#dmitri kabalevsky
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lesser-known-composers · 1 month ago
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Dmitri Kabalevsky (1904 - 1987) - Piano Concerto No. 1 in A minor, Op. 9 (1928)
0:00 I. Moderato quasi andantino 10:53 II. Tema. Moderato 11:37 - Var 1. L'istesso tempo 12:59 - Var 2. Allegro assai 14:07 - Var 3. Andante 15:35 - Var 4. Vivace 17:00 - Var 5. Funebre (tempo di marcia moderato) 20:54 - Coda. Tempo di tema 21:53 III. Vivace marcato 25:02 - Cadenza. Lento rubato 30:04 - Coda. Piu mosso
Kathryn Stott, piano
BBC Philharmonic Orchestra - Neeme Järvi, conductor
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bobdobalina · 8 months ago
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Album art for Monitor Records "Collectors Series" MC 2078
Dmitry Kabalevsky - Romeo and Juliet incidental music, Op.56, played by the USSR State Radio Orchestra conducted by Dmitry Kabalevsky
Aram Khachaturian - Masquerade suite, played by the Moscow State Orchestra conducted by Gennady Rozhdestvensky
Design: Ernest Socolov
Year unknown, probably 1965-66
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violinconcertobracket · 11 months ago
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Propaganda:
Brahms:
as an orchestral cellist lemme just say brahms knew how to write the shit out of an accompaniment!! this is one of my absolute favorite all-around pieces to play, the melodies are so delicious. soloists always take liberties with rubato in the third movement and it's so much fun. also one time i was hanging out with a friend who insulted this concerto by complaining that it "doesn't do or say anything" and i literally saw red. can we just prove my friend wrong out of spite please
Once I listened to the Brahms violin concerto on an airplane and I think listening to the strings as we broke cloud cover and watching the pink sunlight on the tops of the clouds is the closest I've seen to capital-H Heaven
Kabalevsky:
submitting this entirely for the sake of the andante cantabile which makes me see shrimp colours
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sunset-supergirl · 11 months ago
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Happy birthday Dmitry Kabalevsky
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churchofsatannews · 1 year ago
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Vox Satanae: Episode #571 - 17th-21st Centuries - Week of October 23, 2023
Vox Satanae – Episode #571 17th-21st Centuries This week we hear works by Johann Sebastian Bach, Dmitry Kabalevsky, Giuseppe Tartini, Fritz Kreisler, Franz Liszt, Camille Saint-Saëns, Eugen d’Albert, Gustav Mahler, Hamish MacCunn, Henry Kimball Hadley, Sergei Prokofiev, Béla Bartók, Aulis Sallinen, and Thomas Adès. 199 Minutes – Week of 2023 October 23 Stream Vox Satanae Episode 571. Download Vox…
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therealgraysonhawthorne · 3 months ago
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Okay atleast tell me your favourite composer if it's not Tchaikovsky 😭😭
-Tchaikvosky anon
Dmitry Kabalevsky.
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iamkenlee-blog · 5 months ago
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"Comedian's Galop"
요즘 아마추어 윈드 오케에서 합주해본 곡 중 하나. 왠지 이런 모임에 나가지 않았으면 앞으로도 몰랐을 거 같은…
콩나물 난이도는 별거 아닌데 빠르기가 무려 200BPM이다. 물론 우리는 절반 정도 빠르기로 여유롭게.
작곡가는 드미트리 카발렙스키(Dmitry Kabalevsky)라는 러시아 사람이라는데 당연히(!) 모른다. 네 개의 교향곡 포함, 피아노 협주곡, 첼로 협주곡, 오페라까지 다양하게 있길래 이중 교향곡 2번, 3번, 피아노 협주곡을 유튜브로 대충 들어본 인상은 고전 영화 음악 같았음.
정치적으로는 소련국가상(=스탈린상)을 세 차례나 받았을 정도로 소련 내 명망이 높았던 거 같고, 몇몇 행적으로 미뤄 보건대 (쇼스타코비치처럼 충돌 없이) 공산주의 독재 체제에 잘 순응하며 지낸 분인 듯?
1940년에 '발명가와 코메디언(=The Inventor and the Comedians)'이란 제목으로 어린이를 위한 발레 모음곡을 작곡했는데 이 곡이 그 중 하나. 유진 올만디 지휘 필라델피아 오케스트라 연주 음반이 제일 유명한갑다.
유튜브로 대충 들어보니 모두 2분 내외 짧은 곡들이라 다 연주해봐야 20분이 채 안 걸림. 어릴 때 라디오에서 종종 들었던 하차투리안의 '사브레 댄스' 연상되더만. 당시에 이런 풍이 유행했던 게 아닐까 짐작.
'Galop'은 프랑스어로 사전에는 "말의 빠른 걸음걸이"라고 나온다. 또한 2/4박자로 폴카처럼 경쾌하게 추는 커플 댄스 명칭이기도 하다.
땅고 곡중 '알 갈로뻬(Al Galope)' 역시 "질주하는 말(=경주마)"이란 뜻으로 어원이 같다.
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jpbjazz · 7 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
L’UNIVERS DE STANLEY COWELL 
‘’The wonder of Stanley Cowell will live forever.” 
