#en riant
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merde je deviens comme ma sĆur je veux plus lire les mails importants (j'ai reçu la rĂ©ponse de mon potentiel directeur de mĂ©moire Ă mon projet)
#ce mail est extrĂȘmement long ça m'angoisse mdr#toutes ces annĂ©es Ă lire les mails de ma sĆur avant elle pour voir si ça allait en riant d'elle (gentiment) pour en arriver lĂ ...
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Un homme toque Ă une porte, une petite voix lui dit : - Bonjour. L'homme lui demande si sa mĂšre est lĂ , le petit garçon lui dit : - Heu non elle est sortie quand papa est rentrĂ©. L'homme lui demande si son pĂšre est lĂ , le garçon lui rĂ©pond : - Non il n'est pas lĂ non plus il est sorti quand je suis rentrĂ©. L'homme inquiet lui dit : - Alors vous n'ĂȘtes jamais ensemble dans cette maison ? Le petit garçon en riant lui dit : - Si mais pas ici, car ici c'est les toilettes.
#Un homme toque Ă une porte#une petite voix lui dit :#- Bonjour.#L'homme lui demande si sa mĂšre est lĂ #le petit garçon lui dit :#- Heu non elle est sortie quand papa est rentrĂ©.#L'homme lui demande si son pĂšre est lĂ #le garçon lui rĂ©pond :#- Non il n'est pas lĂ non plus il est sorti quand je suis rentrĂ©.#L'homme inquiet lui dit :#- Alors vous n'ĂȘtes jamais ensemble dans cette maison ?#Le petit garçon en riant lui dit :#- Si mais pas ici#car ici c'est les toilettes.
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Le pont laporte sur photo : yea california.
Le pont laporte dans vie: ton char es-tu traction intégrale? Tu veux tu jouer à soeur volante? Un becyk pis tu pese po 400 lbs pour le justifier (le seul avantage systémique, si t'es gros tu peux traverser le fucking pont)
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First broadcast June 2 023
DĂ©couvrir le Poteau de Bois
(Un Monde Riant #44 / To All Tomorrowâs Parties #619 / Come, Shadows, Caress My Wall #404) BMX Bandits, Space Girl Basile Pesso-Barcelona © July 2 016 My web magazine : Yes We Are (link - Fb version here) My Instagram      YWAMag has been back on Tumblr for now two months. Check !
#basile pesso#art#trees#nature#un monde riant by bp#to all tomorrow's parties by bp#visual poetry#composition#photographers on tumblr#découvrir le poteau by bp#artists on tumblr#yes we are magazine#visual art#original photography#contemporary art#spanish photographers#come caress#shadows#emotions#decay#BMX Bandits#arte#arte en españa
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les gens me demandent h24 "alors ça fait quoi d'ĂȘtre mariĂ©e ?" et je pense qu'ils s'attendent Ă ce que je dise "oh pas grand chose de plus qu'avant" mais en fait on est ultra niais on se regarde tout le temps en se disant "ça va mon Ă©poux ?" ou "bonjour ma femme" et on met nos mains gauches devant nous l'une Ă cĂŽtĂ© de l'autre pour regarder nos alliances en riant bĂȘtement et aussi je lui dis tout le temps qu'il est mĂ©ga sexy avec son alliance et les gens sont limite déçus ou deg que je dise ça lol mais dsl on se kiffe c'est pour ça qu'on s'est mariĂ©s en fait
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Petite fĂȘte
Ă la demande de @babythere jâespĂšre que ça plaira đ
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde sâen Ă©tait sorti vivant de la route, et câĂ©tait une trĂšs bonne chose. LâatmosphĂšre Ă©tait remplie de soulagement et de joie. Billy, dĂ©bordant dâĂ©nergie, avait envie de fĂȘter cet Ă©vĂ©nement. Avec un sourire charmeur, il avait suppliĂ© Agatha, insistant sur lâimportance de cĂ©lĂ©brer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pĂ©tillants dâexcitation.
AprĂšs de trĂšs longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par lâenthousiasme de Billy, avait acceptĂ©. La nouvelle avait rapidement circulĂ©, et tous sâĂ©taient mis en tĂȘte de sâhabiller pour lâoccasion. Les prĂ©paratifs allaient bon train : les lumiĂšres scintillantes Ă©taient accrochĂ©es, et la musique douce flottait dans l'air, crĂ©ant une ambiance festive.
Les invitĂ©s Ă©taient tous prĂ©sents, parĂ©s de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes Ă©lĂ©gantes aux costumes bien taillĂ©s, tous semblaient ravis dâĂȘtre lĂ . Pourtant, une ombre planait sur cette fĂȘte : Reader nâĂ©tait pas encore arrivĂ©e.
Lilia Ă©tait assise sur le canapĂ©, les coussins moelleux l'entourant comme une Ă©treinte rĂ©confortante. Ses pensĂ©es vagabondaient, se heurtant Ă l'inquiĂ©tude qui s'Ă©tait installĂ©e dans son esprit. "OĂč est donc passĂ©e Reader ?" se demandait-elle, le regard fixĂ© sur la porte, espĂ©rant la voir entrer Ă tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invitĂ©s rĂ©sonnait autour d'elle, mais elle se sentait dĂ©connectĂ©e, perdue dans ses rĂ©flexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à cÎté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiÚte pas. Reader va bientÎt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tĂȘte vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que lĂ©gĂšrement hĂ©sitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que⊠je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de comprĂ©hension. "Peut-ĂȘtre qu'elle a eu un contretemps," suggĂ©ra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la piĂšce, se laissant emporter par l'Ă©nergie de la fĂȘte, tout en gardant un Ćil sur la porte, espĂ©rant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
En la voyant entrer dans la piĂšce, Billy ne put s'empĂȘcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, rĂ©alisant qu'elle avait attirĂ© l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empĂȘcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergĂ©e par l'Ă©motion, ses mots peinant Ă sortir. AprĂšs un moment de silence, elle rĂ©ussit Ă articuler, le cĆur battant :
"Wow, tu as l'air⊠incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit dĂ©licatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," rĂ©pondit-elle en s'asseyant Ă cĂŽtĂ© de son amie, leurs Ă©paules se frĂŽlant. "Je peux dire la mĂȘme chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattĂ©e, un lĂ©ger sourire se dessinant sur ses lĂšvres. Elle jeta un coup d'Ćil Ă son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cĆur lĂ©ger.
Les deux amies échangÚrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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C'est drĂŽle l'esprit humain. C'Ă©tait grisaille partout ce coin-lĂ , les murs, la voie ferrĂ©e, la banlieue quoi, et pas de la riante, et j'ai vraiment eu l'impression qu'elle Ă©tait en plein soleil.....âšâš
Un seul rayon pour elle ...âšđâš
Une seconde chance de Patrick Cauvin
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VĂ©lo
Juliette traversait, tous les matins,
Les champs de blé et les jardins,
Afin dâĂ©viter les ragots des voisins,
MĂȘme si lâair gardait son parfum.
Affichant un visage impassible,
Elle roulait le plus vite possible.
Son cĆur, pourtant si sensible,
Cognait tel un tambour invisible.
Les paysans lâadmiraient.
Dans sa petite robe dâĂ©tĂ©,
Elle leur faisait un joli effet.
Et ils connaissaient son secret.
Tout le monde disait en souriant:
« Vâla la jolie fille Ă vĂ©lo
Qui va rejoindre impatiemment,
A lâorĂ©e de la forĂȘt, Tonio.
Comme il a de la chance.
Elle va encore lâinonder de baisers.
