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#disponibilités
abridurif · 10 months
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Peu d’esprits sont spacieux ; peu même ont une place vide et offrent quelque point vacant. Presque tous ont des capacités étroites et occupées par quelque savoir qui les bouche. Quel supplice de parler à des têtes pleines, et où rien d’extérieur ne peut entrer ! Il faut qu’un bon esprit, pour jouir de lui-même et en laisser jouir les autres, se conserve toujours plus grand que ses propres pensées. Et pour cela il faut qu’il donne à celles-ci une forme ployante, aisée à resserrer et à étendre, propre enfin à en maintenir la flexibilité naturelle. Tous ces esprits à vues courtes voient clair dans leurs petites idées et ne voient rien dans celles d’autrui, semblables à ces mauvais yeux qui voient de près ce qui est obscur et qui de loin ne peuvent rien apercevoir de ce qui est clair. Esprits de nuit et de ténèbres. Joseph Joubert, Carnets, Éditions Gallimard, 1938/1994, p. 192
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jeviensdevoir · 8 months
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La rencontre, une philosophie, Charles Pépin
"La rencontre exige cette disponibilité-là : être capable de prendre son temps, de le perdre aussi, de s'arracher à la dictature des choses à faire, à la pression de l'urgence [...] Le temps est devenu une valeur. Nous surchargeons nos agendas pour donner l'impression d'une vie bien remplie, d'une réussite sociale, professionnelle; être débordé est devenu signe extérieur de richesse. Celui qui a du temps fait figure d'oisif, de paresseux, voire de loser... Nous en venons à détruire la possibilité même de notre disponibilité."
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adalidda · 3 months
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Photo d’illustration : Le maïs comme ingrédient pour les produits cosmétiques (domaine public)
À la découverte du trésor de l'Afrique de l'Ouest : Les grains de maïs de Sahel Agri-Sol
5 juillet 2024
Au cœur de l'Afrique de l'Ouest, les agriculteurs cultivent les trésors de la nature - des grains de maïs inégalés en qualité, saveur et polyvalence. En tant qu’exportateur des produits agricoles, nous invitons les fabricants de produits alimentaires et de cosmétiques du monde entier à découvrir le pouvoir transformateur de notre maïs exceptionnel.
Un héritage d'excellence
L'histoire de Sahel Agri-Sol est profondément enracinée dans la riche tradition agricole du Mali. Depuis des générations, nos agriculteurs prennent soin de la terre, combinant des techniques éprouvées avec des pratiques durables modernes. Cette approche unique donne des grains de maïs qui non seulement répondent, mais dépassent les normes mondiales, offrant un produit vraiment spécial sur le marché actuel.
Pour les fabricants de produits alimentaires : Élevez vos créations culinaires
Profil gustatif
Nos grains de maïs possèdent une saveur robuste, légèrement sucrée avec des notes de noisette - un témoignage du terroir unique de l'Afrique de l'Ouest. Ce goût distinctif peut ajouter de la profondeur et du caractère à une large gamme de produits alimentaires, distinguant vos offres sur un marché concurrentiel.
Polyvalence
De la farine de maïs traditionnelle et de la polenta aux en-cas innovants et au popcorn gourmet, notre maïs s'adapte magnifiquement à diverses applications. Sa texture supérieure et sa qualité constante le rendent idéal pour :
Excellence nutritionnelle
Riche en nutriments essentiels, notre maïs est une source de :
Pour les fabricants de cosmétiques : Le secret de beauté nature
Ingrédients innovants
Libérez le potentiel du maïs dans vos formulations cosmétiques :
1. Extrait de soie de maïs : Riche en antioxydants, il offre des propriétés anti-âge et apaisantes pour la peau.
2. Huile de maïs : Une huile légère, non comédogène, parfaite pour les hydratants et les produits capillaires.
3. Amidon de maïs : Un excellent absorbant naturel pour les poudres et les shampoings secs.
4. Farine de maïs fine : Un exfoliant doux pour les gommages corporels et les nettoyants pour le visage.
Attrait écologique
À une époque où les consommateurs exigent des solutions de beauté naturelles et durables, nos ingrédients dérivés du maïs offrent un récit convaincant. Mettez en avant la pureté et l'origine de vos ingrédients, en reliant votre marque au riche patrimoine agricole de l'Afrique de l'Ouest.
Les avantages Sahel Agri-Sol
1. Culture durable
Nos fermes emploient un mélange de sagesse traditionnelle et de pratiques écologiques modernes, assurant un impact environnemental minimal tout en maximisant le rendement et la qualité.
2. Contrôle qualité rigoureux
De la sélection des semences à la récolte et au traitement, chaque étape est méticuleusement surveillée. Nos installations de pointe et nos protocoles de test rigoureux garantissent la pureté, la cohérence et la sécurité.
3. Solutions flexibles
Que vous ayez besoin d'expéditions en vrac ou de plus petites quantités, nous offrons des options d'emballage personnalisables pour répondre à vos besoins spécifiques.
4. Disponibilité toute l'année
Notre planification stratégique et nos vastes installations de stockage assurent un approvisionnement stable tout au long de l'année, protégeant vos calendriers de production des fluctuations saisonnières.
5. Avantage concurrentiel
En choisissant Sahel Agri-Sol, vous n'achetez pas seulement du maïs - vous investissez dans une histoire de durabilité, de tradition et de qualité qui résonne avec les consommateurs conscients d'aujourd'hui.
6. Soutien et expertise
Notre équipe d'experts agricoles et de professionnels du service client est toujours prête à vous aider, de la sélection des produits au soutien logistique.
Portée mondiale, impact local
En vous associant à Sahel Agri-Sol, vous ne vous contentez pas d'élever vos produits, mais vous soutenez également des pratiques agricoles durables et contribuez au développement économique des communautés ouest-africaines.
Découvrez la différence Sahel Agri-Sol
Nous vous invitons à découvrir la qualité inégalée de notre maïs ouest-africain. Contactez-nous dès aujourd'hui pour demander des échantillons, discuter de vos besoins spécifiques ou organiser une visite de nos installations au Mali. Explorons ensemble comment les grains de maïs premium de Sahel Agri-Sol peuvent révolutionner votre gamme de produits et captiver vos clients.
Apportez l'essence dorée de l'Afrique de l'Ouest à vos produits mondiaux. Choisissez Sahel Agri-Sol - où la qualité rencontre la tradition et l'innovation embrasse la nature.
Sahel Agri-Sol
Hamdallaye ACI 2 000,
Immeuble « BAMA » 5ème étage APT 7
Bamako
Mali
Téléphone: +223 20 22 75 77
Mobile:  +223 70 63 63 23, +223 65 45 38 38
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clairvoyanceetheree · 3 months
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rindouheart · 2 years
Note
Hello how are you ? I would have liked to ask you if you could write scenarios about Noël Noa and Itoshi Sae (separated) where they fall in love with a journalist please
NOËL NOA and ITOSHI SAE falling in love with a journalist 🎋
content. fluffy boys being cute + gender neutral s/o <3
author’s note. hi cutie! sorry for being this late, i’ve been quite busy with school, sorry! hope you enjoy + my french is a bit rusty, tell me if i’ve misspelled something.
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NOËL NOA
“so, how was playing alongside blue lock’s young players?” your colleague asks to translate.
you turn your head towards the football player and translate the sentence. first, you’re a journalist, but in your group, you’re also the only who can fluently speak multiple languages. you’re not specialised in the sport field, however, knowing four languages brought you the opportunity to work in many other contexts.
noa is absolutely stunned by your fluency when speaking french, you’re almost as good as a native. he wonders how much effort you had to put into learning languages. japanese is pretty different from european languages, especially because of the alphabet and the sentences’ structure.
