#escalade en montagne
Explore tagged Tumblr posts
Text
トザン
登山とは、山に登るアウトドアアクティビティの一つです。自然の美しい景色を楽しんだり、山頂からの達成感や爽快感を味わったりできるのが魅力です。ハイキングやトレッキングなどの軽いものから、��や氷を登るアルパインクライミングや、雪山を登るアイスクライミングなど、様々な種類があります。自分の体力や経験に応じて、登る山やコースを選ぶことが大切です。
手抜きイラスト集
#登山#mountain climbing#alpinismo#Montañismo#Bergsteigen#escalade en montagne#手抜きイラスト#Japonais#bearbench#art#artwork#illustration#painting
1 note
·
View note
Text
Ne te retourne pas... parce que vivre c'est comme escalader une montagne, vous n'avez pas à regarder en arrière, sinon vous risquez des vertiges. Il faut continuer, avancer, avancer... Ne regrette pas ce que tu as laissé derrière toi, car s'il est resté derrière, c'est qu'il n'a pas voulu t'accompagner dans ton voyage.
G. Carcasi
27 notes
·
View notes
Text
Petite escapade du côté de l'Ardèche...✈️
L'Ardèche est un département magnifique situé en région Auvergne-Rhône-Alpes, au sud-est de la France. Aux portes de la Provence, des Cévennes et du Massif Central, l'Ardèche jouit d'un climat ensoleillé tout au long de l'année et vous émerveille par la beauté de ses sites naturels.
Mais l'Ardèche ne se raconte pas, elle se vit. Vivez l'Ardèche en descendant les Gorges de l'Ardèche en canoë-kayak, en canyoning dans ses cours d'eau ou plus simplement en suivant un des nombreux chemins de randonnée en pleine nature.
Vibrez l'Ardèche à travers la via ferrata ou en escaladant ses montagnes. Sortez en Ardèche grâce à l'actualité touristique mise à disposition : idées de sorties, de balades ou encore les manifestations locales.
S'asseoir ici et se dire qu'on a tellement de chance d'avoir toute cette beauté sous les yeux...
Au détour d'un sentier, une oasis à l'eau turquoise. (Moulin du Tiourre à Vallon Pont d'Arc)
Ardèche, terre d'aventure...Le pilier d'Autridge, 160 m de descente en rappel et un point de vue exceptionnel sur les Gorges de l'Ardèche.
Petite chèvre sauvage des Gorges de l'Ardèche
"Servez-vous, et mettez l'argent dans la boîte aux lettres."
Voici in distributeur automatique made in Ardèche. Ici, pas besoin d'intelligence artificielle, juste de la confiance naturelle !
Comme le dit si bien un grand penseur : "il en faut peu pour être heureux..."
Caverne du Pont d'Arc, copie de la grotte Chauvet. Une visite unique au monde !
Petits plaisirs de l'Ardèche...la cueillette des marrons.
C'est l'heure du goûter ! Dégustation d'un gâteau à la crème de marron qui dit mieux ?
15 notes
·
View notes
Text
JOIE*
Comme tendrement rit la terre quand la neige s'éveille sur elle!
Jour sur jour, gisante embrassée, elle pleure et rit.
Le feu qui la fuyait l'épouse, à peine a disparu la neige.
S'il te faut repartir, prends appui contre une maison sèche.
N'aie point souci de l'arbre grâce auquel, de très loin, tu la reconnaîtras.
Ses propres fruits le désaltéreront.
Levé avant son sens, un mot nous éveille, nous prodigue la clarté du jour, un mot qui n'a pas rivé.
Espace couleur de pomme.
Espace, brûlant compo-
tier.
Aujourd'hui est un
Jouve.
Demain verra son bond.
Mets-toi à la place des dieux et regarde-toi.
Une seule fois en naissant échangé, corps sarclé où l'usure échoue, tu es plus invisible qu'eux.
Et tu te répètes moins.
La terre a des mains, la lune n'en a pas.
La terre est meurtrière, la lune désolée.
La liberté c'est ensuite le vide, un vide à désespérément recenser.
Après, chers emmurés éminentis-simes, c'est la forte odeur de votre dénouement.
Comment vous surprendrait-elle?
Faut-il l'aimer ce nu altérant, lustre d'une vérité au caur sec, au sang convulsif!
Avenir déjà raturé!
Monde plaintif!
Quand le masque de l'homme s'applique au visage de terre, elle a les yeux crevés.
Sommes-nous hors de nos gonds pour toujours?
Repeints d'une beauté sauve?
J'aurais pu prendre la nature comme partenaire et danser avec elle à tous les bals.
Je l'aimais.
Mais deux ne s'épousent pas aux vendanges.
Mon amour préférait le fruit à son fantôme.
