Tumgik
#et si vous vous demandez ce que j’ai voté
inlovewithaspiderguy · 3 months
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shalomelohim · 3 years
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Sons of Korah Psalm 45 - A noble theme / Les noces du roi
Nous vivons dans un corps de mort, entourés par des pécheurs, dans un monde impie.
Ceux qui vivent pieusement en Yahshua ne peuvent pas vivre dans le bonheur dans une telle condition et les lois votées ne nous seront jamais favorables.
Il est de notre devoir en tant qu’Enfant d’Elohim de nous lever contre cette tyrannie en désobéissant et en nous écartant au maximum de cette société mort vivante.
Quand on fait défiler les news, on se rend compte à quel point la mort a investi le monde et la mentalité de ses habitants.
Si nous contribuons de près ou de loin à ce qui se passe, nous devons en urgence nous présenter devant Père Céleste afin de lui demander ses instructions pour quitter immédiatement, comme ce fût le cas pour moi où le lieu où je travaillais favorisait l’application de ces lois.
En alerte depuis le 1er confinement et voyant les prophéties se réaliser au fur et à mesure des mois, et ne pouvant accepter - car C’EST INACCEPTABLE - ce qui vient, je me suis présentée devant Père Céleste avec ma décision ferme dans mon coeur que JAMAIS je ne l’accepterai et lui ai demandé de me faire partir au temps qu’il aura décidé.
Demandez, cherchez, frappez, c’est ce qu’il faut faire. Insister, persévérer, endurer car c’est dans de tels moments que le Ruah Ha Kodesh agit quand on se positionne fermement et que de fortes oppositions se lèvent.
Ce fut effectivement compliqué, sans détailler.
Et à son “Go”- soit plus d’un an après ma 1ère requête, j’ai immédiatement pris mes dispositions en expliquant les raisons de mon choix, car il nous faut nous mettre au service de Notre Roi en étant dégagé des contraintes de ce monde.
Heureuse de constater que des avocats, hommes et femmes de loi se lèvent pour dénoncer ce qui se passe car le combat doit être mené à la fois sur le plan terrestre et sur le plan spirituel.
N’oublions pas que les événements en cours vont permettre à certains de rallier les rangs de l’Armée d’Elohim.
Le Bonheur nous attend après la mort, quand nous serons dans le Royaume de Dieu avec notre Roi Yahshua qui est NOTRE SEUL MEDIATEUR, NOTRE SEUL AVOCAT auprès de Père Céleste.
Aussi, quelle consolation de lire ces quelques versets :
“ Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés ! “ (Matthieu 5:6)
“ Semez pour la justice, moissonnez pour la bonté, défrichez-vous un champ nouveau ! C'est le moment de rechercher l'Eternel, jusqu'à ce qu'il vienne et déverse pour vous la justice. ” (Osée 10:12) 
“ Voici que les jours viennent, déclare l'Eternel, où je donnerai à David un germe juste. Il régnera avec compétence, il exercera le droit et la justice dans le pays. ” (Jérémie 23:5)
“ Le règne, la domination, et la grandeur de tous les royaumes qui sont sous les cieux, seront donnés au peuple des saints du Très-Haut. Son règne est un règne éternel, et tous les dominateurs le serviront et lui obéiront. “ (Daniel 7:27)
« Celui qui poursuit la justice et la bonté trouve la vie, la justice et la gloire. » (Proverbes 21:21)
Tenons fermes dans la foi frères et soeurs !
La réalité de ce monde n’est pas la vérité d’Elohim pour Son Peuple qui nous protège et nous garde.
Soyez toutes et tous béni(e)s
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♥ ♥ ♥
Psaume 45:1-9
“ Au chef des chantres. Sur les lis. Des fils de Koré. Cantique. Chant d'amour. Des paroles pleines de charme bouillonnent dans mon coeur. Je dis : Mon oeuvre est pour le roi ! Que ma langue soit comme la plume d'un habile écrivain ! Tu es le plus beau des fils de l'homme, La grâce est répandue sur tes lèvres : C'est pourquoi Dieu t'a béni pour toujours. Vaillant guerrier, ceins ton épée au côté, Signe de ta grandeur et de ta majesté : Oui, ta gloire ! Sois vainqueur, monte sur ton char, Défends la VERITE, la douceur et la JUSTICE, Et que ta droite se signale par de merveilleux exploits ! Tes flèches sont aiguës ; Des peuples tomberont sous toi ; Elles perceront le coeur des ennemis du roi. Ton trône, ô Dieu, est éternel ; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'EQUITE. Tu aimes la JUSTICE, et tu hais la méchanceté : C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie, par privilège sur tes collègues. La myrrhe, l'aloès et la cannelle parfument tous tes vêtements ; Dans les palais d'ivoire les instruments à cordes te réjouissent. Des filles de rois sont parmi tes bien-aimées ; La reine est à ta droite, parée d'or d'Ophir. “
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rollingstonemag · 7 years
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/emilia-clarke-interview-rolling-stone-emilia-clarke-mere-des-dragons-et-de-sa-propre-vie/
Emilia Clarke : mère des dragons et de sa propre vie
Comment la série mondialement connue Game of Thrones a fait d’Emilia Clarke une féministe et une icône des temps modernes
Par Alex Morris / Traduit par Louise-Camille Bouttier
Il y a quelques semaines, la reine prenait son thé. « Est-ce que je peux faire très Anglaise et commander un Earl Grey ? » demande Emilia Clarke du fin fond d’un canapé Chesterfield dans une pièce de son hôtel en plein Downton Manhattan. Le jeune serveur est trop content de s’exécuter, même si on ne peut pas déterminer si elle conscient d’être en présence de la Khaleesi, Mère des Dragons et héritière des Sept Royaumes.
