#entre nos mains
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maddiesbookshelves · 11 months ago
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Akata appreciation post and manga haul 📚
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I didn't buy all of them at once but I did buy them pretty recently
Love Mix-Up is almost over in France, only 2 volumes left! And I started buying Boys Run the Riot because I realised I could spend my money now, especially on stuff I really loved reading digitally
Once again, Akata is THE manga publisher to me, they're always coming out with amazing titles, a lot of them with queer themes and storylines. They're even going to publish She Loves to Cook, She Loves to Eat (my review here) in France, which is amazing. Even when their titles aren't queer, they're amazing: Night view on the Factory was just zjfjzuej (look up the TW though). They're a small but passionate team and it really shows that they love what they're doing
Anyways, if you're curious what these are about:
My post about Boys Run the Riot
My post about Love Mix-Up
Entre Nos Mains
English title: Run Away With Me, Girl
Original title: Kakeochi Girl / ă‹ă‘ăŠăĄă‚ŹăƒŒăƒ«
Genres: Drama, Romance, Slice of Life
Themes: Adultery, Homosexuality
Japanese volumes: 16 (Finished)
Maki’s first love was her high school classmate, a girl named Midori. But Midori broke up with Maki at graduation, saying they were now “too old to be fooling around dating girls.” Ten years later, Maki still can’t get Midori off her mind, and when the two women reconnect after a chance encounter, Maki realizes that, while her feelings haven’t changed, Midori has long moved on—in fact, she’s engaged. Yet the more Maki hears Midori talk about her soon-to-be-husband, the more red flags she notices...
Absolutely fell in love with the art and then the story punched me in the guts in the best way. The characters are complex and while they may not be entirely lovable, they are wholly human. And I really loved that
Some trigger warnings apply though, so I'll list the ones that come to mind*: cheating, domestic violence, gaslighting, misogyny, internalised homophobia
*Note that those are the ones I remember from what little I've read of this story and other TW may apply. Please try to look up a more complete list if you have any doubts. Take care of yourself ✹
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abdlrimespotiques · 5 months ago
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devenue une personne adulte coste hubert
aimer ses protecteurs parants
jour apres jour tendrement
avant qu'elles voyages parmi les nuees
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camisoledadparis · 20 days ago
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saga: Soumission & Domination 384
Fin de séjour aux USA
J'apprends le fin mot de la prestation spéciale par Ric et Jona. CÎté tarif, effectivement mes Escorts n'ont pas été lésés.
Par les supĂ©rieurs de Jona, je suis avisĂ© qu'ils ont donnĂ© aussi toute satisfaction. Ils me demandent de prioriser ce client auprĂšs de mes deux escorts. Ils sont gentils mais c'est une entreprise commerciale que je gĂšre ! Nous arrivons Ă  un compromis oĂč, si mes collaborateurs sont en contrat, ils prendront en charge le dĂ©dit, Quel que soit le montant.
Avant de quitter mes trois Navy-Seal, je les invites à venir en France. Ils seraient heureux de revoir Jona et François mais je sens un certain blocage. J'ajoute que quand j'invite, je prends en charge les frais inhérents aux déplacements et là ils sont totalement OK, Ils sont trÚs curieux de voir ma " bande " de mecs à l'oeuvre au combat rapproché.
Pour le reste, mes nouveaux potes de Berkeley, j'organise une virĂ©e au grand Canyon avec descente en rafting d'une petite partie du Colorado. Nous remplissons deux gros rafts opposant les nageurs aux combattants. J'hĂ©site, mais finis chez les nageurs. Bon choix puisque parmi eux s'en trouve deux qui ont dĂ©jĂ  pratiquĂ© ce sport. Nous finissons premier au campement intermĂ©diaire, mais d'une trĂšs courte tĂȘte aprĂšs plusieurs heures de course acharnĂ©e.
Deux autres rafts de mĂȘme taille nous accompagnaient, OccupĂ©s l'un par une bande de potes Newyorkais, l'autre par des couples, qui, entre eux ne se connaissaient pas d'avance. Les Newyorkers ont essayĂ©s d'entrer dans notre compĂ©tition interne mais ont vite renoncĂ© au vu de notre rivalitĂ© sportive.
Au campement, ils nous fĂ©licitent et on discute tous ensemble. Les couples un peu plus ĂągĂ©s que nous sont dans leur coin. Nous ne nous gĂȘnons pas pour nous chauffer entre nous alors que, les tentes montĂ©es, nous nous changeons pour la soirĂ©e. Si les couples continuent Ă  vivre de leur cĂŽtĂ©, les gars de la cote Est se font prendre Ă  partie.
Ok ils sont tous moins baraquĂ©s que nous, quoique certains puissent rivaliser quand mĂȘme, mais la plupart pourraient bien finir entre nos cuisses, ils sont suffisamment mignons pour ça ! Ils ne mettent pas longtemps Ă  nous dĂ©couvrir tous gays puisque nos bisous sont rĂ©alisĂ©s en mode frenchkiss.
Ils ne sont pas choquĂ©s et je vois mĂȘme certains regards qui s'appesantissent sur nos plastiques. AprĂšs nos bains de dĂ©tente et propretĂ© dans l'anse calme du Colorado, comme par hasard ils se fixent surtout sur celles modelĂ©es par nos maillots de bains (tous nous avions optĂ© pour des boxers ou trunks bien moulants alors qu'eux Ă©taient en short de surf).
Diner autour du feu de bois et premiers rapprochements entre les deux cÎtes américaines. J'ai repéré un des mecs, le plus jeune ou du moins physiquement il le parait. Dans les 1m75 musclé type coureur de fond plutÎt que gymnaste, chùtain clair, ses yeux légÚrement en amande trahissent un métissage asiatique mais pas de premiÚre génération. Je fais avec lui mon " touriste Français ". Dan et moi discutons pas mal avec lui et deux de ses potes alors que mes amis ont intégré le reste de son groupe. Quand il est question de se coucher, j'observe un petit mélange des groupes (environ la moitié des Newyorkais se " trompe " de tentes).
Moi j'ai rĂ©ussi Ă  intĂ©resser suffisamment ma proie pour qu'elle se laisse tenter par l'expĂ©rience. Au dĂ©part il est gĂȘnĂ© qu'on ne soit pas tous les deux seuls. Mais les bruits que font nos colocataires l'excitent aussi et j'arrive Ă  passer du simple frenchkiss Ă  pareil mais avec les mains dans nos slips respectifs. Il bande dur ce petit salaud, dans les 18x4/5. Quand il prend mes 20x5, je le sens Ă©tonnĂ©. Je ne peux m'empĂȘcher de lui glisser dans l'oreille qu'ils sont tous pour lui. Je le sens frissonner entre mes bras, peur ou dĂ©sir ? Mes mains passent de sa queue Ă  ses fesses. Tout petit cul rond. J'avais bien devinĂ© que son longboard flottant cachait une merveille. Mes doigts glissent entre ses fesses et je titille sa rondelle. Il ne dĂ©bande pas, bon signe. Ma bouche revient couvrir la sienne l'empĂȘchant s'il l'avait dĂ©sirĂ© de protester contre cette intrusion. Lentement je lui masse la rondelle et parvient Ă  enfoncer un majeur. J'Ă©touffe son petit cri avec ma langue, il bande toujours. Moi aussi et j'ai vraiment envie de me le faire. Il le sent car il Ă©carte sa bouche pour me dire qu'il est vierge. Je le rassure d'un " t'inquiĂšte tu vas aimer ". À nos cĂŽtĂ© Dan est dĂ©jĂ  dans un des nageurs de notre groupe et, bien que discrets tous les deux, nous entendons nettement les " trop bon ton cul " et les vas-y dĂ©fonce moi " qui lui rĂ©pondent. Je profite de notre diffĂ©rence de gabarit pour le retourner face contre notre matelas et dans le mĂȘme mouvement plonger mon nez entre ses fesses afin de lui bouffer l'oignon.
C'est sûr, il ne connaissait pas cette pratique. Surpris, quand ma langue se pose sur le plissé délicat, il fond et je l'ai à ma merci. Je me place sur le dos, le bascule en 69 au-dessus de moi et continue ma préparation. Il a devant les yeux mes 20cm turgescents qui appellent sa bouche. Je ne le vois pas mais je sens son souffle se rapprocher de mon gland. Au bon moment, ma main posée sur sa nuque le pousse en avant et mon gland pénÚtre sa bouche. Reflexe, ses lÚvres se referment dessus. Là, c'est lui qui me procure un frisson. Du coin de l'oeil j'aperçois Dans qui lui mime de me pomper. Je retourne à ma " préparation " et sens que mon petit puceau s'enhardi. Je ne parle pas de gorge profonde mais il met du coeur à l'ouvrage.      
