#dieu et mon droit
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militaryintelligencerecords · 2 months ago
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oakappleday · 1 year ago
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extraordinaryandroid · 2 years ago
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created this blog to scream about hankcon into the void and now have the secondary problem of the fic in this fandom being so good i feel like i’m in a second fandom i need to scream about
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empiredesimparte · 6 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°3 | Belgisim, 15 Thermidor An 230
During the Europesim summit, Napoleon V tried to create a dialogue between the leaders of the Empire of Pierreland (Emperor David) and the Union of Iona (Queen Viviana II). This initiative proved to be of little avail.
Collaboration with @funkyllama and @officalroyalsofpierreland
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Durant le sommet d'Europesim, Napoléon V tente de créer un dialogue entre les dirigeants de l'empire de Pierreland (l'empereur David) et de l'Union d'Iona (la reine Viviana II). Cette initiative ne s'avère que peu fructueuse : les tensions sont désormais fortes entre les pays européensims.
(Napoléon) Ce ne sera pas agréable, mais il va falloir que vous trouviez un terrain d'entente
(David) Je suis d'accord. Nous sommes tous des adultes responsables ici, et... pour être franc, certaines vérités ne devront pas quitter cette pièce, pas encore
(Eloise) Je ne crois pas que mes enfants soient un sujet d'État pertinent qui relève de la politique européennesim, du moins avant la majorité. N'est-ce pas David ? De parent à parent (Napoléon) S'il vous plaît...
(David) Quand j'ai reçu votre lettre... Je craignais que mon fils ne soit pas assez mâture pour assumer sa paternité. J'ai consulté Katalina, qui n'est pas d'accord et veut que Louis soit partie intégrante de la vie de Lenerd. À cause de ce désaccord, j'ai demandé à mes deux fils aînés et conseillers d'État... (Eloise) Vous considérez que votre petit-fils est une affaire d'état ? Comme ces deux-là qui ne sont pas vos fils ? Pardon ?!
(David) Ils sont mes fils. Felipe par le sang et Edmund par la loi. Et oui, mon petit-fils est devenu une affaire d'État ! Le père n'a pas été informé du fait que vous soyez enceinte ! (Eloise) Comme s'il ne savait pas compter jusqu'à 9...
(Napoléon) David, Lenerd devrait être reconnu par votre empire... Sinon mon filleul va...
(David) Nom de Dieu, j'essaye d'admettre mes fautes-
(Napoléon) S'il vous plaît, du calme. Repoussons ce rendez-vous...
(Eloise) Je n'ai pas besoin ni ne veut de son argent. Ni même du soutien, à moins que Louis en soit l'instigateur
(David) Eloise, je vous prie de bien vouloir croire que tout le soutien et l'argent que je vous ferai parvenir sera une attention de Louis
(Eloise) Le même Louis que vous maintenez dans l'ignorance ? Non, merci. (David) Pour le moment. Je ne pense pas que Louis devrait-
(Eloise) Vous, vous vous, VOUS. Il s'agit de mon bébé. De son bébé. Pourquoi pensez-vous que vous pouvez l'éloigner de son fils ?
(David) Le garçon n'a que 19 ans. Il ne peut pas gérer ça !
(Eloise) À 19 ans j'aurais assumé les conséquences de mes putains d'actions
(David) Donne-nous 10 ans, à Katalina et moi. Il sera alors élevé comme un prince de Pierreland avec tous les droits qu'ils lui reviennent et je le reconnaîtrai comme mon petit fils. Je dirai au public la vérité
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maddsmallow · 5 months ago
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madyy do you have any hankcon fics for me im on a kick ( ̄▽ ̄*)ゞ
@subway-dove i went thru my ao3 bookmarks, here's literally all of my favorites that i can remember by the plot summary LMAO
just a little scheme-lady drace
found (my) family (in the woods)-lady drace
aging with grace-trash_heap
stupid sexy priest-connorsjorts
ruining a perfectly good mattress-lady drace (NSFW)
calling in a favor-halcyandream (NSFW)
red all over-ghost_teeth (NSFW)
7 human habits you should try at least once-moonwalkingcrab (i dont remember the plot of this one but i have a feeling i really liked it) (NSFW)
promise-jerk3max (FUCKING SAD BUT GOOD)
dieu et mon droit-plutoandpersephone (NSFW) (also this one is a staple hankcon fic)
two different stars in the same sky-blackeyedblonde (NSFW)
the mermaid of fox creek-atropaazraelle
blue canary-beepgrandcherokeeper (NSFW)
though bright be the morning, brighter still be the stars-bibliomaniac
bend, twist, and shape-dbhprincess
the other way to someday-bigspoonnoya (NSFW) (this one is also another staple hankcon fic)
bound to you-mango_lioncat (NSFW) (this was a twitter fic and it's written in a way that makes that super obvious lmao, but the story is still really good imo despite that)
a tourist in a dream-octobig (NSFW) (this fic was technically never "finished" because the writer didnt really have an end in mind, but it leaves you very happy even so! no major cliffhanger or anything)
the gap in between-molias (NSFW) (another staple fic)
lilacs in bloom-molias (NSFW) (again, another staple fic—to be fair, basically all of this person's fics are fucking fantastic)
too much, never enough-jolli_bean (NSFW) (this is another hankcon fic writer whose fics are like ALL staple hankcon fics)
he's making a list; i'm checking him out-connorsjorts (NSFW) (ABSOLUTE STAPLE FIC)
blue skies, white slopes-highlyexplosivecontent (NSFW)
peppermint mocha-gildedfrost (NSFW)
the copper valley cowboy-highlyexplosivecontent (NSFW) (i made some art kinda sorta inspired by this for an art exchange!)
be brave, my heart, winter is coming-lady drace (not really nsfw but makes references if i remember correctly) (ALSO THIS IS MY FAV HANKCON FIC OF ALL TIME)
getting home-atropaazraelle (NSFW)
H & C, '39-blackeyedblonde (NSFW)
downloading to paris-sevdrag (the fact that this fic still isnt done is kind of a meme at this point. feel free to bully sev about it 👍 (only slightly joking LMAO))
eighteen wheels on an uphill climb-blackeyedblonde (NSFW) (this is like THE staple hankcon fic)
from the window-sumoattack (NSFW)
slow down, you're doing fine-jilliancares (NSFW)
i'm sure there's been plenty more that i have enjoyed, but if they're in my bookmarks, i didn't remember the story by the summary 😅 enjoy!!! if any of my mutuals have any to add, go ahead!!
