#dossier fotografico
Explore tagged Tumblr posts
Text
Comune di Alessandria: Avvio del Procedimento di Risoluzione del Contratto per la Gestione dei Cimiteri
Inadempienze e disservizi nella gestione dei cimiteri alessandrini portano il Comune di Alessandria a intraprendere azioni per risolvere il contratto con il concessionario.
Inadempienze e disservizi nella gestione dei cimiteri alessandrini portano il Comune di Alessandria a intraprendere azioni per risolvere il contratto con il concessionario. Il Comune di Alessandria ha annunciato il 31 ottobre 2024 l’avvio di un procedimento di risoluzione del contratto di concessione per la gestione dei cimiteri cittadini. Questa decisione è stata presa a seguito di numerose…
#Alessandria news#Amministrazione comunale#Amministrazione locale#capitolato concessione#cimiteri Alessandria#comune di Alessandria#concessionario cimiteri#contratto ventennale#decoro cimiteriale#difficoltà economiche gestione#dignità cimiteriale#dignità defunti#diritto dei cittadini#disservizi cimiteri#dossier fotografico#gestione cimiteri#gestione concessionaria#gestione spazi memoria#inadempienze concessionario#inadempimento contratto#interventi amministrativi#manutenzione cimiteri#manutenzione spazi pubblici#Memoria storica#monitoraggio servizio pubblico#nuove decisioni#problema gestione cimiteri#risoluzione contratto#rispetto dei luoghi#rispetto memoria
0 notes
Text
Vomero, piazza Vanvitelli: la piazza dei bidoncini. Un bagno chimico posizionato in bella mostra
Si tratta della piazza simbolo del Vomero, tutelata anche dalla Sovrintendenza Piazza Vanvitelli: bagno chimico Piazza Vanvitelli: bidoncini carrellati Piazza Vanvitelli: bidoncini carrellati Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, che ha realizzato un ricco dossier fotografico, a disposizione di quanti interessati, sulle disfunzioni dell’attuale sistema di…
View On WordPress
#Arenella#bagno chimico#bidoncini carrellati#Comitato Valori collinari#Gennaro Capodanno#Napoli#piazza Vanvitelli#Vomero
0 notes
Text
On continue...je sais j'exagère. Le cinglé s'est appuyé sur mon about de Cargo Collective pour dire que j'étais un nullard. Je me demande soudain s'il a pas cliqué ici sans ouvrir les vignettes et en a conclu que je faisais des cadrages pourris, en effet ce sont des crops de Cargo... Je suis particulièrement fier de cette sélection Cargo que j'avais faite en 2 014. A l'époque mes photos, beaucoup moins basées sur la composition, étaient largement plus accessibles et plus "chatoyantes".
Avec cette sélection, n'importe qui, donc y compris ceux qui ne sont pas formés à la compo, voit que je suis un maître. N'importe quel galeriste, directeur de festival, de magazine, qui connaît son métier, saute dessus.
Un galeriste qui m'exposait en 2 013 à Barcelone - ancien ami qui ensuite s'est mis dans un ignoble groupe de boycott car Anne et moi serions "racistes", et qui une fois kidnappée, a aidé Anne au péril de sa vie, disait que j'étais "le nouveau Miró". Il le disait pour mon travail abstrait expressionniste - à l'époque je faisais beaucoup de "decay", comme cette pièce (2 012) que j'estime absolument maîtresse et qui vous rappellera John Squire, le génie des Stone Roses ; ou encore celle-ci (2 012 également).
