#entre nos mains
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Akata appreciation post and manga haul đ
I didn't buy all of them at once but I did buy them pretty recently
Love Mix-Up is almost over in France, only 2 volumes left! And I started buying Boys Run the Riot because I realised I could spend my money now, especially on stuff I really loved reading digitally
Once again, Akata is THE manga publisher to me, they're always coming out with amazing titles, a lot of them with queer themes and storylines. They're even going to publish She Loves to Cook, She Loves to Eat (my review here) in France, which is amazing. Even when their titles aren't queer, they're amazing: Night view on the Factory was just zjfjzuej (look up the TW though). They're a small but passionate team and it really shows that they love what they're doing
Anyways, if you're curious what these are about:
My post about Boys Run the Riot
My post about Love Mix-Up
Entre Nos Mains
English title: Run Away With Me, Girl
Original title: Kakeochi Girl / ăăăăĄăŹăŒă«
Genres: Drama, Romance, Slice of Life
Themes:Â Adultery, Homosexuality
Japanese volumes: 16 (Finished)
Makiâs first love was her high school classmate, a girl named Midori. But Midori broke up with Maki at graduation, saying they were now âtoo old to be fooling around dating girls.â Ten years later, Maki still canât get Midori off her mind, and when the two women reconnect after a chance encounter, Maki realizes that, while her feelings havenât changed, Midori has long moved onâin fact, sheâs engaged. Yet the more Maki hears Midori talk about her soon-to-be-husband, the more red flags she notices...
Absolutely fell in love with the art and then the story punched me in the guts in the best way. The characters are complex and while they may not be entirely lovable, they are wholly human. And I really loved that
Some trigger warnings apply though, so I'll list the ones that come to mind*: cheating, domestic violence, gaslighting, misogyny, internalised homophobia
*Note that those are the ones I remember from what little I've read of this story and other TW may apply. Please try to look up a more complete list if you have any doubts. Take care of yourself âš
#manga haul#book haul#akata#i love this publishing house so much i'm willing to give their isekai a try#i HATE isekai with a passion#boys run the riot#my love mix up#love mix up#entre nos mains#run away with me girl#kakeochi girl#books#booklr#booklr community#manga#manga recs#manga recommendation#queer manga#lgbt+ manga
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devenue une personne adulte coste hubert
aimer ses protecteurs parants
jour apres jour tendrement
avant qu'elles voyages parmi les nuees
#qui entre leurs mains paternelles#qui entre leurs paumes maternelles#nous ont bercé jusqu'a nos yeux se ferment#pour la patrie des milles et une reveries
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En 15 ans de RP, je n'ai jamais vu ça
J'exprime rarement mes états d'ùme sur tumblr mais là ...je dois dire que je suis sur le cul et je suis profondément blessée...
Cela fait presque 2 ans et demi que je joue un "scénario" sur un forum. Mon activité n'est pas fifolle mais le staff répétant à longueur de temps IRL avant tout, je me suis jamais inquiété. J'ai été raisonnable et je n'ai jamais demandé de DC.
J'ai traversé une petite période à vide en mars et puis je me suis pris par la main et j'ai discuté par MP avec les principaux liens du personnage des évolutions du personnage. Tout allait bien.
Il y a un mois, je reçois un MP pour discuter de l'avenir de mon personnage et l'Ă©volution du lien entre nos 2 persos. Adorant notre lien, je suis hype. Mon erreur a peut ĂȘtre de ne pas avoir rĂ©pondu dans la semaine, mais avoir attendu 10 jours car mon IRL Ă©tant un peu prenant en juin. Et depuis, silence radio. Je me dis naĂŻvement qu'elle a pas le temps de me rĂ©pondre et pour moi c'est OK.
Aujourd'hui, je reçois un message du compte staff avec en titre "activité". Je comprend pas, on est pas en fin de mois et j'ai posté 2 rp le 3/07. Et là ...je découvre qu'on me demande de changer de personnage car la joueuse ne trouve plus son compte vis à vis de mon activité et aimerait faire évoluer le personnage (probablement plus vite). Je n'ai jamais vu ça. Oui je suis pas une lumiÚre, je veux bien le reconnaßtre. Mais était-ce si terrible de venir me voir et me le dire en face ? Alors que ça fait 2 ans qu'on échange et RP ensemble... et que tout c'est toujours bien passé.
En 15 ans de rp, jamais j'ai reçu ce genre de MP, de message. Pourtant j'en ai foulé des forums, j'en ai joué des personnages, pris des scénarios/PV. Jamais on m'a dit que l'IRL avant tout et de me dire que mon activité va pas... Si j'avais eu plusieurs compte ok... mais c'est mon seul et unique compte sur ce forum.
Je suis dégoutée...
Conclusion : si vous avez un soucis avec votre partenaire, allez le voir et PARLEZ LUI ! Soyez honnĂȘte et sincĂšre. A chaque problĂšme sa solution et souvent en parlant entre adulte tout se rĂšgle tranquillement.
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Si nous imaginions un monde meilleur et Ă travailler ensemble pour le rĂ©aliser ? Entre rĂȘve et rĂ©alitĂ©, il y a un trait d'union qui s'appelle l'amour....alors, mettons cet amour fraternel au cĆur de nos cĆurs et au cĆur de ce monde, main dans la main, pour aller plus loin, plus haut, lĂ oĂč l'amour est Roi ! đ
Que votre dimanche, chers amis, soit revĂȘtu de paix et d'amour ! Soyez heureux et prenez soin de vous ! đ«¶
#au-jardin-de-mon-coeur âïž
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DĂ©cembre est la fin qui ressemble Ă un dĂ©but. DĂ©cembre remplit nos cĆurs de misĂ©ricorde et d'humilitĂ©.
DĂ©cembre est le temps des miracles, le temps des contes de fĂ©es, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'annĂ©e. Parfois le plus cher Ă notre coeur. Une sĂ©rie de moments magiques pour les familles. Les gestes du cĆur, l'affection, la chaleur du mois de dĂ©cembre sont disposĂ©s de maniĂšre tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arriĂšre-plan enneigĂ© et rĂ©fracte nos rayons de soleil prĂ©fĂ©rĂ©s dans un arc-en-ciel colorĂ© d'espoirs pour un dĂ©but colorĂ©. DĂ©cembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc⊠Comme une feuille sur laquelle on Ă©crit les moments passĂ©s et les projets d'avenir⊠entre les lignes du bilan. L'Ă©valuation pour savoir si nous avons Ă©tĂ© bons, si nous avons Ă©tĂ© plus heureux au cours de l'annĂ©e Ă©coulĂ©e, ce que nous serons au cours de la nouvelle annĂ©e⊠Nous colorons de nouveaux rĂȘves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronĂ©es pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver aprĂšs des levers de soleil encore plus beaux. DĂ©cembre est la flamme dans la cheminĂ©e, qui est allumĂ©e par les Ă©tincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. DĂ©cembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend rĂ©els. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanitĂ©, de la foi, de l'espoir et du partage ! DĂ©cembre est notre priĂšre⊠Ne pas ĂȘtre seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santĂ© ! Que nos cĆurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bĂ©nis⊠Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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Ce matin, jâai esquivĂ© un pigeon kamikaze, le genre de bestiole qui te fait croire que mĂȘme les volatiles ont un contrat sur ta tĂȘte. La bestiole s'est tirĂ©e avec un croissant, me laissant avec la dĂ©sagrĂ©able sensation que mĂȘme le petit-dĂ©j' est une lutte pour la survie. Alors, je me suis dit, "ok, si mĂȘme les oiseaux se foutent de ma gueule, câest peut-ĂȘtre le moment de rĂ©Ă©valuer mes prioritĂ©s." Jâai continuĂ© ma route, enfilant les rues comme des perles sur un collier bon marchĂ©, avec ce sourire en coin qui dit âla vie, câest une farce, et moi, jâen suis le clown involontaireâ. Entre deux regards mal interprĂ©tĂ©s et une poignĂ©e de mains moites, jâai croisĂ© un type qui semblait avoir perdu une bataille contre ses propres vĂȘtements. Ăa mâa rappelĂ© que, finalement, on est tous lĂ Ă essayer de ne pas se vautrer, que ce soit sur un trottoir bancal ou dans nos foutues existences. Alors ouais, jâai rigolĂ©, parce quâau fond, quâest-ce que tu veux faire dâautre ? Rire, câest lâultime pied-de-nez Ă cette mascarade quâon appelle la rĂ©alitĂ©.
