#en finir avec la culpabilité
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lestroiscorbeaux · 2 months ago
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Et c'est ce qui change son esprit, à la fin.
« Parmi les souvenirs qui le hanteraient toujours, se trouvait, entre les sourires de Tyelpe et son corps brisé cloué au pilori, la vision déchirée de lui-même (C.) le pourfendant. Chaque pleur sous chaque assaut, chaque cri, chaque gémissement sous chaque déchirure. Son surnom glissait de ses lèvres alors que ses yeux s'éteignaient pour toujours. [...] Il pensait rarement Célébrimbor, mais ces derniers temps, quand il s'enfonçait dans la contemplation de son Anneau et qu'il se laissait porter par ses pensées, celle-ci lui revenait toujours. Une illusion. Une chose incongrue qui le laissait généralement indifférent, mais plus le temps passa, plus il s'enfonçait dans l'Anneau et rêvait de la (sa) grandeur passée. Et se trouvant là, ce fantasme d'un autre qui devient le sien : Célébrimbor de plus en plus volontaire sous les toucher de Sauron, il devenait fébrile sous ses soins, nécessiteux sous le traitement de sa bouche et Sauron obligerait. Sauron obligerait toujours. Au fur et à mesure, il était plus doux, il était plus gourmand. [...] Il (le fantasme) finissait éternellement sur le regard de Tyelpe qui s'attarde. » ...
« La volupté cessa pour des caresses et des baisers tendres. Sauron fondait sous la chaleur de Tyelpe. [...] Il n'a pas su quand le sexe violent est devenu doux, quand Sauron a fini de le violer pour lui faire l'amour. Quand il passait la plus grande partie à toucher Célébrimbor, à le tenir, à le caresser. À l'embrasser. Quand Célébrimbor est (re)devenu Tyelpe et quand ses visions se sont emplies de chagrin(la tristesse). Car plus jamais Sauron ne pourrait tenir Tyelpe près de lui (et tout cela était faux) [...] Elles commencèrent toujours en cours de route, l'acte en partie consommé. Célébrimbor était d'or à la lumière des bougies, les cuisses invitantes et Sauron s'enfonçait jusqu'à se perdre en lui. Tyelpe gémissait ce nom intime qu'il n'a eu que pour lui et Sauron y répondait avec la même ferveur que s'il prononçait son véritable nom. Il chantait ainsi plus fort et c'était la plus belle chanson que Sauron n'avait jamais entendue. Tout n'était que volupté, de corps qui s'unissaient en un seul et de bouches où fleurissaient de tendres baisers. Et Sauron était toujours perdu, toujours affamé, réclamant cet endroit secret dans ce corps féerique qui faisait voir à Tyelpe les étoiles. Les premières fois, Sauron avait été brutal, dominant Célébrimbor, ses jambes sur ses fortes épaules et ses mains lui déchirant le dos sous la force de ses assauts. Plus les années passaient, plus les visions devinrent douces. Le côté bestiale et mécanique se délaissa pour quelque chose de plus passionné, d'incarné, pour finir sur des touches fragiles. Sauron cessa de faire l'amour à Tyelpe, de le pénétrer et de se déverser en lui. Il avait fini par lui prodiguer des touches de tendresse. Cela finirait toujours par Sauron embrassant Tyelpe, pleurant sur cette peau dorée pour un amour impossible et entaché à jamais. »
...
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Illustration Kakashi x Iruka mais c'est ma vision où Célébrimbor est de plus en plus tangible et réceptif à cette tendresse à mesure que la culpabilité de Sauron et la réalisation de sa perte augmente. Ce n'est qu'un mirage au début, une fumée au semblant d'apparence à Célébrimbor. Il n'est que réel et le véritable Célébrimbor qu'à la fin quand Sauron accepte son erreur et pleure sa perte.
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regimepure · 4 months ago
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Recettes pour mincir
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Dans notre quête de bien-être et de santé, trouver des recettes qui non seulement aident à mincir, mais sont aussi délicieuses et nutritives, est essentiel. Nous vous proposons un ensemble de recettes minceur équilibrées qui satisferont vos papilles tout en vous aidant à atteindre vos objectifs de perte de poids.
Si vous souhaitez en savoir plus, visitez → Recettes Pour Mincir : Astuces et Menus Équilibrés
Petit-déjeuner sain et équilibré
Smoothie vert détox
Les smoothies verts sont un excellent moyen de commencer la journée avec une dose de vitamines et de minéraux. Voici une recette simple et rapide :
Ingrédients :
1 tasse d’épinards frais
1 banane
1 pomme verte
1 kiwi
1 tasse d’eau de coco
1 cuillère à café de graines de chia
Préparation :
Mélangez tous les ingrédients dans un blender jusqu’à obtention d’une consistance lisse.
Servez immédiatement et profitez de ce cocktail de nutriments.
Overnight oats à la cannelle et aux pommes
Les flocons d’avoine préparés la veille sont parfaits pour un petit-déjeuner rapide et nourrissant.
Ingrédients :
1/2 tasse de flocons d’avoine
1/2 tasse de lait d’amande
1/2 tasse de yaourt grec
1 pomme râpée
1 cuillère à café de cannelle
1 cuillère à café de miel
Préparation :
Mélangez tous les ingrédients dans un bocal.
Laissez reposer au réfrigérateur toute la nuit.
Le matin, remuez et dégustez.
Déjeuners légers et nourrissants
Salade de quinoa aux légumes grillés
Le quinoa est une excellente source de protéines et de fibres, parfait pour un déjeuner léger mais rassasiant.
Ingrédients :
1 tasse de quinoa cuit
1 courgette
1 poivron rouge
1 poivron jaune
1 oignon rouge
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
Jus d’un citron
Sel et poivre au goût
Préparation :
Préchauffez le four à 200°C.
Coupez les légumes en dés et mélangez-les avec l’huile d’olive, le sel et le poivre.
Étalez les légumes sur une plaque de cuisson et faites-les griller pendant 20 minutes.
Mélangez le quinoa cuit avec les légumes grillés et arrosez de jus de citron.
Wrap au poulet et aux légumes croquants
Les wraps sont une excellente option pour un déjeuner rapide et portable.
Ingrédients :
1 poitrine de poulet cuite et coupée en fines tranches
1 tortilla de blé complet
1 carotte râpée
1 concombre coupé en fines lamelles
1 avocat tranché
Quelques feuilles de laitue
2 cuillères à soupe de houmous
Préparation :
Étalez le houmous sur la tortilla.
Ajoutez les tranches de poulet, les légumes et l’avocat.
Roulez la tortilla et coupez-la en deux.
Dîners légers et savoureux
Poisson en papillote avec légumes
La cuisson en papillote permet de conserver les nutriments et les saveurs.
Ingrédients :
2 filets de saumon
1 courgette
1 carotte
1 poireau
1 citron
Herbes de Provence
Sel et poivre
Préparation :
Préchauffez le four à 180°C.
Coupez les légumes en julienne.
Placez chaque filet de saumon sur une feuille de papier sulfurisé, ajoutez les légumes, les herbes, le sel, le poivre et une rondelle de citron.
Refermez les papillotes et faites cuire pendant 20 minutes.
Soupe de lentilles corail et légumes
Une soupe chaude et réconfortante, parfaite pour le dîner.
Ingrédients :
1 tasse de lentilles corail
2 carottes
2 branches de céleri
1 oignon
2 gousses d’ail
1 litre de bouillon de légumes
1 cuillère à soupe d’huile d’olive
1 cuillère à café de cumin
Sel et poivre
Préparation :
Dans une grande casserole, faites revenir l’oignon et l’ail hachés dans l’huile d’olive.
Ajoutez les carottes et le céleri coupés en dés, puis le cumin.
Ajoutez les lentilles corail et le bouillon de légumes.
Laissez mijoter pendant 20 minutes jusqu’à ce que les lentilles soient tendres.
Desserts légers et délicieux
Salade de fruits frais
Une option simple et rafraîchissante pour finir le repas sur une note sucrée sans culpabilité.
Ingrédients :
1 mangue
1 ananas
2 kiwis
1 poignée de myrtilles
Jus d’un citron vert
Quelques feuilles de menthe
Préparation :
Coupez tous les fruits en dés.
Mélangez-les dans un grand bol.
Arrosez de jus de citron vert et ajoutez les feuilles de menthe.
Yogourt grec au miel et aux noix
Un dessert riche en protéines et en bonnes graisses.
Ingrédients :
1 tasse de yogourt grec
1 cuillère à soupe de miel
1 poignée de noix concassées
1 pincée de cannelle
Préparation :
Dans un bol, mélangez le yogourt grec avec le miel.
Ajoutez les noix concassées et saupoudrez de cannelle.
Conclusion
Ces recettes pour mincir sont conçues pour vous aider à atteindre vos objectifs de perte de poids tout en savourant chaque bouchée. En intégrant ces plats dans votre alimentation quotidienne, vous pouvez profiter d’une cuisine savoureuse et équilibrée, favorisant une meilleure santé et un bien-être optimal.
