#dent du chat
Explore tagged Tumblr posts
photos-de-france · 7 months ago
Text
Tumblr media
Le Lac du Bourget et la Dent du Chat, Aix-les-Bains, Savoie.
23 notes · View notes
rotor25 · 5 months ago
Text
Tumblr media
12 notes · View notes
crocsite · 4 months ago
Text
Tumblr media
0 notes
sloubs · 1 month ago
Text
vraiment les journalistes arrêtez de nous appâter avec des soi-disant "entretiens exclusifs" alors que c'est daubé du cul, j'ai vraiment passé 50 minutes à écouter une interview d'astier sur FIP, ils appellent ça un entretien alors que c'est 95% de musique et d'extraits de trucs dans lesquels il a taffé, le reste c'est lui qui parle dans une pièce mal insonorisée où il dit qu'il a appris la musique au conservatoire et qu'il a vu les dents de la mer quand il était gosse genre ON SAIT ÇA OMG ON LE SAIT TOUS IL RÉPÈTE LES MÊMES FUCKING TRUCS DEPUIS 5 PIGES ON EN PEUT PLUS !!! jsp faites votre taf mieux que ça les journalistes, demandez-lui la couleur de sa bagnole ou le nom de son chat, peu importe mais un truc NOUVEAU PAR PITIÉ
13 notes · View notes
perduedansmatete · 8 months ago
Text
j'ai l'impression que tous mes efforts seront toujours vains, j'ai erré en cette fin d'après-midi dans les couloirs du métro et dans la foule dans l'espoir de faire passer cette boule au ventre d'une manière ou d'une autre. je me sentais très seule et le bruit du monde couvert par mon casque était trop fort, les larmes me montaient mais c'est si facile de les retenir, de canaliser le nœud en moi, d'attendre que ça passe. je me dis que ça doit être ça l'impact d'avoir régulé toute mon enfance mes émotions dans le petit recoin entre le mur et mon lit en boule par terre comme un chat se cache pour mourir en paix, d'avoir serré les dents et les poings si fort, de m'être retenue si longtemps de pleurer pour ne pas énerver ou ne montrer aucune trace de vulnérabilité. mais j'aimerais savoir à quel moment tout ça a commencé ? quand est-ce que j'ai commencé à croire que ce que je ressentais n'avait aucune légitimité et pourquoi je n'arrive toujours pas à exprimer mes émotions au moment où je les ressens par peur de blesser ou d'être en tort ? aujourd'hui le petit recoin entre le mur de ma chambre et mon lit n'existe plus mais je finis toujours par imploser en silence roulée en boule derrière ma porte ou sur le carrelage de la salle de bain.
24 notes · View notes
urween · 9 months ago
Text
"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
bannière par @/saradika-graphics
2 404 mots
Description à la troisième personne
Tumblr media
Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”. 
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
Partie deux disponible !
° x-men masterlist
Tumblr media
bannières faites par @/saradika-graphics
29 notes · View notes
Text
Tumblr media
Au café du Nord, les habitués sirotaient leurs verres en commentant les potins du jour. « T'as vu la gueule de Robert hier soir ? On aurait dit qu'il avait gobé la Dent du Chat ! » lançait l'un. « Bah, c'est pas d'hier qu'il carbure au mauvais rouge », répondait l'autre. Le Café du Nord, c'était aussi le refuge de Marcel, un vieux bougre qui avait traversé les guerres, les amours et les désillusions. Chaque matin, il prenait son petit noir au comptoir, les yeux perdus dans le vague, écoutant les bruits familiers : le froufrou des jupes, le brouhaha des discussions, le cliquetis des cuillères dans les tasses. Il écoutait distraitement les histoires de Fernand, un ancien marin qui racontait avec passion ses péripéties en mer. « Tu sais Marcel, la mer, c'est pas comme ici. Elle te prend tout, mais elle te donne aussi beaucoup. » Et Marcel, sans lever les yeux, répondait invariablement : « T'as peut-être raison Fernand, mais moi, mon océan, c'est ce café. » Mireille, la serveuse, passait entre les tables, son plateau chargé de verres. Elle avait une beauté rêche, un regard qui en avait vu des vertes et des pas mûres. Chaque client avait sa petite histoire avec elle, chaque histoire avait sa chanson, et chaque chanson son souvenir. Mais le temps a effacé les figures familières. Aujourd'hui, ce volet fermé, c'est comme une paupière lourde sur des souvenirs éteints.
52 notes · View notes
br0-k3n-sch00lb01 · 3 days ago
Text
hrgghrgrgr my writers block is shit (i dont have it rn) but like .
i have entropy’s lore!! (Some of it)
…entirely in french
because
like
hes french??
im gonna kms here take this (i know. you cant read it. not my problem. im getting it out here anyways)
Aubrey a frappé à la porte d'entrée de la maison de Sunny à quelques reprises. « ... Mariiiii... Basil... » Elle a appelé doucement, alors qu'elle poussait la porte ouverte. Elle a navigué dans le salon, mais alors qu'elle franchissait la porte des escaliers, elle s'est figée. Ses yeux erraient, incompréhensifs, au-dessus de la vue devant elle.
