#dominique missika
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Bernard Natan, la légende oubliée (et calomniée) du cinéma français
Dominique Missika réhabilite l’un des pionniers du septième art dans une récente et captivante biographie parue chez Denoël. Victime d’une virulente campagne de lynchage dans la France des années 1930, Bernard Natan meurt à Auschwitz en 1942. Bernard Natan dans son bureau, rue Francœur. Écrit par Manon Grimaud « Sur l’air de la calomnie, le destin de Bernard Natan se chanterait facilement […] Le…
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Avant de rejoindre le cortège de louanges médiatiques qui accompagne la nomination de Marion Waller à la tête du Pavillon de l'Arsenal, on peut se poser une question : n'est-ce pas la même personne qui a théorisé, approuvé et lancé les procédures « Réinventer », dernière étape en date de la libéralisation de la fabrique de la Ville ? Aujourd’hui encore les appels à projets urbains innovants, malgré toutes les réserves soulignées par l’IAU (https://lnkd.in/eJaJKrrw), ou plus récemment par le PUCA (https://lnkd.in/dcdyjafV) n'en finissent plus d'essaimer dans toute la France, comme à Montpellier actuellement avec l’improbable concours des « Folies ». Alors avant de nous réjouir bruyamment de voir une jeune trentenaire brillante prendre la tête de l’institution qui impulse la tonalité de la production architecturale parisienne, et donc française, ne serait-on pas en droit de lui demander son avis actualisé sur ces procédures qui ont tartinés largement le territoire d’images consternantes de Tiers Lieux 100% vitrés, 100% végétalisés ? Elle était en responsabilité lors du lancement de ces procédures qui ont abouti à marginaliser de la conception de pans de villes entiers, les architectes, urbanistes et paysagiste, au profit d’un nouveau type d’acteur : le promoteur-ensemblier. Beaucoup d’opérations de Réinventer Paris peinent à sortir de terre, et son ancien patron, Jean-Louis Missika, adjoint à l’urbanisme de Paris pendant 12 ans, est aujourd'hui visé par une enquête du parquet national financier pour prise illégale d'intérêts explorant ses liens avec la promotion immobilière (https://lnkd.in/dwTCmuVf), il me semble légitime et important que la profession ou que la presse puisse lui poser franchement la question de son retour d’expérience sur le volet architectural et urbain des procédures réinventer. Parce que sans faire de corporatisme, il faut bien noter qu’avec cette nomination, la grande nouveauté, c’est qu’il n’y a plus d’architectes à la tête du Pavillon de l’Arsenal, comme pouvait l’être Dominique Alba ou encore Alexandre Labasse. Et je pense que l’idée bien peu républicaine, et parfaitement farfelue, qui consiste à croire que le Public puisse se reposer entièrement sur le Privé, en restant décisionnaire sans être commanditaire, n’a pu émerger que dans la tête du type de personne qu’incarne parfaitement Marion Waller : un parcours académique de haut vol (Science Po/ENS) qui conduit presque naturellement à des fonctions de responsabilité et de commandement importants, sans avoir jamais connus d’autres réalités de terrains plus prosaïques et plus laborieuses. Malheureusement, entre le haut-vol et le hors-sol, il n'y a souvent qu’un pas.
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Je me souviens de mes amis Demandant au seuil de la mort : Si vous revenez, c’est promis Parlez de nous, parlez encore Violette Maurice, Mémoire
Mais ils ne sont pas surpris ni intrigués. C’est de l’épouvante que je lis dans leurs yeux. Jorge Semprun, L’écriture ou la Vie
Des scènes déchirantes de retrouvailles, de certitude qu’il n’y aura plus jamais de retrouvailles. Olga Wormer-Migot, Le retour des déportés
Je suis revenue d’entre les morts et j’ai cru que cela donnait le droit de parler aux autres et quand je me suis retrouvée en face d’eux je n’ai rien eu à leur dire. Charlotte Delbo
Je retrouvais un lit large et propre, que le soir, avec un instant de terreur, je sentis céder mollement sous mon poids. Mais je mis des mois à perdre l’habitude de marcher le regard au sol comme pour chercher quelque chose à manger ou à vite empocher pour l’échanger contre du pain. Primo Levi, La Trêve
Dans les camps, à nos terribles dépens, nous avons pris des leçons d’humanité. Geneviève de Gaulle et Germaine Tillion, Dialogues
A peine commencions-nous à raconter que nous suffoquions. Robert Antelme, L’espèce humaine.
Si j’ai survécu, je le dois d’abord et à coup sur, au hasard, ensuite à la colère, à la volonté de dévoiler ces crimes et, enfin, à une coalition de l’amitié - car j’avais perdu le désir viscéral de vivre. Germaine Tillion Ravensbrück
Le regard voilé qui surgissait chez l’une ou chez l’autre me bouleversait. Que pouvais-je pour elles ? J’avais le sentiment qu’avec moi, comme avec certaines personnes, historiens, responsables de musée de la résistance et de la Déportation en qui elles avaient confiance, ceux que Jorge Semprun, ancien déporté à Buchenwald, appelait les “gens du dehors”, il devenait possible d’évoquer leur expérience concentrationnaire.