- Charles Tolliver
Né le 5 mai 1941 à Toledo, en Ohio, Stanley Cowell était le fils de Stanley Cowell Sr. et de Hazel Lytle. Homme d’affaires, le père de Cowell avait construit la première ville modèle. Il était également violoniste amateur.
Cowell avait commencé à étudier le piano classique à l’âge de quatre ans. Enfant-prodige, Cowell avait commencé à composer dès son plus jeune âge. Élevé dans une famille musicale, Cowell avait trois soeurs, Mary, Dolores et Esher, qui avaient toutes étudié le piano. Cowell avait également une nièce qui était devenue musicienne professionnelle. Comme Cowell l’avait expliqué plus tard, ‘’J’ai étudié la musique avant même d’avoir atteint l’âge de 4 ans. A trois ans, mes sœurs m’avaient déjà enseigné pas mal de choses au piano.’’ Se rappelant de ses débuts, Cowell avait ajouté: ‘’Mon père jouait du violon. Il accompagnait les prédicateurs ambulants et jouait avec eux au coin des rues. […] Il jouait des hymnes, de la musique religieuse pendant que le reste de la famille écoutait et chantait.’’
Propriétaire d’un motel à Toledo qui était un des seuls endroits ouverts aux visiteurs de couleur, le père de Cowell opérait également un magasin de disques et un restaurant. Le père de Cowell était également très proche du pianiste Art Tatum. À l’invitation du père de Cowell, Tatum avait d’ailleurs interprété le standard “You Took Advantage of Me” en duo avec le jeune pianiste qui n’était alors âgé que de six ans. Comme Cowell l’avait précisé plus tard, ‘’Art Tatum est venu à la maison une fois, en 1947, j’avais 6 ans. Mon père lui avait demandé de jouer pour moi. Art a répondu qu’il préférait que je joue le premier […]. Art a joué "You Took Advantage of Me”. C’est la seule fois où j’ai vu Art Tatum jouer live.’’
Excellent pianiste de stride un peu comme Jaki Byard et Roland Hanna, Cowell pouvait passer très naturellement d’un style à l’autre. Comme beaucoup de musiciens de jazz, Cowell avait d’abord commencé à jouer dans les offices religieux. Il expliquait: ‘’J’ai été l’organiste et un temps le directeur de la chorale dans une église épiscopale quand j’étais adolescent. Les cloches des églises, les chœurs, les tambourins, les pianos et les claquements de mains se mélangeaient et se fondaient en une expérience sonore. Cette expérience peut m’avoir entraîné à inclure de l’improvisation dans les préludes, interludes et conclusions.’’
Après avoir d’abord étudié le piano et l’orgue, Cowell avait suivi des cours de musicien classique jusqu’au milieu de l’adolescence. À l’âge de seulement quinze ans, Cowell avait interprété le Concerto pour piano no 3 de Dmitry Kabalevsky avec le Toledo Youth Orchestra. Après ses études secondaires, Cowell avait étudié le piano classique avec le légendaire Emil Danenberg au Oberlin Conservatory of Music, en Ohio. En 1973, Cowell avait d’ailleurs rendu hommage à Danenberg dans sa suite "Musa: Ancestral Dreams". C’est dans le cadre de son séjour à Oberlin que Cowell avait fait la rencontre du multi-instrumentiste Rahsaan Roland Kirk. Cowell avait aussi étudié à la Mozarteum Academy, de Salzbourg, en Autriche. Il avait aussi fait des études aux universités du Michigan, de Wichita, au Kansas, et de Southern California.
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Après avoir obtenu une maîtrise en piano classique à l’Université du Michigan à Ann Arbor, Cowell s’était installé à New York en 1966. La même année, Cowell avait fait ses débuts sur disque avec le saxophoniste de free jazz Marion Brown et son ancien camarade de classe Roland Kirk, dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Three for Shepp’’.
C’est dans le cadre de sa collaboration avec Brown et Kirk que Cowell avait fait la rencontre de l’ancien percussionniste de John Coltrane, Rashied Ali, qu’il avait accompagné lors de ses débuts comme leader au Slugs en mai 1967. La même année, Cowell s’était joint au quintet de Max Roach avec qui il avait participé au Festival de jazz de Newport. Faisaient également partie du groupe le trompettiste Charles Tolliver et le saxophoniste Odean Pope (qui fut bientôt remplacé par Gary Bartz). Cowell était demeuré avec Roach durant trois ans. La collaboration de Cowell à l’album ‘’Don’t Get Weary’’ (1968) de Roach avait joué un grand rôle dans sa formation de compositeur. L’’album ‘’Don’t Get Weary’’ comprenait d’ailleurs deux compositions de Cowell: “Equipoise” et “Effi”.
Grâce à la crédibilité qu’il avait acquise dans le cadre de sa collaboration avec Roach, Cowell avait pu enregistrer un premier album comme leader intitulé ‘’Blues for the Viet Cong’’ (1969), qui était très influencé par la musique électronique et le jazz-fusion. Très engagé politiquement et socialement, Cowell avait abordé dans son travail de compositeur plusieurs enjeux majeurs de l’époque comme les problèmes sociaux, l’histoire des Afro-Américains et le mouvement de la Conscience noire.
Après avoir quitté le groupe de Roach, Cowell avait fait une tournée avec Miles Davis, avant de se joindre aux groupes du vibraphoniste Bobby Hutcherson et des saxophonistes Harold Land et Stan Getz.