« Basil... ? » Elle a demandé, dans l'incrédulité tranquille. « ... Que faites-vous... »
Basile, ou qu'elle avait connu sous le nom de Basil, se tenait là en haut de l'escalier avec des ailes d'ange, une faux presque 3 fois de sa taille, vêtue d'une tenue de soie blanche d'apparence sainte, et dégoulinant de sang, tenant quelque chose de rouge dans ses mains... un cœur, toujours battant.
Et à ses pieds se posait Mari, mutilée presque au-delà de la reconnaissance.
Basil sourit. « Bonjour, Aubrey. »
Aubrey fixa. « Qui êtes-vous ? Vous... vous n'êtes pas... Basil, êtes-vous... ? Il ne... ne ferait jamais quelque chose comme ça... » dit-elle, comme si elle essayait de se convaincre du fait.
« Oh... ce lâche... ? Non. Je suis Entropie. » Basil- ou, Entropy- a répondu, avec une désinvolture qui était effrayante, compte tenu de la situation.
Aubrey ne pouvait rien traiter. Finalement, elle a crié et a couru hors de la maison.
Elle pouvait jurer qu'elle avait entendu Entropy rire maniaquement derrière elle.
***
« ... Alors. » Sunny a dit. « Aujourd'hui. Il revient. S'il a dit la vérité. » Il se tenait debout, plus grand qu'Aubrey, sa queue de chat noir se tordant derrière lui. Il a jeté un coup d'œil à son ami. « D'accord ? Le vingtième décembre. »
Aubrey l'a regardé en réponse. Ses oreilles de lapin ont clignoté. « ... Ouais. »
« Bien sûr, il fait froid. »
« Mhm. »
Ils sont retournés dans le silence.
Après un certain temps, il y a eu un appel fort. « Yoo-hoo~ !! Sunny, Aubrey, tu m'as manqué !! »
Ensoleillé fouetté autour. Basil- non, Entropy, se prélassait sur une branche d'arbre derrière eux.
Aubrey serra les dents. « Oh, donc tu ne mentais pas ? » Elle a murmuré.
« Non !! Pourquoi le ferais-je ? » L'entropie a répondu, innocemment.
« Parce que toute votre personnalité a été un mensonge pendant 3 ANS. » Aubrey a craqué.
« Hmm. Eh bien, ma personnalité, bien sûr. Cependant, j'ai beaucoup aimé le look du petit Basil. Je l'ai un peu modifié, comme vous pouvez le voir. » Il a fait un geste à lui-même.
Il ressemblait toujours à Basil, bien sûr. Il avait les cheveux blonds, la peau pâle et une corpure mince.
Mais tout le reste était différent. Ses yeux étaient hétérochromatiques, un rouge et un noir. Il avait la même tenue d'il y a des années, avec des bottes en cuir blanc. Il avait des ailes et deux halos croisés au-dessus de sa tête, et des cornes de diable noires. Une paire de lunettes rectangulaires noires était assise sur son nez, et une cravate dorée était accrochée à son cou.
« Un peu ? Vous pouviez difficilement passer pour lui. » Sunny a dit.
« Oh, peu importe. Dis ce que tu veux, Sunny, mais je suis parfaitement d'accord avec mon apparence. » Entropy a dit, sa voix dégoulinant de douceur.
8 notes · View notes
swedesinstockholm · 1 month ago
Text
28 novembre
au soleil sur le nouveau canapé mais quel luxe d'avoir accès au soleil. j'ai rêvé de a. et de son double au bout d'un bras de mer sur une passerelle accrochée à la falaise. on allait voir l'arc-en-ciel au bout du bras de mer mais c'était un faux arc-en-ciel, une fille en tenait le bout à côté d'une porte vitrée. la plateforme pour voir l'arc-en-ciel était toute petite et le double de a. me touchait. ça faisait trop longtemps que j'avais pas rêvé d'une fille qui me touche. je lui disais que je savais qu'y avait un arc-en-ciel au bout du bras de mer parce qu'un chat me l'avait dit ce matin, mais c'est pas possible les chats ne parlent pas. je devais donc déjà le savoir. j'étais par terre dans le noir avec le chat et quand il s'est intéressé à moi j'étais folle de joie. il m'a montré comment me laver le visage avec ma patte et je devais faire comme lui.
autres trucs bien d'être de retour à la maison: chanter à plein poumons dans la douche et craquer mes noisettes avec les dents en écoutant un morceau intitulé l'écureuil agité sur france musique. parfois je craquais mes noisettes avec mes dents à berlin mais j'avais toujours peur que quelqu'un rentre dans la cuisine à ce moment-là.