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fiction-podcast-lover · 5 months ago
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Since I used to hyperfixate on the french musical "1789 les amants de la bastille" and now am hyperfixating on Les Misérable and they have similar themes i thought i could assign a Les mis song to each Les amants de la Bastille song (expect for "sur ma peau" and "je veux le monde" nothing got the vibe or them for them) based on similar vibes and/or themes
Le cri de ma naissance - Drink with me
Je mise tous - Beggars at the feast
Au Palais Royal/Les protituées - Lovely ladies AND Paris/Look down
La nuit m'appelle - i dreamed a dream
Tomber dans ses yeux - In my life
Maniaque - Stars
La sentence - on my own
Hey ha - ABC café/red and black
La guerre pour se plaire/Le dauphin - A heart full of love
La rue nous appartient - The barriquade
A quoi tu danse ? - ABC Café/red and black (again)
Je suis un dieu/Le cauchemar - maitre thenardier
Ca ira mon amour - Do you hear the people sing
Nous ne somme - The final battle
Je vous rend mon âme - a little bit of rain
La prise de la bastille - The second attack
Fix/ les droits de l'homme - Turning
Pour la peine - Empty chairs at empty tables
Pour un nouveau monde - Little people
Fille et femmes à la fois - At the end of the day
Allez viens (c'est bientôt la fin) - epilogue
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ekman · 8 months ago
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Moi, la guerre, je l’ai faite, figurez-vous. Oui, on ne dirait pas en me voyant. Cet air de s’en foutre que j’affiche toujours du coin de mon œil bleu, les gens se disent en le découvrant que je dois être un fieffé malin, peut-être même un salaud, un abuseur, allez savoir.
Moi, je les emmerde tous. J’ai pas survécu à la mitraille, à la boue, aux Boches et aux rats pour subir leur sale gueule et baisser les yeux. Je les emmerde, je vous dis. Et dans des proportions que vous ne soupçonnez pas. Pas l’un d’eux ne trouvera grâce à mes yeux. Ni le bourgeois replet parti prier son Juif repenti à l’église le dimanche, ni le tchékiste resté à encenser son grand Staline dans une réunion de quartier. Les deux me font chier – et savez-vous pourquoi j’entretiens à leur endroit une haine parfaitement égalitaire ? Mais parce qu’ils sont jumeaux, sortis du même ventre flasque de la Révolution, de la même fente puante, matrice qui dégueule son trop plein d’humanité féroce, foetus aux dents acérées, dévoreurs de mamelle ! Boivent autant de sang que de lait, ces monstres absurdes. Des vraies dégueulasseries biologiques conçues pour anéantir le monde beau et sauvage qui ne les a pas vu venir.
Ces affreux-là, j’en ai croisé sur le front. Jamais en première ligne, trop couards pour ça. Toujours en retrait, juste ce qu’il faut. Se chiant dessus à la première déflagration, même lointaine, même ténue. Terrorisés à l’idée d’une baïonnette boche s’enfonçant dans leur sale bide tout gonflé de haricots mal cuits et de gaz diaboliques. Le rouge et le calotin unis dans la même pétoche minable, incapables de transcender leur peur de mammifère absurde, condamnés à baisser la tête, à lever les bras, à écarter leurs miches poisseuses de merde honteuse. Ah ils puaient ces deux-là, faut me croire. Dans les abris, on les laissait pas rentrer ces ordures. “Allez les gars, soyez pas salauds, allez. Faites une place... Je boirais bien la moitié d’un quart de soupe... Allez…” Des cafards, des magouilleurs, arrangeurs, tricoteurs. Des enculés de frais. “Va chier avec ton quart, sale rat !”, que je leur gueulais. “Quand il fallait monter l’échelle tout à l’heure, t’étais où, hein, mon salaud ?” Généralement, ils baissaient la tête ou mieux, ils se barraient. Partaient pleurnicher dans l’abri d’à-côté. Mendigoter un quignon ou une tige à de bonnes âmes qui ne les avaient pas vu s’affaler au signal de l’assaut. Les mêmes tous les deux ! Le rouge et le calotin. Tout pareillement conjoints dans la terreur, taillés pour survivre à tout, coûte que coûte, dussent-ils se faire cracher à la gueule pour l’éternité des temps, se faire maudir par les agonisants, ceux dont la tripe s’étalait tout autour et qui mettaient pourtant tant de temps à crever ! J’aurais jamais assez de toute ma vie pour les maudire, ces fils de salaud, ces petits rongeurs sans honneur, sans grandeur, sans rien !
Et allez ! Que croyez-vous ? Qu’on n’avait pas peur nous autres ? Qu’on ne pleurait pas en claquant des dents au milieu des éclairs qui hurlaient la mort ? Que l’on se prenait pour des Croisés ou pour des Jean-sans-Peur ? Tu parles ! Dans toute cette apocalypse, nous n’étions plus rien ! Et c’est bien à cause de cela qu’on se redressait et qu’on y allait. Parce que je vais vous dire, moi, l’idée de crever recroquevillé comme un cafard, ça m’a toujours été insupportable. Si je dois y passer, ce sera debout, nom de Dieu. À ma gauche, j’avais Lepault Gaston, un garçon gentil comme tout qui voulait entrer dans la banque. À ma droite, j’avais Lefeuvre Martial, fils de paysan, au travail depuis ses treize ans, père de quatre marmots à pas vingt-cinq. Un peu plus loin, il y avait notre lieutenant, un marquis avec un nom à rallonge incroyable, qu’on appelait Duguesclin pour faire court. Eh bien vous le croirez ou pas, mais on est sortis de la tranchée tous les quatre comme un seul homme et moins de deux minutes plus tard, j’étais le seul en vie, coincé dans un trou peu profond, avec un éclat boche calé dans la cuisse. Les autres étaient partis en poussière, pulvérisés par un obus fabriqué avec soin par de rondelettes bouffeuses de saucisse, quelque part du côté de Cologne.
