#Plaisir des mots
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ᴛᴏɪ єᴛ ຕᴏɪ
ᴊє ᴛ'αɪ яєηᴄᴏηᴛяє́ ɗαηѕ ᴜηє ᴘєηѕє́є, ᴊє ᴛє яєᴛяᴏᴜᴠє ᴛᴏᴜѕ Ɩєѕ ᴊᴏᴜяѕ αᴜ яє́ᴠєɪƖ, ᴛα Ɩᴜຕɪє̀яє єѕᴛ αᴜѕѕɪ Ɩα ຕɪєηηє ɗαηѕ ᴄє яєɢαяɗ ᴏᴜ̀ ѕєᴜƖѕ ᴛᴏɪ єᴛ ຕᴏɪ ᴘᴏᴜᴠᴏηѕ ғαɪяє Ɩ'αຕᴏᴜя
ʙу ©️Ɩຕ®️
#mon vrai amour c’est toi#nature#sunset lover#mon soleil#ma vie d’amour#ma vie#vivre avec la nature#vivre avec toi#mots d’amour#mots de tendresse#je te laisserai des mots#mots de mous deux#je taime géraldine#vivre sa vie#l amour avec un grand a#rhytme d’amour#plaisir#love sunset#sunset
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Cherchez l'intru ....
Le chemin le plus court du plaisir au bonheur passe par la tendresse Si la tendresse se dit parfois avec des mots, elle s’exprime et se partage avec des regards, avec des attentions, avec des gestes, avec des actes ou avec des silences ... Bonne soirée complice
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j'y repense là mais imaginez :
> guenièvre qui a gardé les lettres d'amour de kolaig
> arthur tombe sur ces lettres, il est jaloux, il se met lui aussi à écrire des petits mots ou des lettres pour faire plaisir à guenièvre
> ils se rapprochent, se font mutuellement confiance, guenièvre se confie sur ses dix ans emprisonnée dans sa tour, les traumas liés à lancelot etc, arthur s'en veut mais dit rien
> nouvelle table ronde, guenièvre a le droit d'être là, tout le monde est présent y compris horsa
> en pleine séance, il fout la merde en sortant de sa manche la tablette signée de la main d'arthur qui donne les pleins pouvoirs à lancelot et le nomme régent
> personne y croit, léodagan regarde le truc comme si n'importe qui avait pu écrire ça
> guenièvre demande à voir la tablette
> elle reconnaît l'écriture d'arthur
> arthur se chie dessus
> guenièvre lui jette la tablette à la gueule
> larmes
> panique
> hurlements
> ruines
> fin d'un monde
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Ces choses positives dans le rpg.
Parce que bon, on a souvent besoin de faire des rappels, pas les plus joyeux. Voici ma petite liste posée et positive du dimanche. Si vous voulez la compléter, amusez-vous !
Les gens qui reblog et partagent, juste pour le plaisir, nos recherches/demandes/appel à l'aide.
Les petits mots par MP/ask qui pop de temps en temps juste pour complimenter le boulot.
S'extasier mutuellement quand on voit qu'un PL de notre part est tenté, même si ça nous concerne pas du tout. Être juste ultra hypé-e pour l'autre.
Le fait que, malgré le temps que ça prend, y a toujours des gens qui prennent leurs cuillères pour poster des mots complètement dingues sur les fiches de présentation. (Si t'as pas les cuillères pour, c'est ok aussi)
Les délires inattendus qui débouchent parfois sur des RP épiques.
Le fait que, comparé à mon expérience passée, je vois de plus en plus de bienveillance et de compréhension. Les gens voient de plus en plus, enfin, qu'on est tous-toutes humain-e-s derrière nos écrans. (Pour rappel je suis une 'vieille' dans la commu, j'ai donc vu des comportements banalisés qui aujourd'hui ne passent PLUS du tout.)
Créer des trames dingues et voir l'évolution que ça prend, sans même qu'on s'y attende, et réaliser que sans ce-tte part' là, peut-être bien que notre perso n'aurait pas pu être aussi bien exploité.
Et TELLEMENT d'autres trucs auxquels je pense pas forcément, là, tout de suite.
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Il y a une partie de toi qui doit savoir parler et une autre qui doit savoir écouter. Ce que tu dis n'arrive pas toujours là où il veut en venir et pas toujours ce que tu écoutes te procure du plaisir. Tu restes, cependant, toi-même au-delà du jugement que procurent tes mots et des réponses qui arrivent à ton âme. Continue de parler avec ton coeur et d'écouter ce qui vient du coeur de ceux que tu rencontres.
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J’aime choisir les heures où je sais que tu seras complètement disponible pour recevoir mon appel.
Peut-être qu’avec quelques allusions, je trouverais le moyen de te procurer quelques instants de plaisir.
Des mots que j’aurais l’envie de prononcer et qui feront mouche.
L’éloignement est toujours difficile, mais nous devons le rendre agréable et supportable.
Je te rêve, je te fantasme, je te désire, et ta voix ne fait qu’augmenter ce désir de toi, ton corps, ton parfum.
Viens, parle-moi, écoute-moi, entre en moi, je suis toi, tu es moi, nous sommes…
Il va être l’heure, ton téléphone va sonner…
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If Logan Howlett/Wolverine was your partner english version here
notes : GN!reader + des passages ajustés pour AFAB/AMAB (assigned female at birth/assigned male at birth)
⚠︎ warnings : caractères sexuels (oral, fluff), guerre, violence, insécurités, jalousie, alcool, cigare
2 161 mots
Global
l'odeur est très importante pour lui, il n'aime pas quand tu changes de shampoing ou de crème pour visage, et il fait toujours la tête pendant plusieurs jours à cause de ça.
dans le même thème, s'il sent son odeur sur toi, il devient un peu bestial, grognant dans ton cou et mordant ta peau. Je t'assure que tu ne sortiras pas de la chambre pendant plusieurs heures.
il est très jaloux, même s'il ne le montre pas forcément. Il est plutôt du genre à tout intérioriser, se disant qu'il ne devrait pas penser ainsi, jusqu'à ce que ça explose et qu'il mette au sol le type qui te faisait rire.
par ailleurs, il te laisse te défendre par toi-même, il n'intervient que lorsqu'il sent que tu en as besoin, ou que tu lui demandes.