mardi soir f. m'a dit qu'elle avait été diagnostiquée autiste et je me suis rendu compte que le fait de le savoir noir sur blanc officiellement ça changeait tout. pour moi. c'est plus des spéculations, c'est un fait biologique. tout d'un coup plein d'aspects de ma relation compliquée avec elle ont pris sens. si je me faisais diagnostiquer autiste est-ce que plein d'aspects de ma vie feraient soudain sens? et si j'avais été virée de la librairie sans raison parce que je suis autiste? et si les gens étaient touchés quand je suis sur scène parce que je suis autiste? et si r. était mon ami parce que je suis autiste? et si je comprenais rien à la vie parce que je suis autiste? ?? et si je retrouve plus jamais de coloc avec des gens aussi gentils et tolérants que j. n. et d.? mardi soir j. m'a écrit gute nacht avec un coeur mais je dormais déjà.
je suis en train de feuilleter l'odeur des pierres mouillées de léa rivière (l'amie de a.) pour mon atelier d'écriture et elle dit "tenter de définir des gender roles c'est comme essayer de trouver le pied d'un arc-en-ciel" mais moi je l'ai trouvé le pied de l'arc-en-ciel cette nuit et j'étais avec a. et c'était un FAUX. mes rêves sont beaucoup plus profonds que moi, je me demande qui les fabrique.
29 novembre
la deuxième épreuve de la semaine est passée, troisième si on compte le voyage de mardi, mais la lecture est celle que je craignais le moins parce que j'adore les lectures. depuis que f. m'a dit qu'elle était autiste c'est comme si moi aussi j'avais été diagnostiquée. est-ce que je devrais intituler mon texte chronique d'une autiste à berlin? juste après ma lecture pendant la pause je suis allée boire un truc au bar et un type du rainbow center est venu me dire qu'il avait adoré et il m'a donné sa carte pour que je lui envoie un texte pour leur magazine. il m'a demandé ce que je faisais au luxembourg et j'ai dit que je donnais des cours de luxembourgeois et il m'a dit qu'ils cherchaient des gens pour donner des cours, facile comme bonjour. e. m'a proposé de publier mon texte dans la future anthologie des trois premiers numéros de leur revue, j'ai dit que j'y réfléchirais, j'ai pas osé lui dire que je voulais le publier moi-même, peut être sous forme de chapbook. j'ai pas dit à j. que j'avais lu un texte en partie sur lui hier soir non plus.
je suis manifestement née pour souffrir, souffrir et écrire souffrir et puis écrire. dans mon texte hier soir je disais i have ptsd when i have to have fun et ce soir j’en ai fait la démonstration concrète à la soirée karaoké. je suis partie avant la fin parce que je commençais à sentir monter la colère en réaction à mon incapacité à participer au fun ambiant. je suis partie au bord des larmes, j’ai attendu de passer devant e. r. qui fumait dehors et une fois plongée dans l’obscurité totale de l’allée j’ai pleuré. je me répétais you’re ok it’s gonna be ok un jour un jour un jour ça ira mieux pendant que les larmes me coulaient sur les joues sans discontinuer drama drama dramatique. une fois dans le train j’ai mis de la musique qui fait du bruit avec des gens qui hurlent et ça m’a calmée. quand e. p. m’a dit au revoir j’ai senti la pitié dans sa voix. elle venait de chanter baby one more time avec j. et s. en se frottant lascivement contre elles et moi j’ai pas bougé de ma chaise de toute la soirée, les jambes croisés la bouche cousue, même pendant avril lavigne, même pendant kelly clarkson, même pendant taylor swift, incroyable incroyable incroyable cerveau. je fixais l’appli de mobilité sur mon téléphone comme si ça allait me téléporter à la maison en me disant que c’était la dernière fois que je faisais des efforts, c’est terminé, j’abandonne, je suis une cause perdue. je dois acheter un synthé écrire des chansons et les chanter sur scène, c’est le seul moyen. ça doit être moi l’artiste pour que j’arrive à lâcher. si c’est moi l’artiste je m’autorise.
le photographe de hier soir est venu me reféliciter pour mon texte, il m’a demandé si j’écrivais pour la scène, il m’a dit qu’il avait parlé de moi à e. r. la comédienne tu la connais? j’ai dit non alors que j’avais fait une lecture avec elle à la kufa l’année dernière. je suis vraiment une catastrophe sociale. il m’a dit qu’il allait aussi suggérer mon nom à celle qui s’occupe du projet des promenades littéraires pour la luga. j’en revenais pas de sa gentillesse. j’étais tellement enchantée que j’ai touché ma nouvelle boucle d’oreille interdite sans m’en rendre compte. je suis contente des retours que j’ai reçus parce que j’avais vraiment peur d’être trop larmoyante et autocentrée. j. m’a dit qu’elle était fan de tout ce que j’écrivais, bébé. j’aurais tellement aimé chanter avril lavigne avec elle. autres bonnes nouvelles: mon cours de luxembourgeois s’est mieux passé que celui de mercredi, mon atelier d’écriture de demain a été annulé faute d’inscriptions mais je vais quand même être payée 250 euros. s’il avait eu lieu j’aurais touché le double. c'est le seul pays où je suis payée une fortune pour des trucs littéraires mais c'est aussi le seul où ça intéresse personne. ça me rend folle, avec toutes les mega coupes budgétaires culturelles à berlin et à bruxelles en ce moment.
