#enivrer

[georgesboulevard]

En novembre, la tentation est forte de s’enivrer de couleur

[vhscorp]

Les courbes langoureuses de ton corps m’enivrent plus qu'aucune cigarette ou n’importe quel alcool fort…

V. H. SCORP

[fullnft-fr]

Oasis de café gourmand une expérience inoubliable

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Oasis de café gourmand une expérience inoubliable

Plongez dans une oasis de café gourmand où chaque gorgée offre une expérience inoubliable. Notre sélection de cafés exquis transporte vos sens dans un voyage de saveurs riches et envoûtantes. Découvrez l’harmonie parfaite entre l’arôme robuste du café fraîchement moulu et la délicatesse des accompagnements gourmands qui accompagnent chaque dégustation.

Laissez-vous séduire par l’atmosphère chaleureuse de notre oasis, où la passion pour le café atteint de nouveaux sommets. Chaque tasse est soigneusement préparée pour capturer l’essence même du café, transformant chaque pause café en un moment mémorable.

Notre oasis de café gourmand est l’endroit idéal pour les amateurs de café qui recherchent une expérience sensorielle unique. Venez savourer le mariage subtil des saveurs, la texture veloutée et l’arôme enivrant qui font de chaque visite une aventure gustative.

Plongez dans cette expérience inoubliable où le café devient une célébration des sens. Découvrez le plaisir d’une pause café exceptionnelle dans notre oasis, où l’art du café rencontre la perfection du goût. Faites de chaque moment une célébration avec notre sélection exclusive de cafés gourmands.

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[au-jardin-de-mon-coeur]

Une femme est une fleur parmi les fleurs...elle en a toute sa beauté et sa fraîcheur, tout son parfum qui vous chavire le coeur et vous enivre de bonheur !

#au-jardin-de-mon-coeur ✒️

[orageusealizarine]

ô bonheur surhumain qui m'étreint - mes larmes trempées de soleil ruisselant sur ta beauté nue - comme je t'aime ! à m'étreindre - au plus profond de la nuit et du sentiment - tu es l'aurore retrouvée, tu es la joie révélée - à l'appel de mes Mystères et de mes Vœux - mes mains dressées en un plus bref hommage - et que tes lèvres effleurent (imperceptibles tressaillements ! renoncement aux banalités douloureuses ! ma tête renversée en signe d'acquiescement !) - je vois le ciel où je t'embrasse plus purs ensemble même agenouillés dans la fange qui ne nous concerne plus - ô bonheur surhumain qui m'étreint - délice de tes lèvres, de tes caresses, de tes initiations - je reste émerveillée - immobile - fulgurée - au duvet de tes gestes, fleurs surnageant sur les eaux - mes flancs dévoilés de tendresse - lac de mes passions... où je te noie, ô volupté, au seuil de mes calices - inénarrable félicité ! - je tremble de la joie où tu me vois sombrer, où je veux t'attirer - comme un soleil inarrêtable - que tu cèdes avec moi - digues aux lys enlacés, tels nos deux corps printaniers, germant de tous côtés - bourgeons foisonnants et germes enivrants - toutes mes fleurs de supplice, mes plantes tentatrices - mes parfums corrupteurs - de l'humus tout humide - à nos chairs accolé - ô bonheur surhumain qui m'étreint - ô beauté surréelle et sans fin - de tes mains, de tes reins - ô bonheur souverain...

[ltalaynareor]

L'anniversaire de mariage

Contexte: Le roi Baudouin IV de Jérusalem n'a pas la lèpre. Alix de Tripoli est la fille du comte Raymond III de Tripoli.

Dans la magnifique cité de Jérusalem, le roi Baudouin IV et la reine Alix de Tripoli se préparaient à célébrer une nuit de liesse et de passion. Mariés depuis cinq ans, ils étaient unis par un amour profond et une complicité inébranlable. À l'aube de leurs vingt-trois ans, ils avaient décidé de marquer cet anniversaire en célébrant leur union par une fête grandiose et une nuit merveilleuse.