Durant la même période, Cowell avait également fait une incursion dans le jazz modal dans le cadre de collaborations aux albums ‘’Patterns’’ (1968) et ‘’Spiral’’ (1979) du vibraphoniste Bobby Hutcherson, qui mettait aussi en vedette le saxophoniste Harold Land (ce dernier avait également participé à Brilliant Circles, un des premiers albums de Cowell en 1969). À la même époque, Cowell avait aussi collaboré avec le batteur Jack DeJohnette dans le cadre de l’enregistrement de l’album ‘’Complex’’, qui mettait également en vedette Bennie Maupin, Miroslav Vitous, Eddie Gomez et Roy Haynes.
Décrivant cette période comme ‘’the beginning of everything’’, Cowell avait collaboré de 1969 à 1973 avec le trompettiste Charles Tolliver, un ancien collaborateur et protégé de Roach, avec qui il avait fondé le groupe Music Inc. C’est en se produisant avec le big band de Tolliver que Cowell avait amorcé sa carrière de compositeur et d’improvisateur, tout en devenant un collaborateur de premier plan avec plusieurs sommités du bebop et du free jazz.
Considérant Cowell un peu comme son frère jumeau, Tolliver avait déclaré plus tard:
“If ever there were two people on this planet who were twins and alter-ego matched it was Stanley and I. From our first meeting at the first rehearsal after being summoned by Max Roach to join his new quintet in 1967, there was an unbroken steadfast musical and personal immortal bond. Stanley’s importance as a great artist and my lifelong comrade can best be explained in that scripture-based hymn, ‘[the Lord] God moves in mysterious ways his wonders to perform.’ The wonder of Stanley Cowell will live forever.” 
À l’époque, des rumeurs avaient laissé entendre que Cowell succéderait bientôt à Herbie Hancock dans le groupe de Miles Davis. Même la rumeur ne s’était pas matérialisée, le seul fait que Cowell ait été mentionné sur un pied d’égalité aux côtés de Chick Corea comme successeur potentiel de Hancock était une bonne indication de sa crédibilité comme pianiste à l’époque.
En 1969, tout en voyageant en Europe avec Hutcherson et Getz, Cowell avait accompagné le violoniste Jean-Luc Ponty à Paris aux côtés de Jean-François Jenny-Clarke et Bernard Lubat. Lors d’un séjour à Londres, Cowell avait enregistré un album (toujours demeuré inédit) avec la section rythmique de Bobby Hutcherson composée de Reggie Johnson et Joe Chambers. C’est d’ailleurs lors de ce séjour à Londres que Cowell avait enregistré son premier album pour leader, ‘’Blues for the Vietcong’’ avec la section rythmique du groupe de Tolliver. Cowell avait enregistré un dernier disque avant de rentrer aux États-Unis, ‘’Ringer.’’
Après avoir collaboré dans le cadre du Detroit Jazz Ensemble, Cowell et Tolliver avaient fondé en 1971 la compagnie de disques Strata-East, avec qui ils avaient enregistré deux albums: ‘’Charles Tolliver Music In’’ (une captation d’un concert au club Slugs de New York en mai 1970) et ‘’Music Inc. & Big Band’’. En plus des albums du duo, la compagnie avait également produit des albums comme ‘’Winter in America’’ de Gil Scott-Heron et Brian Jackson (1974). La compagnie avait aussi collaboré avec de grands noms du jazz comme Clifford Jordan, Billy Harper, Sonny Rollins, les frères Heath et Charlie Rouse. Avec les maisons de disques Black Jazz et Tribe, Strata-East avait ainsi formé une sorte de sainte-trinité des compagnies de disques indépendantes contrôlées par des musiciens de couleur.
En plus de diriger la compagnie de disques et de participer à plusieurs sessions comme accompagnateur, Cowell avait trouvé le temps de participer à de nombreux projets comme leader de ses propres formations. Parmi ceux-ci, on remarquait ‘’Brilliant Circles’’ (avec Woody Shaw et Bobby Hutcherson en 1969) et ‘’Illiusion Suite’’ (1972), un excellent album en trio avec le contrebassiste Stanley Clarke et le batteur Jimmy Hopps, ‘’Musa-Ancestral Dreams’’ (dans lequel il avait utilisé le piano à pouces africain, 1973), ‘’Talkin’s Bout Love’’ (1978) et ‘’New World’’ (1981). Dans les années 1970, Cowell avait également enregistré avec Joe Henderson, Art Pepper, Johnny Griffin et Roy Haynes.
En 1972, Cowell avait aussi mis sur pied un groupe très innovateur qui était composé de sept (et parfois jusqu’à neuf !) pianistes, le Piano Choir. Cowell avait eu l’idée de former le groupe après avoir appris que James Reese Europe, un chef d’orchestre afro-américain du début du 20e siècle, avait déjà donné un concert en utilisant un total de quatorze pianos. Comme Cowell l’avait expliqué au cours d’une entrevue qu’il avait accordée au Washington Post en 2000: “I thought it was a possibility that hadn’t been exploited in modern jazz.’’
Cowell avait également fait partie des membres fondateurs du Collective Black Artists Inc., une organisation à but non lucratif qui avait pour but de donner aux musiciens de couleur plus de contrôle sur leurs compositions, leurs enregistrements et leurs performances sur scène. En 1974, Cowell avait aussi collaboré avec d’autres compositeurs et arrangeurs de talent comme Gil Evans et Sy Oliver dans le cadre d’un concert à Carnegie Hall présenté par la New York Jazz Repertory Company.