Mon dieu, quelle inconscience
Car il ne va rien faire de la journée ! »
Tonio se levait avec le soleil
Pour labourer son champ.
Sa main Ă©loignait une abeille
Quand elle lâappelait en freinant.
Pendant que son vélo tombait,
Juliette courait pour se jeter
Dans les bras de son amant
Qui nâen demandait jamais tant.
Puis, ils sâembrassaient goulument,
Avant de quitter son champ
Pour le plus proche grenier,
Et y passer la journée.
Le soir, heureuse, la belle Juliette
Remontait sur sa bicyclette.
Alors, les gens la voyaient rentrer
Avec, dans les cheveux, de la paille dorée.
Tout le monde disait en riant
Que la jolie fille à vélo
A encore passé un bon moment
Dans les bras de son Tonio.
Alex@r60 â aoĂ»t 2023
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Comment a-t-on pu en arriver lĂ Â ? Ă mesure que lâon feuillette la bande dessinĂ©e, la question se rĂ©pĂšte, sâamplifie, jusquâĂ former une tornade dâincomprĂ©hension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux Ă©ditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent Ă des singes. Dâautres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncĂ©, des lĂšvres surdimensionnĂ©es dâune couleur rosĂ©e et, parfois, des grandes mains et une mĂąchoire prognathe.Â
Les reprĂ©sentations sâĂ©talent sur des dizaines de pages et pourtant, lâĆuvre a Ă©tĂ© relue, Ă©ditĂ©e et diffusĂ©e massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de lâalbum tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande dâĂ©coterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquĂȘte les mĂšne sur un porte-avions de lâarmĂ©e amĂ©ricaine, subtilement baptisĂ© USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes Ă©colos. Ă bord de lâUSS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutĂŽt, « furtif », comme lâaffirme en riant lâamirale Denzelle Jackson Ă bord, une grosse femme noire aux immenses lĂšvres roses et au cou poilu.Â
Au tĂ©lĂ©phone, le dessinateur de lâalbum, Dany, tente de nous expliquer la « blague » : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas ĂȘtre dĂ©celĂ© par les radars. Câest un navire âfurtifâ. La dimension furtive est amusante. Dâailleurs, la pacha [commandante du navire â ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] Câest ça qui amusait beaucoup le scĂ©nariste et qui mâa fait rire aussi. CâĂ©tait une bonne trouvaille, un Ă©quipage complĂštement noir... »Â
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand jâai dĂ©couvert les dessins, jâai eu lâimpression que câĂ©taient des animaux qui Ă©taient dessinĂ©s, et non des humains », sâĂ©tonne le blogueur Seumboy.Â
« Retrait de lâouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup dâinternautes, dĂ©couvert lâexistence de Spirou et la Gorgone bleue aprĂšs quâune Française a diffusĂ© une courte vidĂ©o sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », prĂ©sente-t-elle en feuilletant les pages de lâalbum, paru en rĂ©alitĂ© un an plus tĂŽt. Sa vidĂ©o est reprise sur dâautres rĂ©seaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et gĂ©nĂšre des trombes de commentaires indignĂ©s.
ContactĂ©es par Mediapart, les Ă©ditions Dupuis ont rĂ©pondu ce jeudi par voie de communiquĂ©, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colĂšre ressentie devant la reprĂ©sentation des personnes noires et des femmes » dans lâĆuvre mise en cause.
« Nous sommes profondĂ©ment dĂ©solĂ©s si cet album a pu choquer et blesser. Cet album sâinscrit dans un style de reprĂ©sentation caricatural hĂ©ritĂ© dâune autre Ă©poque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de lâimportance que reprĂ©sente la bande dessinĂ©e en tant quâĂ©diteur et plus largement le livre dans lâĂ©volution des sociĂ©tĂ©s, nous prenons en ce jour la pleine responsabilitĂ© de cette erreur dâapprĂ©ciation. Câest pourquoi nous tenons Ă prĂ©senter nos plus sincĂšres excuses. »
La maison explique avoir « mis en Ćuvre le retrait de lâouvrage de lâensemble des points de vente ». Lâalbum se serait toutefois trĂšs bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe quâelle aurait mĂȘme Ă©tĂ© rĂ©imprimĂ©e. Elle avait Ă©tĂ© tirĂ©e en septembre 2023 Ă 22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom.Â
Lâunivers de Spirou, popularisĂ© par Franquin, est dense. Dâun cĂŽtĂ© sâĂ©graine, depuis les annĂ©es 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numĂ©ro est paru cet automne. De lâautre, une sĂ©rie dĂ©rivĂ©e« Le Spirou de... »permet Ă la maison dâĂ©dition de dĂ©cliner la franchise en demandant Ă des dessinateurs de rĂ©interprĂ©ter le cĂ©lĂšbre hĂ©ros Ă leur sauce.
Câest lĂ que Yann et Dany entrent en scĂšne. Le premier est scĂ©nariste de BD, lâautre auteur et dessinateur. Ă 81 ans, Dany est un incontournable du neuviĂšme art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresdâOlivier Rameau, un hĂ©ros rĂȘveur et son acolyte fĂ©minine hypersexualisĂ©e en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les Ă©ditions Dupuis sont venues le chercher pour dĂ©velopper ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordĂ©e aux Amis de la BD en 2023.Â
Le processus de crĂ©ation a visiblement pris du temps. LâĂ©diteur qui avait dĂ©marchĂ© Dany est remplacĂ© en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmĂ© en voyant la tĂȘte de certains personnages. « Le nouvel Ă©diteur mâa dit : âTu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.â Alors jâai changĂ©, on a refait pas mal de visages⊠Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany Ă Mediapart.Â
La bande dessinĂ©e que lâon connaĂźt aujourdâhui aurait donc dĂ©jĂ fait lâobjet de modifications. Câest ce quâa confirmĂ© Julie Durot, la directrice gĂ©nĂ©rale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a Ă©tĂ© signĂ© il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivĂ©e, nous avons Ă plusieurs reprises demandĂ© des modifications Ă son dessinateur, Dany. Câest un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, Ă©taient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi lâĂ©diteur a quand mĂȘme publiĂ© lâalbum alors quâil ne semblait pas satisfait. Refuser dâĂ©diter ce Spirou aurait Ă©tĂ© Ă perte, mais cela aurait Ă©vitĂ© une grosse polĂ©mique »,souligne Lloyd ChĂ©ry, rĂ©dacteur en chef adjoint de MĂ©tal hurlant, un magazine de rĂ©fĂ©rence sur lâunivers de la BD.