de même, à la maison lorsque tu as un projet en tête, comme un meuble à monter ou un mur à repeindre, il te demandera si tu veux de l'aide mais si tu refuses, il n'insistera pas. Il sera par contre toujours dans la même pièce, pour rattraper un cadre qui tombe ou juste t'observer.
il est fier de toi, et il te le dit souvent. Lorsque tu finis un projet, c'est toujours le premier à te prendre dans les bras et te dire comme il est fier.
quelquefois tu penses qu'il n'a pas une bonne mémoire, parce qu'il oublie que vous aviez un rendez-vous chez des amis ou bien qu'il ne reste plus de lait au frigidaire. Mais lorsqu'il s'agit de toi, il se souvient de tout. Souvent c'est même lui qui te rappelle ta soirée jeu de société avec Ororo ou même tes rendez-vous médicaux. Donc, il n'a pas une mauvaise mémoire, il retient juste ce qui est important à ses yeux.
il adorerait pouvoir s'endormir sur toi, mais son poids ne le permet pas à cause de l'adamantium qui le rend trop lourd. Tu essaies alors toujours de le câliner sur le côté en le serrant fort contre toi, et tu sais qu'il adore tout autant ça que toi.
vous faites beaucoup de blagues tous les deux, la plupart du temps les gens ne comprennent pas pourquoi vous riez et ça vous va très bien, c'est entre vous.
tu adores passer tes journées avec lui, mais il te pousse parfois à sortir avec tes amis parce qu'il ne veut pas que tu t'isoles à cause de lui. Mais tu trouves toujours le moyen de rapporter un petit quelque chose qui lui appartient avec toi, comme un foulard, un collier ou une veste ou un suçon.
il a mis du temps pour se livrer, beaucoup de temps. Mais à présent vous pouvez parler de tout, et au final il est assez bavard.
tu aimes lui donner des surnoms, tu lui en donnes énormément en fait et il se souvient de tous, même les plus futiles.
lui aussi il te donne des surnoms, mais il n'en a que très peu car ils veulent dire beaucoup à vos yeux. Même si bien sûr, "bub" est celui qu'il a le plus utilisé depuis votre toute première rencontre.
il sent beaucoup de choses, avec son odeur mais aussi énormément avec “son instinct” comme tu aimes l’appeler. Bien sûr il sent les catastrophes arriver et ce genre de trucs, mais il sent aussi quand tu as un problème de santé, ou un quelconque changement interne, il le sent. Il sent quand tu es triste, quand tu as mal, quand tu réfléchis trop, quand tu as envie de lui sauter dessus.
il se fout de beaucoup de choses, vraiment beaucoup. Que tu ne te rases pas ? Il s’en fout. Que tu pètes ou rotes ? Il s’en fout. Que tu en mettes partout en mangeant ? Il s'en fout aussi. Une fois, tu étais malade sur une longue période et la douleur était tellement puissante que tu n’avais pas pu te laver pendant quatre jours, et devine quoi ? Il s’en foutait totalement, tout ce qui importait était que tu te sentes mieux le plus vite possible. Il est tellement à l’aise avec ce genre de sujet, qu’il t’aide parfois pour te raser et ça lui fait plaisir en fait, comme ça tu évites de te couper.
vous habitez assez loin de la ville, dans un coin calme et un peu paumé ce qui vous permet d'être tranquilles, sans voisins bruyants ou attentats à chaque coin de rue.
Vie sexuelle
ton plaisir est sa priorité, dans la vie de tous les jours comme sexuelle. Alors il peut passer des heures et des heures à te torturer sans jamais se toucher. En fait, il oublie souvent son propre plaisir tellement il aime te voir crier son nom sous lui. C'est à toi de le plaquer contre le matelas et de le déshabiller la plupart du temps, même s'il te dit qu'il va bien et qu'il peut supporter la douleur. Mais il suffit que tu lui fasses tes doux yeux et que tu glisses une phrase dans le genre "s'il te plait, ça m'excite de te sucer" et il devient aussi chaud que la braise.
en parlant de ça, il adore les fellations mais il ne te demandera jamais de lui en faire une, même si tu sais très bien reconnaître les signes.
FOR AFAB : il te répète tout le temps à quel point il aime la manière dont tu mouilles pour lui à une vitesse impressionnante. Et en fait, il adore rendre cette humidité audible en faisant de grands mouvements avec ses doigts/langue/sexe/jouet, et puis, il aime te voir rougir à cause de ça.
FOR AMAB : il aime beaucoup te titiller jusqu'à ce que ton précum dégoulines sur toute ta longueur, et de même, il adore les bruits que fait ton corps, donc s'il faut accélérer ses mouvements pour que les sons humides soient plus forts, il le fera sans hésitation.
lorsqu'il jouit, il fera tout pour éloigner ses poings de ton corps, parce qu'il a toujours peur de ne pas se contrôler et que ses griffes sortent.
de même, lorsqu'il a un sommeil agité, il se forcera à rester sur le ventre avec les mains sous son oreiller.
il est tout l'inverse de sauvage. Il a déjà passé une heure entière à juste embrasser ton corps et sentir ton parfum. Je veux dire, il est déjà tellement dur et fermé au quotidien, la chambre est le seul endroit où il prend son temps et savoure chaque moment avec toi comme si c'était le dernier.
malgré ça, il arrive que vos parties de jambes en l'air soient plus que mouvementées. Lorsque vous avez passé un long moment séparés physiquement l'un de l'autre, ou qu'un pic de jalousie a fait surface dans la journée.
il est un peu de la vieille époque, il n'a pas des fantasmes farfelus ou tordus, il aime juste être avec toi. Il a carrément de l'expérience, mais il dit toujours n'avoir jamais vraiment aimé le faire en public ou le dirtytalk. Par contre, si c'est toi qui lui propose quelque chose de nouveau, comme un jouet ou une tenue, il sera toujours partant, et avec grand plaisir.
il est très à l'écoute, et parfois il préfère ralentir, voire stopper, parce qu'il sent et voit que tu as quelque chose en tête qui te préoccupe.
de la même manière, il aime savoir ce que tu ressens : il aime te demander si tu apprécies ce qu'il te fait, là où il appuie, la position dans laquelle tu es.
