#encore du ptsd de la dernière fois
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en plus la raison pour laquelle il est si tard c'est que je voulais regarder un film qui fait peur, alors que qu'est-ce qui fait plus peur qu'alexandre astier et kyan khojandi dans la même pièce je vous le demande
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Voyage en terre autistique – Chapitre 1
2020 a été une année charnière pour beaucoup d'entre nous. Le Covid évidemment. Le confinement, qui en a perturbé plus d'un. Puis le retour progressif à une vie « normale ». Pour moi, ce sont des lectures qui m'ont chamboulée. Je suis tombée par hasard sur des articles et témoignages sur l'autisme au féminin, beaucoup moins diagnostiqué car plus discret, « masqué ». Je me suis effondrée quand je les ai lus. Parce que cela faisait écho en moi.
J'ai ensuite mis cette idée de côté et essayé de continuer à vivre (mal) et l'année dernière, à l'été 2022, j'ai craqué. Je me doutais depuis des années que ce n'étais pas normal de se sentir si mal et la situation empirait au point que je ne me nourrissais plus correctement et que j'avais des idées de plus en plus noires. J'ai alors appelé à l'aide, pour la première fois, à 33 ans. J'en ai parlé à mes parents, puis mon médecin de famille et ensuite une psychologue. Le fameux mot est tombé : dépression.
Mais ce n'était qu'une première étape. A l'automne suivant, une autre partie de mon corps a cédé. Je vivais avec une peau extrêmement sèche et des plaies anormales et j'ai fini à l'hôpital. Mon eczéma était bien sévère et ce n'était pas normal de (sur)vivre avec ça. Ça a été très dur pour moi d'avouer avoir besoin d'aide et d'accepter de ne pas travailler, d'accepter que j'avais des limites.
J'ai ensuite repris le travail et suivi mes traitements : des piqûres à plus de 1000 euros toutes les 2 semaines pour mon eczéma et des antidépresseurs + un suivi psy pour mon mental. J'ai survécu encore un an, à temps plein, avec une vie sociale mais comme souvent, à la fin de l'année scolaire, je me suis écroulée. J'ai eu une nouvelle confirmation que la piste autistique était la bonne. Mais là encore le parcours va être long. Il faut le faire confirmer par un psychiatre et le parcours en hôpital public peut durer 2 ans.
Je commence à écrire ici parce que cela me fait du bien et pour en parler autour de moi. Je commence tout juste à en parler autour de moi. Mes parents d'abord, mes amies de longue date, mes amies de prépa, mes amies du club lecture, mes amis collègues. Progressivement je débloque ma parole. J'ai envie de leur expliquer pourquoi je suis comme je suis. Pourquoi vivre au quotidien est une lutte pour moi (sans que personne ne le sache). Une lutte contre les bruits, la lumière, le changement, les vêtements contre ma peau, les interactions sociales, les imprévus … Pourquoi je suis si discrète et pourquoi je parle peu de moi. Pourquoi je m'isole parfois dans ma salle au lieu de rester en salle des profs. Pourquoi je n'accepte pas toutes les invitations. Pourquoi je ne fais pas tant de voyages. Pourquoi je suis parfois naïve ou maladroite.
Le grand public méconnait complètement le TSA, trouble du spectre autistique. Tout comme beaucoup de sujets en lien avec la santé mentale : TDAH (hyperactivité), TCA (alimentation), dysphorie, TDI (identité), PTSD (trauma) … Et encore aujourd'hui beaucoup de gens ne comprennent pas la dépression et parlent encore de manque de volonté ou de caractère. Ils ne savent pas que c'est une maladie et qu'elle se joue au niveau biologique, dans le cerveau. Et qu'elle peut se guérir. Mais les troubles que je citais, eux, c'est autre chose. Le TSA, lui, ne se guérit pas. Le cerveau autiste est fait différemment et ne peut être être réparé. Il faut vivre avec. Il faut adapter l'environnement à son cerveau plutôt que s'adapter à son environnement, comme le font beaucoup d'autistes, femmes entre autres. C'est ce que je vais devoir apprendre. Ou plutôt désapprendre car je vis maintenant depuis 34 ans avec ce trouble et je suis en burn out constant. Toujours fatiguée, toujours anxieuse, toujours coupable ou honteuse de ma différence, de ma faiblesse.