J'arrive Ă  lui mettre mes deux majeurs sans rejet de sa part. Ça me fait raidir encore plus, l'idĂ©e que bientĂŽt je vais le dĂ©foncer.
Je le soulÚve à bout de bras, lui fais faire demi-tour et l'assois sur mes abdos. Mon gland se pose direct au bas de sa colonne vertébrale. Je l'attrape par le cou et approche son visage pour qu'on se roule un patin. Là, c'est sa langue qui cherche la mienne ! DiscrÚtement je me kpote et pose mon gland contre sa rondelle en effectuant quelques rotations et levées de bassin. Mon gland lui travaille le sphincter et quand je le sens s'ouvrir, je lui glisse à l'oreille de gérer sa descente.
Il se redresse sur ses bras sans que ses yeux quittent les miens. Je sens doucement une bonne chaleur recouvrir mon sexe. Il recule vers mes cuisses jusqu'Ă  ce que ses petites fesses les collent (mes cuisses !).  Pour un puceau il en voulait le petit !! Il reste sans bouger le temps de s'habituer Ă  l'envahissement de son petit cul. Je roule du bassin pour lui signifier de mettre un peu de mouvement entre nous. Il me chevauche comme un bon petit cavalier, au pas puis avec un petit trot soutenu, il rode sa rondelle vierge sur mes 20cm d'acier. Je devine dans la pĂ©nombre ses yeux fermĂ©s. A l'Ă©coute de son corps, je le vois sourire. Moi j'adore sa rondelle ferme. De temps en temps une crispation vient m'Ă©trangler la queue, entrainant un brusque arrĂȘt de la dĂ©fonce, mais ajoutant encore aux sensations perçues des deux cĂŽtĂ©s.
Dan et son partenaire (un autre copain de Berkeley) nous rejoignent et s'occupent de mon petit Newyorkais. SollicitĂ© par nos trois bouches, occupĂ© par ma queue et en contact avec celles de mes deux potes, le petit jeune ne sait plus oĂč il habite et il se prend un pied d'enfer. Je reçois de son sperme jusque dans les cheveux. Mes deux collĂšgues giclant les leurs sur mon " Ă©tui pĂ©nien " qui, hyper contractĂ©, provoque ma propre jouissance. Ils retournent sur leur matelas alors que je garde mon partenaire sur moi. Ma queue sort avant de complĂštement dĂ©bander et je rĂ©cupĂšre discrĂštement ma kpote pleine. Il s'endort sur moi et je m'endors Ă  mon tour.
Au matin je suis toujours son matelas ! Ma queue se réveille mais j'entends les bruits du campement, pas le temps ! Je m'étire et ce faisant réveille mon petit américain.
Il rĂ©alise soudain qu'il a passĂ© la nuit sur moi. Rires dans la tente quand il sursaute, glisse de moi et s'excuse de tomber sur Dan. Je lui fais un petit bisou sur les lĂšvres et une tape sur les fesses. Nous sautons dans nos maillots de bain et course jusqu'au Colorado oĂč un bain nous permet de perdre les effluves de la nuit passĂ©e. Je m'aperçois qu'on est pas les seuls. Mon petit mec se fait charrier par ses potes. Mais il a du rĂ©pondant et les rires sont bon-enfant.
Petit dĂ©jeuner substantiel et on attaque la seconde partie de notre petit raid. LĂ , c'est l'embarcation des adeptes des sports de combat qui gagne. Ils ont pu profiter d'une erreur tactique qui nous a fait perdre la tĂȘte que nous avions depuis le dĂ©part.
Je profite du retour à la base en car pour récupérer les coordonnées de mon partenaire de la nuit et m'organiser une pause à New York pendant mon voyage de retour.
DĂ©part de San Francisco :
Un peu plus de 6 mois en immersion totale, ça forge des amitiés. Tous mes nouveaux potes nageurs comme combattants ont mes coordonnées et savent qu'ils peuvent passer me voir en France.
Bien Ă©videmment c'est encore plus le cas pour Tyler et Dan. En ce qui concerne Duke (le petit frĂšre de Dan Ă©tĂ© grand ami de ma triplette), je lui confirme une invitation permanente Ă  venir en France retrouver son trio d'amis. Que ce soit pour les vacances ou mĂȘme un grand WE, il sait que ma porte lui est grande ouverte.
Grandes embrassades Ă  l'aĂ©roport d'oĂč je pars pour New York. Je ne connais pas la ville et en plus Bobby m'a promis de me faire visiter rapidement.
A LaGuardia il m'attend. Je lui roule un patin.
De New York je ne connaitrais finalement que l'intĂ©rieur de son appartement oĂč j'aurais passĂ© deux jours Ă  le baiser par tous les trous et dans toutes les positions que je connaisse. J'ai retrouvĂ© ce petit cul rond et blanc d'absence de soleil et surtout la rondelle qu'il cache en son centre et qui attire ma queue sans arrĂȘt ! Les trois piĂšces de son appartement, sa cuisine et sa salle de bain, la table basse et le canapĂ© du salon, le plan de travail de la cuisine et celui du lavabo, la douche aussi oĂč je l'ai encore enculĂ© alors qu'on retirait sous les jets d'eau de la colonne de jets le sperme collĂ© de notre derniĂšre baise, je crois bien qu'Ă  part la cuvette des toilettes, tout ce qui pouvait soutenir un corps a Ă©tĂ© utilisĂ©.
Nous nous sommes mĂȘme fait le jeune livreur de Pizza, un latino basanĂ© montĂ© comme un Ăąne, qu'il n'a pas fallu beaucoup poussĂ© quand on lui a ouvert quasiment nus. C'est peut-ĂȘtre aussi parce que pendant que bobby le faisait entrer, j'Ă©tais collĂ© Ă  son cul et que je lui lĂ©chais l'oreille ! Je me souviens lui avoir proposĂ© le petit cul de mon hĂŽte comme pourboire supplĂ©mentaire, argumentant du fait que c'Ă©tait une bonne chaudasse et que malgrĂ© mes grandes capacitĂ©s je n'arrivais pas Ă  le rassasier.
Quand son chino est tombĂ© Ă  ses pieds, on a pu voir une vraie grosse barre dĂ©former son boxer. Bobby s'est jetĂ© Ă  ses genoux et directement lui a arrachĂ© ce dernier rempart. Dans le mĂȘme mouvement il a embouchĂ© le gland le faisant glisser jusque dans sa gorge, compĂ©tence que j'avais rĂ©ussie Ă  lui inculquer rĂ©cemment. Il s'est quand mĂȘme Ă©tranglĂ©, le livreur Ă©tant plus puissamment Ă©quipĂ© que moi.
Alors qu'il se faisait pomper, il a téléphoné pour prévenir qu'il serait indisponible aux livraisons pendant quelques heures. J'ai aimé cette réorganisation de son emploi du temps.
Il est resté 2h30 avec nous. Kpoté il m'a aidé à rassasier le cul de Bobby, plus petit que nous mais plus costaud que Bobby, il s'est permis lui aussi des portés et des positions de sodo musclées. Bobby s'est fait plaisir avec une dans le cul et une dans la gorge, mais nous n'avons pu aller jusqu'à la double sodo. Malgré son envie, il n'avait pas rebaiser avec un mec depuis son dépucelage sur les rives du Colorado. Je crois bien qu'avant de partir, le latino lui a laissé son n° de portable. Pour qu'il n'ait pas à pùtir de son interruption dans sa journée de travail, je lui ai glissé dans les 200$ dans sa poche de Jeans.   
Bobby me raccompagne à l'aéroport, cette fois JFK et retour en France.
Jardinier
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Southern California
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zuzcreation · 7 months ago
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En 15 ans de RP, je n'ai jamais vu ça
J'exprime rarement mes états d'ùme sur tumblr mais là...je dois dire que je suis sur le cul et je suis profondément blessée...
Cela fait presque 2 ans et demi que je joue un "scénario" sur un forum. Mon activité n'est pas fifolle mais le staff répétant à longueur de temps IRL avant tout, je me suis jamais inquiété. J'ai été raisonnable et je n'ai jamais demandé de DC.
J'ai traversé une petite période à vide en mars et puis je me suis pris par la main et j'ai discuté par MP avec les principaux liens du personnage des évolutions du personnage. Tout allait bien.
Il y a un mois, je reçois un MP pour discuter de l'avenir de mon personnage et l'Ă©volution du lien entre nos 2 persos. Adorant notre lien, je suis hype. Mon erreur a peut ĂȘtre de ne pas avoir rĂ©pondu dans la semaine, mais avoir attendu 10 jours car mon IRL Ă©tant un peu prenant en juin. Et depuis, silence radio. Je me dis naĂŻvement qu'elle a pas le temps de me rĂ©pondre et pour moi c'est OK.