Ceci étant dit, après six saisons de Game of Thrones (HBO) – phénomène culturel qui est diffusé dans pas moins de 170 pays, et qui est devenu la série la plus populaire de tous les temps – il est fort possible que le jeune homme ait reconnu l’actrice. Emilia Clarke sourit et se love dans les coussins du canapé. « Je suis nulle quand on me reconnaît », confie-t-elle. « Les gens me disent Salut et je leur réponds en criant… »
La première fois que j’ai rencontré Emilie Clarke, en 2013, l’actrice avait 26 ans et restait relativement méconnue quand elle ne portait pas sa perruque blonde signature de Game of Thrones. Elle n’était d’ailleurs pas prête à s’identifier à son rôle de reine guerrière. A l’époque, la jeune femme semblait toujours stupéfaite d’avoir pu obtenir le rôle, qui était uniquement le troisième rôle de sa carrière. « Je suis malheureusement consciente de la rapidité avec laquelle tout ça peut disparaître, » m’avait-elle dit à l’époque.
Attendez une minute… est-ce que vous vous comportez différemment avec moi parce que j’ai une paire de seins ?
Quatre ans plus tard, Emilia Clarke a sauvegardé ce qui fait son identité – notamment son humour cynique et un enthousiasme à toute épreuve – mais nous sommes très clairement entrés dans une autre cour. Malgré son chignon un peu décoiffé et son jean simple, elle est devenue une sorte d’icône – toujours maîtresse d’elle-même, presque resplendissante, elle ne peut qu’attirer l’attention. En d‘autres mots, elle a acquis une faculté de commandement toute Khaleesi-esque. Après tout, elle a passé la majorité de sa vie d’adulte dans la peau de l’une des images contemporaines les plus fortes de la domination féminine, tout en affirmant sa nudité sur scène comme un acte féministe. Récemment, l’actrice a fêté ses 30 ans (une étape à propos de laquelle elle dit simplement, « Je paniquais juste un peu »). Elle est apparue à plusieurs reprises sur grand écran, notamment une apparition face à Arnold Schwarzenegger dans Terminator Genisys. Comme tout le monde, elle a vécu le Brexit et l’ascension de Donald Trump, ou comme elle l’exprime : « 2016. Cette putain d’année où toute la merde s’est accumulée. » En conclusion, les temps ont changé – pour le meilleur et pour le pire.
« Vous ne pouvez pas attendre des gens qu’ils arrêtent leurs boulots et qu’ils défilent pendant toute leur vie, » dit-elle en évoquant le climat politique versatile. « Mais nous allons devoir subir cette merde pendant longtemps. » Et pour Emilia Clarke, subir « cette merde » signifie être opposée à beaucoup de ce qui se passe dans le monde. Par exemple, son opinion sur le fait d’être l’une des seules femmes sur les plateaux de cinéma. Ou le fait aussi que les femmes aient souvent moins de texte que leurs confrères, même lorsqu’elles jouent le rôle principal. Ou encore que les actrices soient obligées de venir largement en avance pour se faire coiffer et maquiller.
Devinez quoi ? Oui, je porte du mascara et j’ai aussi un QI élevé. Ces deux choses sont compatibles.