L'autisme est donc un spectre, contenant des autismes plus ou moins sévères, avec ou sans déficit intellectuel, verbal ou non verbal, masculin et féminin. Car là encore, nous les femmes, nous sommes désavantagées. Quand on leur parle d'autisme, beaucoup de gens auront en tête un petit garçon, blanc, diagnostiqué jeune, hurlant et se cognant la tête contre les murs, passionné par certains sujets. Dans les médias (films, séries …), ce sont plus de jeunes adultes, là encore garçons, blancs, avec un QI élevé et des connaissances immenses sur certains sujets mais dont les compétences sociales sont faibles. Profil Asperger, qui ne doit plus s'appeler comme ça car ce Monsieur nazi n'était pas très gentil (on dirait plus autiste de haut niveau) et peu représentatif du spectre autistique. Jamais on ne parle de femmes. Les clichés et stéréotypes ont la vie dure.
Évidemment, chez les femmes c'est plus subtil, plus discret et surtout, sans le savoir, elles le cachent. C'est ce qu'on appelle le « masque ». Elles apprennent à imiter leurs pairs, comme des caméléons, elles se forcent en public et décompensent ensuite seules, chez elle. L'autisme es aussi caché par d'autres troubles : dépression, anxiété, TCA, traumas … mais souvent ils sont liés. Malheureusement, les médecins ou psychologues étant peu à jour sur le sujet et ayant des biais (comme toute la société), le diagnostic n'a pas lieu. Et aujourd'hui, à l'heure des réseaux sociaux et d'une parole plus libérée sur la santé mentale, notamment après le confinement, on découvre des milliers de femmes, de 30, 40, 50 ans et plus qui ont finalement un TSA et/ou un TDAH. Ce qui est mon cas.
Ce fut à la fois un soulagement et un traumatisme. Soulagement car je comprends enfin certains de mes comportements, mes problèmes de santé (les maladies auto-immunes) et mon mal-être qui dure depuis mon enfance. Mais aussi un trauma car c'est irrémédiable. Je ne peux pas en guérir. La souffrance ne va pas s'arrêter. La lutte contre le monde et les autres va se poursuivre. Les démarches médicales et professionnelles sont encore longues. La dépression et l'anxiété sont toujours là.
L'incompréhension de certains aussi : T'as pas l'air autiste ! Tout le monde parle de TDAH ou TSA, c'est une mode ! Tu es sociable, tu regardes dans les yeux, t'es pas autiste ! Beaucoup se permettent de parler du sujet sans le connaître (comme souvent) mais quand tu as un score de 9/12 et 39/45 à 2 tests reconnus, que tes praticiens le confirment et que toi-même, après des centaines de lectures, tu le sais, ses avis ne comptent plus.
Maintenant, il va falloir que je continue mon chemin. Lentement, comme toujours. Discrètement. Mais vers un mieux.
J'écrirai d'autres textes pour expliquer l'autisme au féminin et surtout mon ressenti et ce que je vis. Comme un témoignage, une page de journal intime public et un exercice d'écriture car mon rêve ultime n'a pas changé depuis mon enfance : finir d'écrire mon roman.
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🌺 bon vu que vs me connaissez pas mal, que je radote bcp sur mes ocs préférés, ben j’ai décidé de ne feature QUE des perso kleenex, que vous avez probablement jamais connu, mais que j’aime tout autant! 🌺
6 PERSOS CHALLENGE - par @mysterious-corvidae @corvidae-challenge
(PERSO 2) ZINEB FOXX 🔪🌾🚧 ; (…) EDIT: dc j’ai oublié d’écrire mon petit ressenti sur le perso avant de poster mdrrrrrr génial. zineb j’la trimballe tristement dans mes bagages pcq je tenais tlmnt à la jouer, à exploiter son potentiel, ses traumatismes, son passé à l’écrit mais jsp, jcrois elle était trop inadaptée aux autres (ou bien cst moi qui l’était tout autant, un peu des deux j’imagine), que j’ai fini par rapidement baisser les bras à son sujet. i guess cst la vie :/
✨ zineb + she, her + encore humaine, en vie en dedans ça c’est encore à vérifier + 22 ans + américaine, franco-marocaine + sexualité pas vraiment questionnée + célibataire + fidèle à elle-même + survivante. ✨
+ charactère: introvertie, spontanée, hasardeuse, brave, décousue, tendre, maladroite, endurante, alerte.
+ keywords: texas, post-apo, communauté, que de bonnes intentions, ptsd, biche égarée, en construction, déni de grossesse / tw: white supremacy, esclavage, meurtre, viol.