“merci à vous pour votre disponibilité” you thank him after finishing the interview. he loves how cute your japanese accents sounds.
noa is almost tempted to ask you if you’d like to ask a couple more questions, just to hear you speaking french again. however, a bunch of other journalists is coming towards him, so he wouldn’t have enough time to answer to everyone.
he can see your name and the newspaper you work for before you leave, though. he saves a mental note to look for you during the next interview or conference, and who knows, he might ask you what he hasn’t asked you today.
ITOSHI SAE
sae wasn’t expecting to find someone like you to interview him after his return to japan. he’s always been used to those old journalists who have been in the industry for like, what? a century or so? you are quite a surprise to him.
“welcome back, itoshi, so, how was your adventure in europe?” you ask him through your microphone, waiting for his answer. you’re not just pretty, your voice is also nice to hear.
while he’s answering with all the details about how the team acted towards him and such, sae looks at you, taking notes about his answer.
he swears he’s never seen you before. however, you might be one of the most famous journalists in japan, since he’s been abroad for a long time.
at the end of his conference, when everyone is leaving, he walks towards you and, when he’s sure that no one is listening, sae asks for your name.
“are you new in the field? i mean, it might have been because i’ve not been around, but your face seems new to me” he questions. you nod in response “i’ve been working as a journalist for a couple of months now. the newspaper i write for isn’t as big as many others, but i personally love my job”
“i’ve noticed it, you look much more professional than any other one in the room” you smile after hearing his compliment. oh god, your smile. sae is completely lost.
“would you like to get a coffee or something with me? we can chat a bit and i can tell you some exclusives to add on your article” he asks.
when you accept gladly, sae smiles. he’s totally fallen for you and he won’t give up so easily.
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@rindouheart ‘s scenarios — 02092023
820 notes · View notes
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Un souvenir et une anecdote supplémentaire pour vous expliquer mon candaulisme :
Une autre soirée fut aussi tout autant une étape importante dans mon chemin vers le Candaulisme...
Une soirée étudiante ou presque d’Ana ma petite amie de l’époque.
Etudiante brillante et consciencieuse, elle avait voulu participer au fait que je lui avais ouvert mon appartement totalement et spontanément pour l’aider à réaliser ses études dès le premier jour de notre rencontre...
Quelques conflits récurrents avec ses parents lui pesaient.
Elle me les avait confiés le soir même de notre rencontre et je m’en étais aussi ému...
J’étais aussi pleinement amoureux...
Aussi, nous habitions ensemble depuis quelques mois sans que jamais je ne lui demande rien en retour.
Elle en était consciente et voulait-elle aussi participer.
Mener de front études et travail est un défi et un challenge où l’organisation et le rythme imposé sont parfois peu compatibles avec l’amour, les résultats et la fatigue...Elle le savait mais indirectement elle pensait me devoir tant sans pour autant ne lui avoir jamais rien réclamé en retour, ce qu’elle appréciait aussi beaucoup.
Elle avait quelques fois abordé le sujet mais je ne lui répondais toujours que d’un sourire, lui disant de vivre, de profiter, d’aimer, de travailler et d’être la plus heureuse possible...
Je crois, et je sais maintenant, que tout cela est aussi une racine profonde du Candaulisme...
Néanmoins, et c’est assez paradoxal, ce furent ses études qui lui permirent un jour de prétendre à un travail...
Il s’agissait en début d’année étudiante, sa deuxième année, d’être présente à la sortie des amphis et d’inviter et de sensibiliser ses jeunes collègues étudiants de première année à lire et surtout à s’abonner à des magazines divers et variés leur permettant d’élargir leurs connaissances dans des domaines voisins et importants de leurs sujets d’étude...
Aussi, se rendait elle en équipe pendant les quatre ou cinq  premières semaines de la rentrée dans les amphis, de tôt le matin jusqu’à parfois tard le soir, agrémenté de virées nocturnes dans les bars à étudiants de la ville.
Il le fallait selon les recommandations du responsable des ventes pour souder les équipes et faire connaissance de plus de monde encore au travers les premières soirées estudiantines organisées pour la cohésion des futures promotions...
Aussi, après des débuts enjoués et prometteurs sur le plan financier (chaque abonnement certifié faisait l’objet d’une ristourne de l’éditeur et comme il s’agissait d’abonnements annuels, les émoluments pouvaient parfois être réellement intéressants...) une certaine fatigue et quelques désagréments brisant notre agréable routine de jeune couple virent le jour.
Un rythme de travail assez effréné était demandé ainsi qu’une grande disponibilité pour « écumer » les facs de la grande ville où nous habitions...
Nous ne nous voyons plus beaucoup et mon appartement servait surtout de base arrière pour les présentoirs et les exemplaires des magazines et autres quotidiens en vente.
La fatigue se faisait réellement sentir et moi je devenais surtout celui qui l’hébergeait, lui faisait à manger (repas qu’elle prenait en fait rarement car son équipe très dynamique et pour tout dire « fêtarde » allait très souvent « célébrer » les résultats des uns et des autres dans un bar pour encore et toujours souder les équipes commerciales et profiter des contacts étudiants qui pouvaient s’y faire encore plus aisément autour d’un verre...
Aussi, sur le plan sentimental et sexuel, c’était plutôt la disette...
Dur, dur pour moi alors que d’ordinaire, nous étions rarement plusieurs heures sans nous câliner et sûrement pas et encore moins un jour......
Un petit « cérémonial » s’était néanmoins instauré car je crois qu’elle m’aimait sincèrement, pâtissait aussi de cette situation et s’en sentait un peu coupable même si la fierté de ramener de l’argent dans notre couple la motivait et la recompensait.
Ainsi, chaque soir (plutôt en milieu de nuit du coup...) où elle rentrait, juste après s’être douchée et alors que j’étais bien souvent endormi, elle venait me câliner, me prendre en main sexuellement parlant (elle aimait depuis nos premiers jours mon sexe, sa forme, sa douceur...)
Bref elle aimait ma bite, jouer avec pour me faire bander...
Chose qu’elle obtenait très rapidement au vu de sa dextérité et de ses envies manifestes...
En trentenaire ardent et vaillant, qui aurait pu s’en plaindre... ?
Elle me prenait alors rapidement en bouche pour me sucer (elle raffolait des fellations... !) et me taillait une pipe experte, souvent rapide en ces circonstances mais toujours appréciée, appréciable, adroite et victorieuse...
J’en appréciais totalement le bonheur tout en devant souvent rester sur ma faim et sur « la béquille » tandis que, quasiment à chaque fois, elle s’endormait en me gratifiant d’un « Bonne nuit mon amour », la bouche pleine et comblée de l’expression de mes désirs et de mon plaisir...
Elle aimait le gout de ma semence, l’avalait depuis toujours et l’appréciait...
Jamais elle ne m’avait sucé sans déguster le fruit de ses audaces et expertises.
Parfois même, elle me déposait un baiser légèrement gluant et chaud sur les lèvres...
Au début de notre relation j’en avais été surpris mais m’étais habitué et trouvais cela touchant en termes de partages et d’audace...
Ce rituel effectué, elle se tournait rapidement puis s’endormait profondément tout aussitôt...