Aujourd'hui, je reçois un message du compte staff avec en titre "activité". Je comprend pas, on est pas en fin de mois et j'ai posté 2 rp le 3/07. Et là...je découvre qu'on me demande de changer de personnage car la joueuse ne trouve plus son compte vis à vis de mon activité et aimerait faire évoluer le personnage (probablement plus vite). Je n'ai jamais vu ça. Oui je suis pas une lumiÚre, je veux bien le reconnaßtre. Mais était-ce si terrible de venir me voir et me le dire en face ? Alors que ça fait 2 ans qu'on échange et RP ensemble... et que tout c'est toujours bien passé.
En 15 ans de rp, jamais j'ai reçu ce genre de MP, de message. Pourtant j'en ai foulé des forums, j'en ai joué des personnages, pris des scénarios/PV. Jamais on m'a dit que l'IRL avant tout et de me dire que mon activité va pas... Si j'avais eu plusieurs compte ok... mais c'est mon seul et unique compte sur ce forum.
Je suis dégoutée...
Conclusion : si vous avez un soucis avec votre partenaire, allez le voir et PARLEZ LUI ! Soyez honnĂȘte et sincĂšre. A chaque problĂšme sa solution et souvent en parlant entre adulte tout se rĂšgle tranquillement.
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journaldesgrandschemins · 3 months ago
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J'ai aimĂ© dans un au-delĂ  invisible, qui cernait le mouvement des choses, la nettetĂ© des drames, des brisures, des fautes. C'est Ă  dire que j'aimais dans le pelage d'or des choses, des regards et des actes, dont la caresse lancinante posĂ©e sur mon coeur Ă©tait interminable. On me disait: les choses sont ainsi et elles portent ce nom. Je ne pouvais y croire. Les faits n'Ă©taient que la marque visible de ce qui rĂ©ellement se jouait entre nos deux vies. Nos paroles, nos gestes, nos silences sentencieux n'Ă©taient que la chevrotante musique Ă©manĂ©e de cet air oĂč nous nous Ă©tions trouvĂ©s l'un dans l'autre.
Nous Ă©tions deux enfants si impatients de la fĂȘte approchante qu'ils dĂ©chiraient Ă  l'avance leur costume, dans des sursauts d'excitation terrifiĂ©e.
La derniÚre fois que je l'ai vu, au bar, nous étions l'un face à l'autre. Il me parlait, je l'observais. On se disputait pour des histoires de tromperie et de jalousie. Il me dit brusquement: Est-ce que je te plais encore? Est ce que t'en es sûre?
Alors je me posai la question en moi-mĂȘme. Je voyais cet homme cernĂ©, dont les grosses mains baguĂ©es argumentaient la parole enfumĂ©e, les sourcils et les cils ouvrageant son regard mauvais, fumeux, de plus en plus Ă©teint. Ses yeux ne frĂŽlaient plus la corde sensible de mon Ăąme. Sa grĂące ne l'Ă©mouvait plus comme autrefois, ni ses tĂ©nĂšbres. Je ne l'admirais plus, je ne dĂ©sirais plus sauvagement greffer en moi sa puissance. Ses yeux plats, profonds et noyĂ©s dans la rage et le vide, la sĂ©vĂ©ritĂ© triste de son visage, l'Ă©loquence de ses mensonges, sa fougue, ses insultes, ses assauts Ă  ma chair, toute cette danse perdue qu'il Ă©tait, diffuse et offerte devant moi, ne me charmait plus. C'Ă©tait plus grave encore, elle m'envoutait. Ce n'Ă©tait plus les premiers rayons de la fascination, lunaires, Ă©thĂ©rĂ©s, au goĂ»t originel. C'Ă©tait le remous profond, rĂ©verbĂ©rĂ© d'Ă©cho en Ă©cho, du premier coup, de la premiĂšre rencontre, dont les propagations Ă©taient infinies, successives et liĂ©es, et traversaient les rĂ©gions souterraines par ces rĂ©sonnements sourds. Mon ĂȘtre vibrait encore Ă  sa vue comme sous un glas. FixĂ©e par lui, il m'emportait encore, dans sa violence qui n'Ă©tait plus ferme et arquĂ©e mais dĂ©faite et traĂźnante, comme une roue qui tourne, Ă©tourdissante. Alors que j'aurais pu vendre sa peau et son Ăąme au marchĂ© noir pour quelques centimes, il me tenait encore, il m'emportait encore dans ses contrĂ©es poreuses.
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au-jardin-de-mon-coeur · 8 months ago
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Si nous imaginions un monde meilleur et Ă  travailler ensemble pour le rĂ©aliser ? Entre rĂȘve et rĂ©alitĂ©, il y a un trait d'union qui s'appelle l'amour....alors, mettons cet amour fraternel au cƓur de nos cƓurs et au cƓur de ce monde, main dans la main, pour aller plus loin, plus haut, lĂ  oĂč l'amour est Roi ! 💞
Que votre dimanche, chers amis, soit revĂȘtu de paix et d'amour ! Soyez heureux et prenez soin de vous ! đŸ«¶
#au-jardin-de-mon-coeur ✒
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coovieilledentelle · 2 months ago
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DĂ©cembre est la fin qui ressemble Ă  un dĂ©but. DĂ©cembre remplit nos cƓurs de misĂ©ricorde et d'humilitĂ©.
DĂ©cembre est le temps des miracles, le temps des contes de fĂ©es, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'annĂ©e. Parfois le plus cher Ă  notre coeur. Une sĂ©rie de moments magiques pour les familles. Les gestes du cƓur, l'affection, la chaleur du mois de dĂ©cembre sont disposĂ©s de maniĂšre tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arriĂšre-plan enneigĂ© et rĂ©fracte nos rayons de soleil prĂ©fĂ©rĂ©s dans un arc-en-ciel colorĂ© d'espoirs pour un dĂ©but colorĂ©. DĂ©cembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc
 Comme une feuille sur laquelle on Ă©crit les moments passĂ©s et les projets d'avenir
 entre les lignes du bilan. L'Ă©valuation pour savoir si nous avons Ă©tĂ© bons, si nous avons Ă©tĂ© plus heureux au cours de l'annĂ©e Ă©coulĂ©e, ce que nous serons au cours de la nouvelle annĂ©e
 Nous colorons de nouveaux rĂȘves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronĂ©es pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver aprĂšs des levers de soleil encore plus beaux. DĂ©cembre est la flamme dans la cheminĂ©e, qui est allumĂ©e par les Ă©tincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. DĂ©cembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend rĂ©els. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanitĂ©, de la foi, de l'espoir et du partage ! DĂ©cembre est notre priĂšre
 Ne pas ĂȘtre seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santĂ© ! Que nos cƓurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bĂ©nis
 Qu'il en soit ainsi !
Charlotte
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noctambulbe · 6 months ago
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Ce matin, j’ai esquivĂ© un pigeon kamikaze, le genre de bestiole qui te fait croire que mĂȘme les volatiles ont un contrat sur ta tĂȘte. La bestiole s'est tirĂ©e avec un croissant, me laissant avec la dĂ©sagrĂ©able sensation que mĂȘme le petit-dĂ©j' est une lutte pour la survie. Alors, je me suis dit, "ok, si mĂȘme les oiseaux se foutent de ma gueule, c’est peut-ĂȘtre le moment de rĂ©Ă©valuer mes prioritĂ©s." J’ai continuĂ© ma route, enfilant les rues comme des perles sur un collier bon marchĂ©, avec ce sourire en coin qui dit “la vie, c’est une farce, et moi, j’en suis le clown involontaire”. Entre deux regards mal interprĂ©tĂ©s et une poignĂ©e de mains moites, j’ai croisĂ© un type qui semblait avoir perdu une bataille contre ses propres vĂȘtements. Ça m’a rappelĂ© que, finalement, on est tous lĂ  Ă  essayer de ne pas se vautrer, que ce soit sur un trottoir bancal ou dans nos foutues existences. Alors ouais, j’ai rigolĂ©, parce qu’au fond, qu’est-ce que tu veux faire d’autre ? Rire, c’est l’ultime pied-de-nez Ă  cette mascarade qu’on appelle la rĂ©alitĂ©.
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ludivinevanckerwisky · 17 days ago
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Apprendre Ă  recevoir
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Résumé : Alex, marquée par un passé difficile, lutte pour accepter de recevoir du plaisir. Avec Spencer, elle découvre la douceur et l'écoute, apprenant petit à petit à se libérer de ses blessures émotionnelles.