J'unissais l'un à l'autre, insoumis et courbé.
Trois cent soixante-cinq nuits sans les jours, bien massives, c'est ce que je souhaite aux kaîsseurs de la nuit.
Ils vont nous faire souffrir, mais nous les ferons souffrir.
Il faudrait dire à l'or qui roule : «
Venge-toi. »
Au temps qui désunit : «
Serai-je avec qui j'aime?
O, ne pas qu'entrevoir! »
Sont venus des tranche-montagnes qui n'ont que ce que leurs yeux saisissent pour eux.
Individus prompts à terroriser.
N'émonde pas la flamme, n'écourte pas la braise en son printemps.
Les migrations, par les nuits froides, ne s'arrêteraient pas à ta vue.
Nous éprouvons les insomnies du
Niagara et cherchons des terres émues, des terres propres à émouvoir une nature à nouveau enragée.
Le peintre de
Lascaux,
Giotto,
Van
Eyck,
Uccello,
Fouquet,
Mantegna,
Cranach,
Carpaccio,
Georges de
La
Tour,
Poussin,
Rembrandt, laines de mon nid rocheux.
Nos orages nous sont essentiels.
Dans l'ordre des douleurs la société n'est pas fatalement fautive, malgré ses étroites places, ses murs, leur écroulement et leur restauration alternés.
On ne peut se mesurer avec l'image qu'autrui se fait de nous, l'analogie bientôt se perdrait.
Nous passerons de la mort imaginée aux roseaux de la mort vécue nûment.
La vie, par abrasion, se distrait à travers nous.
La mort ne se trouve ni en deçà, ni au-delà.
Elle est à côté, industrieuse, infime.
Je suis né et j'ai grandi parmi des contraires tangibles à tout moment, malgré leurs exactions spacieuses et les coups qu'ils se portaient.
Je courus les gares.
Cœur luisant n'éclaire pas que sa propre nuit.
Il redresse le peu agile épi.
Il en est qui laissent des poisons, d'autres des remèdes.
Difficiles à déchiffrer.
Il faut goûter.
Le oui, le non immédiats, c'est salubre en d��pit des corrections qui vont suivre.
Au séjour supérieur, nul invité, nul partage : l'urne fondamentale.
L'éclair trace le présent, en balafre le jardin, poursuit, sans assaillir, son extension, ne cessera de paraître comme d'avoir été.
Les favorisés de l'instant n'ont pas vécu comme nous avons osé vivre, sans crainte du voilement de notre imagi' nation, par tendresse d'imagination.
Nous ne sommes tués que par la vie.
La mort est l'hôte.
Elle délivre la maison de son enclos et la pousse à l'orée du bois.
Soleil jouvenceau, je te vois ; mais là où tu n'es plus.
Qui croit renouvelable l'énigme, la devient.
Escaladant librement l'érosion béante, tantôt lumineux, tantôt obscur, savoir sans fonder sera sa loi.
Loi qu'il observera mais qui aura raison de lui; fondation dont il ne voudra pas mais qu'il mettra en œuvre.
On doit sans cesse en revenir à l'érosion.
La douleur contre la perfection *.
René CHAR
"Le Nu perdu et autres poèmes"
10 notes
·
View notes
Text
Aujourd’hui on part à la découverte de Table Mountain. C’est la montagne phare du Cap qui culmine à 1086m d’altitude. Il y a un très joli téléphérique qui fait la liaison avec le sommet, mais nous aujourd’hui on veut grimper jusqu’en haut !
Nous arrivons au départ du téléférique vers 10h15, et déjà il est difficile de trouver une place. Tout le monde se gare sur le bord de la route, nous faisons de même. Arrivé au point de départ de la randonnée, nous nous équipons. Crème solaire, lunette de soleil, chapeau, bâton, pull supplémentaire et veste. Et oui, il ne fait que 13 degrés, mais heureusement le soleil est au rendez vous ☀️. Après même pas un quart d’heure de marche une pause vestimentaire s’impose. Abat la veste, abat le pull. Malgré qu’il ne fait que 13 degrés avec le soleil et la marche on a beeeaucoup trop chaud. Nous arrivons à une intersection, deux options s’offrent à nous. Soit chemin facile, soit le chemin difficile où il est inscrit qu’il ne faut pas avoir le vertige. Devinez lequel on pris ?? Le difficile bien sûr ;) et effectivement ça ne rigole pas. Mais le chemin est très intéressant et varié, et les vues sur Capetown sont impressionnantes ! Arrives le moment où la randonnée se transforme en escalade. Plus de chemin mais des escaliers métalliques accroché à la pierre et des chaînes pour se hisser en haut. N’étant pas très très grand c’était pas toujours facile. Sur la route nous croisons un américain de Floride, Adam, avec qui nous partageons le reste de l’ascension. Lorsque nous arrivons en haut, wouaaah! On se rend compte de tous ce que l’on a gravit. Et la vue est spectaculaire. On part grignoter quelque chose en terrasse, et maintenant que l’effort est terminé on sent vite le froid 🥶 après avoir repris des forces et fait un tour dans la boutique souvenirs, on se prépare pour la descente. Par le chemin facile cette fois. Chemin facile mais sportif quand même. On sent que nos jambes sont fatiguées et en plus le chemin est assez redondant. On fait des zigzags presque toute la descente. J’ai préféré faire plus d’effort pour la montée mais au moins la route était divertissante 😂. Au détour d’un contour on voit enfin l’arrivée, la station du téléphérique, et clairement, à ce moment là, on veut juste arriver à la voiture. Après plus de 5h30 de marche, enfin on y est 🎉 et on est trop fier de nous !