Après avoir mis fin à son association avec Tolliver, Cowell avait voyagé en tournée avec les Heath Brother et Roy Haynes durant une dizaine d’années à partir de 1974. Dans le cadre de ces différentes collaborations, Cowell avait un peu joué le rôle d’un facteur ‘’X’’, en ce sens qu’il avait le don de mettre en évidence le talent de ses collaborateurs. Par exemple, sur la pièce ‘’Dr, Jackle’’ avec Cecil McBee et Haynes en 1977, certains des phrasés de Cowell étaient tantôt inspirés par le bebop et tantôt par un jazz plus modal.  En 1975, Cowell avait enregistré l’album ‘’Regeneration’’, dans lequel il avait tenté de réaliser une symbiose entre les instruments d’origine occidentale avec les instruments d’origine africaine.
DERNIÈRES ANNÉES
En 1980, Cowell a enregistré l’album ‘’In the Tradition’’ avec le saxophoniste de free jazz Arthur Blythe dans le cadre d’une session qui comprenait également la section rythmique du Air Trio composé de Fred Hopkins et Steve McCall. Durant la même décennie, Cowell avait également enregistré l’album ‘’Such Great Friends’’ avec Billy Harper, Reggie Workman et Billy Hart, ainsi que ‘’We Three » avec Buster Williams et Freddie Waits.
À la fin des années 1980 et au début des années 1990, Cowell avait fait partie du quartet du tromboniste J.J. Johnson.
Également professeur, Cowell avait enseigné à la Mason Gross School of the Arts, une composante de l’Université Rutgers, au New Jersey, jusqu’à sa retraite en 2013. Cowell avait aussi été professeur au Amherst College, au Lehman College in New York (1988-99) et au New England Conservatory (1988-89).
En plus de continuer de travailler régulièrement en studio et en tournée, Cowell avait collaboré de façon intensive avec le guitariste de jazz-fusion Larry Coryell, en plus de se produire au Japon avec son trio We Three. Durant cette période, Cowell avait également enregistré plusieurs excellents albums comme leader, et plus particulièrement dans le cadre de ses enregistrements en trio ‘’Sienna’’ (1989), ‘’Departure No 2’’ (1990) et ‘’Live at Copenhagen Jazz House’’ (1993). Parallèlement, Cowell avait aussi composé certaines oeuvres de longue durée comme son Piano Concerto No 1 (composé en hommage à son idole Art Tatum), qui a été présenté en grande première en 1992 par le Toledo Symphony Orchestra. Même si sa carrière de professeur l’avait tenu très occupé jusqu’à la fin de vie, Cowell avait continué de se produire régulièrement dans le cadre de réunions avec ses amis, de projets avec ses étudiants et d’improvisations en piano solo. Parallèllement, Cowell avait continué de diriger à l’occasion ses propres groupes.
En 1999, Cowell avait enregistré l’album ‘’Dancers in Love’’ (d’après la célèbre composition de Duke Ellington) avec Tarus Mateen à la contrebasse et Nasheet Waits à la batterie. Dans les années 2000, Cowell avait commencé à se produire avec sa fille Sunny, une violiste et chanteuse.
Dans les années 2010, Cowell avait continué d’enregistrer régulièrement avec de petites compagnies de disques comme Steeplechase. Parmi ses dernières parutions, on remarquait ‘’Welcome To The New World’’ (2013), ‘’Are You Real ?’’ (2014) et ‘’No Illusions’’ (2017). Après avoir pris sa retraite de l’Université Rutgers, Cowell avait enregistré en 2015 un album intitulé ‘’Juneteenth’’, qui comprenait plusieurs compositions pour piano solo inspirées par les mouvements des droits civiques et du Black Power. Un peu comme l’album ‘’The Prisoner’’ d’Herbie Hancock, le disque avait souvent été sous-estimé malgré l’excellence de sa musique et le message politique qui réflétait plusieurs des préoccupations de l’époque. Rejeté par les maisons de disques américaines, l’album avait finalement été publié par une compagnie française.
Toujours en 2015, Cowell s’était produit durant une semaine au Village Vanguard de New York avec un trio qui comprenait le saxophoniste Bruce Williams. Cowell, qui n’avait jamais cessé d’innover jusqu’à la fin, avait utilisé lors du concert un système appelé Kyma, qui permettait de transformer le son du piano artificiellement grâce à la technologie digitale. La même année, Cowell avit joué au club Barbica de Londres, en Angleterre, dans le cadre d’une réunion avec ses anciens collaborateurs de Strata-East. En 2019, quelques mois avant sa mort, Cowell avait interprété sa suite Juneteenth avec un orchestre de cordes, voix et percussions au An Die Musik Live de Baltimore.