Avertissements :ThÚmes sensibles, traumatisme passé, relation intime, exploration des blessures émotionnelles, contenu mature.
La chambre est baignĂ©e d’une lumiĂšre tamisĂ©e, la douce lueur de la lampe de chevet dessinant des ombres mouvantes sur les murs.
Le silence est seulement troublĂ© par nos respirations mĂȘlĂ©es et le bruissement lĂ©ger des draps sous nos mouvements.
Je suis en califourchon sur Spencer, mes mains posées sur son torse, mes hanches effectuant un mouvement lent, calculé, maßtrisé.
Son regard est fixĂ© sur moi, intense et brĂ»lant, mais diffĂ©rent de ce que j’ai toujours connu. Il ne me scrute pas avec aviditĂ©, ni avec cette impatience possessive que j’ai toujours l’habitude de voir dans les yeux des hommes.
Il me regarde comme si j’étais importante, comme si j’étais... humaine. Je baisse les yeux, troublĂ©e. Depuis toujours, j’ai appris que mon rĂŽle Ă©tait de donner, d’ĂȘtre lĂ  pour l’autre, et jamais pour moi-mĂȘme.
Mes gestes sont automatiques, parfaits, rĂ©pondant Ă  ce que je crois ĂȘtre ses attentes. Je ne cherche pas mon propre plaisir, seulement le sien.
Et je fais tout pour qu'il y arrive rapidement, en silence, sans jamais laisser transparaĂźtre mes besoins.
Mais Spencer n'est pas comme les autres. Ses mains glissent lentement sur mes hanches, exerçant une légÚre pression pour ralentir mes mouvements.
Je sursaute, mon rythme se brise un instant alors que je lĂšve les yeux vers lui, inquiĂšte.
"Alex..." murmure-t-il, sa voix grave résonnant doucement dans la piÚce. "Pourquoi tu fais ça ?"
Je détourne les yeux, un frisson me parcourant. "Je veux que tu prennes du plaisir," dis-je automatiquement, comme si c'était une évidence.
Il fronce légÚrement les sourcils, ses doigts dessinant des cercles réconfortants sur ma peau.
"Et toi ?" Sa voix est douce mais ferme. "Pourquoi tu ne veux pas en prendre aussi ?"Un sourire nerveux flotte sur mes lÚvres. "Je suis bien comme ça," je murmure en haussant légÚrement les épaules, évitant son regard.
Il ne dit rien pendant quelques secondes, puis il tente doucement de me donner du plaisir, ses mains glissant entre mes cuisses avec une infinie délicatesse.
Je me raidis aussitĂŽt, attrapant son poignet dans un geste presque paniquĂ©."Non." Le mot s’échappe prĂ©cipitamment de ma bouche, et mon cƓur s’emballe.
Spencer s’arrĂȘte immĂ©diatement, son regard scrutant le mien avec une attention douloureuse. "Pourquoi pas ?" demande-t-il doucement, sans jugement, seulement de l’inquiĂ©tude dans sa voix.
Je déglutis difficilement, sentant mes doigts trembler sur son poignet. "J'ai pas besoin de ça," je murmure, ma voix à peine audible.Il observe mon visage un long moment, et je vois son expression se transformer, une ombre de tristesse voilant ses traits.
"Ce n’est pas que tu n’en as pas besoin," murmure-t-il, "c’est qu’on t’a appris à ne pas en avoir envie, c’est ça ?"
Des souvenirs remontent brutalement, des fragments de mon passĂ© que j’ai essayĂ© d’enterrer.
Je revois Daniel, mon premier petit ami, me reprochant d'ĂȘtre "trop passive" si je ne me donnais pas entiĂšrement Ă  lui.
Je revois Lucas, soupirant d’agacement quand je demandais une pause. "Tu peux tenir encore un peu, j’ai pas fini."
Et puis mon pùre... Sa voix, froide et implacable : "C’est normal, les hommes ont des besoins, tu dois apprendre à donner."Je ferme les yeux, un nƓud douloureux se formant dans ma poitrine.
"Mon pĂšre disait que..." Je ravale mes larmes et inspire profondĂ©ment. "Que c'Ă©tait normal qu'une fille donne tout. Que je devais apprendre Ă  ne pas ĂȘtre Ă©goĂŻste."
Je sens Spencer se tendre sous moi, ses mains se crispant légÚrement sur ma peau. "Quoi ?"
Sa voix est Ă  peine un murmure, mais je peux y sentir toute sa colĂšre contenue.Je baisse les yeux, honteuse.
"Il... il me touchait..." Je me recroqueville lĂ©gĂšrement sur moi-mĂȘme. "Quand j'Ă©tais enfant."Spencer inspire profondĂ©ment, et je le sens lutter pour ne pas laisser sa colĂšre exploser.
Ses bras m'entourent doucement, m'attirant contre lui, son souffle chaud effleurant mon front."Alex..." murmure-t-il, la voix brisĂ©e. "Ce qu'il t’a fait... c'Ă©tait mal.
Ce n'Ă©tait pas normal."Je hoche faiblement la tĂȘte, nichant mon visage dans le creux de son cou.
Son odeur me rassure, me ramĂšne Ă  l’instant prĂ©sent. AprĂšs un long silence, Spencer recommence Ă  caresser doucement mon dos, cherchant Ă  me rassurer.
Je hausse les Ă©paules, mal Ă  l’aise. "C’est juste comme ça. J’ai appris Ă  ĂȘtre... utile."
Son expression se durcit légÚrement, pas en colÚre, mais avec une détermination que je ne lui ai jamais vue auparavant.
"Tu n’es pas un outil, Alex. Tu es une personne. Tu mĂ©rites plus que ça."
Sa tendresse me trouble. Ses doigts effleurent ma joue, ses lÚvres pressent un doux baiser contre mon front, comme pour effacer ces années de douleur imprimées sous ma peau.
Puis il reprend lentement ses mouvements sous moi, ses hanches cherchant un rythme doux, patient, mais je tente instinctivement de reprendre le contrĂŽle.
J’essaye de bouger plus vite, de me concentrer sur lui, sur ce que je pense qu’il veut.Ses mains viennent alors saisir fermement mes hanches pour m’arrĂȘter.
"Non, Alex," murmure-t-il, son regard brûlant plongeant dans le mien. "Laisse-moi faire. Laisse-moi prendre soin de toi."
Je veux protester, dire que ce n’est pas comme ça que ça marche. Mais il m’embrasse doucement, son baiser me faisant taire, et je sens mon corps cĂ©der petit Ă  petit Ă  sa tendresse.
Il murmure des mots rassurants contre ma peau, me guidant avec une patience infinie jusqu’à ce que je me laisse enfin aller.
Et quand l’extase me submerge, mon premier rĂ©flexe est de mordre ma lĂšvre, d’étouffer le moindre son, de ne pas faire de bruit.
Spencer le voit tout de suite. Ses lùvres capturent les miennes, sa langue caressant doucement la mienne pour m’encourager à relñcher la tension.
"Laisse-toi aller," souffle-t-il contre ma bouche. "Je veux t’entendre, Alex. Personne ne va te punir ici."
Je me fige, un sanglot Ă©touffĂ© m’échappant, suivi d’un gĂ©missement que je ne retiens plus. Spencer me tient fermement contre lui, son regard tendre ancrĂ© au mien alors qu’il m’aide Ă  franchir cette barriĂšre invisible que je traĂźne depuis des annĂ©es.
Et pour la premiĂšre fois, je me laisse aller Ă  ressentir, Ă  recevoir.AprĂšs, blottie contre lui, ma tĂȘte nichĂ©e dans le creux de son cou, je murmure :
"T’es pas comme eux..."Il resserre ses bras autour de moi, dĂ©posant un baiser sur mes cheveux.
"Non. Et tu mĂ©rites quelqu’un qui ne soit pas comme eux."Je ferme les yeux, une larme solitaire coulant le long de ma joue.Avec lui, je suis en sĂ©curitĂ©. Enfin.