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand mĂȘme un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'ùge limite pÚre/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. MalgrĂ© la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgitĂ© tout l'aprĂšs-midi commence Ă faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ăa va des mecs qui cuvent sur un talus Ă ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent Ă leur portĂ©e dans le but inavouĂ© de dĂ©clencher une bagarre.
Notre groupe dĂ©courage les emmerdeurs mĂȘme si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont Ă©vidents, plus collĂ©s/serrĂ©s.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitiĂ© de notre groupe nous suit Ă plus de 20 mĂštres derriĂšre. Ils sont plein de biĂšre et nous insultent. MĂȘme si nous leur faisons savoir que nous sommes tout Ă fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas lĂ et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu frĂ©quentĂ©e du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La premiÚre ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derriÚre. Eux sont armés de chaines. Moins drÎle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent rĂ©glos en avançant un par un.  J'engage le premier qui se prĂ©sente. Contrairement Ă ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore trĂšs lucide ! On fait Ă peu prĂšs la mĂȘme taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrĂȘter direct. Il s'agit de frapper trĂšs fort avec le plat de la main situĂ© Ă l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la thĂ©orie, car c'est Ă©vident qu'on n'a pas essayĂ© ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe Ă l'endroit voulu. Ăa marche !! Le mec tombe Ă mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidĂ©rĂ©s. Ăa devait ĂȘtre leur leader car ils restent comme des cons sans rĂ©agir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couchĂ©. Il nous rassure tous, oui mĂȘme moi. Le mec est juste assommĂ©. Les copains nous rejoignent. Ăa finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus Ă©clairĂ©s en discutant de l'efficacitĂ© de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutĂŽt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient mĂȘme d'avoir Ă©tĂ© trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos reprĂ©sentants de l'ordre public. On Ă©tait lĂ pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmĂ© la scĂšne avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidĂ©o. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe Ă notre prochaine sĂ©ance d'entrainement.     Â
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour Ă©couter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du cÎté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au chùteau.
Notre hĂŽte n'est pas encore couchĂ©. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prĂ©vus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'Ă©cran plat. Les professionnels (gendarmes) et mĂȘme les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc Ă ne pas louper. Les mĂ©decins expliquent le phĂ©nomĂšne. Ăa ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situĂ©s Ă l'avant du cerveau contrĂŽlent la parole et le langage, le raisonnement, la mĂ©moire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gĂšre les mouvements du cĂŽtĂ© gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la premiĂšre fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'Ă©viter de nous entrainer sur nous-mĂȘme. Chaque choc Ă la tĂȘte provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
RĂ©veils dĂ©cousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me rĂ©veiller et dĂ©tendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un cafĂ© accompagnĂ© d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester lĂ et pars chercher son t-shirt dans le sac restĂ© dans l'entrĂ©e. Quand je reviens il est toujours plantĂ© Ă cĂŽtĂ© de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le dĂ©plie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifiĂ© son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et aprĂšs m'ĂȘtre rincĂ© l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-Ă -dire 1 en dessous. Ăa le moule bien et on devine le modelĂ© de ses abdos. Pour les pecs, c'est Ă©vident et de profil mĂȘme ses tĂ©tons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prĂ©vu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand mĂȘme qu'il les ait dĂ©posĂ©s avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprĂ©cier le-t-shirt bien sĂ»r !!
Nous arrivons Ă le faire bander mĂȘme s'il n'est pas persuadĂ© de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en premiÚre place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront à quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus ĂȘtre collĂ©s tout le temps Ă se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris Ă partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ăa parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sĂ»r mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvĂ©gien et suĂ©dois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive Ă deviner !
On n'est pas les seuls Ă ĂȘtre torse nu mais on est le groupe le plus homogĂšne question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au chùteau.
Nicolas nous attendait. On se met Ă poil et directs dans la piscine. Comme c'est Ă©vident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne dĂ©tente musculaire et ça dĂ©rape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les cĂŽtĂ©s juste au moment oĂč Nicolas arrive avec les biĂšres fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre dĂ©lire mais il recule et me dit que son cuisinier est lĂ et qu'il ne veut pas ĂȘtre en porte Ă faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empĂȘcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin mĂȘme. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne Ă la piscine. Il pose sa poĂȘle se retourne (oui je l'avais attrapĂ© de dos) et me dit que c'est impossible elle est rĂ©servĂ©e aux clients. Il m'Ă©nerve ! Je le bascule sur mon Ă©paule et le porte jusqu'Ă la piscine oĂč je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre Ă baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dĂ©pucelĂ©.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau Ă dĂ©vĂȘtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gĂȘnĂ© jusqu'Ă ce que Louis se mette Ă tĂ©ter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face Ă moi. Le mec est canon de corps (tĂȘte normale) surtout un bassin Ă©troit qui porte une belle bite aux couilles rasĂ©es et pubis dĂ©gagĂ©, raide comme un bĂąton.
Les deux " expulsĂ©s " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptĂ©e et mĂȘme voracement acceptĂ©e. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les Ă©carter. Il serre ses fessiers et m'empĂȘche quelques secondes d'accĂ©der Ă sa rondelle. On continue Ă se mĂ©langer nos langues et Ă frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tĂ©tons durcissent contre les siens. Il lĂšve ses bras pose ses mains derriĂšre ma tĂȘte et appui histoire de me retenir au cas improbable oĂč j'aurais souhaitĂ© le laisser tomber !
Il relùche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dÚs que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tĂȘte, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut ĂȘtre ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'Ă©tait pas Ă©vident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthĂšse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tĂȘte jusqu'Ă ses tĂ©tons dĂ©jĂ raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gĂ©mir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflĂ© Ă en Ă©clater. Je m'empresse de tempĂ©rer son extrĂ©mitĂ©. J'ouvre la bouche et aprĂšs l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. LĂ©chages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son mĂ©at, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien Ă©craser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'Ă©touffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gĂ©mir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrĂȘt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'Ă©trangle deux fois avant de se contenter de me tĂ©ter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-mĂȘme qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collĂ© contre moi. Il roule du bassin jusqu'Ă ce que ma bite se calle entre ses fesses. LĂ , il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnĂ©e alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle Ă l'oreille que j'adorerai lui dĂ©foncer la rondelle. RĂ©ponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la mĂȘme longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand mĂȘme deux doigts bien profond pour graisser l'entrĂ©e. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se dĂ©tendre. J'accentue ma pression et mon gland pĂ©nĂštre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue Ă ma prĂ©sence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pĂ©nĂ©tration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts.  Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sĂ»rement pas le premier. Il tourne la tĂȘte, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand mĂȘme pas sa pratique habituelle et que sa derniĂšre sodo remontait Ă quelques mois quand mĂȘme.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pùte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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You are my absolute desire.