Baudouin, aux traits nobles et au regard perçant, attendait avec impatience la venue de sa belle épouse. Alix, à la beauté éclatante et à la douceur envoûtante, fit son entrée dans la salle spécialement décorée pour l'occasion. Elle était vêtue d'une somptueuse robe de soie brodée d'or, mettant en valeur sa silhouette élancée et sa grâce naturelle.

Les yeux de Baudouin s'illuminèrent en contemplant sa femme, dont la beauté le fascinait toujours autant. Il lui prit délicatement la main et l'entraîna sur la piste de danse improvisée où ils commencèrent à virevolter au rythme envoûtant de la musique jouée par des musiciens talentueux.

Les invités observaient le couple royal avec admiration et respect, témoins de l'amour qui les unissait. Baudouin et Alix dansaient avec grâce et légèreté, leurs yeux ne se détachant jamais les uns des autres, comme s'ils étaient seuls au monde.

Après la danse, Baudouin prit la main d'Alix et l'entraîna vers leur chambre, où les attendait un festin de fruits exotiques et de douceurs sucrées. Ils se regardèrent intensément, comprenant sans mots que cette nuit serait spéciale.

Dans la chaleur de leur étreinte, Baudouin et Alix s'abandonnèrent l'un à l'autre, dans un tourbillon de passion et de désir. Leurs corps fusionnèrent dans un ballet sensuel et enivrant, scellant leur amour dans un échange de tendresse et de complicité.

Cette nuit-là à Jérusalem, dans la lueur des bougies et le parfum enivrant des fleurs, Baudouin et Alix célébrèrent leur union avec une intensité et une tendresse qui éclairèrent leur amour d'une lumière éternelle.

[fieriframes]

[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]

XIV - La Ville Invisible

Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.

Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.

Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.

J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.

J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.

Il me semblait que j'étais vraiment seul.

Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.

Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.

Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.

Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.

En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍

[harrietvane]

Perfume chat, because it's hot, summer's ending, and I'm of a mind to list out some of my favourite Hot Weather Perfumes. To be fair, once it gets above 30C/86F, I don't tend to wear scent, but all these I ones I could, and have worn in hot weather, and worth mentioning. Lot of citrus going on here, not much floral, and heavily leaning towards citrus cologne strenght (and away from big floral, gourmand, or sweet eaux de parfum). BYO gender, none of these are marketed specifically one way or another.

-Cédrat Enivrant (Atelier Cologne): the 'cedrat' here is not referring to cedar, but to the ur-citrus known in english as the Citron, aka the mighty Etrog. It's one of the original citrii from which all others spring: it's lumpy, bitter, like 60% rind, and doesn't care what you think. Cedrat Enivrant is a bitter cocktail cologne resembling a French 75 - which is gin and champagne - but dry AF. There's a mintiness, and a pine needle dryness as well. Starts off very high and tart, dries down herbal.

Paris-Deauville (Chanel): part of their Eaux de Chanel cologne-style lighter series, this is an orange/basil combo that stays fairly light and dry - the sweetness is from orange, but otherwise the addition of basil heart note keeps this summery and green. Starts off quite juicy, but 'dries' as it dries, ending in mostly sweet herbs, and the basil is unexpected. Light enough to be a splash bottle though, not a typical Chanel.

Blenheim Bouquet (Penhaligon's): despite going all-in on flashy, heavier things lately, Penhaligon's keeps the old BB on the shelf because I'm p sure it's still one of their best sellers: it's a classic for a reason. Despite listing notes of lemon, black pepper and pine, this comes off mainly with a 'clean pencil shavings' vibe on me, and it suits that freshly-sharpened pencil image. Lemony, sharp, dry, precise. if it was a person it would be Anton Lesser's character in Endeavour.