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polykrom · 1 month ago
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François Dejardin marche Ă  toutes les frontiĂšres et nous en ramĂšne des Ɠuvres comme des confidences. Qu'il s'agisse de vidĂ©o, de photo, de dessins, de textes ou de peinture, tout semble ĂȘtre le fruit d'une aventure intime, aux confins oĂč nous sommes trĂšs peu nombreux Ă  nous rendre. Ce qu'il ramĂšne de ses voyages nous plonge alors dans une expĂ©rience captivante oĂč tout nous paraĂźt Ă  la fois proche et lointain. Une forĂȘt calme, en pleine nuit, nous rassure tout en rappelant les cauchemars de la petite enfance. Une ferme se dresse, immense, devant un promeneur solitaire sur la bosse d'un horizon Ă  bout portant. Un tas de bois mort sous la neige va brĂ»ler nos certitudes. Un ciel trop menaçant se verra bombardĂ© d'Ă©toiles Ă  vƓux. Un gravier de choses sans destination dans les yeux du Petit Poucet lui permettra de rentrer chez lui. Des enfants, dans leur toute-puissance fragile, nous conseillent de rester concentrĂ©s dans notre jeu. L'aube, comme une dĂ©livrance, devient la preuve que la nuit fut terrible. Le fond du jardin, qui n'a plus rien Ă  nous apprendre, surgit comme une information de derniĂšre minute. Un arbre noueux, solidement ancrĂ©, se met Ă  danser, puis fond pour retrouver sa forme initiale. Les paysages ressemblent Ă  des cartes postales de 14-18, qui viennent d'arriver dans notre boĂźte mail aprĂšs ĂȘtre passĂ©es par le cloud. Une image satellite trace des triangulations entre les continents, pour finir en petit archipel de pĂ©nicilline collĂ© sur une lame de verre sous l'Ɠil d'un microscope Ă©lectronique. Une fleur n'a pas peur d'ĂȘtre belle comme une chromolithographie, avant de se diluer dans le tableau d'un dĂ©sert peint par une main surrĂ©aliste. C'est de l'humanitĂ© et de l'exil. François Dejardin n'a rien Ă  cacher, et c'est mystĂ©rieux.
Texte : Werner Moron ( 2024 )
Photos : François Dejardin ( 2024 )
Avec : Élise Morel, Camille Dupont, LĂ©a Garnier, Moi-mĂȘme
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orageusealizarine · 3 months ago
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You are my absolute desire.
Comme un cri s'arrache de ma gorge - la nuit entre mes mains - flots sombres que ne taisent plus rien. Et tes ramures qui m'effleurent et s'Ă©talent tout autour de mes hanches - corolles de mes rĂȘves oĂč je m'enracine Ă  ta peau.
Les bois nous Ă©treignent et nous bercent - perdus l'un Ă  l'autre dans une immensitĂ© sauvage - impossible fuite oĂč je t'adore pourtant Ă  hurler le cristal - qui s'Ă©coule entre mes tremblements, entre mes doigts les perles, et ton regard dĂ©finitif... Lueurs Ă©maillĂ©es - passage changeant. Tes visions. A jour sur ma peau - regards nus - lumiĂšres, obscuritĂ©s, des feux qui bougent - impossibles extases de tes Ă©lans... Viens ! - dans mes bras sombrer. Jusqu'au plus haut matin - oĂč les branches Ă©cartĂ©es n'arrĂȘteront pas nos caresses. ImpossibilitĂ©s... fĂ©roces... oĂč tes dents s'enfonceraient encore si...
Le sang jaillissait.
De mes voluptĂ©s ivres. A t'entrouvrir au cƓur des forĂȘts - mes mains rapides s'efforcent - et demeurent anonymes... Ă  tes cĂŽtes, je sens battre un ciel frĂ©nĂ©tique - que mes lĂšvres viendraient boire si...
Le soir tombait. Tout s'était refermé comme un astre.
SĂ©rĂ©nitĂ© brutale. Je retournais la terre de mes doigts - qui s'enfonçaient - qui s'enfonçaient... Ă  creuser tes dĂ©sirs et rencontrer la foudre - qui m'habite. Surgissement... je me fige - intolĂ©rable... exaltation - je m'Ă©lance. Ton cƓur Ă  mes lĂšvres.
Et ma bouche en sang.
Luxures possibles oĂč s'excĂšdent - des mondes. L'arbre Ă©ventrĂ© - l'Ă©clair qui m'unit - un Ă©clat. Ta main vrille - je m'abandonne ; et nos Ă©garements... sans cesse - ramĂšnent au cƓur. De l'ĂȘtre. LĂ  - je nous sais essentiels. Unis par soif - dĂ©voration - absoluitĂ©. OĂč les bois nous Ă©treignent. Et nous empoisonnent - nous rendant Ă  nous-mĂȘmes. A la jouissance de l'ĂȘtre - et aux dĂ©sirs des astres...
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noticiasarquelogicasjaponesas · 7 months ago
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Welcome to this new series which we will cooperate with @garupan_fan.katyusya and with that said let's start. - What is a samurai? He was a warrior of the 8th century, in his origins they used the bow and not the katana, later they will use other weapons and combat techniques. In this post we are going to focus on the following characters: Mitsuhide, Toshimitsu Saito and Hideyoshi Mideyashi. - Mitsuhide is known to finish off Oda Nobunaga, Mitsuhide would eventually be killed by Hideyoshi Mideyashi. Who was Toshimitsu? He was the main vassal of the Akechi family and father of Kasuya. Saito died on June 17, 1582, his origin and year of birth are unknown. Mitsuhide would kill Oda Nobunaga after the Yamazuki battle. - I hope you liked it and see you in future publications on Japanese history, archeology and geography, among other topics. Have a good week. - @garupan_fan.katyusya ăšć”ćŠ›ă™ă‚‹ă“ăźæ–°ă—ă„ă‚·ăƒȘăƒŒă‚șまようこそ。 - ă‚”ăƒ ăƒ©ă‚€ăšăŻïŒŸ ćœŒăŻ 8 äž–çŽ€ăźæˆŠćŁ«ă§ă‚ă‚Šă€ćœŒăźè”·æșă§ăŻćˆ€ă§ăŻăȘăćŒ“ă‚’äœżç”šă—ăŠă„ăŸă—ăŸăŒă€ćŸŒă«ä»–ăźæ­Šć™šă‚„æˆŠé—˜æŠ€èĄ“ă‚’äœżç”šă™ă‚‹ă‚ˆă†ă«ăȘă‚ŠăŸă™ă€‚ ă“ăźæŠ•çšżă§ăŻă€ć…‰ç§€ă€æ–Žè—€ćˆ©ć…‰ă€ćŸĄć ‚ç­‹ç§€ć‰ăźç™»ć Žäșș物に焊ç‚čă‚’ćœ“ăŠăŸă™ă€‚ - 慉秀はçč”ç”°äżĄé•·ă‚’ć§‹æœ«ă—ăŸă“ăšă§çŸ„ă‚‰ă‚ŒăŠăŠă‚Šă€ć…‰ç§€ăŻæœ€ç”‚çš„ă«ăŻćŸĄć‡ș搉にæźșă•ă‚ŒăŸă™ă€‚ ćˆ©ć…‰ăŁăŠèȘ°ïŒŸ 明æ™șćź¶ăźé‡è‡Łă§çČ•è°·ăźçˆ¶ă€‚ æ–‰è—€ăŻ1582ćčŽ6月17æ—„ă«äșĄăăȘăŁăŸăŒă€ćœŒăźć‡șè‡Șべ生ćčŽăŻäžæ˜Žă§ă‚る。 ć±±ćŽŽćˆæˆŠăźćŸŒă€ć…‰ç§€ăŻçč”ç”°äżĄé•·ă‚’èšŽăĄăŸă™ă€‚ - æ—„æœŹăźæ­ŽćČă€è€ƒć€ć­Šă€ćœ°ç†ć­ŠăȘă©ăźä»ŠćŸŒăźć‡șç‰ˆç‰©ă§ăŠäŒšă„ă—ăŸă—ă‚‡ă†ă€‚ ă‚ˆă„äž€é€±é–“ă‚’
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Bienvenidos a esta nueva serie en la que cooperaremos con @garupan_fan.katyus y dicho esto comencemos. - ¿Qué es un samuråi? Fue un guerrero del siglo VIII, en sus orígenes usaban el arco y no la katana, posteriormente usarån otras armas y técnicas de combate. En este post nos vamos a centrar en los siguientes personajes: Mitsuhide, Toshimitsu Saito y Hideyoshi Mideyashi. - Se sabe que Mitsuhide acabó con Oda Nobunaga, Mitsuhide eventualmente sería asesinado por Hideyoshi Mideyashi. ¿Quién fue Toshimitsu? Fue el principal vasallo de la familia Akechi y padre de Kasuya. Saito murió el 17 de junio de 1582, se desconoce su origen y año de nacimiento. Mitsuhide mataría a Oda Nobunaga después de la batalla de Yamazuki. - Espero que os haya gustado y nos vemos en próximas publicaciones sobre historia, arqueología y geografía japonesas, entre otros temas. Ten una buena semana.
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camisoledadparis · 1 month ago
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saga: Soumission & Domination 368
Vacances de la Toussaint (en France)
Depuis que je suis arrivé aux USA, je reste en contact par skype avec la France et mes amours bien sûr mais aussi mes " petits frÚres " Enguerrand, Max et Nathan.