« J’ai l’impression d’être très naïve quand je dis ça, mais c’est comme si j’avais affaire à une forme de racisme. Vous en êtes conscient mais un jour, vous le remarquez vraiment. Comme si vous vous réveilliez un jour en vous disant ‘’Attendez une minute… est-ce que vous vous comportez différemment avec moi parce que j’ai une paire de seins ? Est-ce que c’est vraiment ce qui est en train de se passer ?’’ Ça m’a pris beaucoup de temps avant de réaliser que j’étais traitée différemment. »
Elle reconnaît, bien entendu, que c’est compliqué d’admettre cela alors qu’elle a largement profité de sa, ahem, paire de seins. En 2015, elle a été élue femme la plus sexy du monde par le magazine Esquire (« soudoyé par ma mère » affirme-t-elle) et son rôle dans Game of Thrones a été ponctué de scènes dans lesquelles elle apparaît nue. « Ça ne m’empêche pas d’être féministe », répète-t-elle. « Devinez quoi ? Oui, je porte du mascara et j’ai aussi un QI élevé. Ces deux choses sont compatibles. » Mais il n’est pas aisé d’incarner une femme forte par de tels biais. Ce qui explique pourquoi elle est personnellement ravie de l’évolution de son personnage, une femme partie de rien et qui semble être en pôle position pour remporter le game of thrones. Dans l’Histoire, comme Emilia Clarke s’attache à me le rappeler, « les femmes ont été de grandes dirigeantes. Et le fait que je sois connue pour jouer l’une d’elles ? C’est tellement chouette. Et tous ceux qui pensent qu’une telle représentation n’est pas nécessaire, peuvent simplement jeter un coup d’œil au paysage politique actuel pour se rendre compte qu’on en a besoin. Vraiment. »
Tout ce préambule pour dire qu’Emilia Clarke se glisse désormais dans la peau de son personnage, d’une façon qu’elle n’aurait peu-être même pas envisagé quand la série a commencé. Clarke est née en banlieue de Londres, dans la campagne anglaise douillette. « Vous savez, j’ai grandi à côté d’un ruisseau dans le jardin et entourée de champs. » Elle a suivi son grand frère à St. Edward’s, une école privée d’Oxford où, en tant que fille d’un ingénieur du son (qui a commencé sa carrière en tournée) et d’une cadre supérieure en marketing, elle appartenait clairement à un autre milieu que les enfants qui l’entouraient. « C’était une école chic » explique-t-elle « et nous n’avions pas tant de moyens que ça. » Emilie Clarke était un enfant artistique dans une école qui ne l’était pas tant que ça. « Les gens étaient bons en hockey et voulaient être avocats. Je voulais simplement être l’amie de tout le monde. C’était assez pénible – j’étais toujours à l’écart, quémandant de l’attention ‘’Salut, est-ce que je peux venir ?’’ »
Après avoir obtenu son diplôme, Emilia Clarke postule à la triade des écoles pour les Britanniques rêvant de devenir acteur, et sera finalement refusée de chacune d’entre elles. Elle est devenue serveuse, a économisé de l’argent, est partie sur les routes de l’Asie du sud-est et de l’Inde en sac à dos, et à de nouveau postulé à « une tripotée d’écoles ». Finalement, seul le Drama Centre de Londres l’acceptera, « au dernier carat : j’ai reçu un appel me disant ‘’Cette fille s’est cassé la jambe. La place est libre si vous la voulez’’. »
L’école de théâtre aura été un autre endroit déterminant pour elle. Emilia Clarke n’est jamais la préférée. Elle n’est pas non plus l’ingénue. Elle jouait des rôles de vieilles femmes et de prostituées débraillées. « Ils nous ont épuisé » me dit-elle. « Mais si vous êtes la préférée à l’école, vous êtes foutue par la suite. Ce que je veux dire c’est que vous sortez de l’école et vous vous demandez où est votre poule en or . Alors que si vous n’avez pas eu tous ces bénéfices, vous vous dites simplement que vous allez tout faire pour réussir. » Emilia Clarke s’est pris une année sabbatique, loin de ce milieu. A la fin de cette année, alors qu’elle était sans ressources et désespérée à l’idée de chercher une façon de vivre, Emilia Clarke – 1,58 mètre, plantureuse et brune – reçoit l’appel d’un agent pour l’audition de la grande, longiligne et blonde Daenerys Targaryen. Avant de rencontrer les responsables du casting de HBO, l’actrice s’est tournée vers Google pour faire brièvement connaissance avec les romans de George R.R. Martin.
© Helen Sloan/HBO
Emilia Clarke a réussi, lors de cette audition, à correspondre parfaitement aux critères qu’HBO recherchait : elle avait la vulnérabilité de quelqu’un qui n’a jamais été le favori mais également la force d’une jeune femme ayant vécu aux côtés d’une mère qui a réussi à se forger une carrière à responsabilité en partant d’un poste de secrétariat. « J’ai eu tellement de chance de grandir aux côtés d’une mère qui a pu me montrer l’exemple. Les difficultés de la vie ne m’ont jamais été occultées. »
Tout ceci explique pourquoi l’année 2016 aura été une année de merde pour Emilia Clarke. Le 10 juillet, son père – dont le travail en coulisses avait introduit sa fille à la comédie – est décédé d’un cancer. Emilia Clarke tournait un film dans le Kentucky et ne pouvait pas rentrer chez elle pour l’accompagner durant ses derniers jours. Quand les choses se sont empirées, elle a terminé le film en question plus tôt que prévu mais n’est arrivée à l’aéroport de Londres que pour apprendre qu’elle l’avait manqué de peu. « Je pense vraiment que je suis toujours en état de choc. C’est sans commune mesure. On voit tous ces livres sur le deuil, mais il n’y a tout de même pas de guide. Pour vous dire ‘’Oh, mardi vous ressentirez ça, mais jeudi vous en serez là. ‘’ »
Trois semaines après le décès de son père, Emilia Clarke a commencé le tournage de la septième saison de Game of Thrones. Quelques semaines avant, le Brexit avait été voté. « Le monde me semblait bien plus effrayant maintenant que mon père n’était plus là. Et le fait que ces deux événements surviennent de façon aussi rapprochée m’a rendue malade et m’a fait réévaluer qui je suis vraiment. J’ai besoin d’avoir vraiment confiance, et il faut aussi que j’assume les choix que je fais. »
Des choix, parmi lesquels son comportement sur le plateau. L’approche du monde à-la-Emilia-Clarke consiste en un auto-dénigrement empreint de légèreté. « Quand on passe sa journée à débattre de la politique de King’s landing, c’est très important de ne pas oublier de faire la danse des canards entre les scènes » explique Peter Dinklage, en évoquant la capacité de l’actrice à faire le pitre.