Melograno (Santa Maria Novella): I sought this out after seeing it on-screen in Casino Royale as one of Vesper Lynd's few belongings in Venice, and it did not disappoint. A warning: despite the name, if you go in expecting a syrupy bath and bodywork's style fruity pomegranate, or dislike things 'that smell like perfume' this perfume is not for you. There is very little, if any, fruit in Melograno, and I confess it's a surprise entry to a cologne-y summer list because it lists several flowers (and oakmoss! and patch!), BUT the reality of it on me is dry dry dryyyy. I have worn this in very hot weather, and the impression is a herbal soap in the cleanest italian bathroom that's ever existed, with a rigid linen handtowel, and some dried flowers in a bowl on the window.

Bergamotto di Positano (Floris): if you DID want fruit, but not syrup, Floris has you covered for orange and mandarin. It steers away from Body Shop fruit with marine notes, but don't let that dissuade you if you avoid CK One types: there's a softness to this from some ginger, green tea, and vanilla in the background. Never goes overly gourmand on me despite the fact that these are all edible things.

Ouarzazate/Series 3 (Comme des Garçons): whaaaaat, an incense in a summer list?? Adding it here as we can't have an entirely citrine list, and this makes the cut due to DRY. CdG did a little series on incense of various styles (the most infamous being Avignon, which does actually smell like a realistic in-use thurible, so hats off to them), and Ouarzazate is their desert incense vibe. It's clean in that dry sauna/spa room sort of way. It's the driest and woodiest of the 4 they did imho. Like walking into a shady, cool, dark wooden room when it's hot outside.

Le Pamplemousse (Miller Harris): MH perfumes divide into those made when Lyn Harris was the nose (interesting, lots of werird herbal combos), and those after she left (generally bigger and sweeter) - this is one of the former. Obviously grapefruit as a theme, which is always a nice bitter citrus for summer, this wears like a crisp white shirt. Despite mentioning things like rhubrarb, the notes are kept in strict order by rosemary, sage, and vetiver. The grapefuit fades as the herbs take over on drydown, manages to evoke clean laundry with no musk. (Bonus points: I have also loved Le Petit Grain from the same house for its twiggy orange tree bundle vibes, but it's discontinued)

Budget options: some countries get great sampling or decanting services (not mine, booooo), and getting 10mls of the above might be easier for you than me, but if not: here's some you can get for a lot less cash but still give you quality-

Vetiver Pamplemousse (Zara): done by theee Jo Malone, so that gives you an idea of the vibe (light, approachable). It's grapefruit, tangerine, and vetiver. Vetiver keeps it dry, quite linear development. Might be slightly 'spicier' than the MH Pampelmousse, or at least more vetiver-forward. Comes in a rollerball for those wanting a short commitment!

4711 (Mäurer & Wirtz): how could i not end on the OG, the classic, the unbeatable 4711. Four-Seven-Eleven has been freshening up people's bathroom routines since 1799, and boasts of a recipe (mostly?) unchanged since Napoleon was tramping around the area. It's citrus, it's lavender, it's romemary, it evaporates in 8 seconds, it's fresh lemony goodness. It's an aftershave, it's a cologne, it's a linen spray, it's a bath soak, is there nothing it cannot do? M&W have started to do endless 'remixes' of the base cologne, in many fruit and floral varieties, but the classic is where it's at. And it costs almost nothing.

[bonesuh]

♣ ♢♦ Enivrant, n'est-ce pas ? ♦♢ ♣

[coolvieilledentelle]