Alors ne venez pas me faire chier avec mon regard inquisiteur. Il fera toujours moins mal que le shrapnel, tas de cons. Si je vous attrape du coin de l’œil... si je vous ajuste, pour tout dire, soyez heureux que ce ne soit pas entre deux rangées de barbelés avec, calé dans la molletière, le beau couteau de chasse que mon oncle Albert gardait depuis Sedan.
J.-M. M.
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impossiblyholyparadise · 1 month ago
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
                ‑ « Chéri...Chéri... ! « 
                ‑ « Oui mon Amour... ? »
‑ « Chéri, tu es où ? Viens, je suis dans le garage...Il faut changer l’ampoule du clignotant de ma voiture... »
‑ « Comment ça...Comment ça, il ne marche plus ?  Tu t’en es aperçue comment... ? »
‑ « Oui, c’est à l’arrière droit...Je ne pouvais pas le voir...Mais je me suis faite arrêter par la gendarmerie, les motards...Si je ne change pas l’ampoule et que je ne me présente pas dans les 48 heures pour faire voir que je l’ai faite changer je devrais payer 150 francs d’amende »
‑ « Ah oui...Ok je dois en avoir dans ma voiture ou dans une boite de secours de la tienne...Tu as regardé ? »
‑ « Chéri...Tu ne me connais pas encore...Moi, changer une ampoule... ? » s’esclaffa-telle... !
Oui, il fallait le reconnaitre, le bricolage n’était pas tout à fait la qualité première pour laquelle je l’avais épousée non plus, alors...
                ‑ « Mais je veux bien t’aider si tu veux...ou si tu as besoin, mon amour... » me fit-elle en déposant un baiser bien sonore sur mon front tandis que je m’agenouillais près de sa voiture pour regarder comment se démontait le clignotant de sa Mini...
Elle portait ce jour une robe courte dont elle avait un goût si sûr à les choisir et en conséquence affoler les hommes qu’elle pouvait croiser.
Une fente sur le côté à faire douter de Dieu tous les évêques et missionnaires d’un séminaire apostolique ajoutait une touche « so sexy... ! »...
                ‑ « Quoique...me dit-elle, il faut aussi que je me refasse une beauté...Je vais retourner à la gendarmerie dès que tu auras effectué la r��paration...Merci mon amour... » me fit-elle en me tournant le dos précipitamment...
‑ « Eh...Eh... »
Je la connaissais par cœur ma petite femme d’amour...
‑ « Pourquoi te refaire une beauté...Tu es magnifique mon Amour... ! »
‑ « Oui... ? Merci...mon amour...C’est vrai...mais je ne t’ai pas tout raconté... Voilà, en fait, je me suis faite arrêter par  des motards qui étaient derrière moi...Jusqu’à là rien de particulier...Ils m’ont fait me garer sur une aire de bus et l’un d’eux est venu vers moi...Sûre de moi, je n’avais rien à me reprocher, je souriais en ouvrant la vitre... »
‑ « Alors, ma petite dame...On ne met pas son clignotant pour tourner... ? »
‑ « Euh... Si, si...Je l’ai mis... Monsieur l’agent...Je vous jure, je l’ai mis !»
‑ « Ok, on va voir...Gendarmerie Nationale, veuillez arrêter le moteur du véhicule, retirez votre ceinture de sécurité et montrez-moi vos papiers...carte grise, carte d’assurance, papiers d’identité... Vous mettrez le clignotant et vous descendrez vérifier avec moi... »
‑ « Au ton, je savais que je n’étais pas tombée sur Louis de Funés, pas du tout le genre comique, aussi je m’exécutais...Mais la voix...Waoooua, tu me connais chéri comment j’y suis sensible...Une voix... ! »
Oui, je savais l’émotions et même les émotions (je vous raconterais plus tard un jour à l’Opéra où elle en avait trempé sa culotte et plus encore son siège...) que pouvaient lui procurer une voix...
Une voix de ténor...Une voix profonde...
Cela l’a transporté toujours et résonnait, vibrait si incroyablement en elle comme pouvait le faire le plus performant des sextoys...
Je crois également, car je possédais aussi cet organe, que c’est avant tout et au quotidien ce qui l’attirait ou l’avait attiré chez moi en premier...
Je me demandais pourquoi, car d’un physique normal et banal, j’avais l’incroyable chance de vivre aux côtés d’une si belle femme, et même que cela dure, mais je crois que ma voix était une grande partie de la réponse.
Je n’y étais pour rien mais en savourais et bénissais parfaitement la chance.
Elle s’était rapprochée de moi telle une chatte affectueuse et rêveuse...
En chaleur diraient d’autres...
Là, maintenant près de moi, son visage juste au-dessus de moi qui commençais les opérations de démontage du feu clignotant de sa Mini, elle revivait clairement l’instant et je ne vis que les yeux qui s’étaient fermés en tournant littéralement sur eux-mêmes et ce petit rictus ou pincement de la lèvre supérieure toujours prémisses d’instants d’abandon ou de proche abandon...
                ‑ « Chérie...Chérie... ! »
‑ « Ah oui, je te disais... » me fit-elle en se rapprochant de moi pour me déposer un baiser souriant, taquin et coquin comme elle savait que je les aimais.
Je dois avouer que j’en profitais également pour plonger de mes yeux comme toujours conquis dans son sublime décolleté et moi aussi m’extraire un instant de la tâche imprévue consistant à changer l’ampoule de son clignotant...
                ‑ « Oh...toi... ! » lui dis-je tout en posant ma joue sur sa poitrine généreuse et chaude où dardaient déjà les magnifiques pointes perçant le tissu léger de sa si belle robe...
Elle passa sa main dans mes cheveux...
‑ « Chéri, ce ne serait pas raisonnable...Pas maintenant. Allez, je te laisse je vais me préparer...Appelles-moi quand c’est prêt...Il faut que je retourne à la gendarmerie au plus tôt montrer et prouver que j’ai changé l’ampoule...Sinon, 150 francs...Tu ne voudrais pas dépenser 150 francs inutilement quand même ...Même pour ta femme adorée...Non ? »
Les femmes ont ce don de vous ramener à la réalité...