But did the three eyed Raven see THIS?!! #tbt Conquering night shoots one 2pac Classic at a time.. 💪🏻 #ifwehaddothrakiinthe90syouknowitwouldvemadeitswaytobiggy #dontbefooledbythebluehairnetdiskhalessimeanbusiness… 👊
Une publication partagée par @emilia_clarke le 30 Mai 2016 à 7h43 PDT
Au fil de la série, la vulnérabilité d’Emilia Clarke s’est réduite, tandis que le pouvoir de Khaleesi s’est étendu. « Vous ne pouvez pas devenir la mère des dragons sans changer un peu, » dit-elle. « Etre capable d’éprouver de la compassion et de comprendre les femmes qui peuvent mener des armées et organiser des sociétés entières me permet, en tant qu’actrice, d’acquérir une vraie posture. » Des changements qui ont été mis à rude épreuve sur le tournage, lorsqu’un détail lui rappelait son père et lui « coupait [littéralement] le souffle ». « Vous sous-estimez l’énormité de votre peine. Je ne pensais pas que ressentir ces émotions était seulement possible. » Dans ces moments, Emilia Clarke rassemblait ses forces et essayait de contrôler ses émotions. « Je me disais ‘’Je ne vous ferai pas voir mes pleurs. Cela n’arrivera pas’’ »
Pour Emilia Clarke, l’histoire de Khaleesi est sur le point d’arriver à sa fin. L’année prochaine – on ne sait pas encore quand – l’épisode final de Game of Thrones va être diffusé et le rôle qu’elle aura joué pendant presque dix ans, le rôle qui « a sauvé mes fesses de tellement de façon – qui m’a donné un coup de pied aux fesses » va se terminer. « Je vais certainement connaître un changement dans mon identité » dit-elle, résignée. « Et je pense que je vais enfin appréhender ces sept années lorsque tout sera terminé. »
« Cette nouvelle saison est très intéressante : certains scénarios ont été clôturés, il y aura des points de l’intrigue très satisfaisants, des choses que vous aurez oubliées reviendront… Des rumeurs vont être confirmées, d’autres niées. » Mais l’intrigue de Khaleesi va de toute façon continuer jusqu’à la fin de la série. « Sans aucun doute, il y aura des prequels et des sequels et dieu seul sait quoi d’autre. Mais je fais une saison supplémentaire. Et ensuite j’en aurai terminé. »
Après cette huitième et dernière saison, Emilia Clarke aura une liberté nouvelle, une liberté qu’elle n’a pas eu depuis l’âge de 23 ans. Les sept mois (environ) qu’elle passe chaque année à se lever à 3 heures du matin pour se faire coiffer et maquiller, à vivre des journées de 18 heures lors desquelles elle prétend monter un dragon ou diriger une armée ou marcher nue dans un feu, vont soudainement lui appartenir à nouveau. Cette pensée est à la fois intimidante et enthousiasmante. « Penser à cela m’émeut. C’est la chose qui m’a le plus changée et m’a permis de devenir adulte. »
Mais la liberté n’est pas encore pour tout de suite. Quand elle retournera à Londres, dans quelques jours, ce sera pour tourner dans le prequel de Star Wars consacré à Han Solo, dans lequel elle jouerait une nouvelle fois une femme de caractère. « Tout ce que je peux dire, c’est qu’elle est vraiment géniale, » m’indique Emilia Clarke. « C’est vraiment tout ce que je peux dire actuellement. Si je prononce un mot de plus, un stormtrooper va venir, avec son pistolet, d’une seconde à l’autre. »
© Lucasfilm Ltd. & ™, All Rights Reserved.
Après Star Wars, le rêve ultime d’Emilia Clarke serait de fonder une organisation qui corrigerait les erreurs dont elle a été témoin. « J’aimerais créer une entreprise de production qui embaucherait des femmes formidables. » L’une de celles où la mode serait de dire « Ouais, j’ai une paire de seins et est-ce qu’ils ne sont pas charmants ? Ne sont-ils pas formidables ? Vous aussi vous en avez. Et ils sont cools, donc bienvenue au club ! ». En parallèle, elle nous explique qu’elle est en train de travailler sur sa culture générale. « J’ai soudainement ressenti le besoin d’apprendre de nouvelles choses. J’écoute quotidiennement des podcasts. J’ai besoin d’information. Je me dis que je veux apprendre autant de choses que possible. » Ce qui signifie que tout ce que Khaleesi a donné à Clarke est en train d’être assimilé. « Khaleesi a quelque chose de génial cette année, si vous voyez ce que je veux dire. Quelque chose de nouveau se passe chez elle. »
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songedunenuitdete · 5 years
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Bonjour, nous nous retrouvons aujourd’hui pour un nouveau Jeudi Citation ! Dernièrement on a parlé de ma passion pour les loups-garous, aujourd’hui, on passe vers la concurrence : Les vampires….
