#dome de chaleur

[aryburn-trains]

Sunset on the Chaleur

VIA Rail Canada's Chaleur rolls into the evening light near Sainte-Thérèse-de-Gaspé, Quebec in October 2006. Two F40PHs lead the five-car streamliner on its trip back to Montreal.

[transparentgentlemenmarker]

La beauté de la mécanique atmosphérique dans toute sa splendeur. L'animation vapeur d'eau ci-dessous, montre comment c'est mise en place la canicule historique qui touche actuellement le Nord-ouest des USA et l'Ouest du Canada. Tout commence par une vague atmosphérique (dépression), initiée par une onde de Rossby, puis un arrêt des vents d'Ouest, favorisant la mise en place d'une poussée de hauts geopotentiels apportant un dôme d'air chaud. L'animation se termine par un blocage Oméga typique des grandes canicules, obligeant le courant perturbé à contourner ce blocage. On le nomme comme ceci car la circulation atmosphérique qui se met en place ressemble à la lettre grec ♎️ (Oméga). Pour mettre fin à un blocage comme celui-ci, il faut une énergie et une redistribution totale des centres d'actions

@source : twitter Christophe Cassou

The beauty of atmospheric mechanics in all its glory. The water vapor animation below shows how the historic heatwave currently affecting the North West of the USA and Western Canada is set up. It all starts with an atmospheric wave (depression), initiated by a Rossby wave, then a stop of the westerly winds, favoring the establishment of a surge of high geopotentials bringing a dome of hot air. The animation ends with an Omega blockage typical of great heatwaves, forcing the disturbed current to bypass this blockage. It is named like this because the atmospheric circulation that takes place looks like the Greek letter ♎️ (Omega). To put an end to a blockage like this, it takes energy and a total redistribution of the centers of action

June 29 2021

[mirrorontheworld]

Des Américains se réfugiant dans des centres de refroidissement pour échapper au dôme de chaleur, des Chinois coincés dans une rame de métro où l'eau monte dangereusement, des Liégeois fuyant leur ville victime d'inondations historiques... Le réchauffement ne frappera pas plus loin ou plus tard. Cet été 2021, il est déjà à l'œuvre, partout dans le monde, et nous force à repenser ce que nous considérons comme "normal". Chaque année, l'exceptionnel se reproduit.

[beri-chan]

Typhon : ça, c'est fait

Le typhon a soufflé bien bien fort cette nuit. Les murs, le toit de la chambre, ont tremblé...

Et puis ce matin, 1er octobre, grand ciel bleu et 34 degrés venus d'Okinawa !

Je suis partie visiter mon école à Iidabashi, mes cours commencent demain, il me tarde ! En cherchant mon chemin dans la station de métro, un agent vient spontanément me voir je lui montre où je vais aller. Et il me demande de le suivre, nous sortons dans la rue et il m'emmène jusque pratiquement devant mon école... Merci le Japon !

Après, la chaleur était étouffante et je suis allée dans un très beau parc japonais, le Kenrokuen, à côté de mon école. Coup de bol aujourd'hui, c'était journée gratuite :) C'est un très beau parc avec plein d'érables, il faudra que je revienne à l'automne en novembre.

Il y a un petit lac au milieu et autour on voit des grattes-ciel, également le Tokyo Dome tout blanc et on entend les hurlements des gens dans les grand huit juste à côté ! Mais dans l'ensemble, le parc est juste magnifique avec des sous-bois bien denses qui gardent la fraîcheur. Du typhon, je n'ai pratiquement rien vu en dégâts, à part quelques allées fermées et des jardiniers qui coupaient des branches.

Dans le jardin il y avait une petite boutique qui vendait des Kakigori et j'en ai pris un à la fraise, 400¥ (3€ ;)), c'était frais et délicieux ! Et puis il faisait tellement chaud que je me suis endormie sur un banc avec d'autres touristes, sous de magnifiques pins et avec le ciel bleu, c'était juste splendide.