Avec tout ça on a gentiment de nouveau faim alors on se rend en bord de mer pour trouver de quoi manger. C’est super chouette ce quartier, et très touristique aussi. Il y a, sur une place, un groupe de jeune qui chantent et dansent, ils mettent une de ces ambiances ! 😍 on a trouvé un chouette restaurant où la spécialité était le poisson, on a plutôt bien mangé ;) ensuite on est vite rentré à l’hôtel parce qu’on est crevé et on rêve d’une bonne nuit !
3 notes
·
View notes
Text
C’est une errance. Une pluie de questions sans réponse au cœur d’un désert sans horizon. Je n’aime pas raconter des histoires. Je préfère la peinture, les couleurs et le mouvement, la musique et la chair. Je préfère que ça transpire et ne mène nulle part. Je veux décrire le sang et la brillance de ton regard. Décrire les ventres noués et les attentes insolubles sous le porche mitraillé par une pluie drue dans la nuit enchevêtrée de lumières blêmes. Je veux embrasser le ciel, je n’ai rien à dire je ne sais que ressentir.
C’est une errance, une déviance, un va et vient de l’âme, une dévotion à l’Éternel. Une errance douce amère sur les eaux saumâtres des fleuves qui meurent en mer. Qui se répandent et se désagrègent dans l’infinie pureté de l’océan. Vague après vague, en combien de temps une goutte parcourt elle les océans ? Errance sous les falaises laiteuses comme ta peau, marcher le long de la grève entre les bateaux échoués à marée basse. Mouettes rieuses et galets blancs. Marcher et revenir. Le retour paraît toujours plus court. La découverte rallonge le temps. Sous les falaises coiffées d’herbe grasse. Soleil couchant par delà les vagues écumeuses. Blanches comme un linceul.
C’est une errance, éternel recommencement, ta main dans la mienne nous allons boire du vin dans une petite auberge de briques rouges. Un grand magnolia en fleur sur nos têtes égarées. Le temps arrêté. Je te bois, je me perds en songe dans tes yeux hurlants. Seule nourriture ou presque. Admirer ton existence et accueillir ton étreinte comme une bénédiction. Chaque soir, dans le noir qui m’effraie tant, tes doigts pianotent sur mon dos. C’est la dernière extase.
C’est une errance, le vrai voyage. Ne se fixer que très peu de points de repères, avancer avec son cœur, ne pas trop spéculer sur les voies impénétrables. Être humble. Ne pas s’éparpiller en rêves mais embrasser l’instant comme une félicité. Et repartir nu, les poches vides, l’amour à sec, le cœur essoré, tout donner et encore plus. Telle est la mélodie de mon cœur écharpé. Toujours battant. Qui n’attend rien mais déguste la vie par petits bouts. Note après note jusqu’au final enragé. Après la grande escalade c’est un soleil rougeoyant comme les enfers qui nous éblouit. Sur ta peau rosée par l’effort il scintille de mille feux. Nous le regardons se noyer derrière les montagnes voluptueuses au loin. Lumière dorée, reflets majestueux, sur une traîne de nuage s’imprime un rose angélique. La nuit enserre la lumière il faut se hâter. Tes pas dans mes pas. L’émerveillement intouchable. À la nuit tombée les étoiles s’allument une à une. Nous n’avons pas compté le temps.
C’est une errance, un émerveillement de chaque instant. Tout doit aller plus vite. À cette époque du tout maintenant et tout de suite, les plus belles choses gardent leur pureté virginale. L’amour se construit lentement, pierre par pierre on bâtit sa pyramide. La nature va toujours au même rythme et les jours n’ont pas rallongé. Vouloir aller trop vite c’est oublier le bonheur et le plaisir qu’offre le fait de surmonter difficultés et souffrance, travail et échecs. L’expérience ne s’achète pas et c’est elle qui nous fa��onne. C’est elle qui nous façonne dans notre touchante balbutiante errance. Ne pas savoir quel chemin prendre est un don du ciel. Avoir le droit de se tromper est une chance. Et on ne peut rien réussir d’autre que de voir sourire ceux qu’on aime.