Ces chères créatures froides et sanguinaires, plaisent à beaucoup de lecteurs et lectrices ! Alors saurez-vous retrouver de quel livre provient la citation que j’ai choisie pour ce nouveau quizz !!
Avant cela, passons aux résultats de la semaine dernière, si vous aviez voté pour “Marked men, T1: Rule” de Jay Crownover, et bien félicitations aux gagnants !  Et oui, finalement Rule, peut dire des choses romantiques… *Soupir*
Allez mordus ou non des vampires, place à la citation ! (C’est facile, j’ai laissé un indice 😉 c’est cadeau) 
Comme je n’étais pas vraiment d’humeur à me livrer à une introspection, j’évitai de m’interroger sur les motifs pour lesquels je me sentais plus en confiance avec un vampire qu’avec la plupart des humains. Au lieu de m’attarder sur ce mystère, je m’intéressai à celui de la moustiquaire.
— Les Sanguinati ont des problèmes avec les moustiques ?
— Vous vous demandez si les petits suceurs de sang mangent les gros ?
À en juger par le rire de mon avocat, si j’échouais à gagner ma vie avec le Patchwork, je pourrais toujours présenter un numéro comique dans un bar vampire.
Take Our Survey
Bonne journée et à bientôt pour les résultats et pour un nouveau Jeudi Citation ! 
[Bookyneuse] Bonjour, un nouveau Jeudi Citation 2019 #42 - Une petite morsure, ça vous dit ? Allez venez jouer avec les songeuses ! Bonjour, nous nous retrouvons aujourd'hui pour un nouveau Jeudi Citation ! Dernièrement on a parlé de ma passion pour les loups-garous, aujourd'hui, on passe vers la concurrence : …
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utopiedujour · 5 years
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Trump : une transnationale fasciste, le 20 juillet 2019 – Retranscription
Retranscription de Trump : une transnationale fasciste, le 20 juillet 2019. Ouvert aux commentaires.
Bonjour, nous sommes le samedi 20 juillet 2019 et vous savez, je parle parfois du marketing et vous savez que je n’ai pas beaucoup de respect pour les gens qui font du marketing parce que je les ai connus dans les entreprises et ce sont des gens qui, en général, n’ont pas de connaissance technique des problèmes.
Je vous ai raconté déjà cette histoire où je me trouve dans une banque. Je suis invité par les gens du marketing et on me dit : « Est-ce qu’on pourrait faire un prêt où on pourrait, comme ça, du jour au lendemain, passer d’un prêt à taux fixe à un prêt à taux flottant ou l’inverse ? ». J’ai dit que j’allais regarder s’il n’y avait pas une solution analytique. Une « solution analytique », ils n’ont pas la moindre idée de quoi ça parle parce que c’est des mathématiques. Cela veut dire : est-ce qu’il y a une formule que l’on peut trouver facilement qui transforme l’un en l’autre. Ils se regardent et je dis : « La première chose à faire est de voir s’il y a moyen de le faire ». Là aussi, ils se regardent avec consternation et je dis : « Il faut d’abord savoir si on peut faire ce que vous demandez ». Ils disent : « Ce n’est pas possible ? ». Je dis : « Pourquoi ce n’est pas possible ? » et la réponse est : « Parce que les dépliants, les brochures, sont déjà imprimés ». Voilà.
Si j’avais quelques notions de marketing – et cet incident que je viens de vous raconter ne m’encourage pas à en avoir – je ne ferais pas une vidéo maintenant, un samedi matin, parce que vous les regardez beaucoup moins. Ça passe sur le week-end et le lundi, vous avez autre chose à faire et, d’autre part, je n’annoncerais pas du tout que je veux parler de M. Trump parce que mes vidéos où je parle de Trump, vous les regardez beaucoup moins que les autres et là, vous avez tort. Vous avez vraiment tort et je veux vous le faire entendre, ne serait-ce que par le titre que je vais donner à cet exposé, c’est : « Trump : une transnationale fasciste ».
Vous savez que les mots comme « fasciste », les trucs comme ça, moi, je n’emploie pas ça dans toutes les phrases. Je n’appelle pas tous les gens qui ne sont pas d’accord avec moi « fascistes ». J’emploie ça comme un terme proprement technique.
Ces jours-ci, j’ai reçu les premières épreuves du premier volume, parce qu’il y en a déjà 3 qui sont prêts, sur Trump. Quand je regarde ça, je vois qu’en 2015, quand il n’est encore que candidat, je dis « un proto-fasciste ». Pourquoi ? Parce que j’ai déjà repéré le personnage parce que j’ai déjà bien regardé qui il était et je dis « proto-fasciste ». On est 4 ans plus tard. On peut enlever le proto. Le type s’est complètement dévoilé et, surtout, si vous suivez l’actualité, surtout les jours derniers.
Parce que, qu’est-ce qui apparaît surtout, c’est que ce type ne croit pas une seconde à la démocratie. C’est un croisé contre l’Islam, on l’a compris. Les 4 dames que l’on appelle « colored » en américain, parce que l’on regroupe dans la même catégorie aux Etats-Unis quelqu’un qui est Palestinien, quelqu’un qui est un descendant d’esclave amené de force aux Etats-Unis, une réfugiée somalienne, une Portoricaine -parce qu’elle parle espagnol, tout cela tombe dans la même catégorie de « non-blanc ».