Ce que j'apprécie pour l'instant de mon séjour, c'est la lenteur à laquelle je peux profiter des journées, ne pas courir comme un touriste qui manque de temps pour tout voir... j'ai le temps de regarder les Japonais vivre, comme ce petit garçon qui pique une crise pour tamponner sa documentation-souvenir sur le parc avec sa maman. Et ces Japonaises qui s'émerveillent devant un pauvre pigeon gris parce qu'il a la queue blanche et qu'il est juste trop beau !!!

N'empêche que je me sens plus à ma place au Japon qu'en France où je suis juste bizarre... car je vois des Japonais s'émerveiller devant une fleur, caresser une écorce d'un arbre, photographier chaque petite fleur et chaque chat... Bref, je ne sais pas si ce sont les Japonais qui me ressemblent ou si c'est moi qui ressemble aux Japonais...

[finaguide]

L'idée ambitieuse des Japonais de créer une plage océanique sous le dôme a été réalisée en 1993 sur l'île méridionale de Kyushu.

Il est situé à un millier et demi de kilomètres de Tokyo. Seulement trois cents mètres séparent les frontières du plus grand parc aquatique du monde, Ocean Dome, de la vraie plage et de l'océan. Tous ceux qui y sont allés disent que l'océan artificiel est plus impressionnant. Le temps sur la plage artificielle est incroyable: température de l'air 30 ° C, eau - toujours 28 ° C. Dans un microclimat confortable, il n'y a pas d'insectes gênants ni de rafales de vent, mais il y a de grandes vagues pour les surfeurs. Un éclairage parfaitement ajusté évitera les coups de chaleur ou les coups de soleil.

La mer, les palmiers, le ciel toujours bleu, la vue imprenable sur l'océan tropical - c'est pour les amoureux des vacances à la plage. Une petite forêt tropicale peuplée de perroquets bruyants. Deux volcans strictement programmés organisent des éruptions pittoresques toutes les heures. Toboggans aquatiques, cascades à vagues, bassins d'eau douce, jacuzzi et spa à disposition des hôtes. Les attractions locales ont été créées sur la base de projets individuels exclusifs et n'ont pas d'analogues. Cafés, restaurants, cinémas à la disposition des fatigués des vacances à la plage.

Miyazaki est également accessible en train depuis Tokyo, mais nécessite quelques transferts.

[nouvelordremondialcc]

La demande en électricité explose alors que 70 millions d’Américains rôtissent sous un « Dôme de chaleur » La chaleur est insupportable sur la côte Est, surtout à New York. En ce moment, 70 millions d’Américains, du Maine à la Caroline du Sud, rôtissent sous un immense dôme de chaleur, a rapporté Accuweather. La vague de chaleur…

[niarky]

Eiffel in the Sky - Derrière le dôme de la Cathédrale de la sainte-trinité, a la droite de la tour Eiffel un soleil qui vas donner un peu de chaleur et de lumière a l'ouest. Fin de journée a Paris comme tous les jours. ---- Behind the dome of the Cathedral of the Holy Trinity, to the right of the Eiffel Tower, a sun that will give a little warmth and light to the west. End of the day in Paris as every day. . With lens: NIKKOR Z 24-70mm f/4 S at 70 mm Exposure: ¹⁄₁₂₅ s à ƒ / 7,1 Camera: 70 mm - NIKON Z 7 . . . . #4twitter #eiffeilofficielle #hello_france #ig_paris #igersparis #parisbynight #Street #streetphoto #streetphotography #sunset #sunsetsniper #toureiffel #nikonfr #nikon #igparis #hello_paris #iloveparis #parismaville #parisisbeautiful #nikonz7 #z7 — view on Instagram https://ift.tt/2Yg2ul2

[heartland301]

'Heat Dome' bat les records de température en Alaska

L'Alaska est peut-être célèbre pour ses températures glaciales et ses montagnes aux sommets enneigés - mais sa plus grande ville vient de battre des records de chaleur alors que l'État américain baigne sous une canicule.

