#dennis d'amour
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Voïvod "Dimension Hatröss"
#denis bélanger#michel langevin#voivod#thrash metal#progressive metal#canada#dennis d'amour#jean-yves theriault
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FROM THE B-MOVIE BADLANDS...
...images from the lost continent of cult films, b-movies and celluloid dreamscapes
Paranormal and Occult Detective Investigator films
The rate is two-fifty a day, plus expenses or one untainted soul. Financial terms are available...
The Devil Rides Out (1968) Lord Of Illusion (1995) Hellboy (2004) Constantine (2005) Dylan Dog: Dead of Night (2010) Odd Thomas (2013)
#from the b-movie badlands#occult#horror#detective#Investigator#hellboy#constantine#dennis wheatley#odd thomas#comics#hammer films#harry d'amour#clive barker#from the badlands
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Title: Lady Gaga Presents: The Monster Ball Tour at Madison Square Garden
Rating: NR
Director: Laurieann Gibson
Cast: Lady Gaga, Amanda Balen, Allison Hagendorf, Graham Breitenstein, Molly D'Amour, Mainda Dennis, Montana Efaw, Mark Kanemura, Ian McKenzie, Sloan-Taylor Rabinor, Víctor Rojas, Michael Silas, Lady Starlight, Lady Bunny, Liza Minnelli, Paul McCartney
Release year: 2011
Genres: documentary, music
Blurb: Lady Gaga takes fans behind the scenes alongside concert footage of her February 21 and 22 Monster Ball Tour shows.
#lady gaga presents the monster ball tour at madison square garden#nr#laurieann gibson#lady gaga#amanda balen#allison hagendorf#graham breitenstein#molly d'amour#2011#documentary#music
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🌍✊🏾 Dennis Brown, le "Prince du Reggae" : Un Héritage Éternel pour la Communauté Rastafari d'Afrique et du Monde ✊🏾🌍
📢 "Ici vient le roi !" — Cette célèbre phrase tirée de son tube légendaire "Here I Come" résonne encore dans le cœur de millions de passionnés de reggae et de la culture Rastafari à travers le monde. Dennis Brown, le "Prince du Reggae", n'était pas seulement une icône musicale, mais un messager spirituel et culturel pour toute la communauté noire et africaine.
🌿 Un Pilier de la Conscience Rastafari 🌿
Né le 1er février 1957 à Kingston, en Jamaïque, Dennis Brown a, dès l'âge de 11 ans, conquis le monde de la musique. Mais au-delà des m��lodies, ses paroles portaient des messages puissants. Les thèmes de la libération spirituelle, de la justice sociale et de l’amour universel résonnent dans des chansons comme "Revolution", "Money In My Pocket" et "Love Has Found Its Way".
🎤 Un Héritage qui Parle aux Jeunes d'Afrique 🌍
Pour la jeunesse africaine, Dennis Brown reste une source d’inspiration. Son engagement envers l’émancipation de l'esprit noir résonne particulièrement dans les pays africains où la quête de liberté et de dignité reste un combat quotidien. Par sa musique, il a rappelé au peuple africain que "Rastafari Lives!" — un message d'espoir et de foi.
🔥 Le Feu du Reggae au Service d'une Révolution Silencieuse 🔥
À travers des morceaux comme "Revolution", Dennis Brown a appelé la jeunesse à se lever contre l'oppression. Son œuvre invite chaque Africain à croire en sa capacité à changer le monde. Pour lui, le changement ne se faisait pas uniquement par la violence, mais aussi par la révolution intérieure et la libération de l'esprit.
✊🏾 Pourquoi l'Afrique Doit se Réapproprier l’Héritage de Dennis Brown ? ✊🏾
1️⃣ Un Éveil Culturel : Ses textes célèbrent l’identité noire et la foi Rastafari, des valeurs essentielles pour les jeunes Africains en quête de repères.