Ta main dans la mienne sous la voûte criblée du ciel. J’erre encore. J’errerai toujours dans ce labyrinthe schizophrénique. Entre horreurs et merveilles. Silence glaçant quand la musique s’arrête. Plaisir indicible quand sous un soleil cinglant je plonge mon corps entier dans des fontaines de marbre. Dans une torpeur soudaine mille souvenirs m’envahissent. Les odeurs, les textures remontent à mon âme. On pourra tout me voler sauf mes souvenirs et mon désir d’abandon à l’instant présent. Mi acteur, mi marionnette, qu’est-ce que le libre arbitre ? Sans penser je vogue sur un bout de bois sur la mer infinie des possibles. Je vogue le sourire aux lèvres jusqu’à l’inéluctable noyade.
3 notes
·
View notes
Video
youtube
[FR] WOLFENSTEIN : THE OLD BLOOD - Part 8 - SITE DE FOUILLES - Fin du jeu - Gameplay PC en ultra 4K
WOLFENSTEIN : THE OLD BLOOD
Wolfenstein: The Old Blood est un jeu à part entière, qui ne requière pas Wolfenstein: The New Order, le jeu de tir et d’action/aventure à la première personne acclamé par la critique. Cette nouvelle aventure en 8 chapitres sur 2 histoires interconnectées est la pré-quelle de Wolfenstein: The New Order et conserve tout ce qui a fait le succès du studio MachineGames : des sensations fortes, une histoire intrigante et des combats à la première personne intenses. Dans la peau du héros de guerre B.J. Blazkowicz, équipez-vous avec des armes inédites comme le fusil à verrou et le Kampfpistole lance-grenades et venez à bout de la menace nazie grandissante. Utilisez les doubles tuyaux pour escalader les murs ou pour vous débarrasser de vos adversaires de manières totalement novatrices.
HISTOIRE
En 1946, les Nazis sont sur le point de remporter la Seconde Guerre mondiale. Afin de renverser la situation, B.J. Blazkowicz doit partir pour une mission épique en deux temps au fin fond de la Bavière...
Dans la première partie de Wolfenstein: The Old Blood - Rudi Jäger et la tanière des loups - B.J. Blazkowicz affronte un gardien de prison fou alors qu'il tente de pénétrer dans le château de Wolfenstein pour y dérober les coordonnées de la base du général Strasse. Dans la deuxième partie – Les sombres secrets de Helga von Schabbs – notre héros explorera la ville de Wulfburg toujours à la recherche des coordonnées pour trouver Strasse. Il y découvrira un archéologue nazi obnubilé par ses recherches déterre d'anciens et mystérieux artéfacts aux pouvoirs maléfiques.
CARACTERISTIQUES PRINCIPALES
De l'action ! Redécouvrez l'expérience du jeu de combat à la première personne de MachineGames en utilisant de toutes nouvelles armes inspirées du matériel nazi comme le fusil à verrou, le fusil à pompe de 1946 ou encore le Kampfpistole lance-grenades. Découvrez votre potentiel caché avec une toute nouvelle liste d’options adaptés à la fois pour l'action chargée d'adrénaline comme pour les assassinats en toute discrétion.
De l'aventure ! Explorez des décors à couper le souffle avec des petits villages de campagne allemande, des vallées et montagnes reliées entre elles par des téléphériques et des ponts, des catacombes effrayantes et, bien sûr, l'emblématique château de Wolfenstein ! Utilisez les doubles barres à mine en métal pour escalader ce monde de long en large.
Des frissons ! Affrontez tout un tas de nouveaux ennemis comme les légions de super-soldats, les troupes de choc d'élite, les drones, ainsi que les abominations nazies les plus terribles qu'il vous reste à découvrir.
Développeur : MachineGames Éditeur : Bethesda Softworks
Sur PC - XBOX ONE - XBOX SERIES & PS4 le 05 mai 2015.