Profondément était le terme : j’avais une ou deux fois, dans un état érectile indécent et difficile à calmer, n’arrivant réellement pas à m’endormir, voulu la prendre mais devant son corps si tendrement abandonné, j’avais résisté à l’envie de le faire sans son consentement express, même si rien ne pouvait me faire douter de ses désirs une seconde, pour la pénétrer sauvagement...
Elle ne m’en aurait pas voulu...
Non, j’en étais pleinement assuré et je pense même qu’elle aurait pu percevoir cela comme tout à fait légitime, voire même coquin...
Mais pour moi sans conscience et sans consentement il n’en était pas question...
Question de principe, de respect, d’honneur et tout autant de bonheur du partage.
S’en serait-elle même aperçue... ?
Du coup, pour quel plaisir... ?
Si je ne pouvais partager, je trouvais assez absurde de ne satisfaire que moi...
Oui, elle dormait très profondément !
Pour autant, souvent pris par les désirs et la beauté de son corps alangui qu’elle abandonnait parfaitement et naturellement à ma vue, (elle ne dormait que nue et y tenait),  je la caressais tendrement, bandant là encore comme un fou, et la couvrais de baisers ...
Le spectacle de son corps abandonné et offert sans défense enchantait et régalait au plus haut point mes yeux... Et pas que...
Ce n’était rien qu’en cela et déjà un réel bonheur...
Je dois confesser que parfois, il m’arrivait même de me masturber en la regardant, si belle, innocente, ...
 Je m’autorisais aussi de mes lèvres et de ma langue à la humer, la titiller sans la réveiller, la couvrir de baisers et notamment sur son sexe...
Quelques gémissements parfaits attestaient qu’elle ressentait sûrement mes attouchements sans pour autant en être réveillée... C’était réellement délicieux...
Oui, je me satisfaisais et même me régalais de tout cela à défaut de pouvoir lui faire l’amour comme j’en avais envie et l’honorer pleinement comme à nos habitudes...
Cependant, un soir, elle rentra un peu plus tard et vint directement se coucher...
Elle ne manqua pas pour autant à nos nouvelles habitudes et me suça talentueusement, avec même une gourmandise et une ardeur qui me rappelaient les pipes interminables dont elle était experte et adorait me gratifier avant d’incorporer cette équipe commerciale et qui j’en étais sûr ne tarderaient pas à reprendre une fois cette parenthèse économique terminée...
Je fus bien entendu ravi de sa prestation et lorsqu’elle vint m’embrasser à pleine bouche avec délectation et gourmandises, je perçus un goût légèrement différent du mien et de l’ordinaire...
Je n’en fis pas un problème et mis cette différence sur le compte de l’alcool et de la soirée festive qu’elle venait manifestement de passer...
Je la laissais s’endormir et poursuivis seul mon cérémonial...
Non douchée et manifestement très fatiguée, certainement assez ivre, elle ne s’était pas couchée nue comme d’habitude à mon grand étonnement mais avait conservé sa robe légère de soirée ainsi que son string que je pouvais deviner alors qu’elle se lovait sur le côté remontant ses jambes et redressant du coup sa courte robe sur le galbe de ses sublimes fesses...
Comme d’habitude, je ne résistais pas au plaisir de la couvrir de baisers et de caresses me sentant même encore plus entrain de la voir m’être revenue guillerette et heureuse, encore plus que d’ordinaire de sa soirée...J’aimais la voir heureuse et satisfaite...
Poursuivant mes « voyages », je relevais d’avantage sa robe sur son cul...
Je baisais de mes lèvres entreprenantes ses fesses et m’approchais de sa fente...
J’avais pris l’habitude, quoiqu’il arrive d’y déposer tous les soirs un baiser et même parfois d’oser y introduire légèrement la pointe de ma langue afin de gouter aux douces saveurs de sa chatte aux effluves pour moi si envoutantes...Elles berçaient, enchantaient et embaumaient ainsi quoiqu’il arrive mes nuits d’une telle douceur...
J’entrepris alors de mes doigts agiles de déplacer légèrement son string, sans la réveiller, car la ficelle fermait partiellement l’accès à sa délicieuse fente...
Je fis glisser le trait d’étoffe de mes doigts et qu’elle ne fut pas ma surprise de constater qu’il était complétement trempé et même qu’une sorte de méat un peu gluant semblait y être déposé...
Une jouissance... ? Du sperme... ?
L’ire et ma jalousie prirent immédiatement le contrôle de mon cerveau et de mes émotions
J’en restais, mentalement et physiquement sur le cul...Le sang affluant et bouillonnant dans mon esprit et mon corps...
Elle avait baisé... !
Elle avait dû baiser avec un autre... !
Un autre que moi dans cette putain de soirée...Et dans ce con qui était censé n’être qu’à moi... !
Je me sentais dans une telle rage, une telle colère...
Que faire... ?
Assis sur mes genoux, la regardant avec des yeux totalement différents de l’habitude...
Son string encore là...tout souillé du sperme d’un autre...j’en étais sûr...!
Instinctivement j’approchais mon visage et mon nez jusqu’ à y porter mes narines puis ma langue...
Oui, oui, c’était ce même goût que j’avais identifié dans le baiser donné avant qu’elle ne s’endorme...
La salope ! Elle m’avait trompé cette chienne..., c’était sûr...
Cette salope, ma salope... !
Ma chienne alors qu’on s’était toujours promis d’être complice quelque fut notre ou nos envies... !
Néanmoins, je ne parvenais pas à décoller mon regard de son cul et de son sexe encore gonflé et emplit d’un autre...Non je n’y parvenais pas, et même en moi j’arrivais à trouver des ressources et un calme doux qui maintenant m’envahissait…
J’avais bien des « papillons » dans le ventre..., un vertige dans la tête...
Mais étonnamment, pas ou plus de colère... !
A tel point que je me suis de nouveau penché...
De nouveau j’ai humé ce méat que je ne pouvais même plus détester... !
Son string était tellement imprégné de la mouille et de son odeur qu’il en devenait agréable, tant à la vue qu’à l’imaginaire...Oh oui elle avait du réellement jouir...
Je ne pus m’empêcher de retourner le sentir, le toucher, le « tester » même de mes narines...
Plusieurs fois...
Le goûter même...
Puis d’instants en instants jusqu’à la lécher consciencieusement, minutieusement avec, je devais me l’avouer, un plaisir grandissant, subjuguant et effaçant de manière incroyable toute colère ...
J’en profitais abondamment...J’aimais... !
J’en étais stupéfait mais j’aimais... !
J’aimais surtout à m’imaginer la saillie qu’elle avait subi, la saillie de son con et le plaisir qu’elle, qu’ils avaient dû connaitre...Je n’étais même pas jaloux de ne pas y avoir été...
Un peu vexé...j’aurais préféré que pour une première, même si je lui avais déjà confié ce fantasme du mari trompé avec son plein acquiescement mais présent...Elle était allée plus loin...
Plus vite même que je n’avais secrètement jamais imaginé ou désiré...
Pour autant c’est un rêve secret dont je lui avais fait la confidence et que par bravade je l’avais assurée que je ne serais pas jaloux...
En fait, si un peu, mais pas si fortement que cela ...
Assurément déçu qu’on n’ait pas partagé cette première et de ne pas avoir l’histoire de cette incartade ni d’avoir pu y assister...
Lorsqu’on en avait parlé et évoqué elle ne m’avait pas caché la possibilité que cela puisse arriver tant elle aimait le sexe, attirait les hommes et avait conscience de ses désirs et de ses faiblesses...
