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#divorcé enseignante
curiouswan · 4 months
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Marc, un homme récemment divorcé, venait de s'installer dans une petite ville pittoresque pour recommencer sa vie. Loin du tumulte de sa vie passée, il cherchait la paix et une nouvelle direction. Un matin, alors qu'il buvait son café au bistrot du coin, son regard croisa celui de Claire, une enseignante de l'école primaire locale.
Claire, avec ses yeux pétillants et son sourire chaleureux, apportait une touche de lumière à la vie des enfants qu'elle enseignait. Malgré son apparence joyeuse, elle cachait une peine secrète : une relation amoureuse qui s'était terminée brusquement quelques années auparavant. La douleur de cette séparation l'avait rendue méfiante envers l'amour.
Un jour, Marc fut invité à donner une conférence sur son travail de photographe à l'école de Claire. Lorsqu'il entra dans la classe, il sentit une vague de nervosité, mais la présence rassurante de Claire le calma. Pendant la présentation, leurs regards se croisèrent plusieurs fois, éveillant une curiosité mutuelle.
Après la conférence, Claire le remercia chaleureusement et l'invita à prendre un café. Ils découvrirent des passions communes pour la littérature et les voyages. Les discussions se prolongèrent bien au-delà de l'heure de fermeture du café, et les rires fusèrent comme s'ils se connaissaient depuis toujours.
Les semaines passèrent et Marc commença à fréquenter l'école régulièrement pour aider avec des projets artistiques. Son talent de photographe devint une source d'inspiration pour les enfants, mais surtout, il se rapprocha de Claire. Ils passaient de plus en plus de temps ensemble, découvrant chacun les blessures et les espoirs de l'autre.
Un soir, après une exposition de photos organisée par Marc, ils se retrouvèrent sous un ciel étoilé. La tension était palpable, mais cette fois-ci, Marc prit son courage à deux mains. "Claire, je sais que nous avons tous les deux été blessés par le passé, mais je sens quelque chose de spécial entre nous. Veux-tu qu'on essaie de voir où cela nous mène ?" demanda-t-il, les yeux brillants d'espoir.
Claire hésita un instant, le cœur battant à tout rompre, puis sourit doucement. "Oui, Marc. Essayons. Parce que toi et moi, nous méritons une seconde chance au bonheur."
Ainsi commença leur nouvelle histoire, bâtie sur les ruines de leurs peines passées, mais emplie d'espoir et de tendresse. Ils savaient que rien ne serait facile, mais ensemble, ils étaient prêts à affronter l'avenir, main dans la main.
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vincentdelaplage · 2 years
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CINÉ CINÉMA #cineserie #cinécinéma RITA SYNOPSIS Rita est une enseignante quadragénaire, mère de trois enfants. Femme au caractère très affirmé, elle est divorcée et se veut indépendante, attisant bien souvent la haine des autres adultes tandis que ses élèves sont nombreux à l'apprécier. Chaque épisode se concentre sur des sujets de société à travers des expériences du quotidien (l'éducation, l'homosexualité, le deuil, la séparation, le mensonge, etc.). BANDE ANNONCE https://youtu.be/Jq0hwEXhnJ0 DÉTAILS Depuis 2012 / 42 min / Comédie dramatique Créée par Christian Torpe Avec Mille Dinesen, Carsten Bjørnlund, Lise Baastrup Nationalité Danemark CRITIQUE Rita est une prof tout sauf ordinaire, très appréciée des élèves mais beaucoup moins des autres enseignants et des parents, pas toujours d’accord avec ses méthodes. Anticonformiste et franche, elle ne respecte pas les règles et n’en fait qu’à sa tête. Ce qui ne l’empêche pas d’être une très bonne enseignante. Série danoise, Rita compte pour le moment 5 saisons de 8 épisodes. J’en avais entendu parler pour la première fois quand son adaptation française, Sam, a commencé, on m’avait alors conseillé de voir plutôt l’originale. Et je me suis enfin décidée à la regarder il y a quelques mois, peu après l’arrivée de la saison 5 sur Netflix. https://www.facebook.com/groups/258021104684457/?ref=share_group_link https://www.instagram.com/p/ClnyYEIM6q-/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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nonscolemondedapres · 4 years
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Portrait #4
Voilà, c’est mon tour, de tenter l’exercice du portrait, moi qui suis à l’intérieur de l’EN depuis plus de trente ans – 50 même, si je compte mon long cursus scolaire, avec seulement quelques 13 mois d’interruption, pour une incursion dans le milieu de l’édition pour enfants.
Après avoir été pionne, auxiliaire, je suis prof et formatrice à l’INSPE (formation des futurs profs), spécialiste des apprentissages en projet et référente culture.