Comme un cri s'arrache de ma gorge - la nuit entre mes mains - flots sombres que ne taisent plus rien. Et tes ramures qui m'effleurent et s'Ă©talent tout autour de mes hanches - corolles de mes rĂȘves oĂč je m'enracine Ă ta peau.
Les bois nous Ă©treignent et nous bercent - perdus l'un Ă l'autre dans une immensitĂ© sauvage - impossible fuite oĂč je t'adore pourtant Ă hurler le cristal - qui s'Ă©coule entre mes tremblements, entre mes doigts les perles, et ton regard dĂ©finitif... Lueurs Ă©maillĂ©es - passage changeant. Tes visions. A jour sur ma peau - regards nus - lumiĂšres, obscuritĂ©s, des feux qui bougent - impossibles extases de tes Ă©lans... Viens ! - dans mes bras sombrer. Jusqu'au plus haut matin - oĂč les branches Ă©cartĂ©es n'arrĂȘteront pas nos caresses. ImpossibilitĂ©s... fĂ©roces... oĂč tes dents s'enfonceraient encore si...
Le sang jaillissait.
De mes voluptĂ©s ivres. A t'entrouvrir au cĆur des forĂȘts - mes mains rapides s'efforcent - et demeurent anonymes... Ă tes cĂŽtes, je sens battre un ciel frĂ©nĂ©tique - que mes lĂšvres viendraient boire si...
Le soir tombait. Tout s'était refermé comme un astre.
SĂ©rĂ©nitĂ© brutale. Je retournais la terre de mes doigts - qui s'enfonçaient - qui s'enfonçaient... Ă creuser tes dĂ©sirs et rencontrer la foudre - qui m'habite. Surgissement... je me fige - intolĂ©rable... exaltation - je m'Ă©lance. Ton cĆur Ă mes lĂšvres.
Et ma bouche en sang.
Luxures possibles oĂč s'excĂšdent - des mondes. L'arbre Ă©ventrĂ© - l'Ă©clair qui m'unit - un Ă©clat. Ta main vrille - je m'abandonne ; et nos Ă©garements... sans cesse - ramĂšnent au cĆur. De l'ĂȘtre. LĂ - je nous sais essentiels. Unis par soif - dĂ©voration - absoluitĂ©. OĂč les bois nous Ă©treignent. Et nous empoisonnent - nous rendant Ă nous-mĂȘmes. A la jouissance de l'ĂȘtre - et aux dĂ©sirs des astres...
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Welcome to this new series which we will cooperate with @garupan_fan.katyusya and with that said let's start. - What is a samurai? He was a warrior of the 8th century, in his origins they used the bow and not the katana, later they will use other weapons and combat techniques. In this post we are going to focus on the following characters: Mitsuhide, Toshimitsu Saito and Hideyoshi Mideyashi. - Mitsuhide is known to finish off Oda Nobunaga, Mitsuhide would eventually be killed by Hideyoshi Mideyashi. Who was Toshimitsu? He was the main vassal of the Akechi family and father of Kasuya. Saito died on June 17, 1582, his origin and year of birth are unknown. Mitsuhide would kill Oda Nobunaga after the Yamazuki battle. - I hope you liked it and see you in future publications on Japanese history, archeology and geography, among other topics. Have a good week. - @garupan_fan.katyusya ăšććăăăăźæ°ăăă·ăȘăŒășăžăăăăă - ă”ă ă©ă€ăšăŻïŒ ćœŒăŻ 8 äžçŽăźæŠćŁ«ă§ăăăćœŒăźè”·æșă§ăŻćă§ăŻăȘăćŒăäœżçšăăŠăăŸăăăăćŸă«ä»ăźæŠćšăæŠéæèĄăäœżçšăăăăă«ăȘăăŸăă ăăźæçšżă§ăŻăć
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Bienvenidos a esta nueva serie en la que cooperaremos con @garupan_fan.katyus y dicho esto comencemos. - ÂżQuĂ© es un samurĂĄi? Fue un guerrero del siglo VIII, en sus orĂgenes usaban el arco y no la katana, posteriormente usarĂĄn otras armas y tĂ©cnicas de combate. En este post nos vamos a centrar en los siguientes personajes: Mitsuhide, Toshimitsu Saito y Hideyoshi Mideyashi. - Se sabe que Mitsuhide acabĂł con Oda Nobunaga, Mitsuhide eventualmente serĂa asesinado por Hideyoshi Mideyashi. ÂżQuiĂ©n fue Toshimitsu? Fue el principal vasallo de la familia Akechi y padre de Kasuya. Saito muriĂł el 17 de junio de 1582, se desconoce su origen y año de nacimiento. Mitsuhide matarĂa a Oda Nobunaga despuĂ©s de la batalla de Yamazuki. - Espero que os haya gustado y nos vemos en prĂłximas publicaciones sobre historia, arqueologĂa y geografĂa japonesas, entre otros temas. Ten una buena semana.
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Comment a-t-on pu en arriver lĂ Â ? Ă mesure que lâon feuillette la bande dessinĂ©e, la question se rĂ©pĂšte, sâamplifie, jusquâĂ former une tornade dâincomprĂ©hension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux Ă©ditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent Ă des singes. Dâautres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncĂ©, des lĂšvres surdimensionnĂ©es dâune couleur rosĂ©e et, parfois, des grandes mains et une mĂąchoire prognathe.Â
Les reprĂ©sentations sâĂ©talent sur des dizaines de pages et pourtant, lâĆuvre a Ă©tĂ© relue, Ă©ditĂ©e et diffusĂ©e massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de lâalbum tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande dâĂ©coterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquĂȘte les mĂšne sur un porte-avions de lâarmĂ©e amĂ©ricaine, subtilement baptisĂ© USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes Ă©colos. Ă bord de lâUSS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutĂŽt, « furtif », comme lâaffirme en riant lâamirale Denzelle Jackson Ă bord, une grosse femme noire aux immenses lĂšvres roses et au cou poilu.Â
Au tĂ©lĂ©phone, le dessinateur de lâalbum, Dany, tente de nous expliquer la « blague » : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas ĂȘtre dĂ©celĂ© par les radars. Câest un navire âfurtifâ. La dimension furtive est amusante. Dâailleurs, la pacha [commandante du navire â ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] Câest ça qui amusait beaucoup le scĂ©nariste et qui mâa fait rire aussi. CâĂ©tait une bonne trouvaille, un Ă©quipage complĂštement noir... »Â
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand jâai dĂ©couvert les dessins, jâai eu lâimpression que câĂ©taient des animaux qui Ă©taient dessinĂ©s, et non des humains », sâĂ©tonne le blogueur Seumboy.Â
« Retrait de lâouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup dâinternautes, dĂ©couvert lâexistence de Spirou et la Gorgone bleue aprĂšs quâune Française a diffusĂ© une courte vidĂ©o sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », prĂ©sente-t-elle en feuilletant les pages de lâalbum, paru en rĂ©alitĂ© un an plus tĂŽt. Sa vidĂ©o est reprise sur dâautres rĂ©seaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et gĂ©nĂšre des trombes de commentaires indignĂ©s.
ContactĂ©es par Mediapart, les Ă©ditions Dupuis ont rĂ©pondu ce jeudi par voie de communiquĂ©, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colĂšre ressentie devant la reprĂ©sentation des personnes noires et des femmes » dans lâĆuvre mise en cause.