PEGI 18
#youtube#WolfensteinTheOldBlood#gameplay#Wolfenstein#MachineGames#PC#PS4#PS4Pro#Xbox#XboxOne#XboxSeries#XboxGamePassPC#XboxGamePass#XboxGamePassUltimate#4K#60ips#60fps#EDJV#ED_JV#ED_JV_#soluce#solution#JeuxVideo#JeuVVideo#game#gaming#VideoGames#VideoGame
2 notes
·
View notes
Text
Actuellement ma vie n'est pas ouf. Mais elle a le potentiel. Un jour bientôt j'aurai les conditions matérielles et financières pour avoir une voiture ou louer une voiture et partir à l'aventure faire du bivouac en montagne, sur la plage, dans la forêt avec des amis. J'aurais les conditions pour faire des virées en mer, faire des trips pour allé escalader des montagnes, aller dans d'autres pays avec ma soul tribe. J'aurais les moyens de faire des escapades en amoureux dans des endroits sublimes. Partir en chalet à la montagne pour célébrer des événements, min anniversaire. J'aurais les conditions financières pour acheter une maison, plusieurs maisons, d'avoir une terre et de cultiver. Pour le moment j'ai un amoureux, quelques amis éparpillés, un permis dans la poche et c'est déjà ça, je me prépare. J'ai un téléphone, un ordinateur, une petite caméra. Je prépare ça. Quand j'aurai l'argent, il me suffira juste de choisir la destination et on partira. J'y crois, c'est mon rêve.
MORE INTERESTED IN HOW MY LIFE FEELS THAN HOW MY LIFE LOOKS TO OTHERS.
14K notes
·
View notes
Text
Gardez toujours la foi en Dieu. N'abandonnez jamais !
Dieu est fidèle : il ne permettra pas que vous soyez éprouvés au-delà de vos forces. Mais avec l’épreuve il donnera le moyen d’en sortir et la force de la supporter. 1 Corinthiens 10.13
Les épreuves dans la marche avec le Seigneur font partie de la vie du croyant. Jésus n’a jamais dit que tout serait facile. Dieu permet les épreuves pour nous faire grandir, pour nous emmener encore plus loin avec lui. Quelqu'un affirmait que les épreuves nous poussent vers le haut tandis que la tentation nous tire vers le bas.
Un jour, une personne m’a partagé un rêve qu’elle avait eu. Dans son rêve elle escaladait une montagne, cette montagne était haute. Avec difficulté, elle est arrivée au sommet puis, en levant les yeux, elle s’est aperçue qu’il y avait une autre montagne à escalader. Ce rêve est en accord avec les écritures, il fait penser à un verset biblique qui mentionne qu’il nous faut passer par beaucoup d’épreuves pour entrer dans le Royaume des cieux. Les disciples de Jésus sont aussi passé par des moments difficiles.
C'est par amour pour Jésus que les disciples ont accepté d’être persécuté pour Jésus.
C'est par amour pour Jésus que Paul a fait naufrage, qu'il a connu la prison, qu’il a beaucoup souffert pour l'avancement du Royaume de Dieu.
C'est aussi par amour pour Jésus que vous allez persévérer même si votre chemin n'est pas facile. Gardez toujours la foi en Dieu. N'abandonnez jamais !
Christian K
0 notes
Text
Arrivée à soi
Le passant qui parcourt le chemin de sa vie sur Terre arrive chaque fois quelque part sans jamais retrouver la destination qui avait mis en œuvre ses partances. Ainsi, certains diront que chaque chemin que l’on suit ne conduit exactement qu’à soi. Par exemple, tout passant qui désire escalader une montagne pour la découvrir ne trouvera à son sommet que ce qui l’entoure. Il en est de même pour…
View On WordPress
#voie de passage#Chemin#découvrir#destination#partance#passant#renversement de perspective#soi#Terre
0 notes
Text
IL SE PEUT ...
Et j'ai ri
Azeri
En Kanakie
Gendarme Staline
Quand dans les montagnes
A la frontière avec la Turque
Staline fit appel à l'islam chiite
L'Allemagne a osé escalader
Orange la Montagne
Et ainsi la Russie Blanche sauvée
Et ici un Soleil de Bakou
Indispensable à la fois
Pour les Blancs et les kanaks
Accord de vie proposé
Le métisse plutôt qu'un vert catho
Le blond français
Même si maintenant
Orange France
C'est Catherine Deneuve dans les faits
Mercredi 22 mai 2024
0 notes
Text
INDOMPTABLE