C’est-à-dire que cette catégorie de « non-blanc » existe dans la société américaine depuis très très longtemps. Il ne faut pas être nécessairement un membre ou un sympathisant du Ku Klux Klan comme M. Trump, comme son père qui allait dans les émeutes du Ku Klux Klan à New York et le grand-père, on ne sait pas mais, en tant que tenant de bordel, ce n’est pas impossible non plus qu’il avait quelques sympathies de ce côté-là.
Cette catégorie de « non-blanc », on met absolument tout le monde qui n’a pas l’air laiteux sur son visage, elle est là, dans cette société, il y a ça en latence.
Et donc, ce monsieur, lui, se révèle de plus en plus comme un suprémaciste. Quand je regarde mon manuscrit, qui va de 2015 à avril 2018, le grand tournant, bien entendu, c’est 2017. C’est l’émeute à Charlottesville où un manifestant néo-nazi prend sa bagnole et se lance dans la foule. Il y aura une morte, c’est Heather Heyer dont c’était l’anniversaire de la mort tout récemment.
À ce moment-là, vous le savez, Trump dit à propos des néo-Nazis et des contre-manifestants : « Il y a des gens bien des deux côtés ! ». Vous vous souvenez de cela. Immédiatement, le tollé. Tous les gens qui sont dans les organismes consultatifs qu’il a mis en place – cela fait un peu plus de 6 mois qu’il est Président – démissionnent. Il est obligé de saborder ces trucs-là. Un certain nombre de généraux – je crois qu’il y en a 8 ou 9 – font des déclarations en disant : « Ce n’est pas ça l’esprit des Etats-Unis ».
D’une certaine manière, on s’habitue. Il n’y a plus de grande déclaration des généraux. Quand M. Trump, très satisfait de lui-même – il faut voir son visage, il est aux anges, il est au 7ème ciel – quand la foule derrière lui, à propos d’une députée somalienne d’origine, musulmane (elle porte un turban sur les cheveux), quand la foule qui vient à ces meetings scande : « Renvoyez-là chez elle, renvoyez-là chez elle ! », une femme qui est députée dans un pays où cette manière pour les blancs racistes suprémacistes identitaires de dire que les autres sont des immigrés alors que, oui, pourquoi ? Il faut voir les déclarations à l’époque : « Dieu nous a offert, à nous les blancs, ce continent ! ».
On n’attache pas la moindre importance au fait qu’il y avait des gens qui étaient déjà là. Non, c’est un cadeau de Dieu ! Quand il est écrit sur la pièce de monnaie « In God we trust », il y a cette conviction : « Dieu a donné à nous, les Blancs, ce continent supplémentaire ! » : il a pris des Blancs particulièrement élus pour les envoyer là. Les autres, ce sont les descendants d’esclaves et il y a eu un petit accident qui fait qu’il n’y a plus d’esclavagisme mais enfin bon, on ne va pas s’attarder sur des choses qui sont aussi accessoires. Vous le savez. On avait promis « une mule et 40 arpents [acres] » à tous les esclaves libérés. Ils ne les ont jamais eus. On leur a permis de devenir métayers avec un rapport de force tout à fait défavorable bien entendu, sur de grandes plantations. La vie quotidienne n’a pas changé énormément. Il y a eu tout de suite une sorte de restauration dans le Sud, dans un « esprit d’apaisement » n’est-ce pas. Les gens du nord ont dit voilà au point que les gens du sud ont immédiatement construit des monuments, de grandes statues équestres à leurs généraux ayant perdu la guerre.
Où est-ce que j’en étais ? M. Trump. Les Démocrates sont là à se gratter la tête depuis un certain temps : « Pourquoi est-ce qu’il n’essaye pas d’étendre sa base ? Pourquoi est-ce qu’il n’essaye pas d’avoir plus de gens derrière lui ? Pourquoi est-ce qu’il fait simplement des courbettes à sa base qui ne représente que 35 à 40 % des gens ? » 35 à 40 %, c’est déjà pas mal n’est-ce pas ? « Pourquoi est-ce qu’il n’essaye pas d’avoir, comme un président normal, plus de gens qui se rallient derrière lui ? »
Parce que c’est un séditieux messieurs-dames, il n’a pas besoin du reste. Souvenez-vous de ce qu’il avait dit juste avant les élections qui l’ont fait président. On lui avait demandé : « Est-ce que vous reconnaîtrez le résultat des élections si vous perdez ? ». Il a dit « Non, c’est qu’on aura triché ! ». Il dira la même chose la prochaine fois si on le laisse aller jusque-là. Il dira la même chose.
Vous le savez, il y a une différence entre ses partisans et les autres. Les autres sont plus nombreux mais ses partisans à lui, vous le savez bien, ce sont des gens sur-armés. Ce sont des gens sur-armés.