« Nous sommes profondĂ©ment dĂ©solĂ©s si cet album a pu choquer et blesser. Cet album sâinscrit dans un style de reprĂ©sentation caricatural hĂ©ritĂ© dâune autre Ă©poque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de lâimportance que reprĂ©sente la bande dessinĂ©e en tant quâĂ©diteur et plus largement le livre dans lâĂ©volution des sociĂ©tĂ©s, nous prenons en ce jour la pleine responsabilitĂ© de cette erreur dâapprĂ©ciation. Câest pourquoi nous tenons Ă prĂ©senter nos plus sincĂšres excuses. »
La maison explique avoir « mis en Ćuvre le retrait de lâouvrage de lâensemble des points de vente ». Lâalbum se serait toutefois trĂšs bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe quâelle aurait mĂȘme Ă©tĂ© rĂ©imprimĂ©e. Elle avait Ă©tĂ© tirĂ©e en septembre 2023 Ă 22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom.Â
Lâunivers de Spirou, popularisĂ© par Franquin, est dense. Dâun cĂŽtĂ© sâĂ©graine, depuis les annĂ©es 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numĂ©ro est paru cet automne. De lâautre, une sĂ©rie dĂ©rivĂ©e« Le Spirou de... »permet Ă la maison dâĂ©dition de dĂ©cliner la franchise en demandant Ă des dessinateurs de rĂ©interprĂ©ter le cĂ©lĂšbre hĂ©ros Ă leur sauce.
Câest lĂ que Yann et Dany entrent en scĂšne. Le premier est scĂ©nariste de BD, lâautre auteur et dessinateur. Ă 81 ans, Dany est un incontournable du neuviĂšme art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresdâOlivier Rameau, un hĂ©ros rĂȘveur et son acolyte fĂ©minine hypersexualisĂ©e en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les Ă©ditions Dupuis sont venues le chercher pour dĂ©velopper ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordĂ©e aux Amis de la BD en 2023.Â
Le processus de crĂ©ation a visiblement pris du temps. LâĂ©diteur qui avait dĂ©marchĂ© Dany est remplacĂ© en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmĂ© en voyant la tĂȘte de certains personnages. « Le nouvel Ă©diteur mâa dit : âTu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.â Alors jâai changĂ©, on a refait pas mal de visages⊠Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany Ă Mediapart.Â
La bande dessinĂ©e que lâon connaĂźt aujourdâhui aurait donc dĂ©jĂ fait lâobjet de modifications. Câest ce quâa confirmĂ© Julie Durot, la directrice gĂ©nĂ©rale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a Ă©tĂ© signĂ© il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivĂ©e, nous avons Ă plusieurs reprises demandĂ© des modifications Ă son dessinateur, Dany. Câest un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, Ă©taient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi lâĂ©diteur a quand mĂȘme publiĂ© lâalbum alors quâil ne semblait pas satisfait. Refuser dâĂ©diter ce Spirou aurait Ă©tĂ© Ă perte, mais cela aurait Ă©vitĂ© une grosse polĂ©mique »,souligne Lloyd ChĂ©ry, rĂ©dacteur en chef adjoint de MĂ©tal hurlant, un magazine de rĂ©fĂ©rence sur lâunivers de la BD.
Peu de remise en question
AuprĂšs de Mediapart, le dessinateur alterne aujourdâhui entre excuses et justifications. « Sâil faut retenir quelque chose, câest que je suis dĂ©solĂ© si jâai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les rĂ©actions. « Jâai peut-ĂȘtre un peu forcĂ© la main, peut-ĂȘtre que jâai fait une erreur⊠Cela dit, lâalbum est sorti en septembre 2023, jusquâici, je nâai eu aucune critique. »Â
Dany dĂ©fend la « caricature » qui, « par dĂ©finition, consiste Ă forcer le trait ». Et dâexpliquer un raisonnement Ă faire sâĂ©vanouir des militants antiracistes : « Il est Ă©vident que la plupart des Africains, enfin presque tous dâailleurs, ont des lĂšvres plus Ă©paisses, plus grosses que les Blancs, câest un fait. Ăa fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, quâil considĂšre Ă©galement avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble Ă Trump, ce nâest pas particuliĂšrement gentil non plus⊠Et puis Ă ce moment-lĂ , jâaurais aussi dĂ» refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il Ă propos de lâacolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « Jâaurais dĂ» faire gaffe Ă ne pas dessiner les Noirs comme dans les annĂ©es 1960 ou 1980, câest sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de lâunivers de Spirou. Mon modĂšle absolu, câest Franquin, câest le genre de dessins quâil faisait. Jâen suis vraiment dĂ©solĂ© et je voudrais prĂ©senter toutes mes excuses Ă ceux que jâaurais pu blesser, car câest totalement involontaire. Jâai peut-ĂȘtre beaucoup de dĂ©fauts, mais je ne suis pas raciste, ça, câest certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve dâune inclination Ă dĂ©shumaniser les personnes noires, qui nâest pas propre Ă la BD de Spirou. Le dessin montre, dâun cĂŽtĂ©, les deux personnages blancs crĂ©Ă©s par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, sâopposer Ă un groupe de cinq personnes racisĂ©es. « Ăa ne va pas ĂȘtre facile de les intĂ©grer, ces deux-là  », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entourĂ© dâautres personnages racisĂ©s. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, Ă©taient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la thĂ©orie raciste du « grand remplacement ».
Le blog regorge Ă©galement de dessins de femmes nues ou hypersexualisĂ©es, comme câest le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signĂ©e Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe.Â
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte quâil ne sâagit pas dâune erreur de jeunesse, mais dâune prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, crĂ©ateur et animateur du site de vulgarisation de lâhistoire coloniale Histoires CrĂ©pues. Le message quâil essaye de dĂ©livrer, câest que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux Ătats-Unis et que si lâon nây prend pas garde, la sociĂ©tĂ© multiculturaliste amĂ©ricaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de lâesthĂ©tique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany prĂ©sente comme son modĂšle, lâiconique dessinateur franco-belge AndrĂ© Franquin, crĂ©ateur du Marsupilami et illustrateur rĂ©gulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-mĂȘme une façon bien particuliĂšre de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les PygmĂ©es, paru pour la premiĂšre fois en 1949, lâauteur de BD met en scĂšne des personnages noirs⊠dont on dĂ©couvre quâils sont en rĂ©alitĂ© « des bruns qui ne se sont jamais lavĂ©s », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui prĂ©figurait les spots tĂ©lĂ©s pour dĂ©tergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et quâon illustrait dâun Africain dont les membres ressortaient du bain dĂ©pigmentĂ©s. Dans un livre dâentretien, exhumĂ© par le journaliste spĂ©cialiste JĂ©rĂŽme Lachasse, Franquin se dĂ©fendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs.Â
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturĂ©s, et souvent dĂ©peints sous les traits dâaventuriers en quĂȘte de frissons et dâexotisme, ont des physiques avantageux et diversifiĂ©s, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et prĂ©sentent des physiques trĂšs homogĂšnes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, câest aussi faire preuve de paresse artistique, dĂ©plore Laura Nsafou, Ă©crivaine et bĂ©dĂ©iste afrofĂ©ministe. LĂ oĂč on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des diffĂ©rentes carnations ou textures de cheveux. PlutĂŽt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
Lâhistoire de la bande dessinĂ©e franco-belge recĂšle en rĂ©alitĂ© beaucoup de ces reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es, reprenant lâesthĂ©tique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rĂŽles secondaires de faire-valoir humoristiques, imbĂ©ciles et dociles. Les protagonistes noirs Ă©voluent frĂ©quemment dans des contextes de guerre, dâesclavage ou de sĂ©grĂ©gation raciale, et nâoccupent que trĂšs rarement les rĂŽles principaux.Â
Lâexemple le plus mĂ©morable reste le numĂ©ro de Tintin au Congo, oĂč lâon suit le reporter Ă houppette dĂ©jouant les piĂšges dâune bande de gangsters qui cherchent Ă mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinĂ©e Ă©tait le reflet de lâesprit paternaliste de la Belgique colonialiste du dĂ©but des annĂ©es 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de HergĂ© continuent de nourrir lâinspiration et les prĂ©jugĂ©s racistes de bĂ©dĂ©istes contemporains.Â
Plusieurs spĂ©cialistes et acteurs de la bande dessinĂ©e relĂšvent la responsabilitĂ© de lâĂ©diteur dâavoir validĂ©, aprĂšs rĂ©union du comitĂ© Ă©ditorial, une telle publication. Mais ils saluent la dĂ©cision rare de retirer des ventes le numĂ©ro et invitent Ă saisir cette occasion pour amorcer une rĂ©flexion plus large. « Il est nĂ©cessaire que les maisons dâĂ©dition de bande dessinĂ©e soutiennent dâautres narrations et proposent des rĂ©cits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de diffĂ©rentes carnations, qui vivent Ă Paris, et qui ressemblent aux gens quâon voit dans la rue et dans le mĂ©tro », milite Laura Nsafou, elle-mĂȘme autrice de plusieurs BD qui mettent en scĂšne des personnages racisĂ©s.Â
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#trÚs intéressant. ce vieux raciste de merde devrait prendre sa retraite il n'a plus sa place dans ce monde#french#upthebaguette#BD#bande dessinée#BD franco-belge#spirou#spirou et fantasio#bee tries to talk#racism#antiblack racism#misogyny
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Entre l'or du jour et les ruissellements de la pensĂ©e : les temps anciens, les chemins tracĂ©s par d'autres. Il y a autant d'avant en nous, d'autres avant nous, que d'histoires nouvelles Ă Ă©crire, Ă rĂȘver. Embrasser l'intĂ©rieur de sa main serait dĂ©jĂ goĂ»ter Ă l'avenir... Le divin dans l'eau, la rĂ©manence du soleil sous nos paupiĂšres car toute nouvelle vie porte en elle une totalitĂ© ; et seul un nouvel amour pourrait rivaliser, prĂ©tendre Ă autant d'espĂ©rance.