Petites choses du quotidien
il adore lorsque tu t'assois sur lui, que ce soit son torse ou ses hanches ou son visage. S'il y a cinq sièges, le seul et unique où tu auras l'autorisation de t'assoir sera ses genoux.
si tu as besoin d'aide pour tester quelque chose, il est toujours volontaire. Par exemple, lorsque tu vas racheter une crème ou du maquillage, il se retrouve toujours avec une dizaine de produits cosmétiques étalés sur la main et le bras.
lorsque vous faites des courses ou du shopping, il se débrouille toujours pour porter les sacs les plus lourds sans que tu ne t'en rende compte.
il dira toujours oui si tu veux encore aller voir une boutique, même s'il fait nuit et froid. Parfois, c'est même lui qui te propose d'y aller, parce qu'il a vu comme tu regardais la devanture du magasin.
tu le fais souvent rire lorsque tu ressors des objets/musiques/expressions qu'il a connu il y a des dizaines d'années auparavant.
il n'aime pas que tu dises ça mais tu trouves qu'il a vraiment des comportements de chat. Lorsqu'il est contre toi, il se met en boule et cale son visage contre ton ventre. Et tu peux juré avoir entendu une sorte de ronronnement une fois, peut-être qu'il ne s'agissait que d'un grognement, mais c'était de toute façon adorable.
il écoute de vieilles chansons, normal vu son âge, et ça te fait toujours sourire de le voir marmonner des paroles que ton grand-père aurait pu chanter.
tu demandes toujours à goûter ou tester ce qu'il mange/boit, malheureusement pour toi c'est souvent très fort en bouche (alcool, piment, viande).
lorsqu'il achète de nouveaux cigares, tu veux aussi toujours tester, même si tu trouves ça dégoûtant. Mais tu sais que ça lui fait plaisir que tu essaies les choses qu'il aime, même s'il évite de te faire goûter trop souvent de peur que tu te mettes à fumer à cause de lui.
vous avez l'habitude de faire de longues balades en moto, lorsque vous vous sentez un peu dépassé par des évènements ou simplement la vie.
il adore l'hiver, plus que n'importe quelle saison, et il peut passer sa journée dehors à juste regarder la niege tomber.
Vulnérabilité
il fait fréquemment des cauchemars, tous violents et traumatisants. Dans ces cas-là, il quitte le lit et va prendre l'air, parce qu'il ne veut pas que tu le vois en colère ou triste. Mais tu te réveilles toujours, parfois tu le laisses tranquille parce que tu sens qu'il en a besoin, et à d'autres moments tu le prends dans tes bras.
il pleure plus qu'il ne veut l'avouer, souvent à la suite de ses cauchemars justement. Tu sais qu'il n'aime pas ça, et tu as beau lui répéter que c'est beau de pleurer, il ne sera jamais de cet avis pour son cas personnel. Alors tu fais semblant de ne pas voir ses larmes, tu embrasses ses cheveux et le prend contre ton poitrail. Le lendemain, il vient toujours te remercier, avec des mots ou des gestes.
lorsque tu as de mauvais jours, il le sent à des kilomètres et il fait tout pour te faire te sentir à l'aise. Il a même été chercher des chocolats pomme/cannelle dans une autre ville parce que tu l'avais mentionné.
Entourage
il n'a pas de famille, ou du moins pas de liens de sang, mais Charles et toute l'équipe occupent une place importante dans son cœur, même s'il ne le dit pas.
vous allez souvent passer plusieurs semaines d'affilées dans le manoir, tu aimes voir un refuge aussi beau ouvert à tous mutant et Logan a besoin de retourner là-bas parfois, c'est un peu la seule maison qu'il ait jamais eu (à part toi bien sûr).
Charles est très gentil avec toi, il a tout de suite aimé ta personne et il n'a pas manqué de le dire à Logan.
tu t'entends vraiment bien avec Ororo, c'est un peu devenue comme une sœur à tes yeux.
Logan t'avais parlé de ses conflits avec Cyclope et tu as pu le voir de tes propres yeux, ils s'envoient des pics tout le temps.
il t'avais aussi parlé de Jean, et honnêtement, au début tu n'aimais pas vraiment parlé d'elle, tu avais peur qu'il l'aime toujours. Mais tu as vite pris conscience qu'il n'y avait plus rien entre eux, que c'était juste une sorte de très très gros crush mais qu'il t'a rencontré et que maintenant rien ne t'égale, ce sont ses mots.
deux fois, tu as vu Magneto dans le jardin en train de jouer aux échecs avec Charles, mais tu as préféré ne pas t'en mêler, lui non plus Logan ne l'aime pas et apparemment c'est mutuel.
les x-men sont un peu devenus comme une deuxième famille pour toi aussi, ils t'ont tous accueillis les bras grands ouverts et tu les remercies souvent pour ça.
la première fois que Logan t'a amené là-bas, tout le monde vous a regardé avec des yeux de grenouille. Les étudiants avaient du mal à croire que Wolverine était en couple, et pourtant c'est le cas.
Phrases typiquement "Logan"
J'suis fier de toi
Tu as besoin de quelque chose ?
Sur mes genoux bub
ELLE/ELLE READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal toute seule, puisque t'es "une grande fille", mais je veux le faire pour toi
IL/LUI READER : Je sais que tu peux ouvrir ce bocal tout seul, puisque t'es "un grand garçon", mais je veux le faire pour toi
Quelqu'un t'a fais du mal ? Dis-le moi
Film ? Installe toi, je prends les plaids
Chocolat chaud ?
Viens là, viens dans mes bras darl'
SEXUALITÉ
Tu sens ? Dis-moi que tu sens comme tu trembles pour moi
Bordel, regarde toi, putain d'magnifique
Jamais personne n'aura la chance de te voir dans cet état huh ?
Dis-le moi, dis mon nom darling
Putain refais ça, refais ça pour moi
° x-men masterlist
gif : @/asgardswinter
bannière : @/saradika-graphics and @/thecutestgrotto
#logan howlett#wolverine#queer#ftm reader#logan howlett x ftmreader#logan howlett x reader#headcanon#wolverine x ftmreader#gn reader#wolverine x reader#logan howlett hc#xmen headcanon#logan howlett x you#wolverine x you#wolverine x gnreader#logan howlett x gnreader#x men#logan howlett!ew#ew!writings#gn!ew#ew!frenchversion
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Les 6 règles...