Pur produit de l’EN, nourrie dans le giron de l’école laïque publique et gratuite, ascenseur social et tutti quanti ; je suis Une qui s’est cramponnée, bec et ongles, à l’école, pour ne pas tomber : question de survie.
Est-ce que j’ai ma place ici, dans cette série de portrait de parents IEF et unscho ? Est-ce que c’est MA place ? Ah cette éternelle question de la légitimité, elle vient de loin ! C’est en tout cas la place que je me choisis.
J’ai eu une de ces enfances paradoxales, pleine de la chaleur d’une tribu, de bonheurs lumineux, d’explorations, d’aventures en bandes d’enfants, de cabanes et de découvertes dans la nature. Les joies simples et sauvages d’une enfance libre, jusqu’à mes huit ans, dans le monde rural de la fin des années 60, la vie d’un bistrot de campagne où j’ai passé mes plus belles heures magiques entre parties de cartes et de billard et le bonheur de soirée chantées et contées. Puis j’ai découvert la ville et des journées à me dépasser dans la danse classique, dans les arts, la bande d’enfants de quartiers.
Mais aussi, une enfance pleine de violences : violences familiales, descentes de flics, assistantes sociales, psychologues délégués pour bilans familiaux …. Famille coup d’éclats, famille éclatée, recomposée, décomposée encore. Est-ce que j’avais ma place dans un monde où personne ne vivait les mêmes choses que moi, dans ce monde de la deuxième moitié du XXème siècle où, en campagne comme dans un petite ville bourgeoise catholique de province, les enfants de divorcés avec 4 frères de 3 pères différents – et de différentes origines-, n’étaient pas légions ?
L’école, dans tout ça, l’école avec ses contraintes immuables, ses rituels bien réglés, ses systèmes de récompenses et de punitions sans surprise et ses adultes à leur place prévisibles d’adultes a été mon port d’attache : un espace de normalité. Je pouvais y faire semblant, sans qu’on n’y remarque rien pour peu que j’en saisisse bien le fonctionnement. J’y ai eu de la chance aussi, la chance de vivre ma scolarité à une époque de transition, à une époque où il y avait encore beaucoup d’enseignants biberonnés à Piaget et Freinet, des convaincus d’un idéal pédagogique, et des gauchos, très rouges, préoccupés des enfants qu’ils avaient en charge (et ils en avaient bien moins de trente à l’époque !) qui nous faisaient sortir de l’enceinte de l’école, du collège, pour vivre des apprentissages sur le terrain, rencontrer des gens différents, expérimenter, collaborer. Ces adultes-là me sont devenus images tutélaires et ont forgé ma vocation. Et m’ont permis de ne pas trop me focaliser sur tous les autres, ceux qui tétanisaient la petite fille en moi en me rappelant par trop les échos des violences familiales.
Alors, toute petite, je me suis promis deux choses : je serai un meilleur parent que ceux que j’avais connus et je deviendrai une enseignante préoccupée de celles et ceux à qui elle enseigne. J’apprendrai la juste dose d’amour à porter sur moi, sur les autres, sur ce que je fais pour que le monde aille mieux. Et ça prendrait le temps qu’il faudra.
J’avais un but dont je ne pouvais dévier. Il me fallait me plier aux règles de l’école ; c’était le seul chemin que je voyais, le seul accessible. Très vite pourtant, j’ai compris que l’école ne fonctionnait pas à tous les coups, n’était pas bénéfique pour tous les enfants. Parce que, ce qu’elle avait représenté pour moi, elle n’avait pas su le réussir pour mes quatre frères, ni pour eux ni pour tellement d’autres que j’ai croisés par la suite. Je n’étais pas une expérience reproductible. J’étais seulement moi, avec mon histoire et mes instincts, mes intuitions.
Et pourtant, malgré ça, à l’école, j’ai toujours été trop. Trop bavarde, trop curieuse, trop littéraire, trop « présente », trop fantasque. Trop et pas assez à la fois. Sentiment de ne pas être tout à fait à ma place toujours, et SURTOUT de détester les étiquettes que l’école collait sur le dos des élèves si vite et de manière si définitive.
J’y ai refusé la voie d’excellence que l’on m’y proposait (hypokhâgne), j’ai louvoyé avec le système -puisque la vie s’était chargée de m’apprendre à m’adapter- pour parsemer ma scolarité des choses que j’aimais le plus : du théâtre, de la danse, du théâtre encore. Être sur scène finalement, c’était faire vivre pleinement l’artifice, le masque que j’avais décidé d’endosser.