Je regarde ce manuscrit du 1er volume que je suis en train de relire. Il y a une organisation. C’est Move On si j’ai bon souvenir qui a dit : « Si on révoque M. Mueller, il faut que l’on se rassemble tous à tel et tel endroit ». Ils seraient allés là, à tous ces endroits-là. Ces endroits étaient indiqués. Ils auraient été très nombreux mais les autres avaient des kalachnikovs ou l’équivalent américain. Quand Mme Pelosi dit : « Mais tout ça va se régler par les tribunaux, il ne faut pas se presser, il ne faut pas essayer de faire un impeachment, etc. ». Si j’avais un conseil à donner aux Etats-Unis, aux Américains, je dirais que l’un n’empêche pas l’autre. On peut lancer une procédure d’impeachment et lancer les institutions dans le processus dont M. Mueller a laissé entendre, et il va encore le répéter dans quelques jours, le 24, que « Il a fait son rapport pour que l’on puisse lancer la procédure d’impeachment« . Mme Pelosi : « Non, tout cela va se régler devant les tribunaux, avec les trucs que M. Mueller a lancés ». Ça n’empêche pas du tout qu’on lance la procédure d’empêchement, de destitution du président.
Il y a eu un vote l’autre jour. On a dit : « Regardez, ceux qui vont proposer l’impeachment : ils n’ont eu que 95 gens qui ont voté, sur  un total de 400 quelque chose [435]. 95 personnes, tous des Démocrates, qui ont voté sur la proposition suivante : « Il faut destituer M. Trump non pas parce qu’il a fait collusion avec la Russie, non pas parce qu’il a fait obstruction, entrave à la justice, sur ceci ou cela, mais parce qu’il est indigne d’être président ».
95 quand même, presque un quart, sur simplement dire « Ce type est indigne » [mise à jour, le 2 août : 118 ; soit désormais plus de la moitié des Démocrates].
Il y a des commentateurs qui ont dit : « C’est un avertissement au Parti démocrate :  ça veut dire que, s’il y avait des raisons qui étaient données en plus, il y en aurait beaucoup plus ». La dernière fois que l’on a parlé d’impeachment, c’était 52 Démocrates qui étaient prêts à lancer la procédure.
Pourquoi est-ce que les Démocrates traînent les pieds de cette manière-là ? Si vous lisez ce premier volume quand il sortira, je ne sais pas, ce premier tome, « Un objet populiste mal identifié », en septembre ou en octobre, vous verrez. Tout était là. Mes analyses, ça ne se voit plus. Elles avaient 2-3 ans d’avance sur celles des commentateurs américains. C’est quoi ? C’est l’esprit de Munich : « Il va peut-être changer… Il va peut-être comprendre comment ça marche… Il va peut-être s’habituer… »
Encore hier ou avant-hier, quand il est là, tout satisfait devant sa foule qui hurle de renvoyer les gens qui ne sont pas blancs ailleurs, on dit : « Regardez sa fille, Ivanka – tout le monde sait que c’est une Démocrate – elle l’a obligé à dire 5 minutes plus tard qu’en fait, ce n’est pas ça qu’il voulait dire, qu’en fait, il avait essayer de faire taire la foule ». Il y a une station de télé qui a minuté combien de temps il réagit à ce que la foule qui crie « Renvoyez-les chez eux ! ». Est-ce qu’il l’a interrompue tout de suite ? Pendant 13 secondes, il est là aux anges, il est là au 7ème ciel parce qu’il a ses fascistes derrière lui qui sont en train de gueuler.
Pourquoi est-ce qu’il n’étend pas sa base ? Il s’en fout. C’est un séditieux. Il n’a pas besoin de plus de 35 à 40 %. Le jour où il perdra des élections, il dira : « C’est parce qu’ils ont triché. D’ailleurs, mon copain Poutine est d’accord avec moi et Mme Le Pen aussi est d’accord avec moi ». Je vais vous remettre cette photo de ce splendide tableau dans le style réalisme socialiste qui n’a rien à voir avec le socialisme mais c’est comme cela qu’on l’appelait pour la peinture académique du régime communiste russe, où on voit – si vous ne l’avez pas vu il y a 3 ou 4 ans, quand j’ai montré ça, non il y a 2 ans – regardant vers l’avenir, le regard fier, M. Poutine, M. Trump et Mme Le Pen. Splendide tableau, grande contribution à l’art pictural, à l’art de la peinture.
C’est une internationale. C’est une internationale fasciste. Il n’a pas besoin d’avoir plus que 35 à 40 %. Il est déjà d’accord avec Poutine. Il est déjà d’accord avec Mme Le Pen. Il est déjà d’accord avec M. Salvini, avec M. Orban et ainsi de suite. C’est une internationale. Ils se tiennent les coudes, vous le savez. Qui est-ce qui a organisé ça ? Son copain Steve Bannon qui est toujours là. Il a renvoyé Steve Bannon. Tout le monde a dit : « Ils continuent à se téléphoner ».
Steve Bannon, c’est le type aussi qui avait mis en place Cambridge Analytica, l’officine pour tricher dans les élections, pour cibler les électeurs susceptibles de changer de camp. Tout ça est très au point. On a ça. Regardez mes vidéos sur Trump s’il vous plait, ça nous touche de tout près. C’est une internationale. C’est une transnationale. C’est une transnationale fasciste. Le mot est le mot qui convient. C’est exactement ça. C’est les Aryens contre les autres. C’est les Blancs contre les autres. Les Blancs on peut dire « chrétiens », quoi que ça n’ait pas grand-chose à voir avec le christianisme. C’est les Blancs contre les autres.