Si vous souhaitez en savoir plus, visitez → Recettes Pour Mincir : Astuces et Menus Équilibrés
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petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
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Quelques trucs bien. Aout 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
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Finir la saison en apothéose avec la fête de mon anniversaire et une nuit blanche 
Penser et repenser à comment écrire ce discours pour le mariage de ma fille. Tenter de parler d’amour et de couple sans parler de ma propre expérience. Réaliser que j’ai probablement été meilleure mère qu’épouse 
Faire la rentrée de bonne humeur, encore énergisée par la fête récente et le week-end d’amitié avec mon amie C. 
Voir (encore) un arc-en-ciel. Présager le meilleur pour les jours à venir 
Organiser une fête d’anniversaire au dernier moment et à l’auberge espagnole : dépasser l’anxiété sociale. Youpi ! 
Passer plus d’une heure au téléphone avec ma cousine. Prendre l’apéro en écoutant ses confidences, puis dans une légère ivresse, lui envoyer une carte postale de remerciement 
Faire une prise de sang Check up le jour de mon anniversaire de 50 ans. Analyses impeccables ! Pourvu que ça dure 
Remercier mon fils qui pense à me préparer à manger 
Voir un arc-en-ciel pendant la canicule 
Espérer que l’armure se se fissure et que je trouve le courage de dire mes failles et mes désirs. Accepter d’être vulnérable 
Pouponner mon petit M. qui a déjà deux mois, prend du poids et des biscotos qu’adoucissent ses premiers sourires 
Bricoler avec mon fils pour rénover le mur coloré de sa chambre. M’émerveiller de son adresse et de son ingéniosité 
Préparer un cocktail Prosecco et sirop de fleurs de sureau. Trouver une alternative au Spritz trop amer 
Organiser un apéro dînatoire sous l’arbre en soirée. Mettre une nappe bleue pour donner une autre couleur à ce moment plus intimiste 
Accueillir Tatie M. à la maison pour quatre jours. Me sentir moi aussi un peu en vacances 
Sentir encore une accroche avec quelqu’un. Nous sentir engoncés l’un l’autre dans la timidité. Hésiter encore à prendre l’initiative de la rencontre 
Sortir manger une glace avec maman au village. La sentir en vacances un moment suspendu 
Trouver tous les accessoires pour le mariage de ma fille : sac pochette, bijoux, etc. 
Prendre de la distance avec ma sœur qui est partie deux semaines en vacances. Me dire qu’elle avait certainement besoin de couper et qu’elle ne vit pas dans la culpabilité comme moi 
Accepter les pertes de mémoire de maman. Me réconforter en me persuadant que c’est moins douloureux pour sa conscience de la perte d’autonomie 
Accompagner ma fille pour l’essayage de sa robe de mariée. La rassurer sur la beauté de son épanouissement de jeune femme et de jeune mère. Ce sera un des jours de sa vie où elle sera la plus belle 
Me voir offrir par les copines un bouquin intitulé « Fous à lier » parce que ça a immédiatement fait penser à moi 
Trouver du plaisir à jardiner : arroser le jardin et tailler les fleurs fanées 
Retrouver un ami de presque 30 ans pour une soirée. Reprendre le fil des confidences comme si le temps s’était suspendu depuis 
Passer une soirée entre filles à faire débat autour d’un roman féministe de Chloé Delaume. Finir la soirée en lecture à voix haute pour les copines de sororité 
Découvrir une nouvelle forme fixe de poème : ghazel
Surprendre une biche qui traverse la piste devant ma voiture. Surprise réciproque 
Découvrir une petite tarente perdue au plafond de ma chambre. Tenter de la chasser et m’endormir sans crainte
Aller chez le notaire avec ma fille. Me sentir enfin légitime après tant d’années
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wubblesred · 6 months ago
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Ghoulcy Week 2024 Day 6 SFW French
Bonjour chers habitants d'abri, me voilà de retour avec la semaine ghoulcy. Le thème du jour 6 est dans la maladie et la santé. Il est un peu en lien avec les thèmes précédents. J'espère que ça vous plaira. Belle journée et bonne lecture.
Cooper Howard avait perdu toute sa famille il y a plus de deux siècles et il s'était dit ce jour-là que c'était la chose la plus horrible qu'il avait vécu et que rien ne pourrait surpasser ça. Cependant en voyant Lucy toujours aussi pâle malgré le RadAway qui coulait lentement dans ses veines, il ressentait la même sensation qu'à son premier réveil en tant que goule sans savoir où était passé Janey. Ce dernier s'en voulait, il l'avait traîné dans des endroits où la plupart de la population présente était des goules, il ne craignait pas les radiations donc il ne prêtait pas attention au taux de radiation des alentours, sa petite tueuse était tellement forte qu'il en avait oublié le fait qu'elle était seulement humaine. C'est à son réveil en voyant Lucy amorphe et son PipBoy en mode alerte qu'il se rendit compte du problème, les radiations dans le corps de sa femme étaient trop élevées. Apparemment une dose de RadAway ne suffisait pas, à ce stade la jeune femme avait probablement besoin d'un hôpital pour survivre. Ou autre chose... Une chose à laquelle Cooper préférait éviter de penser.
« Coop... Coop va retrouver Janey sans moi... Pars devant. » La voix de Lucy était faible et tremblante, chaque son semblait lui procurait une douleur intense ce qui intensifiait la culpabilité que ressentait son mari.
« Hors de question. T'as cru que j'étais le genre de mari qui abandonnait sa femme au premier coup dur. Je t'ai épousé, je t'aime et je refuse de te laisser crever comme un chien. »
« Le médoc fait pas effet... Je sais même pas si je vais m'en sortir... »
« Les foutus abris ils ont des médecins non ? Ton bazar au bras là, il sait nous indiquer un abri proche ? » Durant tout son discours sa femme secouait la tête, elle savait le dégoût profond et justifié qu'il avait pour les endroits où elle avait grandit, elle refusait de lui imposer cela.
« Ils accepteront jamais une goule. » Un seul abri accepterait sûrement les goules mais elle avait peur qu'ils la refusent elle après la dernière fois. Ils pourraient sûrement la soignée mais arriveront-ils à temps.
La goule vu le visage de sa compagne changer, il comprit qu'elle avait un endroit en tête mais qu'elle refuserait de parler, cependant l'homme était prêt à tout, peu importe les sacrifices. Tout ce qui importait en cet instant était de remettre sur pied sa femme. Il entreprit donc de lui faire du chantage, si elle ne divulguait pas l'information qu'elle détenait et qui pouvait potentiellement sauvé sa vie, il se tuerait là maintenant. Il n'en fallu pas plus pour que Lucy ne parle de l'abri 4 et de son emplacement, elle mis l'itinéraire sur son PipBoy et en moins de deux, l'homme l'a pris dans ses bras pour entamer leur voyage. Encore une chance, l'endroit n'était qu'à quelques kilomètres, ils seraient arrivé avant la fin de la journée et la goule l'espérait, à temps pour sauver son épouse.
Lucy n'arrêtait pas de sombrer tout au long du trajet, vacillant entre courte période de conscience et longue période de sommeil. Son état inquiétait de plus en plus son mari, si ce foutu abri 4 ne la sauvait pas, il ferait un massacre avant d'en finir. Rien ne comptait plus que sa femme et sa fille, malheureusement ne sachant pas si cette dernière était en vie ou non, l'homme ne pense pas pouvoir tenir le coup sans le soutien de sa Lucy. Il était même prêt à remettre les pieds dans cette horreur d'abri 4, celui dans lequel il avait tourné une des nombreuses pubs Vault-Tec. Mais il s'en fichait pas mal tant que sa femme vivait, il irait même jusqu'à faire la paix avec Henry si c'était ce qu'elle désirait.
La nuit commençait à tombée quand il le vit enfin, l'abri 4 était là devant ses yeux. Même si la fatigue se faisait grandement sentir, l'état de Lucy empirant, la goule se dirigea vers la porte en courant. Il vit un intercom sur lequel il se jeta, appuyant sur tout les boutons jusqu'à recevoir une réponse.
« Bonjour, que pouvons-nous faire pour vous, cher monsieur ? » Furent les mots qu'il entendit à travers les grésillement de l'appareil.
« Ma femme... Ma femme est gravement malade, s'il vous plaît sauvez-là. »
« Votre... femme ? »
« Oui ! Je sais bien que je suis entièrement bouffé par les radiations mais ça n'empêche que c'est ma femme et qu'on a pas toute la soirée ! C'est une foutue habitante d'abri comme vous donc vous me ferez le plaisir de bouger votre cul pour venir la chercher et la soignée ou je vous jure que je trouve un moyen d'ouvrir votre foutu porte et de vous défoncer les uns après les autres. »
Merde... Il avait sûrement été trop loin et jamais ils ne viendraient leur ouvrir la porte mais Cooper était désespéré, Lucy devenait de plus en plus pâle et sa respiration plus laborieuse. Sans parler de son foutu appareil qui n'arrêtait pas de s'emballer. Il fut couper dans ses pensées par l'ouverture de l'immense porte, plusieurs habitants d'abri sortirent et avancèrent vers eux, ils portaient tous une combinaison blanche, sûrement pour se protéger de la maladie que pouvait avoir la femme. Ils lui prirent Lucy des bras, la goule ne savait pas si il pouvait les suivre mais d'un autre côté il refusait de quitter sa petite tueuse, ils s'étaient promis de toujours être là l'un pour l'autre, donc tant pis il suivrait Lucy même jusqu'en enfer.