+ playlist: plus qu’un chien fou qui garde la maison 💀🧱🍃
⬇des petits extraits de fiche pour celleux qui veulent dans le déroulé!⬇
( entrailles ) profil psychologique
secrète, cachottière- zineb qui n'est pas toujours franche, zineb qui n'est pas toujours indiscrète, zineb qui garde souvent les choses pour elle. par oubli, pour oublier. toi qui d'habitude crie le fond de tes pensées, voilà longtemps que tu as appris à tout planquer en dessous du tapis. tu as même fini par adopter l'idée que les bons côtés de l'existence ne se trouvent plus que dans tes rêves éveillés, là, quelque part, coincés dans un coin de ton crâne, et que tu devrais avoir honte de partager ce que tu peux bien voir ou savoir. audacieuse, hasardeuse- zineb qui n'est pas toujours prévisible, zineb qui n'est pas toujours passive, zineb qui s'écarte par moment des sentiers battus. par changement, pour changer. toi qui d'habitude suis le mouvement avec des œillères, voilà qu'il t'arrive de débloquer. tu redeviens cet étalon sans brides, poussé par l'adrénaline, agissant par instinct. les souhaits hâtifs qui deviennent des plans furieux, les banales futilités qui se transforment en réels dangers. confuse, tumultueuse- zineb qui ne parle pas beaucoup, zineb qui n'est pas limpide, zineb qui s'embarrasse seule. par nervosité, pour énerver. les pensées qui prennent racine comme de vulgaires pissenlits à la dernière averse, et qui poussent, se bousculent, s'entrechoquent, s'emmêlent, fusent ensemble, et se bouffent pour au final ne rien donner. des amas d'idées, qui s’amoncellent, tanguent, flanchent, s'écrasent dans un silence mortel. les bégaiements informes, les phrases partielles, la confiance défectueuse, les malaises par centaines. douce, tendre- zineb qui ne sait pas être un mur, zineb qui n'a jamais levé la main sur autrui, zineb qui ne peut être qu'affection. par amour, pour aimer. ton aura chaleureuse qui te rattrape à chaque fois, qu'importe les déceptions et les colères. les gens qui prennent tes résolutions et tes menaces difficilement au sérieux car incapable d'haïr et de rejeter. la vérité, c'est que ta foi t'en détourne, que ton cœur ne peut en supporter les tensions. gauche, empotée- zineb qui ne contrôle rien, zineb qui ne sait pas être à deux endroits en même temps, zineb qui laisse tout filer. par distraction, pour distraire. tu es de ceux qui se gamellent à cause de leurs propres pieds, réagissent sans réfléchir sous stress, font de leur mieux pour être le plus utile possible, et mieux se foirer au final. comme si le karma te pointait du doigt à chaque fois, et pourtant, et pourtant tu es là. abîmée certes, mais toujours entière. endurante, tenace- zineb qui ne quitte pas facilement le navire, zineb qui ne délègue pas tout aux autres, zineb qui encaisse la douleur. par espoir, pour espérer. les canines qui s'enfoncent dans la chair, les larmes furieuses qui s'écoulent le long des joues, les cris silencieux qui répondent aux précédents, étouffés plus tôt. pour certains une qualité, admirable comme excitante, pour d'autres un fléau exécrable, provocateur. si les secrets et les maux sont avec toi bien gardés, quitte à te lacérer les tripes de l'intérieur, la peur et les plaies finissent parfois par obtenir quelques aveux de tes poumons à bout de souffle. sensible, délicate- zineb qui n'est pas toujours inutile, zineb qui n'est pas toujours rigoureuse, zineb qui ressent instantanément, profondément. par survie, pour survivre. paranoïaque ou simplement sur le qui-vive, tu n'as jamais été des loups mais plutôt des chiens qui gardent la maison. un bruissement, un décalage, et tu sais que quelque chose ne va pas. souvent prise pour une rabat-joie asociale et coincée, tu te réfères pas mal à ces notes sur internet qui disaient toujours se fier à ses instincts.
( squelette ) parcours
avant.
avant tout ça y'avait maman y'avait papa. y'avait maman pour te rappeler de sortir les poubelles en gueulant ton nom, y'avait papa pour te klaxonner de la rue pour te réveiller et t'inciter à bouger ton cul, y'avait jadzia pour cogner le mur d'à côté du pied t'ordonnant de baisser le son de ta télé. avant tu pouvais rester en ligne pendant des heures, chanter à tue-tête avec ta soeur quand les parents n'étaient pas là, aller au ciné avec ton trio de potes le samedi quand t'étais d'humeur à t'habiller. avant t'habitais à new york, dans les lotissements où seuls les résidents sont appréciés, puis un été la famille vous a invités, et vous vous êtes retrouvés en plein sud, amarillo, histoire de vous faire les roues sur la célèbre 66.