J’ai réussi mon cursus scolaire sans difficulté. C’était simple pour moi, de me conformer, de fonctionner dans ces contraintes-là, qui me semblait tellement moins douloureuses que ce que j’avais vécu à la maison, facile de comprendre ce que l’on attendait de moi à l’école, au collège, au lycée, à la fac, facile pour moi de jouer ce rôle attendu de l’élève « pas trop parfaite un peu rebelle » et d’assurer le minimum nécessaire à la réussite, facile d’ingurgiter des savoirs, souvent inutiles, mais qui au moins me permettaient d’ouvrir porte sur porte et de me tenir loin d’un monde fracassé, … avec l’assurance de ne pas revenir en arrière. Portée par le désir de faire avec les autres, par un amour de l’humain qui ne m’a jamais lâché, je me suis engagée, très tôt, dans l’éducation populaire, d’abord en tant qu’animatrice, puis formatrice, puis présidente associative. J’ai fait la paix, avec le passé, avec ma famille, avec moi. Assez pour regarder mes vieux démons en face, assez pour vouloir fonder un couple et puis une famille.
Je suis devenue mère de ma première merveille l’année de mes 25 ans, l’année où je préparais les concours de l’EN. Une grossesse immensément désirée, à la fin de mes études, une grossesse heureuse, vivifiante : sages-femmes indépendantes, préparation haptonomique, chant prénatal, yoga... Un accouchement dans une clinique Leboyer, sans violence, en deux heures. Joie totale ! Je suis née à moi-même avec elle. En paix vraiment. Et forte.
J’ai été reçue, aux 2 concours : instit (on les appelait encore comme ça début 90) et prof du second degré. Mais là encore, j’ai choisi de ne pas être une « tout à fait prof » : alors que j’avais suivi des études de Lettres, puis de Français Langue étrangère, j’ai opté pour le métier de professeur documentaliste. Parce que je ne voulais pas de la prison d’une discipline qui rétrécirait le champ des possibles, qui rendrait ridiculement étroits les dialogues et les échanges avec les enfants, qui m’obligerait à les noter, à courir après un programme, à n’être qu’une quand ce que je trouvais passionnant était dans la multiplicité… Et j’ai choisi le lycée et le lycée pro, pour la certitude d’aller là où il y aurait les élèves les plus abimés par le système, ceux pour qui l’école n’avait pas été la voie de la construction mais le parcours du chaos et de l’échec. Envie de réparer l’humain. J’avais la foi, celle des hussards si chers à Blanquer, dit-on. Liberté, Egalité, Fraternité chevillés au corps et au cœur et la conviction que je pouvais être, à mon tour, un de ces adultes référents qui accompagnent les résiliences, même là où c’était particulièrement complexe.
Seulement, …  je n’ai jamais cessé de me questionner, de comparer l’éducation populaire et l’EN, de lire, de chercher à comprendre, à mieux faire, à mieux être. En tant que mère. En tant que prof. Ça m’a rendue de plus en plus « regardante ». J’avais été formée et formatée par l’école, que je le veuille ou non, et j’y croyais encore, assez pour sacrifier au rituel ma fille et mon fils de 4 ans son cadet (né en 7 minutes lui, pressé qu’il était de prendre sa place dans une fratrie où il était follement attendu).
J’étais convaincue qu’accompagnés par notre amour, notre vigilance, notre bienveillance familiale, mes deux enfants en retireraient le meilleur. Je pourrais dire que je n’ai pas vu s’éteindre chez ces enfants, mes enfants, plein de vie, de curiosités, de dons naturels, cette pure vivacité qui s’épanouissait avec nous : je mentirais. J’ai vu des enfants, mes enfants, heureux d’être au milieu des humains de tous âges et si différents qui partageaient nos vies, pleurer de devoir rester à l’école. J’ai entendu ma fille, qui parlait couramment à 10 mois sans pratiquement avoir parlé bébé, me raconter l’âpreté des relations aux autres, les injustices des punitions, dès l’école maternelle où elle était entrée à 2 ans et demi parce qu’elle me l’avait demandé et parce que c’était la norme, celle que je portais et que je transmettais sans même en avoir conscience. J’ai vu mon fils de 3 ans, qui dessinait parfaitement des micro-mondes complexes, avec de minuscules personnages et des tas de détails, cesser de dessiner quand il a été obligé de commencer à graphier à l’école, avec sa gestuelle de gaucher. J’ai vu toutes ces choses qui me serraient le cœur et sur lesquelles, ensemble, nous mettions des mots et que nous avons essayé de démonter de notre mieux, en famille, au fil des années… pour compenser. Mais je les ai laissés dans l’école, parce que j’y étais, parce que je ne voyais pas d’autres solutions possibles dans la vie qui était la mienne. Parce que je venais de si loin. Et j’avançais à petit pas vers eux, avec eux. Lentement.