Décembre est la fin qui ressemble à un début. Décembre remplit nos cœurs de miséricorde et d'humilité. Décembre est le temps des miracles, le temps des contes de fées, le temps de la magie et des cadeaux. Un cadeau que nous avons attendu toute l'année. Parfois le plus cher à notre coeur. Une série de moments magiques pour les familles. Les gestes du cœur, l'affection, la chaleur du mois de décembre sont disposés de manière tentante dans le collier le plus exquis. Un collier qui illumine l'arrière-plan enneigé et réfracte nos rayons de soleil préférés dans un arc-en-ciel coloré d'espoirs pour un début coloré. Décembre brille de toutes les couleurs sur le fond blanc… Comme une feuille sur laquelle on écrit les moments passés et les projets d'avenir… entre les lignes du bilan. L'évaluation pour savoir si nous avons été bons, si nous avons été plus heureux au cours de l'année écoulée, ce que nous serons au cours de la nouvelle année… Nous colorons de nouveaux rêves, et ce que nous voulons oublier reste sous la ligne. Nous effaçons les attentes erronées pour faire de la place dans nos yeux pour de nouveaux couchers de soleil magnifiques , mais seulement pour les retrouver après des levers de soleil encore plus beaux. Décembre est la flamme dans la cheminée, qui est allumée par les étincelles de nos sourires, par l'affection dans nos yeux, par les mains tendues avec gratitude. Décembre a la couleur de l'amour et du vin rouge. Il nous enivre au fil des jours du calendrier. Et il nous rend réels. Il nous fait revivre nos souvenirs d'enfance. Il nous donne de l'humanité, de la foi, de l'espoir et du partage ! Décembre est notre prière… Ne pas être seul ! Soyons meilleurs ! Que nos enfants soient plus heureux ! Que nos proches soient en bonne santé ! Que nos cœurs soient pleins ! Que la route soit lumineuse ! Les gens - bénis… Qu'il en soit ainsi !

Charlotte

[vorish-wonderland]

Hihihi!!! I love your writing!! It has gotten me through some tough times recently. Could I make a request? I don’t have the most detailed request, but could it be of something with Rook? Maybe some teasing or not! I just thought it would be a fun request to ask! Even maybe push you out of your comfort zone! (In the sense of writing characters, that is. Even though you have written for Rook before lol.)

Oh! And I hope you’re doing well!! ♡♡ Don’t force yourself to write!!! Bye now!!!

Include(s): soft/safe vore, unwilling prey, Rook purposely scares the reader, I wrote the majority of this fic while very sick so I hope this is good regardless of that

★✦Petite Souris✦★

☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ☆ﾟ⁠.⁠*⁠･⁠｡ﾟ

Adjusting to life in Twisted Wonderland was strange and hard...

Especially since, apparently, the scales of your worlds are very different. Your 6'2 is equivalent to their 3 inches... you're unbelievably small in this world. After being "the tall one" your whole life, it's kinda hard to get used to being smaller than a mouse...

Grim is your steed. You can't effectively move around the school at your size, so of course he helps his henchman!

...the only problem is... today, you got separated from him. So, now, you're completely alone. All alone, except for...

"Ahhh~! Petite souris~! How rare it is I see you without Monsieur Fuzzball... what reason could there be for someone of your stature being entirely... alone?"

Rook Hunt. Probably one of the most dangerous students on campus.

"Oh, hi Rook-" You were about to say that you didn't want him to be around you, but then he grabbed you like one would grab a dog's toy.

"Petite souris... so small, so helpless~" Rook smiles as he stares at you. "You will spend the day with me, petite souris."

It was already far too late for any protesting. He's going to carry you around all day and-

...did he just lick you?

"W-what the hell, Rook?!"

"Mmmhh... je suis désolé, mon petite souris... I simply could not resist... your scent is enivrant..."

"Can you let go of me??"

"Certainly not!! It would be unsafe..." Rook suddenly stuck your upper half in his mouth, manhandling you with his tongue, coating you in his viscous saliva... when he pulls you out, there's a string of it attaching you still to his mouth, which he licks off of you.

"Stop it!! What are you doing?! Let go of me already!!"

"Non. Absolutely not. Unsafe, as I said."

"I don't care if it's unsafe!!" You yell, struggling against his hand. "Let go of me already!!"

"...you don't care if it's unsafe?" Rook asks as he smiles... though his smile doesn't reach his eyes.

"Ugh, whatever you're doing is definitely more unsafe than just-"

"Than walking along the ground and risk being stepped on and violently crushed to death~?" He stares at you, his eyes not leaving your own. "However could what I'm doing be worse a fate than that, petite souris? Well, if you truly want it..."

