose via le challenge « Mon Bonnet Rose » et/ou l’organisation d’ateliers d’onco-esthétique sont très nombreux. Institut de Cancérologie de l’Hôpital privé des Peupliers à Paris (75). L’Hôpital privé Geoffroy St Hilaire à Paris (75). La Clinique de la Muette à Paris (75). La Clinique Marcel Sembat à Boulogne-Billancourt (92). Institut du Sein Paris Est de l’Hôpital privé Paul d'Egine à Champigny-Sur-Marne (94). Institut de Cancérologie Paris Sud à Hôpital privé d’Antony (92), l’Hôpital privé Jacques Cartier à Massy (91). La Clinique du Landy à Saint-Ouen (93). L’Hôpital privé de la Seine-Saint-Denis au Blanc Mesnil (93) L’Hôpital privé du Vert-Galant à Tremblay-en-France (93). Le Centre de radiothérapie de Bobigny (93) L’Hôpital privé de l’Ouest Parisien à Trappes (78). L’Hôpital privé de Versailles (78). L’Hôpital privé Claude Galien à Quincy-Sous-Sénart (91). La Clinique Lambert à La Garenne-Colombes (92). La Clinique de la Défense à Nanterre (92). La Clinique Claude Bernard à Ermont (95). Institut de Cancérologie Lille Métropole à l’Hôpital privé La Louvière à Lille (59), l’Hôpital privé Le Bois à Lille (59), l’Hôpital privé de Villeneuve d’Ascq (59) et La Clinique de la Victoire à Tourcoing (59). Institut du Sein Nord Artois à la Clinique Saint-Amé à Lambres-Lez-Douai (59). Institut de Cancérologie de l’Artois à l’Hôpital privé Arras Les Bonnettes à Arras (62). L’Hôpital privé Bois Bernard à Bois-Bernard (62). Institut de Cancérologie de l’Hôpital privé Jean Mermoz à Lyon (69). La Clinique de la Sauvegarde à Lyon (69), Institut du Sein Drôme-Ardèche de l’Hôpital privé Drôme Ardèche, ;. L’Hôpital privé de la Loire à Saint Etienne, La Clinique Kennedy à Montélimar (26). La Clinique La Parisière à Bourg-de-Péage (26). Institut de Cancérologie Sainte-Marie à l’Hôpital privé Sainte Marie à Chalon-Sur-Saône (71). Institut du Sein du Pays Basque à la Clinique Belharra à Bayonne (64). La Clinique Aguilera à Biarritz (64). La Clinique de l’Atlantique à La Rochelle (17). La Clinique de l’Union à Saint-Jean (31). La Clinique des Cèdres à Cornebarrieu (31). La Clinique la Croix du Sud à Quint-Fonsegrives (31). Hôpital privé Clairval à Marseille (13). L’Hôpital privé de l’Estuaire au Havre (76).
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« Au Sein de Ma Bulle » : des « Bulles de Bien-Être » pour les patientes atteintes d’un cancer du sein

A l’occasion d’Octobre Rose, mois dédié à la lutte contre le cancer du sein, une initiative intitulée “Au Sein de Ma Bulle” est dédiée aux patientes atteintes de cancer du sein. Tout au long de ce mois d’octobre, dix installations parcourent plusieurs régions à travers la France pour être présentes dans de nombreux établissements de santé, et notamment différents hôpitaux et cliniques privées.
Parmi ces établissements participant à l’opération des « Bulles de bien-être, on peut compter de nombreux établissements de santé privés : Polyclinique Saint-Côme, polyclinique de Gentilly, HP Armand Brillard, HP Paul d’Egine, HP Sainte-Marie de Chalon, Médipôle de Savoie, Centre Arnaud Tzanck Mougins, Pôle santé Saint-Jean, polyclinique Santa Maria, Polyclinique Saint Georges, Pôle Santé Oréliance, hôpital privé de Savoie, Médipôle de Savoie, Clinique de Vitrolles, HP de Provence, , HP Clairval, Clinique du Pont de Chaume, Polyclinique Montréal, Clinique des Cèdres, Clinique de l'Union, Clinique la Croix du Sud
Clinique Tivoli, Polyclinique de l'Ormeau.
Ces “Bulles de Bien-être” sont des espaces dédiés de bien-être, de détente pour un moment de conseils beauté et de relaxation. Accueillies par un membre du personnel médical de l’établissement hébergeant la Bulle de Bien-Être, les patientes peuvent participer à différents ateliers animés par le personnel hospitalier: sophrologie, mise en beauté par une socio-esthéticienne, coiffure, massage relaxant ou encore session adaptée de Pilates. Un moment, pour oublier la maladie et se réapproprier son corps.
Cette opération « Au Sein de Ma Bulle », c’est avant tout une parenthèse dans le quotidien parfois éprouvant des patientes. Le cancer du sein se situe au 1er rang des cancers chez la femme, avec environ 10 000 nouveaux 1 cas par an.
Cette initiative a été mise en œuvre en partenariat avec le groupe Daiichi Sankyo et AstraZeneca.
« Cette opération « Au Sein de ma Bulle » a été coconstruite par les professionnels de santé impliqués dans le parcours de soins des patientes et nos équipes sur le terrain, elles sont animées par le personnel de chaque centre hospitalier sans lesquels rien n’aurait été possible. Nous sommes très heureux d’avoir pu mettre en place ces partenariats avec les établissements de santé afin d’offrir cet instant de bien-être aux patientes», souligne Benoit Escoffier, Directeur Général de Daiichi Sankyo France.