Dans les réunions familiales, les absents comptent plus que les présents. Le plus effroyable, ce sont les reproches sous-entendus, exprimés ou muets, des proches de ceux qui sont morts. L’un aurait préféré voir revenir sa mère plutôt que son père, l’autre son frère plutôt que sa sœur. Retrouver les siens n’est pas retrouver tous les siens.
De toutes nos forces nous partagions le même espoir : vivre, pour au moins connaitre la défaite de nos bourreaux.
Les inséparables Dominique Missika
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“Je ne Rêve que de Vous” de Laurent Heynemann (2019) - d'après le roman “Je vous Promets de Revenir : 1940-1945, le Dernier Combat de Léon Blum” de Dominique Missika (2009) - avec Elsa Zylberstein, Hippolyte Girardot, Émilie Dequenne, Jérôme Deschamps, Philippe Torreton, Grégori Derangère, Thomas Chabrol, Nahil Rey et Mathilda May, mai 2020.
#films#WWII#Biopic#spirit#hommage#style#chapeau#Blum#Reichenbach#Heynemann#Missika#Zylberstein#Girardot#Dequenne#Deschamps#Torreton#Derangere#Chabrol#Rey#May#Madou#Mandel#Laval#Torres
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Devoir de Synthèse 3 Français 3ème Informatique
On trouve ainsi dans l’image télévisée cette double dimension de la réplique de la réalité et de construction subjective d’un ou de plusieurs concepteurs(élaborateur) ; avec cette particularité que les images de télévision sont souvent peu travaillées par comparaison avec celles du cinéma. Les transmissions en direct et la nécessité de diffuser plusieurs heures de programme par jour conduisent à une proximité plus grande à l’égard de la réalité. Mais il va de soit que ce qui est montré à la télévision n’est pas la réalité. Il y a reconstruction, dramatisation, donc simulacre( semblant) , spectacle. Ces deux derniers mots doivent être entendus sans aucune connotation péjorative. Ils sont la condition même de la lisibilité du message télévisuel. Le « spectacle » signifie seulement l’arbitraire et l’illusion ( fausse perception) indispensables à l’appréhension(pressentiment) et à la mise en forme du message par le concepteur. Dire que la production télévisée est une recopie du réel ne signifie donc pas qu’il existe une objectivité des images, cela veut dire cependant d’une part que ce qui s’imprime sur la pellicule ou la bande vidéo est issu nécessairement de la réalité, du monde visible, d’autre part que fréquemment des éléments de réalité, signifiants ou non, s’intègrent au message indépendamment de la volonté de celui qui met en image. Ainsi l’une des caractéristiques de l’activité de télévision, comparée à d’autres activités d’expression, est qu’une grande partie du message est autonome par rapport à celui qui met en images ou qui conçoit l’émission… Il y a donc toujours simultanément dans l’image une reproduction de la réalité et une signification intentionnelle, apportée par l’auteur. Mais l’on comprend que la reproduction déborde toujours la signification intentionnelle et offre une pluralité de significations aléatoires (imprévisibles) qui sont la manifestation de la présence du réel. C’est la conséquence du double statut de l’image : elle exprime plus que l’intention de celui qui la fait. Elle offre au spectateur le moyen d’accéder à la réalité qui échappe à l’intention de l’auteur. Jean Louis Missika et Dominique Wolton « La folie du logis » (1983) Edit Gallimard Compréhension - Quelles sont les caractéristiques de l’image évoquées dans le premier paragraphe ? 2p - Pour quelles raisons l’image n’est-elle pas objective ? justifiez votre réponse par des indices relevés dans le texte. (2p) - L’image est-elle réellement contrôlée par son réalisateur ? Justifiez votre réponse (2P) - Relevez dans le texte le champ lexical de la télévision (1) Vocabulaire - Relevez dans le texte trois expressions qui reprennent le terme « image » (1,5) Langue (1 ,5p) Complétez les phrases par les articulateurs logiques qui conviennent - La radio est en train de perdre de son importance,................ les jeunes préfèrent regarder la télévision.. - La télévision,............................. , occupe une place privilégiée dans notre vie quotidienne, …….la radio reste un moyen indispensable d’information. - L’Internet connaît un grand succès,............................ les journaux perdent une bonne partie de leurs lecteurs. - Les gens sont très attachés à leurs traditions et à leurs vieilles habitudes, ils continueront …….. …..à aimer et à écouter la radio. - L’ordinateur ne marche pas,........................ je viens de l’acheter. Essai Sujet : certains pensent que l’image télévisée hypnotise(fascine) réellement le spectateur et lui offre un monde parfait, différent du sien. Partagez-vous ce point de vue ? Développe ton avis dans un texte argumentatif . Read the full article
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Quelques extraits de Michel Rocard de Pierre-Emmanuel Guigo.