Les habitants de l'abri les avaient mis dans une chambre de décontamination et les médecins s'occupaient de soigner Lucy donc la goule se fichait pas mal de l'endroit où ils les logeaient tant que sa femme était soignée.
« C'est pas votre femme pas vrai. » La voix qui avait dit ça provenait de la femme brune qui l'observait depuis plusieurs minutes à la fenêtre.
« Y a plus vraiment de certificat de mariage à notre époque mais c'est bien ma femme. »
« Elle a débarquer il y a plusieurs semaines avec un autre homme en armure qui ne vous ressemble pas du tout. Ils avaient l'air assez proches vu le bordel que ce dernier à déclencher quand il a cru qu'on s'en prenait à elle donc permettez moi de douter vos propos. »
« Ce débile n'était pas fait pour être avec elle. Il lui attirait que des problèmes, de plus il aimait la situation qu'elle pouvait lui apporter, pas qui elle est réellement. Depuis elle voyage avec moi et on est ensemble. On recherche notre famille. Vous la soignez et puis pouf on s'en va et ce sera comme si on avait jamais été là. On aura même pas besoin d'aller autre part que cette salle. » Cooper commençait a en avoir marre de devoir justifier les sentiments qu'il ressentait pour la jeune femme. Chaque foutue personne qu'ils croisaient leur balançait une remarque sur leur mariage. C'était énervant.
« Malheureusement après qu'elle sera soignée, le superviseur aimerait l’interroger donc vous serez avec nous encore un moment. »
Après ces mots, la femme partie sans attendre de réponse. Cooper se dirigea vers sa femme, la colère toujours aussi présente. Il lui prit la main avant de s'assoir à ces côtés. Elle reprenait des couleurs, elle était tirer d'affaire et c'était tout ce qui importait pour l'homme. Malgré les siècles passés et le fait qu'il pensait cette partie de lui enfuit au plus loin, Lucy avait su faire ressortir son rôle de mari qu'il avait cru perdu à jamais. La jeune femme méritait un mari présent et aimant, peu importe les épreuves et la goule ferait en sorte qu'il le soit. Il déposa un baiser sur son front avant de coucher sa tête a côté de la sienne pour observer sa bien-aimée et guetter son réveil. Lucy était vivante, elle allait aller mieux et il ferait en qu'elle le reste longtemps.
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maaarine · 9 months ago
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Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
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pia-writes-things · 7 months ago
Note
Lait de chèvre et sentiments !!! 🥛🐐
Merciiii !
Je pense que vu le titre, c'est assez évident, mais c'est un OS Kaamelott ! C'était censé être une conversation entre Viviane et Guenièvre post KV1 à propos d'Arthur et Lancelot, et ça devait être du hurt/comfort. J'ai jamais réussi à le finir, parce que je n'arrivais pas à trouver une conclusion émotionnellement satisfaisante. Je crois que je me suis coincée dans une impasse, et je n'arrive plus à en sortir :|
Et voilà un petit extrait :
"Guenièvre hocha la tête doucement. Elle avait elle-même une certaine nostalgie pour cette époque où elle n’était pas Reine, pas mariée à l’Élu des Dieux. Juste une petite princesse picte qui jouait dans la neige avec son frère.
-Il a vraiment si peu changé que ça Arthur ?
-Oh non, il a changé, dit Viviane en secouant la tête. Il n’est plus aussi fragile qu’avant, plus aussi naïf aussi. Mais il reste toujours aussi têtu. Ça a toujours été un petit garçon qui savait ce qu’il voulait. Et qui faisait tout pour y arriver. Il s’arrêtait rarement après un refus, cherchant toujours la faille dans la volonté de son adversaire. Et il était aussi déjà très râleur, toujours à chercher la petite bête. Enfin, vous voyez quoi, Arthur, finit Viviane avec un petit sourire.
Guenièvre hocha la tête, pensive. De toutes les années où elle avait connu Arthur et son entourage, elle n’avait jamais entendu quelqu’un parler d’Arthur aussi tendrement. À l’exception de Merlin. Cela lui faisait bizarre, de découvrir qu’Arthur avait lui aussi eu des figures parentales tendres dans son enfance. Les critiques incessantes d’Ygerne semblaient bien loin.
-Et Lancelot ? Il a beaucoup changé lui ?
Viviane fixa sa tasse sans répondre. Parce qu’elle ne savait pas quoi répondre. Lancelot avait-il changé ? Elle aurait aimé dire que oui. Mais était-ce vrai ? Sa propre culpabilité et son attachement pour le chevalier errant l’empêchait d’avoir un avis objectif sur la question.
-Pardon, je voulais pas vous blesser, dit Guenièvre en remarquant le trouble de la rouquine. Je suis allée trop loin, je m’excuse.
-Non, non, vous inquiétez pas. C’est juste que je sais pas, pour être honnête. Et j’ai pas vraiment eu très envie d’y penser dernièrement.
-Je comprends. Je suis désolée. Je voulais pas vous y faire penser.
-C’est pas grave. Je comprends votre curiosité. Après tout, j’ai élevé les deux hommes de votre vie, sourit Viviane.
Mais sa blague n’eut pas l’effet escompté. Guenièvre détourna le regard, tout son corps en tension.
-Pardon. J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?
-C’est juste que… Je ne considère plus vraiment Lancelot comme l’homme de ma vie, dit Guenièvre d’une voix blanche.
Viviane soupira et se tapa mentalement. Même si elle n’arrivait pas à voir le mal en Lancelot, cela n’effaçait pas le mal qu’il avait pu faire autour de lui.
-Je suis désolée. Je n’aurai pas dû dire ça.
Guenièvre regarda Viviane de nouveau.
-C’est pas grave. Après tout, je suis doublement votre belle-fille à ce compte-là, il faut bien que vous soyez un peu vache avec moi, dit-elle en souriant."
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pourprecry · 2 years ago
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Je sais pas pourquoi mais j’ai un réel souci avec « l’amitié » en général je crois. Les gens finissent par me décevoir ou à moins est-ce moi qui les déçois aussi.
Jeudi dernier, je me suis embrouillée, mais assez violemment avec un de mes meilleurs potes. Il m’a reproché de n’avoir pas répondu à ses appels dans la nuit de mercredi à jeudi. En fait, il était sorti en soirée mercredi soir, moi j’avais la flemme donc je suis restée chez moi. Je me suis couchée vers 23h30-minuit, et quand je me couche je met systématiquement mon portable sur mode « ne pas déranger » comme ça c’est le silence complet. Donc, il m’a appelé vers 2h30 du matin (2h20 soyons précis) sur insta et fb, et bien sûr je n’ai pas décroché, puisque je dormais et que mon tel n’a pas sonné. Et du coup, le lendemain matin je lui envoie des msg comme d’hab (il répond pas) et a 14h je réalise que peut être il lui est arrivé un truc, donc je lui demande si tout va bien, et là il me dit que hier soir il avait vraiment besoin de moi, qu’il est sur que j’ai pas voulu décroché, que je ne suis pas une vrai amie, qu’il sait qu’il ne pourra pas compter sur moi a l’avenir et pour finir tout ça, qu’il donnera la monnaie de ce que je donne à notre amitié c’est à dire plus grand chose. Dites vous, à cet instant la, j’étais au taf, je me suis arrêtée pour lui écrire un gros pavet comme quoi il comprenait pas, mais je l’aurai aidé a 6h qd je me serai levée mais je dors la nuit moi. Du coup, il n’a rien voulu comprendre. Je l’ai bloqué de partout (merci mon côté impulsif toujours).
Et le soir, j’ai demandé du coup a K un pote en commun, qui habite pas loin de chez moi aussi, si il l’avait appelé et si il savait ce qui lui était arrivé surtout. Mais non, il n’a pas eu de news.
J’ai beaucoup réfléchis sur cette amitié, et je me demande si je dois essayée de l’appeler pour s’expliquer (je l’ai débloqué ajd) pour arranger un peu les choses. Mais, je sais que cette amitié est parti direct sur de mauvaises bases, en gros il a tjrs voulu sortir avec moi et attendait juste que R parte a l’étranger pour le faire, sauf que ça ne s’est pas passé comme ça, vu que je le vois juste comme un très bon ami de mon côté. Du coup, je ne sais pas si c’est ce fait là qui est ressorti exacerbé dans les reproches qu’il m’a fait, mais ils étaient remplis de culpabilité et ça m’a profondément choquée et blessée la manière dont il m’a parlé.
Qu’est ce que vous feriez les amis vous?