2️⃣ La Résistance Pacifique : Dennis Brown a promu la résistance mentale par la foi, la patience et la sagesse.
3️⃣ Un Appel au Respect de l'Héritage Africain : Le reggae, issu des racines africaines, est devenu un instrument de fierté culturelle.
💥 Un Message Toujours d'Actualité 💥
Alors que le monde est marqué par des crises sociales et économiques, le message de Dennis Brown reste intemporel. Sa voix rappelle à chacun que la foi Rastafari est une voie de paix, de justice et d'amour universel. Dans un contexte où les inégalités sociales frappent de plein fouet la jeunesse africaine, ses paroles offrent une voie d’espoir.
📢 🌿 Rejoignez le Mouvement 🌿 📢
👉🏾 Ne laissons pas l’héritage de Dennis Brown s’éteindre !
👉🏾 Partagez ses chansons, écoutez ses messages et surtout, faites passer le mot !
👉🏾 Dites-nous en commentaire quel est VOTRE titre préféré de Dennis Brown et pourquoi ! 🎶🎤
🌟 💚💛❤️ N’oublions pas ! Chaque partage est une pierre à l’édifice de notre conscience culturelle ! 💚💛❤️ 🌟
🔥 Écoutez ses classiques et laissez son message vous toucher en profondeur.
📣 "La révolution commence à l'intérieur de l'esprit." — Dennis Brown
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#DennisBrown #PrinceDuReggae #RastafariLives #ReggaeLegend #AfriqueUnie #CultureRastafari #JusticeSociale #AmourUniversel #Revolution #LiberationDeLEsprit
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Top 5 pièces de théâtre
Alors ça c'est cruel. Me faire choisir des pièces de théâtre. Je me donne une règle : une pièce par auteur. Sinon Sarah Kane va occuper deux places dans ce top et j'ai quand même envie de parler d'autres pièces/dramaturges. Le classement est complètement aléatoire parce que je suis indécise. Aussi il n'y aura que du théâtre contemporain parce que les classiques on les connaît au bout d'un moment.
1) Sentinelles (Jean-François Sivadier) : Je ne sais même pas où commencer. Ce texte, que je ne connais que depuis 2 ou 3 mois, a complètement changé mon approche du théâtre et de l'art et ça ne m'arrive pas souvent (Les deux autres pièces de théâtre qui ont eu cet impact sur moi sont la tétralogie Henry VI/Richard III mis en scène par Thomas Jolly et Holly Woodlawn mis en scène par Pierre Maillet). C'est à la fois une réflexion sur l'art, sur le sens de l'art, ses buts, une biographie romancée de Glenn Gould, une étude des différentes approches de la musique, une réflexion artistique sur comment représenter la musique et une l'histoire de la destruction d'une amitié. Je ne peux pas suffisamment recommander de lire ou de voir la pièce (Il reste quelques dates si je ne me trompe pas). Une vraie leçon de théâtre, de philosophie de l'art et d'écriture
Lien pour voir le trailer de la pièce : Sentinelles - Sivadier
2) 4.48 Psychose (Sarah Kane) : Le plus beau cri de désespoir de la littérature anglaise. C'est pas un texte dont on peut parler. C'est un texte qui se vit et se lit à voix haute. C'est un texte qui va venir remuer à la fois ce qu'il y a de plus misérable et de plus splendide dans l'âme humaine. Il déchire les entrailles, il nous fait pleurer, il y a aussi cet humour noir, sombre presque désespérant de cette femme qui a perdu foi en tout sauf en cet amour inébranlable qu'elle éprouve pour une autre femme alors qu'elle n'est pas là, qu'elle n'existe pas ou plus que dans ses souvenirs et c'est terrifiant pour le lecteur qui perd pied en même temps que cette voix qui n'arrive pas à s'arrêter de parler. C'est noir, sombre, déprimant mais en même temps c'est drôle et il y a un espoir étrange qui vient apporter un peu de lumière dans la destruction progressive du personnage. Je ne sais pas si j'en parle bien mais allez le lire. C'est incroyable. (En plus c'est le texte que j'ai choisi pour ma première mise en scène alors c'est sûr que j'entretiens un rapport assez particulier avec lui.)