Stanley Cowell est mort le 17 décembre 2020 au Bayhealth Hospital de Dover, au Delaware. Le décès de Cowell avait été attribué à un problème de circulation sanguine (choc hypovolémique). Il était âgé de soixante-dix-neuf ans. Cowell laissait dans le deuil sa troisième épouse Sylvia Potts, sa fille Sunny, une musicienne et avocate de Baltimore, sa fille Sienna (issue de son second mariage), une soeur et deux petits-enfants. Cowell, qui s’est marié trois fois, avait d’abord épousé Effi Slaughter (elle s’était remariée plus tard au maire de Washington, D.C., Marion Barry) et Victoria McLaughlin. Le doyen du Conservatoire d’Oberlin où Cowell avait fait ses études lui avait rendu hommage après sa mort en déclarant:
“On behalf of the Oberlin Conservatory community, I extend my deepest condolences to Mr. Cowell’s family, friends, and loved ones. Stanley Cowell was a towering figure in the history of jazz, and the history of 20th- and 21st-century music more broadly. As a composer, performer, and thinker, his contributions shaped contemporary musical life in profound and lasting ways, and we join with colleagues around the globe in celebrating his life and honoring his memory.”
Ce n’était qu’un juste retour des choses pour Cowell. En 2010, lorsque le Odabin College avait inauguré le Bertram and Judith Kohl Building qui abritait le site des études jazz de l’université, Cowell avait fait partie intégrante des festivités. Sans même avoir été annoncé, Cowell avait gravi les marches de la chapelle Finney et s’était assis sur le banc de piano à côté de Stevie Wonder. Cowell avait joué durant quarante-cinq minutes accompagné par Wonder à l’harmonica. L’ancien directeur des études jazz de l’université, le professeur de guitare Bobby Ferrazza, qui assistait au concert, avait commenté plus tard: “Stanley was an extremely kind, thoughtful person. We once had a conversation about the details of some of J.J. Johnson's music, and Stanley subsequently sent me one of J.J.'s lead sheets. He was a great musician and a truly thoughtful one.”
Cowell avait livré sa dernière performance en octobre 2020 dans le cadre du concert inaugural du club Keystone Corner de Baltimore, le seul club des États-Unis à permettre une assistance de 25% durant la pandémie de la Covid-19. Le concert avait été enregistré et avait donné lieu à la publication de l’album ‘’Live at Keystone Korner Baltimore’’. Le concert mettait également en vedette le trompettiste Freddie Hendrix et le saxophoniste Bruce Williams, ainsi que la fille de Cowell, Sunny, au chant.
Le proprétaire du Keystone Corner, Todd Barkan, qui collaborait avec Cowell depuis de nombreux années, lui avait rendu hommage en ces termes: “As a composer and player Stanley Cowell was one of the great voices of jazz piano. He had a unique compelling expression in his playing and composing. His composition ‘Equipoise’ captures the essence of his compositions and playing style. I enjoyed working with him for over 50 years as an artist and friend.”
Pianiste complet et très polyvalent, Cowell pouvait passer très facilement d’un style à l’autre, qu’il s’agisse du stride, du jazz d’avant-garde, du jazz-fusion ou de la musique classique. Au cours de sa carrière, Cowell s’était produit avec plusieurs sommités du jazz, de Marion Brown à Max Roach, en passant par Bobby Hutcherson, Charles Moore, Art Pepper, Joe Henderson, les frères Albert, Jimmy et Rodney Heath, Woody Shaw, Miles Davis, Gary Bartz, Johnny Griffin, Roy Haynes, Charles Tolliver, Clifford Jordan, Arthur Blythe, Harold Land, Sonny Rollins et Stan Getz.
Cowell a enregistré plus de trente albums comme leader au cours de sa carrière. Il a aussi collaboré à de nombreux autres albums en compagnie d’autres artistes. Décrivant le style de Cowell, le critique Owen McNally avait écrit en 2013: “Always unfolding dramatically is never pretentious, never afflicted with arcane, elitist self-indulgence posing as cosmic significance to be comprehended by only a chosen few.’’
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piquedpequod · 2 years ago
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"All the Secrets and No One to Tell." A soundtrack-mix for Jim Prideaux of Tinker Tailor Soldier Spy.
Listen (YT)
Lyrics/excerpts:
“They were at Oxford together before the war.” “And stablemates in the Circus during and after. The famous Haydon-Prideaux partnership.” 1. Charade - Matt Monro Oh what a hit we made We came on next to closing Best on the bill, lovers until Love left the masquerade
Fate seemed to pull the strings I turned and you were gone While from the darkened wings That music box played on
“'Drop out,’ he said. ‘You’re a lucky man, Jim,’ he kept saying. ‘You’ve been ordered to become a lotus-eater.’ I could forget it. Right? Forget it. Just behave as if it had never happened.” He was shouting. “And that’s what I’ve been doing: obeying orders and forgetting!” 2. Eminence Front – The Who That big wheel spins, the hair thins People forget Forget they're hiding The news slows People forget Their shares crash, hopes are dashed People forget Forget they're hiding
Sometimes he thought of the wound as a memory he couldn’t keep down. He tried his damnedest to patch it over and forget but even his damnedest wasn’t always enough. 3. The Story of a Hero – Dmitri Kabalevsky
He also imagined that, like himself, Jim had had a great attachment that had failed him, and which he longed to replace. But here Bill Roach’s speculation met a dead end: he had no idea how adults loved each other. 4. Loneliness – Sergei Rachmaninov
And hearing Tom Tower strike the evening six he found himself thinking of Bill Haydon and Jim Prideaux, who must have arrived here the year that Smiley went down and were gathered up by the war; and he wondered idly how they must have looked together then, Bill the painter, polemicist, and socialite; Jim the athlete, hanging on his words. In their heyday together in the Circus, he reflected, that distinction had all but evened out… Only at the end, the old polarity asserted itself… 5. High Hopes – Pink Floyd Encumbered forever by desire and ambition There's a hunger still unsatisfied Our weary eyes still stray to the horizon Though down this road we've been so many times
The grass was greener The light was brighter The taste was sweeter The nights of wonder With friends surrounded
“And did you take to it, Jim, to Control’s theory? How did the idea strike you, overall?” “Damn silly. Poppycock.” “Why?” “Just damn silly,” he repeated in a tone of military stubbornness. “Think of any one of you – mole – mad!”