[aryburn-trains]

VIA 16 "The Chaleur" at New Carlisle, Quebec August 5, 2013

VIA 16 crosses Green Road on the western end of the yard as it slows down on final approach into the station.

[transparentgentlemenmarker]

June 29 2021

[reseau-actu]

La multiplication des ruches en ville peut compromettre la survie des autres pollinisateurs, qui n'ont plus assez de fleurs à butiner.

Dans ce petit cabanon du square Georges-Brassens du XVe arrondissement de la capitale, le bourdonnement est permanent. Ce n'est pas une climatisation ou un générateur mais bien le bruit d'abeilles par milliers. À l'extérieur, tout juste équipés de voilettes pour couvrir leur visage, des étudiants en écologie ouvrent les ruches en bras de chemise et à mains nues. Dans la chaleur de ce début d'été, certains sont même en short. Force est de constater qu'avec ces hyménoptères citadins et pas farouches, aucune piqûre n'est à signaler, après plus d'une heure à manipuler les ruches.

Il n'y a ici ni coup de chance ni hasard. Ces abeilles particulièrement douces sont des Buckfast, une race hybride importée d'Angleterre. Comme toutes les abeilles «domestiques», elles ont été sélectionnées et croisées pour être rendues plus résistantes aux acariens, moins agressives et plus productives.

À Paris, on compte déjà plus de 700 ruches, chacune abritant 50.000 abeilles environ. On peut ainsi estimer qu'elles sont plus de 35 millions à butiner dans la capitale

Dans les jardins publics, sur les toits (dont celui du Figaro), ou même sur celui de l'Opéra Garnier, les ruches urbaines fleurissent ainsi, sans gêner les habitants. Les entreprises y voient un moyen de sensibiliser leurs employés aux problématiques de biodiversité tout en créant du lien entre les salariés (sans parler des récoltes de miel qui sont souvent vendues en interne). Rien qu'à Paris, on compte déjà plus de 700 ruches, chacune abritant 50.000 abeilles environ. On peut ainsi estimer qu'elles sont plus de 35 millions à butiner dans la capitale. Soit plus d'une quinzaine par habitant.

A priori, il n'y a là que des raisons de se réjouir quand, dans le même temps, les populations d'abeilles connaissent un déclin terrible dans le monde entier. Pourtant, ces ruches urbaines ont un effet collatéral: ces abeilles prendraient le pas sur leurs cousines sauvages. Car à côté de nos abeilles à miel vivent pléthore d'autres espèces plus fragiles et plus vulnérables.

» LIRE AUSSI - Soutenus par Hulot, les apiculteurs attendent un plan du gouvernement

«Les villes sont devenues un refuge pour les insectes, reconnaît Isabelle Dajoz, professeur d'écologie à l'université Paris-Diderot. C'est paradoxal, mais vrai pour tous les pollinisateurs. On trouve désormais une diversité plus grande en ville qu'en milieu agricole. Les ressources en fleurs ont beaucoup diminué dans les campagnes à cause des herbicides. Les insectes sont aussi moins exposés aux produits chimiques en ville que dans les champs.»

«On a estimé le nombre maximum d'abeilles que peut accueillir une ville fleurie comme Paris. Or, en comptant seulement les abeilles domes­tiques, ce plafond est d'ores et déjà atteint»

Mais les villes restent des territoires fermés avec un nombre de fleurs limité. À Paris, on dénombre ainsi 80 espèces d'abeilles, domestiques et sauvages, qui se partagent le ciel et les fleurs. «On a estimé le nombre maximum d'abeilles que peut accueillir une ville fleurie comme Paris, raconte Isabelle Dajoz. Or, en comptant seulement les abeilles domestiques, ce plafond est d'ores et déjà atteint. Cela veut dire qu'il n'y a plus de place pour les abeilles sauvages dans la capitale!»