Je ne sais pas si je leur manque mais eux m'appellent deux fois par semaine pour me raconter leurs misĂšres tout en insistant bien sur leurs excellents bulletins de notes.
Du coup je ne peux refuser qu'ils me rejoignent tous les trois aux vacances de la Toussaint (je leur offre mĂȘme les billets en premiĂšre).
Ils arrivent accompagnés de PH et Ludovic. Je loue un shuttle entier et avec Tyler, les cueille à l'aéroport. En vol direct ils ne sont pas trop fatigués. Sur la route qui nous conduit chez le pÚre de Tyler, Ludovic me dit qu'Enguerrand s'est fait un des Stewards dans l'avion. S'ensuit une bagarre verbale entre les deux frÚres, le plus jeune traitant son ainé de balance. Max et Nathan sont morts de rire car en fait ils avaient fait le pari à qui serait le premier à baiser en vol.
Tyler est Ă©berluĂ© de la façon qu'ont les benjamins de parler de sexe. Ces derniers poussent de grands cris dĂšs qu'on entre dans San Francisco. CollĂ©s aux vitres ils n'arrĂȘtent pas d'Ă©changer leurs impressions. Nathan s'attendait Ă  plus de gratte-ciels. Ils adorent dĂšs qu'on passe Market street. Ça monte et ça descend comme dans les films.
Le standing de la maison de Matthew fait siffler le plus impudent.
Présentation au pÚre de Tyler qui explique aux plus jeunes qu'ils sont chez eux. Je m'empresse d'ajouter en français que c'est réellement comme chez eux, c'est-à-dire qu'ils ne mettent pas tout à feu et à sang, pas plus qu'ils ne ramÚnent du monde.
Promesse de mes trois excités.
En attendant ils amusent bien Tyler et son pĂšre. Dane venu nous rejoindre pour diner intrigue le trio jusqu'Ă  ce qu'il monte se coucher avec nous trois (PH, Ludovic et moi). J'entends tout bas un " faites ce que je dis, pas ce que je fais " alors que la porte de notre chambre se referme.
 Nous entamons la nuit par un bon moment de sexe. Dane est content de retrouver mes deux amours et, aprÚs avoir rapproché les deux lits KingSize, nous passons de corps en corps, de bouches en bouches à bouches en bites et/ou en anus. J'ai grand plaisir à retrouver les corps parfaits de mes partenaires privilégiés. De leurs cÎtés j'ai l'impression qu'ils sont contents aussi. PH fait attention à ce que Dane ne soit pas exclu de nos retrouvailles. Je me gave de leurs langues, je retrouve le goût de leurs bites et de leurs précums. Miammm je les dévore !
Comme on va passer au sérieux (j'entends par là, les sodos), nous voyons la porte s'ouvrir et mes trois loustics sauter sur le lit. Evidemment ils sont déjà à poil et tout bandants !
Dane est le plus surpris. Moi, je pensais qu'ils auraient quand mĂȘme attendu une invitation et peut ĂȘtre mĂȘme un jour ou deux.
On repart pour quelques préliminaires mais les nouveaux venus nous font comprendre que ça, ils l'avaient déjà fait.
Max s'attaque à Dane que je dois décomplexer pour qu'il accepte de baiser avec. Enguerrand fait son " Caliméro " et brule la politesse à son frÚre pour que je l'encule. Ludovic le fait pivoter sur le dos (ma queue servant d'axe) et le chevauche. Non pas pour qu'Enguerrand le sodomise mais pour m'offrir le choix.
Royal !! Je passe d'un cul Ă  l'autre trouvant le mĂȘme plaisir dans chacun de leur corps. Sans ressentiments ils se roulent une pelle alors que je lime leurs rondelles en alternance.
PH s'occupe de Nathan en attendant que je pense Ă  lui. Mais je pense Ă  lui, mĂȘme quand je lime un autre cul que le sien ! C'est mon amour !!
Je laisse les deux frÚres et le décolle de Nathan que j'envoie s'intercaler dans la fratrie.
LĂ  c'est le gros cĂąlin d'amour qui nous place dans une bulle.
Pelles, pipes, sodo, re pipes, re pelles, bouffages de rondelles et autres suçages de tétons, la totalité de nos corps participe à notre plaisir mutuel.
Quand nous explosons enfin, moi dans son cul et lui dans ma main, que nous léchons à deux. On s'aperçoit que la chambre est silencieuse et que nous sommes entourés de 5 voyeurs.
Dane me dit que c'était superbe : " gorgeous " pour lui. Il ajoute qu'il est pressé de trouver un mec avec qui se sera pareil.
Les " petits " s'Ă©clipsent sans demander leurs restes et nous dormons entremĂȘlĂ©s.
Réveil des Français dÚs 7h, décalage horaire ! Nous nous entassons dans le 4x4 de Dane pour faire connaitre au trio les délices du petit déjeuner chez Dottie's.
Comme j'y passe dĂšs que je peux, je commence Ă  y ĂȘtre connu. Il n'empĂȘche que nous faisons la queue comme tout le monde. Le serveur nous place Ă  la grande table (la seule) qui jouxte l'entrĂ©e. Je lui explique qui sont mes invitĂ©s. Il les gratifie d'un  bienvenu Ă  San Francisco, draguant plus qu'Ă  moitiĂ© Enguerrand. Le cafĂ© arrive aussitĂŽt accompagnĂ© d'un grand verre d'eau. Ça nous laisse le temps de choisir et Ă  lui le temps de placer quelques clients de plus.
Quand nous passons commande, il est quand mĂȘme un peu surpris par la quantitĂ©. Il n'empĂȘche que les muffins comme les pancake et les oeufs brouillĂ©s/bacon/patate disparaissent tous de la table.
Nous déposons Tyler chez lui et faisons un détour par chez Dane pour récupérer son petit frÚre.
Il nous explique qu'il lui a demandé de s'occuper des jeunes pendant les 10 jours qu'ils vont passer ici. Comme il a son permis (c'est plus tÎt qu'en France), ils seront indépendants les jours à venir. Ludovic le remercie et lui dit qu'il ne fait pas forcément un cadeau à son frÚre vu la " turbulence " du trio.
Quand nous rencontrons Duke, nous sommes rassurés. Il est aussi balÚze que nous et semble pas timide. Sa poignée de main est ferme et il prend tout de suite le trio en charge. Ils grimpent dans son Pickup et nous propose de les suivre.
Alors qu'on file vers les quais, je demande Ă  Dane s'il sait oĂč son frĂšre nous emmĂšne. RĂ©ponse " aucune idĂ©e ". On est vite fixĂ© en apercevant le quai d'embarquement pour Alcatraz.
Petite traversée calme. Je note que le trio a intégré Duke et réciproquement. Ils ne s'occupent plus de nous ! Visite intéressante, retour calme aussi, le quatuor parcourant le petit ferry de long en large.
Comme on reprend les voitures, Duke nous dit qu'ils vont aller faire du surf et qu'ils nous retrouveront dans la soirée. Si ce n'est pas un congé, c'est bien imité ! J'attrape Enguerrand et lui glisse un paquet de dollars, précisant qu'il ne devait pas laisser payer Duke pour eux. Il pousse les billets dans son short et me fait un bisou en me disant qu'il sait vivre.
On les retrouvera fourbus mais excitĂ© de s'ĂȘtre essayĂ© au surf avec Duke.
Pendant le diner, il est Ă  ma gauche. J'en profite pour lui demander si ça le gave pas trop d'avoir Ă  se trainer 3 petits français. Quand il me dit qu'heureusement que nous autres (PH, Ludovic, Dane et moi) seront repartis ou en cours, comme ça ils pourront s'essayer Ă  d'autres sports. Je capte le sous-entendu. En moi je me dis que si le petit frĂšre est du mĂȘme moule que le grand, ils vont bien s'amuser. Je donne ma bĂ©nĂ©diction d'un " d'accord mais tu fais attention Ă  eux, j'y tiens beaucoup " ce qu'il me dit savoir dĂ©jĂ  et accepte.
 C'est vers la fin du diner, le vin aidant que l'on apprend qu'il s'est déjà fait Nathan et qu'il est pressé de faire l'amour avec les deux autres avec lesquelles il n'a pu qu'échanger quelques pipes dans le pickup. Questions des plus ùgés pour savoir quand ils avaient réussi à le faire (Nathan et lui), réponse dans les toilettes d'Alcatraz alors qu'on attendait la navette.
De Dane à qui je reproche de ne pas nous avoir prévenus que son petit frÚre était comme nous, me parvient la réponse que si j'avais été au courant, j'aurai cherché à lui enfiler ma bite en premier. De Duke m'arrive un " mais t'inquiÚte j'ai bien envie de le faire avec toi ".