Combien d’hommes politiques peuvent se targuer d’avoir dialogué à de nombreuses reprises, jusqu’à se faire des amis et des soutiens politiques avec les sociologues Alain Touraine , Edgar Morin, Pierre Bourdieu, les philosophes Paul Ricoeur, Patrick Viveret, les politologues Gérard Grunberg, Roalnd Cayrol, Georges Lavau, Frédéric Bon, Dominique Missika, les économistes François Stasse, Pierre-Yves Cossé, Jacques Mistral, Elis Cohen, les juristes Guy Carcassonne et Olivier Duhamel, les historiens Pierre Rosanvalon, Jaques Julliard et Alain Bergounioux ? Et cette liste et loi d’être exhaustive…
Comment dès lors expliquer que, malgré 60 ans de politique et de militantisme, Michel Rocard soit resté en bonne partie étranger au savoir-faire courant de la vie politique Française ?
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Dès 1960, il se montrait d’ailleurs lucide sur l’impacte des médias de masse. Si son regard est globalement positif à l’époque, il pointait déjà le potentiel des effets négatifs : « ces grands moyens d’information de masse appellent à l’enthousiasme et à la colère, à l’adhésion ou au refus, toujours au réflexe, jamais au raisonnement. » Peut-être faut-il y voir la source de sa misanthropie grandissante. Depuis le 10 mai 1981, ils fuit les regards et les micros des journalistes, montre son agacement à l’égard de certaines questions, attitudes qui lui étaient inconnues avant son échec de 1980. Cette austérité nouvelle, le Bébête Show qui émerge alors, le retranscrit en le transformant en corbeau de mauvais augure, le célèbre « Rocroa ».
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Mais dès 1982, la situation semble se détériorer rapidement. La reprise n’arrive pas, la croissance stagne, le chômage continue de grimper comme l’inflation et les déficits comme l’inflation et le déficit public s’accroît lourdement. Le déficit budgétaire est multiplié par 3 au cours de l’année 1982 ! La dette extérieure est, elle, multipliée par 4 en 3 ans. Le gouvernement change de braquet en deux temps, d’abord en juin 1982 avec une première dévaluation, suivie par une deuxième en mars 1983. L’indexation des salaires sur les prix est abandonnée, le contrôle des changes est instauré et les impôts sont nettement réévalués.
Ce retournement de stratégie économique du gouvernement semble donner raison à Rocard, même s’il n’a guère été consulté. C’est Delors et Mauroy qui ont été décisifs, le président choisissant de préférer leur option, préservant ainsi la place de la France au sein de la CEE, plutôt que de suivre l’avis des visiteurs du soir, suggérant une sortie su système monétaire européen.
Le ministre du Plan ressent une grande frustration de ne pouvoir participer à cette évolution décisive. Peyrelevade témoigne : « Mauroy et Delors ont réussi, en 1982, à mettre fin à une période un peu folle. Rocard aurait dû être leur allié naturel. Mais il avait pris une attitude de victime : il critiquait sans arrêt. Rocard a joué « perso ». Il avait souvent raison, mais il exaspérait tout le monde. Il s’est marginalisé lui-même. »
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A PROPOS - La Chronique de VMZINC
Tour Montparnasse 2024 : un projet architectural ambitieux made in France !
Une tour sans âme
La Tour Montparnasse est une incongruité dans le paysage parisien. Quelle mouche avait donc piqué les élus pour valiser un tel projet au début des années 70 ? Quel effet de mode les avait-il embarqués dans le projet de cette construction sortant complètement des standards de l’urbanisme sage d’Haussmann ?
Ce monolithe brun, mal aimé depuis sa construction, cumule des défauts. Tellement haute par rapport aux bâtiments voisins que les habitants du quartier vivant au niveau du sol disent, en souriant, qu’ils ne la voient pas sauf quand ils sont dans son ombre portée ! Même sensation de dépossession à l’intérieur : vous êtes au milieu de Paris mais vous n’en voyez qu’un côté et encore de tellement haut que vous ne faites plus partie de la ville !
Malgré le respect que je porte à ses concepteurs et architectes de l’agence AOM (Agence pour l’Opération Maine-Montparnasse), parmi lesquels Eugène Baudouin et Jean Saubot, j’ai toujours trouvé que c’était un remake moins réussi de la « Pirellone », la Tour Pirelli de Milan conçue par Gio Ponti et mon maître, Pier Luigi Nervi. Moins bien élancée, moins innovante avec son noyau central en béton, cette tour a parfois été qualifiée de catastrophe urbanistique !. Le point le plus négatif de ce deuxième plus grand building de Paris : sa couleur ! Affaire de goût, sans doute, mais force est de constater qu’elle manque d’élégance et de caractère. Ses murs rideaux bruns anodisés sont maintenant très datés.