jacques dor
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Suite de notre soirĂ©e dans lâanse de Paulliles...
Avec Bob, nous avons prestement rejoint les filles déjà installées comme chez elles sur la mini piste de danse du club voisin, et visiblement déjà attirant tous les regards et attentions.
Je ne dansais pas souvent, prĂ©fĂ©rant regarder (un parfum de Candaulisme dans mon attitude(?) et aimait rĂ©ellement voir Ana surtout lorsquâelle pouvait trouver un beau et bon danseur avec qui la magie du rythme pouvait opĂ©rer...Jâaimais les admirer. Je nâĂ©tais vraiment pas bon danseur et ne voulait pas priver Ana de ses plaisirs, de son plaisir...Elle aimait danser jusquâau bout de la nuit dĂšs quâelle le pouvait...Moi, jâĂ©tais heureux, un verre Ă la main, Ă les regarder et admirer...Aucune jalousie...Que du bonheur...Oui, il mâapparaissait alors un indĂ©niable parallĂ©lisme de forme entre le Candaulisme et la danse...
Laisser sa partenaire choisir son cavalier... ; Â
La laisser ĂȘtre dirigĂ©e... ;
La laisser sâendiabler, aller au bout de son souffle, faire corps avec son partenaire, ĂȘtre enlacĂ©e, serrĂ©e par lui, ĂȘtre touchĂ©e, ...Bref oui beaucoup de similitudes me semblait-il en cet instant mĂȘme.
Ana virevoltait et captait déjà tous les regards, assurément les envies ...
Pour lâinstant elle dansait tout Ă tour quelques salsa et autre Mango endiablĂ©s de maniĂšre lascive avec tour Ă tour Clara et Laura, puis la soirĂ©e avançant et lâespace autour dâelles se resserrant, Ă trois...
Bob mâaccompagna au dĂ©but en partageant un verre au bar mais je me retrouvais seul rapidement car une de ses connaissances fĂ©minines de la plage et du jour lâavait invitĂ© Ă faire quelques pas sur un rythme et une musique tube de lâĂ©tĂ©...
Moi je me régalais réellement de voir Ana et nos nouvelles amies chalouper et onduler de leurs corps sublimes...
Je nâĂ©tais pas le seul dâailleurs...
De nombreux aficionados sâaventuraient au plus prĂšs dâelles...
Jâapercevais parfois, ce qui me faisait rire et mĂȘme mâenchantait, quelques mains baladeuses taquinant les trois belles qui sâĂ©taient maintenant tellement rapprochĂ©es quâon aurait pu croire quâelles ne faisaient quâune...
NĂ©anmoins Ă un moment, un des garçons prĂ©sents prĂšs des filles, rĂ©ussit Ă agripper Ana et Ă lâextraire du cocon des bras de Clara et de Laura qui continuĂšrent Ă danser tout en sâenlaçant tendrement et sensuellement...
Elles osĂšrent mĂȘme un baiser intense qui loin de calmer les ardeurs des garçons dansant prĂšs dâelles, les virent littĂ©ralement ĂȘtre phagocytĂ©es par cinq ou six danseurs qui les encerclaient...
Elles furent ainsi acculĂ©es contre un mur et un peu isolĂ©es par le noir du bord de piste contrastant avec lâintensitĂ© des lumiĂšres festives Ă©clairant le centre...
Ana dansait maintenant un peu Ă lâĂ©cart et sur la piste avec son cavalier, Ă©lĂ©gant et visiblement douĂ© pour la danse...
Ils étaient réellement beaux...
Je souriais dĂšs que je pouvais Ă Ana et elle me rendait ce sourire...
Manifestement elle prenait plaisir Ă danser avec ce jeune homme et Ă mâoffrir, elle savait que jâapprĂ©ciais, le spectacle de leurs corps enlacĂ©s et Ă©nivrĂ©s de musique.
A un moment, elle vint prĂšs de moi pour se rafraĂźchir et me prĂ©senter Ă son danseur du soir : « Daniel..., mon compagnon, mon chĂ©ri. Laurent, mon...mon partenaire de danse...Il danse super, tu as vu...Allez, on y retourne Laurent...Viens câest un slow...Daniel nous rejoindra sâil veut... ».
Elle me donna un baiser appuyĂ© dont je reconnaissais la saveur et surtout et aussi ce quâil pouvait exprimer... : Laurent lui plaisait et elle ne comptait pas en rester Ă la danse...
On avait dĂ©jĂ vĂ©cu ce genre de trio sur un slow dans une boite libertine de notre rĂ©gion ...Je ne vous dis pas comment tout cela sâĂ©tait terminĂ©...
Bob ne revenant pas, au bout de quelques instants, je nâhĂ©sitais pas Ă les rejoindre sur la piste.
Ana avait manifestement déjà pris les choses en main comme elle savait si bien le faire et se frottait contre le sexe sûrement déjà tendu du jeune homme...
Pour ĂȘtre sĂ»re de sa prise, elle tenait mĂȘme fermement de ses deux mains ses fesses rebondies...
Ana savait toujours quand il fallait « ferrer » sa proie et prendre ce quâelle devait prendre...
A mon approche, quasi Ă la toucher par derriĂšre, je la vis se pencher Ă lâoreille du garçon malgrĂ© tout tendu (et pas que de son sexe...) pour, jâen Ă©tais certain, le rassurer et lui dire que je nâĂ©tais aucunement jaloux, bien au contraire...