3 notes · View notes
alexar60 · 2 years ago
Text
Sieste
Tumblr media
Bien qu’il fasse chaud, la fenêtre restait fermée. Elle entra sans faire de bruit. Elle me regarda allongé sur le lit. Elle préféra m’admirer plutôt que de parler. Pourtant, elle avait tellement de choses à dire.
Sentant sa présence, je levais soudainement la tête. Elle me souriait. Elle retira son jean déchiré et s’étendit à sa place dans le lit. Comme elle me tournait le dos, je me lovais à elle comme elle adorait qu’on fasse. Mes doigts caressèrent lentement son avant-bras afin de l’endormir. Et une fois qu’elle trouvait le sommeil, je posais ma main sur la sienne.
Nous dormîmes pendant quelques minutes. C’était une sieste que je ne peux oublier. Elle sentait bon. J’aimais dormir en humant le parfum de ses cheveux et de son cou.  J’adorais sentir son cœur battre. J’aimais entendre ses soupirs lorsqu’elle étirait son corps. J’aurais aimé entrer dans ses rêves et faire voyager nos âmes dans les plus beaux endroits de l’univers. 
Petit-à-petit sa respiration devint sifflante, on entendait qu’elle avait du mal à inspirer. Son corps bouillait. Elle avait chaud, elle suait terriblement. Je me levai délicatement. Je ne voulais pas la réveiller. J’aurais voulu lui dire un dernier au-revoir, mais ce n’était pas possible. Alors, je quittais le lit pour m’assoir près d’elle. Elle remuait la bouche. Ses lèvres devinrent brusquement blanches. Avec la sueur, sa peau blanchissait terriblement. Elle semblait marmonner. Je crus entendre mon prénom. Puis elle ferma la bouche et resta endormie. Une larme perla du coin des sons œil et tomba sur le drap. Elle se recroquevilla, elle avait froid.
Dehors, le soleil brillait énormément. Il faisait chaud mais je n’ouvrais toujours par la fenêtre. Quelques oiseaux piaillaient dans les arbres. Une voiture traversa la rue �� toute vitesse. Elle freina soudainement. J’entendis quelques cris, puis le moteur de la voiture retentit et s’éloigna.
Je l’observais avec le regard d’un ami, d’un père et d’un amant à la fois. J’avais essayé de trouver une solution. J’avais essayé tous les remèdes, mais rien n’y fait. Je devais la laisser. Partir et ne plus revenir ! Cette sieste était l’occasion de le faire. J’approchai lentement avec attention. Je murmurais juste que je l’aime et que je l’aimerai toujours. Elle n’ouvrit pas les yeux. Sa respiration devint plus sifflante telle une malade à l’agonie. Elle ouvrit ses lèvres blanches, prononça encore mon prénom mais resta endormie.
Elle portait son haut rose  à bretelles. Je l’aimais bien, j’aimais la voir dedans. Mais à ce moment, mon regard focalisait surtout le pansement sur son épaule. Il était rouge, il suintait et avait besoin d’être changé. Cependant, je n’y touchais pas, par peur de la réveiller. Un autre pansement dépassait de son maillot. Cependant, il restait discret.
Je restais encore cinq minutes à admirer mon amie. Et tout-à-coup, elle expira un souffle long. Son corps ne semblait plus bouger. La sueur ne coulait plus sur son visage blanc. La peau de ses mains et de ses bras séchèrent à  vue d’œil. Il était temps que je parte. Dès lors, je sortis sans faire de bruit. Je descendis et quittai la maison en abandonnant ma belle-au-bois-dormant.
Dehors, la chaleur du soleil frappait le bitume et les maisons. C’était presque la canicule. Toutefois, je remarquai quelques personnes dans la rue. Un homme demeurait debout immobile devant la clôture d’un jardin. Il me tournait le dos et ne remarqua pas ma présence. Plus loin, Trois personnages, accroupis encerclaient un corps. Ils mangeaient à même les dents, la chair crue du cadavre putréfié.
J’avais tué cet homme. Il y a trois jours, il avait attaqué ma compagne. Elle était sortie en oubliant la première des consignes en regardant un chat grimper dans un arbre: « Ne jamais se faire distraire ». Elle n’a pas entendu le zombi approcher. Toutefois, elle réussit à se dégager et pendant qu’elle s’échappait, j’ai buté le mort-vivant à coup de fusil. Il avait réussi à la mordre à l’épaule et la hanche. Des blessures suffisantes pour la transformer.