Ce jeune galeriste avait monté - comme un cheval, évidemment - un remarquable petit espace : galerie, lieu de concerts occasionnels, librairie - dans une rue malheureusement peu propice à l'activité, à Gràcia (Barcelone). En un an et demi je crois le lieu a fermé malgré l'aide parentale. J'ai souvent parlé de ce genre de cas, qui sont nombreux - voir le P.S 2. En tout, cas, Miró a un musée à Barcelone, moi pas vraiment. Un autre maître barcelonais, Adela Fonts, elle, est morte du corona, lancé par "un certain gang". Le galeriste susnommé était également étonné qu'elle soit ignorée. A Barcelone vous avez deux galeries spécifiquement photo :
-Valid Foto, tenue par un ultra-gauchiste à moitié...miraud, qui rate allègrement tous les meilleurs de sa ville et se prend pour une lumière. -Il Mondo Fotografico, qui a cessé de me boycotter assez récemment mais chez qui je n'ai jamais exposé Adela n'est plus là, mais il y avait elle et moi à Barcelone et en Catalogne, puis d'autres comme Sílvia Foz, Albert Gràcia, Anna Camps, Juan Antonio Zamarripa Esqueda (Dabnotu), Sergi Ballesté, Antoine Khidichian, Ramón Pruneda Segura (Moncat), Oriol Jolonch (photo-montage, donc plaît aux galeristes...), José Conceptes, Marc Llach, un des deux meilleurs photographes de Gérone, ville qui manque cruellement de galeries et de talents, Marc, malheureusement en pause depuis 2 ans suite à des déboires liés à nos harceleurs, Georgius Saevarsson, Nuria (Muros Hablados), Rodrigo Gómez, Montse Ramis (désolé, pour l'instant elle n'a qu'un Tumblr en scroll), ou trois clients d'Anne que je ne nommerai pas (prénoms Martín et Manel, l'autre sous pseudonyme). J'isole le cas Nuria (Muros Hablados) car conviendrait parfaitement aux galeries, musées et médias et leur obsession sémantique mais...ont rien vu. Depuis environ 12 ans... Je n'ai pas pu promouvoir Nuria qui avait refusé de façon hallucinante une interview en 2 014. Elle a cela dit aidé Anne. Un peu en-dessous vous avez par exemple Gil Garriga, José Antonio Rodríguez Sánchez ou Camila Ruiz. Laia Beltran est brillante, largement influencée par moi, a aidé Anne et l'a même interviewée pour Time Out en 2 019 avec un superbe dossier. Gravissime problème de boycott de sa part sur moi mais pas que, alors qu'elle est très influente en tant que journaliste et écrivaine bien plus mainstream que mézigue. Aucune exposition personnelle. Le cas Camila Cañeque est différent, je l'estime de la 2e catégorie en niveau mais elle fait de l'art conceptuel comme Gil et a les "bons réseaux" donc est soutenue par les galeries dont H20, qui nous a boycottés dès notre arrivée en Espagne en 2 013 suite à demande sonnante et très très bûchante (miam miam y a bon bon fric fric) du gang pédo-sataniste. Tuée il y a quelques mois par le gang après avoir aidé Anne - ce qui ne doit pas vous empêcher de nous aider, ce sont les gens qui ont essayé de libérer Anne lorsqu'elle était otage qui se sont fait tuer. Si je continue à parler d'elle au présent c'est que...à vous de comprendre. A part Camila Cañeque, Oriol, Sílvia et José Conceptes sont moins ignorés que les autres mais ni Valid ni Il Mondo, ni une galerie qui a fermé vers 2 014 à cause...des délires du gang, ni une autre, tenue par un Français soralien haineux chassé par...les indéps car "étranger" en 2 018, ne nous ont jamais exposés sauf Oriol (2 013, Victor Lope, en arrière-salle d'une galerie pourtant gigantesque...), malgré la mise en avant que je faisais de ces maîtres.
Une des meilleures galeries (Victor Lope) de Barcelone est située comme la plupart des plus chères sur l'Avinguda del Concell de Cent dans le quartier central de l'Eixample - ou se déroule mon roman à paraître. Elle expose surtout de la peinture, et le galeriste, dont nous avons appris qu'il nous boycotte par gauchisme, pontifie lors de vernissages sur la supposée "absence de talents en photo". Avec moi à 4 mètres...PUTAIN LE GLAND.
Au lieu de simplement "pick up" dans le mag et me sélectionner, les galeries bourgeoises barcelonaises et catalanes en général font une expo gigantesque avec des couchers de soleil volés (vol massif de copyright) pour se foutre de la gueule de "ces beaufs qui prennent des couchers de soleil alors que nous on "travaille sur le sens"" (Fundació Col.lectania, 2 013).