» LIRE AUSSI - Jardin: un milliard de fleurs à semer pour les abeilles

Une concurrence sévère entre les différentes espèces, qui plus est, très déséquilibrée. Les abeilles domestiques vivent dans d'immenses colonies avec plusieurs dizaines de milliers d'individus, alors que les abeilles sauvages vivent en tout petit cheptel. Et les néonicotinoïdes, qui touchent indifféremment les unes et les autres, ne sont pas les seuls ennemis des hyménoptères. «En ville comme à la campagne, la météo et les parasites peuvent être dévastateurs pour les colonies», rappelle Thierry Duroselle, président de la Société centrale d'apiculture. Cette société savante, créée en 1855, gère plusieurs ruchers répartis dans toute la ville (dont celui du square Georges-Brassens). «Or les abeilles sauvages sont beaucoup moins bien protégées, car aucun apiculteur ne viendra prendre soin de leurs nids.»

«Abeilles sauvages et abeilles domestiques ont des rôles bien différents. Les abeilles domestiques ne sont pas capables de butiner toutes les fleurs. Par ailleurs, leur efficacité pollinisatrice est souvent moins bonne»

Ces dernières produisent peu ou pas de miel et sont donc beaucoup moins intéressantes pour l'homme. Au premier regard, leur disparition n'aurait donc rien de très embêtant: un pollinisateur prend la place d'un autre. Tant que la population globale d'abeilles reste élevée, le job est fait.

« Mais les choses ne sont pas aussi simples, avertit la chercheuse. Abeilles sauvages et abeilles domestiques ont des rôles bien différents. Les abeilles domestiques ne sont pas capables de butiner toutes les fleurs. Par ailleurs, leur efficacité pollinisatrice est souvent moins bonne. Les espèces qui assurent par exemple la pollinisation des fraises ou des tomates ne sont pas domestiques mais principalement des bourdons (qui n'est pas le mâle de l'abeille, mais bien une espèce à part entière, NDLR). Les espèces ne sont pas interchangeables.»

Faut-il donc supprimer les ruches de nos toits? Ou bien remplacer nos abeilles domestiques par certaines de leurs cousines? «Il faut surtout être raisonnable, estime Thierry Duroselle. Avec la Société centrale d'apiculture, nous installons très peu de ruches et nous les utilisons dans un objectif pédagogique. On les installe toujours dans des lieux où on pourra combiner qualité de l'environnement et possibilité d'observer les abeilles sauvages. Le travail de sensibilisation est essentiel, particulièrement avec les plus jeunes.»

» LIRE AUSSI - De nouvelles mesures pour sauver les abeilles françaises

Le premier rucher pédagogique à Paris a été ouvert au jardin du Luxembourg en 1856 et est encore utilisé aujourd'hui. Des classes viennent régulièrement le visiter tout au long de l'année. Mais les formations ne sont pas réservées aux enfants: apprendre aux apiculteurs à lutter contre les infections et les parasites est un point crucial. En protégeant leurs abeilles domestiques, ils limitent aussi les risques de transmission aux espèces sauvages.

«Tout un chacun peut venir en aide aux abeilles sauvages, conclu Isabelle Dajoz. En évitant de tondre trop régulièrement sa pelouse par exemple, pour laisser des fleurs aux pollinisateurs et leur permettre de se nourrir. Et en évitant d'utiliser des herbicides. Pour ceux qui veulent à tout prix produire leur propre miel maison, n'installez pas plus de ruches que le milieu ne puisse en supporter.» Mais pour les futurs apiculteurs de la capitale, il semble qu'il soit d'ores et déjà trop tard.

