#dogmatic trois

[aois-amaterasu-painting]

[brynhildr13]

Part 11/?

[Part 1] [Part 2] [Part 3] [Part 4] [Part 5] [Part 6] [Part 7] [Part 8] [Part 9] [Part 10] Part 11 [Part 12]

Thanks for showing up and showing out! Having a great time exploring all my works again! I think just one more post should do it!

[aois-amaterasu-painting]

The GazettE Setlist:

DOGMA RAGE UGLY BLEMISH Tomorrow Never Dies Filth in the Beauty

the GazettE at KNOTFEST JAPAN 2016

[lionofchaeronea]

Current reading is The World of Odysseus by Sir Moses Finley, originally published in 1954. It's Sir Moses's attempt to reconstruct the society of "Dark Age" Greece (=the tenth and ninth centuries BCE) by close reading of the Iliad and Odyssey. As great a historian as he was, I'm finding the book a little disappointing. Sir Moses seems to have had little interest in, or appreciation for, the history of ideologies (ironic in a Marxist), nor for the complexity of gender roles in the Homeric poems: all he wants to do is strip the epics down to a supposed "kernel of truth," as if everything else were so much rust that needed to be sanded away. At times, I've found myself genuinely wondering whether he'd really paid attention to what he was reading. Some of his dogmatic statements are breathtaking in their wrongheadedness: there's "no trace of the polis in the Homeric poems" (what about Troy in the Iliad or Ithaca in the Odyssey, both of which show many hallmarks of polis-organization?); the poems have nothing to say about Greek colonization, and so must predate it (what about Odysseus in Odyssey IX making plans to colonize and develop the island of Polyphemus?); Penelope is "little more than a convenient 'mythologically available character'" with no real personality (seriously?) Granted, criticizing a book that's seventy years old, in a field where so many methodological advances have since taken place, is a bit like shooting fish in a barrel, but still -- I can't help but feel that the whole exercise could have been improved by a shift in perspective on his part.

[alterin]

All The GazettE lives/perfomances available

I decided to organize everything I found (mainly for myself). Let me know if something is missing!

Beautifool's Fest 2003.

Tokyo Saiban ~Judgment Day~ 2004.1.16 fri SHIBUYA-AX.

Heisei Banka 2005.

Peace & Smile Carnival Tour 2005.

Maximum royal disorder 2005.

Nameless Liberty Six Guns 2006.

Decomposition Beauty 2007.

Neo Visual Kei - Manatsu no Utage 2007.

Tour 2007-2008 Stacked Rubbish Grand Finale [Repeated Countless Error].

Manatsu no Utage 2008 Live.

LEECH Live at MUSIC JAPAN 2008.

Gazerock Festival in Summer 08 [Burst into a Blaze].

Peace & Smile Carnival PS company's 10th Anniversary.

Tour09 - Dim Scene - Final At Saitama Super Arena 2009.

Tour 10 Nameless Liberty Six Bullets -01- 2010.

The 4th J-Melo Awards 2010.

The Nameless Liberty at 10.12.26 Tokyo Dome 2010.

SUMMER SONIC 2011 - 2011.09.16.

Inazuma Rock Festival 2011.

Tour11-12 Venomous Cell Finale Omega At 01.14 Yokohama Arena 2012.

Kishidan Banpaku 2012.

10th Anniversary The Decade Live At 03.10 Makuhari Messe 2012.

the 6th J-MELO Awards Live Special 2013.

live tour 12-13 【DIVISION】FINAL MELT LIVE AT 03.10 SAITAMA SUPER ARENA 2013.

Live at SUMMER SONIC 2013.

Kubana 2013.

LIVE TOUR 13-14 [MAGNIFICENT MALFORMED BOX] FINAL CODA LIVE AT 01.11 YOKOHAMA ARENA 2014.

STANDING LIVE TOUR14 HERESY LIMITED -Saiteigi- COMPLETE BOX 2014.

World Tour 2013 Documentary.

Kishidan Banpaku 2014.

Loud Park 2014.

Japan Night in Taipei 2015.

Tour 15-16 Dogmatic final -Shikkoku 2016.

World Tour 2016 Documentary, Dogmatic Trois.

Knotfest 2016 (I couldn't find the video, but I saw a news report that it was broadcasted on tv, so probably it should be somewhere on the internet).

Kishidan Banpaku 2016.

15th Anniversary Dainippon itangeish [BOUDOUKU GUDON NO SAKURA] 2017.

“BURST INTO A BLAZE 3” 2017.

Rock in Japan 2017.

Spooky Box 2 (ABYSS LUCY).

Countdown Japan 17/18.

Rock in Japan 2018.

Live Tour 18-19 THE NINTH FINAL (Live at 09.23 Yokohama Arena).

World tour 2019 Live in New York.

World Tour19 Documentary THE NINTH [99.999].

Rock in Japan 2019.