Cette initiative « Au Sein de ma Bulle » illustre tout l’engagement qui nous anime au quotidien
pour contribuer, aux côtés du personnel soignant, au bien-être des patientes », confirme le Dr.
Dana Vigier, Head of Oncology d’AstraZeneca France.
Espace de rencontre et d’échange avec les professionnels de différents domaines, ces installations proposeront aussi des sessions de prévention, et de sensibilisation au cancer du sein, avec entre-autre, des ateliers d’autopalpation. Le programme de chaque bulle est construit par l’établissement médical qui l'accueille. Retrouvez les dates et lieux des Bulles de Bien-Être : https://www.daiichisankyo.fr/octobre-rose/
Crédit photo : Daiichi Sankyo - AstraZeneca
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Octobre Rose 2021 à l’Hôpital Privé du Confluent Quand l’art s’allie à la prévention
À l’occasion d’Octobre Rose, mois de sensibilisation au dépistage du cancer du sein, l’Institut du Sein Nantes Loire, un institut spécialisé de l’Hôpital Privé du Confluent à Nantes, a souhaité transmettre un message de prévention fort en s’appuyant sur une œuvre artistique spécialement créée pour porter son message de prévention :
Dites-leur !
Dépistage du cancer du sein
Parlez-en à celles que vous aimez
Plus qu’un message, cette invitation est un véritable appel à l’action qui souligne le rôle de chacun dans la lutte contre le cancer du sein.
Une interprétation unique de la Vénus de Botticelli pour inciter au dépistage du cancer du sein
Sensible à cette cause, l’artiste nantaise Cécile Aurégan a créé, pour l’Hôpital Privé du Confluent, une œuvre inspirée de la Vénus de Botticelli, chef-d’œuvre de la Renaissance Italienne. Connue de tous, la Vénus est la déesse de l’amour, symbole d’élégance, de féminité et de beauté. L’artiste reprend cette figure féminine qui met en lumière les femmes et l’importance de prendre soin d’elles, sur un fond rappelant le rose et le ruban, symboles mondiaux de la lutte contre le cancer du sein. La grâce des traits, le positionnement des mains révèlent la protection, la féminité, le soin et l’amour. Comme la Vénus de Botticelli, la Vénus de Cécile Aurégan protège son sein. Cette œuvre a été affichée en grand format sur la façade extérieure de la Porte 1.
Passer à l’action en envoyant votre message de dépistage avec une carte postale
Pour matérialiser davantage son message de prévention, l’Institut offre à tous la possibilité de passer concrètement à l’action, de leur dire… en envoyant des cartes postales à celles que nous aimons. Ces cartes sont un véritable outil de sensibilisation et d’incitation au dépistage que chacun est invité à personnaliser et à adresser à ses proches. Elle donne l’opportunité de communiquer avec ses propres mots autour de ce sujet important. De cette manière, l’action de prévention devient intime, personnelle, plus engageante et impliquante à la fois pour le destinateur et le destinataire. Envoyez une carte postale rose ! Dites-leur. Protégez les femmes que vous aimez.
Donner vie au message de dépistage à travers une fresque participative
Au cours du mois d’octobre, plusieurs ateliers créatifs, ouverts à tous, sont animés par l’artiste Cécile Aurégan. L’objectif : créer une fresque participative sur laquelle le message de prévention « Dites-leur » prend progressivement forme et vie. Nous vous invitons à venir participer à l’un de ces ateliers créatifs. lls se déroulent dans le hall d’accueil de la porte 3, de 12h à 14h, les 5, 12 et 14 octobre.
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Clinique Ambroise Paré de Neuilly : améliorer le suivi patients post chirurgie cardiaque

Smart Bracelet to assess physical activity after cardiac surgery : A prospective study. PLoS One. 2020
Dans le contexte d’une durée d’hospitalisation postopératoire en diminution, le suivi patient extra-hospitalier devient un enjeu majeur pour les équipes médicales. Les objets connectés apparaissent alors comme des outils prometteurs et une source de données significative pour optimiser le suivi patient. Dans le cadre d’une étude clinique réalisée par la Clinique Ambroise Paré de Neuilly, au printemps dernier, une centaine de patients ont été équipés de tracker d’activité Withings dans le but de mesurer la reprise de leur activité physique après une chirurgie cardiaque.
Le système de suivi de CardioReport (société MediReport) se connecte au tracker d’activité Withings et récolte en temps réel les données d’activité du patient. Ces données sont ensuite accessibles par l’équipe médicale dans un tableau de bord ainsi que par le patient via l’application de suivi de CardioReport. Cette application offre une communication régulière entre patient et médecin et permet d’envoyer des alertes aux patients pour leur signaler une activité physique insuffisante.
Si malgré l’alerte, les patients ne marchent pas assez, ils sont conviés à une consultation afin de prévenir une nouvelle hospitalisation. Cette nouvelle étude, menée dans un cadre médical indépendant, met en exergue les possibilités qu’offrent ces objets de suivi de la vie quotidienne aux professionnels de santé. Ces derniers peuvent désormais avoir accès à distance, et régulièrement à des données précises pour offrir de meilleurs soins, plus personnalisés, plus intelligents et plus réactifs même en dehors du milieu hospitalier. Dans un contexte médical, l’association du tracker et de l’application de suivi patient permet non seulement de favoriser et d’améliorer la qualité des soins ambulatoires mais surtout de placer le patient comme acteur actif de son rétablissement.