Toute cette merde infâme s'inscrit dans la lignée de la vision catalane de la "gauche divine" (c'est réellement une expression qui existait avant la néo-collaboration). Le mouvement, avec un nom français "pour faire chic", a commencé dans les 60's. Il est attesté que c'est un mouvement intellectuel et artistique "gauche caviar". BP.
P.S : il n'y a strictement AUCUNE ouverture du monde de l'art officiel barcelonais. Non seulement les galeristes et participants aux vernissages sauf de quelques lieux alternatifs amis ne sont pas capables de se comporter avec la politesse basique, sans parler de l'intérêt qu'ils devraient évidemment porter à des pointures de notre genre, non seulement en production mais en curating.
Je parle là de 20 vernissages. Anne qui se fait belle - et moi quand il fait chaud en tongs (ok classe) parce que j'en ai rien à branler - pour qu'on se prenne vent sur vent. P.S 2 : je vous laisse chercher Albert qui a fait quelque chose de grave contre Anne, Maria Luisa et moi en 2 017 puis s'est racheté comme le jeune galeriste évoqué en début de texte, "introuvable" depuis environ deux ans - sauf que nous savons où il est, et qu'il a été "cañequisé". Le projet d'art total qu'il avait créé avec L'indiscret était remarquable, tout comme celui de Felipe Coudeu (La Hormigonera, quartier de Sants). Chaque projet de ce type doit fermer ou se rediriger (co-working, etc). Felipe, également cañequisé, à moins que ce soit Camila qui ait été coudeuisée... Felipe vient d'être retrouvé après plus d'un an d'absence. Il n'y a aucune politique de soutien aux jeunes galeristes dans le soi-disant "phare culturel" qu'est Barcelone. Les budgets de l'ultra-gauche dont ceux de Colau vont systémiquement aux institutions reconnues, et à la propagande raciale, islamique, et LGBTQ truc.
La ville, foisonnante, fantastiquement diverse dans le véritable sens du terme, souffre de sa passion pour le Barça et de l'absence de goût artistique d'une population pourtant énorme (1,6 million d'habitants), plus les banlieues, ce qui donne...4,8 millions d'habitants, plus Badalona, grande ville (200 000 habitants) très proche de Barcelone, à la vie artistique officielle complètement réduite, et en proie aux migrants quasi exclusivement marocains, cambrioleurs voire pire. Il n'y a aucune politique d'incitation au soutien aux artistes, notamment par l'achat d’œuvres. Personne ne pense à "jumeler" les deux grandes villes pour des partenariats artistiques.
P.S 3 : l'ultra-gauchiste obèse carrément atroce dont j'ai parlé récemment et qui a participé aux harcèlements du pédo par vengeance politique, mais qui s'est excusé récemment, est dans la catégorie 2.
P.S 4 : un simple coup d'oeil au about du mag, au mag, à mes likes ici, aux chansons sous mes photos, permet de voir que je développe depuis treize ans tous les jours (et bien plus que ça avant le web) une vision absolument ouverte mais sans propagande raciale, religieuse et sexuelle. Il faut littéralement être trépané pour m'imaginer "raciste" parce que je lutte contre la violence dont celle de rue. Il se trouve que ma liste de photographes de haut ou très bon niveau (voir plus haut) est quasi exclusivement blanche. Il ne tient qu'aux dits "racisés" de se montrer à la hauteur des membres de cette liste ou d'Hanan Kazma, mon amie libanaise (cliquer sur son nom sous le lien précédent en tag 1 car bug, puis cliquer sur le rectangle gris en bas de page de galerie pour accéder aux pages après la 1e : 63 posts dont environ 15 Choix du Jour, probablement le plus grand nombre de l'Histoire du mag. Hanan est une des plus grandes photographes ayant jamais existé, et qui la connaît ? La gabegie est PARTOUT. Il eût suffi aux "anti-racistes" (TM) de "pick up" dans le mag chez "Basile Pesso l'islamophobe". Au lieu de cela Hanan doit travailler dans un autre domaine (métier alimentaire) et raser les murs pour éviter la "police des moeurs" islamique. Pauvres abrutis de collabos...). P.S 5 : il y a évidemment du haut niveau dans cette liste de 250 photographes environ en Catalogne, sur le site Fotografia Catalunya. Vous ne retrouvez pas UN SEUL des génies ou des gens de haut niveau dont j'ai parlé en milieu de texte. Vous avez certains photographes vivants dont Martín Gallego, qui est de très bon niveau mais en-dessous de tous ceux de mon haut de llste qui va de moi à Montse. Il est littéralement, littéralement impossible que ces gens, qui connaissent parfaitement la photo et notamment catalane, n'aient remarqué aucun de nous.