Peu de remise en question
AuprĂšs de Mediapart, le dessinateur alterne aujourdâhui entre excuses et justifications. « Sâil faut retenir quelque chose, câest que je suis dĂ©solĂ© si jâai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les rĂ©actions. « Jâai peut-ĂȘtre un peu forcĂ© la main, peut-ĂȘtre que jâai fait une erreur⊠Cela dit, lâalbum est sorti en septembre 2023, jusquâici, je nâai eu aucune critique. »Â
Dany dĂ©fend la « caricature » qui, « par dĂ©finition, consiste Ă forcer le trait ». Et dâexpliquer un raisonnement Ă faire sâĂ©vanouir des militants antiracistes : « Il est Ă©vident que la plupart des Africains, enfin presque tous dâailleurs, ont des lĂšvres plus Ă©paisses, plus grosses que les Blancs, câest un fait. Ăa fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, quâil considĂšre Ă©galement avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble Ă Trump, ce nâest pas particuliĂšrement gentil non plus⊠Et puis Ă ce moment-lĂ , jâaurais aussi dĂ» refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il Ă propos de lâacolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « Jâaurais dĂ» faire gaffe Ă ne pas dessiner les Noirs comme dans les annĂ©es 1960 ou 1980, câest sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de lâunivers de Spirou. Mon modĂšle absolu, câest Franquin, câest le genre de dessins quâil faisait. Jâen suis vraiment dĂ©solĂ© et je voudrais prĂ©senter toutes mes excuses Ă ceux que jâaurais pu blesser, car câest totalement involontaire. Jâai peut-ĂȘtre beaucoup de dĂ©fauts, mais je ne suis pas raciste, ça, câest certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve dâune inclination Ă dĂ©shumaniser les personnes noires, qui nâest pas propre Ă la BD de Spirou. Le dessin montre, dâun cĂŽtĂ©, les deux personnages blancs crĂ©Ă©s par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, sâopposer Ă un groupe de cinq personnes racisĂ©es. « Ăa ne va pas ĂȘtre facile de les intĂ©grer, ces deux-là  », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entourĂ© dâautres personnages racisĂ©s. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, Ă©taient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la thĂ©orie raciste du « grand remplacement ».
Le blog regorge Ă©galement de dessins de femmes nues ou hypersexualisĂ©es, comme câest le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signĂ©e Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe.Â
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte quâil ne sâagit pas dâune erreur de jeunesse, mais dâune prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, crĂ©ateur et animateur du site de vulgarisation de lâhistoire coloniale Histoires CrĂ©pues. Le message quâil essaye de dĂ©livrer, câest que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux Ătats-Unis et que si lâon nây prend pas garde, la sociĂ©tĂ© multiculturaliste amĂ©ricaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de lâesthĂ©tique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany prĂ©sente comme son modĂšle, lâiconique dessinateur franco-belge AndrĂ© Franquin, crĂ©ateur du Marsupilami et illustrateur rĂ©gulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-mĂȘme une façon bien particuliĂšre de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les PygmĂ©es, paru pour la premiĂšre fois en 1949, lâauteur de BD met en scĂšne des personnages noirs⊠dont on dĂ©couvre quâils sont en rĂ©alitĂ© « des bruns qui ne se sont jamais lavĂ©s », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui prĂ©figurait les spots tĂ©lĂ©s pour dĂ©tergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et quâon illustrait dâun Africain dont les membres ressortaient du bain dĂ©pigmentĂ©s. Dans un livre dâentretien, exhumĂ© par le journaliste spĂ©cialiste JĂ©rĂŽme Lachasse, Franquin se dĂ©fendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs.Â
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturĂ©s, et souvent dĂ©peints sous les traits dâaventuriers en quĂȘte de frissons et dâexotisme, ont des physiques avantageux et diversifiĂ©s, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et prĂ©sentent des physiques trĂšs homogĂšnes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, câest aussi faire preuve de paresse artistique, dĂ©plore Laura Nsafou, Ă©crivaine et bĂ©dĂ©iste afrofĂ©ministe. LĂ oĂč on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des diffĂ©rentes carnations ou textures de cheveux. PlutĂŽt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
Lâhistoire de la bande dessinĂ©e franco-belge recĂšle en rĂ©alitĂ© beaucoup de ces reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es, reprenant lâesthĂ©tique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rĂŽles secondaires de faire-valoir humoristiques, imbĂ©ciles et dociles. Les protagonistes noirs Ă©voluent frĂ©quemment dans des contextes de guerre, dâesclavage ou de sĂ©grĂ©gation raciale, et nâoccupent que trĂšs rarement les rĂŽles principaux.Â
Lâexemple le plus mĂ©morable reste le numĂ©ro de Tintin au Congo, oĂč lâon suit le reporter Ă houppette dĂ©jouant les piĂšges dâune bande de gangsters qui cherchent Ă mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinĂ©e Ă©tait le reflet de lâesprit paternaliste de la Belgique colonialiste du dĂ©but des annĂ©es 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de HergĂ© continuent de nourrir lâinspiration et les prĂ©jugĂ©s racistes de bĂ©dĂ©istes contemporains.Â
Plusieurs spĂ©cialistes et acteurs de la bande dessinĂ©e relĂšvent la responsabilitĂ© de lâĂ©diteur dâavoir validĂ©, aprĂšs rĂ©union du comitĂ© Ă©ditorial, une telle publication. Mais ils saluent la dĂ©cision rare de retirer des ventes le numĂ©ro et invitent Ă saisir cette occasion pour amorcer une rĂ©flexion plus large. « Il est nĂ©cessaire que les maisons dâĂ©dition de bande dessinĂ©e soutiennent dâautres narrations et proposent des rĂ©cits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de diffĂ©rentes carnations, qui vivent Ă Paris, et qui ressemblent aux gens quâon voit dans la rue et dans le mĂ©tro », milite Laura Nsafou, elle-mĂȘme autrice de plusieurs BD qui mettent en scĂšne des personnages racisĂ©s.Â
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#trÚs intéressant. ce vieux raciste de merde devrait prendre sa retraite il n'a plus sa place dans ce monde#french#upthebaguette#BD#bande dessinée#BD franco-belge#spirou#spirou et fantasio#bee tries to talk#racism#antiblack racism#misogyny
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C'Ă©tait travail au jardin cette aprĂšs-midi...
Mon jardin si petit, si riant, si coquet Propose gentiment son calme et sa fraßcheur Groupant toutes ses fleurs, il forme un grand bouquet Le chÚvrefeuille ocré diffuse sa senteur....
Le rosier vermillon croule sous le portail Offrant au vent lĂ©ger son parfum Ă©picĂ© Et s'ouvre pleinement en un large Ă©ventail Sur le support ancien de bois entrelacĂ©. Le lierre allĂšgrement monte le long du mur Dans ses feuilles parfois se faufile un oiseau Ce minuscule Eden couronnĂ© par l'azur S'arrĂȘte court devant les perles d'un rideau.
Marie-Antoinette CORDINA-FONTANA
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saga: Soumission & Domination 327
SosthĂšne
Le second Escort de diversification est d'origine martiniquaise. NĂ© Ă Fort de France en 2006, il est arrivĂ© en France tout petit et n'a pas l'accent chantant de lĂ -bas. Il est dĂ©jĂ en 2Ăšme annĂ©e d'Ă©tudes de lettres (douĂ© le petit) et pratique la course Ă pied. Famille de fonctionnaire (parents professeurs, lui de français, elle des Ă©coles), il est le second d'une famille de 4 enfants (soeur 20ans, lui 18 ans, frĂšre 17ans, soeur 11 ans). Le rapport me souligne qu'il est homo outĂ© dans sa famille et parmi ses amis. Sans petit copain actuellement, il change souvent de partenaires sans non plus en consommer 20 par mois ! Il utilise plus facilement internet que les lieux de drague, mĂȘme s'il lui arrive de sortir dans certains bars gays.
Le portrait me va. Je compte y aller direct avec lui. PremiĂšrement je ne cours pas le marathon mĂȘme si j'ai bien rĂ©cupĂ©rĂ© de mon accident et deuxiĂšmement je me fatigue Ă chercher des approches discrĂštes.
Muni de son dossier, je me pointe à la sortie de sa fac un soir de semaine. Je l'aborde et direct je lui montre mon dossier. De voir son nom sur un carton l'intrigue. Je lui dis que j'ai sa vie dedans et que j'aimerai lui proposer un travail en relation avec ses capacités. J'ajoute pour qu'il ne se méprenne pas qu'il ferait un escort superbe. Je n'ai plus qu'à attendre sa réaction.