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bonheurportatif · 2 years ago
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Quelques trucs bien en novembre
1er novembre Recevoir un mail amical, sous la forme d'un strip de Tom Gauld Ramer sans se casser le dos Découvrir une revue québécoise de recherche en littérature
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2 novembre Déjeuner sur le pouce, des restes du frigo Découvrir avec intérêt le travail de Jérôme Game, parmi d'autres trucs de poésie sonore Ne pas voir passer l'heure au téléphone avec la responsable d'un refuge équin 3 novembre Raccourcir efficacement la procédure de validation d'un article Avoir lu un Goncourt avant qu'il ne soit primé Dîner d'une soupe de cèpes 4 novembre Se réveiller en pleine tempête Être à jour de son travail pour au moins un après-midi Regarder un film avec la famille au complet 5 novembre Couper une betterave cuite en petits cubes Sauvegarder enfin le contenu de son vieil ordi sur un disque dur externe En profiter pour se replonger dans plusieurs années de photos
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6 novembre Aider sa fille à boucler fissa son devoir de géométrie Lire dans l'après-midi le livre qui attendait depuis un an sous son lit Retrouver facilement sur internet le titre qui nous est revenu en mémoire durant la lecture 7 novembre Après les avoir longuement cherchés, et redouté leur disparition, retrouver deux bouquins, à leur place, dans la bibliothèque Ranger, et réaménager un peu le bureau Saupoudrer sa soupe de potimarron de châtaignes écrasées 8 novembre Ouvrir un restaurant à oiseaux et rencontrer un grand succès : les clients se battent Retrouver l'infraordinaire Acheter trois livres, en commander deux, s'en faire offrir deux
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9 novembre Passer par la plage pour rentrer Apprendre la différence entre "raven" et "crow" Limiter sa consultation des sites d'info 10 novembre Rester plus longtemps qu'à l'accoutumée sous une douche plus chaude qu'à l'accoutumée Ranger mon placard d'atelier Décliner avec politesse mais résolution une proposition de collaboration 11 novembre Tomber sur une mise en abîme de ces 3 trucs bien dans un roman Faire des pizzas maison, pâtes comprises Finir un deuxième roman avant d'aller se coucher 12 novembre Prendre un café avec une amie perdue de vue depuis des années et croisée au marché Sourire aux "bains sulfureux" gravés dans la pierre Lire l'inspirant journal d'Erica Von Horn 13 novembre Se réveiller au terme d'une quasi grasse mat', à 9h passées Faire une promenade sur la plage Remplacer la pile de la pendule
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14 novembre Se réveiller une minute avant le réveil et l'empêcher de nuire Liquider rapidement le courrier Voir un arc-en-ciel 15 novembre Entendre la pluie sur le toit Renouveler sa pile de livres à lire à la médiathèque Passer par la mer et tomber sur une procession de promeneurs de chiens lumineux 16 novembre Réécouter Vaduz de Bernard Heidsieck Préparer (balayer, dépoussiérer) le poêle en prévision d'un feu Faire la première flambée de l'automne 17 novembre Voir un mini-arc-en-ciel très furtif dans la tempête Animer sans réelle préparation une très agréable séance d'atelier Marcher sous un ciel gris menaçant et s'abriter quelques secondes avant l'averse
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18 novembre S'accorder quelques minutes supplémentaires au lit Recevoir Le Matricule des anges avec Thomas Vinau Boucler (enfin ?) un boulot qui traîne depuis deux mois 19 novembre Se régaler de la lecture - et de la découverte - de Guy Bennett Savourer par avance la triple bonne pioche effectuée chez le libraire Lire devant un feu, tandis que le reste de la famille joue 20 novembre Fêter un anniversaire avec tous les enfants Bien réussir les tartines au fromage, fondu, pas trop grillé Regarder Blow Up pour la première fois 21 novembre Marcher sur la plage et contre le vent avec sa chérie Manger des saloperies, avec une culpabilité gourmande D'un souffle, ranimer le feu 22 novembre Voir un très bel arc-en-ciel pile dans l'axe de sa rue Boucler son travail à 9h30 Recevoir la confirmation pour la location des vacances
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23 novembre Trouver une place où il n'y en a habituellement jamais Acheter un mixeur à bras qui fait aussi batteur à œufs Manger des oursons à la guimauve avec un nutriscore E comme "Excellent" 24 novembre Franchir in extremis le passage à niveau avant qu'il ne se mette à sonner Tester des haïkucottes avec les étudiantes, mélange de haïkus écrits sur des salières en papier Se faire son cadeau de Noël 25 novembre Arriver à nouer la cravate de sa fille Recevoir quelques mails amicaux Arriver sur l'île à la fois dans la brume et sous le soleil 26 novembre Lire presque toute la journée Décrasser sans forcer la vitre du poêle Démarrer facilement le feu 27 novembre Réviser son espagnol Effectuer une réparation de fortune dans le plafond crevé de sa fille Conduire dans les marais, de nuit, à petite vitesse, sous une pluie battante 28 novembre Balayer l'humeur du jour à la tombée de la nuit Préparer deux chocolats chauds Tester les rapports entre les temps de cuisson et le moelleux des cookies maison
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29 novembre Découvrir sa playlist 2022, basée sur ses statistiques d'écoute Céder à la fatigue Sortir son gros pull islandais 30 novembre Allumer le chauffage un mois et demi plus tard que l'an dernier Reporter tout travail ce matin Déclarer un total de piges confortable
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. > Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril. > Quelques trucs bien en mai. > Quelques trucs bien en juin. > Quelques trucs bien en juillet. > Quelques trucs bien en août. > Quelques trucs bien en septembre. > Quelques trucs bien en octobre.
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thomariviere · 2 years ago
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Eureka. La taupe a gagné. Elle jaillit de son terrier toute degueulasse comme un jack in the box et elle s’écrit Z’AI TRIOMPHÉ. Comme le lézard, nous sortons du tombeau. Lui et moi. À la différence du lézard nous ça nous a pris presque un mois. Mais on y est arrivé. Gare à Sein!!!
Nous? Ben pardi Riri le MackeyMac et moi, l’TaupTop. Et lui? la tomate en vers de terre? il nous suit de près. Il arrive. Il était juste derrière moi il y a qqs instants. Il passe toujours en dernier. Une sorte d’éthique de vie. Il a dû s’arrêter pour admirer une jolie racine totalement incongrue ou pour tirer sur sa pipe de hobbit. L’est comme ça l’Thoth.
N’empêche. C’est grâce à sa putain de persévérance qu’on est là. Et ptet un peu à Jack B (comme l’alcool). Quelle bouche! Je suis convaincue que des galaxies entières sont nées dans cette bouche. Définitivement, Jack B rend la galaxie largement plus douce et infiniment plus salace.
Somme mournings are just … MARVELLOOOOUIS.
PS 20/04:
Rectificatif: notre amie, la taupe a crié victoire un peu vite. Nous puions un peu beaucoup trop vachement en sortant de nos galeries brunâtres. La résurrection devait être moins réussie que l’érection. Et l’ordinateur semble avoir encore augmenté son niveau de bouderie. Mais comme la thoma neuve et neutre qui a jailli du martyr melodrolmatique est une force de persévérance et d’opiniâtreté iel s’est ré-attelée à la tâche et espère avoir de bonnes nouvelles rapidement.
PS 21/04: fuckin comp. Une nouvelle nuit à batailler avec les démons technilojurassiques! Qq1 pourrait-il rappeler aux objets aussi évolués soient-ils qu’ils sont là pour nous servir. Non l’inverse. ……… Du coup journée de dépit et de frustration, ascendants exponentiellement. Failli laisser MaxiMax me tailler un costard pour l’hiver (c’est bien l’expression consacrée, non? 😳🤷🏻‍♂️) mais j’ai eu la présence d’esprit de ressortir les docs paraphés stipulant les règles de non agression auxquelles nous avons tous (nous les belligérants ataviques des doutes de la honte et du reproche de thomassie centrale) souscrits et que nous avons signé avec émotion et fierté. Puis ce furent les effusions lacrimonieuses et une procession d’allocutions engoncées. Pour finir par un déferlement de promesses embuées et bien trop irréalistes pour pouvoir être sérieuses. Ainsi s’ouvre à nous un avenir apaisé (après ces décennies d’obscurité maintenue conscienceusement par la haine, le dégoût la culpabilité les conflits les attaques des meurtres assassinats attentas, après la violence systémique que nous avons tous exercés les uns sur les autres). Mais le calme et l’entraide sont des disciplines entièrement neuves où j’ai tout à apprendre!