Aussi, je poursuivais mon travail.
Mais en fait, elle ne s’éloignait pas...
‑« Aussi, dit-elle en restent près de moi et poursuivant son récit, je me suis penchée vers la boite à gant et comme de plus, il était grand et surplombait largement la portière, je suppose que lorsque je me suis penchée, il a dû voir mon cul, ah oui aujourd’hui chéri, je n’avais pas envie de mettre de dessous, et comme je me suis vraiment penchée pour aller chercher les papiers qui étaient tout au fond, je pense qu’il a vraiment dû bien se régaler à mâter mon cul... 
Bien entendu, je râlais un peu car je n’arrivais pas à les attraper ces foutus papiers... Et je mis un certain temps...
‑ « Rien de grave, ma petite dame...Prenez tout votre temps me fit -il de sa si belle voix grave et chaude...Tu sais, combien je les aime, ces voix et ce qu’elles me font... »
Oui, je le savais et me doutais même un peu de la suite de son histoire...
Vingt ans de vie commune dont 19 ans de libertinage, de candaulisme, de pratique de « couple libre » et maintenant plutôt un style de vie «stag-vixen... » sans aucun remord ni regret et même et surtout d’immenses satisfactions et plaisirs...
Oui, je m’attendais un peu à la suite de l’histoire...
‑ « ...Ne vous inquiétez pas...Tout va s’arranger... Je suis sûr que vous n’avez pas tout oublié... !»
‑ « Comment ça tout oublié... ? » lui répondis ma femme  en se retournant promptement
- « De mon point de vue et sans vous connaître plus que ça, il vous arrive sûrement parfois d’oublier des choses... Je dis ça, je ne dis rien... » lui fit-il dans avec un sourire ravageur et toujours cette voix si suave...
_ « Je dois t’avouer mon chéri que cela m’a mis dans un état, c’est d’ailleurs pour cela que je dois aller me refaire une beauté, enfin, me rafraîchir si tu vois ce que je veux dire...mais aussi que cela m’a tellement décontracté...Je lui passais alors les papiers enfin trouvés en toute décontraction, en attardant longuement mon regard sur ses menottes collées à sa taille, hummm les menottes, il y a longtemps qu’on a pas joué avec des menottes mon chéri, sa matraque, ses bottes en cuir et son cul si bombé, bien formé et mis en valeur par son pantalon de motard assez serré...Oui, je ne pensais plus beaucoup au clignotant, tu me connais mon amour et c’est aussi pour ça que tu m’aimes, non ?... »
Oh oui je la connaissais ...Oh oui je l’aimais !
C’est d’ailleurs comme ça et pour ça que je l’aimais...Joueuse, dynamique, ingénue tout en sachant ce qu’elle voulait et où elle allait, belle, rebelle, optimiste, gaie, retombant toujours parfaitement sur ses pieds, rêveuse et attentionnée, curieuse, libertine, libre et libérée avec un appétit de la vie et surtout quoiqu’il arrive vouloir vivre, aimer, célébrer la vie, les gens et l’amour ...
Alors qu’elle me tournait le dos, j’eus juste le temps de lui claquer une main sur les fesses, non pas, elle aurait détesté, en macho de base mais en homme épris de sa femme et lui signifiant par ce geste, non sa possession ou sa domination, non, mais bien une promesse, un intérêt fougueux et clairement sexuel de l’instant complice, une envie, un désir de l’honorer, là, maintenant, sur le champ, et aussi manifestant une certaine frustration de ne pouvoir réellement le faire car la connaissant parfaitement, elle, ses désirs, ses envies, ses besoins, ses habitudes...
Plus tard, ce serait plus tard...
Elle en avait clairement envie...mais faisait, toujours aussi joueuse, lucide, gourmande et gourgandine, taquine, durer l’instant pour plus tard en extraire les pleines saveurs et abondances...
‑ « Plus tard mon chéri...je te connais, rires, tu me connais...Plus tard, tu auras ta part plus tard...La plus belle part.…Je reviens... »
Je la laissais partir certes à regret mais aussi sûr d’elle et de sa promesse...
La confiance et l’amour ayant toujours tout emporté chez moi, je la regardais partir, fou amoureux comme au premier jour et me remis au travail.
                « Chérie... ? C’est bon, c’est réparé, c’est prêt ! « 
Sa voix derrière moi me surpris...Elle s’était effectivement dépêchée. Elle ne s’était en apparence pas changée juste sûrement rafraîchie mais objectivement pour moi toujours aussi belle et sexy...
Peut- être même plus belle encore, nimbée d’un je ne sais quoi et d’une aura sexuelle si perceptible qui émanait d’elle en cette instant me doutant de ce qu’elle allait réellement m’annoncer ....
Belle, sexy, conquérante...Irrésistible... Je l’aimais tant ainsi...
                ‑ « A tout à l’heure Chéri...Je t’aime. Merci...Je t’appelle pour te tenir au courant...Il se peut que je rentre tard...me nargua-t-elle de manière si complice et de son sourire adamantin...Je t’aime tellement pour tout ce que tu m’offres et me permets...Je te raconterai... ».
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
Elle était une Hot-Wife, ma Hot-Wife...J’étais un cerf...Son cerf...Nous nous aimions ainsi.
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lashifteuselibre · 18 days ago
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Le message que Richard Bach a souhaité faire passer se résumerait en deux phrases : Exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être, et le Paradis n'est pas un lieu où tu peux te rendre; non, le Paradis, c'est la perfection en toute chose.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
« Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libres ! »
« Nous sommes libres d'aller où bon nous semble et d'être ce que nous sommes »
« Tu es libre d'être à l'instant toi-même, vraiment toi-même, et rien ne saurait t'en empêcher. »
« Tu n’aimes ni la haine, ni le mal, c’est évident. Il faut t’efforcer à voir le Goéland véritable – celui qui est bon – en chacun de tes semblables et à les aider à le découvrir en eux-mêmes. »
« Ne les laisse pas répandre sur mon compte des bruits absurdes ou faire de moi un dieu. […] Tu sais, je ne suis qu'un goéland qui aime voler, pas plus… »
« Pour voler à la vitesse de la pensée vers tout lieu existant, il te faut commencer par être convaincu que tu es déjà arrivé à destination. »
« Tu es un être libre et sans limite, aussi parfait qu'un  chiffre non retranscrit en nombre »
« Oú va la pensée, le corp suit car telle est la Loi du Grand Goéland »
« Ils suffit d'avoir la conviction absolue que vous êtes un être aussi parfait qu'un nombre imaginé et non retranscrie en chiffre, dans l'espace et le temps.»