Méthodologie de l’étude
Dans cette étude prospective et monocentrique, les patients de la clinique Ambroise Paré de Neuilly programmés pour une intervention de chirurgie cardiaque se sont vu équiper d’un tracker d’activité Withings. Le principal objectif de l’étude était de mieux comprendre la reprise de leur activité physique postopératoire. Les objectifs secondaires tendaient à évaluer la bonne utilisation du système de monitoring, le rétablissement physique des patients et le lien entre activité physique et morbidité extra-hospitalière le cas échéant.
Cette étude clinique a fait l’objet d’une publication : https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0241368#abstract0
Une expérimentation concluante et bien accueillie par les patients
Le programme a très bien été accueilli par les patients : 86% d’entre eux ont souhaité y participer, soit une centaine de patients. La conformité au dispositif en vigueur et au protocole d’étude a également été bonne (94%). A la sortie de l’hôpital, le nombre moyen de pas était de 1454 ± 145 avec une augmentation homogène atteignant 5801 ±1151 pas au jour 60. Le niveau d’activité maximum, mesuré par le nombre de pas, a été atteint à partir du 30ème jour.
Au jour 60, il a été établi que la reprise d’activité était plus difficile pour les patients âgés, présentant une maladie artérielle périphérique et dont la durée d’intervention avait été longue (durée de la circulation extra corporelle prolongée).
En conclusion, après une chirurgie cardiaque, le port d’un tracker d’activité enregistrant les pas quotidiens s’est avéré parfaitement adapté pour mesurer leur activité physique. Les patients de référence ont réalisé environ 6000 pas quotidiens 2 mois après leur sortie de l’hôpital, et 85% de cette activité a été réalisée au cours du premier mois.
Par ailleurs, on constate que le bracelet connecté a été jugé utile ; 61% des patients ont estimé qu'il avait influencé leur rétablissement et 41% qu'il a changé leur mode de vie. Enfin, 77% des patients ont décidé de continuer à le porter et seulement 4% l'ont considéré comme une contrainte.
Crédit photo : Nokia
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Koalou, une application mobile pour accompagner les petits patients

La Clinique Marcel Sembat (Ramsay Santé), située à Boulogne-Billancourt, propose une nouvelle application mobile destinée aux enfants devant subir une intervention chirurgicale ORL, ainsi qu’à leurs parents. Son rôle ? Les accompagner tout au long du parcours de soins.
Un parcours de soins plus pédagogique :
L’annonce d’une intervention chirurgicale n’est jamais anodine et peut être une source de stress chez les patients. Chez les tout-petits, ce stress peut se transformer en une véritable crainte. « Trois enfants sur cinq sont anxieux face aux soins, même les plus simples », explique Carole Chaghouri, infirmière coordinatrice et responsable du développement des projets transversaux à la Clinique Marcel Sembat. « Cela entraîne des conséquences physiques, émotionnelles, voire sociales. Les parents, quant à eux, se sentent souvent désemparés. C’est à partir de ce constat qu’une infirmière de l’hôpital Necker a créé l’application Koalou avec notre collaboration. ». Le principe est de dédramatiser l’acte et d’accompagner les familles dans toutes les étapes à suivre, en amont de la chirurgie, jusqu’au rétablissement post-opératoire.
Dès la première consultation avec le spécialiste, l’enfant est inscrit sur l’application. Il a alors accès à une bande dessinée ludique et suit les aventures de Koalou, un koala qui doit, lui aussi, subir une intervention chirurgicale. « L’enfant peut alors s’identifier au personnage qui raconte l’histoire de son parcours de soins, avec des images et des mots simples. Le jour J, le petit patient connait toutes les étapes qu’il devra suivre. Il est donc plus rassuré et détendu », affirme l’infirmière.
Un lien entre l’enfant, les parents et le personnel soignant :
Pour les parents, l’application Koalou est d’une grande aide, puisqu’elle rassemble en un seul et même lieu toutes les informations concernant la prise en charge de leur enfant. « L’idée est de ne pas multiplier les sources d’accès. Tous les documents et les formulaires à remplir sont disponibles et de nombreux conseils sont prodigués. Le but est de lever les angoisses des parents en donnant toutes les réponses à leurs questions », explique Carole Chaghouri. Des alertes et des rappels sont également programmés pour ne rien oublier, un véritable pense-bête.
Le personnel soignant s’est également approprié l’application mobile, car elle permet de mieux organiser la prise en charge de l’enfant. « Si celui-ci a très peur, ce sera renseigné dans l’application et l’infirmière pourra prendre plus de temps en amont de la chirurgie pour le rassurer. Un questionnaire post-opératoire est également à remplir. En cas de douleurs ressenties, le médecin pourra rapidement prendre contact avec les parents », conclut l’infirmière.
Disponible depuis quelques mois, l’application génère énormément de satisfaction. Elle est pour le moment utilisée par deux chirurgiens ORL, et d’autres praticiens vont rapidement se joindre à eux.
Crédit photo : Ramsay Santé
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Des soignants du Groupe Vivalto Santé se mobilisent et partent en renfort aux Antilles
Face à la gravité de la situation sanitaire aux Antilles, Vivalto Santé a souhaité se mobiliser pour leur apporter aide et soutien. Comme lors des précédentes vagues de COVID-19, le Groupe a fait appel au volontariat au sein de son personnel soignant.