J’ai toujours détesté le rose. Je préfère le bleu, pour sa complexité, sa force, sa profondeur et son éclat. J’ai toujours détesté cuisiner. Je préfère manger, même si, nous le savons tous, c’est très mal vu pour une femme de manger beaucoup et sans complexes. J’ai toujours voulu réussir professionnellement. Ambitieuse, carriériste, arriviste, égoïste, j’ai tout entendu. Je ne veux pas de famille. Je ne veux rien construire, rien qui m’attache définitivement à un endroit ou à quelqu’un. J’ai une soif débordante de liberté, dont les crues défient les barrages de la société. Je veux créer, pas concevoir. Je veux aimer, pas élever. Parti pris, on ne peut pas tout avoir. Lorsque j’étais enfant, au lieu de fabriquer à mes poupées un foyer agréable, décoré, avec un mari et des bambins attablés autour du rôti du dimanche, je leur rasais la tête, je leurs dessinais à l’indélébile des tatouages immenses, le long du dos, je leur perçais les oreilles, leur trouais les jeans, leur noircissais les paupières de fard approximatif, fabriqué à partir de crayons de couleur. Des poupées à qui je ressemble un peu, maintenant que j’y pense. Je les faisais enjamber des motos, conduire des vans, piloter des avions. J’ai toujours aimé les moteurs. Dans leurs bruits graves, je retrouve un peu de ma voix rauque au lendemain de l’ivresse, avant le premier café du matin. Dans leur constance, je retrouve un peu de ma détermination, lorsqu’obstinée je m’affaire à mener à bien tout ce que j’entreprends. Dans leur simple conception j’y vois ma liberté chérie, celle de sauter dans un car et de plier bagage, pour une durée indéterminée. Mon seul contrat à durée indéterminée, c’est celui que j’ai signé avec le reste du monde, me promettant de traverser chacune de ses frontières, de fouler tous ses déserts, de palper toutes ses neiges et de longer toutes ses côtes, de brasser tous ses océans, escalader toutes ses montagnes et admirer les plafonds de toutes ses cathédrales. Je veux continuer à me ficher de tout, à ne jamais avoir d’horaires ou d’autres préoccupations que celle d’apprécier plus encore demain ce qui m’aura émerveillé aujourd’hui. Je veux continuer à faire mien chaque rayon de soleil, à boire les gouttes de pluie comme une enfant, sauter dans les flaques avec mes baskets sales, m’asseoir dans l’herbe pour lire toute une après-midi, aller seule au cinéma, admirer une inconnue. Je veux continuer à nourrir mon âme d’enfant dans mon corps d’adulte qui traverse les années comme autant de pas vers de nouveaux horizons. Et, vous l’aurez compris, explorer est ma seconde nature.
INDOMABLE
Siempre odié el rosa. Prefiero el azul, por su complejidad, su fuerza, su profundidad y su brillo. Siempre odié cocinar. Prefiero comer, aunque, como todos sabemos, está muy mal visto que una mujer coma mucho y sin complejos. Siempre he querido tener éxito en mi trabajo. Ambiciosa, obsesionada por la carrera, arribista, egoísta, me han llamado de todo. No quiero familia. No quiero construir nada, nada que me ate definitivamente a un lugar o a alguien. Tengo una sed desbordante de libertad, cuyos derrames desafían las barreras de la sociedad. Quiero crear, no concebir. Quiero amar, no criar. Decisión propia, no se puede tener todo. Cuando era pequeña, en vez de hacerles a mis muñecas un hogar agradable, decorado, con un marido y unos niños sentados alrededor del asado del domingo, les rapaba la cabeza, les dibujaba tatuajes inmensos a lo largo de la espalda con rotuladores de tinta permanente, les perforaba las orejas, les agujereaba los vaqueros, les oscurecía los párpados con maquillaje experimental, hecho a base de lápices de colores. Muñecas a las cuales me parezco un poco, ahora que lo pienso. Les hacía montar en motocicletas, conducir furgonetas, pilotar aviones. Siempre me gustaron los motores. En sus graves ruidos, encuentro un poco de mi voz ronca al día siguiente de la embriaguez, antes del primer café matutino. En su constancia, recupero un poco de mi determinación cuando, obstinada, me encargo de llevar a cabo todo lo que me propongo. En su simple concepción veo mi libertad querida, la de saltar en un autobús con mi mochila, por un tiempo indeterminado. Mi único contrato indefinido es el que firmé con el resto del mundo, prometiéndome cruzar cada una de sus fronteras, pisar todos sus desiertos, palpar todas sus nieves y recorrer todas sus costas, nadar en todos sus océanos, escalar todas sus montañas y admirar los techos de todas sus catedrales. Quiero que nada siga importándome, no quiero nunca imponerme ningún horario ni tener otras preocupaciones que la de apreciar aún más mañana lo que me ha maravillado hoy. Quiero seguir haciendo mío cada rayo de sol, beber las gotas de lluvia como una niña, saltar en los charcos con mis zapatillas sucias, sentarme en el césped para leer una tarde entera, ir sola al cine, contemplar a una desconocida. Quiero seguir alimentando mi alma infantil en mi cuerpo adulto que atraviesa los años como muchos pasos hacia nuevos horizontes. Y, ya lo habrán entendido, explorar es mi segunda naturaleza.
Le texte original, en français, a été publié dans le magazine en ligne Simone.