Nous avons tout tenté, nous savions que ce jour arriverait. Elle a pris une dose incroyable de médicaments, elle a aussi avalé des mixtures dont les recettes sont disponibles sur internet. Mais rien n’y fait ! Il est écrit quelque-part, qu’elle deviendra l’un des leurs.
J’ai jeté un dernier coup d’œil à la fenêtre de notre chambre. Elle ne dormait plus. Elle était debout derrière le carreau. Son visage était méconnaissable, blanc presque vert. Ses yeux livides et sa bouche entre-ouverte desséché, confirmaient qu’il n’y avait plus rien à faire. Malgré ses yeux ouverts, elle ne regardait rien. Je suis monté dans ma voiture sans claquer la portière et j’ai démarré rapidement. Les zombis se sont mis à courir après moi, en vain.
Je suis parti rejoindre les enfants chez mon frère. Sa région n’est pas encore touchée par la contamination. Durant le trajet, j’ai pleuré. Je n’ai pas eu le courage de la tuer, j’ai préféré lui laisser une dernière sieste. Un autre s’en chargera.
Alex@r60 – août 2023
30 notes · View notes
photos-de-france · 1 year ago
Text
Tumblr media
La Dent du Chat et le lac du Bourget, Savoie.
29 notes · View notes
rotor25 · 8 months ago
Text
Tumblr media
7 notes · View notes
tournevole · 1 year ago
Text
Nous rangeons la vaisselle sale dans l'évier, nous nous mettons à la fenêtre, nous respirons la froideur des étoiles, nous boudons la lune ou bien nous admirons ses mantilles. Nous épions le chat, nous écoutons les allées et venues du chien - un oiseau remue, le cœur d'un arbre bat - nous croyons que la nuit frissonne pour nous. Ils éteignent au loin : une maison fond dans les ténèbres. Les coassements des grenouilles s'égaillent, un homme pisse dans la suie, une chouette hulule et transit la nuit. La nuit se tait. La chouette et son gosier bleuâtre se font attendre. Cécile se remet au piano, abuse de la pédale douce parce que des inconnus dorment. Je fais ma toilette dans l'ombre, je m'éclaire avec ma cigarette. Cécile joue toujours. Je m'allonge sur notre lit, je ferme les yeux : le parfum des roses entre, la fenêtre se change en hublot. Des volailles remuent sur les perchoirs, le silence se replace, les doigts de Cécile se fatiguent. Elle vient, elle se penche sur mon feu orange, elle vérifie mon buste, elle s'en va avec ma cigarette, elle se lave vite les dents. Je crois entendre une adolescente sportive qui se purifie au soleil, sous le visage d'une fontaine. C'est fini. Cécile crache dans une cuvette. Elle se peigne, elle déplie sa chemise de nuit qu'elle lance sur la chaise, elle détruit la symétrie des repasseuses. Elle nettoie ses ongles sans les voir, elle écrase ma cigarette sur l'appui de fenêtre, elle met sa tête dans les parfumées, elle me dit que la nuit comme la pluie tombe dans ses cheveux.
Violette Leduc, Ravages. 
9 notes · View notes
Text
 les he1. Bois un verre d'eau toutesures, tu te sentiras remplie.
2. Bois de l'eau très froide même glacée, ton corps devra brûler plus de calories pour ramener l'eau à une température digérable.
3. Bois 3 tasses de thé vert tous les jours, ça boost le métabolisme et en plus c'est un excellent anti-oxydant qui aide à avoir une belle peau.
4. Prends des vitamines tous les jours.
5. Mange de la glace quand tu as faim, ça fait croire au corps qu'il mange mais sans les calories.
6. Fais de l'aérobie quand tu sens que tu vas craquer.
7. Mange de la nouriture épicée, ça aide à hausser le métabolisme.
8. Prends de longues douches froides, ton corps doit brûler des calories pour revenir à une température normale.
9. Ne prends pas de laxatifs, ils ne t'aident pas à perdre du poids, ils dérèglent et sont très mauvais pour le métabolisme.
10. Ne prends pas de dirurétiques… Ils ne font que te déshydrater (et même chose que 9).
11. Brosse tes dents très souvent comme ça tu seras moins tentée de manger après.
12. Entoure ta taille avec un ruban ou une écharpe … ça va te serrer quand tu vas manger.
13. Nettoie quelque chose de dégoutant (toillette, litière du chat, la chambre de ton copain lol) avant de manger. Personne n'a envie de manger après avoir nettoyer quelque chose comme ça…
14. Garde tes cheveux en bonne condition comme ça personne ne suspectera rien.
15. Trouve une chose à faire qui te fera t'absenter durant les repas.
16. Fais plus d'exercice que le nombre de calories que tu manges.
17. Utilise de petits plats et de petits ustensiles comme ça tu auras l'impression de manger plus (par exemple, mange dans des assiettes à dessert, elles te paraîtront plus vite remplie…)