Ma fille s’est adaptée au système, avec beaucoup de mots autour des situations, beaucoup d’écoute, d’échanges, pas mal d’erreurs de ma part aussi. Mon fils, bien moins facilement, mais lui, pour un problème de santé nécessitant des interventions chirurgicales pendant 4 ans, a été scolarisé à la maison, de la 3ème à la terminale, 4 mois par an. En une petite semaine de face à face pédagogique, 4 heures par jour, il rattrapait un mois de cours, y compris en terminale S. Et il a obtenu 16 au bac en espagnol en ayant travaillé tout seul, avec quelques cours du CNED, juste le strict minimum obligatoire pour pouvoir valider son année. De quoi bien questionner l’efficacité du système d’apprentissage imposé ! J’aime les belles personnes qu’elle et ils sont devenus aujourd’hui, leur fratrie complice, leur regard sur le monde qui me fait grandir sans cesse, leurs choix de vie. J’aime les entendre dire qu’ils ont pu trouver leur voie en confiance parce que leur parole était écoutée à la maison, parce qu’ils se sont toujours sentis respectés en tant que personne. Cela adoucit un peu le sentiment de culpabilité de les avoir laisser se débrouiller, malgré tout, avec tout ce qui fait violence dans l’école, tout ce qui me faisait violence, à moi de l’intérieur… et mes « C’est comme ça, hélas je sais, mais je vais vous donner des clés pour vous adapter mes enfants chéris, et passer le cap ! » pour toute réponse.
Ces clés, je continue sans cesse, chaque année, à vouloir les déposer à portée de mains des jeunes dont je croise la route. Avec la même obstination et le même amour de leurs potentiels. J’essaie d’ouvrir grand les fenêtres et les portes et de repousser les murs pour ne pas les étouffer et étouffer avec elles et eux.Je vois comment notre formation d’enseignant, loin de nous enrichir, nous rétrécit, faisant de nous des « sachants », incapables de nous penser « avec », mais toujours au-dessus, en position d’autorité, d’adulte responsable de sa classe :  la fameuse « posture du prof » attendue par l’institution ! Je vois combien il est difficile pour mes collègues, ceux que j’embarque dans la pédagogie de projets, d’accepter de ne plus être au centre, de se mettre simplement à hauteur d’élèves et de faire avec eux, d’être élèves avec eux.
Je vois comment l’obsession du programme à couvrir prime sur l’intérêt et le sens même du contenu dudit programme et comment le timing d’une séance de cours de 55 minutes ne correspond guère au temps nécessaire pour générer de la disponibilité, de la curiosité, de la digression et du dialogue avec les enfants ou les jeunes (à quelques rarissimes exceptions près).
Je vois combien une journée de cours (qui démarre parfois à 6h du matin – lorsque l’on prend en compte les temps de transport- et s’achève au lycée à 18h) ne respecte aucunement les rythmes et les besoins des adolescents et que le nombre de têtes qui s’effondrent, ou de cerveaux qui s’échappent dans le rien ou vers autre chose en sont des preuves évidentes.
Je vois bien qu’un adulte est incapable, sans manifester de l’inconfort, de suivre 8 heures de formation descendante par jour alors que c’est ce que l’on impose à un adolescent, 5 jours par semaine.
Je vois la maigre place qui est faite à la parole des adolescents, l’absence d’espace prévu pour le dialogue, la dévalorisation même de cette parole si elle n’est pas pure reproduction du contenu d’un cours. Et leur demande incessante, bruyante, de cette parole confisquée.Je vois le mépris et la condescendance, tour à tour et parfois conjointement, lors des conseils, en salle des profs, quand ce n’est pas en classe. Pas par tous mais déjà trop.
Et je vois comment celleux qui se préoccupent d’un mieux-être des jeunes souffrent, et de plus en plus, de ne pas savoir, de ne pas pouvoir.Je vois comment l’on traite l’échec, comment élèves et adultes sont renvoyés à leur échec, coupable d’échouer, alors qu’il ou elle n’est « coupable » que d’avoir essayé… ou pas.
Je vois l’effet terrible des notations sur l’estime de soi et sur l’envie de faire.Je vois ce que l’école fait des recherches en pédagogies, des théories pédagogiques alternatives, des expérimentations ou plutôt ce qu’elle n’en fait pas, la place que cela tient dans la formation des enseignants, le peu d’outils comparatistes prévus au cursus professoral.Je vois. Que l’école n’est pas la moins pire des solutions. Elle est la seule « pensée », construite pour servir les desseins d’une société. Et elle est en peine. Je suis en peine.