『BLINDING HOPE』LIVE AT 2021.12.23 TOKYO GARDEN THEATER

20th Anniversary -HERESY- 2022.

Probably I've missed something... And order isn't correct, but still.

[christophe76460]

L’impeccabilité

La doctrine de l’impeccabilité affirme que le Christ n’était pas seulement sans péché, mais qu’il était incapable de pécher (non posse peccare). En tant que Fils de Dieu incarné, le Christ a été confronté à des tentations réelles, mais ces tentations n’ont pas surgi dans le Christ en raison de désirs pécheurs. Le Christ n’était pas seulement capable de surmonter la tentation, il était incapable d’être vaincu par elle. (Shedd, Dogmatic Theology, 659).

L’impeccabilité de Christ a été largement affirmée au cours de l’histoire de l’Église et elle a été défendue par la plupart des grands systématiciens réformés. Toutefois, dans les 150 dernières années, de nombreux théologiens ont rejeté l’idée que Christ était incapable de pécher, argumentant au contraire que la peccabilité était nécessaire pour que les tentations de Christ soient authentiques et pour que Christ puisse sympathiser avec son peuple. De façon surprenante, même le redoutable Charles Hodge (1797–1878) rejetait l’impeccabilité (Hodge, Systematic Theology, 2:457), ce qui peut être une des raisons pour lesquelles son contemporain W. G. T. Shedd (1820–1894) a fourni une défense spécialement vigoureuse de cette doctrine dans sa Dogmatic Theology.

Pour défendre l’impeccabilité de Christ, Shedd établit trois grands points.

Premièrement, l’impeccabilité de Christ peut être déduite de l’Écriture. Si Jésus-Christ est le même hier, aujourd’hui et éternellement (Héb. 13:8), il doit être immuable dans sa sainteté. Une sainteté qui pourrait changer serait incohérente avec la toute-puissance de Christ et irréconciliable avec le fait que Christ est l’auteur et le consommateur de notre foi (Héb. 12:2). Christ n’est pas comme le premier Adam en ce qu’il est la source de toute sainteté et que de lui ne peuvent provenir rien d’autre que la vie et la lumière. Si Christ était susceptible de pécher, sa sainteté serait, par définition, ouverte au changement — son obéissance ouverte à la défaillance — même si Christ se révélait, à la fin, fidèle. Un Christ qui pourrait pécher serait un Sauveur auquel on ne peut faire confiance qu’a posteriori.

Deuxièmement, l’impeccabilité de Christ est liée à la constitution de sa personne. Certes, Christ était doté par l’Esprit d’une grâce extraordinaire, mais Christ n’était pas seulement fortifié pour résister à la tentation, la présence du Logos divin rendait infailliblement certaine la résistance du Christ. Nous ne devons pas penser que les deux natures du Christ opéraient indépendamment l’une de l’autre, comme s’il s’agissait de parties rivales ou de deux sources de connaissance et d’action voilées l’une à l’autre. De même, nous ne devons pas concevoir les deux volontés du Christ comme antagonistes. La volonté finie obéissait invariablement et parfaitement à la volonté infinie, de sorte que le Christ n’a jamais fait l’expérience de la convoitise de la chair contre l’esprit, ni de la convoitise de l’esprit contre la chair (Gal. 5:17). Mais qu’en est-il de la douleur, de la faim, du chagrin, de la faiblesse et de la mort de Christ ? Comment ces choses sont-elles possibles pour l’homme-Dieu ? Si nous concluons que le Christ est impeccable [sans péché], devons-nous également en conclure que le Christ était incapable de souffrir ? Certainement pas. Shedd fait la distinction entre « tous les défauts et limites innocents du fini » et « les défauts et limites coupables » de l’homme pécheur. Le Fils de Dieu incarné était sujet aux faiblesses qui proviennent d’un corps humain, mais sans les défauts moraux – ou la possibilité de défaut moral – qui proviennent d’une nature humaine. Au cœur de ce second point se trouve la conviction venant du symbole de Chalcédoine selon laquelle quoi que fît Christ, il le fit comme une personne théanthropique indivisée. En conséquence, Shedd affirme que la capacité de pécher pour Christ doit être mesurée en accord avec « sa très puissante nature ». De même qu’un fil de fer peut être plié, mais qu’une fois soudé à une barre de fer, il devient inébranlable, de même l’homme-Dieu Jésus-Christ est rendu impeccable par l’union des natures humaine et divine (Théologie dogmatique, 660-61). En d’autres termes, alors que le Christ possédait une nature humaine peccable, il était une personne théanthropique impeccable.

Troisièmement, l’impeccabilité est cohérente avec la tentation. Une des raisons qui a fait assumer une nature humaine par le Logos est que, de ce fait, le Logos pouvait être tenté comme un homme et soit ainsi capable de sympathiser avec les hommes (Héb. 2:14-18). Si nous grandissons l’impeccabilité de Christ de façon telle qu’elle écarte la possibilité pour lui d’être tenté, nous ne sommes plus en accord avec l’Écriture.