Cette initiative, lancée lors de la première vague, avec un transfert vers l’Ile-de France de plus de 200 soignants, médecins et paramédicaux, se renouvelle aujourd'hui vers les Antilles.
Au total, plus d’une vingtaine de volontaires ont d’ores et déjà pris la direction de la Guadeloupe et de la Martinique. Ces infirmières, aides-soignantes, internes ou encore professionnels paramédicaux sont issus des différentes régions du Groupe Vivalto Santé : Pour la Bretagne la Clinique Pasteur-Lanroze à Brest, la Clinique de la Baie à Morlaix, la Polyclinique de Kério à Pontivy, la Clinique de la Côte d'émeraude à Saint-Malo et le CHP St Grégoire à Rennes ont répondu à l’appel.
Pour la Normandie, ce sont les Clinique de l’Europe et Clinique Mathilde de Rouen, la Clinique Megival de Dieppe et la Clinique Notre-Dame de Vire qui se sont mobilisées.
En région des Pays de la Loire, citons l’Hôpital Privé du Confluent à Nantes, la Polyclinique de l’Europe à Saint-Nazaire et la Polyclinique Saint-Georges à Saint-Georges-de-Didonne, en Nouvelle Aquitaine.
Sans oublier, la Clinique Sainte-Marie d’Osny pour l’Ile de France et la Polyclinique Lyon Nord en région Rhône-Alpes. "Dans un contexte incertain, les professionnels de santé s'engagent et se portent volontaires.
Le Groupe Vivalto Santé les remercie une nouvelle fois de leur engagement et de leur solidarité.
Ce sont ces valeurs qui font toute la force de notre Groupe !" déclare Daniel CAILLE, PDG du Groupe.
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Le « Covid-long », une pathologie grave contre laquelle une vingtaine de cliniques Korian se mobilisent
Epreuve d’effort dans le laboratoire d’évaluations à la clinique du souffle Korian La Solane (Osséja)
Alors que l’épidémie de Covid-19 touche l’Europe depuis plus d’un an, la communauté médicale et scientifique se mobilise pleinement sur la persistance de conséquences lourdes, à long terme, pour les nombreuses personnes infectées. Ce « Covid long » est désormais considéré comme une maladie complexe, avec impacts physiques et psychologiques, et nécessitant une prise en charge complète et innovante sur une longue période. Le réseau de cliniques de Korian propose un programme complet de réhabilitation Post Covid-19. L'objectif est d'améliorer les capacités respiratoires des patients, mais aussi de soulager l'anxiété et la dépression qui peuvent toucher un grand nombre d'entre eux.
Fort de l’expérience acquise depuis de nombreuses années dans le traitement des maladies respiratoires dans ses « cliniques du souffle », le réseau de cliniques de Korian propose désormais un programme complet de réhabilitation post Covid-19. Ce programme interdisciplinaire et individualisé dure 3 à 4 semaines, en hospitalisation complète et en Hôpital de Jour.
Il est aujourd’hui déployé dans près de 20 cliniques de Soins de Suite et de Réadaptation, spécialisées en Médecine Physique et Réadaptation et dans les affections respiratoires, réparties sur tout le territoire national.
Il bénéficie de la mobilisation d’équipes spécialisées, parmi lesquelles des médecins généralistes, médecins spécialistes en médecine physique et de réadaptation,pneumologues, psychologues, masseurs kinésithérapeutes, enseignants en Activité Physique Adaptée, diététiciens… mais aussi de plateaux techniques adaptés et de lieux d’implantation propices à la réhabilitation, en particulier en montagne et dans la nature. Ces séjours de répit doivent permettre aux patients de retrouver un mode de vie le plus normal possible.
« Le Covid-long est une maladie complexe, fréquente -qui concerne beaucoup de personnes ayant été contaminées par le virus- et très déstabilisante pour les patients dont certains vivent un grand désarroi » explique le Dr Nicolas Oliver, médecin de la clinique du souffle La Valonie. « Pour la traiter, les équipes soignantes de Korian s’appuient sur une expérience solide en matière de réadaptation respiratoire, pour proposer un parcours individualisé aux patients, s’appuyant sur un accompagnement transdisciplinaire et une large gamme de compétences médicales et paramédicales».
Les cliniques Korian qui proposent ce programme : • Le Pontet, à Hauteville-Lompnes (Ain, 01) • Les Trois Tours, à La Destrousse (Bouches du Rhône,13) • Les Pins, à Marseille (Bouches du Rhône,13) • Brocéliande, à Caen (Calvados, 14) • Les Clarines, à Riom-Es-Montagne (Cantal, 15) • Les Grands Chênes, à Bordeaux (Gironde 33) • La Vallonie, à Lodève (Hérault, 34) • Napoléon, à Dax (Landes 40) • L’Estran, à Siouville (Manche, 50) • Marienia, à Cambo les bains (Pyrénées Atlantique 64) • La Solane, à Osséjà (Pyrénées-Orientales, 66) • Les Lilas bleus, à Lyon (Rhône, 69) • Mont Veyrier, à Annecy (Haute Savoie 74) • Zander, à Aix les bains (Haute Savoie 74) • Mont Ventoux, à Carpentras (Vaucluse 84) • Les Cyprés, à Avignon (Vaucluse, 84) • L’observatoire, à Juvisy-sur-Orge (Essonne, 91)
Crédit photo : clinique du souffle Korian La Solane
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La clinique Pasteur à Toulouse adopte la solution Cardiologs, au service du diagnostic cardiaque

La clinique Pasteur a intégré depuis quelques mois, la solution Cardiologs dans son arsenal de diagnostic cardiaque et augmente ainsi le nombre d’examens ECG Holter de 50%.