Association : Spencer Reid x Lectrice
Résumé : Tu as eu de mauvaises expériences sexuelle dans le passé et alors qu'un soir vous êtes sur le point de coucher ensemble. Vous lui faîtes par des 6 règles à ne jamais franchir...
Avertissements : MINEURS DE 18 ANS ET PLUS DNI, aucune réelle scène de sexe mais évoquation de traumatises dû au sexe. Manque de confiance en soi.
Avant Spencer, vous aviez connu des relations tumultueuses. Tous les hommes avant lui vous avaient blessée, ne cherchant que le plaisir éphémère avant de s'éclipser avec des excuses toutes faites :
"Urgence familiale","Ma copine m'attend",ou encore "Nous deux, c'était juste pour s'amuser, on est d'accord ?"
Mais Spencer était différent. Cela faisait trois mois que vous sortiez ensemble, et il n’avait jamais exigé quoi que ce soit. Au début, vous aviez peur de faire quelque chose de travers. Puis il vous avait expliqué, doucement, qu’il voulait prendre son temps. Avec lui, tout semblait naturel. Vous aviez dansé et ri ensemble sous le regard amusé de Derek, et ce soir-là, en rentrant, Spencer vous avait embrassée et plaquée doucement contre la porte.Ses lèvres avaient exploré votre cou alors qu’il vous guidait vers le canapé. Il s’était allongé au-dessus de vous, ses gestes empreints d’une tendresse que vous n’aviez jamais connue. Mais alors que la passion montait, des souvenirs douloureux remontèrent à la surface. Votre corps se crispa.
Spencer s’écarta immédiatement, le regard inquiet.
— Ça va ? demanda-t-il doucement.
— Oui… pardon.Vous tentâtes de le ramener contre vous, de lui faire oublier votre hésitation, mais il resta en retrait, ses yeux débordant de tendresse et de préoccupation.
— On peut s’arrêter là si tu veux.Vous secouâtes la tête.
— Non, non… pardon. C’est juste que…Vous vous redressâtes pour lui faire face, les mots difficiles à trouver.
— Je n’ai jamais eu… de très belles expériences. Alors j’ai quelques appréhensions…Spencer sembla peiné. Il se pencha pour déposer des baisers doux sur votre front, vos joues, puis vos lèvres.
— Je peux faire quelque chose pour t’aider ? demanda-t-il doucement.
— Oui… enfin, est-ce que je peux te demander quelque chose ? Il hocha la tête, attentif, et vous laissa de l’espace, bien que son regard restât rivé sur vous.
— Il y a six choses que je… que je n’aimerais pas faire. Est-ce que tu pourrais les respecter, s’il te plaît ?
Spencer parut surpris un instant, mais il acquiesça. Il vous allongea délicatement sur le canapé, glissa un oreiller sous votre tête pour votre confort, puis se pencha à nouveau, reprenant ses baisers.
— Vas-y, je t’écoute, dit-il entre deux baisers sur votre cou.
Un peu troublée, vous osâtes murmurer :
— Pas par derrière. Et ne me retourne pas sans me prévenir, s’il te plaît.Il s’arrêta pour vous regarder.
— Je peux te demander pourquoi ?
Vous posâtes une main sur ses yeux, gênée.
— Mes exs avaient l’habitude de… me coincer. Tu comprends ?
Il ne bougea pas, respectant votre silence, et reprit doucement ses baisers sur vos joues. Vous retîntes difficilement vos larmes face à tant de délicatesse.
— Continue, ça fait une chose…
— Si tu veux une fellation, demande-moi. Ne prends pas ma tête violemment.
Ses baisers devinrent plus intenses, et il resserra doucement l’étreinte entre vos corps.
— Pas contre les murs, ajoutâtes-vous après un moment. Une fois, ma tête a violemment heurté un mur, et… il n’a même pas pris la peine de vérifier si ça allait.
Votre respiration s’accéléra sous l’effet de ses mains caressant tendrement votre taille.
— Ne tire pas mes cheveux, s’il te plaît, murmurâtes-vous, détournant légèrement la tête.Vous hésitâtes avant de continuer :
— Pas sur le sol non plus. La dernière fois ça m’a laissé des bleus horribles. Votre voix se brisa sur la dernière requête :
— Et si je te demande d’arrêter… promets-moi que tu t’arrêteras.
Spencer enleva votre main pour déposer un long baiser sur vos lèvres.
— Je te promets de respecter ces six règles, dit-il doucement. Mais je te promets aussi qu’aucun homme ne franchira ces limites.
Vous vouliez le remercier, mais les mots se perdirent dans des larmes silencieuses.
Spencer les vit aussitôt et vous serra tendrement dans ses bras, ses lèvres déposant encore des baisers doux sur votre visage.
— Merci, Spencer. Je t’aime tellement.
— Tu mérites le meilleur, répondit-il. Je t’aime aussi.
Cette nuit-là, vous vous endormîtes dans ses bras, sans qu’il ne relâche son étreinte, comme pour vous protéger de tous les souvenirs passés.
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saga: Soumission & Domination 349
Florian préparation 1er contrat (suite), contrat
Dimanche :
Je me réveille en premier. Je visionne en hyper rapide la nuit dans la chambre d'à côté. Rien, ils n'ont fait que dormir mais quand je vois comme nous avons écrasé nous aussi ça ne m'étonne pas.
J'attends mes dormeurs puis décide que c'est suffisant. Je tire doucement la couette qui les recouvre et je les admire. Ils sont beaux dans le sommeil. Instinctivement après mon départ, ils se sont rapprochés et dorment enlacés. La jambe de PH recouvre celles de Ludovic et la tête de ce dernier est collée sur son épaule. Je leur laisse encore quelques instants puis me coule vers eux. Ma langue remonte du gros orteil de Ludo à son aine juste interrompu par le détour de la cuisse de PH.
Son sexe est plus gros qu'au repos mais pas franchement bandé non plus. Sans poser ma tête sur lui, je sors ma langue et vient titiller le bout de gland laissé apparent par son prépuce. Pas de réaction, je m'enhardi. Avec mes lèvres je repousse cette peau et peut ainsi prendre le gland entier dans ma bouche. Je me contente de ça. Je salive puis tourne ma langue dessus. Je dois bientôt reculer ma tête car mon Ludovic se met à vraiment bander. Il gémit. Je le regarde persuadé de l'avoir réveiller mais non. Il doit faire un rêve érotique. Je prends moins de précaution et ça fini par le vraiment le réveiller. Sa main se pose sur ma tête et d'une légère pression m'indique qu'il souhaite plus. Je me penche plus et m'enfonce son gland dans ma gorge. Il m'étouffe, ça me fait bander encore plus.