« Brisez les chaines de vos pensées et vous briserez aussi les chaines qui retiennent votre corps prisonnier.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Don Juan Matus dans les livres de Carlos Castadena parle également du fait de schifter en se téléportant et bien plus encore. (Livre, Enseignements d'un sorcier yaqui).
« Un déplacement du point d'assemblage au-delà de la ligne médiane du cocon de l'homme fait disparaitre instantannément de notre vue l'ensemble du monde que nous connaissons, comme si il avait été effacé — car la stabilité, la solidité, qui semblent inhérente à notre monde perceptible, ne réside que dans la force d'alignement »
« ...la connaissance du monde que nous percevons nous contraint à croire que nous sommes entouré par des objets, existants par eux memes et comme eux meme, juste comme nous le percevons, tandis que, en faite il n'y a pas un monde d'objet, mais un univer d'émanation »
« le mirage n'est pas dans la solidité du monde, il est dans la fixitation du point d'assemblage sur un endroit, quel qui soit. Quand les voyants déplacent leurs points d'assemblages, ils ne sont pas confronté à une illusion, ils sont confronté à un autre monde ; ce monde nouveau  est aussi réel que celui que nous sommes entrain de contempler maintenant, mais la nouvelle fixation de leurs points d'assemblages, qui engendre ce nouveau monde et au meme titre que l'ancienne fixation, un mirage. »(Par fixation -> intention)
« c'est le dialogue interne qui maintient le point d'assemblage fixé à sa position d'origine. Une fois que l'ont est parvenue au silence, tout est possible »
« l'intention est l'alignement de toutes les émanations de toutes les émanations de conscience, il est donc juste de dire que la liberte totale est la conscience totale. La liberte est le Don de l'Aigle à l'homme. Malheureusement, tres peu d'homme comprenne qu'il nous faut acceder à bcp d'energis, pour acceder un Don aussi magnifique.  »
« Ce qu'il nous faut faire pour permettre à la magie de s'emparer de nous c'est chasser les doutes de notre esprit. Une fois que les doutes ont disparus, tout est possible.»
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
Vous êtes le Soi et le schift n'est que la pure libérté et le fonctionnement de l'univers. Si pas de shift, pas de 3D ! Les deux sont interconnectée.
≪━─━─━─━─◈─━─━─━─━≫
La question est : qui shift ? Qu'elle conscience permet cela ? Pourquoi doutez-vous ? Vous.
À travers le shift, vous percevez que vous êtes ni votre identité, corps, esprit. Tous montrent votre puissance. Vous êtes quelques choses de plus haut, de plus abstrait, de plus puissant.
Pensez-vous toujours que vous etes un simple humain si vous pouvez être un chat ? Un sorcier ? Pensez-vous que cela vous limite rééllement ???
Trouvez ce que vous êtes rééllement.
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glass-noodle · 1 year ago
Note
Do you have any hankcon fic recs? 👉👈
I DO 👀
(more under the cut because this got super long)
Most of these fics contain nsfw, if that's alright with you. Nsfw marked with an *
IRQ (Interrupt Request)* by rara_avis. Follows canon except that Hank and Connor become intimate just after the bridge scene. Lots of cool formatting and technical language as the story delves into Connor's psyche on his journey to deviation, which I think is so cool and really makes the fic stand out. I always come back to this one🥹
slow down, you're doing fine* by jilliancares. Hank helps Connor navigate various emotions post-revolution. I love the slow burn, and I love how the author writes Connor struggling to identify what he's feeling despite knowing the names for each emotion.
Instructions Not Included* by Vinci. Set directly after the revolution, Connor is experiencing strange Feelings and it all comes to a head when he and Hank are forced to go undercover at the Eden Club. Sexy, sweet, and well-written. What more could you ask for!
Skin Deep* by bughnrahk. A canon-universe soulmate AU which I'm admittedly not usually drawn to, but this one is written so well. Hank struggling to come to terms with not only having a soulmate at 53, but an android soulmate, and Connor confronting both the fact that he's alive and the fact that he has a soulmate, is written in such an exciting and captivating way.
the other way to someday* by theslap/bigspoonnoya. Connor is Cole's second grade teacher - his very attractive second grade teacher. You can probably already tell that I'm a sucker for canon fics, but this AU had me crying and laughing and fanning myself the whole way through. A fandom classic
Buried Beneath the Snow* by ConnorRK. MIND THE TAGS, heavy CWs for this fic. Gavin is not a good guy in this. That being said, if you're looking for insanely good writing and characterization, loads of hurt/comfort, Connor whump, and protective Hank, this is your fic. An Eden Club AU set post failed-revolution; Connor is resold as an Eden Club android with no memories of being a deviant hunter, and no memories of Hank. The slow burn and Connor and Hank falling for each other despite Connor having no memories of the time they spent together, and despite the fact that his memory is wiped every 2 hours, has had me crying at 2 am more than once
stargazing by Molias. Honestly, everything by this author is fantastic, so you should definitely check out the rest of their work. But I have a soft spot for this fic and A Secret Singing in Our Fingertips* by the same author. They're both so lovely and sweet and full of emotion; whenever I want to read something that will make me absolutely swoon, I come to these fics.