Utilisé pour analyser les enregistrements du rythme cardiaque (Holter ECG), ce logiciel propose une détection automatique des principaux troubles du rythme cardiaque et établit rapidement un pré-diagnostic. Son utilisation accélère significativement le temps d'analyse en maintenant des analyses diagnostiques fiables.
Près d'un million de patients en France souffrent de fibrillation atriale, l'arythmie la plus courante qui peut être diagnostiquée par un enregistrement ambulatoire appelé Holter. Il s'agit d'un équipement portatif qui enregistre, de façon continue et dans la vie quotidienne, la fréquence et le rythme cardiaques pendant 24h à 48h. Avec les outils traditionnels, une fois déposé, l'enregistrement est interprété par le médecin, qui effectue une analyse visuelle des signaux électriques et détermine les anomalies rythmiques du patient, avec un temps d'analyse de 5 à 10 minutes en moyenne. Un travail fastidieux et particulièrement chronophage quand il y a un grand nombre de lectures à réaliser, mais néanmoins nécessaire. En déployant la solution Cardiologs, la clinique Pasteur a pu optimiser l'organisation de son centre Holter en augmentant son activité de plus de 50 %, tout en réduisant significativement l'attente des patients pour l'accès à ce dispositif. Une optimisation flagrante pour le service de cardiologie de l’établissement.
« Cet équipement a permis une accélération notable dans le traitement des Holters qui s'est traduite par une réduction par deux du temps d'analyse. En parallèle, l'accès à cet examen a été accéléré pour atteindre un délai de moins de 3 semaines » souligne le Docteur Romain Cassagneau, rythmologue à la clinique Pasteur.
L'adoption du logiciel par l'ensemble des acteurs de l'unité a été aisée, aussi bien pour les praticiens que les secrétaires qui se trouvent soulagés d'une tâche chronophage et qui mobilisait une concentration conséquente. Cela a permis d'augmenter l’activité de Holter d'une part, et surtout de déléguer l'analyse et le classement des signaux.
La valeur apportée par l'intelligence artificielle de cette solution dans la transformation du diagnostic cardiaque et la lecture des enregistrements a rapidement été constatée.
Crédit Photo : cardiologs
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La Polyclinique de l’Ormeau renforce son offre de soins rééducative avec l’ouverture de deux nouvelles unités ambulatoires
Soucieuse d’améliorer l’offre de soins de proximité dans les Hautes-Pyrénées, la Polyclinique de l’Ormeau (Elsan), située au cœur de la ville de Tarbes, a développé un Centre de réadaptation spécialisé dans les affections respiratoires et dans la prise en charge des personnes âgées polypathologiques. Ces unités s’ajoutent aux 2 unités déjà existantes, en réadaptation cardiovasculaire et en réadaptation polyvalente.
Depuis 2010, la Polyclinique de l’Ormeau améliore les soins et l’accompagnement de la personne âgée à travers le développement de soins de suite et de réadaptation en aval de son activité médico-chirurgicale, constitués d’une unité de réadaptation polyvalente et d’un programme spécialisé dans la réadaptation cardiaque. En 2021, la Polyclinique de l’Ormeau a élargi cette offre de soins avec l’ouverture de 2 nouvelles unités de jour dédiées aux personnes souffrant de pathologies chroniques respiratoires (SSR Respiratoire) et aux personnes âgées polypathologiques (SSR PAP)
Responsable de ces 2 unités de soins, le Docteur Marc Labrunée, spécialisé en Médecine Physique et de Réadaptation, a rejoint la clinique dans le cadre de cette ouverture, et bénéficie des compétences des autres spécialistes de l’établissement (pneumologues, cardiologues, etc.).
Le parcours de soins de réadaptation respiratoire assure la prise en charge des maladies pulmonaires chroniques limitant la capacité physique comme la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), l’asthme sévère, ou encore les pathologies respiratoires post-Covid. La polyclinique propose à ces patients un réentrainement à l’effort progressif accompagné d’une éducation à la prise en charge de leur maladie.
Pour la réadaptation des personnes âgées polypathologiques, le Docteur Labrunée explique : « Nous proposons ce programme pour les personnes de 75 ans ou plus qui souffrent de maladies chroniques et souhaitent maintenir leur indépendance physique et psychique. Nous sommes là pour les accompagner et les aider, en lien avec leur médecin traitant, à mettre en place des solutions adaptées pour vieillir en bonne santé. ».
A leur arrivée, les patients sont pris en charge par une équipe pluridisciplinaire qui les accompagne tout au long de leur programme de réadaptation : médecin, infirmière, kinésithérapeutes, ergothérapeute, orthophoniste, enseignant d’activité physique adaptée, diététicienne, psychologue et assistante sociale.
La prise en charge se déroule par séances de demi-journée comprenant l'entraînement physique après évaluation médicale, l’optimisation du traitement, la diététique et l’éducation thérapeutique, en tenant compte des aspects psychologiques et socio-professionnels des patients. Pour intégrer l’un de ces programmes, les personnes doivent s’adresser à leur médecin traitant ou à leur pneumologue.