Merci pour mon Ă©go !
 Le lendemain aprĂšs le dĂ©part de mes deux amours pour la France, Duke me demande s'il pouvait inviter la triplette chez lui, que ce serait beaucoup plus simple que de venir les chercher tous les jours chez Matthew. Dane m'assure que ses parents ne verront mĂȘme pas la diffĂ©rence habituĂ©s Ă  ce que de leurs amis passent souvent quelques jours chez eux. Tyler me dit qu'effectivement les parents de Dane et Duke sont cool et qu'il lui est arrivĂ© d'y squatter 1 semaine quand son pĂšre Ă©tait absent.
Je cĂšde !! Et je reçois ma rĂ©compense, un french kiss de Duke ponctuĂ© Ă  l'attention de Dane d'un " tu ne pensais quand mĂȘme pas te le garder pour toi tout seul ?! ".
Retour à la Fac. Tous les soirs les garçons m'appellent pour me raconter leur journée. Visite complÚte de San-Francisco, de la Napa Vallée, échanges sportifs avec leur hÎte trÚs intéressé par le savant mélange des différentes techniques de combat que nous avons développé.
Quand ils apprennent que j'ai eu droit à des cours particulier avec un véritable Navy Seal, ils sont excités (bien que ce soit leur état naturel). C'est Enguerrand qui me dit que coté cul je vais apprécier le WE à venir. Il ne sait pas pour Dane mais Duke est un sacré bon coup au lit. Venant de lui qui en connait un bout sur le sujet, je bave d'impatience.
Quand j'en discute avec Dane, ce dernier me dit qu'il n'en sait rien, ils n'ont pas d'amis commun (enfin, de lit). Quand je lui demande s'ils n'ont rien fait ensemble depuis qu'il sait que son frérot est gay comme lui, il me le certifie à moitié choqué.
DÚs le vendredi soir nous rejoignons les benjamins chez Dane. En plus de son frÚre et du trio français, il y a déjà 4 autres jeunes mecs.
PrĂ©sentation, ce sont les meilleurs potes de Duke et d'aprĂšs les comportements, ils connaissent dĂ©jĂ  mes " petits frĂšres " et bibliquement mĂȘme !
Les parents partis prendre le soleil à San Diégo, nous avons la maison pour nous.
Ça devait arriver, Ă  peine une demi-heure aprĂšs notre arrivĂ©e, Duke rĂ©ussit ce qu'il avait en tĂȘte depuis notre premiĂšre rencontre, c'est-Ă -dire baiser avec moi !
Un peu plus petit que Dane, mais pas de la bite qui, aussi longue me parait juste un peu moins Ă©paisse, il est terriblement baisable !!
Grosse pelle, pompage mutuel avec plus de la part de Duke. Il apprĂ©cie mes gorges profondes et me dit qu'il comprend d'oĂč vient l'entrainement du trio. Lui-mĂȘme n'est pas en reste et la capacitĂ© de sa gorge dĂ©passe son encombrement par mon 20x5. Quand je le fĂ©licite, il me dit de ne pas en parler Ă  Dane, il veut pas qu'il le croit trop " salope ".
C'est lui qui, d'impatience, me prĂ©sente sa rondelle et se plante sur ma bite (prïżœïżœalablement recouverte de synthĂ©tique).
Quel cul ! Encore plus " nerveux " que celui de Dane, il m'enserre la bite, la pressant Ă  me faire croire que j'encule un puceau. Il n'empĂȘche que quand je pousse pour lui mettre mon dernier cm, le plus Ă©pais, j'ai le plaisir de l'entendre couiner.
Il tourne la tĂȘte et nous nous roulons un patin. Je le pousse Ă  4 pattes et aprĂšs avoir attrapĂ© ses hanches je l'encule virilement. Il apprĂ©cie et gĂ©mis sans retenue. AprĂšs un retournement afin qu'on se voit prendre notre pied, il m'enserre les hanches de ses jambes alors que je me colle Ă  lui et lui donne ma langue Ă  tĂ©ter. Mes hanches continuent de pousser ma bite dans sa rondelle. SimultanĂ©ment je sens son jus s'infiltrer entre nos abdos et sa rondelle bloquer les mouvements de ma bite Ă  chaque Ă©jaculation. Il me fait jouir et je m'Ă©croule sur lui.
Alors que nous prenons un instant de repos avant de rejoindre les autres, il me demande comment je le note par rapport Ă  son frĂšre.
Je ris et lui dis qu'il va falloir qu'on recommence plusieurs fois pour que je puisse juger en toute connaissance de cause. LĂ , on s'est fait 2 positions ce qui est un peu court pour la comparaison.
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thebusylilbee · 3 months ago
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Comment a-t-on pu en arriver là ? À mesure que l’on feuillette la bande dessinĂ©e, la question se rĂ©pĂšte, s’amplifie, jusqu’à former une tornade d’incomprĂ©hension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux Ă©ditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent Ă  des singes. D’autres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncĂ©, des lĂšvres surdimensionnĂ©es d’une couleur rosĂ©e et, parfois, des grandes mains et une mĂąchoire prognathe. 
Les reprĂ©sentations s’étalent sur des dizaines de pages et pourtant, l’Ɠuvre a Ă©tĂ© relue, Ă©ditĂ©e et diffusĂ©e massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de l’album tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande d’écoterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquĂȘte les mĂšne sur un porte-avions de l’armĂ©e amĂ©ricaine, subtilement baptisĂ© USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes Ă©colos. À bord de l’USS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutĂŽt, « furtif », comme l’affirme en riant l’amirale Denzelle Jackson Ă  bord, une grosse femme noire aux immenses lĂšvres roses et au cou poilu. 
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Au tĂ©lĂ©phone, le dessinateur de l’album, Dany, tente de nous expliquer la « blague » : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas ĂȘtre dĂ©celĂ© par les radars. C’est un navire “furtif”. La dimension furtive est amusante. D’ailleurs, la pacha [commandante du navire – ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] C’est ça qui amusait beaucoup le scĂ©nariste et qui m’a fait rire aussi. C’était une bonne trouvaille, un Ă©quipage complĂštement noir... » 
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand j’ai dĂ©couvert les dessins, j’ai eu l’impression que c’étaient des animaux qui Ă©taient dessinĂ©s, et non des humains », s’étonne le blogueur Seumboy. 
« Retrait de l’ouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup d’internautes, dĂ©couvert l’existence de Spirou et la Gorgone bleue aprĂšs qu’une Française a diffusĂ© une courte vidĂ©o sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », prĂ©sente-t-elle en feuilletant les pages de l’album, paru en rĂ©alitĂ© un an plus tĂŽt. Sa vidĂ©o est reprise sur d’autres rĂ©seaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et gĂ©nĂšre des trombes de commentaires indignĂ©s.
ContactĂ©es par Mediapart, les Ă©ditions Dupuis ont rĂ©pondu ce jeudi par voie de communiquĂ©, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colĂšre ressentie devant la reprĂ©sentation des personnes noires et des femmes » dans l’Ɠuvre mise en cause.
« Nous sommes profondĂ©ment dĂ©solĂ©s si cet album a pu choquer et blesser. Cet album s’inscrit dans un style de reprĂ©sentation caricatural hĂ©ritĂ© d’une autre Ă©poque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de l’importance que reprĂ©sente la bande dessinĂ©e en tant qu’éditeur et plus largement le livre dans l’évolution des sociĂ©tĂ©s, nous prenons en ce jour la pleine responsabilitĂ© de cette erreur d’apprĂ©ciation. C’est pourquoi nous tenons Ă  prĂ©senter nos plus sincĂšres excuses. »
La maison explique avoir « mis en Ɠuvre le retrait de l’ouvrage de l’ensemble des points de vente ». L’album se serait toutefois trĂšs bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe qu’elle aurait mĂȘme Ă©tĂ© rĂ©imprimĂ©e. Elle avait Ă©tĂ© tirĂ©e en septembre 2023 Ă  22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom. 
L’univers de Spirou, popularisĂ© par Franquin, est dense. D’un cĂŽtĂ© s’égraine, depuis les annĂ©es 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numĂ©ro est paru cet automne. De l’autre, une sĂ©rie dĂ©rivĂ©e« Le Spirou de... »permet Ă  la maison d’édition de dĂ©cliner la franchise en demandant Ă  des dessinateurs de rĂ©interprĂ©ter le cĂ©lĂšbre hĂ©ros Ă  leur sauce.