Pour en revenir donc au ronchon…
Du coup, MxM a grommelé 3 sec. Puis son visage est devenu doux et empathique (sic!!!) Et il m’a simplement expliqué pourquoi il était un peu déçu de moi today. J’ai rétorqué que je le comprenais. Parfaitement. Que je pensais similairement. Je lui ai rappelé aussi que j’étais bien … malade (même si j’aime le boost que je ressens quand je me proclame guérie, que c’est fini, je vais mieux, c’est enfin derrière. En tout cas le plus dur est passé)(et je ne suis pas tout à fait sûr de pourquoi ça me semble si important de pouvoir me proclamer guérie, mais je ne cesse de tomber dans ce panneau avant de réaliser que j’ai été un peu hâtif: c’est assez croustillant comme j’ai beaucoup trop tardé avant de m’admettre dépressif et la célérité avec laquelle je me proclame guéri). Si ce n’était pas le cas je n’aurais été pas arrêté pour plus d’un mois supplémentaire sans avoir à dire quoi que ce soit. Dr P voit sans doute largement mieux que moi que mes discours volontaristes sont un sacré trompe l’heure qui ne dupe pas grand monde. Je suis encore loin de la rémission. Bref. MxM (réf au moustachu rigide hein pas au grand Reuf)(Non pas qu’aucun des deux ne me lira (d’ailleurs t, cherche pas, tu es le seul qui te lises). Mais vous… les myriades et les kyrielles de spectateurs —imaginaires— qui suivez tremblants et happés mes exploits et mes rocamboles, bouche entrouverte avec un morceau de popcorn à demi mâchonné à la commissure des lèvres, je vous dois bien un peu de clarté vu le nombre de fois où je me délecte de vous semer dans les plus épaisses brumes- labyrinthes qui soient, filtre blanchâtre et dont la facture n’est pas sans rappeler l’esthétisme si puissant des films porno soft italiens des années 70s. Oui j’aime à semer des mystères dans mon sillages. Et quels mystères subtils et né capitaux! L’insondable énigme de la lettre subtilisée à l’institution alphabétique. Des escadres de métaphores des plus fines (disons que leur légèreté hésite entre celle d’un éléphant et celle d’un rhinocéros), métaphores, dirons-nous litotement, puissamment sabotées!)
J’ai aussi posé très platement la question. MiniMino veut du plaisir (il réclame un ‘moment’ de plaisir quotidien, malheureusement pour moi il a une définition très élastique de quotidien). Ne voulant plus le malmener le braquer le torturer le combattre je lui accorde. Je lui rappelle que nous devons marcher main dans la main tous enseigne. Le sourire du sadu devient si large qu’il dépasse de son visage tandis que MaxiMax nous tourne le dos en maugréant. Ok ok mais pour l’amour de Dieu faites vites. Je descend du véhicule. Généralement j’ai à peine le temps de faire le tour et De le jeter sur le siège passager que tiMin détale à 200km/h (qui diantre lui a montré les fast and furious).
Mais il a beau faire, il a beau s’acharner, le plaisir ne vient pas. Ne vient pas ne vient pas Ne VIENT P A S . Il fait tout comme il faut il reproduit la recette idéale avec tous les ingrédients et toutes les épices. Et ça ne vient pas. Parfois ça approche. Ça glisse sensuellement avec la mollesse moite de son corps écaillé sur sa peau. Presque là presque qu’accessible. Et ça repart. Ça s’évade. Ça déjà disparu et impossible de suivre sa trace. Ce jeu dure 1h 2h 3h 5h et nous désespérons. Lui parce qu’il n’a pas été nourri moi car il s’est accaparé toute notre journée. Et qu’au fur et à mesure des heures il se sent de plus en plus bête fragile petit isolé non aimé. MxM jubile en chantonnant je l’avais bien dit je l’avais bien dit. Et de mon côté, je ne sais plus que faire.
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ft-slk-blog · 1 month ago
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https://www.fanfiction.net/s/14399227/1/39
NOTE DE L'AUTEUR : premier vrai BKDK que j'écris et qu'est ce que s'était un réel plaisir. Bon, un hurt/comfort sans doute bancale mais je suis beaucoup trop fière de l'avoir terminer (genre une nuit d'insomnie de pure labeur) avec presque 3000 mots où j'explore le point de vue d'Izuku dans un plus où loins long OS.
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RÉSUMÉ : Izuku Midorya qui se réveille avec l'impression de ne plus jamais pouvoir affronter le monde.
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Izuku Midoriya se réveilla à la voix de son héros préféré. Un son qui, d'ordinaire, lui était fort agréable et qui suffisait à le motiver pour se lever et affronter la journée de cours auquel il se devait d'assister.
Mais pas aujourd'hui.
Aujourd'hui, les encouragements qu'All Might, lancer à travers le haut-parleur de son téléphone, ne lui procurait rien de plus qu'une migraine fatiguée, mais surtout l'envie de se terrer sous sa couette, et ne plus jamais en ressortir pour le reste de la journée après avoir, au préalable, pété son portable contre le mur pour pouvoir faire taire une bonne fois pour toutes les paroles répétitif de son mentor.
Résigné, pourtant, de devoir se rendre en classe, affronter une journée chargée, fatigué d'avance devant les montagnes de choses qui lui semblaient impossible à terminer entre, et les entraînements, et les devoirs, et les confrontations sociales, Izuku chercha à tâtant l'objet de ses malheurs et mis fin aux supplices qu'il lui procurait. Il ne put, cependant, empêcher une once de culpabilité de le faire se tasser encore plus sous sa couette face à cette pensée.
C'est vrai quoi, après tout Izuku était un apprenti héros ! Rêve qu'il chérissait depuis sa plus tendre enfance, et qu'il s'appliquait à réaliser de jour en jour. En plus, All Might lui a offert cette chance, celle que l'on ne reçoit qu'une seule fois dans une vie. Il lui avait offert la possibilité de poursuivre ce qu'il a toujours voulu accomplir : venir en aide aux autres, avec le sourire, celui de l'espoir, de la sécurité, et quelque part, de la satisfaction d'avoir accompli quelque chose de beaucoup plus grand que soit. All Might lui a ouvert les portes, en grand, très grand même, vers un avenir qui lui semblait jusqu'alors inaccessible, alors bien sûr qu'il méritait de la part d'Izuku bien plus que des remarques peut flatteuses d'un putain d'adolescent en pleine crise existentielle et qui n'avait même pas les jugeotes pour se lever de son lit ! Qu'il pouvait être pathétique, bon sang !
Izuku sursauta et se rendit vite compte qu'il rêvassait depuis un petit bout de temps lorsqu'il entendit une deuxième vague d'encouragement de la part d'All Might. À nouveau, il cliqua sur une touche de l'écran de son téléphone pour éteindre le réveil, et décida cette fois de se lever pour de bons. Bien que maussade et sans grande conviction, il rejeta sa couette sur le côté, se leva puis pris la direction de la salle de bain d'un pas mécanique.
«. Putain de nerd, regarde où tu mets tes putain de pieds ! »
C'était sur, Izuku allait définitivement finir raide mort par une crise cardiaque avant que la journée n'avait réellement pu commencer et il n'aurait même pas encore pris sa dose de caféine ! Saloperie ! Son regard encore embrouillé de sommeil croisa son mal celui carmin de ce qu'il reconnue être son ami d'enfance, expression du visage déformé, même d'aussi bon matin, par ses sourcils froncé d'une moue réprobatrice. Izuku, toujours l'esprit en vrac mis un temps considérable à remettre véritablement ses idées en place, le visage grimaçant, prêt à s'excuser.
Seulement, Katchan le scruta durant le temps d'un flottement qu'Izuku eu à peine conscience d'avoir provoqué, comme à la recherche d'une quelconque faille, un plie soucieux entre ses sourcils blondes à peine perceptible. Plie qui d'ordinaire était visible pour Izuku qui le connaissait si bien, mais qui, cette fois-là, lui passait loin au dessus de la tête. Katchan ne laissa donc pas le temps à Izuku, de toute façon trop perdu, à dix mille lieux du lycée, de prononcer quoi que ce soit pour reprendre son chemin dans un « tchk ! » un brins agacer et de disparaitre d'un pas moins colérique que d'habitude, mais colérique quand même, au détour d'un couloir.
Izuku semblait presque soulager de le voir s'en aller, mais plus soucieux de son futur retard s'il ne se dépêchai pas plus vite à se préparer, il continua sa traversée jusqu'à la salle d'eau commune et accueilli avec grâce de ne plus avoir à tombé sur l'un de ses camarades de classe, peu enclin pour l'instant de s'encombrer d'une autre présence quelquonque. Presque soulager, donc, puisque maintenant il subsistait en lui cette sensation d'inachevé, comme s'il avait oublié un détail super important. Il y pensera plus tard. Izuku acciona le robinet et un jets dos glacer le menaça assez vite de claquer des dents.
******
« Ochaco ! Je... Pardon ! Je ne voulais pas... Est ce que tu a mal ? Il faut te ramener à Recovery Girls ! Je suis vraiment désolé, je... Je ne sais pas ce qu'il m'a pris. J'étai- »
« C'est bon, Midoryia, ça ne sert à rien de paniquer, on va l'emmener à l'infirmerie. Toi, tu n'as rien ? »
« Non... Mais- »
« T'occupes. Ida, Todoroki, vous vous occupez d'Uraraka. Je vous rejoins. »
« Oui professeur ! »
Penaud, Izuku regarda ses amis traversée le terrain d'entrainement jusqu'à rejoindre l'enceinte du bâtiment, Ochaco lui lançant à la volée un sourire qui se voulait réconfortant. Mais il eux tout l'effet inverse. Izuku s'en voulu que d'avantage d'avoir pue blesser son amie, de manière aussi stupide qui plus est. La culpabilité s'enfonça dans son estomac jusqu'à le faire déglutir, ramenant par automatisme son doigt à la bouche pour en ronger les ongles, la tête baissée.