Le garçon devait ĂȘtre incrĂ©dule, aussi Ana lui roula-t-elle une pelle majestueuse et impossible Ă en comprendre le sens profond pour celui qui en Ă©tait l'objet...Tout avait et prenait sens avec Ana...
Pour ma part, voir Ana aussi lancĂ©e et Ă©chauffĂ©e, fort de ce que lâon sâĂ©tait dit sur nos vacances et maintenant de notre philosophie de vie et carrĂ©ment de la libertĂ© de notre vie sexuelle, je levais discrĂštement sa robe et vint insĂ©rer mon mĂąt tendu Ă lâextrĂȘme par la situation dans son sillon fessier et me laissĂ© guider au rythme suave et entrainante de la musique et des mouvements de son cul diabolique...
Ayant remarquĂ© en mâapprochant dâAna que les copines de Bob avaient elles aussi Ă©tĂ© prises en main par quatre ou cinq jeunes et entreprenants partenaires, je poussais dĂ©libĂ©rĂ©ment Ana et Laurent, son danseur du soir, par des coups saccadĂ©s de mon sexe impatient de conquĂȘte, vers les corps dĂ©jĂ entremĂȘlĂ©s de nos voisins et voisines...
Les filles se retrouvĂšrent comme par enchantement au centre de nous les hommes et le rideau humain que lâon pouvait constituer faisait parfaitement obstacle Ă la vue des autres danseurs prĂ©sents dans la boite qui de toute façon Ă©taient manifestement eux aussi affairĂ©s et pris dans des tourments et autres ballets Ă©rotico-sexuels...
Jâappris et ait eu confirmation par Bob le lendemain quâen fait cette petite boite de nuit Ă©tait devenue au fil des soirĂ©es de cet Ă©tĂ© lĂ , un des lieux libertins, si ce nâest le lieu libertin le plus cĂŽtĂ©s de la CĂŽte Vermeille...
Pas franchement Ă©tonnant au vu de comment Ă©voluait la soirĂ©e, mĂȘme si totalement insolite devant lâabsence dâendroits habituels et dĂ©diĂ©s Ă certaines pratiques des clubs libertins, ou mĂȘme Ă quelconque information, allusion par des nĂ©ons, des enseignes, des recommandations, des vestiaires, du personnel, des prĂ©servatifs, des douches ...
Oui, un club sauvage, totalement débridé, libre et libéré...
Un peu Ă©trange et peut-ĂȘtre mĂȘme risquĂ© pour qui aurait pu sây aventurer par mĂ©garde mais sa petitesse en avait fait un de ses atouts et seuls les connaisseurs et habituĂ©s y venaient, limitant ainsi du coup les problĂšmes quâil y aurait pu avoir...
Au centre de toutes les attentions, les filles flattées, caressées et pelotées de toutes parts avec leur acquiescement et consentement, manifestant surtout leurs envies, se mirent à genoux en tripode et commencÚrent de leurs mains habiles à sortir les sexes impatients et brûlants de tous ceux qui les entouraient...
Je vis quâAna sâĂ©tait mĂȘme retrouvĂ©e totalement nue tandis que Clara et Laura nâavaient plus de haut...
Câest ainsi sept belles et magnifiques queues bandantes et entreprenantes que nos trois belle eurent Ă honorer, nous faisant tourner tout autour dâelles, de leurs bouches avides et de leurs mains expertes...
Une nouvelle fois Ana fut la premiĂšre Ă se redresser et Ă se positionner contre le mur lors de ma visite dans sa bouche : « A toi lâhonneur mon Amour dâouvrir le feu.. Je tâaime... ! »
Elle mâindiquait ainsi, de mĂȘme quâaux autres que câĂ©tait maintenant en levrette quâelle voulait quâon la prenne...
Ses amies lâimitĂšrent partageant entre elles trois, des baisers aussi savants et puissants que passionnĂ©s, pendant que chacun des mĂąles les saillissait tour Ă tour ou leur faisait minette Ă volontĂ© ...
Le jeu dura un certain temps et mĂȘme Bob et sa derniĂšre amie vinrent se joindre Ă la ronde...
Toutes et tous extĂ©nuĂ©s, nous nous rĂ©fugiĂšrent Ă lâaube naissante dans la cahute de la SNSM que Bob nous avait ouverte.
Nous nous sommes ainsi littĂ©ralement entassĂ©s pĂȘlemĂȘle, lĂ oĂč raisonnablement il nây avait rĂ©ellement de la place que pour deux, et jusquâau petit matin les corps avachis se sont abandonnĂ©s dans une anarchique et irrĂ©elle orgie des sens et des corps...
Je mâĂ©tais pour ma part insĂ©rĂ© au plus prĂšs et au plus profond du cul dâAna quâelle savait encore et si adroitement faire vibrer quâelle mâen autorisait ainsi Ă bander dur jusqu'au bout de la nuit...
La nouvelle amie du jour de Bob aux courbes épanouies, généreuses et sensuelles, s'était invitée parmi nous et n'était pas en reste.
Un tempérament de feu dans une enceinte constituée de braises...
Je me souviens qu'elle me saisit la tĂȘte pour l'engloutir entre ses seins dĂ©mesurĂ©s et m'inciter Ă en durcir les pointes contrastant tant avec les chairs moelleuse et opulentes de ses courbes...
Chacune de ses aréoles ressemblait à un clitoris brûlant et impatient de l'assaut de mes lÚvres...
Je me souviens Ă©galement que Clara et Laura vinrent nous offrir leurs sexes emplit de liqueurs spermatiques des jouissances quâelles avaient connues tout au long de la nuit.
Nous avions rĂ©ellement, stupidement et bĂȘtement jouĂ© avec nos vies cette nuit-lĂ dans lâinsouciance de notre jeunesse et dâune Ă©pidĂ©mie de Sida qui pointait dĂ©jĂ le glaive de ses ardeurs mortifĂšres et dĂ©vastatrices.
Inconscience et peut-ĂȘtre mĂȘme et sĂ»rement, honte Ă nous !
Heureusement il ne fut rien de dommageable pour notre santĂ© et bien des annĂ©es plus tard, tout Ă la fois bien conscient du bonheur que lâon ait eut de pouvoir vivre cette libertĂ© sexuelle totale et dĂ©bridĂ©e, nous sommes si heureux dâavoir Ă©tĂ© Ă©pargnĂ©s par tous ces flĂ©aux qui malheureusement minent et restreignent parfois les audaces aventuriĂšres et libertines que nous permettait lâĂ©poque...
Non pas quâil y ait moins de dĂ©sirs ou de plaisirs de nos jours, on en parle assez frĂ©quemment avec Ana dans nos Ă©changes de mails et au travers des rĂ©cits de ses aventures de Hot-Wife, mais bien que le registre des possibilitĂ©s se soit vu avec bon sens et lĂ©gitimitĂ© hors couple rĂ©duit.
Ainsi goĂ»ter au dĂ©lire assez fou jâen conviens du partage de toutes les ardeurs et saveurs tout autant fĂ©minines que masculines dâune telle soirĂ©e orgiaque nâest plus aujourdâhui envisageable et surtout pas souhaitable...
Ce nâĂ©tait dâailleurs pas forcĂ©ment bon, ni mĂȘme un kiff personnel pour tout dire, mais dâune telle intensitĂ© Ă©rotique, un tel partage, une telle offrande que cela en constituait une expĂ©rience insolite et mĂȘme vertigineuse.
Je me souviens encore aujourdâhui des lĂšvres Ă©panouies, ouvertes, chaudes et maculĂ©es de saveurs de nos complices, ...
Jâai aussi partagĂ© cette nuit lĂ quelques fellations torrides pourtant si loin de mes pratiques avec Ana et dâautres, filles ou garçons, dans des dĂ©lires Ă©rotiques sans fin qui nous avaient emportĂ©es au confins des possibles en matiĂšre de sexualitĂ©...