Pas de démolition mais une renaissance
Sorte de contrepoint opaque à la Tour Eiffel, dont elle n’atteint, pas loin s’en faut, la hauteur (209 m pour 313 m à la Tour Eiffel), la Tour Montparnasse ne sera pas démolie !.
Le concours pour sa rénovation lancé début 2016 a visé plusieurs objectifs : la mettre au goût du jour, de mieux l’intégrer et l’articuler à son quartier dont elle est devenue le symbole, malgré elle. Amiante, simples vitrages, hall riquiqui et plateaux à l’organisation obsolète : les challenges ne manquaient pas.
Sept cents équipes françaises et internationales ont marqué leur intérêt pour ce bâtiment emblématique très médiatisé. Sept équipes (*) ont été appelées à concourir (soit seulement 1% des postulants donc 99 % d’entre eux non rémunérés pour cette compétition, j’en reparlerai dans un prochain Post). Deux finalistes se sont battus pour la victoire.
La nouvelle AOM : l’équipe lauréate dans ses bureaux au 44ème étage composée de Mathurin Hardel, Franklin Azzi, Frédéric Chartier et Pascale Dalix et Cyrille Le Bihan
Conception made in France
C’est le projet français, plutôt sage, de la structure autoproclamée « nouvelle AOM » qui l’a emporté devant l’équipe américaine de Studio Gang, dont j’aimais pourtant bien le look déstructuré des façades entièrement vitrées mais peut-être un peu trop vitrées… Ce projet, finaliste a été qualifié par Jean-Louis Missika, adjoint à l'urbanisme et à l'architecture de la maire de Paris, de celui « le plus respectueux du patrimoine urbain existant et le plus ambitieux ».
Mathurin Hardel, architecte de l’agence constituée spécialement pour l’occasion, a résumé les ambitions du projet lauréat : « d’opaque, énergivore, amiantée et monofonctionnelle, la Tour deviendra claire, bas carbone, économe et capable d’offrir de nouveaux usages, notamment dans sa partie basse avec commerces, crèches, salle d’exposition. Un hôtel occupera par ailleurs quatre étages en partie haute.
Un lifting « vert » de grande ampleur
Cette métamorphose fait la part belle à la verdure et aux démarches de construction durable, désormais dénominateur commun de nombreux projets architecturaux parisiens (dont ceux bien connus des concours « réinventer Paris » et « réinventer la métropole du Grand Paris »
Ainsi, les treize premiers étages seront élargis pour accueillir des balcons et des jardins d’hiver. Un jardin suspendu spectaculaire sera posé sur le 14ème étage entièrement évidé. Et last but not least, une serre climatique dite « serre agricole » viendra couronner, 850 mètres carrés de panneaux photovoltaïques fourniront la moitié des besoins en éclairage artificiel de la tour. Une ventilation naturelle (aux deux tiers) ajouté au réemploi des matériaux sur le chantier notamment, devraient contribuer à l’exemplarité du bâtiment au plan environnemental, à énergie positive et bas carbone. La consommation énergétique actuelle de la tour sera ainsi divisée par dix !
Malgré l’ajout de la double peau vitrée, la silhouette générale si reconnaissable sera volontairement conservée avec ses deux vastes galbes et ses extrémités à pans coupés rentrants. Surélevée de 18 m supplémentaires, la tour sera visuellement allégée du fait de la transparence de sa nouvelle enveloppe.
On les connait bien !
Le choix de la « Nouvelle AOM » me ravi d’autant plus que ces architectes sont de fréquents utilisateurs du VMZINC. Frédéric Chartier et Pascale Dalix ont été lauréats du Trophée Archizinc en 2016 pour le Collège Moulins à Lille. Cyrille Le Bihan et Mathurin Hardel n’en sont pas à leur première surélévation dans lesquelles le VMZINC recouvre judicieusement toitures et façades d’un petit immeuble d’habitation rue Delbet Paris 14ème.
Rendez-vous donc en 2024 pour la livraison après deux ans dans une tour fantôme inoccupée ! Le quartier devra être patient mais il y gagnera tellement en nouveaux usages, en attractivité et en fierté !