Ainsi c’est parce que je vois que je reste. Pour tenter de faire pour d’autres, ce que j’ai pu faire, un peu, pour mes propres enfants. Pour tenter aussi d’accompagner mes collègues vers d’autres voies, Vers d’autres VOIR. Consciente qu’il me reste encore tant de progrès à faire pour ne pas être dans le jugement, dans une forme larvée de violence, consciente aussi que je me fais complice d’un système, le rendant plus supportable en étant un « agent atténuateur » mais incapable de renoncer à agir de l’intérieur… à cause d’une promesse d’enfant.
Alors après avoir été complice et même activiste d’un système dont je vois pourtant les défauts, me voici maintenant Traîtresse (Dézécolle comme dirait Pef !) puisqu’en train de rédiger un portrait pour un groupe majoritairement coordonné par des parents IEF ? Je ne trahis rien, je confirme ma promesse, celle d’agir pour une école respectueuse des enfants, cette promesse qui me fait m’employer à rendre vivant, autant que je le peux, le triptyque républicain ET la Convention internationale des Droits de l’enfant Et les libertés individuelles.
Je suis ce que je suis : pas toujours à ma place ; je déteste les étiquettes ; je déteste ce qui réduit, ce qui enferme. Mais je ne cesserai jamais de vouloir MIEUX. Vouloir que chaque enfant, ici et dans le monde, puisse avoir accès à l’instruction, à l’altérité, aux connaissances et à la culture, selon ses besoins et ses désirs, et non pas dans un format où la contrainte dépasse de très loin les effets bénéfiques.
Vouloir que chaque enfant puisse expérimenter réellement le sens des mots Liberté, Egalité, Fraternité et non pas qu’il n’en connaisse que la saveur amère, celle de l’injonction.
Vouloir que chaque enfant soit considéré comme un être humain à part entière et non réduit à une « fonction » obligatoire d’élève et ce dès l’âge de 3 ans.
Vouloir que chaque enfant puisse choisir comment il apprend.Vouloir des ponts entre les mondes, entre les connaissances, entre les humains.Et vouloir donc que demeure l’IEF, pour toutes les familles qui en font le choix, mais aussi pour l’école de la république elle-même qui a tant à apprendre en se regardant dans ce miroir-là.
Vouloir.
En équilibre entre deux mondes qui ne s’opposent pas mais se complètent. Parce que demain c’est maintenant.
Sylvie
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La laideur du monde et la beauté des choses simples Aurore-Augustine Bacon Collection : Détours romanesques Ft : 14,5 X 22,5 - 222 pages - 16 € #roman ISBN : 979-10-310-0697-0 Emma, huit ans, a disparu soudainement un vendredi midi. L’inquiétude, l’incompréhension et la peur gagnent alors son entourage. Sa grand-mère meurtrie culpabilise. Son enseignante impuissante se sent dévastée. Un village entier s’unit. Ses parents divorcés devront affronter ensemble ce drame dans l’unique but de la ramener saine et sauve. Ce fait divers fictif mais cruellement réaliste nous rappelle la complexité émotionnelle de l’être humain ; et derrière chaque épreuve se lient des gens qui n’aspirent qu’à une seule chose : l’amour.
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NOUVEAU : Suivez l'actu du blog sur Telegram ! Une enseignante canadienne est accusée d’avoir violé des garçons handicapés Oh, bon sang. On en a une autre. Accrochez-vous. Via le Toronto Sun : Une enseignante divorcée du New Jersey aurait traité sa classe d’élèves handicapés comme son harem privé. Selon l’Essex County Daily Voice, trois…
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grizzly36 · 4 years
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Une deux trois de Dror Mishani
Une deux trois de Dror Mishani
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La première se nomme Orna, elle est enseignante, elle est divorcée. Elle vit très mal sa séparation. La deuxième se nomme Emilia, une travailleuse immigrée seule qui vit comme auxiliaire de vie auprès de personnes âgées, et la troisième se nomme Ella ….
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Arundhati Roy, la plume flamboyante d’une Inde brisée
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Pas besoin de sonner. Le portail n’est pas fermé et c’est Arundhati Roy, entourée de ses deux chiens, qui ouvre la porte de son appartement, dans une maison du sud de Delhi. Les lieux sont à son image : modestes, chaleureux, baignés de mots, de livres, d’affiches et de souvenirs, comme ceux d’une étudiante qui n’aurait pas vraiment voulu grandir. Le temps n’a pas de prise sur son univers, rassemblé par la cohérence et la puissance de son intériorité.