6. Love Is Blindness – Morten Schantz Trio
Not for the first time, Smiley had the distinct sense of stumbling not on Jim’s ignorance but on the relic of a willed determination not to remember. In the dark, Jim Prideaux’s breathing became suddenly deep and greedy. He had lifted his hands to the top of the wheel and was resting his chin on them, peering blankly at the frosted windscreen.
7. Found Song For P. – Max Richter
When finally the big session started – the one he remembered as the marathon – he had the disadvantage of feeling half defeated when he went in. “Matter of health, much as anything,” he explained, very tense now. “We could take a break if you want,” said Smiley, but where Jim was there were no breaks, and what he wanted was irrelevant.
8. Novelette – Dmitri Kabalevsky
“And no word from Bill?” he went on. “Not even a postcard.” “Bill was abroad,” said Jim shortly.
9. Why – Pyotr Tchaikovsky Why is the sun cold and dull in the sky, as if it were winter? Why – tell me quickly – did you forget me?
Only once, when Guillam forgot Smiley and out of instinct turned upon his own tracks, did he have a suspicion of a third figure walking with them: a fanged shadow thrown against the broadloom brickwork of an empty street, but when he started forward it was gone.
10. Circles from the Rue Simon-Crubellier – Max Richter
Then for a moment, one part of Smiley broke into open revolt against the other. The wave of angry doubt that had swept over him in Lacon’s garden, and that ever since had pulled against his progress like a worrying tide, drove him now onto the rocks of despair, and then to mutiny: I refuse.
11. Brain Damage / Eclipse – Pink Floyd And all that you love, and all that you hate All you distrust, all you save And all that you give and all that you deal And all that you buy, beg, borrow, or steal And all you create, and all you destroy
And all that is now, and all that is gone And all that's to come And everything under the sun is in tune But the sun is eclipsed by the moon
“Well, damn it, I got him back,” Haydon snapped. “Yes, that was good of you. Tell me, did Jim come to see you before he left on that Testify mission?” “Yes, he did, as a matter of fact.” …He came to warn you, Smiley thought; because he loved you… Jim was watching your back for you right till the end.
12. Comrades – Clint Mansell
Smiley shrugged it all aside, distrustful as ever of the standard shapes of human motive, and settled instead for a picture of one of those wooden Russian dolls that open up, revealing one person inside the other, and another inside him. Of all men living, only Karla had seen the last little doll inside Bill Haydon.
13. Exile - Killing Joke Outside the boundaries where all the streets are empty In such a lonely moment we reach the same conclusion Chants of cathedral choirs, stations of iron cogs grind Primeval screams we heard, release cannot be found
We that have tasted such beauties of corruption Triumphal arches raised designed to fall again My kingdom and place of exile
…in the open night under a clear sky, lit by several hand torches and stared at by several white-faced inmates of the Nursery, sat Bill Haydon on a garden bench facing the moonlit cricket field. He was wearing striped pyjamas under his overcoat; they looked more like prison clothes. His eyes were open and his head was propped unnaturally to one side, like the head of a bird when its neck has been expertly broken.
14. Like Two Strangers – Trentemøller
For the rest of that term, Jim Prideaux behaved in the eyes of Bill Roach much as his mother had behaved when his father went away… Worst of all was his staring, empty look when Roach caught him unawares, and the way he forgot things in class, even the red marks for merit: Roach had to remind him to hand them in each week.
15. Love Is Blindness – U2 Love is clockworks, and cold steel Fingers too numb to feel Squeeze the handle, blow out the candle Love is blindness, I don’t want to see Won’t you wrap the night around me?
Love is drowning in a deep well All the secrets and no one to tell
With time, Jim seemed to respond to treatment, however. His eye grew clearer and he became alert again, as the shadow of his mother’s death withdrew. By the end of the play, he was more light-hearted than Roach had ever known him.
16. Time – Hans Zimmer
“But Jim acts from instinct… he is functional… He’s my other half; between us we’d make one marvellous man, except that neither of us can sing.”
17. You Always Hurt the One You Love – Connie Francis You always hurt the one you love The one you shouldn't hurt at all You always take the sweetest rose And crush it till the petals fall
You always break the kindest heart With a hasty word you can't recall So if I broke your heart last night It's because I love you most of all
started and fin. 2012.