Elle ne tarde pas. AprĂšs m'avoir scrutĂ© bien 5 mn, il me dit qu'on peut aller boire un verre et que c'est moi qui paye. Ăa me va.
MĂȘme s'il y a toujours un cafĂ© Ă cĂŽtĂ© de l'entrĂ©e des facs, il me demande d'aller plus loin, il y connaitra moins de monde susceptible de troubler notre conversation. Dixit SosthĂšne dans le texte !
Quand on arrive devant ma voiture, il me demande si c'est celle de mon pĂšre. Je ne rĂ©ponds pas et lui dis de monter. Il hĂ©site mais accepte quand je dis qu'il y aura plein de monde pour dĂ©crire la caisse dans laquelle il est parti au cas oĂč je voudrais le kidnapper. Il rit et monte dedans. On roule pour trouver un bar en centre-ville. Puisqu'il est "out ", je choisi un bar gay.
Il accepte un demi et je prends pareil. Il me demande alors d'éclaircir ma proposition. Je lui explique les prestations de ma société et lui dit clairement que je suis à la recherche de diversifications ethniques. J'ajoute en riant qu'il fait partie d'un programme de discrimination positive. Il me demande son dossier. Je le lui tends. Il le lit consciencieusement, revenant sur certains paragraphes. Il me demande qui a fait ce travail et m'avoue qu'il est trÚs complet. Il trouve les infos sur ses parents et l'analyse de leur situation financiÚre un peu intrusif et limite illégal. Je le rassure et lui dit qu'il sera détruit dÚs qu'il m'aura donné sa réponse, qu'elle soit positive comme négative. Je lui dis que ce dossier me permettait juste de contacter les personnes les plus susceptibles d'accepter.
On vide un peu nos verres. Je le laisse rĂ©flĂ©chir. Il me pose quelques questions concernant le temps que ça risque de lui prendre. Il ne veut pas que ça interfĂšre trop avec ses Ă©tudes. Je l'assure que bien qu'il sera sĂ»rement trĂšs demandĂ©, je serais en mesure de limiter ses prestations Ă 1 par semaine si cela lui convient. Il me demande alors combien il se ferait dans cette configuration de travail. Quand j'annonce le chiffre, il n'en revient pas. Je prĂ©cise que c'est le tarif en cas de prestations classiques ++. Il me demande si ce que j'entends par ++ serait de type sexuel. J'acquiesce. Avec des mecs ? Re-acquiescement de ma part. Ouf de sa part, il avait craint devoir assurer avec des cougars !    Â
Il accepte et me dit que ça fera du bien qu'il s'assume tout seul vu qu'avec ses 3 frÚre et soeurs, ses parents comptent leurs dépenses.  Je lui donne ma carte et on fixe un rendez-vous. Je le ramÚne chez lui car il se déplace en Tram. Il me fait le lùcher au coin de sa rue.
Il passe au Blockhaus le jour prĂ©vu. Il me tĂ©lĂ©phone du trottoir, persuadĂ© que je lui ai fait un plan foireux. Je descends le chercher. Quand il entre, il regarde partout. Quand il voit le parc de vĂ©hicules, motos comprises, il me demande combien il y a d'appart. Je lui dis qu'il n'y a qu'un seul logement, tout ici est Ă moi. Il a du mal Ă le croire. Je le pousse dans le monte-charge et nous allons Ă mon bureau. Depuis peu, Ă l'instigation de mes Escorts, j'ai dĂ©corĂ© ses murs blancs par une frise de leurs photos, toutes prises dans la mĂȘme position avec le mĂȘme maillot Aussiebum. En plan rapprochĂ©, ils remplissent bien le format A4 (photo en pied).
Ăa accroche le regard de SosthĂšne qui ne me parle qu'aprĂšs avoir matĂ© toute la sĂ©rie. Il me dit qu'il comprend. Ăa manque un peu de couleur tout ça. Il ajoute qu'il ne devrait pas faire tĂąche sauf cĂŽtĂ© couleur bien sĂ»r ! Je remplis le dossier des infos qui me manquent. Notamment la taille exacte de sa queue. Pour cela je lui demande de se mettre nu. Il s'exĂ©cute avec assez de grĂące. J'en profite aussi pour voir sa pilositĂ©. Il la maitrise dĂ©jĂ beaucoup, son torse et ses membres sont glabres. Ses dessous de bras sont tondus Ă 2 ou 3 mm tout comme son pubis proprement taillĂ©. Ses couilles sont lisses et aucun poil ne sort de sa raie du cul. Sa queue pend entre ses cuisses. Le gland circoncis dĂ©passe ses couilles de bien 6cm. A la mesure, au repos il fait dans les 14cm. Mais le fait de le prendre ne main change sont Ă©tat. Il bande vite et se redresse Ă la verticale et pourtant y'a de quoi faire ! Je garde ma main dessus tant la sensation est agrĂ©able. Quand il me dit qu'il ne fera pas mieux, je mesure Ă nouveau. Le nombril est couvert depuis dĂ©jĂ quelques minutes, j'utilise ma main gauche pour tirer la hampe vers l'horizontale (ce qui n'es pas chose aisĂ©e) et pose le mĂštre ruban. En pleine forme mon nouvel ami dĂ©veloppe un engin de 23cm x 5,8 de diamĂštre aprĂšs un gland dont la couronne affiche un 6,2cm elle.  Couleur de l'ensemble plutĂŽt foncĂ©e avec Ă©claircissement de la circoncision au gland et ce dernier d'un violet tirant vers le rose.    Je lui demande de confirmer sa " recto/verso bilitĂ© ". Il le fait et je lui demande quel cĂŽtĂ© il apprĂ©cie le plus. Pas de prĂ©fĂ©rence c'est selon. Ăa me va.
Je lui demande son statut sérologique, à sa derniÚre analyse il était séronég. Je lui dis qu'il ne pourra travailler qu'aprÚs une nouvelle analyse. J'en profite pour lui donner les principes de l'entreprise : rapports SSR exclusivement. Il prend l'adresse du labo.
Je lui brosse aussi le portrait type de mon client :
Particularité : de nombreux " neveux " !
Il tique sur la taille des bites. Je balaye son appréhension d'un revers de main et lui dis qu'avec un peu d'entrainement c'est faisable, qu'il regarde bien tous les mecs qui nous entourent. A part les quelques qui sont sur le marché féminin, tous les autres ne s'en portent pas plus mal. D'autant qu'à un rythme moyen d'une fois par semaine, il n'y a pas surutilisation.
A poil devant moi, son excitation commence seulement Ă retomber bien que cela fasse presque 5mn que nous discutons. Je lui demande comment il se trouve question " self dĂ©fense ". Sa rĂ©ponse est rapide, " nothing " ! Je lui dis qu'il y a une habitude dans ma sociĂ©tĂ© c'est d'ĂȘtre en capacitĂ© de se dĂ©fendre de tout un chacun, du client qui outrepasse son contrat Ă la petite frappe qui croit que taper du PD c'est valorisant en passant par l'homophobe convaincu pour qui c'est un devoir que de nous casser la gueule. Il me dit n'avoir jamais Ă©tĂ© concernĂ© jusqu'Ă prĂ©sent. Je lui indique que je mets Ă disposition mes installations sportive (plateau muscu et combat + piscines) deux soir par semaine pour l'entretien du physique. L'encadrement est rĂ©alisĂ© en interne. En natation par un vrai maitre-nageur et en sports de combat par des pratiquants de haut niveau en KaratĂ©, Krav Maga, Capoeira et mĂȘme par deux Commandos.