De plus, en lui ayant fait la confidence de ce Candaulisme naissant que je sentais déjà vivre en moi, je ne pouvais rien lui reprocher...
Elle avait seulement anticipé mes désirs et peut-être plaisirs...
Je ne les avais pas imaginés de la sorte et s’imposer aussi brutalement à moi...
Pour autant, qu’en restait-il pour moi... ?
Je venais de le constater...Je le constatais en direct...
Du plaisir, de la cérébralité, de l’amour pour le sexe, de l’amour pour elle, des envies...
Encore plus d’envies ...
Encore plus de désirs et d’amour pour elle comme je l’avais imaginé et quelque part voulu et demandé...Alors... ?
Plus encore quand je me rendis compte que je bandais comme un taureau et ne débandais pas alors que de longues minutes s’étaient déjà passées a regarder, que dis-je, admiré et fantasmé sur sa chatte épanouie, belle et manifestement comblée et heureuse...
 Je n’avais ainsi, à cet instant, que l’irrésistible envie de la baiser comme la chienne qu’elle était, celle que j’avais souhaité qu’elle soit...
Oui, je bandais comme un fou et contrairement à ma réserve et mes principes des soirs auparavant, je l’ai prise sauvagement, bestialement, jusqu’à la faire jouir comme peut-être jamais, ni elle ni moi-même n’avions jouis comme cela depuis longtemps et sommes partis dans un orgasme fulgurant et absolu qui me faisait de nouveau encore plus encore bander, devenir fou d’elle, fou de son corps, fou de son con, fou de ses jus...
Elle s’était réveillée...Jouissait ...hurlait...m’en demandait encore et encore... !
C’était incroyable... ! Irréel... !
Nous avons fait cinq ou six fois l’amour cette nuit-là  sans jamais nous lasser et nous nous sommes endormis tendrement l’un dans les bras de l’autre...
Au petit matin, elle est venue sensuellement me réveiller, me remercier de cette folle nuit et de la liberté que j’avais pu lui accorder, me disant qu’elle avait tant rêvé dans ses fantasmes les plus insensés de ce genre de nuit...
Elle me dit que toute cette intensité et ces besoins sexuels lui avaient manqués depuis un certain temps et son incorporation dans cette team de vente...Nous n’avions quasi plus le temps de faire l’amour... !
Que cette nuit un homme plus âgé mais beau lui avait fait du rentre dedans, l’avait fait boire, l’avait séduite et convaincue de passer à l’acte sans même me prévenir (elle était bien consciente de ce manque mais m’ayant informé que cela pouvait arriver et moi lui ayant tant parlé de ce fantasme du mari trompé consciemment... elle s’était dit avant de s’abandonner totalement à lui dans les toilettes du bar que cela ne changerait rien aux choses et que si notre amour était bien réel et celui qu’elle m’avait décrit et toujours imaginé était bien présent, alors cela ne poserai pas de problème...)
Oui elle s’en voulait de ne pas avoir pu le vivre avec moi en direct live...
Oui elle s’en voulait de ne pas me l’avoir dit directement en rentrant...
Elle ne voulait pas m’inquiéter et me priver de notre petit rituel jouissif et s’était endormie si ravie, heureuse et comblée surtout quand elle avait osé ce baiser fou dont elle avait si souvent rêvé, mêlant le sperme de cet amant de passage au mien dont elle appréciait tant la saveur...
Oui, bien évidemment elle l’avait sucé, avant, et surtout après qu’il l’ai prise sur un lavabo des toilettes communes du bar et alors qu’il s’essuyait le dard encore gorgé de semence sur son string qu’il avait adroitement écarté pour la pénétrer sauvagement, elle l’avait de nouveau sucé ... !
Accompagnés d’un autre couple se livrant aux mêmes exploits sexuels qu’eux, elle avait indirectement fait une compétition avec l’autre fille qui était par ailleurs sa chalengeuse pour obtenir une prime supplémentaire en raison du nombre de magazines vendus tout au long de leur journée de labeur...
La compétition faisait rage et n’avait pas de limite...
La fille s’était tournée vers la glace surmontant le lavabo pour se refaire une discrète beauté...
Ana avait ressaisi le sexe de son partenaire et l’avait embouché pour le nettoyer scrupuleusement...
Oui ; elle craquerait sûrement sur d’autres, en d’autres lieux, en d’autres soirées, avec moi, sans moi, Elle aimait trop ça... !
Elle m’aimait à la folie... !
Tout comme elle aimait plus que tout sa liberté.
Elle m’assurait qu’elle saurait me récompenser au-delà de mes attentes si je lui procurais tout à la fois la sécurité et la folie de cette impensable liberté...
Dans les vapeurs de la nuit, j’acquiesçais à tout ce qu’elle disait...
Ses aveux étaient si authentiques, touchants et somme toute correspondant tellement à mes aspirations les plus secrètes que je lui pardonnais instantanément et pour toujours...
Elle parti comme d’ordinaire et nous n’avons plus jamais eut à parler de ces instants.
D’autres similaires se reproduiraient...
Beaucoup d’autres à mon et notre plus grand bonheur... !
Je savais qu’elle pourrait de nouveau me tromper...
Sans moi,...Avec moi...Peu importerait pourvu qu'elle me revienne et me conte ses exploits...
Elle savait qu’elle pourrait me tromper...
Nous savions l’un et l’autre ...mais nous le savions maintenant...
Et surtout nous en jouissions si intensément que nous n’en avons jamais eu à en reparler.
Je savais que j’étais réellement Candauliste...
Elle savait qu’elle était une terrible baiseuse, une amante hors-pair et là, maintenant devenue une Hot-Wife comme les nomment les anglo-saxons...
Pour le plaisir de tout le monde, le sien d’abord, le mien, celui de ses futurs amants celui d’avoir une vie sexuelle, libre, riche, épanouie et épanouissante...
Nous en avons réellement profité toutes ces années de fac...
Un jour elle partit étudier définitivement à l’étranger...
Cela ne changea rien...
Ni pour elle, devenue près d’un de ses professeurs de Fac américaine et beaucoup plus âgé qu’elle, la Hot-Wife respectable et respectée qu’elle avait toujours voulu être, la lady américaine classe et parfaite le jour et aux désirs "naughty" de chaque instant...Un des paradoxes de l'Amérique...
Moi, je lui dois d'être devenu pour toujours Candauliste...
Je me souviens tant et avec tant d’émotions, parfois même érectiles, de ces instants où j’ai découvert son string imbibé de sperme, admiré, vu et goûté sa chatte gonflée de plaisir, partagé tant et tant de fois avec elle ces plaisirs et d’autres ensemble, cette philosophie et ce style de vie...
J’ai parfois eu des nouvelles et surtout j’ai toujours eu depuis ses confidences érotiques écrites par mail sur un site dédié à ces pratiques outre-Atlantique, ses délires et ses escapades sexuelles...
Elle s’en était fait un principe de me les dire, comme un légitime devoir envers moi.
Je ne lui demandais rien mais forte et fière de cette liberté que j’avais su lui donner, elle m’informait toujours, parfois même avant son mari, de ses rencontres et péripéties sexuelles variées et nombreuses...
C’est encore aujourd’hui le cas et c’est si bon et intense...
Elle est même devenue BBC, je n'en fus pas surpris connaissant les descriptions des Blacks qu'elle pouvait parfois rencontrer à la Fac et qui à chaque fois qu'elle m'en faisait la confidence la mettait dans des états torrides dont je profitais allègrement...