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opera-ghosts · 2 years ago
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OTD in Music History: Russian-Soviet composer Nikolai Myaskovsky (1881 - 1950) is born near Modlin Fortress (present-day Poland) in what was then the Russian Empire. Sometimes referred to as the "Father of the Soviet Symphony,” Myaskosvky was highly acclaimed in his own day. While he was awarded the Soviet Union’s highest honor – the “Stalin Prize” – five times, however, Myaskovsky always remained a rather distant and enigmatic figure. Fundamentally a conservative artist, Myaskovsky nevertheless enjoyed flirting with “modernism” from time to time; possessed of a markedly individualistic spirit, he flourished even within the decidedly collectivist atmosphere of the Stalin-Era Soviet Union. After enrolling at the St. Petersburg Conservatory in 1906 (at the age of 25), Myaskovsky studied with Nicolai Rimsky-Korsakov (1844 - 1908) and Anatol Lyadov (1855 – 1914) and befriended the young Sergei Prokofiev (1891 - 1953), who was ten years his junior. In his third year at the Conservatory, Myaskovsky composed his Symphony No. 1 – which won him a scholarship that paid for the remainder of his schooling. After graduating in 1911, he initially supported himself by teaching private lessons before eventually securing a position at the Moscow Conservatory. Myaskovsky rose to international prominence as a composer in the mid-1920s, and throughout the 1930s-40s he continued to churn out a long series of symphonies, piano sonatas, and string quartets. He also notably taught both Aram Khachaturian (1903 - 1978) and Dmitri Kabalevsky (1904 - 1987). PICTURED: A small photo showing the middle-aged Myaskovsky, which he signed and dated in Moscow in 1936.
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sheetmusiclibrarypdf · 6 months ago
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The Library Of Easy Piano Classics, Vol.1 & 2
The Library Of Easy Piano Classics, Vol.1:Best Sheet Music download from our Library.The Library Of Easy Piano Classics, Vol.2:Please, subscribe to our Library. Thank you!
The Library Of Easy Piano Classics, Vol.1:
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Contents: The Library Of Easy Piano Classics, Vol.1Download - Butterfly - Rameau: Le Tambourin - Georg Friedrich Händel: Air And Variations - Georg Friedrich Händel: Air - Scriabin: Album Leaf - Wolfgang Amadeus Mozart: Alla Turca Turkish March - Edvard Grieg: Anitra'S Dance Peer Gynt Suite Op.46 No.1 - Ludwig van Beethoven: Bagatelle - Jacques Offenbach: Barcarolle Les Contes D'Hoffmann - Pyotr Ilyich Tchaikovsky: Capriccio Italienne Op.45 - Claude Debussy: Deux Arabesques - Ludwig van Beethoven: Ecossaise - Frédéric Chopin: Fantasie Impromptu - Wolfgang Amadeus Mozart: Fantasy In D Minor - Johann Sebastian Bach: Four Pieces From The Little Notebook - Ludwig van Beethoven: Fur Elise Bagatelle In A Minor Woo 59 - Franz Joseph Haydn: Gipsy Rondo - Claude Debussy: Golliwogg'S Cakewalk - Dmitri Kabalevsky: Having Fun - Edvard Grieg: Humerosque - Antonin Dvorák: Humoresque - Johannes Brahms: Hungarian Dance - Franz Liszt: Hungarian Rhapsody No.1 - Claude Debussy: La Fille Aux Cheveux De Lin - Georg Friedrich Händel: Largo - Louis-Claude Daquin: Le Coucou - Franz Liszt: Liebestraum - Isaac Albéniz: Malaguena - Franz Schubert: March Militaire - Frédéric Chopin: Mazurka In B Flat - Claude Debussy: Minstrels - Minuet Blavet - Ludwig van Beethoven: Minuet In G - Franz Schubert: Moment Musicale Op.94 No.3 - Ludwig van Beethoven: Moonlight Sonata Op.27 No.2 - Fauré: Nocturne - Nocturne In E Flat Op.9 No.2 - Frédéric Chopin: Nocturne Op. 72 No. 1 - Sergei Prokofiev: Peter And The Wolf - Zdenek Fibich: Poem - Dimitri Shostakovich: Polka - Bach: Prelude And Fugue Book 1. No 2 - Bach: Prelude And Fugue Book 2 No. 12 - Frédéric Chopin: Prelude In A Op.28 No.7 - Frédéric Chopin: Prelude In B Minor Op.28 No.6 - Sergei Rachmaninov: Prelude - Bach: Prlude No. 1 - Rondinio Field - Ludwig van Beethoven: Rondo A Capriccio In G Op.129 - Hummel: Rondo - Wolfgang Amadeus Mozart: Rondo In D - Aram Il'yich Khachaturian: Saber Dance - Franz Schubert: Serenade - Ludwig van Beethoven: Six Variations - Franz Joseph Haydn: Sonata In D Major - Wolfgang Amadeus Mozart: Sonata K 543 - Sonate Au Clair De Lune Moonlight Sonata - Nicolay Rimsky-Korsakov: Song Of India Sadko - Isaac Albéniz: Tango - Johann Strauss Jr.: The Blue Danube Waltz Op.314 - Scott Joplin: The Cascades - Franck: The Doll's Complaint - Robert Schumann: The Happy Farmer Op.68 No.10 Album For The Young - Claude Debussy: The Little Negro - Anatol Lyadov: The Music Box - Edward MacDowell: To A Wild Rose Woodland Sketches Op.51 - Traumerei Kinderscenen Op.15 No.7 - Erik Satie: Trois Gnossiennes - Frédéric Chopin: Valse - Johannes Brahms: Waltz In A Flat Op.39 No.15 - Frédéric Chopin: Waltz In C Sharp Minor Op.64 No.2 - Carl Maria von Weber: Waltz