Il me demande oĂč j'ai trouvĂ© tous ces mecs. J'Ă©lude et lui propose de visiter les installations. On se lĂšve et comme je m'approche du monte-charge, il me dit qu'il ne va peut-ĂȘtre pas y aller Ă poil. Je lui lance son slip et il l'enfile comme la porte s'ouvre.  Au second je lui fais visiter la partie muscu et son tatami central dĂ©diĂ© au combat, les sanitaires et la piscine/jacuzzi. Puis nous descendons dans la serre.
Quand on arrive au rez-de-chaussée, PH entre en moto. J'attends qu'il la mette sur sa béquille pour approcher et présenter SosthÚne. Il lui serre la main comme si ce dernier était tout habillé. J'ai l'impression que cela le trouble le nouveau ! PH me roule une pelle dÚs qu'il a retiré son casque, puis nous accompagne dans la serre/jardin. Le bassin surprend SosthÚne surtout quand je lui dis qu'elle fait 25m.
Nous remontons ensemble au premier. PH nous laisse et continue vers les hauteurs.
Il est convaincu et signe le contrat que je lui mets sous le nez (il y a un codicille annulatif en cas d'analyse non conforme) . J'ajoute que j'ai oubliĂ© que le contrat comprenait aussi un vĂ©hicule de fonction. Il rit et me dit d'arrĂȘter de plaisanter. J'ouvre le contrat au paragraphe et il lit que le vĂ©hicule est mis Ă disposition permanente avec sa carte de carburant pour l'Ă©quivalent de 300 ⏠/ mois. La marque et le modĂšles est Ă la discrĂ©tion de l'employeur. Il me demande si c'est pareil pour tous les contrats. Je lui explique qu'il n'est pas question que mes escorts se trimballent dans de vielles caisses pourries, il en va du standing de ma sociĂ©tĂ©. De mĂȘme les transports en commun sont prohibĂ©s pour des raisons de pratiques, horaires, ligne... Donc il devra passer Ă ce garage (dont je lui fournis l'adresse) pour prendre sa voiture. Comme pour les autres, il a droit Ă une RCZ. Il hallucine quand je lui dis le modĂšle.
Quand il me demande quand il commence et que je lui dis mardi prochain. Réaction " déjà ? " Je complÚte par " entrainement physique ".
Avant qu'il ne parte, je lui demande pourquoi il a acceptĂ© de discuter avec moi. AprĂšs tout mon entrĂ©e en matiĂšre Ă©tait un peu brusque. Il me dit que si j'avais Ă©tĂ© moche il aurait coupĂ© court. Mais lĂ , je l'ai intriguĂ© et il s'Ă©tait dit que si ça finissait par un " coup " il aurait pas tout perdu. Je m'approche alors et je lui roule une pelle pour le remercier d'avoir pensĂ© cela. Je lui dis que la derniĂšre Ă©tape, le test physique rapprochĂ©, aura lieu dĂšs l'obtention de ses rĂ©sultats mĂȘme si on baise sous kpote.
72h plus tard, il me téléphonait pour me demander un rendez-vous pour " étudier " ses résultats d'analyse.
Quand il entre dans mon bureau, je remarque qu'il s'est vĂȘtu avec un peu plus de recherche. PlutĂŽt il a laissĂ© ses vĂȘtements de tous les jours Ă la fac pour des un peu plus branchĂ©s et de marque. Il me tend la feuille. Comme prĂ©vu tous les rĂ©sultats sont nĂ©gatifs, ce qui est positif pour son admission dans ma troupe. Alors que je lis il est dĂ©jĂ en train de se dĂ©shabiller. Quand je relĂšve les yeux de mon papier, il est en boxer blanc ES. Et son dĂ©but d'excitation le rempli bien !
C'est lui qui fait le premier pas. Il s'approche de moi, se colle contre moi et me roule une pelle des plus agrĂ©able. Ses lĂšvres pulpeuse mais pas trop grosses sont douces et contrastent avec sa langue rĂąpeuse et exigeante. Il cherche le mienne et se bat avec elle dĂšs qu'il la trouve. Cet Ă©change me fait bander et je sens sa bite se dĂ©velopper entre nos deux corps. Elle court vers la droite, empĂȘchĂ©e de se redresser Ă la verticale par l'Ă©lastique du boxer. Je glisse une main entre nos deux corps et dĂ©colle la ceinture du boxer de ses abdos. Sa bite des redresse immĂ©diatement et je relĂąche. Il entreprend de me mettre nu. Le retrait de mon t-shirt lui permet d'attaquer mes tĂ©tons et sa bouche dĂ©laisse la mienne pour venir les lĂ©cher, sucer, aspirer et pour finir les mordiller. Je suis sensible et ma queue bande encore plus, comprimĂ©e par mes jeans. Il le sent bien mais me laisse dans cet Ă©tat le temps de bien dresser et faire gonfler mes deux tĂ©tons. Seulement alors, il glisse contre moi pour se retrouver Ă genoux et les yeux en face de mon bassin, il s'attaque enfin Ă mon pantalon. Il prend son temps pour l'ouvrir, bouton par bouton. La surprise, c'est lui qu'il l'a quand ma bite sort comme un diable de sa boite. Oups ! J'avais oubliĂ© de mettre un slip !!
Elle passe rapidement d'un emballage de toile par un en muqueuse naturelle et vivante. TrĂšs vivante mĂȘme ! Il fait en sorte que ses joues collent ma hampe alors qu'il m'aspire vers sa gorge. Sa langue au passage tourne autour de mon gland, repousse encore plus mon prĂ©puce alors qu'elle parcourt le dessous de sa corole. Ses mains posĂ©es sur mes fesses, il me pousse vers lui et je vois ma bite disparaitre en totalitĂ©. Bien callĂ© entre ses amygdales, mon gland se fait masser par des dĂ©glutitions rapides qui l'attirent vers son estomac. Putain que c'est bon ! A part la question des dimensions, il maĂźtrise bien la pratique. Je pose enfin mes mains sur sa tĂȘte. Ses cheveux courts glissent entre mes doigts. J'affermis ma prise pour le diriger un peu. Mais ce n'est pas nĂ©cessaire vu comme il se donne.