Moi, j’étais devenu et serais Candauliste pour la vie...
Merci à elle....Merci Ana...Je t’ai enseigné la liberté...Tu es bonne élève, tu as dépassé et il en est fier et heureux, le « maitre »...
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ekman · 2 months
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Une très célèbre école de commerce française communiquait récemment vers les entreprises via le réseau socio-professionnel “LinkedIn”. Elle proposait à d’éventuels prospects en quête de performance personnelle de “renforcer leur leadership par la posture coach”. Rien de moins. Cette annonce, si prototypique du monde de merde dans lequel nous régressons chaque jour que post-Dieu fait, m’a soufflé à l’oreille que la décadence s’accélérait. Plusieurs indices émaillent le parcours qui m’a conduit à cette déduction. Sauras-tu les retrouver ?
• L’accroche qui coiffe le visuel s’est armée de “working idioms” du plus bel effet, favorisant une parité bienvenue entre le langage hébergeur véhiculaire (the français) et les “key-words” impactants (l’english). Comme ça, on ne fâche personne et cette façon montrera aux maîtres anglo-saxons que le français n’est plus, effectivement, qu’un verbiage anecdotique sympathique et inoffensif, donc inoffensant, apte à inclusifier toutes sortes d’impétrants racisés.
• La muse en position debout – c’est à dire en posture dominante – est une crépue génétiquement adoucie ayant fait le choix d’une posture alpha (position des bras), réputée non rigide (la coiffure n’est pas tenue) et indiquant une disponibilité sexuelle grâce à son chemisier laissant apercevoir un décolleté demandeur. On subodore, en complément, une croupe marquée. En dessous de cette lauréate du “Programme Court Executive”, les pas encore “executive”, avec un cadre blanc cravaté et barbu, tendance génuflexion et gay friendly ; à sa droite une jolie dame qui pourrait avoir eu un arrière grand-père natif de Hanoï, phénotype synonyme de soumission aux puissants ; en face de lui un petit morceau de pimbèche française dont on a oublié jusqu’au prénom, mais qui transpire sûrement la frustration et l’esprit revenchard. Pour finir, au premier plan, résolument de dos, un chicanos marocain venu livrer les salades “deetox” Uber-Eats du lundi.
• Comme elle a eu du pif pour booster sa carrière, Christine (appelons-la “Christine”, en hommage à Christine Kelly, la jolie journaliste caribéo-bolloréenne) a voulu améliorer son écoute et adapter son style de leadership, ce qui ne veut absolument rien dire. Elle a, pour ce faire, exploré son cadre de référence et développé son intelligence émotionnelle, ce qui n’en dit pas vraiment beaucoup plus – sauf que “intelligence émotionnelle” indique un embryon d’altruisme post-industriel de bon aloi.
• La signature de ce pavé publicitaire pour le programme “Posture Coach” de cette célébrissime école orientée vers les études commerciales d’altitude, spécifie qu’il développera l’écoute, permettra de questionner efficacement tout en adaptant son style de management. Une promesse en trois points qui aurait sans doute reçu un écho favorable rue Lauriston.
Voilà, vous savez tout. La clé du succès de votre carrière tient à bien peu de choses. Il vous suffit de vous conformer aux standards américano-bolchéviques du moment et votre promotion sera garantie. Soyez “open et bienveillant”, massacrez la piétaille avec le sourire, suggérez une réductions des privilèges carbonés pour maintenir la stratégie éco-favorable sur sa courbe zénithale, trafiquez vos résultats comme Nono-le Rigolo et tout se passera bien pour vous. Enfin n’oubliez pas de souhaiter à vos interlocuteurs une “belle journée” en conclusion de chacun de vos courriels – pardon, de vos mails.
J.-M. M.
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source : @cheminer-poesie-cressant
le blanc est souvent une formule qui s’exprime par apparition ; les nuages sont ceux qui en maitrisent le mieux le processus ; et parfois ils en font des ciels là où il y a une disponibilité ; un dieu suit cela de très près
© Pierre Cressant
(vendredi 15 décembre 2023)
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nymbruyn · 1 year
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Undyingtales jour 1-1
Premier jour et deja en retard ! Donc je vais partir sur un the Undying Tales Project comme par le passé. Mais fois 2! :D Il y aura une illustration un peu plus classique et détaillée comme pour mes anciens inktobers où je me pencherai sur les légendes attachée à chaque animal ou plante, ainsi qu'une version sumi-e du même animal/plante. Donc ici nous avons le premier prompt , le chat léopard de Tsushima, et plein de petits bakenekos. Sumie Minute à venir dans la soirée. :)
Disponibilité de l'original : ✅
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Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: trois concepts pour comprendre la faillite de la raison discursive, dont le discours analytique révèle le mécanisme logique: plus tu fais de profit plus tu veux en faire, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable, plus tu bois de Coca plus tu as soif...
Le "plus de jouir" lacanien — concept indispensable à la saisie des impasses et paradoxes du parlêtre que nous sommes — est directement tiré de la plus-value marxienne.
Pour "illustrer" l'impossibilité du "riche" à payer, un retour à l'original n'est peut-être pas superflu, et voici donc la logique (hegelienne!) que Marx déploie pour décrire le processus de la "consommation":
"En convertissant une partie de son capital en force de travail, le capitaliste valorise son capital global. Il fait d’une pierre deux coups. Il ne profite pas seulement de ce qu’il reçoit de l’ouvrier, mais aussi de ce qu’il lui donne.
Le capital aliéné dans l’échange contre de la force de travail est transformé en moyens de subsistance dont la consommation sert à reproduire les muscles, les nerfs, les os, le cerveau des ouvriers qu’il a déjà et à engendrer de nouveaux ouvriers.
À l’intérieur même des limites de ce qui est absolument nécessaire, la consommation individuelle de la classe ouvrière est donc la retransformation des moyens de subsistance que le capital a aliénés contre de la force de travail, en une force de travail que le capital peut réexploiter.
Elle est production et reproduction du moyen de production le plus indispensable au capitaliste, l’ouvrier lui-même."
(Le Capital, 1867, Livre I, Quatrième édition allemande, Puf, 1993, p. 642.)
Ce qui n'est pas sans éclairer d'une lumière singulière la fameuse déclaration de Patrick Le Lay (alors PDG de TF1) de la logique sous-jacente des médias:
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (...).
Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (...).
Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise."
Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: voilà donc les trois notions paradoxales qui permettent d’aborder le réel dans son rapport au symbolique, et qui permettent de comprendre pourquoi l’idéal de l’échange équilibré reste voué à l’imaginaire, les prétentions rationnelles étant toujours ravagées par une logique de l'excès qui les ruine - plus tu bois de Coca plus tu as soif, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable (plus il t’en coûtera), plus tu fais de profit plus tu veux en faire...
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lacesconfidences · 4 months
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Découvert !
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Je vais vous partager ici un moment intime qui m'a attiré des moqueries et de l'incompréhension...
J'étais étudiant, j'avais mon logement, et depuis maintenant plusieurs années, je m'achetais mes culottes. Elles étaient féminines, avec de la dentelle, du satin... et je les portais au quotidien. J'avais pris soin aussi de m'acheter un lot de "Sloggi" pas trop féminines que je portais pour faire du sport.
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J'allais de temps en temps à la piscine avec les copains et cela ne me posait pas de problème, je trouvais toujours une cabine individuelle pour me changer en toute discrétion.