0 notes
Link
0 notes
Text
⚠️ NOVITÀ IN LIBRERIA ⚠️
(Copertina originale sul sito web)
Dagoberto Bellucci
LIBANO 2006: ISTANTANEE DI UN’AGGRESSIONE
Volume 1: il conflitto
Nell’estate del 2006, in Libano, andò in scena un violento conflitto militare: le truppe israeliane attaccarono il “Paese dei cedri” con pesantissimi bombardamenti, che produssero morte e devastazione.
Dagoberto Bellucci è stato uno dei pochissimi reporter a documentare la situazione in presa diretta, recandosi sul posto a rischio della vita. Questo libro – frutto di un lavoro giornalistico e fotografico di grande livello – è il crudo racconto di quei giorni di guerra: un viaggio tra le macerie fumanti di un Paese dilaniato e fiero, dove la rabbia delle vittime si mescola alla lotta della Resistenza Islamica.
Istantanee, commenti, dossier e interviste – dunque – fanno di quest’opera un tassello fondamentale per inquadrare e comprendere un pezzo di storia che ha segnato in modo indelebile il Medio Oriente, offrendo un’anticipazione della destabilizzazione che qualche anno più tardi assumerà il volto delle sedicenti “primavere arabe” e dell’abisso terroristico del cosiddetto “Stato Islamico”.
INFO & ORDINI:
www.passaggioalbosco.it
1 note
·
View note
Photo
Pequeño dossier fotografico solicitado por el arquitecto autor de los proyectos.
Arquitecto: José Ignacio Izquierdo Galerón.
#arquitectura#fotografía#arquitectónica#pedro manzano ortega#pedro manzano#© Pedro J. Manzano Ortega#Valladolid
1 note
·
View note
Text
0 notes
Photo
Napoli, piazza Vanvitelli: bidoncini in strada a tutte le ore del giorno Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, che ha realizzato un ricco dossier fotografico, a disposizione di quanti interessati, sulle disfunzioni dell'attuale sistema di raccolta dei rifiuti solidi urbani, che si registrano quotidianamente nel quartiere collinare del Vomero, segnala ancora una volta quanto si verifica al riguardo quotidianamente nella centralissima piazza Vanvitelli.
0 notes
Text
La denuncia del Wwf: troppi rifiuti nel porto di Alghero
La denuncia del Wwf: troppi rifiuti nel porto di Alghero
ALGHERO. «Il porto di Alghero? Un approdo della spazzatura». Lo sostiene Carmelo Spada, delegato Wwf per la Sardegna, che ha così titolato un dossier autografo corredato da ricco materiale fotografico. Secondo il massimo esponente regionale dell’associazione ambientalista, «il dossier documenta l’incredibile e inaccettabile condizione di incuria e degrado in cui versa il porto della città…
View On WordPress
0 notes
Link
Nel salotto di casa nostra possono accadere ogni giorno mille situazioni diverse. Situazioni che, per convenzione, chiamiamo “domestiche” e ci conducono a pensare a piccoli e grandi fatti quotidiani, che parlano di famiglia, d’affetto, di liti da niente, al limite di solitudine davanti alla tv. Il salotto della maggior parte delle case degli italiani, verso l’una, sa di odore di pranzo e sottofondo di telegiornale. Il 22 febbraio 1980, nel salotto di casa sua in Via Monte Bianco 114 a Roma, all’ora di pranzo il 19enne Valerio Verbano veniva ucciso a colpi di pistola col silenziatore, davanti agli occhi della madre e del padre, legati e immobilizzati. I tre giovani ragazzi che lo uccisero non sono stati mai trovati e non si sono mai consegnati. Esistono sospetti, vox populi, certo, ma giustizia non è stata mai fatta. L’omicidio di Valerio Verbano è uno dei tanti fatti di sangue degli Anni di Piombo rimasti impuniti. Una stanza buia che contribuisce alla mancanza, in Italia, di un percorso di riconciliazione nazionale simile a quello prodotto in Sud Africa, dove si è stabilito per i responsabili dei crimini dell’apartheid, per lo meno, di barattare la verità per l’impunità.