Je dois mĂȘme le calmer pour ne pas me mettre Ă jouir aussitĂŽt.je le prends par les Ă©paules et le relĂšve. Il colle sa langue sur ma peau de mon gland jusqu'Ă ma bouche. L'effet est agrĂ©able. Quand il me donne sa langue, j'y retrouve un trĂšs lĂ©ger goĂ»t de ma bite. Alors qu'on s'embrasse encore, il enjambe ma bite et la coince sous ses couilles. Ses balancements de bassin font frotter mon gland contre sa rondelle. Je mouille et ça lubrifie les glissements. Il se tourne brusquement prend appuis de ses avants bras sur mon bureau, cambre les reins et balance du cul pour m'appeler. Je n'y rĂ©siste pas et m'accroupis pour lui bouffer la rondelle. J'aime les gĂ©missements de plaisir que ça lui fait sortir. Sa rondelle s'assouplie vite et je me redresse prĂȘt Ă le planter. Vite une kpote et je m'enfonce d'un seul et long mouvement. Le temps de me pencher sur lui, d'attraper ses Ă©paules et je donne le coup de rein final qui enfonce mon dernier cm. Bien qu'il se soit prĂ©parĂ©, je le sens, il serre bien ma queue et de son cĂŽtĂ© semble apprĂ©cier la prise. Ses halĂštements me le prouvent. Alors que je me retire pour encore mieux y retourner, il me prend de vitesse et recule pour se planter lui-mĂȘme.Â
On se fait du bien mutuellement un bon moment dans cette position avant que je le tourne et ses chevilles sur mes Ă©paules, son dos sur mon bureau, je mĂšne Ă mon tour la danse. Il s'accroche au plateau alors que je l'encule virilement. Les coups de bassins secs et profonds alternent avec de lents mouvements qui me font sortir le gland de son cul. J'aime ses gĂ©missements qui me signalent qu'il prend du plaisir. Comme leur frĂ©quence est en train de raccourcir, je lui dis de se retenir je voulais qu'il m'encule Ă son tour. Je veux voir son cĂŽtĂ© actif. De mon cĂŽtĂ© je ralentis aussi mes va et vient avant de sortir complĂštement. Je lui tends une kpote et alors qu'il l'enfile, Ă mon tour je prends la position. En levrette, j'attends son assaut. Je suis grave excitĂ© mais il prend quand mĂȘme le temps de me lĂ©cher l'anneau. Il fait mĂȘme plus puisqu'il fait pĂ©nĂ©trer sa langue d'au moins un cm dedans. Rapidement je me sens prĂȘt et lui dis d'y aller. Ses mains se posent sur mes hanches (comme si j'avais envie de lui Ă©chapper !) et son gland se prĂ©sente Ă ma porte arriĂšre. Je pousse un peu et il me met ses 23cm entiers. J'ai bien senti le passage du lĂ©ger bourrelet de son gland et chaque cm qui a suivi.
23cm c'est long mais c'est bon ! En mĂȘme temps qu'il s'enfonce, je le sens basculer le bassin en de lentes rotations qui aident son avancĂ©e. Quand il est bien au fond, je passe mes mains en arriĂšre agrippe ses fesses et recule brusquement pour m'assurer que j'ai bien tout en moi. C'est le cas et je relĂąche ma pression pour le laisser gĂ©rer. Il n'a que 18ans mais il me baise avec une science consommĂ©e du plaisir. Nous sommes de mĂȘme taille et alors qu'il me laboure le cul, il se penche sur moi et ses lĂšvres posĂ©es sur mon cou me donnent des frissons supplĂ©mentaires. Il joue de sa langue avec mes oreilles. Quand je tourne la tĂȘte nos lĂšvres se collent et bien que nous nous roulions une pelle profonde, il ne cesse de me limer la rondelle. J'aime ça aussi. Je me dĂ©colle et lui demande depuis combien de temps il baise et qui l'a initiĂ© pour qu'il soit aussi bon. Je me tourne sur le dos et on se retrouve face Ă face. Il me fait un clin d'oeil et me dit que non ce n'est pas un pro plus ĂągĂ© qui l'a initiĂ© mais qu'il a bien Ă©tudiĂ© sur internet et qu'il a adaptĂ© lors de ses mises en pratique avec des mecs de son Ăąge.
Nous continuons à baiser et il me fait jouir. Le frottement à chacun de ses passages du renflement de son gland sur ma prostate a vite fait eu raison de ma résistance. Je me couvre de mon sperme et mes contractions anales qui bloquent ses va et vient de façon discontinue le font exploser dans sa kpote. Quand il se retire, je note une dose plus importante que la moyenne. Il n'y a pas que son sexe qui soit plus que la norme !
Sous la douche, je lui parle du fait qu'il n'a jamais baiser avec un " vieux " et lui demande s'il ne craint pas de blocage. Il me dit que non mais par précaution je vais le faire tester par Marc puisqu'il rentre le WE prochain. Avec ses 47 ans, et ses 22cm qui adorent les jeunes mecs, j'aurai une certitude sur ma nouvelle acquisition.
Je lui en fais part. Il est d'accord bien sĂ»r. Comme je lui dis qu'il sera rĂ©munĂ©rĂ© comme une prestation normale, il se rĂ©crie que c'est encore une phase de test, qu'il n'a pas Ă ĂȘtre dĂ©jĂ payĂ©. Je lui dis juste qu'avec Marc, il m'aura aussi ainsi que deux autres de mes hommes. Donc ce sera aussi une petite touze Ă 5. Il rit et me demande combien j'ai d'amant. Je compte sur mes doigts et par ordre d'apparition dans ma vie je liste : Marc 47ans, PH 21ans, Ernesto 21ans aussi et Ludovic 18ans. J'ajoute que ce sont tous mes maris aussi. Dans le sens oĂč l'on s'aime tous. Il trouve ça spĂ©cial et me dit que lui n'a encore pas trouvĂ© le grand amour, ni mĂȘme l'amour tout court.
Une fois secs, je le fĂ©licite sur son boxer, il me dit que c'est celui qu'il porte quand il part en " sexe ". Il n'en a qu'un parce qu'ils ne sont pas donnĂ©s. Ăa me donne l'occasion de parler de ses vĂȘtements. Il n'a pas de costume et encore moins de smoking. Comme aux autres je lui donne l'adresse de mon fournisseur officiel. Pour les sous-vĂȘtements, je l'emmĂšne piocher dans le stock. Il hallucine de voir toutes les marques sur lesquelles il a bavĂ© sur internet. Alors qu'il hĂ©site entre deux boxers (ES et Addicted), je lui mets les deux entre les mains et l'oblige Ă en choisir d'autres. Il est comme un gamin devant ses cadeaux de NoĂ«l !
Il me dit qu'il n'a pas encore Ă©tĂ© chercher la voiture, il voulait que je sois sĂ»r de l'embaucher. Du coup je tĂ©lĂ©phone au garage et leur dis de prĂ©parer une RCZ, qu'on venait la chercher. Quand on arrive, le concessionnaire est lĂ . C'est vrai que cela fait un moment que je ne l'ai vu, on s'arrange au tĂ©lĂ©phone. Son fils est avec lui et c'est lui qui a prĂ©parĂ© la voiture. Beau jeune homme d'une vingtaine d'annĂ©e, il me dit que c'est lui qui est maintenant en charge de ma flotte de voiture. Je ne perds pas au change. Son bleu de mĂ©canicien, propre, ouvert sur son torse glabre et trĂšs musclĂ©, le rend trĂšs dĂ©sirable. DĂ©solĂ©, c'est plus fort que moi, je dois ĂȘtre un peu obsĂ©dĂ© ! Il nous conduit jusqu'Ă la voiture. Elle est noire et son polit la rend plus brillante qu'un diamant. On fait le tour et je ne peux m'empĂȘcher de chercher son reflet sur la tĂŽle. Je remarque quand mĂȘme que je ne suis pas le seul intĂ©ressĂ© par le mĂ©cano. Je vois mon SosthĂšne boire littĂ©ralement les paroles du beau mec. C'est sĂ»r que ça le change des minets de sa Fac. Je me dis qu'il est temps de les laisser entre-eux. Justin me raccompagne Ă ma voiture. Alors qu'il ferme ma porte, il me demande si c'est aussi un employĂ© de ma sociĂ©tĂ©. Je confirme son intuition et j'ai droit Ă un dommage qui sort du fond de son coeur. Je repousse la portiĂšre et le rappelle. Il se rapproche et je lui glisse que je ne gĂšre pas leurs vies personnelles, s'il tenait Ă le savoir. Il me quitte avec un grand sourire. Serait-il des " nĂŽtres " ce joli jeune homme ?