18. Prends une bouchée de nourriture pour deux gorgées d'eau comme ça tu seras remplie.
19. Dis que tu vas manger chez une copine et vas marcher à la place tu vas brûler des calories au lieu d'en prendre.
20. Achète des vêtements trop petits et accroche les bien en évidence comme ça tu seras motivée à pouvoir les enfiler !
21. Dors au moins 6h par jour sinon ça peut faire baisser ton métabolisme de 15%
22. Si tu commences à avoir faim fais des redressements assis et bouge toi !
23. Pomponne toi : donne-toi un facial, fais-toi les ongles, exfolliation, épile-toi à la pince. Fais-toi belle !
24. Fais ton lunch mais ne le mange pas, salis la vaisselle et jète les restes ou personne ne va les trouver, comme ça ton entourage croira que tu as mangé. Enfin, c'est vrai que c'est mieux quand t'es seule, comme ça, tu vas même pas dans la cuisine de la journée.
25. Prépare une liste d'excuse à dire quand tu ne veux pas manger : tu es malade, végétarienne, allergique, t'as trop mangé avant, etc…
26. Sors de ta maison ! Si tu ne reste pas assise sur ton cul à rien faire le monde ne pourra pas t'emmerder avec le fait que tu ne manges pas.
27. Rejoins un groupe Pro-Ana ou démarre le tien, n'importe quoi qui va te tenir motivée !!
28. Fabrique un scrapbook d'ANA, avec des photos de thinspiration etc tout ce qui pourrais te tenir motivée un espèce de journal de bord !
29. Une bonne posture te fait brûler 10% plus de calories que quand on s'avachit…
30. N'achète jamais de nourriture avec ton argent ou celui qu'on te donne, tu ferras des économies :p ! À la place d'acheter de la nouriture achète de nouveaux vêtements, une balance, tout ce que tu veux !
31. Fabrique une liste des mauvais aliments que tu aimes manger, et chaque jour tu en prends un et tu te jures de ne jamais le remanger ! Tu peux mettre cette liste dans ton journal de bord.
32. Jamais d'alcool ! L'alcool est bourré de calories un seul verre en contient au moins 120 … alors imagine les dégats après une soirée ! A moins, que tu vomisses tout…
33. Ne mange jamais rien de plus gros qu'une tasse !! Ton estomac pourait s'agrandir et tu aurais encore plus faim ensuite.
34. Mange devant un miroir. Vois comment tu es une grosse cochonne sans volonté…
35. L'odeur du café est sensé couper l'appétit
36. Porte parfaitement du lip gloss, tu seras moins tentée de manger n'importe quoi.
37. Prends le moins possible de repas par jour (petit-déj' essentiel, midi, jamais de goûter, et repas du soir à éviter).
38. Le chocolat chaud basse calorie te fera te sentir remplie sans pour autant prendre trop de calories.
39. Prends une photo de toi en maillot de bain et regarde-toi à chaque fois avant de manger, dis-toi que tu ne veux plus ressembler à ça…
40. Il faut 20 minutes au cerveau pour réaliser que l'estomac est plein, intérressant non ?
41. Mange beaucoup de fibres, ça te fait sentir pleine et aide à faire sortir le gras de ton corps.
42. Avant de manger un gâteau, bonbons, chips ou autres prends une grande respiration et compte jusqu'à 100 dans ta tête. Habituellement l'envie passe ou tu réussis à te convaincre que tu vas devenir une grosse truie (ou que tu en es déjà une) si tu manges ça !
43. Quand tu as faim bois deux verres d'eau chaude… Vraiment dégoûtant, ça fait passer la faim.
44. Lis l'information nutritionelle sur chaque aliment et renseigne toi sur les calories, les graisses saturées etc… Tout ce qui est mauvais pour ton corps !!
45. Si tu aimes boire de l'alcool fais toi une règle : Si la semaine, tu as atteint l'objectif que tu t'étais fixé, tu peux boire un peu, si au contraire, tu n'as rien réussi du tout, ou que tu as régressé, ne bois pas.
46. Ne mange pas devant l'ordinateur ou la télé, ça te distrait et tu ne sais pas quand tu n'as plus faim.
47. Épargne l'argent que tu prenais pour tes lunchs mets-le dans un pot et regarde le montant augmenter jour après jour ! Je peux te dire que ça fait plaisir !
48. Tiens toi loin de Slim-Fast et autres produits santé miracle pour faire perdre du poids. Jette seulement un regard aux renseignements nutritionels pour voir comment ces supposés shakes sont bourrés de calories.
49. Quand tu as faim bois de l'eau glacée avec du citron et compte jusqu'à 100 dans ta tête, tu n'auras plus faim.
50. Manger 4 repas de 100 calories est mieux qu'un seul de 400.
14 notes · View notes
sous-le-saule · 2 years ago
Text
Quand le chat n'est pas là
J’arrive pas à dormir. Maman, elle veut toujours que je fasse une sieste après le déjeuner mais je suis jamais fatiguée. Elle dit que je dois quand même rester dans mon lit et fermer mes yeux pour me reposer. Au moins une demi-heure, jusqu’à ce que mon réveil lapin chante la chanson qui dit que c’est fini. C’est long et je m’ennuie.