avant que les médias ne s'affolent,
avant qu'on ne vous vole,
avant que vous ne vous retrouviez avec un mort au sol.
avant tout ça y'avait maman y'avait jadzia. y'avait maman pour te rappeler combien tu te devais d'être forte, y'avait jadzia pour cogner le mur d'à côté du poing t'ordonnant de garder toute ta tête pour elle. avant vous aviez tous plié bagages pour déménager dans une réserve aux traditions archaïques, de plus en plus peuplée par d'autres pairs ricains. avant tu n'avais jamais vraiment vu de marcheur de près; t'avais à peine dix-huit ans, tout ce que tu savait faire c'était puiser de l'eau pour ton peuple, occuper les mioches et les vieux, cuisiner tout ce que les hommes pouvaient récupérer de leurs expéditions.
avant que papa ne revienne pas,
avant que jadzia ne se fasse amputer le bras,
avant que la réserve ne meure sous les balles dans un fracas.
après.
après tout ça il y a eu la nuit noire, pendant longtemps. trop longtemps. les plus forts, massacrés. les plus fiers, écrasés. hommes, femmes, enfants, tous furent récoltés, attachés, rabaissés. les infirmes, rectifiés. les plus âgés, effacés. vous étiez plus nombreux qu'eux, et pourtant sans armes, sans âme. la volonté de lutter n'était plus; il fallait marcher, continuer, qu'importe les pertes, qu'importe les pleurs. pieds et poings liés, assoiffés, affamés, les chevaux ont fini par s'arrêter au pied de champs, non loin de fermes et de granges. et le cauchemar a continué. renommés, catalogués, répartis tels de vulgaires objets, vous étiez bien loin de deviner ce qui allait vous arriver.
la mère et le fils, reine régente et fils auto-couronné du nouvel ordre, qu'importe si le dit territoire se limitait à des tôles et des fils barbelés. dans ce camp de radicaux, tu n'étais plus zineb, mais dallas foxx - non seulement parce qu'il s'agissait du nom de son ancienne fiancée, retrouvée avec le colt dans la gorge, mais aussi parce qu'un esclave se doit d'adopter le nom de famille de son propriétaire, comme un simple code barre sur l'oreille d'un bovin. l'entretien de la maison, de la famille, du leader, encore et encore et encore. la nuit noire fut longue, à force de fermer les yeux, de craquer, de prier, de céder.
après les humiliations à répétition,
après une journée dans le four,
après que maman ait succombé au fouet.
après tout ça il y a eu une étincelle. les ténèbres devaient cesser. à cinq, vous aviez assez de fougue pour dire que c'en était assez. et cette nuit-là fut sûrement la plus belle de toutes, éclairée par le feu gourmand, criminel, qui, comme par magie, ne se délectait que de la maison de tes bourreaux. si les flammes s'étaient propagées aux autres habitations, si les flammes s'étaient avérées meurtrières, si les flammes avaient permis la fuite d'autrui, tu étais maintenant trop loin pour le deviner. vous aviez pourtant dit tous vous retrouver au 4x4 avec provisions et de quoi vous défendre, mais seule l'une d'entre eux se pointa, empressée d'user de votre unique billet de sortie, de peur d'y rester malgré les efforts et les coups bas.
vous étiez libres à nouveau, humaines à nouveau.
le monde pourtant n'avait pas changer. impossible de dire s'il était plus cruel et plus dangereux, mais la poisse elle vous suivait à la trace. les hauts-le-cœur matinaux, les marcheurs, les pneus défectueux, la faim grandissante.. on t'ordonne de te ménager, de ne pas prendre de risques inutiles, de te reposer autant que possible, de faire attention à ta santé, sans que tu ne veuilles réellement comprendre la situation.
encore aujourd'hui tu t'obstines à ne pas y penser. c'est impossible. tu n'en veux pas. pas de lui, pas comme ça, pas maintenant ; toi qui pensais t'être débarrasser des foxx à jamais, ton corps te hurlait que c'était loin d'être le cas.
après qu'elle ne soit pas revenue de l'hypermarché,
après tout ce qui était arrivé.
la nuit noire venait de se prolonger.
#kawaiinekoj#6persoschallenge#challenge#november challenge#imaan hammam#my ocs do not steal#my oc edits#my oc art#mb#moodboard#oc#original character#autumn#french rpg#rpg#rp#roleplay#post apocalyptic#my edits#tw blood#zombie apocalypse
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Liste non-exhaustive des éléments de Hero Corp qui n’ont pas l’air, dit comme ça...