VMZINC
Article du 14/12/2017
(*) Les 5 équipes non retenues pour la finale sont : Architecture Studio (FR), Dominique Perrault architecture (FR), MAD architects + DGla (China), OMA (NL) et PLP Architecture (UK)
#Architecture#Paris#TourMontparnasse#Nouvelle AOM#Frédéric Chartier#Pascale Dalix#Cyrille Le Bihan#Mathurin Hardel
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Survivants de Rudy Waks
Esther Senot © Rüdy Waks
Henri Borlant © Rüdy Waks
Guta Bojczyk © Rüdy Waks
Shelomo Selinger © Rüdy Waks
Marie Vaislic © Rüdy Waks
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Images extraites de la série "Survivants" de Rüdy Waks qui réalise actuellement une série de portraits des derniers rescapés de la Shoah. A l'occasion du 75e anniversaire de la découverte des camps, Rüdy dévoile et présente ce travail dans l'exposition "La Voix des Témoins" au Mémorial de la Shoah, dont le commissariat est réalisé par Léa Veinstein. 🇬🇧 Photographs from the ongoing series "Survivants" by Rüdy Waks on the survivors from Shoah. For the 75th anniversary of the discovery of the camps, Rüdy reveals and presents this work in the exhibition "La Voix des Témoins" at the Shoah Memorial, curated by Léa Veinstein.
Rüdy Waks, Vue de l’exposition “La Voix des Témoins” au Mémorial de la Shoah.
Louis Frankenberg par Rüdy Waks, Vue de l’exposition “La Voix des Témoins” au Mémorial de la Shoah.
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Dimanche 26 janvier, à 16h30, pour la conférence "Ecouter, entendre et perpétuer la voix des témoins" à l'auditorium Edmond J. Safra. En présence de Carole Benzaken, artiste, Claude Bochurberg, ostéopathe/psychosomaticien et journaliste de la Mémoire, Dominique Missika, écrivaine et éditrice, Natacha Nisic, plasticienne, Léa Veinstein, commissaire de l’exposition, Rudy Waks, photographe. Animée par Simon Perego, historien, Sorbonne Université.
Exposition du 26 janvier 2020 au 3 janvier 2021 au Mémorial de la Shoah, 17 rue Geoffroy l’Asnier, 75004 Paris. Entrée libre, niveau 1.
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Livres : les nouveautés de la semaine (4 mars 2019)
À la une
Transports
Des robots dans la ville : comment les voitures autonomes vont changer nos vies / Jean-Louis Missika, Pierre Musseau
Cote de rangement : TL 152 .8 M 257206
"L'arrivée des voitures autonomes est imminente. Elles sont déjà testées dans de nombreux pays, dont la France. Ce nouveau mode de transport va profondément transformer nos vies, nos villes et notre société. Or, personne n’est vraiment prêt pour ce bouleversement. Dans ce livre très documenté, les auteurs montrent que cette révolution technologique va entraîner de multiples révolutions. Faut-il dire adieu à la voiture individuelle ? La profession de chauffeur-livreur est-elle vouée à disparaître en provoquant un chômage de masse ? Qui détiendra le pouvoir sur les données, les algorithmes et l’organisation de cette nouvelle mobilité ? Des géants du numérique, américains ou chinois ? Ou des villes gouvernées démocratiquement ? Ce livre s’adresse aux citoyens comme aux pouvoirs publics : si on ne réfléchit pas à cet avenir très proche, toutes les dérives sont possibles. Le débat doit sortir du cercle des experts car il nous concerne tous. Et ce n’est pas de la science-fiction, la voiture-robot est au coin de la rue." - Quatrième de couverture
Communication
Media and digital modernism : new communication environments / Sefer Kalaman, Bilal Süslü (eds.) Cote de rangement : P 96 .T42 M 257223
Trois essais sur Twin Peaks : La main gauche de David Lynch ; Exégèse de la Black Lodge ; La substance de ce monde / Pacôme Thiellement Cote de rangement : PN 1992 .77.T88 T 257205
Anthropologie
Why does patriarchy persist ? / Carol Gilligan, Naomi Snider Cote de rangement : GN 479 .6 G 257222
Race and society / Tina G. Patel Cote de rangement : HT 1521 P 257218
Informatique
The AI delusion / Gary Smith Cote de rangement : QA 76 .9.C66 S 257221
Migrations
New borders : hotspots and the European migration regime / Antonis Vradis, Evie Papada, Joe Painter and Anna Papoutsi Cote de rangement : JV 7590 V 257220
Sociologie
Debating pornography / Andrew Altman, Lori Watson Cote de rangement : HQ 471 A 257219
Le sel : de l'esclavage à la mondialisation / Jean-Claude Hocquet Cote de rangement : TN 900 H 257211
Économie
Hayek and the evolution of capitalism / Naomi Beck Cote de rangement : HB 101 .H39 B 257216
Capitalism : a conversation in critical theory / Nancy Fraser and Rachel Jaeggi Cote de rangement : HB 501 F 257214
Les nouveaux héritiers / Nicolas Frémeaux Cote de rangement : HB 715 F 257203
Decent incomes for all : improving policies in Europe / edited by Bea Cantillon, Tim Goedemé, John Hills Cote de rangement : HC 240 .9 D 57213
4 / Alexandre Laumonier Cote de rangement : HG 6015 L 257207
Sciences politiques
L'anarchie de la paix : Levinas et la philosophie politique / Aïcha Liviana Messina Cote de rangement : B 2430 M 257210
Les inséparables : Simone Veil et ses sœurs / Dominique Missika Cote de rangement : DC 419 M 257204
Nous avons fait galoper l'histoire : confessions d'un cavalier usé / Karol Modzelewski Cote de rangement : DK 4435 M 257202
Egypt / Robert Springborg Cote de rangement : DT 107 .88 S 257215
L'or, l'empire et le sang : la guerre des Boers, 1899-1902 / Martin Bossenbroek Cote de rangement : DT 1896 B 257209
Taking power back : putting people in charge of politics / Simon Parker Cote de rangement : JN 238 P 257208
Statistique
Understanding regression analysis : an introductory guide / Larry D. Schroeder, David L. Sjoquist, Paula E. Stephan Cote de rangement : HA 31 .3 S 257217
Démographie
Studies in the sociology of population : international perspectives / Jon Anson, Walter Bartl, Andrzej Kulczycki, editors Cote de rangement : HB 871 S 257212
Tous ces ouvrages sont exposés sur le présentoir des nouveautés de la BSPO. Ceux-ci pourront être empruntés à domicile à partir du 18 mars 2019.