Ça fait un peu comme le jeu du foulard mais par la face interne. L'étouffement provoque une décharge d'hormones qui booste mon excitation. Je ne me tue pas pour autant et pompe mon mec comme un affamé. Il ne bouge pas pour ne pas réveiller PH mais quand il explose, ses spasmes le secouent et ce dernier ouvre les yeux. Ses premiers mots sont pour nous traiter d'obsédés sexuels.
Ça lui vaut une immobilisation complète et un abus de son corps. Sa bite trouve la bouche de Ludovic comme capuchon et sa rondelle sert d'étui à la mienne. Sur l'écran qui est toujours branché sur la chambre d'à côté, je vois que nos jeunes se sont réveillés aussi avec une libido encore plus alerte. Eux aussi se donnent un peu de plaisir avant le petit déjeuner. J'explose au fond de PH et lui, remplit la gueule de Ludovic qui vient partager avec nous. Trop bon !
On sort de nos chambres en même temps. Embrassades, et on monte au 4ème. Petit déjeuner puis la matinée se passe à travailler nos cours. J'aide Romain en français et nous bossons jusqu'au déjeuner.
L'après-midi je reprends en main la préparation de Florian mais ce coup-ci, seul je le travail au sous-sol. On commence par un passage à la douche interne. Il connait pas mais il aime bien, enfin pas la première fois mais après ça été mieux. Je décide d'en faire autant. Une fois bien propres, j'installe un gode de 25x6.5 sur la selle spéciale et après avoir bien graissé le trou de Florian, je le fais s'assoir dessus. Il y va à son rythme mais doucement il se le prend en entier. Je l'encourage, le flatte, lui fais sniffer un peu de poppers quand il me le demande et sa chevauchée prend des allures de grand prix de l'arc de triomphe. Je l'arrête avant qu'il ne jouisse, j'ai bien l'intention de profiter de ses 7cm de diamètre ! Je m'installe sur le sling et lui demande de me travailler l'anus. Il fait ça bien. Je me gaze à fond en prévision de sa large pine. Quand il me pénètre c'est une véritable défonce avec un grand D. Des 7 de diamètre, j'en ai connu qu'avec mes clients. Mais non suis-je bête, un des lads de Bordeaux en a une de 26x7 mais ça va faire depuis le nouvel an que je m'en suis quand même pas pris une pareille. Il n'est monté que de 18 de long mais ça me va quand même. Ses coups de rein un peu désordonnés au début font place à un rythme bien efficace. Je sniffe à nouveau mon flacon de poppers et mes mains posées sur ses fesses, j'augmente sa cadence de pilonnage. Il butte une fois de trop sur ma prostate et j'explose m'envoyant du sperme jusque dans mes yeux. Il décule vite et je ressens un bref coup de frais avant que ma rondelle se referme. On se calme 1/4 d'heure et je termine sa formation express. Il prend ma place sur le cuir suspendu et je le défonce au gode de la taille juste inférieure à son client. Je rebande, quelle forme ! Du coup je sors le monstre de son cul et lui en enfile un autre très raisonnable. Il ne comprend pas tant que je n'ai pas ajouté ma bite au morceau de plastique. Je le sodomise jusqu'à ce qu'il jute et il résiste bien même après m'avoir limé le cul.
Le client sera content, il ne lui explosera pas en 5mn ! Quand nous en avons fini, une bonne douche fait disparaitre les " salissures ". Un jet d'eau froide sur nos rondelles accélère le processus de rétraction. Retour au 4ème. Les autres nous attendaient pour une bière. Leurs dernières heures studieuses les avaient soulés.
Après diner je reconduis Florian au pensionnat. Quand il sort de la SLS c'est pour tomber sur un de ses potes qui rentrait aussi. Je ne m'éternise pas. Il m'appelle une heure plus tard pour me dire qu'il est grand temps qu'il quitte le lycée, il a dû expliquer pourquoi il revenait en MERCEDES, qui était le mec au volant etc. Il m'a dit qu'il était désolé mais qu'il m'avait fait passer pour un de ses cousins mais qu'il n'est pas sûr que ses détracteurs l'aient cru ! Je ris, le rassure que ce n'est pas grave puisqu'il y avait peu de risque que je croise ses copains de promo.
Le contrat :
Pour rappel le client est black 50ans dans les 1m80 entretenu question tour de taille et surtout une bite de 26x7. Soit le même diamètre que la queue de Florian mais 8cm plus longue. Il y va avec son scooter équipé cuir de la tête au pied. Ça lui donne un look racaille qui va avec son parlé un peu basique encore.
Rapport de Florian :
Je suis un peu stressé. Sasha a eu beau me préparer la rondelle avec les habitants du blockhaus le WE dernier, j'ai un peu les foies. Sasha m'a mis au parfum, le client est monté comme moi avec 8cm de plus en longueur. Jamais encore vu ça en réel. Le scooter 3 roues est génial. Je me fais plaisir à faire des accélérations qui sèchent même les caisses qui attendent comme moi le feu vert. Daniel le mec à qui Sasha m'a envoyé n'a pas voulu me dire le montant de la dépense mais je pense que ça du couter un max. Que des marques, du cuir et le casque est trop kiffant. Il me fait une tête de robot. Les 7 heures de formation entre les pattes de son pote Éric se sont bien passé mais le mec est sévèrement burné ! Sa combinaison de moto fait une coque énorme en haut de ses cuisses. J'aurais bien aimé tâter le morceau mais je veux pas faire honte à Sasha avec un comportement qui va pas. Bon je reviens à mes moutons ou plutôt au loup qui m'attend moi pôvre petit agneau innocent ! Je sonne au portail d'une grande maison particulière. Je dois ôter mon casque pour qu'il me voie à la vidéo. Le portail s'ouvre tout seul et je pousse jusqu'aux marches de l'entrée. Il m'attend en haut. Je suis pas grand mais en contre plongée, il fait géant. Quand je le rejoins je vois qu'il fait bien 15 à 20cm de plus que moi. Il m'accueille gentiment. L'entrée doit faire la moitié de la maison de mes parents ! Il me demande de me " défaire de ma carapace ". Je pose le casque sur une tablette, retire mon blouson. Le fait que je paraisse en marcel (c'est un Léotard) dessous à l'air de lui plaire. Je quitte mes chaussures montantes et fait tomber le pantalon. Je suis en fuseau de gymnastique (sokol), moulant mes jambes et surtout mes fesses rondes. J'en ai choisi un trop petit qui me rentre bien dans la raie des fesses.