Curieux comme une vieille chatte, je ne peux m'empĂȘcher d'appeler SosthĂšne une bonne heure aprĂšs. Sous prĂ©texte de savoir si tout va bien avec sa nouvelle voiture, je lui demande incidemment s'il avait rĂ©ussi Ă avoir le n° perso de mon mĂ©cano. Je l'entends s'Ă©touffer Ă l'autre bout ! Je lui rappelle qu'il fait ce qu'il veut de son cul entre les prestations mais avec toujours en tĂȘte le SSR. J'ajoute que s'il n'avait pas Ă©tĂ© avec moi, c'est moi qui me le serais fait avant de rentrer. Il se choque. Je lui demande alors s'il Ă©tait rentrĂ© tout bandant ? S'il n'avait pas profitĂ© de mon dĂ©part pour visiter les toilettes du garage ? Il me dit qu'il n'est pas comme ça. Je me moque un peu et lui dit qu'il a peut-ĂȘtre loupĂ© le coup du siĂšcle. Le mec m'avait l'air trĂšs intĂ©ressĂ© par lui et je lui avais quasiment donnĂ© ma bĂ©nĂ©diction quand il m'avait raccompagnĂ©.
SosthĂšne me rappelle le lendemain midi pour me remercier. Quand je lui demande de quoi, il me dit qu'il avait osĂ© rappeler Justin et qu'il avait fini la nuit chez lui. Que c'Ă©tait trop bon et qu'il croyait ĂȘtre tombĂ© amoureux. Je lui dis de ne pas s'emballer. Ce doit ĂȘtre l'effet " encanaillage ", opposition de milieu et de type de vie. L'un travail avec un boulot manuel, l'autre est en fac et de lettre en plus ! Difficile de faire plus Ă©loignĂ©. Il me dit que non, avec moi c'Ă©tait trĂšs bon mais avec lui c'Ă©tait comme ça n'avait jamais Ă©tĂ© avant.
Soudain, je pense qu'il a peur que je crois qu'il va me quitter parce qu'il m'assure que cela ne change pas notre contrat. Ils en ont parlĂ© Justin et lui. Je le remercie pour la discrĂ©tion. Il rigole et me lance qu'avec tous les mecs que j'ai envoyĂ© chercher une caisse dans ce garage, je n'avais pas fait non plus preuve de cette mĂȘme discrĂ©tion que je lui reprochais d'avoir oubliĂ©e. Justin savait pertinemment ce que faisaient mes employĂ©s.
En attendant il me dit qu'ils sont d'accord pour qu'il honore son contrat de travail. Ouf ça l'aurait embĂȘtĂ© de perdre un escort prometteur avant mĂȘme qu'il n'ait commencĂ©.
Jardinier
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«Je lâai aimĂ© parce que rien nâĂ©tait fait pour.
Parce quâil se moquait bien dâĂȘtre sĂ©duisant avec moi. Parce que faire des efforts pour plaire au monde semblait ne pas faire partie de ses volontĂ©s.
Parce quâil avait quelque chose de triste bien cachĂ© au fond de lâĂąme. Il avait dĂ» naĂźtre comme cela, lui aussi, avec cette nostalgie collĂ©e aux poignets.
Je lâai aimĂ© parce que ses yeux observaient tout sans ĂȘtre retenus par rien. Parce quâil puait la libertĂ©. Parce quâil Ă©tait prisonnier.
Parce quâil y avait sur ses lĂšvres un peu dâamertume et beaucoup de tendresse, de lâamour qui a pleurĂ© et lâenvie de la passion. Parce quâil parlait peu. Parce que lorsquâil parlait, jâavais envie dâĂ©couter. Je ne me souviens pas avoir aimĂ© les mots comme lâeau, qui dĂ©bordent. Il Ă©tait nu, mĂȘme habillĂ©. Pudique de son Ăąme et de son corps. En y regardant de prĂšs, je lâai immĂ©diatement soupçonnĂ© de ne pas trop sâaimer. Je lâai aimĂ© Ă sa place. Jâavais de la place dans le coeur. Il y avait, au fond de son regard, un vieux truc perdu, hagard. Jâavais envie de lâaider Ă le retrouver. Il souriait peu. Pourtant, lumineux. Il me faisait rire sans jamais essayer. Je ne crois pas que les gens drĂŽles mâaient jamais beaucoup amusĂ©e. Lui, il me donnait envie de hurler de rire parce quâil se moquait de lui-mĂȘme en riant de ce qui lâentourait. Je lâai aimĂ© parce quâil Ă©tait faussement dĂ©tachĂ©, fragile, sensible, agressif et dĂ©muni. Parce quâil le cachait.
Je lâai aimĂ© parce que personne ne sây attendait.
Et je lâai Ă©crit. Pour oublier.
Mais je nây suis jamais arrivĂ©e.»
Romy Schneider
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Une vieille dame marche sur le trottoir traĂźnant deux sacs poubelle. Tout Ă coup, un des sacs se dĂ©chire et laisse sortir des billets de 5 euros⊠Remarquant cela, un policier lâarrĂȘte et lui dit : â Madame, il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac. â Oh vraiment ? Je dois faire demi-tour et voir si je peux retrouver les autres que jâai perdus. Merci de me lâavoir signalĂ©, dit la vieille dame. â Un instant, madame pas si vite. DâoĂč vient cet argent ? â Ma cour arriĂšre est prĂšs dâun stade de football et durant les parties, quelques fans viennent pisser Ă travers la clĂŽture de mon jardin de fleurs. Alors ce que je fais, je me tiens prĂšs de la clĂŽture avec une paire de sĂ©cateurs et Ă chaque fois quâun gars sort son pĂ©nis pour pisser, je lui dis que «câest 5 euros ou je la coupe».â Le policier ajoute en riant : â Câest bien normal ! Mais avant de continuer son chemin il lui demande : â Et dans lâautre sac quâest ce quâil y a ? â Vous savez, tout le monde ne paie pas !
#un des sacs se dĂ©chire et laisse sortir des billets de 5 eurosâŠ#Remarquant cela#un policier lâarrĂȘte et lui dit :#â Madame#il y a des billets de 5 euros qui sortent de votre sac.#dit la vieille dame.#â Un instant#madame pas si vite. DâoĂč vient cet argent ?#je lui dis que «câest 5 euros ou je la coupe».â#Le policier ajoute en riant :#â Câest bien normal !#Mais avant de continuer son chemin il lui demande :#â Et dans lâautre sac quâest ce quâil y a ?#â Vous savez#tout le monde ne paie pas !
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Belle journĂ©e Ă vous GuerriĂšres et Guerriers đ đș âš
« â Tu ressembles Ă une sorciĂšre, dit-il.
â Jâaimerais bien ! rĂ©pondit-elle.
â Comment ça, mais qui mĂ©rite dâĂȘtre sorciĂšre ? continua-t-il.