Et pourtant, nous ne devons pas absolument assimiler nos tentations aux tentations du Christ. Le même nom grec traduit par « épreuves » (peirasmois) dans Jacques 1.2 est rendu sous forme de verbe par « tenté » (peirazetai) dans Jacques 1.14. Certaines tentations viennent de l’extérieur comme des épreuves et des souffrances – celles que Christ a constamment endurées. Mais il y a aussi des tentations qui viennent de l’intérieur, sous forme de désirs de péché – celles que Christ n’a jamais connues. Lorsque Hébreux 4.15 dit que Christ a été tenté à tous égards comme nous, mais sans pécher, nous devons comprendre la préposition « sans » (choris) comme s’étendant à la fois au résultat des tentations (contrairement à nous, Christ n’a pas péché) et à la nature des tentations (contrairement aux nôtres, les tentations de Christ n’étaient pas pécheresses). En d’autres termes, nous sommes tentés par le monde, la chair et le diable, alors que le Christ n’a jamais été tenté par la chair. Ou, comme l’a dit John Owen, le Christ a affronté la partie souffrante de la tentation ; nous affrontons aussi la partie pécheresse.

L’incapacité du Christ à pécher ne rend pas ses tentations moins authentiques. L’armée qui ne peut être vaincue peut toujours être attaquée (Dogmatic Theology, 662). En fait, les tentations du Christ étaient plus intenses que les nôtres parce qu’il n’y a jamais cédé. Nos tentations vont et viennent, tantôt nous y résistons, tantôt nous y succombons. Mais le Christ n’a jamais cédé et, de ce fait, l’expérience de la tentation n’a fait que croître tout au long de sa vie. En cela, le Christ est capable de compatir avec nous dans notre expérience humaine de la tentation, même si, en tant qu’homme-Dieu, il était incapable de céder à ces tentation.

Kevin DeYoung (article tiré de E21)

[pazodetrasalba]

More Like a Trellis, Less Like a Tree

Dear Caroline:

This was a rather interesting book, and you make a decent review of it - mine, if you want the generic, is a little bit more detailed. I gotta say I wasn't particularly thrilled to begin with - as you might recall, I studied History as a degree, and because of reasons it would be long to explain, what had attracted me initially to the discipline was the 'story-telling' part, with kings, battles, discoveries, institutions, culture. This meant the subjects I liked the least and was generally uninterested in were the most scientific and the least humanistic ones, like Archeology or Prehistory. Like Schliemann, I wanted to discover Troy and gaze on the face of Agamemnon, not appreciate carbon-14 datings on some neolithic heath, or calculate demographic rates of birth and death as extrapolated from 18th century censuses.

I remember being taught about these topics in the early 2000s, and I definitely got the old paradigms - Clovis and Folsom hunter-gatherers crossing the Bering Straits, Mitochondrial African Eve and diffusionist and endogamous explanations for archeological and linguistic changes as opposed to big-people migrations. In spite of that, a significant chunk of what Reich explains felt really commonsensical to me from my latter linguistic studies: it was difficult to believe that Indo-European languages would have been easily transplanted by small groups to larger populations -here the counterexample that comes to mind is the Germanic kingdoms after the fall of Rome, whole elites quickly forgot their languages and integrated with the local aristocracies.

The discipline is truly a minefield, though. I feel a lot of respect towards Reich and his quixotic attempts at making genetics palatable to a very dogmatic leftist consensus that rejects the discipline from first principles, while at the same time keeping at arm's length the predictable racist attempts at appropriating his discoveries. There should be a space for truth and virulently opposed to the tribalisms of both left and right: this is precisely what I appreciate most about EA and Rationalism, and about you.

It has been more than five years since Who We Are was published. I am tempted to e-mail the author and ask if some important breakthroughs have taken place since.

[deadspring]

please people let's talk about this underrated reituki moment where Ruki is actually very worried about "Rei-chan" (!!!)

[sweetest-mistake]

[venomouspiders]

DOGMATIC - TROIS 

Brasil 

[aoshiroyama]

Ruki. Moscow~

「12.06.2016」

[aois-amaterasu-painting]

【Kishidan Banpaku 2016】

[nyxialux-blog]

Tumblr doesn't let me to upload the video but okay. For those who asked it's from dogmatic trois DVD (Americans live so play station theatre). DAISHI SATO san is speaking and then there's a moment with ruki in the DaRk lmfao and then ruki is sitting there speaking to kai probably for the sound check, with reita and aoi on the left

[uruha-sensei]

DOGMATIC TROIS COMMENT - 麗

[smiling-kai-blog]

Valentine’s ♡ Day Special ~   the GazettE WORLD TOUR16 DOCUMENTARY DOGMATIC -TROIS

[my-dazzling-darkness]

Reita | the GazettE