The Library Of Easy Piano Classics, Vol.2:
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Contents: The Library Of Easy Piano Classics Vol 2Download - 1812 Overture op49 (Tschaikowsky, Peter Iljitsch) - Air (Bach, Wilhelm Friedemann) - Allegretto Scherzando (Bach, Carl Philipp Emanuel) - American The Beautiful (Ward, Samuel A.) - Anitra's Dance (Peer Gynt Suite op46,1) (Grieg, Edvard) - Aria (Verdi, Giuseppe) - Arietta - Prelude No1 In C From The Well-tempered Clavier (Js, Bach) - Ave Verum Corpus K.618 - Allegretto Scherzando (Cpe Bach) - Air (Wf Bach) - Bell Song From Lakme - Minuet In G - Sympathy No7 - Sympathy No 7 - Sympathy No3 'Eroica' - Sympathy No 6 'Pastoral' - Theme From Variations On A Theme From Paisello's La Molinara - Piano Concerto No4 - Ecossaises - Minuet Op 49 No 2 - Farandolce From L'Arlesienne Suite No2 - Hungarian Dance No 4 - Hungarian Dance No 6 - Lullaby - Waltz - Prelude Op 28 No 4 - Gavotte - Waltz Op 18 - Waltz Op 34 No 1 - Waltz Op 64 No 2 - Waltz Op 69 No 2 - Nocturne Op 9 No 2 - Polonaise Op 40 No 1 - Polonaise Op 53 - Fantasy Impromptu Op 66 - Funeral March From Sonata - Sonatina - Reverie - Bell Song From Lakme - Pizzicati From Sylvia - Slavonic Dance No 10 - Melody - Jeanie With The Light Brown Hair (Foster) - Mighty Lak A Rose (Nevin) - Entry Of The Gladiators - Waltz Fromfaust - Anitras Dance From Peer Gynt - Minuet - Piano Concerto - Bouree - Gavotte - Minuet No 1 - Bouree From Music Of The Royal Fireworks - German Dance - Saint Anthony Chorale - Gypsy Love Song (Herbert) - My Herat At Thy Sweet Voice (Samson And Delilah) - Danube Waves - Parade Of The Tin Soldiers - Maple Leaf Rag (Joplin) - Over The Waves - Parade Of The Tin Soldiers - Four Scottish Dances - Les Preludes - Fascination - Nocturne - Fingal's Cave (Mendelsshon) - Theme - Piano Concerto In C - Minuet From Don Giovanni - Minuet In F - Minuet - Ave Verum - Romance From Eine Kleine Nachtmusik - Rondo - Romance From Piano Concerto No 20 - Arietta - Menuetto - Sailor's Dance (Dido And Aeneas) - Mighty Lak A Rose (Nevin) - Caprice No 24 - The Whistler And His Dog - Themes From Madame Butterfly - Solvejg's Song - Sailors Dance - Rondeau - Minuet - Over The Waves - My Heart At Thy Sweet Voice (Saint Saens) - Minuet (Scarlatti) - Sympathy No 7 - Trout Quintet - Impromptu - Moment Musicale - Sympathy No 9 - Piano Trio In E Flat - The Happy Farmer - Blindmans Buff - Melody - Slumber Song - Traumerei - Canon (Sciabin) - The Stars And Stripes Foreveer - The Washington Post - Emperor Waltz - Tritsch Tratsch Polka - Vienna Blood - Wine Women And Song - I Am The Very Model Of A Modern Major General (Sullivan) - Themes From Madame Butterfly - Morning Prayer - Waltz - Waltz In E Flat - Tritsch Tratsch Polka - Sympathy No 5 - Sympathy No 6 - March From The Nutcracker - Waltz Of The Flower - 1812 Overture - Chanson Triste - Battle Hymn Of The Republic (Traditional American Hymn) - Waltz (Schlubert) - Waltz In A Flat Op.34 No.1 - Red River Valley (Traditional American Song) - Waltz In C Sharp Minor Op.64 No.2 - Chicken Reel (Traditional American Fiddle Tune) - Waltz In E Flat - Good King Wenceslas (Traditional English Carol) - Prayer Of Thanksgiving (Traditional Netherlands Hymn) - Auldlang Syne (Traditional Scottish Air) - Aria - Evening Star - Wine Women And Song - The Band Played On - American The Beautiful Read the full article
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lesser-known-composers · 1 month ago
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Dmitri Kabalevsky (1904 - 1987)
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mtndewbajablast · 2 years ago
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fast clown music mix excerpt
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excuse me
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aschenblumen · 3 years ago
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Dmitri Kabalevsky, Piano concerto nº 2, op. 23 (II. Andantino semplice).
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transfemgeorgecostanza · 4 years ago
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this is the kind of stuff i love, i’m sorry i am basic
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churchofsatannews · 6 years ago
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Vox Satanae: Episode 431 — Musical Humor
Vox Satanae: Episode 431 — Musical Humor
Vox Satanae – Episode 431 �� 666 Minutes – Week of April 1, 2019
This week we hear works by Franz Joseph Haydn, P.D.Q. Bach, Wolfgang Amadeus Mozart, Richard Wagner, Camille Saint-Saëns, Gustav Holst, Richard Strauss, and Dmitri Kabalevsky.
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Vox Satanae
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