â Eh bien, je vais te le dire ! murmura-t-elle en riant de plaisir :
Une sorciĂšre est connectĂ©e Ă la nature ; elle connaĂźt le pouvoir des plantes et comprend le langage des animaux, voyage entre les mondes et communique avec le grand esprit !đ
Une sorciĂšre sâaime et aime tout ĂȘtre vivant, respecte et est capable dâĂ©couter sans juger et guĂ©rir un cĆur brisĂ©.đ©·
Ătre sorciĂšre, câest connaĂźtre le pouvoir quâil y a en toi, profitant de qui tu es sans dĂ©nigrer personne.đ
Si tu rencontres une bruja (sorciĂšre), sache quâelle aime le silence, tout comme elle aime la nuit et ses Ă©toiles sans finâŠđ
Si tu en rencontres une, nâaie pas peur, ses Ă©motions sont intenses, imprĂ©visibles et changeantes, tout comme cette lune quâelle aime et quâelle respecte.đ
Elle invente des rituels dâamour et met des bougies chez elle !đ
Elle danse et chante sans complexes, dĂ©chiffre les messages de cette lune et du vent et se baigne nue dans les mers ! đ©”
Si tu tombes sur une sorciĂšre, nâessaie pas de la comprendre, aime-la ! Elle peut comprendre les mystĂšres de lâUnivers, mais parfois elle ne peut pas se comprendre elle-mĂȘme.đ§Ą
Il y a des sorciĂšres qui chantent et des sorciĂšres qui Ă©crivent. Dâautres font du pain ou vendent leurs crĂ©ations.
Tu les trouves dans toutes les professions ! đ
Si tu tombes sur lâune dâelles, tes journĂ©es deviendront magiques et le quotidien une aventure.đ©·
Si tu trouves une sorciĂšre, sache quâelle fait lâamour comme une tempĂȘte, parfois dĂ©chaĂźnĂ©e⊠et parfois calme ! â€ïž
Si tu tombes sur elle, sache quâelle verra dans tes yeux la beautĂ© que tu crains. Tu verras ta puissance, tes souffrances et chacun de tes rĂȘves.đ
Si tu rencontres une sorciĂšre, endors-toi Ă ses cĂŽtĂ©s et profite du voyage. Ă ton rĂ©veil, tu ne seras plus le mĂȘme.đ©”
Et enfin, si tu tombes sur une sorciĂšre, fais attention ! Il se peut que pendant un moment Ă©phĂ©mĂšre, tu la confondes avec..une femme. đ
Texte de Franciska Weil
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j'ai lu un poÚme qui parle de toi à une soirée poésie
enfin il parle exclusivement de tes mains
et du fait que tu me faisais l'effet des basses
je te vouvoyais dans le poĂšme
je me disais que ça toucherait plus les gens
et que ça te ressemblait
puis
puis j'avais oublié de réécrire la premiÚre phrase
oĂč je te tutoyais
et alors que j'Ă©tais lĂ
un peu tremblotante devant l'assemblée
et moi qui voulait donner un ton de flux tendu Ă mon poĂšme
pour ne pas nous déstabiliser j'ai
tout changé
j'ai mis des toi des tu partout
je t'ai mis partout
quand j'appuyais mon regard dans celui des autres poĂštes du public
et puis
quand je me suis assise
tremblotante
aprĂšs le poĂšme
je regrettais de trembler
parce que je pensais pouvoir dire le poÚme mieux que ça
dans l'Ă©nergie et la voix
et puis Hervé m'a demandé si tu savais que j'avais écris ce poÚme pour toi, alors qu'il ne te connaissait pas
j'ai dit que non
je me suis imaginée avec toi dans un café un sourire aux lÚvres te dire au fait je t'aime et aussi j'ai écrit un poÚme sur tes mains alors j'ai dit à Hervé
un jour, peut-ĂȘtre il m'a demandĂ© si je comptais lui dĂ©clamer un jour
là je nous ai imaginé tous les deux dans l'intimité qu'on savait créer dans la bulle que tu savais créer je nous ai imaginé rosi et riant incapables de tenir en place et je te dirais j'aimerais te déclamer mon poÚme si tu veux bien et tu me dirais je ne sais pas mais un autre jour tu me dirais je veux bien l'entendre et alors il fera nuit je ne te verrai presque pas mais je sentirais toute l'énergie forte qui émane de nous cet amour puissant et on rigolerait beaucoup j'ai dit à Hervé
un jour, peut-ĂȘtre
je me suis dit peut-ĂȘtre que les poĂštes peuvent dire les choses que personnes n'osent dire aux gens qu'ils aiment et que si je peux devenir un peu spĂ©ciale avec ça, alors je serai rassurĂ©e.
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Baudouin UA moderne
Baudouin marchait d'un pas déterminé à travers les couloirs de la faculté d'histoire, ses livres serrés contre sa poitrine. Les regards curieux et les chuchotements n'avaient plus le pouvoir de le faire vaciller comme avant. Il avait appris à vivre, à affronter les regards de ceux qui ne comprenaient pas.
Alors qu'il traversait l'amphithĂ©Ăątre, un visage familier attira son attention. C'Ă©tait Alix ! Alix qui avait partagĂ© sa nourrice, Alix qui avait Ă©tĂ© la seule Ă rester prĂšs de lui, alors qu'il avait la lĂšpre et qu'aucun mĂ©dicament ne fonctionnait. Alix qui Ă©tait lĂ quand enfin quelque chose avait fonctionnĂ© mais que la moitiĂ© de son visage avait disparu. Alix qui avait dĂ©cidĂ© de se battre pour lui, quand au collĂšge, les autres se moquaient de lui. Alix qui avait la chance de partir Ă la Sorbonne mais qui avait refusĂ© pour lui. Toutefois, Baudouin ne voulait pas qu'elle sacrifie son avenir et il avait fait des pieds et des mains pour qu'elle accepte. Elle Ă©tait partie il y a deux ans et mĂȘme s'ils s'envoyaient rĂ©guliĂšrement des nouvelles par SMS, il ressentait toujours son absence.
Il perçut immédiatement la surprise dans son regard, mais pas de pitié, pas de jugement. Juste de la sincérité et de la chaleur.
"Baudouin ?" s'exclama Alix, se levant de son siĂšge pour le rejoindre. "Tu es lĂ !"
Baudouin sourit, soulagé de retrouver son amie si chÚre. "Alix, c'est tellement bon de te revoir. Comment es-tu arrivée ici ?"
Alix lui fit un rapide résumé de son changement de faculté, évoquant ses projets d'avenir et ses nouvelles découvertes. Baudouin sentit une bouffée de fierté pour elle, s'émerveillant de sa force et de sa détermination.
"Et puis, il faut avouer que tu m'as manquĂ©. Je ne pensais pas que ce serait si dur d'ĂȘtre sans toi.", murmura la jeune femme.
"Tu m'as manqué aussi Lizzie."
Alix sourit brillamment et fit une blague Ă propos de l'emplacement de la fac et de la bibliothĂšque. Cela entraĂźna un rire de la part de son compagnon.
Pendant qu'ils discutaient, Baudouin remarqua qu'Alix ne fixait pas ses cicatrices comme les autres le faisaient. Au contraire, elle semblait se concentrer sur ses yeux, sur ses paroles, sur lui en tant que personne et non en tant que sujet de curiosité.
"Alix, tu es la seule qui ne me regarde pas comme si j'Ă©tais un monstre," confessa-t-il, un poids invisible se soulevant de ses Ă©paules.
Alix lui prit doucement la main, la serrant avec compassion. "Baudouin, tu es bien plus que tes cicatrices. Tu es courageux et intelligent. Ne laisse jamais personne te faire sentir autrement."
Les mots d'Alix rĂ©sonnĂšrent en lui, apaisant ses doutes et renforçant sa confiance en lui-mĂȘme. Elle lui avait vraiment manquĂ©.
Tandis qu'ils poursuivaient leur conversation, riant et se rappelant des souvenirs de leur enfance, Baudouin ne sentit plus cette pression dans sa poitrine. Alix l'avait toujours connu, mĂȘme avant sa maladie et elle n'Ă©tait partie que parce qu'il lui avait dit que tout irait bien pour lui. Tout n'avait pas Ă©tĂ© bien, mais tout irait mieux maintenant.
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