Mais qui font bader si on y réfléchit plus de 2 minutes. Je vous jure, réfléchissez-y.
Since you (and by you I mean @mattiaperins ) asked for it.
Le village, c’est pas juste « un repaire de retraités », c’est, selon Simon Astier, « des supers héros qui ne supportent pas ou plus la pression et les devoirs que ça implique ». Et dans le tas y a genre Klaus qui doit même pas avoir 30 ans, par exemple.
L’arc « Doug compense l’absence de Klaus en devenant Klaus », qu’on peut aussi interpréter comme « Klaus est le modèle de puissance de Doug, mais la dernière fois que Doug a vu Klaus, Klaus s’est montré complètement incapable d’aider Doug, alors Doug devient son propre modèle de puissance ».
L’évolution de Doug en général, qui est d’un côté plutôt badass, et de l’autre hyper déprimante.
Le traumatisme/PTSD de Stan.
Tous ces gens qui s’aiment et ne se parlent pas pendant, genre, UNE SAISON entière parce qu’iels sont chacun.e dans un groupe (sans déconner, à part John et Helena qui sont dans le même groupe, tou.te.s celleux qui sont/vont être/devraient être en couple sont séparés).
La fin de vie du vrai Calvin, genre wow.
Karin qui a passé on ne sait combien de semaines tout seul dans un sous-sol.
Dans la saison 2, Mary dit que The Lord « a tué au moins un membre de la famille de tout le monde ici ». Voilà, donc paie ton ambiance de merde. Iels doivent pas seulement flipper d’être à nouveau sous son contrôle. Iels doivent aussi avoir la rage, sans déconner.
Mary a sa tombe à l’endroit où elle voulait retourner une saison plus tôt : au village.
Après que Burt ait été envoyé au mitard, Stan est complètement éteint. Regardez la scène où le gouverneur rétablit la peine de mort, il ne râle MÊME PAS, le seul plus apathique que lui, c’est John.
D’ailleurs Burt a été envoyé au mitard parce que Stan n’a pas accepté immédiatement de céder 50% des bénéfices de son trafic.
La vie de John Senior. Quand même. Et puis sa mort aussi.
Jennifer qui est une sirène, qui est la fille de The Lord, qui commençait enfin à être un peu indépendante, et qui finit dans une romcom avec Julien. (Ok là j’avoue je suis plus énervée que triste mais voilà)
La vie de Duco. Son dialogue avec Klaus à base de « Ça vient toujours de nos amis, de notre famille, de là où on s’y attend le moins. La trahison, elle est partout », I mean… wow euh ok.
Burt était la risée de tout le monde au village mais il n’en a jamais voulu à personne.
Mique voulait juste des amis et qu’à partir du moment où il a cherché à se racheter, il lui est arrivé toutes les merdes possible.
L’ascenseur émotionnel permanent de Burt dans la saison 5, qui passe de « Je suis le nouveau président », à « Je ne peux pas être président », à « Je suis finalement président », à « Mes amis (et plus si affinités) sont des traitres en cavale » (à ce stade il pense que son crush est complice de meurtre mais ok), à « En fait je n’ai aucun pouvoir politique », à « Je me retrouve cloné et enfermé dans un laboratoire ».
John. Voilà, je trouve que c’est un point que se suffit à lui-même. Même si John est chiant, sa vie est un peu déprimante aussi.
Le « sacrifice » de Stan, dans l’E04S5. Je sais que j’en parle souvent, mais sachez que j’y pense encore plus souvent. Parce que ça implique beaucoup plus que ça. Ne me lancez pas sur le sacrifice de Stan (ça veut dire lancez-moi sur le sacrifice de Stan).
Dans le livre interactif post S4, on apprend que Stève est traumatisé par les jours/semaines/mois/idk où ils bossaient chez les méchants, lui et Mary, et c’est elle qui l’aide à le calmer.
A la fin de la S4, tout le monde est parti chacun de son côté, a priori pour de bon. Et c’est John, même mort, qui les réunit à nouveau (ok, c’est pas VRAIMENT lui, mais symboliquement c’est lui).
Please feel free to add more.
#hero corp#j'ai pas mis les trucs qui sont de base très tristes et qu'on cherche pas à alléger d'une manière ou d'une autre#ou bien qu'on ne montre pas comme triste#genre je n'ai pas parlé de Klaus qui tue John ça me parait évident que c'est badant#mais si vous voulez continuer la liste et l'ajouter#please do
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