À 60 ans, l’Indienne du Kerala aux boucles sauvages irradie de sa beauté délicate. De petite taille, douce et rieuse, elle reste cette fée farouche et singulière qui, depuis plus de vingt ans, touche de sa plume le monde qu’elle observe pour en extraire intensément l’essence et le sens. Une fée indomptable, forgée de rage et de compassion, qui veut révéler par ses mots ce que nos yeux refuseraient de voir. Son intelligence insatiable sonde avec fureur le monde et ses inégalités. En Inde, au spectacle de la politique, de la société, de l’environnement, du développement, du capitalisme, elle décrit fascisme, oppression, destruction, mensonge, néant. À ceux qui lui reprochent de forcer le trait, elle leur jette au visage leur lâcheté. De ses essais politiques à ses deux romans magistraux, Le Dieu des Petits Riens, publié en 1997, et Le Ministère du Bonheur Suprême, en 2018, l’écriture est pour elle un même acte organique d’existence et de résistance.
Une enfance entourée de violence
Hantée par sa révolte, elle est habitée de ses fantômes. Elle les côtoie dès l’enfance, au cœur de la beauté rurale du Kerala qu’elle mettra en scène, avec un lyrisme éblouissant, dans le Dieu des Petits Riens. « L’écriture a toujours été ma manière de m’exprimer », dit-elle dans un sourire espiègle. « Je hais Miss Mitten » est la première phrase qu’elle écrit dans son journal de petite fille, indignée par les remontrances d’une enseignante. « La colère peut être utilisée pour de grandes choses », assure la romancière. « Dans mon enfance, il y avait beaucoup de violences autour de moi », poursuit-elle en évoquant les conflits avec sa mère, mais aussi la communauté conservatrice au sein de laquelle elle grandit, seule avec son frère et sa mère, une femme chrétienne et divorcée. Le système hindou des castes, qu’elle exècre et accuse d’être la racine du mal indien, la met d’emblée en marge sociale. « Être conventionnelle n’était pas une option pour moi. Je voulais juste partir. »
Le départ, l’indépendance…
Et elle part. La petite provinciale n’a que 16 ans quand elle s’installe à New Delhi où elle va s’inscrire en école d’architecture. « Toutes les grandes décisions de ma vie visent à accéder à l’indépendance. » Dans l’Inde encore figée des années 1980, la jeune femme dévore sa liberté, brassant amitiés, amours, idées et créativité. Elle s’affirme : « Je n’étais d’accord en rien avec ce que l’on m’enseignait mais ces années ont été cruciales car elles m’ont justement appris à ne pas être d’accord. »
Après avoir écrit des scénarios de films, Arundhati Roy publie son premier roman à l’âge de 36 ans. Vendu à 6 millions d’exemplaires et couronné par le Booker Prize, Le Dieu des Petits Riens est une tornade littéraire. « C’était flatteur, mais très déconcertant », commente la romancière. Propulsée en égérie d’une Inde en plein essor, elle rue vite dans les brancards et refuse de suivre les sillages de la gloire. Elle prend son pays à contre-pied et publie, l’année suivante, La Fin de l’imagination, un texte qui fustige les essais nucléaires de l’Inde. Le tournant de l’engagement politique est sans retour.
Le temps des combats
Durant deux décennies, elle abandonne la fiction. Elle multiplie les combats. L’insolente pamphlétaire devient la mauvaise conscience de l’Inde. Déplacements de populations, constructions de barrages, pogroms antimusulmans au Gujarat sous la gouvernance de l’actuel premier ministre Narendra Modi, méfaits de l’exploitation minière, ou mépris des basses castes, des minorités et des aborigènes… Sa plume brillante et rebelle dénonce « la trajectoire de l’Inde », de la libéralisation économique à la montée de l’extrême droite hindoue. Avec une clairvoyance visionnaire, elle en annonce les drames et les plaies.
La romancière ose s’attaquer au sujet le plus tabou de l’Inde, le Cachemire, et fustige « l’occupation » destructrice de l’armée dans cette seule province à majorité musulmane. Elle tourne le dos aux élites patriotiques de Delhi, qui bientôt l’abhorrent, et arpente les campagnes. Au péril de sa vie, elle se rend dans la jungle contrôlée par la guérilla maoïste, saluant un ultime combat mené pour la défense des terres aborigènes. Elle marche avec les camarades armés, se baigne dans les rivières sauvages avec les combattantes et, la nuit, s’anime de discussions politiques et de rires autour des feux de camp. « L’une des expériences les plus incroyables de ma vie, souligne-t-elle. Mais je suis une personne individuelle et seule. Je veux comprendre les enjeux et travailler en tant qu’écrivain qui raconte des histoires. » L’intellectuelle paye néanmoins le prix de ses convictions dissidentes. Si elle est adulée en Occident, elle essuie, en Inde, menaces, polémiques et intimidations. Traitée de « terroriste », elle a même été appelée à être lapidée par un politicien.