Y a un bruit. J’ouvre un œil. Ca gratte à la porte. Chouette, c’est le chat qui vient me faire coucou. Il arrive pas à ouvrir et j’ai peur de me faire gronder si je me lève mais à force de gratter gratter gratter il entrouvre la porte. Y a un peu de lumière qui vient du couloir mais pas assez et je vois juste sa forme dans le noir. Il avance un peu bizarrement, peut-être qu’il a mal à la patte. J’entends ses griffes sur le parquet quand il avance vers le lit. Maman, elle dit que le chat devient vieux et qu’il arrive plus toujours à rentrer ses griffes et que ça fait comme le bruit d’un chien quand il marche. C’est drôle.
J’attends qu’il saute sur le lit pour me faire un câlin, parce que c’est ce qu’il fait toujours. Mais il va sous le lit. Je l’appelle : « Bataille » mais il vient pas. Il fait des bruits dégoutants, comme s’il mastiquait un truc et j’ai peur qu’il ait attrapé une souris mais j’ose pas allumer pour voir. Puis j’entends plus rien, puis je l’entends respirer alors que d’habitude non. Ca fait un drôle de sifflement-grondement. Il est peut-être fâché.
Je me penche un peu mais je vois rien. Je passe ma main sous le lit pour le caresser, qu’il comprenne que tout va bien. J’arrive à le toucher mais ses poils, ils sont pas comme d’habitude. D’habitude ils sont tout doux, et là on dirait les poils de la brosse que papa utilise pour nettoyer la terrasse.
Tout à coup, je sens ses dents s’enfoncer dans ma main. Ca fait très très très mal et je crie. Tant pis, j’allume ma lampe de chevet. Y a un peu de sang et ça me fait peur, alors je pleure. Jamais il m’a mordue, le chat ! Pourquoi il est méchant aujourd’hui ? Je regarde sous le lit mais il est plus là. J’entends un bruit de griffes quelque part dans la chambre, je sais pas où.
Maman ouvre la porte en grand. « Qu’est-ce qui se passe encore ? Qu’est-ce que tu as trouvé pour ne pas faire ta sieste, cette fois ? » Comme si c’était ma faute ! « C’est le chat, je dis, y m’a mordu ! »
Maman fait les gros yeux. « Je n’aime pas que tu mentes. » Je me remets à pleurer : « Mais je mens pas ! Il était sous le lit ! »
« Camille, le chat n’est pas là. Papa l’a emmené chez le vétérinaire pour sa visite annuelle. »
15 notes · View notes
ditesdonc · 1 year ago
Text
Les étés à Curtin
Texte écrit par Jean-Claude Long
Fin des années cinquante. La grande maison est divisée en deux, louée en partie l’été par les sœurs Rochet, Berthe et Denise, mariées plus tard à Robert Magaud et Georges Guichert.
Dans le coin cuisine, un grand évier noir, en pierre, sert aussi à se laver. Le réchaud fonctionne avec une bouteille de butane ; au fond de la maison, une pièce fraîche sert de cellier. Un garde-manger à grille , suspendu, dissuade les mouches et les fourmis .
Dehors, une pompe, qu’il faut « amorcer », c’est un jeu ; un puits, dont on ne se sert pas, des granges, des hangars, des greniers, des machines et des outils mystérieux, des odeurs de paille et de grain, des poules en liberté. La vraie vie est là, pas en ville.
Un chien noir, Jimmy, est attaché à une grande chaîne, en permanence. Il a creusé un chemin sur son passage. Robert le lâche parfois, Jimmy part courir dans la campagne, si vite qu’on dirait un dessin animé : il a douze pattes. Quelques heures après, il revient en lambeaux, boitant, saignant d’une oreille. Cinquante ans après, on aurait dit « il s’est mis minable ».
Lorsque Robert revient sur sa moto, Jimmy s’agite avant que les humains aient entendu le moindre bruit ; Berthe dit alors : « voilà Robert ».
A gauche en sortant de la maison, un pré, dont l’enfant rêve l’hiver, comme une préface à des récits d’explorateur. On le traverse pour aller à la boulangerie à Thuellin.
Souvent vient brouter un troupeau de vaches. L’enfant aime les vaches, à la robe marron et blanche, cette odeur à la fois sauvage et rassurante, leur chaleur épaisse et grasse, maternelle . Elles font un peu peur avec leurs gros yeux, mais sont paisibles, c’est fascinant !Aujourd’hui encore, l’odeur des vaches me met les larmes aux yeux.  "Voilà  les vaches ! " est un cri de fête, un alléluia païen. Avec les enfants qui mènent le troupeau, je crois qu’il y avait une Mireille, on va jouer à cache- cache , à Colin Maillart, à Mère veux-tu. On mangera la tarte aux pommes de ma mère, on boira du Pschitt, l’après-midi ne sera que féerie. La Dent-du-Chat est une frontière au loin, les dieux juchés nous observent.