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Découvrez des livres, critiques, extraits, résumés
Découvrez des livres, critiques, extraits, résumés
Dans son nouvel ouvrage, Dominique Missika dresse le portrait de Joseph Kessel, jeune romancier fou d’amour, d’aventure et engagé pour la France aux premières heures de la Seconde Guerre mondiale. Une biographie qui, tour à tour, raconte l’Histoire, l’homme et ses amours de jeunesse. Quelques Babelionautes ont eu l’occasion de poser leurs questions à l’autrice : découvrez notre interview.
Pour en…
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Les inséparables - Dominique MISSIKA
Les inséparables de Dominique MISSIKA : je n'ai pas compris la visée de l'auteure
Elles sont trois sœurs : Madeleine, Denise et Simone Jacob, rescapées des camps de la mort. Madeleine, dite Milou, et Simone déportées avec leur mère Yvonne parce que juives à Auschwitz et à Bergen-Belsen ; Denise, à Ravensbrück.
Rapatriées en mai 1945, Milou et Simone apprennent à Denise, déjà rentrée, que leur mère est morte d’épuisement. De leur père, André, et de leur frère Jean, elles…
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TO THE POINT - VMZINC’s Column
Montparnasse Tower 2024: an ambitious architectural project made in France!
A tower without a soul
The Montparnasse Tower is an incongruity in the landscape of Paris. What on earth were the elected representatives thinking when they approved such a project in the early 1970s? What fashion of the day carried them away with this construction project, completely at odds with the standards of Haussmann’s sensible urban planning?
This brown monolith, unloved since its construction, has many flaws. Compared to the neighbouring buildings, it is so high that local residents say that when they are at ground level they don’t even notice it is there, except when they find themselves in its long shadow! The same feeling of dispossession persists in the building’s interior: you’re in the middle of Paris but you can only see one side of it, and at such a high altitude you no longer feel you are in the city at all!
Despite the respect I haver for its designers and architects at the AOM firm (Agence pour l’Opération Maine-Montparnasse), among whom Eugène Baudouin and Jean Saubot, I have always thought it was a rather pale remake of the “Pirellone”, the Pirelli Tower in Milan, designed by Gio Ponti and my guru, Pier Luigi Nervi. Less elegantly slender, less innovative with its central concrete core, this tower has sometimes been qualified as an urban catastrophe! The most negative aspect of this second tallest building in Paris: its colour! A matter of taste, no doubt, but it has to be said that it does lack grace and character. And its anodized brown curtain walls are now very old-fashioned.
Rebirth instead of demolition
A sort of opaque counterpoint to the Eiffel Tower, which it is far from matching in terms of height (209 metres versus 313 metres for the Eiffel Tower), the Montparnasse Tower will not be demolished.
The competition for its renovation, launched at the beginning of 2016, comprised several objectives: bring it up to date, make it integrate and blend better with the surrounding neighbourhood, which it has come to symbolise. Asbestos, single glazing, a tiny entrance hall and floors with obsolete layouts: the challenges to be met are abundant.
Seven hundred French and international teams expressed their interest in this highly publicized, emblematic building. Seven teams were called to compete (*) (i.e. just 1% of applicants, so the other 99 % were not remunerated for the competition, I will speak about this in a future Post). And finally, two finalists vied for victory.
The new AOM: the winning team in their offices on the 44th floor, made up of Mathurin Hardel, Franklin Azzi, Frédéric Chartier, Pascale Dalix and Cyrille Le Bihan
A design made in France
In the end, the rather sensible French project submitted by the self-proclaimed “Nouvelle AOM » won the competition, just ahead of the Studio Gang American team, whose destructured 100% glass facades I liked, although perhaps there was a little too much glass… This finalist project was described by Jean-Louis Missika, Deputy Mayor in charge of urban planning and architecture with the municipality of Paris, as the project that was “most respectful of the existing urban heritage and the most ambitious”.