[risenled89-me-blog]

Philips éclairage des plantes sur le marché russe

Shenzhen augmenté opto Cie., Ltd,Lumière de crue de LED fabricant,lampe de lavage de mur de LED fournisseur,LED SMD 5730 Flood Light Selon LIGHTimes en ligne, Philips Lighting aux Pays-Bas est destiné à fournir des lampes LED de croissance des plantes pour la culture en serre des tomates et des concombres dans la serre, environ 25 hectares (approximativement équivalent à 40 terrains de soccer), pour la société russe de développement de produits agricoles de serre LLC Agro-Invest. Philips Lighting a déclaré que le projet est le plus grand projet d'éclairage végétal qu'ils entreprennent, et les lumières fournies aidera les plantes à croître tout au long de l'année et d'augmenter la production, surtout en hiver. Par rapport aux lampes traditionnelles à haute pression de sodium, leurs lampes de croissance de plantes de LED peuvent épargner environ 50% des coûts énergétiques. Philips Lighting fournira Agro-Invest avec 65 000 1,25-Meter Philips Green Power Dome et 57 000 2,5-mètre-long Philips Green Power INTERLIGHT. En outre, Philips fournira également des solutions d'éclairage et des services de formation, le maximum pour répondre aux besoins de croissance du concombre et des tomates. Les lumières de croissance de la plante sont installées de manière de bout en bout, et la longueur totale peut être prolongée à 223 km. «notre entreprise est connue pour son innovation à grande échelle», a déclaré Irina Meshkova, vice-présidente et présidente d'Agro-Invest. "la lampe de croissance de la plante sera la direction future de la croissance." Les lampes de croissance d'usine de Philips fournissent des usines avec la lumière appropriée, particulièrement dans les usines la quantité de chaleur émise par cette lampe est considérablement réduite par rapport à l'éclairage traditionnel, qui rend l'installation de la lampe relativement près de la plante. "elle a ajouté: «grâce à cette technologie, nous améliorons la production de produits agricoles dans les années sombres de l'année, et économisons grandement les ressources.»" «C'est le plus grand projet d'éclairage de plantes LED au monde», explique Udovan Slooten, directeur commercial de la Division d'éclairage de la centrale Philips. "l'électricité consommée par les plantes allumées baissera de plus de 50 pour cent par rapport à l'éclairage traditionnel des plantes, et il nous utilisera la conception du programme d'éclairage pour augmenter la production, l'hiver temps sombre pendant la production agricole va augmenter de plus de 30%." Il a ajouté: «notre lampe de croissance végétale est le meilleur complément à la lumière naturelle pendant la journée, et la plante est entièrement cultivé tout au long de l'année.» Ce projet met en relief la tendance au développement international de l'éclairage des végétaux, c'est-à-dire la réalisation de l'autosuffisance agricole au lieu des importations, kilométrage alimentaire, pour assurer la fraîcheur. " Plus d'informations veuillez entrer:http://www.outdoorlightingsupplier.com/

[highwayoflife]

Hiroshima. Et l'atomisation… La bombe explose 600 mètres au-dessus de la ville au niveau de “l'hypocentre”. La fission de la bombe déclenche un flash lumineux et crée un “mini-soleil”. La boule de feu produit un souffle, une chaleur de 3000 à 4000 degrés et une vague de radiation qui rase, brûle et endommage 90% des structures de la ville dans un rayon de 3 à 4 kilomètres. Seule la structure metallique dudit A-dome résiste au souffle de l'explosion. On peut toujours le voir aujourd'hui dans son “état post-explosion”. 350 000 personnes (civils, soldats) étaient dans la ville au moment du largage… 75 000 meurent sur le champ, les estimations évaluent à 150 000 personnes le nombre de morts liés à la bombe… un comptage relatif puisque les effets de la radiation sont complexes à mesurer… Juste après l'explosion, une “pluie noire” rabat au sol les cendres et la fumée dense, agravant la chaîne de contamination…

Le “parc de la paix” immortalise ce chaos au travers de différents mémorials, et le “Hiroshima peace memorial museum�� en retrace l'histoire. La sensibilté du visiteur est grandement préservée car on y voit peu d'images “choquantes”, comparée à la galerie des horreurs liées à l'agent orange exposée au musée de la guerre du Vietnam à Saigon ou encore les photos des atrocités comises par le régime des khmères rouges à Phnom-Pehn. En revanche, beaucoup de temoignages de survivants et de récits poignants illustrés par des artistes japonais permettent de saisir les scènes de chaos inimaginables qui ont eu lieues ici en 1945.