Câest aussi cette nuit-lĂ que jâai pu ressentir ce que pouvais ĂȘtre le dĂ©pucelage et ensuite la jouissance je dois lâavouer de mon propre cul...
HĂ©tĂ©ro, bi, homo,... plus rien nâĂ©tait ou ne pouvait ĂȘtre interdit Ă personne et nous nâĂ©tions tous que frĂ©nĂ©sie et envie sexuelles...
Plus tard, je recommencerais certaines de ces pratiques, il fallait peut- ĂȘtre que je les reçoive et vive de cette maniĂšre pour ensuite pouvoir les apprĂ©cier, particuliĂšrement avec Ana...
Ainsi, oui, je dois lâavouer, cette soirĂ©e mâa totalement dĂ©sinhibĂ© pour le reste de mes jours et Ana ensuite a toujours su me mettre dans le contexte oĂč je ne pouvais pas, comme souvent ou toujours, lui refuser ce quâelle souhaitait de moi ou moi-mĂȘme, ĂȘtre en pleine conscience et capacitĂ© dâaccepter, de rĂ©aliser ou de vivre certaines pratiques que jâaurais de prime abord et par dogmatisme ou peur, refusĂ©.
Plus tard avec Ana jâai pu ainsi beaucoup apprĂ©cier de temps Ă autres de partager et de sucer une belle bite ;
de me faire prendre par un doigt, un godemichet ou mĂȘme un gode-ceinture ( je voulais rĂ©ellement savoir et discuter avec elle et son amie qui me prenaient tout Ă tour, ce quâelles ressentaient et ce que cela transformait, transportait comme sentiments, Ă©motions, ressentis physiques et autres ressorts psychologiques chez elles...Jâen appris beaucoup sur les femmes et leurs dĂ©sirs de masculinitĂ© assez souvent subconscient mais aussi souvent bien prĂ©sent...) ;
et mĂȘme de tenter un jour lâaventure cent pour cent homosexuelle avec deux jeunes amis gays trĂšs drĂŽles et ouverts Ă tout qui mâavaient invitĂ© Ă dĂ©couvrir lâincroyable ambiance et l'atmosphĂšre de la gay-pride et dâune croisiĂšre organisĂ©e en mer des CaraĂŻbes...
Oui, tout cela était « né » de cette incroyable soirée passée dans la cahute de Bob et de la SNSM...
Bob en dĂ©but de matinĂ©e, alors quâil devait ouvrir et tenir son poste, nous rĂ©veilla...
Les autres étaient discrÚtement partis au fur et à mesure de leurs réveils respectifs.
Bob nous salua et nous pria de repasser quand on voulait...
« Tu suce bien pour un mec ! » m'avoua-t-il dans un rire sonore et son bisou à pleines lÚvres et à la Russe lors de notre départ me font dire et écrire que ce fut bien la soirée la plus déjantée et incroyable de toute ma vie que je venais de passer en cet endroit si charmeur et idyllique...
Je repensais au fait que Bob Ă©tait bisexuel et qu'effectivement il ait pu me proposer sans ambages son sexe...
Pour moi, je n' avais aucun souvenir factuel, mĂȘme si je savais que j'avais accompagnĂ© Ana avec plaisir et gourmandises dans quelques fellations dont elle avait le secret et l'expertise tout en devant admettre l'idĂ©e que ce fĂ»t Bob ou un autre...
Qu'elle importance dans cette soirée hors-norme?
Bob resterai Ă jamais mon ami.
Je retournerai Ă Paulilles un jour...
Je reverrai Bob avec plaisir.
Maintenant, cap sur lâEspagne...Nous nâĂ©tions pas, Ana et moi, au bout de nos aventures...
Pas mĂȘme au bout de nos congĂ©s et moi surtout pas au bout d'une sexualitĂ© torride riche et sans beaucoup de limite que je le savais et le sais encore plus aujourd'hui me dirigeait inexorablement vers le Candaulisme de part son amour du sexe, du jeu, de l'intellect, de l'audace, de la philosophie de la vie, de l'Amour, de la tolĂ©rance, de tous ses attraits et de toutes ses beautĂ©s Ă dĂ©couvrir et partager...
Bref que des belles et magnifiques perspectives et bonheurs de ma future vie...!
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Ma nuit est comme un grand cĆur qui bat.
Il est trois heures trente du matin.
Ma nuit est sans lune.
Ma nuit a de grands yeux qui regardent fixement une lumiĂšre grise filtrer par les fenĂȘtres.
Ma nuit pleure et lâoreiller devient humide et froid.
Ma nuit est longue et longue et longue et semble toujours sâĂ©tirer vers une fin incertaine.
Ma nuit me précipite dans ton absence.
Je te cherche, je cherche ton corps immense à cÎté de moi, ton souffle, ton odeur.
Ma nuit me répond : vide ; ma nuit me donne froid et solitude.
Je cherche un point de contact : ta peau. OĂč es-tu ? OĂč es-tu ?
Je me tourne dans tous les sens, lâoreiller humide, ma joue sây colle, mes cheveux mouillĂ©s contre mes tempes.
Ce nâest pas possible que tu ne sois pas lĂ .
Ma tĂȘte erre, mes pensĂ©es vont, viennent et sâĂ©crasent, mon corps ne peut pas comprendre.
Mon corps te voudrait.
Mon corps, cet alĂ©a mutilĂ©, voudrait un moment sâoublier dans ta chaleur, mon corps appelle quelques heures de sĂ©rĂ©nitĂ©.
Ma nuit est un cĆur en serpilliĂšre.
Ma nuit sait que jâaimerais te regarder, chaque courbe de ton corps, reconnaĂźtre ton visage et le caresser.
Ma nuit mâĂ©touffe du manque de toi.
Ma nuit palpite dâamour, celui que jâessaie dâendiguer mais qui palpite dans la pĂ©nombre, dans chacune de mes fibres.
Ma nuit voudrait bien tâappeler mais elle nâa pas de voix.
Elle voudrait tâappeler pourtant et te trouver et se serrer contre toi un moment et oublier ce temps qui massacre.
Mon corps ne peut pas comprendre.
Il a autant besoin de toi que moi, peut-ĂȘtre quâaprĂšs tout lui et moi ne formons quâun.
Mon corps a besoin de toi, souvent tu mâas presque guĂ©rie.
Ma nuit se creuse jusquâĂ ne plus sentir la chair et le sentiment devient plus fort, plus aigu, dĂ©nuĂ© de la substance matĂ©rielle.
Ma nuit me brĂ»le dâamour.
Il est quatre heures du matin.
Ma nuit mâĂ©puise.
Elle sait bien que tu me manques et toute son obscurité ne suffit pas pour cacher cette évidence.
Cette Ă©vidence brille comme une lame dans le noir.
Ma nuit voudrait avoir des ailes qui voleraient jusquâĂ toi, tâenvelopperaient dans ton sommeil et te ramĂšneraient Ă moi.
Dans ton sommeil, tu me sentirais prĂšs de toi et tes bras mâenlaceraient sans que tu te rĂ©veilles.
Ma nuit ne porte pas conseil.
Ma nuit pense Ă toi, rĂȘve Ă©veillĂ©.
Ma nuit sâattriste et sâĂ©gare.
Ma nuit accentue ma solitude, toutes mes solitudes.
Son silence nâentend que mes voix intĂ©rieures.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Ma nuit aurait peur que le jour nâapparaisse jamais plus mais Ă la fois ma nuit craint son apparition, parce que le jour est un jour artificiel oĂč chaque heure compte double et sans toi nâest plus vraiment vĂ©cue.