Aprendo il memoriale scritto da Carla Verbano, la mamma di Valerio, con il collega Alessandro Capponi, Sia folgorante la fine (Rizzoli, 2010, 15 euro), a conferma che ciò che si assorbe da bambini rimane dentro di noi per sempre, mi sono tornate alla memoria le scritte sui muri della Roma dei primi anni Ottanta: i disperati, inutili “Valerio vive” e i minacciosi, crudeli “10-100-1000 Valerio Verbano“, ovvero i due diversi modi in cui alcuni compagni e alcuni camerati ricordavano quell’assassinio.
Sono molti i meriti di questo libro di Carla Verbano. Anzitutto la delicatezza del tono, scelta consapevole e generosa dell’autrice. Non credo, infatti, esista nulla di peggio che perdere un figlio perché qualcuno lo uccide di proposito, e davanti ai tuoi occhi, mentre tu non puoi reagire in nessun modo.
Nel momento in cui Carla decide di raccontare cosa accadde quel febbraio e di ricostruire il contesto della Roma dei primi anni Ottanta, sarebbe stato comprensibile incanalarsi in un tono di rancore, di tragedia, di desiderio di vendetta. L’autrice, invece, sceglie binari che lei chiama “marziani”: quelli della quotidianità, del dolore vissuto, accettato ed esposto come fosse un orologio al polso: dopo un po’ non ti accorgi più che c’è, eppure è lì e non lo togli nemmeno per andare a dormire. Accettazione, ma non rassegnazione: quella no, non c’è in queste pagine che si rivolgono in più punti al lettore con tono di confidenza intima per parlare in realtà agli assassini del figlio: “Via Monte Bianco 114, quarto piano, uscendo dall’ascensore a sinistra. Ma tanto la strada la conoscono. Qualcuno verrà, forse uno solo di quei tre, ma so che verrà. Sensazioni, certo. Gli devo dire una cosa, quando sarà.” (193).
Carla Verbano si fa aiutare nella parte di indagine e di riflessione dalla penna di un bravo giornalista del Corsera, Alessandro Capponi, apprezzato anche come narratore. Carla e Alessandro presentano una serie di interrogativi cui la politica, lo Stato, la magistratura non hanno saputo offrire alcuna risposta. Chiedono conto della fine che ha fatto il famoso “Dossier Verbano”, uno spesso quaderno Pigna corredato di un corposo servizio fotografico in cui Valerio aveva raccolto informazioni, nomi, facce, numeri di telefono e supposizioni personali sul panorama neofascista romano. Un quaderno che la famiglia Verbano ha chiesto ufficialmente di riavere una volta chiuse le infruttuose indagini, ma che gli è stato negato. La mamma di Valerio pensa che quel dossier sia uno dei possibili motivi dell’uccisione del figlio. Ma Carla e Alessandro raccontano anzitutto per chi di quegli anni non sa niente o abbastanza. In questo senso, il capitolo “Andiamo a passeggiare” dovrebbe essere letto nelle scuole, o per lo meno nelle scuole del quadrante Trieste-Parioli-Salario-Monte Sacro, le cui strade sono oggi punteggiate di lapidi di marmo che ricordano le decine di militanti, magistrati, poliziotti, professori uccisi sul selciato per seguire un’ideologia o un piano folle di rivoluzione.