Mathurin Hardel, architect with the firm set up especially for the occasion, summarised the ambitions of the winning project: “currently opaque, a high energy consumer, asbestos-ridden and mono-functional, the Tower will become bright, low carbon, cost-efficient and capable of catering for new uses, particularly in the lower section, with shops, crèches and exhibition spaces. The upper section will house a four-storey hotel.
Large-scale “green” revamping
This metamorphosis will give pride of place to greenery and sustainable building approaches, now a common denominator in many Parisian architectural projects (including projects for the well-known “reinventing Paris” and “reinventing the Greater Paris area” schemes).
So, the thirteen first floors will be extended to include balconies and winter gardens. A spectacular hanging garden will be installed on the 14th floor, which will be hollowed out entirely. And, last but not least, an agricultural greenhouse will crown the building. 850 square metres of photovoltaic panels will provide half of the tower’s artificial lighting requirements. Natural ventilation (two thirds) combined with re-use of materials on-site in particular, should contribute to the building’s exemplarity in terms of environmental respect, positive energy and low carbon. The tower’s current level of energy consumption will be divided by ten!
Despite the addition of a double glass skin, the highly recognisable general silhouette will be deliberately retained, with its two immense lines and its recessed hipped gables. Equipped with a new 18-metre roof extension, the tower will be visually lighter, thanks to the transparency of its new envelope.
We know them well!
I am all the more delighted at “Nouvelle AOM”’s victory, because these architects frequently use VMZINC. Frédéric Chartier and Pascale Dalix won the 2016 Archizinc Trophy for the Moulins junior high school in Lille. And this will not be Cyrille Le Bihan and Mathurin Hardel’s first roof extension. They cleverly used VMZINC cladding on the roofs and facades of a roof extension on a small housing building in the rue Delbet, in the 14th district of Paris.
Watch this space in 2024 for completion of this project, after two years in an empty ghost tower! The neighbourhood will have to be patient, but it will be much improved with new uses, higher attractiveness and greater pride!
VMZINC
Post - 2017/12/14
(*) The 5 teams not shortlisted for the final were: Architecture Studio (France), Dominique Perrault architecture (France), MAD architects + DGla (China), OMA (Netherlands) and PLP Architecture (UK)
#Architecture#Paris#MontparnasseTower#Renovation#New AOM#Mathurin Hardel#Frédéric Chartier#Pascale Dalix#Cyrille Le Bihan
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“Je ne Rêve que de Vous” de Laurent Heynemann (2019) - d'après le roman “Je vous Promets de Revenir : 1940-1945, le Dernier Combat de Léon Blum” de Dominique Missika (2009) - mai 2020.
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Devoir de Synthèse 3 Français 3ème Mathématiques
On trouve ainsi dans l’image télévisée cette double dimension de la réplique de la réalité et de construction subjective d’un ou de plusieurs concepteurs(élaborateur) ; avec cette particularité que les images de télévision sont souvent peu travaillées par comparaison avec celles du cinéma. Les transmissions en direct et la nécessité de diffuser plusieurs heures de programme par jour conduisent à une proximité plus grande à l’égard de la réalité. Mais il va de soit que ce qui est montré à la télévision n’est pas la réalité. Il y a reconstruction, dramatisation, donc simulacre( semblant) , spectacle. Ces deux derniers mots doivent être entendus sans aucune connotation péjorative. Ils sont la condition même de la lisibilité du message télévisuel. Le « spectacle » signifie seulement l’arbitraire et l’illusion ( fausse perception) indispensables à l’appréhension(pressentiment) et à la mise en forme du message par le concepteur. Dire que la production télévisée est une recopie du réel ne signifie donc pas qu’il existe une objectivité des images, cela veut dire cependant d’une part que ce qui s’imprime sur la pellicule ou la bande vidéo est issu nécessairement de la réalité, du monde visible, d’autre part que fréquemment des éléments de réalité, signifiants ou non, s’intègrent au message indépendamment de la volonté de celui qui met en image. Ainsi l’une des caractéristiques de l’activité de télévision, comparée à d’autres activités d’expression, est qu’une grande partie du message est autonome par rapport à celui qui met en images ou qui conçoit l’émission… Il y a donc toujours simultanément dans l’image une reproduction de la réalité et une signification intentionnelle, apportée par l’auteur. Mais l’on comprend que la reproduction déborde toujours la signification intentionnelle et offre une pluralité de significations aléatoires (imprévisibles) qui sont la manifestation de la présence du réel. C’est la conséquence du double statut de l’image : elle exprime plus que l’intention de celui qui la fait. Elle offre au spectateur le moyen d’accéder à la réalité qui échappe à l’intention de l’auteur. Jean Louis Missika et Dominique Wolton « La folie du logis » (1983) Edit Gallimard Compréhension - Quelles sont les caractéristiques de l’image évoquées dans le premier paragraphe ? 