Ma nuit se demande si mon jour ne ressemble pas Ă ma nuit. Ce qui expliquerait pourquoi je redoute le jour aussi.
Ma nuit a envie de mâhabiller et de me pousser dehors pour aller cherche mon homme.
Mais ma nuit sait que ce que lâon nomme folie, de tout ordre, sĂšme-dĂ©sordre, est interdit.
Ma nuit se demande ce qui nâest pas interdit.
Il nâest pas interdit de faire corps avec elle, ça, elle le sait. Mais elle sâoffusque de voir une chair faire corps avec elle au fil de la dĂ©sespĂ©rance. Une chair nâest pas faite pour Ă©pouser le nĂ©ant.
Ma nuit tâaime de toute sa profondeur, et de ma profondeur elle rĂ©sonne aussi.
Ma nuit se nourrit dâĂ©chos imaginaires. Elle, elle le peut. Moi. jâĂ©choue.
Ma nuit mâobserve. Son regard est lisse et se coule dans chaque chose.
Ma nuit voudrait que tu sois lĂ pour se couler en toi aussi avec tendresse.
Ma nuit tâespĂšre. Mon corps tâattend.
Ma nuit voudrait que tu reposes au creux de mon Ă©paule et que je me repose au creux de la tienne.
Ma nuit voudrait ĂȘtre voyeur de ta jouissance et de la mienne, te voir et me voir trembler de plaisir.
Ma nuit voudrait voir nos regards et avoir nos regards chargés de désir.
Ma nuit voudrait tenir entre ses mains chaque spasme.
Ma nuit se ferait douce.
Ma nuit gémit en silence sa solitude au souvenir de toi.
Ma nuit est longue et longue et longue.
Elle perd la tĂȘte mais ne peut Ă©loigner ton image de moi, ne peut engloutir mon dĂ©sir.
Elle se meurt de ne pas te savoir lĂ et me tue.
Ma nuit te cherche sans cesse.
Mon corps ne parvient pas à concevoir que quelques rues ou une quelconque géographie nous séparent.
Mon corps devient flou de douleur de ne pouvoir reconnaĂźtre au milieu de ma nuit ta silhouette ou ton ombre.
Mon corps voudrait tâembrasser dans ton sommeil.
Mon corps voudrait en pleine nuit dormir et dans ces tĂ©nĂšbres ĂȘtre rĂ©veillĂ© parce que tu lâembrasserais.
Ma nuit ne connaĂźt pas de rĂȘve plus beau que celui-lĂ .
Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable. Tu me manques tant. Et tes mots. Et ta couleur.
Le jour va bientĂŽt se lever.
- Frida Kahlo, Lettre Ă Diego Rivera (12 septembre 1939)
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Un nouvrau matin entre nos mains....un nouveau jour Ă dĂ©couvrir et Ă nous surprendre au delĂ de nos rĂȘves.... Aimons-le et laissons-le nous aimer jusqu'Ă nous en aimerveiller ! LĂ , est le secret du bonheur...
Bon dimanche Ă toutes et Ă tous et aimerveillons-nous les uns les autres ! đ«¶âšïž
#au-jardin-de-mon-coeur âïž
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Préliens Surnaturels Attendus
Hello hello, pas mal de nos petits membres attendent des prĂ©liens surnaturels (c'est Ă dire des liens top secrets qu'iels ne peuvent pas promouvoir sous peine d'ĂȘtre dĂ©masquĂ©.es). N'hĂ©sitez donc pas Ă jeter un Ćil et n'ayez crainte, vous serez entre de bonnes mains !! N'hĂ©sitez pas aussi Ă jeter un oeil aux minis recherches de liens surnaturels qui sont attendus Ă©galement sur le forum. Sait-on jamais que ça vous donne des pistes. ------------------------------ PRĂLIENS UNIQUES â Blake, espĂšce au choix Rejeton.e d'une mĂšre qui a disparue du jour au lendemain en 1992 sans laisser de trace, c'est Ă Scarborough qu'iel semble trouver cet ĂȘtre qui lui ressemble comme deux goĂ»te d'eau (lire plus) â Valerian Carver, m, vampire Vieille Ăąme nĂ©e durant le XIVe siĂšcle, il devient vampire afin d'Ă©chapper Ă la peste et pour suivre les trace de son pĂšre disparu qu'il tente de retrouver Ă travers les siĂšcles (lire plus)
CLANS ET FAMILLES â Cercle de Dryades (5/6 libres) Jeune clan de Dryades formĂ© durant le dernier siĂšcle. Elles sont sociables se sont naguĂšre rassemblĂ©es en ville. PlutĂŽt militantes, elles agissent contre le climat et sĂšment quelques graines partout oĂč elles passent (lire plus) > comprend une Dryade (f/m) mĂ©diatrice enjouĂ©e > une toute jeune Dryade (f/m) qui rĂ©alise Ă quel point elle est diffĂ©rente des ĂȘtres humains > une vieille Dryade (f/m) au top sur la technologie et la sociĂ©tĂ© humaine, pas la plus sage pour autant > plusieurs places libres â Cercle de Dryades & Autres (4/6+ libres) Dryades nomades chapeautĂ©es par un couple adoptant quelques progĂ©nitures d'autres espĂšces abandonnĂ©s Ă la naissance, formant une famille recomposĂ©e et inter-espĂšces particuliĂšrement soudĂ©e. (lire plus) > comprend un couple de Dryades (f) mĂšres adoptives, l'une plus froide et mĂ©fiante Ă l'Ă©gard des ĂȘtres humains et l'autre plus solaire > une jeune Dryade (f) artiste dans l'Ăąme > une jeune SirĂšne (m) qui n'a pas encore aspirĂ© de vitalitĂ© qui aime trop les ĂȘtres humains > plusieurs places libres
â Nid de Stryges & Autres (4/7 libres) Nid de pierres vivant au cĆur d'un cimetiĂšre et Ă l'ambiance gothique Ă souhait, Ćuvrant majoritairement pour les Dawnbringers. Quelques autres espĂšces s'y sont greffĂ©es avec le temps. (lire plus) > comprend une vieille Stryge (f/nb) jadis pseudo prophĂ©tesse et sorciĂšre qui a montĂ© le clan avec son alliĂ© de toujours > une Banshee (f/m/nb) qui a trouvĂ© sa place chez les Stryges > un ĂȘtre Humain (f/m/nb) Ă©levĂ© dans le cimetiĂšre > une jeune Stryge (m), derniĂšre arrivĂ©e au nid qui possĂšde quelques secrets
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J'aime cet instant oĂč je me retrouve entre tes jambes, cet instant oĂč je te dĂ©guste, cet instant oĂč tes mains vont se poser sur mes fesses..
Tout d'abord tu vas me retenir avec tes pieds qui caresseront mon ptit cul, qui me pousseront encore plus prÚs de ton envie. Ensuite tu attraperas mes cheveux pour me donner ta cadence, enfin tes mains sur les fesses qui iront fouiller mon intimité.
Ces instants prĂ©cieux oĂč je suis Ă tes pieds, oĂč je suis Ă Toi et oĂč plus rien d'autre ne compte que nos plaisirs partagĂ©s.
Sentir tes jambes sur mes flancs, sentir ta douceur contre ma peau.
Je me régale et m'impatiente de tes mains qui prennent le temps de venir me combler.
Comme une gourmande je vais tout prendre de Toi.
Ensuite, je te regarderai comme si c'Ă©tait la premiĂšre fois et je viendrai me blottir contre toi...
MartyWha@20230413
Une belle soirée de samedi à toutes et tous :)
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