Ces unités de soins, dotées de plateaux techniques nouvellement équipés, permettent aux patients de diminuer leur handicap, de gagner en autonomie et d’améliorer leur qualité de vie.
Établissement du groupe Elsan, la Polyclinique de l’Ormeau accueille chaque année sur ses 2 sites Centre et Pyrénées plus de 35 000 patients en provenance des 4 grands bassins de Tarbes, Lourdes, Bagnères-de-Bigorre et Lannemezan. Avec 30 spécialités médicales et chirurgicales, la Polyclinique de l’Ormeau propose une offre de soins complète en Médecine, Chirurgie et Obstétrique et dispose d’un service d’accueil des Urgences et d’une Unité de Soins Palliatifs.

Crédit photo : Polyclinique de l’Ormeau
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SantéCité se mobilise pour une meilleure prise en charge de l’endométriose

Pour améliorer la prise en charge de l’endométriose, et faciliter le parcours de soins des patientes qui reste aujourd’hui, dans certains cas, un parcours difficile, le groupe SantéCité s’est uni, en mars dernier, à l’association Endofrance.
Par ce partenariat, les deux acteurs souhaitent sensibiliser sur cette maladie qui reste encore méconnue et trop souvent mal dépistée, et insuffler une dynamique nationale pour une meilleure coordination des professionnels de santé sur ce sujet de santé publique.
Pour ce faire, SantéCité s’appuie sur l’expertise reconnue du Professeur Horace Roman chirurgien gynécologue spécialiste de l'endométriose, et sur l’Institut Franco-Europée Multidisciplinaire d'Endométriose de la Clinique Tivoli-Ducos de Bordeaux, membre de SantéCité. Huit autres établissements SantéCité sont également engagés dans cette dynamique : CMC Ambroise Paré, Pierre Cherest et Hartmann à Neuilly (92), Oréliance à Orléans (45), Victor Pauchet à Amiens (80), L’hôpital Privé Nord Parisien à Sarcelles (95), la Polyclinique Reims Bezannes à Bezannes (51), la Clinique Rive Gauche à Toulouse (31), l’Hopital Privé Francheville à Périgueux (24), la Clinique Saint Charles à La Roche-sur-Yon (85)
Information, prévention, amélioration du parcours de soins et de la coordination entre les établissements à l’échelle nationale, suivi psychologique des patientes et des couples, mais aussi recherche médicale au niveau national … les défis sont nombreux pour améliorer le quotidien des femmes atteintes d’endométriose.
« Nous avions envie que le groupe SantéCité s’engage pour une grande cause de santé publique sur le long terme, et c’est tout naturellement que nous avons choisi l’endométriose. Cette maladie touche 10% des femmes, elle peut être très invalidante et est pourtant encore trop souvent mal prise en charge ! Chez SantéCité, nous avons déjà plusieurs établissements reconnus pour la qualité de leur prise en charge sur le sujet, mais nous avions envie d’aller plus loin. En tant que professionnels de santé, nous nous devons d’agir et d’améliorer le quotidien de ces femmes ! Ce partenariat avec EndoFrance, principale association de lutte contre l’endométriose en France, nous permet de mieux comprendre leur vécu et d’améliorer nos actions de sensibilisation et d’information au niveau national » déclare Stéphan de Butler d'Ormond, président de SantéCité.
Convaincus que la prise en charge de l’endométriose doit être améliorée, pour faciliter le dépistage mais aussi le parcours des femmes une fois le diagnostic posé, les deux partenaires ont décidé de s’unir et de mobiliser plusieurs forces vives : réseau de ville, réseau de patients, réseaux hospitaliers. Plus qu'une prise de conscience, il s’agit de travailler ensemble à l’émergence de réelles propositions de prises en charge efficaces et en tenant compte de l'expérience vécue par les patientes et leurs proches.
Les deux entités s’allient ainsi pour promouvoir une meilleure reconnaissance de l’endométriose auprès des pouvoirs publics, des professionnels de santé et du public ; une meilleure information auprès du grand public, mais aussi des professionnels (infirmières scolaires, médecins généralistes...) ; une amélioration de la prise en charge des personnes atteintes d’endométriose et une réelle coordination entre tous les spécialistes concernés ; la recherche sur l’endométriose.
Sous l’égide du Professeur Horace Roman, chirurgien gynécologue spécialiste de l'endométriose qui exerce à l’Institut Franco-Européen Multidisciplinaire d'Endométriose de la Clinique Tivoli-Ducos de Bordeaux, ce partenariat lancé pendant la semaine européenne de prévention et d’information sur l’endométriose en mars 2021 se veut être le point de départ d’une action d’envergure nationale.
En complément des filières de prise en charge qui se construisent au niveau régional, SantéCité a pour ambition d’impulser une dynamique nationale des praticiens exerçants dans les établissements membres en s’appuyant sur les professionnels de santé des villes, afin de mieux dépister et orienter les patientes vers des établissements et professionnels qui seront les plus à même de prodiguer les soins adaptés.