Sauf, qu'une fois, je ne sais plus pour quelle raison, les cabines n'étaient pas disponibles et il m'a fallu partager les vestiaires collectifs.
Pour le déshabillage, j'ai réussi à me faire discret, prétextant avoir perdu mes clefs à l'accueil, je me suis changé lorsque les autres avaient quitté le vestiaire.
Lors de notre retour du bain, il n'en a pas été de même. J'ai tenté tant bien que mal d'enfiler discrètement ma culotte en me cachant sous ma serviette. Mais elle est tombée ! J'étais de dos, en culotte blanche et je priais pour que personne ne remarque le petit décors de la ceinture.
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Trop tard !
Un des garçons a dit tout haut : "Mais ! C'est un slip de fille ! Ma sœur a les mêmes !"
J'ai tenté de me justifier, dire que je m'étais trompé de tiroir avec ma copine du moment... Rien n'y a fait. J'ai été le sujet de toutes les moqueries possibles.
Depuis ce jour là, j'ai changé de copains car aucun ne m'a compris, et je ne suis plus jamais retourné à la piscine sans m'assurer de la disponibilité des cabines.
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DISCOVERED !
I'm going to share with you here an intimate moment that attracted mockery and incomprehension…
I was a student, I had my accommodation, and for several years now, I had been buying my underwear. They were feminine, with lace, satin… and I wore them every day. I also took care to buy myself a set of not-too-feminine “Sloggi” that I wore when doing sports.
I went to the swimming pool with friends from time to time and that didn't pose a problem for me, I always found an individual cabin to change in complete discretion.
Except, once, I don't remember why, the cabins were not available and I had to share the collective changing rooms.
When undressing, I managed to be discreet, pretending to have lost my keys at reception, I changed when the others had left the locker room.
When we returned from the bath, it was not the same. I tried as best I could to discreetly put on my panties by hiding under my towel. But she fell! I was facing away, in white panties and I prayed that no one would notice the little decoration on the belt.
Too late !
One of the boys said out loud: "But! Those are girls' underwear! My sister has the same ones!"
I tried to justify myself, to say that I had gone to the wrong drawer with my current girlfriend… Nothing worked. I was the subject of every possible mockery.
Since that day, I changed friends because none of them understood me, and I never went back to the pool without checking that the cabins were available.
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La surprise est aussi au cœur des grandes rencontres amicales : en ouverture de son recueil « Les yeux fertiles », dédié à Picasso, Éluard écrit de son ami qu’il lui est « entré dans le cœur par surprise ». Le poète peut d’ailleurs être défini comme cet être absolument disponible à l’inattendu, à l’accueil de ce qui vient - mots, idées, images, émotions… Développons donc notre disponibilité en goûtant ce rapport poétique à l’existence.
Charles Pépin. La rencontre. Une philosophie. 2021
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clairvoyanceetheree · 3 months
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Medium Serieux : La Clé pour une Guidance Spirituelle Authentique 🌟
Medium Serieux : Le Choix de la Confiance et de la Précision 🔮 La recherche d’une guidance spirituelle authentique et précise est une quête que beaucoup entreprennent avec espoir et anticipation. Que ce soit pour des questions d’amour, de carrière ou de bien-être personnel, un medium serieux peut offrir des réponses éclairées et des conseils avisés. Si vous cherchez un service de voyance fiable,…
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lisaalmeida · 1 year
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L’intimité affective implique une certaine ouverture à l’autre un « échange des cœurs » grâce auquel sont partagé les états d’âmes, les sentiments les plus profonds, les fragilités émotionnelles. Ce dévoilement, cette mise à nu émotionnelle est possible à le condition d’avoir confiance en l’autre, d’être profondément convaincu de l’authenticité des sentiments de l’autre. Dans l’état amoureux, on retrouve une disponibilité quasi total à l’autre, ce qui est propice d’embrasser les émotions. Il faut se connaître soi, mais aussi connaître l’autre...
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Le fait d’avoir conscience de nos vulnérabilités émotionnelles ne nous permet pas de les voir disparaître, mais en tout cas, avec une conception plus approfondie de ces dernières implique qu’à chaque fois qu’elles font irruption dans notre vie, on est capable de les identifier et de les contrôler, les empêchant ainsi de noyer nos connexions émotionnelles...
Notre héritage émotionnel, ou la clé pour se connecter :
Notre héritage émotionnel exerce un fort impact sur notre capacité à nous connecter émotionnellement aux autres, et à savoir à quelle occasion le faire...
Il n’est pas facile de s’exposer à nos souvenirs et à ces sensations pouvant nous être désagréables, mais bien souvent, ce n’est pas bien utile non plus.
Cependant, pour de nombreuses raisons, il est préférable d’ôter ses vêtements et de se mettre à nu :
Si on veut avoir des relations plus significatives, il est important de prendre le temps de se tourner vers le passé et de soigner les blessures émotionnelles de notre enfance.
Le conduit qui transporte nos messages émotionnels doit être découvert afin que nos réactions ne prennent pas le dessus sur nous. Par exemple, lorsque l’on dit que «mon frère me met hors de moi», on a en fait la sensation qu’il sait exactement quoi faire pour nous énerver.
Connaître ces règles de réaction émotionnelle et les communiquer, cela nous permet de régénérer nos pensées et notre état de bien-être général.
Ainsi, quand on mène un travail de connaissance de soi, notre dialogue interne peut réussir à transformer un «Ces personnes représentent un danger pour moi» en un «La façon dont elles m’ont traité m’a fait du mal, mais dorénavant j’en suis conscient, et je fais tout pour que cela n’ait pas d’influence sur moi».
Quand on accède à notre héritage émotionnel et que l’on comprend de quelle façon les sentiments du passé teintent les expériences du présent, on peut alors être plus habile au moment de tisser des liens solides et sains avec ceux qui nous entourent.
Etre conscient des filtres émotionnels et des carapaces qu’on se construit contribue à faire de nous un habile lecteur et interprète, aussi bien des tentatives de connexion des autres que des nôtres.
Il n’est pas facile de mettre à nu une personne blessée...
Mettre émotionnellement à nu les personnes très marquées par leur passé peut se révéler difficile, puisqu’il faut lutter contre les carapaces, les vêtements qui les rendent inaccessibles, les désillusions qui enveloppent la personne, les peurs du rejet, de l’abandon, de la solitude…
Pour ce faire, il faut être intelligent, aimer la personne et ouvrir ses oreilles, ses yeux et sa peau en en bannissant les préjugés et le jugement. Autrement dit, ce qu’il nous faut, c’est une écoute active émotionnelle au travers de tous nos sens sans «mais» ni virgules.
On doit alors savoir qu’une mise à nu émotionnelle ne se crée pas dans n’importe quel type d’environnement, mais que les conditions idéales doivent être réunies pour générer des émotions, les ressentir, les manipuler, les examiner et les utiliser...
Les scénarios émotionnels idéaux pour la mise à nu sont ceux où prime l’écoute depuis l’intérieur, l’empathie et l’intelligence émotionnelle ; les scénarios où sont favorisées la communication et la compréhension basées sur le respect et la tolérance.
Il n’y a qu’ainsi que l’on peut réussir à créer une ambiance émotionnellement décontractée pouvant nous permettre de nous adonner à la relation intime, à la mise à nu des peurs, des manques d’assurance et de la vérité émotionnelle. Il n’y a qu’ainsi que l’on peut atteindre ces câlins qui rompent les peurs, qui nous font fermer les yeux et qui livrent à 200% notre corps et notre âme à l’autre...