He let's go of you for half a second, before very quickly grabbing you again. Just enough to completely petrify you. If he had just decided not to grab you again... you... you'd just be a stain on the ground right now...

"I'm sure what I'm doing does not seem that bad now, does it, petite souris?"

You're too scared to respond. You're desperately holding onto his hand which he holds you with... worried that he would simply drop you, with no remorse.

Rook lifts you higher up into the air... up, up, up... higher and higher... up above his head.

"I... I-I'm sorry, Rook... please put me down..." You meekly beg. You just want this all to be over. You want him to leave you alone.

"...as you wish, petite souris."

Rook opens his mouth and drops you once more... only, this time, he doesn't catch you. Well, at least, not with his hand. No, Rook caught you in his mouth.

He swallows you down before you can even struggle against him.

For several terrifying minutes, maybe half an hour, he says nothing to you. You're left with your inner thoughts, left to wonder if you're going to die... until, finally... he speaks to you.

"Magnifique! Such exquisite flavour, wonderful texture, and such attirant, such adorable struggling~!" Rook giggles to himself and pats his stomach a few times, shaking your entire world. "You did a fabulous job of playing along, merci beaucoup."

PLAYING ALONG?! PLAYING ALONG?!

YOU WERE GENUINELY TERRIFIED FOR YOUR LIFE, YOU THOUGHT YOU WERE GOING TO DIE, YOU WERE NOT SIMPLY "PLAYING ALONG"!

...oh, but you're still inside him, so you won't say all that. Who knows what he would do.

"...it... i-it was... no trouble... Rook..." You nervously spoke.

"Again, merci beaucoup. Thank you very much for entertaining me for the moment, petite souris. I'll be taking you back to Ramshackle dorm now."

[lisaalmeida]

La vie est une danse..

Elle peut être lente ..mouvementée..

Douce ... choisissez la vôtre à votre rythme..

Danser .. danser .. la vie est une danse qui nous enivre de belles sensations...♥️

[pixelnoctis]

Il faut être toujours ivre, tout est là ; c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.

Mais de quoi? De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais enivrez-vous!

Et si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue, demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle heure il est. Et le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront, il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves martyrisés du temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.

(In Les petits poèmes en prose)

"Petits contes d'automne" [Special Guest] (XVI)

Charles Baudelaire (texte)

X

Pixel Noctis (dessin)

[jacquesdor-poesie]

Nous étions venus chercher la lumière, mais ce jour-là le langage des ombres avait pris la place. La pluie, la rivière, la mer, nous y avons baignés, grandis. Dans l'orage aussi. Le soleil faisait plisser nos yeux pas nos cœurs. Nos pas sur le chemin : se souvenir à quel point ils étaient enfantins, enivrants. Chaque vivant aura été un voyageur à sa manière et puis un immobile, un pensif, un figé dans la valise de sa mémoire. Vieux fœtus, vieux monde, l'univers a déjà des milliards d'années, les dieux à peine quelques heures. Pourtant il y a toi, d'où viennent-ils tes yeux, tes rires, tes mains qui dansent librement les oiseaux du bout de tes bras ? De quel microscopique big-bang, un dimanche de fête, es-tu le cri joyeux, le petit miracle ? Petit corps aux cheveux relevé sur ta nuque, un corps perdu aux milieu d'un univers glacé d'incommensurables nuits.  L'amour dites-vous ? Ce petit feu au loin sur la plage déserte. Vague après vague la seule idée de l'amour recommence tout ; page blanche et sans âge, elle remet tout à neuf, à vif, réinvente la couleur du dedans des êtres. Comment ne pas renaître à soi-même ?  Il y a la marche du monde et les civilisations qui s'effondrent. Les continents disparus comme sa propre jeunesse. Et puis, il y a aimer. Aimer. Aimer qui n'a ni temps, ni saison puisqu'il les a toutes, en lui, en nous ... Aimer, on devrait y veiller comme au premier feu de la première nuit des temps. Avec inquiétude et avec nos mains. Oui l'entourer de nos mains pour le couver, comme en rêve, un corps désiré, un enfant à naître ...

jacques dor

[doux-secrets-tendres-emois]

Tendre et somptueuse, on ressent cette sensation divine de désir.