Il a devant lui le parfait petit gymnaste en tenue classique du travail aux anneaux. Et à ce que je vois se développer dans son pantalon, ça le fait kiffer grave. Ça déforme le tissu, et je vois le gland descendre vers son genou gauche. J'en étais hypnotisé au point que c'est lui qui m'a rappelé à la réalité. Il me demande de le suivre. On monte l'escalier et on entre dans une grande chambre avec un lit en cage. Un baldaquin je crois mais réalisé en tube. Le plafond est à plus de 3m et je note que je dois pouvoir faire de la barre fixe si le support est solide. Je me lance, au pire je m'étale sue le matelas.
Je saute et attrape la barre au-dessus du pied de lit. Elle résiste et quand je la teste en me balançant un peu, je vois qu'elle est solidement fixée. Je m'échauffe avec quelques mouvements sous la barre avant de me lancer dans un tour complet. Aie ! J'ai pas mes maniques ! Je relâche et tombe le dos sur le grand lit. Je n'ai pas fait attention mais il s'est déshabillé pendant ma petite exhibition. Sur le dos je le vois à l'envers mais il est impressionnant. Le noir est très noir et sa bite un vrai monstre. Il me tire par les épaules vers le bord du lit et quand ma tête est en dehors du matelas, il m'ouvre la bouche et enfonce son pieu. Il bute sur ma glotte et me dis de respirer un grand coup. J'obéi et il me défonce la gorge ! Il se retire et me fait le coup plusieurs fois sa bite devient de plus en plus raide, dure et droite. Quand il bande à fond, avec tout ma bonne volonté j'en laisse bien 4 cm dehors !
Alors qu'il me baise la bouche je tente de me déshabiller. Il m'arrête aussitôt. Il veut me baiser en tenue. J'avais pas pensé à ça mais ça va me la saloper grave et je me vois pas la ramener pleine de sperme à ma mère ! Tant pis ! Il cesse de me détruire la gorge et me retourne comme une crêpe. Mes 70Kg ne semblent pas peser entre ses bras. Il me roule un patin. Sa langue est proportionnée à sa bite, elle envahi ma bouche. Puis il se met à me lécher le corps, enfin les parties nues, cou, trapèzes, épaules, aisselles. Puis il attrape le haut de mon Léotard et le déchire jusqu'au Sokol. Merde ! C'était le plus correct de mes Léotards. Les autres sont soit trop petits soit usés.
Il continu le massacre et je me retrouve à poil, mes vêtements en lambeaux ! Je n'ai pas le temps de pleurer dessus qu'il attrape mes jambes, et les tire vers le haut jusqu'à ce que mon sexe soit au niveau de sa bouche. Je pose mes mains au sol et assure l'équilibre. Je le sais actif, j'écarte donc les jambes pour lui présenter mon cul. Il devait attendre ça car il s'est aussitôt penché et direct m'a léché la rondelle. Pour le fun je lui fais un grand écart mais je ne crois pas qu'il s'en soit aperçu. Par contre moi je me rends bien compte qu'il travaille avec sa langue. Si tout à l'heure elle me remplissait la bouche à en vomir, là, elle pointe ma rondelle et la pénètre de quelques cm. Trop bon ! Je redresse mes jambes et emprisonne (gentiment) sa tête entre mes cuisses. Ça repose mes fessiers. Je sens sa salive couler dans mon trou. Mais le temps passe et de rester la tête en bas, je commence à avoir des éblouissements. En appuis de mes jambes sur ses épaules, je me cambre, lentement pour qu'il ait le temps de contrebalancer mon poids. Je m'étale le ventre sur le lit mais reste les reins creusés pour lui signifier que ce n'était qu'un changement de position, pas un refus de me faire bouffer l'oignon.
D'ailleurs il me suit la langue toujours enfoncée dans mon trou. Après peut être 15mn de bouffage de rondelle, il les redresse, pose une de ses mains sur mon dos pour m'immobiliser et j'entends qu'avec l'autre, il se kpote. Quand c'est fait, ses mains agrippent mes hanches et il me tire au bord du lit. Les pieds au sol, j'écarte bien les jambes pour d��gager le passage. Il ajoute une dose de gel maousse sur mon cul et s'enfonce dedans.
Merci Sasha pour la préparation sinon il m'aurait fendu en deux. En attendant il ne s'arrête qu'avec ses couilles collées aux miennes, incapable d'en rentrer plus. Moi ça me coupe le souffle. Je sens son gros gland en moi c'est impressionnant comme sensation. Il pousse mes boyaux. Je le laisse un moment me limer la rondelle dans cette position puis me dis qu'il doit en vouloir plus d'un gymnaste. C'est pour ça qu'il s'était battu avec l'autre mec pour m'avoir. Je bascule le buste sur le côté et gardant mes jambes bien à l'équerre, je me retrouve sur le dos, mes chevilles sur ses épaules. Lentement je contracte mes abdos (ce qui fait que je sens encore plus sa grosse bite en moi), pose mes mains derrière son cou et me colle à lui (enfin à mes jambes surtout). Je tends alors les bras vers la traverse du baldaquin et m'accroche à elle. Là, j'utilise la force de mes bras pour monter et descendre sur sa bite. Ça le fait car il cesse de me soutenir les fesses et ses mains caressent mes biceps qui gonflent sous l'effort.