Fête aussi les commerçants ambulants, qui arrivent en klaxonnant ; galopade ! Dehors en pyjama ! Ducard, petit monsieur chauve aux yeux vifs, sa camionnette bleue aux odeurs de sucre et de bonbons chimiques. Fontana, fruits et légumes, sa camionnette verte, « l’Increvable », ses grosses lunettes. Le boucher a une fourgonnette deux-chevaux, grise .
L’enfant aime la campagne ; la liberté est totale. Sa mère, si craintive en ville, le laisse pendant deux mois divaguer parmi les faux, les herses, les tracteurs, dont un jour il desserra un frein à main dans une pente, bourde réparée d’urgence. Il aime l’errance, nez dans les nuages, la rêverie dans les odeurs. Il est shooté au foin, au fumier, à la pluie, aux animaux, coqs, renards toujours lointains mais dont le glapissement est proche, témoin d’un monde secret qui nous entoure, le comprendra-t-il plus tard ?
Le soir, les chiens discutent de loin en loin, que se racontent-ils ? Il pose un jour la question, un adulte répond : « ils ne racontent rien, ce sont des bêtes ». L’enfant pense que le grand se trompe, je le crois encore aujourd’hui.
On peut prendre des bâtons tant qu’on en veut, pourfendre les ennemis ; les plantes, les herbes sont des légumes pour jouer à l’épicier ; infinie profusion de cailloux pour lancer et construire. Deux shorts, deux chemises pour tout l’été suffisent pour fouler l’herbe menue par les soirs bleus d’été et sans avoir lu Rimbaud. Ma sœur et moi allons chaque soir acheter le lait à la ferme Teillon, dont les bâtiments existent encore. Quand le soir tombe au retour, et que les hirondelles se rassemblent sur les fils électriques en prévision de la migration, c’est que la rentrée des classes est proche. On transporte le lait dans un bidon en aluminium, qu’on appelle une berthe. Je suis gêné que le bidon porte le même nom que la propriétaire, gentille et aimable. Je n’ose prononcer le mot de peur de la froisser.
Après la pluie, au retour, début septembre, l’ombre monte des fossés dans des odeurs de trèfle et d’orties.
Ma mère achète parfois un lapin vivant chez Mme Guetta (Guettat ?) Mon père pourtant plutôt doux et pacifique, mais initié par ses vacances enfantines ardéchoises, assomme, suspend, saigne, écorche et éviscère l’animal sous le regard de l’enfant.
Nous rendons parfois visite à la Génie, vieille dame moustachue qui habite une sorte de chaumière dans une cour herbue et intarissable pourvoyeuse de potins de village. Tonton Maurice vient aussi parfois, il y a toujours une bouteille de vin dans la pièce fraîche.
L’église et la procession du 15 Août font un peu peur.
Mais le plus étonnant c’est le bruit fracassant des métiers à tisser. Comme c’était étrange, ce bistanclaque pan (on dit tchique tchaque pan) parmi les chevaux de trait, les vaches, et l’odeur des charrettes de foin.
Merveilleuse époque : les locataires lyonnais devinrent amis avec les propriétaires, particulièrement Berthe et Robert, qu’ils fréquentèrent jusqu’ à la mort de ma mère, en 1979 ; celle-ci allait voir aussi Denise Rochet, installée à St Sorlin. Le pluvieux été 1958, la belote, les tartes aux pommes, les gâteaux de riz au caramel favorisèrent sans doute le rapprochement. Mon père et Robert, le citadin et le campagnard, « se chambraient » amicalement, ma mère et Berthe riaient en faisant la lessive, parfois au lavoir. L’on prêtait un vélosolex. Avec Denise les conversations étaient plus sérieuses ; Georges était taciturne.
Aujourd’hui, Curtin sort parfois des brumes et ressuscite l’enfant, dont les sens et la pensée s’ouvraient au monde : quelle place y prendrait-il ?
Je voudrais avoir des nouvelles de Brigitte et Jean-Claude Magaud, les enfants de Berthe et Robert. Michel Guichert, fils de Denise et Georges ; il habite encore la maison, me permettrait-il d’y entrer ? La famille Teillon ; j’ai vu qu’il y a un boulanger, un plaquiste, un décorateur. Tonton Maurice buvait rituellement un canon avec Victor, en embarquant la provision de pommes de terre de ma mère dans la quatre-chevaux. Mireille Rochet (existait-elle, est-elle encore en vie ?) Une jeune fille aujourd’hui vieille dame, Hélène, qui était horrifiée par mes acrobaties en trottinette : « je vais le dire à ta mère ! »
Tumblr media
D'autres soirs bleus, par Irène, août 2023.
2 notes · View notes