Ton esprit de Femme est une œuvre d'art qui ne demande qu'à être exploré intensément.

Chaque sillon de ton esprit charnel rend mes caresses décuplées de passion, cet magnifique écrin épouse divinement tes moindres détails qui ne demandent qu'à ressentir les vibrations intenses de mes sentiments.

Te voyant emprise d´envies, j´éffleure à peine tes bas parcourant tes jambes sachant très bien que cela allait te provoquer une réaction en chaînes de frissons.

Dans une demesure sensorielle, ton exploration laisse libre à mon imagination dès plus débordante, en te fixant des yeux, ma main frôle délicatement ton entrejambe .

Libérant cet instinct d´emprise éveillant nos sens, tout en m´attardant ensuite sur ton ventre dénudé pour jouer avec la douceur de ta peau.

Epousant d´un léger doigt tes lèvres tentatrices de passions, tes pores s´affolent, ton esprit s´échauffe lorsque je viens carresser ta poitrine aux monts érigés, tu es envieuse de frissons alors je m´assis à tes côtés pour t'embrasser fougueusement .

Je te dévore de mes attentions gorgées de tentation, je goûte chaque centimètres de tes pensées pour m´enivrer de Toi et de faire l´amour comme tu le mérites car mes étreintes éffrênées me rendent ivre de sentiments jusqu'à vouloir mourir de plaisir pour Toi.

Tous droits réservés

SensuElle'ment Toi

[ltalaynareor]

Vacances

Au loin, les vagues s'écrasaient contre les falaises d'Amalfi, créant une symphonie apaisante qui enveloppait la villa où se trouvaient Caïus Volturi et sa compagne. Le roi des vampires avait décidé d'offrir à sa bien-aimée une soirée romantique dans ce lieu paradisiaque, loin des intrigues et des conflits de leur monde.

Les deux amants se tenaient sur la terrasse de la villa, dominant la mer scintillante à perte de vue. Caïus observait sa compagne, ébloui par sa beauté éternelle et la passion qui brillait dans ses yeux. Il lui prit la main et l'attira doucement vers lui, l'embrassant avec toute la tendresse que son cœur immortel pouvait contenir.

"Ma chère, lui murmura-t-il, tu es la lumière qui éclaire mes ténèbres, la raison pour laquelle je me bats et endure chaque jour. Je voulais te montrer à quel point tu es précieuse pour moi, et que je suis prêt à déplacer des montagnes pour te voir sourire."

Sa compagne lui sourit, ses yeux rouges brillant d'amour et de gratitude. Elle posa sa tête sur son épaule, savourant l'instant présent et le sentiment de sécurité que lui procurait la présence de Caïus.

La soirée se prolongea dans une atmosphère envoûtante, rythmée par le chant des cigales et le parfum enivrant des fleurs en fleur. Caïus et sa compagne partagèrent un dîner intime, dégustant des mets fins et des vins délicats, se perdant dans des conversations profondes et des éclats de rire complices.

Au fil de la nuit, ils se retirèrent dans la chambre principale de la villa, où un lit à baldaquin les attendait, couvert de pétales de roses rouges. Caïus prit sa compagne dans ses bras, la serrant contre lui avec une tendresse infinie.

"Je t'aime plus que tout au monde, lui chuchota-t-il à l'oreille. Tu es mon âme sœur, mon refuge, ma raison de vivre. Et cette nuit, je veux te prouver à quel point tu es précieuse pour moi."

Et dans l'intimité de cette chambre, Caïus et sa compagne s'unirent dans une étreinte passionnée, scellant leur amour éternel dans un moment de symbiose parfaite.