Le musée présente une version du bombardement dans laquelle les USA auraient fait usage de la bombe atomique dans une optique de test, connaissant pertinemment les intentions de capitulation des autorités japonaises. À la lueur de la désolation entrainée par l'atomisation des civils, il y a de quoi se questionner…

Hiroshima a été reconstruite. C'est une ville industrielle moderne sans charme. Elle ne s'attarde pas sur son passé très lourd. On ne ressent donc pas véritablement l'énergie mystique liée à la tragédie. Il y a finalement peu en dehors du parc de la paix pour saisir le drame qui a ravagé la ville.

Note : ce périple asiatique offre un angle historique bien différent de celui de nos cahiers d'écoliers… avec une perspective peu reluisante des interventions américaines, particulièrement décriées dans les musées et les expositions de la plupart des pays traversés :

- Les “dommages collatéraux” et les milliers de civils tués liés aux bombardements et au minage du Cambodge pour bloquer les approvisionnements de l'ennemi vietnamien. - La contamination d'une immense partie du Vietnam par le bombardement à l'agent orange et le napalm durant le conflit de la guerre du Vietnam. - Le largage de la bombe atomique alors même que les autorités des USA avaient connaissance de l'intention de capitulation du Japon, l'opportunité de tester la bombe fraichement mise au point étant “trop belle”. - Tous les essais nucléaires des US et les milliers de contaminations des populations autochtones aux 4 coins du globe.

[nouvelordremondialcc]

Un « dôme de chaleur » extrême va griller les Etats-Unis avec des températures record allant jusqu’à 49°C pendant plusieurs semaines Il fallait s’attendre à ce que, dans une année déjà brutale, l’été 2020 soit pire que tout. Et maintenant, il semble qu’un « dôme de chaleur » grésillant va faire frire la plupart des États-Unis pendant plusieurs semaines…

[niarky]

Eiffel in the Sky - Derrière le dôme de la Cathédrale de la sainte-trinité, a la droite de la tour Eiffel un soleil qui vas donner un peu de chaleur et de lumière a l'ouest. Fin de journée a Paris comme tous les jours. ---- Behind the dome of the Cathedral of the Holy Trinity, to the right of the Eiffel Tower, a sun that will give a little warmth and light to the west. End of the day in Paris as every day. . With lens: NIKKOR Z 24-70mm f/4 S at 70 mm Exposure: ¹⁄₁₂₅ s à ƒ / 7,1 Camera: 70 mm - NIKON Z 7 . . . . #4twitter #eiffeilofficielle #hello_france #ig_paris #igersparis #parisbynight #Street #streetphoto #streetphotography #sunset #sunsetsniper #toureiffel #nikonfr #nikon #igparis #hello_paris #iloveparis #parismaville #parisisbeautiful #nikonz7 #z7

[hebergement-francophone]

Une maison dans un dôme géodésique sur le Cercle Arctique

//<![CDATA[ (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); //]]>

Chaque jour, nous découvrons de nouveaux types d’hébergement, aujourd’hui, destination le Cercle Arctique pour découvrir un dôme géodésique abritant une maison écologique.

Dôme géodésique ©naturhuset.blogg.no

C’est au fin fond de la Norvège, au cœur du cercle Arctique, que la famille Hjertefolger a décidé de s’installer pour y vivre une vie plus proche de la nature. Et quoi de mieux qu’une maison écologique installée au cœur d’un dôme géodésique pour profiter au maximum des paysages de cette magnifique contrée.

Maison écologique dans un dôme géodésique ©naturhuset.blogg.no

Lorsque l’on parle du cercle arctique, les premières choses qui nous viennent à l’esprit sont la neige et les températures extrêmes. Cependant, quoi de mieux que cette destination pour vivre au calme, au cœur de la nature. C’est ainsi qu’en 2013, la famille Hjertefolger a décidé de sauter le pas et de s’installer au nord de la Norvège sur l’île de Sandhornøya afin d’y installer la maison de leurs rêves.