Via "nos pensées"
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Il faut bien que je m'avoue la vérité
En ce moment, je n'ai pas envie de t'aimer
Parce que c'est moi que j'apprends à aimer
À soigner
À chouchouter
À libérer
Et je n'ai plus rien à te donner.
En ce moment, j'ai juste besoin de m'occuper de moi en priorité,
De ne plus me renier,
De me concentrer sur mes propres projets,
De laisser libre cours à mes pensées
Sans avoir à me concentrer pour t'écouter ;
C'est à l'intérieur de moi que j'ai besoin de voyager.
En ce moment, c'est une nécessité pour moi de me reposer,
De me balader ou de nager,
Sans avoir d'horaires à respecter,
De retrouver toute ma liberté,
De m'accorder à moi-même toutes mes disponibilités,
Et de laisser mon corps souffler ;
Il hurle de tous les côtés.
En ce moment, j'ai juste besoin de me calfeutrer
Dans des espaces inviolés
Pour retrouver celle que j'étais
Avant d'avoir été conditionnée
Avant d'avoir été envahie et blessée.
Et peut-être qu'un jour, j'en rirais.
Mais en attendant, je ne peux plus continuer
Comme si de rien n'était,
Il faut que j'apprenne à me protéger,
À me respecter,
À honorer mes besoins insatisfaits
Même si cela suppose que pour une durée indéterminée,
Tu ne puisses pas marcher à mes côtés.
Je n'ai pas peur de te louper.
Ceux qui sont réellement prédestinés
Finissent toujours par se (re)trouver.
Diana Becker
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olympic-paris · 1 month
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saga: Soumission & Domination 248
François & Jona suite
Jona est revenu aussitôt après que le train de François soit parti.
Il souhaitait connaitre mon avis sur lui. N'ayant qu'à me louer des deux, je lui ai fais part de mon rapport. S'il avait pensé qu'il serait positif, il n'avait pas imaginé qu'il serait aussi élogieux. 
Comme un véritable gamin, il me saute au cou pour me faire un bisou !
Puis il réfléchi et me dit qu'il risquait d'être moins dispo pour mes clients.
Je lui avouais alors que j'avais pris un accord avec ses supérieurs et avec, François, ils allaient rester mes employés comme couverture.
La seule chose à quoi cela lui a fait penser c'est de trouver un totem pour le piercing de François. Deux minutes plus tard il me disait que le guépard serait bien car, en plus d'être bon au karaté, il se défendait bien à la course.
Avant qu'il parte je lui dis de garder tout ça pour lui et de n'en parler à personne.
Le lundi soir j'avais une communication sur ma boite mail. Elle me faisait part que François avait été briefé et que je pouvais dès à présent l'intégrer à mon " écurie ".
Je l'appelais dans la foulée. Il avait reçu la même décision et, avec lui, j'ai établi ses périodes de disponibilité. Devant être plus discret vis-à-vis de ses parents, je ne lui fournirais pas de voiture. Par contre je le prévenais qu'il aurait à subir un piercing et qu'avec Jona, j'avais décidé de lui octroyer le profil du guépard en opposition au tigre de ma boite. Le WE prochain il viendra se faire percer le téton et continuer son apprentissage.
Plus tard dans la semaine j'ai reçu un nouveau mail qui m'informait que François changeait de Fac après les partiels de janvier et allait continuer son cursus dans notre ville.
J'appelle Jona pour l'en informer. C'est pour l'entendre dire qu'il est au courant et qu'ils logeront ensemble.
Vu leur complicité, je le charge d'emmener François chez le tatoueur/perceur dès le vendredi soir à sa sortie de la gare, avant de l'amener au Blockhaus. Je lui avais pris le rendez vous.
Quand il arrive, un peu pâle de l'opération, je le prends à part dans mon bureau du premier pour une mise au point de son planning. Il me fait part de ses obligations concernant ses études et je fais avec. Contrairement à Jona qui, malgré ses cours d'anglais renforcé (demande de son nouvel employeur), a de bonnes plages de disponibilité, je dois jongler avec ses cours plus nombreux et son besoin de travail personnel. Le mardi soir " sportif " ne lui posera pas de problème et je lui planifierais 2 prestations par mois. Ce qui, avec le salaire que va lui donner son nouvel employeur, sera bien suffisant coté budget. Pour le coté entrainement sexuel, faudra s'en contenter.
Je fais entrer Jona et je leur donne leurs nouvelles conditions de travail. Même s'ils auront un statut un peu à part de mes autres Escorts, ces derniers ne devront pas en connaitre les détails. Tant que François n'auras pas rejoint sa nouvelle école, je le logerai au premier mais ils s'arrangeront ensemble pour les repas. Je lui fourni un portable " société " et les clefs d'une RCZ qu'il trouvera au ré de chaussée, pour ses déplacement professionnels.
Puis je l'informe qu'il a un rendez vous le lendemain à16h chez Xavier et sa femme pour une prestation bi. Je lui donne une fiche descriptive du couple de client, de leurs particularités et le plan d'accès.
Avant de les quitter, je fais la remarque à Jona que François devait aussi bosser ses études le reste du WE et qu'il avait un client, lui, le dimanche après midi.
Rapport succint de Xavier :
Il l'a trouvé un peu timide au premier contact (probablement le fait d'être seul en face de clients).
Mais après, il a été très bien. Tant à baiser Laure qu'à se laisser enculer. Il a même été étonné de sa fougue, ne s'y attendant pas après le premier contact.
Il a assuré à enfiler sa meuf par devant comme par derrière. Même s'il a décelé chez lui une préférence pour la sodomie, il a fait jouir Laure dans sa prise vaginale.
Il lui a fait une pipe plus que correcte même si il s'y est repris à plusieurs fois avant d'avaler sa bite jusqu'aux couilles. Il lui a donné son cul sans crainte malgré les 26cm épais qu'il se trimbale entre les jambes.
Rapport de François :
J'ai eu un peu d'appréhension lorsque Xavier à ouvert la porte. Le gabarit du mec (90Kg de muscles) et la déformation de son short en nylon m'ont un peu intimidé, tout comme la tenue sexy de sa femme que nous avons rejoint au salon.
Une fois nu, ce sentiment à totalement disparu et j'ai essayé d'être le meilleur.
Baiser la meuf n'a pas posé de problème, c'est une belle jeune femme aux seins bien ronds, à la taille étroite et aux hanches rebondies. Sa chatte est presque totalement rasée comme le sexe de son mec.
C'est elle qui m'a demandé le premier service. Je l'ai vu glisser sur le canapé et ouvrir ses jambes. Le mec m'a alors poussé sur la nuque et j'ai compris qu'il fallait que je mette ma langue au travail.
La tête entre les jambes de madame, j'ai commencé par lécher ses grandes et petites lèvres puis me suis attaqué à son clito. Entre léchages et mordillements, je l'ai fais jouir une première fois.
Entre temps Xavier s'était installé à ses coté et je n'ai eu qu'à pivoter pour emboucher sa bite.
Putain quel morceau ! Agenouillé je ne peux en prendre que la moitié, même en forçant.
Du coup je me couche sur le dos sur la table basse et, la tête en arrière, j'ouvre grand la bouche. Le mec comprend le message et vient me remettre sa bite entre les lèvres. Il pousse et après le petit coup de rein nécessaire à passer le fond de ma bouche, il s'enfonce dans ma gorge avec un gémissement de plaisir.