« Midoryia. »
Izuku avait, de façon pitoyable, perdu le contrôle sur son alter, donnant ainsi par inadvertance une raclée de renom à son amie au pouvoir de gravité, son revêtement intégral à un pourcentage supérieur à ce que le jeune apprentie avait l'habite d'encaisser. Il l'avait envoyé s'encastrer violement  contre un bâtiment en ruine alors qu'ils s'affrontaient pour un exercice où il jouait le vilain à attraper et elle le héros. Ça avait trop vite déraper avant qu'Izuku ne prenne réellement conscience de la situation, l'esprit encore sous le choc qui parvenait difficilement atteindre son cerveaux qui avait, lui, décidé de dysfonctionné comme de la bouillie de merde.
Et quelle merde, bon sang ! Il était trop dans les nuages, trop à côté de la plaque, trop dans sa tête et pas suffisamment ancré dans le bas monde qui semblait n'attendre que ça de lui, qu'il revienne ! Mais aujourd'hui, plus que les autres jours il était complètement déglingué. À l'ouest. Et Ochaco était envoyé à l'infirmerie pour une raison aussi stupide. Foutrement stupide en plus !
« Midoryia ! »
Izuku finit par percevoir la voix rauque de son professeur monter à peine plus haut qu'à l'accoutumée. Quand il le vit enfin, il fut frapper par le regard perçant que l'adulte lui lançait, le clouant dans une appréhension qui le paralysa sur place. L'adulte le détailla un instant, semblant étudier la meilleure démarche à suivre pour sans aucun doute le sanctionné, et c'est lorsqu'il lâcha un soupir résigné qu'Izuku remarqua vraiment le léger éclat d'inquiétude dans ses yeux cerné et injecté de sang dû au manque de sommeil. Bien que tout de même pris par la surprise, - enfin... son professeur devait probablement s'inquiéter pour sa camarade de classe envoyé à l'infirmerie - Izuku resta silencieux, peu soucieux d'aggraver encore plus son cas, puisqu'il lui était certain que toute cette situation n'allait pas finir classé sans suite.
« Rappels toi que tu te trouve en filière héroïque. C'est tout à fait normal de finir envoyé à l'infirmerie. Je ne dis pas que le fait que tu perde le contrôle de ton alter soit une bonne choses, mais je compte sur toi pour te surpasser la prochaine fois et en tirer une leçon. »
« Mais, professeur Aizawa, je- »
« À moins que tu ne veuille réellement que je décide de te sanctionné par un renvoie temporaire, auquel cas je devrais faire de même avec tout tes autres camarades de classe puisque, de toute évidence, le risque zéro à un entraînement de futurs héros n'existe pas, je vais te laissé méditer et réfléchir aux points que tu dois améliorer pour progresser dans ton apprentissage. »
Sous le regard aiguiser et le ton sans appel que lui adressa son professeur principal, bien qu'éternellement une lichette mornes, Izuku, se sentant déjà mieux, ce poids dans son estomac toujours foutrement présent, il ocha frénétiquement la tête, le message étant passé. Il ne voulait surtout pas provoquer un renvoie, bien que temporaire, général de la classe. Son estomac se noua rien qu'à cette pensée
« Bien. »
*********
Izuku ne comprenait vraiment pas pourquoi il se sentait maussade, de mauvaise humeur, peu propice à des activités qui, d'ordinaire, lui faisait du bien. À peine il s'était senti fébrile d'excitation à l'annonce d'un nouveau documentaire sur All Might et sa récente retraire qui revenait sur les évènements de Kamino. Si ce n'était pas pue la merde ça ! Il avait juste une envie, à lui faire peur, de ne rien faire, de rester allongée sur son lit et contempler de toutes les façons possibles, et inimaginable, le plafond de sa chambre. Une activité fort contre productif et qui le ralentissait considérablement de son objectif. Mais il n'arrivait juste pas à faire autrement, de quoi le laisser totalement agacer envers sa propre personne. Une boule de ressentiment inexplicable s'était installé dans le fond de sa forge et lui faisait rageusement picoter le coin des yeux. Sérieux ! Il se sentait juste trop minable de ne rien faire, de rester là, d'être autant... Autant dans un putain de mauvais jour.
Un contrecoup de tout ce travail acharné, sûrement, à rester éveillé jusqu'à pas d'heure pour se faire engueuler par Katchan parce qu'il n'était pas foutue de terminer ses devoirs plus rapidement, à s'entraîner comme un fou furieux pour rattraper l'écart qui le maintenait aussi éloigner de ses autres camarades de classe, ayant chacun un alter qu'ils avaient su maîtriser depuis bien longtemps avant lui, à supporter le poids des responsabilités qu'être le porteur, l'héritier du One For All impliquait, les enjeux et les dangers allant avec, surtout depuis que le symbole de la paix avait déposé sa retraite, à toujours, toujours, toujours, toujours encore, faire en sorte de mettre à bien ses principes de futur héros, être disponible pour aider ses camarades, son entourage, les aider à avancer, à faire mieux, à toujours aller plus loin...
Il était pathétique, vraiment. Izuku se sentait faible, démuni, de ne pas pouvoir continuer et poursuivre ce qui lui avait toujours sembler simple à faire. Ça devrait être une putain de routine ! Une habitude d'une simplicité presque insultante. Il se devait d'être meilleur, de braver les limites, parce qu'il était élèves à UA quoi !  Toujours Plus Ultra ! Alors pourquoi ? Pourquoi, aujourd'hui, il n'arrivait tout simplement pas à faire aussi simple que de bouger de ce foutue lit, allonger comme une larve à l'existence quasi pitoyable ? Il se sentait pitoyable. Il était terriblement pitoyable. Ça faisait peine à voir, franchement.
Et sa dérivation dans la journée face à Ochaco n'arrangeait en rien son état. Il avait clairement merder.
Toujours le regard river sur le plafond, les pensées en vrac, Izuku n'entendit pas les premiers coup contre sa porte, pas avant que celles-ci ne deviennent plus brutes, pressés. Il aurait presque pue sourire face aux martèlements caractéristique du manque de patience et de délicatesse de son amie d'enfance. Il aurait pu s'il n'était pas sur le point de fondre en larmes à nouveau. Il n'avait même pas remarqué avoir pleurer, bon sang ! Izuku s'empressa d'ailleurs d'essuyer ses joues, en espérant que sa détresse ne soit pas trop flagrante, et para rapidement un sourire avant que le blond explosif ne venait a décider qu'il prenait trop son temps pour venir l'ouvrir et ainsi lui permettre de venir lui explosé la porte à la figure, auquel cas Izuku se sentirai profondément embêter.
« J'arrive, Katchan, j'arrive. »
Même sa voix manquait d'enthousiasme, constata t-il amèrement.
« Grouille toi, le nerd, j'ai pas que ça à foutre me taper la discut' avec ta putain de porte ! » maugréa Katchan, prenant visiblement son mal en patience pour ne pas avoir à en venir employer les grands moyens.
Mais Izuku ne lui donna pas ce plaisir, ouvrant la porte à la volée en lui adressant un vulgaire sourire qui devait plus se rapprocher de la grimace au vue de l'expression dubitatif de l'explosif, pas enrouler pour un sous. Bien que Katchan étant Katchan, il avait toujours cet air énervé coller au visage avec les sourcils formant une seule et même ligne. Ce qui donnait parfois un mélange assez surprenant qu'Izuku trouva irrémédiablement adorable.
« Salut- »
Le blond n'attendit pas d'être invité pour se frayer un passage entre Izuku et la porte, connaissant de toute façon le chemin à prendre pour qu'il vienne demander de l'aide. Izuku se sentit au passage être tirer dans sa chambre par la taille, une main chaude de Katchan le tenant fermement pour qu'il ne puisse pas tomber, le faisant lacher un  minuscule cri de surprise qui lui traversa la trachée alors que la porte claqua derrière lui. Il sentit, pas la ensuite, son corps se faire jeter puis rebondir sur le lit dans un bruit étouffer de frottement de tissu, où il faillit avaler sa salive de travers.  Le corps plus chaud de Katchan l'enlaça  rapidement dans une étreinte aussi tendre que le blond en était capable, après que ce dernier vienne au préalable posé une assiette sur son bureau, sans doute de quoi le nourrir puisque Izuku n'avait pas sentit la force de dîner avec le reste de sa classe en revenant des cours, s'était directement diriger dans sa chambre pour broyé du noir.
Katchan coinça la tête d'Izuku dans le creux de son cou où le parfum de caramel brûlé et de gel douche au citron le frappa, et où des mèches blondes venaient lui chatouiller doucement le nez.