Un dôme géodésique, mais pas que…

La première chose que l’on voit est évidemment le dôme géodésique, mais si on s’intéresse à ce qui se trouve au cœur de cette structure, on découvre une maison totalement écologique. Construite à base de sable, d’eau et de matériaux locaux, cette maison atypique et totalement respectueuse de l’environnement.

Le dôme qui l’entoure, quant à lui, permet de retenir la chaleur, mais sert également de serre. Construit pendant l’été 2012, ce dôme géodésique a demandé seulement trois semaines de travail. Cependant, l’élaboration du projet a, quant à lui, demandé deux ans afin de résister aux vents violents, à la neige, mais également afin de réduire au maximum les dépenses pour se chauffer.

Maison à isolation naturelle ©naturhuset.blogg.no

Maison dans le Cercle Arctique ©naturhuset.blogg.no

Afin d’assurer une partie de l’approvisionnement en électricité, cette maison en forme de dôme est équipée de panneaux solaires. La construction quant à elle, bénéficie d’une bonne isolation naturelle puisque le rez-de-chaussée de celle-ci se trouve sous terre, ce qui limite fortement les pertes de calories.

Pour accueillir cette famille de quatre personnes, la maison est composée d’un salon, d’une cuisine, de cinq chambres, deux salles de bain, mais également un garage !

Maison cosy dans un dôme ©naturhuset.blogg.no

Vivre dans le Cercle Arctique ©naturhuset.blogg.no

Cette maison écologique bénéficie grâce au dôme géodésique d’un micro environnement qui permet la culture de fruits et légumes. Ainsi, la famille Hjertefolger vit presque en autonomie en produisant une part significative de sa nourriture comme des tomates, des concombres, des plantes aromatiques, mais également des pommes, des abricots et des cerises.

Le jardin est irrigué avec les eaux usagées, ce qui permet de limiter l’impact environnemental de cette maison atypique.

Un choix de vie partagé et à découvrir

Il est facile d’imaginer à quel point ce type d’habitat peut être agréable, car sans pollution lumineuse, les nuits étoilées sont le quotidien de cette famille. Il ne faut pas oublier que le cercle polaire vous offre également des nuits éclairées par de splendides aurores boréales et lorsqu’on vit sous un dôme géodésique, il est impossible de manquer ces phénomènes.

En plus de l’absence de pollution lumineuse, les diverses pollutions humaines n’ont pas leur place ici et la vie est beaucoup plus saine.

Vivre loin de la pollution lumineuse ©naturhuset.blogg.no

Paysage envoûtant de l’Arctique ©naturhuset.blogg.no

La famille Hjertefolger a décidé de partager son expérience et son quotidien à travers un blog, mais également par le biais d’un court métrage que vous pouvez découvrir ci-dessous.

La tenue de conférences est également en prévision et permettra de faire prendre conscience à des personnes en quête d’émancipation qu’il est possible de changer de vie. Bien sûr, le but n’est pas que tout le monde adopte leur mode de vie ou s’installe dans un dôme géodésique, mais tout simplement, montrer qu’il est possible de vivre différemment, plus simplement, sans avoir un énorme impact sur la nature.

Aurore boréale au coeur du Cercle Arctique ©naturhuset.blogg.no

Cette maison atypique utilise de nombreuses techniques de construction que vous avez pu découvrir dans certains de nos articles et nous prouve, une fois de plus, que les techniques évoluent de jour en jour tout en s’inspirant de projets disséminés dans le monde.

Et vous ? Vous êtes plutôt tombé sous le charme d’une maison en forme de dôme ? Une maison serre ? Une maison en terre ? Ou un mélange de chacune ?

Cet article Une maison dans un dôme géodésique sur le Cercle Arctique est apparu en premier sur Location Francophone.

from Location Francophone https://www.location-francophone.com/blog/dome-geodesique/ via Blogger http://logement-francophone.blogspot.com/2017/01/une-maison-dans-un-dome-geodesique-sur.html