2p - Pour quelles raisons l’image n’est-elle pas objective ? justifiez votre réponse par des indices relevés dans le texte. (2p) - L’image est-elle réellement contrôlée par son réalisateur ? Justifiez votre réponse (2P) - Relevez dans le texte le champ lexical de la télévision (1) Vocabulaire - Relevez dans le texte trois expressions qui reprennent le terme « image » (1,5) Langue (1 ,5p) Complétez les phrases par les articulateurs logiques qui conviennent - La radio est en train de perdre de son importance,................ les jeunes préfèrent regarder la télévision.. - La télévision,............................. , occupe une place privilégiée dans notre vie quotidienne, …….la radio reste un moyen indispensable d’information. - L’Internet connaît un grand succès,............................ les journaux perdent une bonne partie de leurs lecteurs. - Les gens sont très attachés à leurs traditions et à leurs vieilles habitudes, ils continueront …….. …..à aimer et à écouter la radio. - L’ordinateur ne marche pas,........................ je viens de l’acheter. Essai Sujet : certains pensent que l’image télévisée hypnotise(fascine) réellement le spectateur et lui offre un monde parfait, différent du sien. Partagez-vous ce point de vue ? Développe ton avis dans un texte argumentatif . Read the full article
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Mercredi 25 janvier 2016
Quel avenir pour le paysage politique français ?
Sur ce thème, sont intervenus Dominique Reynié, Pascal Perrineau, Brice Teinturier avec toujours deux temps : les questions du médiateur Dominique de Montvalon, puis celles des amis du CRIF. Ce fut très intéressant, éclairant, inquiétant.
D’abord sur le premier tour de la primaire. Selon Pascal Perrineau, les électeurs n’ont pas cherché à désigner celui qui ferait le moins mauvais score au premier tour de la présidentielle, mais à choisir un courant socialiste d’opposition, ayant déjà intégré l’échec en 2017. Encore plus grave pour Dominique Reynié : tous les partis de gouvernement risquent d’être dynamités et en cas de victoire de Benoît Hamon, Manuel Valls ne pourra pas soutenir son programme. Brice Teinturier évoque la primaire de «non-espérance» et considère que les électeurs actuels privilégient le désir de renouvellement à la crédibilité des propositions. On est passé alors à l’état d’esprit des français. Pour Pascal Perrineau : d’un côté défiance, irritation et haine à l’égard des politiques, de l’autre intérêt pour la présidentielle, mais en pratiquant la «politisation négative», expression de Jean-Louis Missika, et la «désélection» (Pierre Rosanvallon), la protestation, le rejet. Pour Dominique Reynié, le rejet du système relève d’appareils fantasmagoriques et Emmanuel Macron est l’homme du système qui rejette le système. Brice Teinturier estime que le consommateur-citoyen «caressé dans le sens du poil» a fini par croire qu’il est le sujet à la base de toute valeur, ce qui a favorisé la déferlante contre la démocratie représentative et les experts. Pour terminer sur les chances d’Emmanuel Macron, de François Fillon et de Marine Le Pen. Les trois intervenants parient sur la défaite de Marine le Pen si elle se retrouvait au second tour face à François Fillon ou Emmanuel Macron. Ils considèrent que si Emmanuel Macron, «conscience coupable de ceux qui font fonctionner le système», devait l’emporter, le régime politique serait «secoué», mais s’il échoue aussi. François Fillon est, pour Pascal Perrineau, une excellente candidature du 1er tour, mais devra rassembler au centre et à gauche au second. Il incarne pour Dominique Reynié le régalien, ce qui peut être déterminant du fait des menaces qui pèsent pour la France. Brice Teinturier voit en lui une détermination et des capacités de négociation dont il a déjà fait preuve. Pour les trois experts en science politique, cette présidentielle atypique, la première se déroulant en état d’urgence, sera celle d’un quatre-quarts difficilement réconciliables : la quart incarné par François Fillon, la quart espéré par Emmanuel Macron avec une majorité de ralliements de centre gauche, le quart de la gauche Mélenchon-Hamon et le quart qui reste fidèle à Marine le Pen. Il y aura un vainqueur évidemment à la présidentielle, mais que se passera-t-il ensuite aux législatives ? En répondant aux questions des amis du CRIF, les trois invités ont pu revenir sur la crise politique, économique et sociale et sur ce que nous regrettons, sur notre nostalgie d’autres temps. J’y reviendrai prochainement à partir du livre Décadence de Michel Onfray.
Jean- Loup ARNAUD
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"Je ne Rêve que de Vous" de Laurent Heynemann (2019) - d'après le roman "Je vous Promets de Revenir : 1940-1945, le Dernier Combat de Léon Blum" de Dominique Missika (2009) - mai 2020.
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