Vous le savez, avec Hitler, c’était encore un peu plus compliqué. J’avais un oncle qui a été envoyé dans un camp de prisonniers en 40 ou 41, je ne sais plus. Parce qu’il était interne des hôpitaux : c’était un tout jeune médecin. Il m’a dit un truc et je le répète quand ça vient dans la conversation. Je peux vous le dire à vous. Il a dit : « Dans le camp où j’étais, il y avait encore parfois des médicaments pour les Juifs mais il n’y avait pas de médicament pour les Russes : les Russes, c’était encore un cran en-dessous ». C’est comme ça.
Dans le cas d’Hitler, il y avait encore des classifications plus subtiles que juste les Blancs. Si vous regardez, si vous vous intéressez à des choses aussi pointues que la correspondance entre Nietzsche et Cosima Wagner, et Wagner lui-même, Richard Wagner. Cosima Wagner, c’était la fille de Franz Liszt qui a été toute sa vie la maîtresse de Wagner en étant encore la femme de quelqu’un d’autre. Tous ces gens, ce sont donc les grands théoriciens de l’antisémitisme. Ils parlent d’un ami à Nietzsche entre eux en disant : « C’est pas un Juif mais il ne vaut guerre mieux parce que c’est un Slave ». C’est comme ça que ces gens raisonnent. Il y a des catégories de plus en plus proches. On élimine facilement les Arabes, les Juifs, les Tziganes… Mais à l’intérieur des Blancs, on fait encore des catégories s’il faut faire les choses d’un point de vue survivaliste. Les Russes n’ont pas oublié d’ailleurs. Vous savez, c’est eux qui ont pris Berlin.
Enfin bon, je m’égare un peu dans des digressions. C’est une transnationale fasciste. Ça nous concerne aussi. C’est pas parce que c’est en Amérique, c’est pas parce que c’est Trump. C’est pas un rigolo. C’est un séditieux. Il pr��pare son truc. C’est très clair pourquoi il n’a pas besoin de plus de 35 à 40 % des gens derrière lui. Il les chauffe à blanc, c’est tout. Et ce sont des gens surarmés. Dans une guerre civile, je ne donne pas cher des autres même s’ils sont beaucoup plus nombreux. Et ils ne sont même pas beaucoup plus nombreux à 60 à 65 %. Ils ne sont pas tellement plus nombreux que les autres.
La difficulté serait évidemment quand même que les trumpistes sont dans les campagnes et les anti-trumpistes dans les villes. Ça, c’est quand même un peu plus compliqué parce qu’il y a beaucoup de gens dans les villes et très peu de gens dans les campagnes. Ils sont très dispersés. Pour faire venir dans une même manifestation des gens d’Alabama et du Nebraska, ce n’est pas évident quand même. C’est un très très grand pays. Quand on essaye de le traverser en bagnole sans rouler toute la nuit, c’est quand même 10 jours, je vous le rappelle. C’est long. C’est grand.
Alors, moi, ça me fait plaisir de voir que 2-3 ans plus tard, les journalistes américains, les commentateurs commencent à faire des commentaires comme les miens en 2015 et en 2016 sur M. Trump mais c’est l’esprit de Munich. J’espère qu’ils en sortent, de dire : « Oui, ça va peut-être s’arranger ».
Vous avez vu, ça va paraître aux Editions du Croquant. Je ne vais pas avoir la méchanceté de vous dire tous les autres éditeurs avec qui j’ai discuté de la chose. Est-ce que c’est vraiment, comme ils me l’ont dit, parce qu’un livre sur Trump, ça ne se vendrait pas du tout en France ? C’est possible. Ou est-ce que, chez ces éditeurs, c’est là aussi l’esprit de Munich en disant : « On va pas faire de vagues. On peut le laisser publier des bouquins qui s’appellent Se débarrasser du capitalisme est une question de survie. On peut mettre des bouquins en disant « Livre sur l’extinction » parce que ce n’est pas très sérieux de toute manière. Ça ne mange pas de pain : ce n’est pas demain la veille que l’on se débarrassera du capitalisme ou qu’on lèvera le petit doigt véritablement pour lutter contre l’extinction. Mais dire du mal de Trump, on ne sait jamais, ça peut peut-être vous jouer un tour un jour ou l’autre. Il vaut mieux voir si on ne peut pas se mettre d’accord avec ce gars, etc. » Ceux qui ont voulu voir si on ne pouvait pas se mettre d’accord avec un gars comme Hitler, ils ne sont pas là pour le dire d’abord parce qu’ils seraient très très vieux mais, surtout, parce qu’ils auraient disparu très prématurément.
Voilà une petite vidéo qui s’appelle « Trump : une transnationale fasciste. » J’espère que vous la regarderez quand même. Ça nous touche nous ici aussi. Ce n’est pas une affaire qui concerne uniquement les autres.
À bientôt !
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