Retour en littérature
Elle dit aujourd’hui être « au bout d’un cycle d’écriture ». Son dernier roman, Le Ministère du Bonheur Suprême, lui a demandé des années de travail. En même temps, son discours s’est durci face à la puissance de l’extrême droite hindoue. « Nous sommes face à une force politique, financière et médiatique. Cela ne veut pas dire que l’on va perdre mais la bataille va être effrayante. » La semaine précédente, à la fin février, des violences orchestrées par des milices hindoues contre les musulmans ont ensanglanté Delhi. « Cela fait trois nuits que je ne dors pas », admet-elle. L’Inde d’aujourd’hui la terrifie et elle cite avec effroi la liste implacable des assauts perpétrés contre les minorités. « C’est impossible de digérer cette brutalité. » Arundhati Roy ne sourit plus et ses yeux ourlés de khôl s’assombrissent. « Ce qui est difficile, c’est quand on ne peut pas fermer les yeux… »
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COLOCATAIRES
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COLOCATAIRES de Danielle Steel
Résumé : “ Célibataire depuis peu, Francesca Thayer se sent désespérée. Seule, elle craint de ne pouvoir assumer la charmante maison de Greenwich Village et la galerie d'art new-yorkaise qu'elle dirigeait avec son ex-compagnon. Une solution s'impose : la colocation ! Doucement, la maison reprend vie : il y a d'abord Eileen, une jeune enseignante de Californie, puis Chris, un père de famille divorcé, et enfin Marya, une célèbre cuisinière qui a perdu son mari. Rapidement, une joyeuse complicité s'installe entre les colocataires. Portée par cette énergie nouvelle, Francesca se sent prête à ouvrir à nouveau son cour. Marya tombe amoureuse d'un homme marié mais refuse de mener une double vie. Chris se bat contre son ex-femme pour obtenir la garde de son fils. Eileen, malgré les mises en garde, trouve un petit ami sur Internet, mais très vite leur relation tourne au cauchemar puis au drame. Les trois colocataires, bouleversés par la disparition de leur amie, se serrent les coudes comme une vraie famille. Chris et Francesca se rapprochent tout particulièrement et, petit à petit, leur amitié se transforme en amour...”
340 pages
1€
Roman Adultes
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songedunenuitdete · 7 years
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Jalouse de David et Stéphane Foenkinos
Création de : David et Stéphane Foenkinos Année de sortie : 8 novembre 2017 Avec : Karin Viard, Anne Dorval et Thibault de Montalembert Nationalité : Française Genre : Comédie Durée : 102 minutes
Synopsis :
Nathalie Pêcheux, professeure de lettres divorcée, passe quasiment du jour au lendemain de mère attentionnée à jalouse maladive. Si sa première cible est sa ravissante fille de 18 ans, Mathilde, danseuse classique, son champ d’action s’étend bientôt à ses amis, ses collègues, voire son voisinage… Entre comédie grinçante et suspense psychologique, la bascule inattendue d’une femme.
  Bande-annonce
Mon avis
Cette semaine, j’ai beaucoup hésité sur les films proposés. D’après une histoire vraie et A beautyful day me tentaient bien. Mais je n’étais pas spécialement d’humeur à voir un drame ou un film psychologique. Alors Jalouse, qui me tentait pas mal, me semblait idéal pour mon état d’esprit du moment.
Nathalie, interprétée par Karin Viard, entre dans une période difficile. La prof de lettres, divorcée et célibataire d’une cinquantaine d’années, commence à envier la beauté de sa fille de tout juste dix-huit ans. Il faut la comprendre aussi, Nathalie est toujours bien apprêtée, alors que sa fille, Mathilde, un pantalon simple, un pull un peu large et elle est prête à sortir avec son copain. Moi aussi je serais jalouse ! En tout cas, Karin Viard est au taquet dans ce film, elle est tellement convaincante, je n’y ai vu que du feu ! L’actrice a brillamment interprété son rôle, tantôt charmante, insupportable et même arrogante, tout en étant touchante. Nathalie est un personnage accessible, a qui on peut facilement s’identifier.
Dara Tombroff, Mathilde, est une belle découverte. Je crois qu’elle est danseuse au vu de sa performance, s’il y a eu doublure, je n’y ai – là encore – vu que du feu. Elle fait ses débuts d’actrice dans ce long-métrage des frères Fornjinos. 