Seiche by CeilingKiwi. On the other hand, if you're looking to get your feelings hurt this fine MerMay, this is for you. A gorgeous and heartwrenchingly bittersweet merman AU featuring depressed organic!merman Hank and abandoned android!merman Connor, and the ways they try and keep each other from falling apart.
you, the moon. you, the road. by plutoandpersephone. A post-revolution oneshot - Hank is injured on the job, and Connor is forced to confront the emotions that have been steadily, silently building within him since deviating. The writing in this fic leaves me breathless; it's the type of fic you never want to end. While you're at it, check out dieu et mon droit*, a prince Connor/president Hank AU fandom staple ;)
anything by Jolli_Bean. Honestly, I can't decide which fic of theirs I like best, haha. Just know that there's something for everyone - short or long, sweet or dramatic, canon or AU; all of them gorgeously written.
he's making a list; i'm checking him out* by connorsjorts. The mall santa AU we all deserve! This fic is so fun. Sweet, cute, sexy, and full of Christmas shenanigans.
Count the Stars by dbhprincess. Another stargazing fic because I'm a sucker for them apparently. Complete with sharing a sleeping bag, mildly awkward/sexy shenanigans, and first kisses <3 (also check out their Martian AU series, No Longer Alone!)
Whole* by blackeyedblonde. This time it's Connor who's injured at work, and they're both more than a little overcome with emotion. I enjoy any story that explores Connor's android features and his ability to feel pain, and the shaky aftermath of tenderness and desperation that follows a grievous injury is something I will ALWAYS eat up.
For mostly-smut fics (some with more plot, some with very little. Also mostly bottom!Connor, sorry if you're a big fan of bottom!Hank):
Tell Me How to Feel a Thing (I Want it All)* by bibliomaniac
Nightcall* by FAB900
Pulse* by biocomp
concede, comply (contend, deny) by biocomp
Slide On In* by teasoni
Glut* by bigolegay
Pleasure Liberation* by (orphan_account)
Knuckle, Buckle, Kneel* by Synekdokee
Flowers in My Mouth* by Molias
Finally, there are a couple of fics that I'm currently reading: Synthetic Blues* (ongoing) by jaemyun, downloading to paris (ongoing) by sevdrag, A Seraphim Story* (finished) by anonymousEDward, and Electric Indigo* (ongoing; unsure if on hiatus) by taranoire. All worth checking out!!
WHEW. Okay, I think I'm done. There are sooo many good fics out there, and I've only read a few out of a sea of thousands. If anyone has their own recs, feel free to add them! I will definitely be adding more the more I read :)
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extraordinaryandroid · 2 years ago
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pacing around my room bc i’m reading president hank kiss prince connor at 3am 
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icariebzh · 4 months ago
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 Lettre aux amis (ou pas) qui ne votent pas comme moi
"L’équipe de Reporterre est jeune — 35 ans si on m’enlève du compte — et la plus grande partie de ses plus de 2 millions de visiteurs mensuels a aussi moins de 40 ans. Je crois qu’elles et ils savent très bien ce qu’il faut faire cette semaine et dimanche prochain au bureau de vote, et je ne vais pas les chapitrer.
Les vieux, réveillez-vous !
En revanche, du fait de caractéristiques personnelles dont la première est un âge certain, la gravité du moment me pousse à écrire à des personnes avec lesquelles je partage des traits communs, à commencer par le nombre des années : j’ai 67 ans, et suis ce qu’on appelle un vieux ! Donc, je parle aux vieux et aux vieilles. Eh bien, mes amis, il serait temps de se réveiller ! Allez-vous arrêter de voter à droite et à l’extrême droite et de tordre le nez devant le Nouveau Front populaire ? Nous sommes la génération qui a profité du système social mis en place par nos aînés de la Résistance, qui a assez bien vécu (oui, nous avons beaucoup travaillé, et alors ?), et maintenant, la grande majorité d’entre nous vote pour le parti d’extrême droite. Qui est hostile aux jeunes. Qui est climatosceptique alors que la question écologique est une des plus importantes que vont affronter nos enfants et nos petits-enfants. Qui veut toujours plus de police et d’autorité, alors que nos enfants et nos petits-enfants ont besoin de bienveillance et de soutien.
Vraiment, les vieilles et les vieux, arrêtez de vous laisser berner par tout ce que racontent les télés. Pensez aux jeunes, pensez à leur avenir. Alors votez contre l’extrême droite dimanche prochain. Vous êtes vieux dans votre corps, mais vous pouvez être jeune dans votre tête, et plein d’espérance, d’enthousiasme, de joie pour le nouveau monde qui peut naître si vous ne vous y opposez pas.
Oh, les Républicains, c’est fini les conneries ?
Dans les temps anciens, il y avait un type qui s’appelait de Gaulle. Plein de défauts, mais enfin, il a sauvé l’honneur, et de ce fait, la France. Quand tout s’avachissait autour de lui, il a lancé la Résistance. Quand le pays s’effondrait, il l’a remis debout, sans devenir despote. Et quand le peuple lui a dit, « C’est assez ! », il est parti. Pour l’anecdote, c’était aussi un homme de droite, mais qui avait la fibre sociale. Il a dit : « Le capitalisme, du point de vue de l’homme, n’offre pas de solution satisfaisante. »
Pourquoi je vous en parle ? Parce que mon papa était gaulliste. Il a milité dans le parti gaulliste (l’UDR) qui, au long de multiples chambardements, est devenu Les Républicains. Incidemment, mon papa a résisté dans les maquis du Jura et son frère aîné a été assassiné par les nazis, au camp de Mauthausen. Alors, il y a une chose que de Gaulle et les gaullistes n’auraient jamais imaginée, c’est que des gens qui se réclament d’eux votent pour un parti issu des partisans de Pétain, de ceux qui ont bradé la France à l’hitlérisme, de ceux qui étaient antisémites. Jamais de Gaulle n’aurait accepté un tel vote.
Sans hésiter, il s’était uni avec des adversaires idéologiques, les communistes, quand on se battait pour l’essentiel, l’honneur du pays. Alors, Les Républicains, arrêtez vos conneries ! Pensez à votre histoire, à vos valeurs, à ce pourquoi vous vous êtes sans doute engagés, et votez contre le Rassemblement national, que le candidat soit La France insoumise ou pas.