« Oh ! »
Il se passa quelques secondes durant lequel seul leurs respiration gouvernaient sur le silence de la quiétude que sa chambre leur offrait. Izuku ne l'avait pas remarqué, trop longtemps plonger dans sa propre tête pour y faire réellement attention, mais la pénombre avait gagné dans la pièce, ne laissant que les quelques lampadaires au dehors du dortoir et la lune pour les éclairé, alors même que la nuit remplaçait le jour. Il lâcha un long soupire, les yeux fermés, afin de savourer cette proximité fort en réconfort que Katchan lui offrait dans son étreinte. Il se sentait peut à peut apaiser, presque débarrassé de pensées parasites, retirant le voile qui semblait lui avoir obscurcit les sens toute la journée durant. Ce fut la voix un brins rauque de Katchan au dessus de sa tête, le museau sans doute enfouis dans sa chevelure sapin, qui venait troublé ce silence, arrachant à la volée quelques frissons à sa colonne vertébrale.
« Je te connais, sale nerd. » la voix de Katchan s'éleva à peine, soucieux de préserver cette bulle de tranquilité qui les enveloppait.
C'était sans doute vrais. Ils se connaissaient tout les deux depuis bien trop longtemps, chacun beaucoup trop présent dans la vie de l'autre pour que ce ne soit pas le cas. Et si Izuku savait déchiffrer chaques mimiques de ce visage brute, souvent déformer par les tiques nerveux, s'était forcément aussi le cas pour le blond qui pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert.
Une pensée qui arracha à Izuku un sourire bref.
Katchan ne disait rien de plus, n'avait pas besoin d'en dire plus. Ils se comprenait mieux que quiconque, même dans les silence les plus opaque.  Izuku ocha tout simplement la tête, heureux et reconnaissant de la présence de son amoureux. Katchan n'était peut être pas le plus doué en mots de réconfort, mais il bataillait si fort pour qu'Izuku puisse le comprendre par n'importe quel geste, par n'importe quel frémissement de ses muscles, parce que son corps entier était doué de paroles, un language corporel qu'Izuku avait prit la peine d'apprendre, au gré du temps. Et Izuku percevait ainsi tout les signes d'amour, d'affection que le blond avait à son égard, beaucoup plus parlant que n'importe quel  autre mots sur terre.
Un « Je suis putain de là aujourd'hui où tu te retrouve au plus bas, et je serai encore là lorsque le putain de bonheur te fera crever comme l'imbécile heureux que tu es. » communicatifs qui résonnait dans ce silence qui les entourait.
S'était peut être une mauvaise journée, comme il y en aura plein d'autres, un putain de jour sans, mais ce n'était pas grave, ils étaient maintenant deux pour l'affronter et toujours avancer. Et tant qu'ils seront ensemble, alors Izuku, même durant les moments de doutes, trouvera la force auprès de son univers, de son Katchan, pour se relever.
[2734 mots]
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christophe76460 · 2 months ago
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L’Éternel surveille toute la conduite d’un homme, il observe tout ce qu’il fait. Celui qui fait le mal sera pris à ses propres méfaits, il s’embarrasse dans le filet tissé par son propre péché. Il périra parce qu’il n’a pas su se discipliner, il s’égarera enivré par l’excès de sa folie (Proverbes 5:21-23).
Le mot folie est utilisé 21 fois dans les proverbes. L’adultère est une folie, et les conséquences tragiques que le maître de sagesse a énumérées devraient suffire pour qu’on l’évite comme la peste. Néanmoins, il donne encore d’autres bonnes raisons de s’abstenir d’un tel acte stupide.
D’abord, Dieu sait tout. Ceux qui jurent comme un charretier en prenant le nom de Dieu essaient de refroidir leur ardeur linguistique lorsqu’ils sont en présence d’une personnalité, un prêtre ou un pasteur en particulier. Mais il faut bien garder à l’esprit qu’où que je sois et quoi que je fasse, Dieu m’entend et me voit. Il examine à la loupe, pourrait-on dire, la conduite de chacun et mes fautes cachées sont devant lui. Je lis un passage :
Nulle créature n’échappe au regard de Dieu, tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte (Hébreux 4:13).
Celui qui méprise ses commandements, loin d’être libre, devient captif de ses vices. Ceux qui sont accrochés à la drogue ou à l’alcool sont bel et bien asservis et captifs de leurs travers ; et l’amour libre rend esclave du sexe. Outre la possibilité toujours omniprésente de contracter une maladie vénérienne, le libertinage peut avoir un effet dévastateur sur l’équilibre mental d’une personne. Les adultères doivent faire face à leur conscience, les sentiments de remords, de culpabilité, d’infidélité et de trahison.
Or le corps humain n’est pas équipé pour porter de tels fardeaux qui affaiblissent le système immunitaire, ce qui peut engendrer des maladies graves et même la mort. C’est sûr que les films édulcorés hollywoodiens ne montrent pas trop ces choses-là.
Et pour finir, sachez aussi que nous avons tous un rendez-vous avec le juge de toute la terre et ce jour vous et moi aurons des comptes à rendre, selon sa justice. Les hommes croient que leurs fautes n’ont pas d’importance, qu’elles passent inaperçues ou que Dieu n’en tient pas compte.
Grave erreur ! Tout est répertorié dans les cieux, même les plus petites entorses et chacun devra payer l’addition totale. C’est d’ailleurs pour cette raison que dans sa miséricorde, Dieu a envoyé son fils Jésus pour mourir sur la croix, afin d’effacer mon ardoise et la vôtre, si vous l’acceptez comme votre Sauveur.
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pensssine · 6 months ago
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Mamie
Bon Alors. Je viens de raccrocher avec mamie, 1h de téléphone, très efficace. au début un appel plutôt basique comme d'habitude, mais on a dévier sur LE sujet du moment. Pour qu'on finisse sur "embraye d'un coup sec" en gros, vas-y, ta colonne de négatif est plus longue que le positif. Tu peux pas rester par culpabilité ni par pitié. Ton choix est déjà fait. tu veux te rapprocher de ta famille, mais tu veux pas venir vivre ici avec chloe. le choix est fait. je suis pas la pour te dire quoi faire, c'est a toi de savoir ce que tu veux. je me fais pas de soucis pour toi, tu saura retomber sur tes pattes. Une maison ca se vend, et un pacs sa s'arrête. Il y aura toujours un plus malheureux que l'autre. Je lui ai dis que je me fais plus de soucis pour la rupture que pour le fait de savoir rebondir, comme quoi je trouverais bien un travail et un appart même si c'est pas de l'architecture d'intérieur. et c'est vrai, je pense pouvoir rebondir facilement. mais elle m'a dit, faut etre honnête anais, chloe doit le savoir aussi, honnête et ferme. y'en a toujours un qui souffre. donc voila, toute ma famille est au courant, maman et didier , mamie et arthur et même ma collègue le devine.
Demain on prend la route pour des "vacances" en road trip, 8jours ensemble. mamie me suggère d'en parler pendant, mais on sera dans sa famille, je veux pas quelle pleure la bas, et en remontant on peut finir mon tattoo avec sa copine, je veux pas annuler ca non plus. Je me rend compte a quel point c'est stupide toute ces choses, le fait que je veuille tout boucler au mieux avant de l'annoncer. Parce qu'inconsciemment je sent qu'une fois annoncer je vais devoir faire mon sac et partir, et si ca se passe a Lyon, j'ai l'air con, et sinon ba j'aurais jamais mon ordinateur aussi ni mon tattoo, etc . je me rend compte a quel point ca parait stupide en l'écrivant, mais c'est vraiment ce que je ressent en ce moment.
070524 16:25
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lamaisondort · 10 months ago
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Maman, 
Quand j’étais encore enfant, je voulais t’offrir des fleurs en permanence. Je les arrachais du jardin de mamie pour t’en faire des bouquets. Parfois tu m’adorais pour cela et parfois tu me disais qu’il ne fallait pas arracher les fleurs, que sinon, elles mourraient en quelques heures. 
Ces fleurs me faisaient penser à toi, toutes. Qu’elles soient roses, jaunes ou blanches. Que ce soit les magnolias où les roses proche de l’escalier du jardin. Je voulais te les foutre directement dans le cœur pour te réparer. 
Quand je suis devenue adolescente, je n’ai jamais arrêté de me comparer à ces fleurs. J’avais l’impression qu’elles poussaient dans mon ventre et qu’elles allaient me rendre invincible. En fait, c’est le manque que tu as causé en moi qui l’était, invincible. 
Quand j’avais sept ans, mon regard sur toi devait être celui d’une petite fille inquiète. J’agrippais toujours ton index, si fort. Je ne voulais jamais que tu enlèves ta main parce que, peut être qu’au fond de moi je savais que tu finirais par t’en aller. Je n’ose même pas imaginer la masse de culpabilité que tu devais porter. Aujourd’hui j’aimerais te crier : j’aurais pu te sauver.
Ta disparition a créé des traumatismes en moi et je t’en ai tellement voulu pour ça. Ces nuits avec les policiers, ces appels à n’en plus finir, les détectives, les chiens, les affiches de disparition dans Brest. J’avais 8 ans et je ne comprenais rien. 
J’ai voulu ignorer tout ça en grandissant, mais je sens que j’suis touchée. Que ma concentration et mes regards dans le vide sont une conséquence de ces années d’inquiétude. 
Je suis obligée d’écrire que ces années ont été terribles. Elles m’ont abîmé et ont biaisé toutes mes relations sociales mais je te le répète : j’aurais tellement voulu te sauver. 