« Aujourd’hui encore, le délai entre les premiers symptômes et le diagnostic de l’endométriose peut être long et compliqué pour les femmes, ainsi que le délai entre le diagnostic et la prise en charge adéquate. Les parcours de soins sont dans certains cas sinueux et peuvent prendre l’allure d’un parcours de la combattante. Malgré la rédaction récente des recommandations pour la pratique clinique, leur application ad litteram peut être laborieuse en raison de l’extrême hétérogénéité et complexité de certains cas. C’est sur ce point que nous souhaitons agir, avec la construction d’une dynamique nationale de l’endométriose réunissant les établissements de la coopérative SantéCité. Trop de femmes traversent le pays pour consulter un spécialiste pour une forme d’endométriose qui peut être traitée avec succès dans un établissement de proximité. En même temps, de nombreuses femmes subissent une intervention chirurgicale inutile ou incomplète, quand la complexité de leur maladie nécessite de manière évidente une prise en charge dans un centre hyperspécialisé qui concentre les cas similaires provenant de plusieurs régions. C’est à nous, soignants et établissements, de nous organiser et de coopérer pour que les femmes soient mieux informées, mieux orientées et mieux soignées, sans aucune perte de temps et sans des interventions inutiles. Le but de chaque praticien et de chaque établissement n’est pas de travailler plus, mais de travailler mieux. En France, nous avons de nombreux chirurgiens d’un haut niveau, mais nous devons mettre en commun nos connaissances pour que nos patientes soient mieux prises en charge, et le plus rapidement possible » explique le Pr Horace Roman, Chirurgien Gynécologue spécialisé dans l'Endométriose, Clinique Tivoli Bordeaux (33)
Ayant à cœur de soutenir cette grande cause de santé publique, le groupe se mobilise donc, au quotidien, au plus près des femmes et de leurs besoins.

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L’Hôpital Privé du Confluent : des casques réfrigérants pour limiter la perte de cheveux liée à la chimiothérapie
La perte de cheveux liée à la chimiothérapie est l’effet secondaire le plus redouté par les patients. Elle est vécue comme une dégradation majeure de leur physique et de leur image corporelle. Pour limiter ce phénomène, l’’Hôpital Privé du Confluent à Nantes s’est doté de machines à casques réfrigérants dernière génération.
L’utilisation de ces machines est proposée en priorité aux patientes souffrant de cancer du sein et devant subir un traitement reconnu comme agressif pour le cuir chevelu.
En pratique, par un mécanisme de vasoconstriction, le froid resserre les vaisseaux sanguins qui irriguent le cuir chevelu. La diminution du diamètre des vaisseaux réduit l’afflux sanguin et, par conséquent, réduit la quantité de traitement parvenant jusqu’aux racines des cheveux. Le casque est porté sur cheveux humides, 10 minutes avant, pendant et 10 minutes après la séance de traitement.
Ces nouveaux casques sont reliés à une machine et ne nécessitent aucun changement en cours de séance. La température est constante.
L’efficacité du casque réfrigérant dépend de différents facteurs tels que les molécules utilisées par la chimiothérapie, le mode d’administration de la chimiothérapie, et la nature du cheveu des patientes.
Une patiente en oncologie témoignage : « À l’annonce du diagnostic du cancer du sein, je redoutais plus que tout la chimiothérapie car je savais que cela engendrerait une chute de cheveux. J’étais tétanisée à l’idée que le regard des autres puisse changer. Conserver au maximum mes cheveux est devenu mon obsession. C’était ma manière de me battre contre la maladie. 3 jours après avoir appris que je devais faire une chimio, je m’étais déjà rendue chez l’ensemble des prothésistes capillaires nantais… Mais rien à mes yeux ne fonctionnait. Le turban était aussi une option, mais pour moi, il était beaucoup trop associé à la maladie. Quand mon oncologue m’a parlé des casques réfrigérants dernière génération, j’ai immédiatement été enthousiaste. Il fallait que ça fonctionne ! Les premières séances avec le casque sont difficiles. La sensation de froid est extrêmement saisissante. Ça vous envahit totalement. Certains patients parlent de maux de tête, mais en ce qui me concerne, je n’ai pas trouvé ça douloureux. Au fil des séances, ma sensibilité au froid a diminué. Ma chimiothérapie est connue pour être extrêmement agressive pour le cuir chevelu, mais grâce au casque, et au soin avec lequel je manipulais mes cheveux au quotidien, je ne les ai pas tous perdus. Ainsi, je n’ai pas eu besoin de mettre de turban, ni de perruque. Un simple bandeau acheté dans une boutique d’accessoires a suffi à habiller le haut de mon crâne dégarni. En ce qui me concerne, le casque a rempli son objectif. Sans faire de miracle, il m’a permis de faire illusion dans ma vie sociale et c’était déjà beaucoup ! »
Pour l’heure, il n’existe aucun moyen d’empêcher totalement la chute. Néanmoins, grâce à cette technologie, il est possible de la réduire. Cette limitation représente déjà une avancée notable car l’impact psychologique positif favorise une meilleure adhésion et acceptation des traitements par les patients.
Crédit photo : L’Hôpital Privé du Confluent
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Luminothérapie à l'Hôpital de jour de la Clinique Saint-Michel d’Aubagne

La Clinique Saint-Michel, située dans les Bouches du Rhône Sud sur la commune d’Aubagne (13 – Ramsay Santé), est un établissement de psychiatrie associant une prise en charge spécifique de soins à visée de réhabilitation, de réadaptation et/ou de réinsertion.
Son hôpital de jour a été pensé comme un établissement moderne avec la mise en place de nouvelles thérapeutiques. C’est dans cet esprit, que le développement d'un projet médical centré autour du bien-être est né : la thérapie par luminothérapie.