C’est lĂ  que Yann et Dany entrent en scĂšne. Le premier est scĂ©nariste de BD, l’autre auteur et dessinateur. À 81 ans, Dany est un incontournable du neuviĂšme art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresd’Olivier Rameau, un hĂ©ros rĂȘveur et son acolyte fĂ©minine hypersexualisĂ©e en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les Ă©ditions Dupuis sont venues le chercher pour dĂ©velopper ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordĂ©e aux Amis de la BD en 2023. 
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Le processus de crĂ©ation a visiblement pris du temps. L’éditeur qui avait dĂ©marchĂ© Dany est remplacĂ© en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmĂ© en voyant la tĂȘte de certains personnages. « Le nouvel Ă©diteur m’a dit : “Tu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.” Alors j’ai changĂ©, on a refait pas mal de visages
 Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany Ă  Mediapart. 
La bande dessinĂ©e que l’on connaĂźt aujourd’hui aurait donc dĂ©jĂ  fait l’objet de modifications. C’est ce qu’a confirmĂ© Julie Durot, la directrice gĂ©nĂ©rale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a Ă©tĂ© signĂ© il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivĂ©e, nous avons Ă  plusieurs reprises demandĂ© des modifications Ă  son dessinateur, Dany. C’est un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, Ă©taient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi l’éditeur a quand mĂȘme publiĂ© l’album alors qu’il ne semblait pas satisfait. Refuser d’éditer ce Spirou aurait Ă©tĂ© Ă  perte, mais cela aurait Ă©vitĂ© une grosse polĂ©mique »,souligne Lloyd ChĂ©ry, rĂ©dacteur en chef adjoint de MĂ©tal hurlant, un magazine de rĂ©fĂ©rence sur l’univers de la BD.
Peu de remise en question
AuprĂšs de Mediapart, le dessinateur alterne aujourd’hui entre excuses et justifications. « S’il faut retenir quelque chose, c’est que je suis dĂ©solĂ© si j’ai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les rĂ©actions. « J’ai peut-ĂȘtre un peu forcĂ© la main, peut-ĂȘtre que j’ai fait une erreur
 Cela dit, l’album est sorti en septembre 2023, jusqu’ici, je n’ai eu aucune critique. » 
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Dany dĂ©fend la « caricature » qui, « par dĂ©finition, consiste Ă  forcer le trait ». Et d’expliquer un raisonnement Ă  faire s’évanouir des militants antiracistes : « Il est Ă©vident que la plupart des Africains, enfin presque tous d’ailleurs, ont des lĂšvres plus Ă©paisses, plus grosses que les Blancs, c’est un fait. Ça fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, qu’il considĂšre Ă©galement avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble Ă  Trump, ce n’est pas particuliĂšrement gentil non plus
 Et puis Ă  ce moment-lĂ , j’aurais aussi dĂ» refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il Ă  propos de l’acolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « J’aurais dĂ» faire gaffe Ă  ne pas dessiner les Noirs comme dans les annĂ©es 1960 ou 1980, c’est sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de l’univers de Spirou. Mon modĂšle absolu, c’est Franquin, c’est le genre de dessins qu’il faisait. J’en suis vraiment dĂ©solĂ© et je voudrais prĂ©senter toutes mes excuses Ă  ceux que j’aurais pu blesser, car c’est totalement involontaire. J’ai peut-ĂȘtre beaucoup de dĂ©fauts, mais je ne suis pas raciste, ça, c’est certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve d’une inclination Ă  dĂ©shumaniser les personnes noires, qui n’est pas propre Ă  la BD de Spirou. Le dessin montre, d’un cĂŽtĂ©, les deux personnages blancs crĂ©Ă©s par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, s’opposer Ă  un groupe de cinq personnes racisĂ©es. « Ça ne va pas ĂȘtre facile de les intĂ©grer, ces deux-là », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entourĂ© d’autres personnages racisĂ©s. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, Ă©taient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la thĂ©orie raciste du « grand remplacement ».
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Le blog regorge Ă©galement de dessins de femmes nues ou hypersexualisĂ©es, comme c’est le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signĂ©e Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe. 
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte qu’il ne s’agit pas d’une erreur de jeunesse, mais d’une prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, crĂ©ateur et animateur du site de vulgarisation de l’histoire coloniale Histoires CrĂ©pues. Le message qu’il essaye de dĂ©livrer, c’est que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux États-Unis et que si l’on n’y prend pas garde, la sociĂ©tĂ© multiculturaliste amĂ©ricaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de l’esthĂ©tique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany prĂ©sente comme son modĂšle, l’iconique dessinateur franco-belge AndrĂ© Franquin, crĂ©ateur du Marsupilami et illustrateur rĂ©gulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-mĂȘme une façon bien particuliĂšre de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les PygmĂ©es, paru pour la premiĂšre fois en 1949, l’auteur de BD met en scĂšne des personnages noirs
 dont on dĂ©couvre qu’ils sont en rĂ©alitĂ© « des bruns qui ne se sont jamais lavĂ©s », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui prĂ©figurait les spots tĂ©lĂ©s pour dĂ©tergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et qu’on illustrait d’un Africain dont les membres ressortaient du bain dĂ©pigmentĂ©s. Dans un livre d’entretien, exhumĂ© par le journaliste spĂ©cialiste JĂ©rĂŽme Lachasse, Franquin se dĂ©fendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs. 
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturĂ©s, et souvent dĂ©peints sous les traits d’aventuriers en quĂȘte de frissons et d’exotisme, ont des physiques avantageux et diversifiĂ©s, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et prĂ©sentent des physiques trĂšs homogĂšnes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, c’est aussi faire preuve de paresse artistique, dĂ©plore Laura Nsafou, Ă©crivaine et bĂ©dĂ©iste afrofĂ©ministe. LĂ  oĂč on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des diffĂ©rentes carnations ou textures de cheveux. PlutĂŽt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
L’histoire de la bande dessinĂ©e franco-belge recĂšle en rĂ©alitĂ© beaucoup de ces reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es, reprenant l’esthĂ©tique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rĂŽles secondaires de faire-valoir humoristiques, imbĂ©ciles et dociles. Les protagonistes noirs Ă©voluent frĂ©quemment dans des contextes de guerre, d’esclavage ou de sĂ©grĂ©gation raciale, et n’occupent que trĂšs rarement les rĂŽles principaux. 
L’exemple le plus mĂ©morable reste le numĂ©ro de Tintin au Congo, oĂč l’on suit le reporter Ă  houppette dĂ©jouant les piĂšges d’une bande de gangsters qui cherchent Ă  mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinĂ©e Ă©tait le reflet de l’esprit paternaliste de la Belgique colonialiste du dĂ©but des annĂ©es 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de HergĂ© continuent de nourrir l’inspiration et les prĂ©jugĂ©s racistes de bĂ©dĂ©istes contemporains. 
Plusieurs spĂ©cialistes et acteurs de la bande dessinĂ©e relĂšvent la responsabilitĂ© de l’éditeur d’avoir validĂ©, aprĂšs rĂ©union du comitĂ© Ă©ditorial, une telle publication. Mais ils saluent la dĂ©cision rare de retirer des ventes le numĂ©ro et invitent Ă  saisir cette occasion pour amorcer une rĂ©flexion plus large. « Il est nĂ©cessaire que les maisons d’édition de bande dessinĂ©e soutiennent d’autres narrations et proposent des rĂ©cits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de diffĂ©rentes carnations, qui vivent Ă  Paris, et qui ressemblent aux gens qu’on voit dans la rue et dans le mĂ©tro », milite Laura Nsafou, elle-mĂȘme autrice de plusieurs BD qui mettent en scĂšne des personnages racisĂ©s. 
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
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jacquesdor-poesie · 7 months ago
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Entre l'or du jour et les ruissellements de la pensĂ©e : les temps anciens, les chemins tracĂ©s par d'autres. Il y a autant d'avant en nous, d'autres avant nous, que d'histoires nouvelles Ă  Ă©crire, Ă  rĂȘver. Embrasser l'intĂ©rieur de sa main serait dĂ©jĂ  goĂ»ter Ă  l'avenir... Le divin dans l'eau, la rĂ©manence du soleil sous nos paupiĂšres car toute nouvelle vie porte en elle une totalitĂ© ; et seul un nouvel amour pourrait rivaliser, prĂ©tendre Ă  autant d'espĂ©rance.
jacques dor
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au-jardin-de-mon-coeur · 2 months ago
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Un nouvrau matin entre nos mains....un nouveau jour Ă  dĂ©couvrir et Ă  nous surprendre au delĂ  de nos rĂȘves.... Aimons-le et laissons-le nous aimer jusqu'Ă  nous en aimerveiller ! LĂ , est le secret du bonheur...
Bon dimanche Ă  toutes et Ă  tous et aimerveillons-nous les uns les autres ! đŸ«¶âœšïž
#au-jardin-de-mon-coeur ✒
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