0 notes
Text
Ne laissez pas vos casseroles briller plus que vous. Ne prenez pas si au sérieux le nettoyage de la maison. La vie est courte, profitez-en ! Enlevez la poussière si nécessaire. Mais prenez du temps pour peindre un tableau ou écrire un poème, promener ou rendre visite à un ami, cuisiner ce que vous voulez, arroser vos plantes... Ayez du temps libre pour boire une bière, nager à la plage (ou piscine), escalader des montagnes, jouer avec des animaux, écouter de la musique, lire des livres, cultiver vos amis et profiter de la vie. Enlevez la poussière si nécessaire mais la vie continue à l'extérieur. Tu sais que ce jour ne reviendra jamais. Enlève la poussière si nécessaire mais n'oublie pas que tu vieilliras et que beaucoup de choses que tu peux faire maintenant ne seront pas si faciles à faire dans la vieillesse. Et quand tu sortiras, puisque nous partirons tous un jour, tu deviendras aussi poussière. Et personne ne se souviendra du nombre de factures que vous avez payées, ni de votre propre maison, mais ils se souviendront de votre amitié, de votre joie et de ce que vous avez enseigné.
5 notes
·
View notes
Text
Faites du sport cet hiver, gardez la forme
L’hiver frappe à nos portes, les températures baissent incroyablement, la luminosité s’affaiblit. En somme, un joli combo de démotivation. Qui n’a jamais trouvé l’excuse du froid pour ne pas bouger et rester au chaud ? Et pourtant ! Faire de l'exercice est essentiel en période hivernale. Hiver et sport ne sont pas incompatibles. Non ! Faire du sport en hiver réchauffe le corps et donne une énergie po-si-ti-ve à notre esprit. Oui ! Découvrez, dans cet article, quelques astuces et activités pour garder la forme et la santé cet hiver. La préparation commence par l’alimentation : adaptez votre alimentation en fonction de l’intensité de l’effort. Elle doit être assez riche en énergie. De plus, il est nécessaire d’associer acides gras de bonne qualité et glucides complexes de bonne densité micro-nutritionnelle.Et n'oubliez pas l'hydratation, importante par temps froid. Buvez de l'eau ou des boissons sportives avant, pendant et après votre séance d'entraînement, même si vous n'avez pas vraiment soif.À présent, partez enfiler la super tenue d’hiver ! Comment bien s’équiper pour faire du sport en hiver ? Superposez les couches 1/Première couche technique avec des vêtements appelés « seconde peau »2/Deuxième couche isolante et respirante3/Troisième couche protectrice de la pluie, du vent ou même de la neige La nuit, privilégiez les couleurs réfléchissantes ou « flashy fluo » Prenez des gants, un bonnet et des lunettes de soleil. Vous pouvez également appliquer un écran solaire et un baume à lèvres pour protéger votre peau. Prête à débuter par…L’échauffement ! Évidemment ! Passage obligatoire et essentiel par temps de froid, il prépare aux entraînements. En effet, les échauffements dynamiques augmentent le flux sanguin et la température musculaire. Ainsi, ils aident à réduire le risque de blessures. Découvrez comment s’échauffer avant le sport. L’activité sportive se pratique toute l’année. La coupure hivernale est mauvaise pour la santé et se paie durement. Lors de la reprise, nous avons cette impression de revenir au point zéro/de départ.Vous êtes bien échauffées maintenant ? La séance commence ! Quelques activités de sport à tester cet hiver Le ski, la luge, des sports phares en hiver …..Oui, mais ! Il est difficile de pratiquer ces sports en ville, alors testez : Des sports EXTRA en plein air avec Le grand classique du sport en ville : le running, parfait, mais … Profitez de l’hiver pour courir en groupe, le temps passera plus vite. Inscrivez-vous dans un collectif de running dans votre ville ou renseignez-vous auprès de vos magasins de sport comme Decathlon. La plupart organise des séances collectives en plein air. L’urban training : un mix entre cardio, renforcement musculaire et étirements… Chaque type d’exercice peut être réalisé en profitant de l’environnement urbain : les escaliers, les barrières, les plots ou les bancs publics. Le bootcamp : tout droit débarqué des États-Unis, il s'inspire des sessions sportives de l'armée. Le dépassement de soi et l’esprit d’équipe sont des valeurs qui illustrent ces séances en extérieur et en groupe. Entre exercices de cardio et renforcement musculaire (pompes, squat, burpees, jumping jack….), il y aura de quoi nous faire palpiter le cœur rapidement. Le roller : il développe l’endurance autant que la marche, la course à pied ou même le vélo. Ce sport est parfait pour s’affiner tout en renforçant ses muscles et profiter des beaux jours d’hiver. Des sports en