Il me décroche de la barre et me pose dos sur le lit. Son corps recouvre le mien et à part mes épaules qui dépassent sur le côté, je dois disparaitre sous son corps. Sa bite elle est bien restée tout le temps dans mon cul. Puis il attrape des menottes à chaque pilier de coin et je me retrouve enchaîné façon écartèlement comme on en voit dans les fils d'époque. Ce qui me surprend c'est quand il actionne un mécanisme qui tends les chaines puis qui me soulève. Ma ceinture abdominale est sollicitée un max pour pouvoir rester à l'horizontal. Absorbé par ce qu'il me faisait, je n'avais pas noté que je bandais ferme moi aussi. C'est quand il s'est mis à me sucer la bite que je me suis rappelé que j'avais aussi un engin de plaisir devant. Quand il sent que les abdos fatiguent (tremblements importants), il actionne à nouveau son truc et les chaines se rejoignent sur les côtés me pliant en 2 mais bras et jambes écartés. Là il se remet à m'enculer non sans avoir remis une couche de gel. Il ne s'arrêtera plus avant d'avoir juter des litres dans sa kpote. Il m'a fait jouir quelques minutes avant, ça doit être les spasmes de ma rondelle qui ont raison de sa résistance.
Il me décroche et je tombe sur le lit un peu scié par ce qu'il vient de m'infliger. J'étale mon sperme sur mon torse pour pas qu'il coule sur le lit et reprend mon souffle. Le client se dékpote et me montre le résultat de ma prestation. Quand je dis des litres j'exagère mais la quantité qu'il y a, j'avais encore jamais vu ça. Il la jette et me rejoint sur le lit. Il passe son bras sous mon cou, se mets sur le côté et sa main libre vient parcourir mon corps. Elle suit les contours de mes muscles. Il ramasse avec ses doigts mon sperme éparpillé et l'apporte à ma bouche. J'hésite mais après tout c'est le mien et je lui lèche les doigts. Putain que ça doit faire " salope " !
Je bascule sur lui, le repoussant sur le dos et comme un jeune chiot sur un adulte, je cale ma tête en haut de son pec et ma bite trouve place sur son nombril. Il me laisse un moment comme ça. On récupère doucement à la limite de s'endormir. C'est le cas même puisque je me réveille quand il me plonge dans sa baignoire. Un machin immense où il peut se mettre avec moi. Je me laisse faire. Il me lave, c'est bon même si c'est un peu infantilisant. Quand je veux faire pareil, il m'en empêche et je ne fais que le regarder. Séchages, retour dans la chambre. Je ramasse les restes de ma tenue de sport et j'ai dû faire une tête bizarre puisqu'il me dit de ne pas m'en faire. Il en a de bonne ! C'est pas lui qui va devoir en acheter une nouvelle tenue complète. Il me laisse seul alors que je me dis que je vais avoir un peu froid à poil (que je n'ai pas) dans mes cuirs, les seules choses récupérables étaient mes chaussettes. Et vue l'heure avancée de la nuit, ça va cailler ! Il revient avec un grand sac et me dit que c'est pour moi. Je suis surpris mais j'ouvre. Plein de tissus synthétiques, je tire dessus et je sors une bonne demi-douzaine de léotards, pareil de sokol et même de short. Il éclate de rire et me dit que je n'avais quand même pas cru qu'il allait détruire mes vêtements sans les remplacer quand même !
Je suis gêné c'est exactement ce que j'avais pensé. Je les regarde tous. C'est la marque de l'équipe de France. Il me dit de les essayer. Je tombe mon pantalon en cuir et passe les vêtements. Ils sont tous à ma taille et les imprimés qu'il a choisis pour les léotards sont top. Quand je me retourne pour le questionner, il me devance et me dit qu'il avait eu mes tailles par Sasha. Je suis trop content, je commençais à être juste question équipements. Dans le fond du sac je trouve encore plusieurs paires de maniques avec attaches différentes. Je ne sais comment le remercier. Je me colle à lui, tends mes lèvres pour une pelle bien sentie et commence à me frotter contre son sexe. Il me repousse et me dit que j'en ai déjà fait bien assez pour cette fois. C'est vrai que ça va faire 6h qu'on est ensemble. J'ai dû oublier de décrire quelques positions Oups !
Je me choisis l'ensemble que je kiffe le plus avant de remettre mes cuirs. Il me tend une sacoche dans lequel il a mis les autres vêtements. Je ne dis plus rien et accepte ce nouveau cadeau. En plus en cuir, c'est raccord avec le reste. Il s'habille et m'accompagne jusqu'au portail. Je rentre directe au blockhaus. Sasha m'a réservé une chambre au premier et il veut me voir dans quelques heures puisque le matin est déjà là !
Je trouve un mot sur la porte du bureau de Sasha avec mon nom dessus. Il me dit juste de dormir tout ce que je veux ce matin (samedi) et de monter au 4ème pour le petit déjeuner.
Trop content de mon cadeau, je m'endors dedans.
Jardinier
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Je suis à toi, par chaque soupir de mon corps et chaque suée de mes fièvres. Comme dans ma nuit, caniculaire, où je suis nue – donc absolue – où mes mots suent, où la chaleur nous exaspère. Et je respire, quand tu espères à haute voix sentir en moi trembler les plaisirs et les rêves. Troubler ce soir où nos lèvres encore et en corps se rencontrèrent. Troubler l’esprit et la mémoire, abolis, dans le noir. Penser tout bas, tout bas, à ce qu’il y a, entre toi et moi. Et tu restes, dans mon corps, ce qui palpite le plus fort. Je suis à toi, par chaque soupir…
Tu es la chaleur qui assaille, qui ravit, l’accablement dans mon lit. Tu viens avec les brûlures du ciel, les étés, tentaculaires, tu épaissis mes mystères et tu fais la nuit plus noire où ne luisent que tes regards. Et moi je prends tes mains, je plie ton corps au mien, j’adoucis mes morsures… – car, non, je ne hurle plus, comme une louve à la lune sur mon ventre enfin descendue. Et les étoiles aussi ont jonché sur mon plancher. Et sur ta peau, luisante, adorée, sous ma langue allumée. Tu es la chaleur qui assaille…
Être nue, inconnue, dans la touffeur des soirs – être vue, visitée par tes envies avouées, tes sulfureux égards – faire l’amour noir, enténébré, jubilatoire. C’est l’heure du loup, il est trop tard, et tout est feu. Et tout est fou, oh tout est fait, je suis à bout, mais je veux tout, oui tout brûler, me consumer et t’enflammer et consommer – tous nos plaisirs, tous nos désirs, tous nos sourires… Nulle lumière et nulle horreur, plus de mort lente et plus d’attente, plus que nos incendies bruyants, plus que nos pores suants ; ô bonheur ! ô bonheur ! Être nue, inconnue…
A tâtons, reconnue. Tu fais la nuit plus noire et les rêves plus vrais. Tu fais l’amour plus chaud, plus chaud, tu fais l’amour plus beau.