Les catholiques, « Aimez-vous les uns les autres », c’est aussi le jour du vote
Croyez-moi, ça n’a pas toujours été facile pour moi d’être « catho » dans des milieux très athées, et parfois très anti-religieux. Et Dieu, de toute façon, c’est un truc compliqué. Mais mon attachement au sacré, à une dimension cosmique du monde, à l’Église — malgré tous ses défauts, et notamment son incroyable incapacité à sortir des scandales pédophiles, qui m’a mis en colère, comme tant d’autres — est toujours vivant. Alors, avec vous, ça devrait être simple. Le Pape François a toujours été clair : « Ouvrons la porte aux pauvres, ouvrons la porte aux faibles, ouvrons la porte aux étrangers. » Et son maître Jésus encore davantage : « Aimez-vous les uns les autres. » Dans un moment où tout peut basculer, il est clair que l’amour n’est pas du côté de celles et de ceux qui prêchent « l’autorité, la sécurité, la fermeture aux étrangers... ». Plus que jamais, mes frères et sœurs, votre sens moral doit vous guider dimanche."
 Hervé Kempf-Reporterre-suite du texte ICI MÊME
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tosteur-gluteal · 6 months ago
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Slutty priest is homophobic (chaos ensues) - OMORI MLB AU x Priest!Nick au (French version)
This is a collaborative fic I've made with @theokusgallery! This does not contain any spoiler, and is in French (English version coming soon. Probably. maybe.) Trigger warnings! This fic contains queerphobic slurs, as Priest!Nick is very repressed. If this makes you uncomfortable, don't hesitate to avoid this post! With that out of the way, Bonne lecture!
Les carreaux de la Cathédrale se brisent en milles éclats. Ladybug, dans la hâte, ne remarqua pas la présence du prêtre: une alerte akuma avait été formulée trente minutes auparavant dans ce quartier, et selon le protocole, on avait fait évacuer les lieux pour la sécurité des citoyens. En l'occurrence, Ladybug avait décelé une activité suspecte au sein de la Cathédrale.
Le prêtre, caché sous les débris, regarda Ladybug depuis le sol. Il l'espionna alors que le jeune homme cherchait la source de la menace qui avait été formulée. Il attendit le bon moment pour sortir de sa cachette, l'attaquer, le tuer--
Et le moment vint.
Il sauta du sol, faisant tomber les débris autour de lui, et se lança vers Ladybug. Les ailes de chauve-souris qu'il avait dans le dos l'aidèrent à se propulser tandis que sa queue de démon s'agitait de bas en haut pour détourner les morceaux de vers qui auraient pu l'atteindre.
"Ce gosse, pensa Nick, il a le droit de faire ce qu'il veut, mais MOI…!"
Ladybug serrait les dents. Malgré son agilité, il éprouvait une grande difficulté à éviter les attaques du vilain. De plus, il lui fallait trouver un moment de répit pour communiquer son emplacement à son coéquipier.
"Très élégant, monsieur! Enfin bon, malheureusement, je ne pense pas qu'il soit approprié de porter ce genre de tenue en ce lieu sacré..!"
Ladybug sautait de pilier en pilier, forçant le vilain à lancer ses débris dessus.
"Oh pitié, rétorqua celui-ci, tout en ventilant son torse exposé de manière provocatrice; t'es très mal placé pour parler, travlo!"
Ladybug le regarda, interloqué, ne sachant quoi répondre, et Arsenic en profita pour tenter de lui asséner un coup de poing que Ladybug évita de justesse.
"Ladybug, tout va bien ?!"
Ladybug poussa un soupir de soulagement en entendant Catmint.
"C'est pas trop tôt ! Il t'en a fallu, du temps, qu'est-ce que tu faisais ?!"
"J'ai évacué tout le monde, répondit Catmint. C'est lui, l'akumatisé?"
"T'en vois souvent, des gens normaux avec des ailes, queues et cornes de démon, toi ?"
Catmint eut tout juste le temps d'éviter une attaque du "démon" avant que celui-ci ne fit volte-face et saisisse Ladybug par le col. Il plongea verse le sol, entraînant Ladybug avec lui, en le plaqua contre les dalles de l'église.
"Ça va, tu t'amuses bien à flirter avec ton pote, pédé?!"
Ladybug utilisait ses bras pour tenter d'échapper à la prise du vilain sur son cou.
"Tu m'as l'air…bien, bien frustré, mon gars-"
"Comment ne pas être frustré quand on voit que des gens de ton espèce se baladent librement, sans aucune crainte envers Dieu..!"
Avant qu'il puisse en rajouter une couche, Catmint libéra Ladybug de sa poigne d'un coup de pied bien visé.
"Combien de temps avant un Lucky Charm?" Catmint signait à Ladybug alors que tous deux s'étaient dispersés, en mouvement constant dans toute la Cathédrale.
"Cinq minutes. Gagne du temps."
Catmint hocha de la tête.
L'homme se releva, le regard fixé sur Ladybug. La haine dans ses yeux était claire, et Catmint décida de se lancer dans le combat plus intensément, puisque ce vilain semblait décidé à l'ignorer pour se concentrer sur Ladybug.
Il attrapa le bras d'Arsenic, et le jeta vers le mur de la cathédrale. Nick eut tout juste le temps de stopper son élan en utilisant ses ailes, mais avant qu'il ne puisse se jeter une fois de plus vers Ladybug, Catmint courut vers lui et saisit ses ailes pour l'immobiliser au sol.
Le vilain se débattit furieusement, criant vers Catmint, qui essayer tant bien que mal de garder le contrôle des ailes de l'homme.
"Allez, juste deux minutes de plus..!" pensa Catmint.
Arsenic se pencha violemment en avant, faisant voler Catmint, qui était derrière lui. Catmint se rattrapa et retomba sur ses pieds sans grande peine, s'élançant une fois de plus vers l'homme et lui portant un coup de poing dans le ventre qui repoussa le vilain. Arsenic attérit sur le sol, tenant son rosaire dans la main.
"C'est son rosaire…!"
"MAINTENANT !" cria Ladybug.
Catmint porta un coup de pied sur la main de l'homme qui tenait le rosaire. Celui-ci cria de douleur et lâcha le rosaire, laissant à Catmint le temps de le détruire.