La luminothérapie, thérapie non médicamenteuse, a pour objectif de répondre à des besoins émergents de prises en charge de notre société, tels que les troubles de stress post-traumatique, l'anxiété et la dépression, ou encore les troubles du sommeil.
La lumière est indispensable à nos vies, au même titre que l'air que nous respirons ou l'eau que nous buvons. Elle est essentielle à notre organisme, car elle permet de réguler le sommeil, de diminuer le stress et de refaire le plein d’énergie. Malheureusement, aujourd’hui nos modes de vie nous en tiennent de plus en plus souvent éloigné, ce qui entraîne des carences.
Dans un premier temps, les patients sont reçus à l'hôpital de jour. Une évaluation diagnostique et thérapeutique est faite et, en fonction des troubles de chaque patient (troubles de l'humeur, troubles anxieux, troubles dépressifs, troubles du sommeil), celui-ci est orienté ou non vers des séances de luminothérapie.
Différents programmes sont proposés. IIs sont choisis en fonction de l'entretien préalable à la séance : certains sont plus énergétiques et vont rebooster, d'autres seront plus apaisants, pour des personnes qui ont des douleurs physiques par exemple. Chaque programme est donc personnalisé.
Une fois installé en salle de luminothérapie, le patient est plongé dans le noir et des motifs lumineux apparaissent sur l'écran. Plusieurs fréquences sont utilisées, notamment visuelles, et des sons vont être retranscrits en vibration kinesthésique dans le fauteuil : c'est une stimulation multisensorielle complète. L’intérêt de cette thérapie est de pouvoir stimuler selon trois voies : visuelle, auditive et kinesthésique, permettant ainsi au patient d'accéder à un niveau de détente élevé.
Un bilan est réalisé. Les retours des patients sont excellents ! On constate fréquemment une amélioration de l’humeur. Pour nombre d’entre eux, le sommeil est de meilleure qualité et le rythme veille-sommeil est beaucoup plus régulier qu'auparavant. Une diminution des traitements médicamenteux, et des hypnotiques est parfois constatée.
Avec l'utilisation de ce dispositif de thérapie intégrative multisensorielle alliant lumière, son et vibrations kinesthésiques, on constate, selon le programme choisi, un bénéfice réel sur la relaxation et/ou l'énergie du patient, qui après plusieurs séances fait part d’un véritable mieux-être.
Crédit photo : Ramsay Santé
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Innovation médicale à la Clinique Louis Pasteur à Essey-lès-Nancy : Traitement de la lombalgie par radiofréquence lombaire sous scanner
C’est au sein de la Clinique Louis Pasteur, Métropole du Grand Nancy, que sont pratiqués depuis quelques semaines en partenariat avec le centre d’imagerie Radiolor, les premiers traitements mini-invasifs en Lorraine, par radiofréquence lombaire sous scanner.
Cette méthode innovante développée par les Dr Guillaume LUX, Dr Jean-Baptiste MEYER et Dr Pierre PADOIN, a été mise au point par l’entreprise Stryker et s’adresse aux patients souffrant de lombalgies. Lors du traitement, le radiologue utilise un générateur de radiofréquence associé à un scanner qui permet de guider le geste avec une haute précision afin de mettre en place les différentes aiguilles dans la zone anatomique exacte.
Ce traitement n’est pas un traitement efficace pour toutes les lombalgies, mais s’applique aux douleurs d’origine postérieure ou zygapophysaire, avec validation de l’indication par l’imagerie et des infiltrations spécifiques.
Le traitement mini-invasif consiste à appliquer un courant de radiofréquence près du nerf douloureux grâce à des aiguilles spécifiques dans lesquelles sont glissées des électrodes délivrant des ondes électriques (400 à 500 Khz). La température est portée et stabilisée à 80°C pendant une minute trente sur les racines nerveuses impliquées dans la douleur, afin de dénaturer et de les empêcher de transmettre la douleur.
Les avantages pour le patient sont un soulagement des douleurs de manière quasi-immédiate, les effets pouvant perdurer jusqu’à deux ans, avec une diminution de la consommation de médicaments et un retour à une activité physique. L’intervention étant réalisée sous anesthésie locale, un retour à la vie normale est possible dès le lendemain.
Pour le radiologue, les atouts sont la précision et la sécurisation du geste, une durée courte du traitement (30 minutes), un traitement innovant pour des patients pour lesquels aucun geste thérapeutique n’était proposé auparavant.
Radiolor s’est développé progressivement et rassemble aujourd’hui plus de 16 sites d’imagerie médicale en Lorraine (Nancy, Metz, Epinal, Lunéville, Pont-à-Mousson, Remiremont), 40 médecins et près de 200 professionnels, manipulateurs et secrétaires.
On retiendra que Louis Pasteur Santé, pôle médical d’excellence au service du patient, présidé par Christophe Baillet, ce sont 350 médecins et 1 300 collaborateurs répartis sur 7 établissements et pôles sur l’ex-région Lorraine :
Clinique Louis Pasteur – Métropole du Grand Nancy
Pôle médical Pasteur-Kléber - Métropole du Grand Nancy
Clinique Jeanne d’Arc - Lunéville
Clinique Ambroise Paré - Thionville
Pôle Santé La Ligne Bleue - Epinal
Clinique François 1er - Saint-Dizier
Clinique Les Elieux - Métropole du Grand Nancy
Plus de 100 000 patients y sont accueillis par an.
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