intérieur durant l'hiver La liste est longue, le cyclisme, Squash, Boxe, ping-pong, escalade, piscine. Pourquoi ne pas choisir d’autres disciplines comme : Des plus classiques.... Le patin à glace : si vous n’avez pas la possibilité d'aller en montagne l'hiver, consolez-vous à la patinoire. Le patinage favorise le développement de l'équilibre et la coordination. Le petit plus ? Il tonifie les fesses. Le cross fit : une discipline très complète de haute intensité. Il vous fera travailler chaque muscle de votre corps et brûler beaucoup de calories. De quoi préparer le terrain pour les excès des fêtes de fin d’année. Expirez, inspirez et prenez la direction de la piscine. De ce fait, les amatrices d’eau aimeront l'aquabiking ou l'aquagym ou le hockey subaquatique. Ce dernier se pratique dans une piscine, en apnée avec une mini cross et un palet de plus d’un kilo. Comme pour le hockey sur glace ou sur gazon, chaque équipe doit marquer des points en envoyant le palet dans le camp adverse. BootCamp BootCamp ....au plus fun Avec la tête hors de l’eau et sur des rythmes endiablés (ciseaux, jumping jacks ou équilibre), dansez au rythme du jumping fitness. En effet, il s’agit de la combinaison idéale pour travailler le cardio et brûler les calories tout en s’amusant. Vous êtes intéressées ? N'hésitez à consulter le jumping.fitness.Dans un autre ordre d’idée, optez pour le pole dance. Plus sexy et sans chichi, la discipline se veut artistique, technique mais aussi très sportive. Parfait pour l'hiver non ?Lancez-vous dans les sports de combat (enchaînement des coups, combinaisons, réactions) avec le Krav maga. Ce sport se résume en deux mots : efficacité et simplicité. De plus, il apporte des réponses concrètes pour toutes les femmes en termes de self défense. En définitive, on reprend rapidement la confiance en soi, en améliorant sa condition physique et sa coordination. La séance touche bientôt à sa fin ! Il ne nous reste plus qu’à apprécier les meilleurs moments après l’effort… Les 7 bienfaits de l’effort Faire du sport pendant l'hiver améliore la santé et le bien-être. ❄️Le sport est un véritable vecteur de LIEN SOCIAL. Il permet de partager et de rencontrer d'autres sportifs.❄️Faire de l'exercice en hiver, c’est BRÛLER plus de CALORIES. Votre corps a besoin d'énergie pour garder l’intensité pendant l'exercice et maintenir la température de votre corps par temps froid. ❄️Vous TONIFIEZ votre cœur : vous renforcez vos muscles cardiaques et vous aidez votre corps à mieux gérer les efforts soutenus. Sans parler du stress de la vie de tous les jours ! ❄️Vous êtes moins sensible au froid et vous renforcez VOTRE SYSTÈME IMMUNITAIRE. Votre corps va absorber la lumière du soleil et produire de la vitamine D. A lire également : Pilates, méthode de sport idéale ? ❄️Faire du sport l’hiver rend PLUS HEUREUSE. L’activité physique intense amène votre corps à libérer des endorphines. Nous vous proposons des conseils pour déjouer la déprime hivernale ou garder le moral cet hiver.❄️Et le meilleur élément de motivation : faire du sport l’hiver empêche LA PRISE DE POIDS. Entre les repas des fêtes, les envies de réconforts alimentaires à la suite de l’arrivée du froid et l’envie irrépressible d’hiberner, il y a de quoi cumuler les kilos sur la balance. Et lorsque le printemps arrive, le besoin de perdre du poids avant le début de la saison des maillots de bain, devient obsessionnel.❄️Sans miracle et LA MEILLEURE SOLUTION.Faites de l'exercice pendant les mois les plus froids. Ainsi, vous garderez votre corps en pleine forme. Mieux dans votre peau, vous risquez même d’y prendre goût ! ❄️ Read the full article
0 notes
Text
Retour photo à Sedona. Deux jours sublimes entre randonnées et escalade. Cet endroit est vraiment somptueux avec des montagnes spectaculaires autant en taille, en formes escarpées et en couleur. On a eu un temps parfait. La chaleur sèche est agréable en revanche cela doit devenir un four plus tard dans l été. La floraison des cactus commence juste. Un regal pour les yeux sans toucher!
0 notes
Text
"Vieillir. c'est comme escalader une grande montagne en grimpant, les forces diminuent, mais le regard est plus libre, la vue plus large et plus sereine" (Ingmar Bergman)
“Vieillir. c’est comme escalader une grande montagne en grimpant, les forces diminuent, mais le regard est plus libre, la vue plus large et plus sereine” (Ingmar Bergman) Vieillir, c’est un voyage singulier, une ascension solitaire à travers les vallées du temps. Chaque pas est une empreinte laissée sur le sol de mon existence, chaque ride une marque gravée sur mon visage par les années…
View On WordPress
0 notes