Il me lime la gorge comme il le ferait de mon cul et je fini par avoir ses couilles sur mon nez.
Je sens sa meuf me kpoter et s'assoir sur ma bite. Elle me chevauche alors que son mec me déforme la gorge.
Je la sens se relever et se rassoir brusquement. Là, elle se défonce le cul sur ma bite. J'y suis mieux car plus serré. Son mec se relève alors et fait le tour pour la prendre en même temps. Je sens sa grosse bite entrer dans le vagin et comprimer ma queue. La meuf se couche sur moi pour faciliter le passage à son mec.
Je ne bouge plus, profitant du va et vient de la queue de Xavier, mon excitation monte doucement. La meuf par contre jouit au moins deux fois pendant cette double prise. J'ai du mal à résister, la deuxième fois, aux contractions anales qui enserrent spasmodiquement ma bite.
Soudain Xavier se retire et nous fait inverser. Madame est en dessous de moi et j'ai le cul en l'air. Il se met alors à me le travailler. Ses doigts pleins de gel entrent et sortent individuellement, puis à deux et enfin à trois. De ses deux mains, il m'enfonce les indexes et majeurs. Dans un premier temps il les fait coulisser alternativement puis ensemble avant de les écarter. Ce n'est pas douloureux (merci le poppers) mais je me sens bien m'ouvrir.
Quand il présente sa bite de 26 x 6,5 devant ma rondelle et me demande de reculer. Il me laisse m'enculer sur sa queue à mon rythme. Ce n'est que quand je l'ai pris en entier (je sens ses couilles contres les miennes), qu'il reprend les choses en mains. Il me serre à la taille et commence alors un véritable défonçage d'anus.
DGSE était pourtant monté aussi gros mais là, Xavier utilise sa bite avec art. Il me fait perdre la tête avec son poppers et je m'entends lui dire de me défoncer le cul, que sa bite était trop bonne et autre preuve de ma prise de plaisir.
Je secoue la tête, il faut que je garde ma lucidité en toute circonstance. C'est ce que m'ont dit mes deux employeurs. Je refuse alors les nouvelles propositions de poppers. Mon cul s'en ressent et il se resserre sur la grosse tige qui le perfore.
Xavier lui aussi le sent bien et gueule que c'est meilleur. Il me donne encore quelques coups de bite et s'enfonce une dernière fois tout au fond de mon trou pour exploser dans sa kpote. De mon coté j'ai joui dans le cul de sa femme (enfin dans ma kpote).
Je suis trop las pour bouger. C'est Xavier qui me porte sur le canapé. Apres 10mn de récupération, Laure va nous chercher deux bières.
Alors que je vais partir, Xavier me rappelle et me tend l'enveloppe pour Sasha. Je n'ai pas encore l'habitude et pour un peu je rentrais sans le paiement de ma prestation !
Sasha (je reprends le récit):
Au débriefing de François, je souligne ses erreurs, lui indique comment il aurait pu aborder certaines situation mais ajoute que dans l'ensemble pour sa deuxième prestation et sa première seule, il s'est bien débrouillé.
C'est là qu'il m'avoue être parti sans se faire payer et que c'est Xavier qui l'a rattrapé sur le pas de la porte.
Je lui dis que pour éviter cela il doit percevoir l'enveloppe dès l'entrée et la mettre dans son blouson. Dans le cas où certains clients me payent directement, il en sera avisé.
Je lui dis que Jona va passer le chercher pour diner et qu'il est libre pour le reste du WE.
Je le laisse aller dans sa chambre et remonte au 4ème.
Quand Jona sonne, je lui ouvre pour qu'il rejoigne François.
Je ne peux m'empêcher de mettre le circuit interne sur leur chambre.
Avec PH, je vois nos deux mignons se bouffer la langue comme des affamés. Ils ont l'air accros l'un de l'autre !
En attendant, si Jona aurait bien baisé de suite, François meurt de faim et Jona décide de l'emmener diner chez lui.
Vu l'heure à laquelle ils sont rentrés, ils n'avaient pas fait que manger !
Ayant laissé le grand écran de notre chambre sur le canal de la chambre de François, c'est leurs gémissements qui nous ont réveillé PH et moi.
J'ouvre un oeil pour les voir en 69 en train de se faire du bien. Je durcis encore plus à les voir. PH à mes cotés est dans le même état. Nous nous branlons respectivement.
Je suis surpris de voir que c'est Jona qui, le premier, se fait enculer. Il aime ça et ça se voit sur son visage extatique. François est assez doux dans sa façon de sodomiser mais il s'enfonce quand même bien jusqu'aux couilles.
Quand ils inversent les rôles, je ne peux me retenir et, de mon coté, j'encule PH en
levrette (pour pas le priver du spectacle). C'est tellement bon que j'aurai pu en jouir de suite. Son trou chaud, à cru, est un délice et je m'enfonce jusqu'aux couilles dans sa moiteur.
Je calque mon rythme sur celui de Jona et PH réagit comme François. Alors que je sens monter en moi l'orgasme, les halètements de PH m'informent que c'est pareil pour lui. La télé nous envoi les cis de plaisir de mes deux jeunes escorts ce qui augmente encore notre excitation.
Avec PH, nous explosons après avoir vu et entendu François et Jona prendre leur pied.
PH me fait des bisous dans le cou pour me remercier de ce réveil. J'en fais autant sur lui.
En boxer, je descends au premier les inviter au petit déjeuner.
Je les trouve dans la salle de bain en train de se doucher ensemble et de se savonner respectivement. François a encore un reflexe de pudeur en me tournant le dos alors que Jona me demande ce qui m'amène.
Je commence par lui dire, en passant la main sur les fesses de François, " le cul de ton mec " avant de rire et de lui dire que nous les attendions pour le petit déjeuner afin qu'ils reprennent des forces pour la journée.
Devant nos cafés, PH demande direct à Jona s'il ne serait pas tombé un peu amoureux de François. Alors que ce dernier devient rouge comme une pivoine, Jona ne dément pas et ajoute que tant que cela n'influe pas sur son taf d'Escort et leur nouveau boulot, cela ne concerne qu'eux.
Je calme ce brusque accès d'agressivité. Je leur rappelle juste qu'il faut bien qu'ils réfléchissent. Jona a besoin de son taf dans ma boite pour vivre décemment. Il ne nie pas. Et que leur nouveau taf leur demandera souvent, si j'ai bien compris, de baiser chacun de leur coté.
Ils nous disent en être conscients et en avoir discuté entre eux. Ils savent qu'il ne faut pas non plus qu'ils se fassent des illusions, ils sont jeunes et la fidélité n'est pas d'actualité. Cela leur permet même de multiplier les expériences sans les risques sentimentaux.
Je les sens bien carrés dans leurs têtes.
Je rappelle juste à Jona qu'il doit assurer cet après midi avec son client. Il el connait déjà et sait comment le " prendre ". Il en touche deux mots à François et lui décrit même ses habitudes sexuelles pour quand ce sera son tour d'y aller.
PH ouvre de grands yeux devant certains détails et me demande si je le savais.
Je lui réponds qu'évidement. J'ai même un fichier sur chaque clients avec leurs mensurations (et vu ces dernières vaut mieux les connaître pour envoyer le bon Escort), leurs habitudes sexuelles en plus de leurs demandes classiques.
François repart le soir même avec ses instructions pour la cicatrisation de son téton.
Jardinier
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