Les questions sans réponses me frappent violemment ce soir parce qu’avec Sandie on aimerait ne jamais avoir à te déclarer comme morte. Maman, que t’est-il arrivé ?
Maman, maman…
Mes larmes ne s’arrêtent pas.
Je n’ai pas du tout envie de me présenter au tribunal demain. Je me sens comme cette petite fille qu’on emmène dans un endroit où elle ne veut pas aller. Mais comme une enfant, je m’adapterai sûrement une fois le moment passé. 
J’irais jouer,  sur ces montagnes que je me suis bâties. 
Maman, je t’aime. 
Si nous avons raison, embrasse papa. 
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yes-bernie-stuff · 1 year ago
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Lundi 11 septembre 2023
Je connais les pensées que je forme à votre égard, dit l’Éternel, pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance.
Jérémie 29. 11
Que le Dieu d’espérance vous remplisse de toute joie et paix en croyant.
Romains 15. 13
Le suicide en France
– Mikaël, onze ans, surpris dans un supermarché en train de voler un jeu, a été reconduit chez lui par les policiers. L’appartement est vide, car sa mère est encore à son travail. Plein de honte, il se jette du septième étage.
– Victoria, violentée par son beau-père, a avalé une trop forte dose de médicaments pour en finir avec une vie qui la dégoûte.
– “Je veux disparaître de ce monde que je ne comprends pas. Je vous aime.” Tel est le dernier message de Pierre, élève brillant, à ses parents…
Le suicide en France touche environ 200 000 personnes par an ; plus de 9 000 en meurent. C’est la première cause de mortalité chez les 25-34 ans…
Pourquoi ce mal de vivre chez des milliers de jeunes ? La vie est trop “nulle”, disent-ils, et il n’y a pas d’avenir.
Ils ne supportent plus les conflits, les séparations… Certains portent un lourd fardeau de culpabilité résultant d’un comportement immoral. Cette détresse est peut-être celle de ton meilleur ami ou… la tienne ?
Qui peut la comprendre ? Justement, Dieu est devenu homme en Jésus pour s’approcher de nous. Jésus, qui est Dieu, te connaît. Il veut te donner un avenir et une espérance. Parle-lui avec tes mots, dis-lui tout ce que tu ressens, ta tristesse, ta peur, tout ce qui te fait mal, ton désespoir. Il t’écoute, et veut que tu vives avec lui. “Venez à moi !” disait-il à ceux qui avaient le cœur lourd… Aujourd’hui, son appel et sa compassion sont toujours efficaces pour donner le repos et la paix de l’esprit à celui qui se confie en lui (Matthieu 11. 28-30).
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lueur-sd · 1 year ago
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Née d'un péché, Bridgess a grandi dans une famille qui ne voulait pas d'elle. Alors qu'elle n'avait que six ans, sa mère décéda dans un accident de voiture, du moins, c'est ce qu'on lui a toujours dit. Suite à sa mort, l'enfant a été remise à son père, qui avait déjà sa petite vie avec sa femme et une fille, plus âgée que Bridgess. Honteux d'avoir trompé sa femme, le père de B passait plus de temps au bureau que dans la maison familial. Cela lui permettait également de fermer les yeux sur les différentes violences que sa femme faisait subir à cette enfant non désirée. Enfermée dans sa chambre, affamée, rabaissée, la petite Bridgess s'est beaucoup renfermée sur elle-même. Deux ans après son arrivée dans le cocon familial qui, de l'extérieur, paraissait parfait, Bridgess fit la connaissance du frère de sa belle-mère dans des circonstances qui n'auraient jamais dues se produire. Alors qu'elle avait l'interdiction de sortir de sa chambre, l'homme finit par venir la voir, afin de faire sa connaissance. Elle avait huit ans. Elle avait huit ans la première fois qu'il la viola.
Difficile de ne pas finir traumatisée par des actes incestueux répétitifs sur plusieurs années. Dès qu'elle fêta ses seize ans, Bridgess ne mit pas longtemps avant de remplir les papiers pour s'émanciper. Sac de voyage en main, elle prit le premier bus pour quitter ses quartiers chics et entamer sa vie de jeune adulte. Avec l'argent que lui laissa son père (certainement par culpabilité), son tout premier achat fut sa guitare. Elle apprit à jouer de cet instrument seule, dans son nouvel appartement qu'elle put se payer grâce à un job de serveuse dans un bar miteux.
Le temps a passé depuis que la gamine de seize ans a trouvé sa liberté. Aujourd'hui, Bridgess est toujours serveuse dans ce même bar et joue plusieurs fois par semaine devant les ivrognes qui lui servent de public. Il est cependant difficile de rester stable lorsque l'on vit des traumatismes durant son enfance. Il y a quelques mois, après une énième tentative de suicide, Bridgess a été diagnostiquée malade du trouble borderline*. Droguée, alcoolique, boulimique, anorexique, dépressive... Voilà ce qu'est devenue Bridgess.
* Bridgess a différents troubles, dont celui borderline. Ce trouble se manifeste par plusieurs critères :
→ Instabilité émotionnelle (avec des crises pouvant durer de quelques minutes à quelques jours que ça soit de la panique, de l'irritabilité, un état dépressif) → Difficulté à gérer la colère, comportements suicidaires et d'automutilations → Impulsivité (menant à des comportements dangereux comme la consommation de drogues, d'alcool, des crises de boulimie etc.) → Peur de l'abandon (donc dépendance affective et réticence à s'engager) → Instabilités relationnelles (elle alterne entre idéalisation et dévalorisation des personnes donc d'une minute à l'autre elle peut aimer très fort puis ensuite détester la personne et se montrer méchante, elle va ensuite culpabiliser et se fondre en excuses) → Episodes dissociatifs où elle a l'impression de ne plus être elle-même voire de ne pas être réelle (surtout dans les moments de stress).
"Si le grand public connaît encore mal cette maladie, c'est peut-être à cause de la difficulté qu'ont les personnes non concernées à se représenter un état borderline : comment un sentiment d'affection peut-il se transformer en un sentiment de haine en l'espace de quelques instants ? Comment une personne peut-elle passer brusquement de la joie au désespoir ? Pourquoi un individu s'inflige-t-il de graves blessures ? À l'aspect déroutant de telles conduites s'ajoute le fait que les personnes concernées donnent souvent l'impression d'être en bonne santé et que l'on a du mal à s'imaginer qu'elles sont malades."
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verver · 2 years ago
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SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 25
- P'tite queue ! p'tite queue ! Sophie ferma sa gueule pour jeter la bouteille qu'elle venait de finir sur la bande de jeunes qui était blottie derrière leur véhicule.
Elles partirent en trombe.
Les jeunes sont maintenant au commissariat totalement sous l'effet de l'événement insolite qui venait de leur arriver.
Ray et Blotin essayaient de les interroger avec douceur .
- Vos parents vont arriver bientôt.
Tous fils et filles de bonnes familles, le jeune homme qui aurait subi les assauts de la criminelle était le fils d'un gros industriel de la région.
Le fils tricard avait du mal à se remettre de ses émotions.
Il pleurait toujours .
Il y a de la honte et de la peur , de la culpabilité en lui , pensa Ray .
Ça va faire du beau quand les parents vont arriver.
Ils arrivèrent les uns derrières les autres , bien habillés, bien propres sur eux .
Ils donnaient du remerciement à Ray et son collègue pour avoir récupéré leurs rejetons .
L'industriel prit la parole en voyant sa progéniture en larme .
Ray expliqua à l'assemblée, en coupant la parole de l'industriel , que leurs enfants avaient séché les cours pour passer du bon temps et il désigna l'endroit.
Les parent étaient outrés ou feignaient de l'être.
- Qu'est-ce qu'ils ont fait ? aboya l'industriel.
- Ben ! m'sieur Tricard .... en vérité il s'appelait Conte Tricard de Fernede...
Ray jubilait dans son for intérieur, il lui donnait du M'sieur Tricard ... à tout bout de champ.
Ray s'egosilla en direction du faut noble :
- Ces jeunes gens s'amusent à boire de l'alcool et fumer des produits illicites sur la voie publique, c'est un délit ! m'sieur !
Les gamins devant leurs parents pleurnichaient de plus belle , avant que les claques tombent Ray rajouta :
- Mais voilà ! ils reviennent de loin ! il expliqua l'agression dont avait été victimes leurs rejetons et le risque auxquels ils avaient échappé .
Ça calma l'assistance qui devint très pâle.
Ray expliqua à Tricard les mésaventures qui était arrivées à son fils .
La mère Tricard intervint en s'adressant à son garçon :
- Tu vas aller à l'hôpital passer des examens Fabien !
Celui-ci s'effondra en faisant une crise nerf .
Ray lâcha :
- Vous verrez cela avec un psychologue ! madame ! pour l'instant nous les gardons encore un peu.
Ray avait besoin des portraits robots et de tous les renseignements qu'il pourrait recueillir, ça pouvait faire avancer l'enquête.
- Ça va durer longtemps ?
- Non ! une heure peut-être un peu plus.
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