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Bonjour, J'adore votre travail et c'est un plaisir de lire vos articles. Any thoughts about gg and dd being in France in the same time on 6/22? Bon Week end (6/22 is also my birthdate)
Bonjour kumirobay! Merci beaucoup pour vos gentils mots, je suis heureux que vous appréciez mon blog. 😊
All turtles hope and dream that GG and DD were able to spend some time together in Paris for 6/22, of course! I'm no exception to that. It's not hard to imagine that they'd coordinate things in such a way as to ensure they get some time together. 6/22 is obviously a very important date for them.
However, GG was last spotted in Switzerland, so it's possible that's where he still is. There's no way to know for sure.
And that's how it should be. GG and DD's private time is their private time, and I hope nothing leaks out to show where they are or what they're doing.
Whether together or separately, I'm just happy they're getting a bit of time for travel, and some new experiences. If there's some candy to be had here, I've no doubt GG and DD will share it with us directly, or via LRLG.
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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Tips pour RP avec des personnages ayant des troubles dys.
Je parle surtout avec mon vécu et les difficultés que je retrouve au quotidien.
(Mon texte ne sera pas corrigé via un correcteur en ligne. Risque de faute.)
• Éviter un maximum d'utiliser des polices avec des empâtement.
C'est aussi agréable pour nous que lire un pavé barré. (Lexend de Google font... Just perfect).
• Prenez le temps de séparer les lignes de dialogue du reste du texte.
Changer de couleur ne suffit vraiment pas. Sautez au moins une lignes avant et après. Surtout si l'espacement des lignes est petite.
• l'écriture inclusive c'est ok, mais pas pour tout. Le mélange de mots (celleux, createurices etc...) c'est juste une difficulté en plus pour nous.
Comme certains point médian ! Au mieux, demandez a la personne avec qui vous jouez si iel préfère le •, le . ou encore le bon vieux - (mon pref ! Celui qui le convient me mieux). Et le TOP DU TOP ! Utilisez des mots neutres, tout simplement. Genre "Les hommes et les femmes" dire "les personnes" aux lieux de celleux. (C'est mieux si l'écriture inclusive était vraiment inclusive pour un max de gens).
• Essayez d'être assez bref.
Genre ça sert vraiment a rien de broder le texte en rajoutant des mots inutiles pour dire que Eugène mange une tranche de pain de mie. Joliment le décrire, oui. En faire une tonne, non. Pas besoin de remonter jusqu'à la pouce du blé.
• Si on répond a côté de la plaque, nous le dire avec bienveillance.
Il arrive (souvent) qu'on lisent mal une phrase, ce qui peut changer le sens de la réponse qu'on nous a envoyé. Ce n'est pas un manque d'attention mais juste que parfois, certains mots se changent en d'autre mots, ce qui est problématique pour la conpréhension su texte.
• Écrire et surtout lire nous prend plus de temps et plus d'énergie.
Nous pressez ne sert a rien a part nous mettre mal. Quand le texte devant vos yeux, même avec la plus grande concentration au monde, est illisible (fatigue, stresse...). Bah on ne peut rien y faire.
• Nous rattraper sur nos fautes sans notre accord peut être... Extrêmement vexant et baisser notres estimes de nous.
On sait qu'on fait des fautes, et même avec une super explication on l'a refera au premier coup de fatigue. Écrire est surtout un plaisir, on n'as pas forcément envie d'avoir un court de français, même si de base le geste était bienveillant.
• Surtout... SURTOUT laissez nous une chance.
Personnellement j'ai souvent ressenti de la honte a cause de ça. Je fais des fautes, je passe mes RP au correcteur orthographique, mais certaines fautes restes.
Bien-sûr, chaque dys est unique. Certaines choses dites ici ne sont pas valable pour tout le monde. C'est surtout mon vécu et ce que j'ai pu entendre en parlant avec d'autre dys rpgiste (trop rare malheureusement, souvent pas honte).
C'est pour ça que le mieux à faire, c'est d'en parler en amont. A vous, personnes dys, de prévenir en cas de problème. Et a vous, les autres, d'être cool pour que tout le monde puisse partager un passe temps/passion dans la joie et la bonne humeur.
Les dys (et autres), n'ayez pas honte. Ce n'est pas parce que votre écriture n'est pas parfaite que vous écrivez mal. Nous ne sommes pas bête, pas fainéants, et non, nos troubles dys ne sont pas une "simple excuse pour mal écrire" mais bien un handicap.
N'hésitez pas a rebloguer si vous voulez rajouter quelque chose (surtout des petits conseils) ou a tout simplement le dire en commentaire.
Et soyez bienveillant, il y a déjà trop de colère en ce moment.
La bise ! ♥
#dyslexic#dys en tout genre#dysorthographic#forum rpg#rpg#rpg francophone#Bisounours time#jé fé dé fote mé c pa grav
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Le plus important, ce sont les petits soleils de chaque jour. Un sourire, un mot d'encouragement, un échange, un petit plaisir ou un grand, tout ce qui nous rend heureux, joyeux, vivants. Tous les petits soleils qui illuminent nos journées, à côté desquels, il ne faut surtout pas passer.
Ondine khayat
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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Dans la vie
Rien n’est jamais acquis
Elle la croyait tracée
De plaisir, il la croyait dénuée
Mais le destin s’en est mêlé
Rien qu’avec des paroles
Ils vivent une sorte d’aventure folle
Des échanges se transformant
Petit à petit en sentiments
Ne se connaissant pourtant qu’à travers des photos
Une voix et des mots
Une espèce de complicité s’est installée
Ça peut paraître inexpliqué
C’est d’ailleurs une chose qu’ils ne peuvent faire
Mais que dire ? Que faire ?
C’est au delà de l’entendement
Mais ce qui importe pour le moment
C’est qu’ils se font du bien mutuellement
Nul ne peut savoir ce que l’avenir leur prédira
Rêvant parfois de se serrer dans les bras
Ils profitent simplement de ces instants magiques
Sans penser à la suite
Ils ne demandent pas qu’on leur pardonne
Ne faisant de mal à personne.
Peggy LS
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