L'akuma jaillit de la croix fendue; puis d'un saut contre le mur, il le captura en plein vol avec son yo-yo. Triomphant, il leva le poing dans les airs. "Je te libère du Mal!"
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thebusylilbee · 2 years ago
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réaction à cette citation : "mais pourquoi la bêtise ferait bander ?", très bonne question en effet
je viens d'apprendre que Baudelaire a prononcé la phrase suivante : "Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste." et euh... putain je sais pas pourquoi je continue d'être étonné par les conneries que les hommes peuvent proférer à l'encontre des femmes. depuis le temps je devrais être blasé quand même mais non ça continue de me choquer
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lounesdarbois · 11 months ago
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Salut Lounès ! Voyons tes réactions à ces quelques citations… taquines ! 
Première citation :
Je suis de ces auteurs qu’ont du souffle, du répondant, du biscoto. J’emmerde le genre entier humain à cause de mon répondant terrible, de ma paire de burnes fantastiques (et bordel de dieu je le prouve !). Je jute, je conclus, je triomphe, je trempe la page de plein génie… De vous à moi, entre copains, c’est ce qu’on me pardonne pas du tout, à la ronde, ce qu’on me pardonnera jamais, jamais, la façon que je termine, que j’achève les entreprises, que je vais au pied comme une reine, à tous les coups. Ils voudraient bien me faire mourir, mes émules, même mes petits élèves, par chagrins, par méchants propos, me faire périr sous les morsures d’une foison de cancrelats, sous les venins d’une pullulation atroce d’aspics effroyablement voyous, martyrivores. Mais ma peau de vache me protège, jusqu’ici j’ai réchappé. Louis-Ferdinand Céline, L’École des cadavres (1938) 
Lounès Darbois : Eh oui ! Dans une confrontation, se coucher excite rarement la pitié de l’adversaire mais plutôt son sadisme. Les cruels sont souvent des lâches et vice-versa. C’est pourquoi il faut être « terrible et fantastique » pour durer et endurer. J’ai une photo de Raymond Poulidor grimpant une côte. Tout est résumé dans l’expression de son visage, le genre qui ne plaisante pas, sourd à la douleur, tendu vers son idéal. Parfois je la regarde. 
Deuxième citation :
(…) il ne s’agit plus de comprendre et d’aider son prochain mais de le fasciner et de l’enculer. Philippe de Vulpillières, L’homme tue et la femme rend fou (2017) 
Lounès Darbois : Brutal mais exact vu les mœurs actuelles ! La fascination, la « possession » sont des caractéristiques du diable. Tendance fatale quand on veut bien croire à tout sauf au bon sens ! Auteur au parcours intéressant soit dit en passant. 
Troisième citation :
Les hommes sont devenus avides, mesquins, menteurs, […] ils ont perdu la foi et le sens du vrai, il n’y a plus de rois, il n’y a plus de bonheur. Ils chercheront la mort sans la trouver ; ils désireront mourir, mais la mort les fuira. Roman von Ungern-Sternberg cité par Léonid Youzéfovitch, Le Baron Ungern (2001) 
Lounès Darbois : Terrible lorsqu’on sait le destin de cet homme. Lui et sa troupe se battaient à 1 contre 100 dans la steppe, dans une guerre sans espoir. La chanson sur les Russes blancs finit bien par « et leur agonie cruelle, la honte de l’Occident ». 
Quatrième citation :
La vie de l’homme oscille, comme un pendule, entre la douleur et l’ennui. Arthur Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation (1819) 
Lounès Darbois : Qu’est-ce qui est le plus agaçant : est-ce le poison de la philosophie du soupçon que Schopenhauer et Nietzsche, en suivant les pas de La Rochefoucauld, ont répandu sur les meilleures générations d’Européens qu’ils avaient au contraire pour mission de galvaniser ? Ou est-ce la complaisance dans la déprime où aiment se morfondre les jeunes Blancs intelligents pour justifier leur inertie ? Difficile à dire ! Enfin tout cela mérite une bonne douche froide et deux jours de diète. Il y a plus de sagesse dans la vie sans parole de François d’Assises que dans les 10 000 pages de l’oncle Arthur et j’ai le droit de le dire car je les ai toutes lues ! Flaubert plus laconique disait à Maupassant : « Méfiez vous de la tristesse, c’est un vice. » 
Cinquième citation :
Ainsi devient raciste celui qui ne veut pas voir son pays envahi par l’étranger, réactionnaire celui qui regrette le temps passé, révisionniste celui qui n’adhère pas à la doxa nationale, fondamentaliste celui qui se réclame de la religion de ses pères. Jean de Pingon, préface à Laurent Gruaz, Et si la Savoie redevenait indépendante ? Projet pour un état souverain, catholique et royal (2020) 
Lounès Darbois : La xénophobie que l’on essaie toujours de faire passer pour une agression active est un réflexe de défense à une agression. Au plan des instincts, elle procède de la pulsion de vie ; au plan politique elle est une résistance à la colonisation ; au plan moral elle est morale ; et au plan chrétien… elle est justifiée par la parabole du bon Samaritain : seul l’étranger qui vous sauve est votre prochain, pas les étrangers en général. 
Sixième citation :
Ah la sale gueule des honnêtes gens… Pierre-Antoine Cousteau, pensées et aphorismes (2021) 
Lounès Darbois : Se vérifie souvent chez des gens très fiers d’avoir étudié en école de commerce. 
Septième citation :
La conversation d’une femme : 95 % de reproches. Paul Morand, Journal inutile (1968-1972 et 1973-1976) 
Lounès Darbois : Vrai sauf… sauf si vous l’« honorez », comme on disait jadis. Alors elle vous fiche la paix. 
Huitième citation :
À vingt ans on a déjà plus que du passé. Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit (1932) 
Lounès Darbois : Avez-vous déjà eu cette impression malgré tous les voyages que vous avez entrepris, malgré toutes les réalisations que vous avez accomplies, que tout pendant l’enfance et l’adolescence étaient encore plus intense, plus beau, plus spontané, en somme plus vrai ? Il me semble que la vraie vie, c’est l’enfance, et que le reste est accessoire. 
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