Je ne suis pas fan de Thibault de Mantalembert. Mais j’avoue, je ne le connaissais pas il y a quelques semaines, c’est en regardant un film, “Harcelée”, en replay sur France 2 que j’ai connu cet acteur. Il est plutôt convaincant, mais je le préfère en père divorcé et remarié qu’en harceleur.
Anne Dorval tient brillamment le rôle de Sophie, la meilleure amie de Nathalie. Cette dernière est jalouse de son amie, de son couple plus précisément. Sophie arrive à supporter le comportement de Nathalie dans sa période “transit”, mais bien sûr elle a ses limites. Malgré tout ce que Nathalie a pu lui dire, elle reste auprès d’elle. Et ça c’est une amitié forte qui fait rêver ! 
Anaïs Demoustier incarne Mélanie, la nouvelle enseignante du lycée où travaille Nathalie, qui se sent en concurrence avec elle. Mélanie est tout ce que Nathalie n’est plus, jeune, nouvelle, avec des idées intéressantes.
Isabelle est la seconde épouse, la belle mère, et bien sûr “La femme qui couche avec mon mari… mon ex-mari…”. Marie-Julie Baup est adorable dans ce rôle. Un mélange de douceur tendre, et d’idiotie, un côté “cruche” qui m’a bien plu.
Ce n’est pas un film aussi léger que Le sens de la fête, dans cette réalisation des frères Fornjinos, car il contient une pointe de réflexion qui n’est pas dans l’autre.  On est face à une période de vie sensible pour les femmes avec le plus que fâcheux mot qui commence par un “M”.
L’histoire n’a aucune intrigue particulière, mais elle n’en n’est pas moins intéressante. Karin Viard fait tout dans ce film. Les rires ce sont fait entendre dans la salle. J’ai passée un très bon moment, c’est un film que je reverrai avec grand plaisir !
[Chronique Ciné - Orme Étoile] Mon avis sur Jalouse de David et Stéphane Foenkinos. Une comédie détaillante aux personnages attachants. Jalouse de David et Stéphane Foenkinos Création de : David et Stéphane Foenkinos Année de sortie : 8 novembre 2017…
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LUNDI 13 NOVEMBRE 2017 (Billet 1 / 4)
Nous avons eu un programme très chargé la semaine dernière… heureusement, qu’avec des choses sympathiques !
Tout d’abord, dans notre cinéma préféré, nous avons assisté à l’avant-première du film « JALOUSE », en présence de toute l’Equipe du film : les deux metteurs en scène (les frères Foenkinos), tous les comédiens… et Karin Viard.
Nous ne vous montrons pas la bande-annonce car vous avez déjà du la voir des dizaines de fois à la télé (la promo a été intensive) mais, ci-dessus, l’affiche du film et des photos prises dans la salle avec l’iPhone de JM. Vous y entrapercevrez Karine V. en pantalon et David et Stéphane F. (un peu flous, mais nous étions loin).
Qu’avons-nous pensé du film ? Marina l’a bien aimé, JM juste un petit peu moins mais, si nous sommes loin d’un chef d’œuvre, le film est honnête, parfois drôle, parfois cruel… et Karin Viard, présente dans presque tous les plans, peut dévoiler (enfin !) toutes les facettes de son talent. Comme nous vous l’avions déjà dit, nous avons un petit faible pour cette actrice…
Marina lui a donné ♥♥♥,5 et JM, ♥♥♥.
La critique pro qui se rapproche le plus de nos deux avis est celle du Nouvel Obs :
« Jamais Karin Viard n'a été plus détestable. En plus, elle joue si bien qu'elle paraît ne pas jouer. Et cela ajoute à notre antipathie pour cette femme envieuse, fielleuse, soupçonneuse et bêcheuse. Elle arrive même à pourrir ce qui lui réussit.
Prof de lettres respectée dans un grand lycée parisien, elle extermine la jeune enseignante (Anaïs Demoustier) qui feint de lui disputer son trône. Virago divorcée, elle jette à la rue les prétendants qui s'échinent à la séduire. Malveillante obstinée, elle cherche, et finit par trouver, l'occasion de détruire sa meilleure amie (Anne Dorval). Jusqu'à sa propre fille – la ravissante danseuse Dara Tombroff –, qu'elle prétend adorer, mais dont elle va méthodiquement détruire les rêves étoilés de ballerine.
On voit que si " la Délicatesse ", le premier film des frères David et Stéphane Foenkinos, ne faisait pas dans la délicatesse, " Jalouse ", plus incisif, donne vraiment dans la jalousie. Une jalousie caricaturale – sans quoi il n'y aurait pas de comédie – que le talent de Karin Viard parvient à rendre plausible et transforme même en douleur muette. C'est ainsi que cette femme au bord de la crise de nerfs finit par susciter une manière de compassion. »
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