Carla Verbano ha scritto questo bellissimo memoriale all’età di 86 anni, a trent’anni dalla morte di Valerio. Ed è poi morta, due anni dopo, senza avere la soddisfazione di poter incontrare una seconda volta l’assassino del figlio. Non ha mai potuto dirgli quella cosa a cui teneva. Non ha mai potuto chiedergli “Perché Valerio”. E allora queste pagine assumono un tono lirico, proprio per la loro completa, assoluta mancanza di retorica. Diventano una forma di poesia contemporanea, ricca di dignità e di intelligenza. Carla, con fare perfino ammiccante e genuino, racconta chi era quello scapestrato di Valerio: i suoi guai con la giustizia a 16 anni, le sue corse in Vespa, le botte al liceo Archimede, e tratteggia una Roma in cui era possibile morire per gli abiti che si indossavano o la musica che si ascoltava.
Nel panorama dei memoriali scritti da familiari delle vittime del terrorismo, tutti da leggere e da rispettare a prescindere dal colore politico di chi racconta, questo è uno dei testi più dolci e struggenti che si possano fare propri.
https://www.ilfattoquotidiano.it/20...
0 notes
Text
Napoli: il Vomero trasformato in "quartiere dei bidoncini"
Esposti in strada a tutte le ore del giorno e mai ritirati Vomero, via Scarlatti: bidoncini in strada Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, che ha realizzato un vero e proprio dossier fotografico sulle disfunzioni dell’attuale sistema di raccolta dei rifiuti solidi urbani, che si registrano quotidianamente nel quartiere collinare, segnala, solo per…
View On WordPress
0 notes
Text
Conoscete Udine?
Martedi’, devo portare mio figlio in stazione verso le 10 poi, approfittando della giornata bella non prevista, faccio un giro a piedi per la mia citta’: da mesi e mesi non lo facevo e l’ho riscoperta in tutta la sua tranquillita’. Ne e’ nato un “dossier” fotografico che ne rivela gli angoli, a mio parere, piu’caratteristici: a voi la scelta di quello che vi piace di piu’ o, se qualcuno la…
View On WordPress
0 notes
Text
Vomero: "quartiere dei bidoncini". Esposti in strada a tutte le ore
Vomero: “quartiere dei bidoncini”. Esposti in strada a tutte le ore
Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, che ha realizzato un vero e proprio dossier fotografico sulle disfunzioni dell’attuale sistema di raccolta dei rifiuti solidi urbani, che si registrano quotidianamente nel quartiere collinare, segnala, in particolare, quanto si verifica al riguardo nella centralissima piazza Fuga, nei pressi della stazione superiore della funicolare…
View On WordPress
0 notes
Text
0 notes
Text
Vomero, piazza Vanvitelli: bidoncini in strada a tutte le ore del giorno
Vomero, piazza Vanvitelli: bidoncini in strada a tutte le ore del giorno
Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, che ha realizzato un ricco dossier fotografico, a disposizione di quanti interessati, sulle disfunzioni dell’attuale sistema di raccolta dei rifiuti solidi urbani, che si registrano quotidianamente nel quartiere collinare, segnala ancora una volta quanto si verifica al riguardo quotidianamente nella centralissima piazza Vanvitelli.
…
View On WordPress
0 notes
Photo
Napoli: “Illuminiamo il quartiere Vomero”. Sì, ma quando? A 4 giorni dall'Immacolata tantissime le strade ancora prive di luminarie Gennaro Capodanno, presidente del Comitato Valori collinari, stamani ha effettuato un sopralluogo al Vomero, realizzando un ricco dossier fotografico, a disposizione di quanti interessati, per documentare l'assenza, a quattro giorni dalla festa dell'Immacolata, festa che abitualmente apre il periodo natalizio, delle caratteristiche luminarie nella maggior parte delle strade e piazze del quartiere collinare del capoluogo partenopeo.
0 notes