3) Tristesse Animal noir (Anja Hilling) : C'est un texte qui est plus proche du poétique que du dramatique. Ce que j'aime dans ce texte c'est pas tellement l'histoire, les métaphores ou les symboliques c'est plutôt l'immensité créatrice qui s'ouvre pour un metteur en scène qui voudrait aborder ce texte. C'est presque irreprésentable et c'est ça qui est intéressant. En plus la langue et très belle, vraiment très belle.
4) Girls & Boys (Dennis Kelly) : Pas du tout le même style, c'est du réalisme social britannique. C'est une femme qui raconte son histoire d'amour, puis l'histoire de sa vie de femme marié, de mère de famille et comment ce qui, en apparence, "la relation et la vie parfaite" mises en avant par la société sont en fait profondément malsaines et destructrices. En nous racontant son histoire elle nous envoie à la gueule (Théâtre in-yer-face) toute la misère du monde, et les problèmes de la condition de la femme dans la société contemporaine. Et en même temps elle nous fait rire et nous pousse à agir. C'est une pièce profondément féministe et qui nous fait prendre conscience de la misère sociale et des dysfonctionnement de notre société.
5) Sur la voie royale (Elfriede Jelineck) : Bon clairement cette femme n'est pas prix nobel de littérature pour rien. C'est ce que j'aime dans le théâtre : la voix et la liberté. A la fois la liberté de parler et la liberté du metteur en scène. Le texte n'est pas pensé comme une relique sacrée à laquelle on n'a pas le droit de toucher, c'est un matériau. Le metteur en scène peut mutiler le texte, le réarranger, le couper. C'est un texte pensé pour la voix et pour la représentation. En plus c'est un texte politique qui suinte la colère et l'urgence d'écrire. Écrire pour protester et pour montrer que le théâtre ne cessera jamais de se battre pour rester un art libre capable de parler de politique et de rentrer dans la gueule de ceux qui voudraient que tout soit bien lisse et policé en art comme dans la vie.
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Des livres mémorables
1) Les piliers de la Terre
Quatrième de couverture :
“ Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagé par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Cette saga est unanimement considérée comme l'oeuvre majeure de Ken Follett, qui nous offre ici une fresque monumentale dont l'intrigue aux rebonds incessants s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien. Promené de pendaisons en meurtres, des forêts anglaises au coeur de l'Andalousie, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrémédiablement happé par le tourbillon d'une superbe épopée romanesque dont il aimerait qu'elle n'ait pas de fin. “
Suite d’Ellen
Quatrième de couverture :
“ Dans l'Angleterre du XIIe siècle ravagée par la guerre et la famine, des êtres luttent chacun à leur manière pour s'assurer le pouvoir, la gloire, la sainteté, l'amour, ou simplement de quoi survivre. Cette saga est unanimement considérée comme l'ouvre majeure de Ken Follett, qui nous offre ici une fresque monumentale dont l'intrigue aux rebonds incessants s'appuie sur un extraordinaire travail d'historien. Promené de pendaisons en meurtres, des forêts anglaises au cur de l'Andalousie, de Tours à Saint-Denis, le lecteur se trouve irrémédiablement happé par le tourbillon d'une superbe épopée romanesque dont il aimerait qu'elle n'ait pas de fin. “
2) Je , François Villon
Quatrième de couverture :
“ Il est peut-être né le jour de la mort de Jeanne d'Arc. On a pendu son père et supplicié sa mère. Il a étudié à l'université de Paris. Il a joui, menti, volé dès son plus jeune âge. Il a fréquenté les miséreux et les nantis, les curés, les assassins, les poètes et les rois. Aucun sentiment humain ne lui était étranger. Il a commis tous les actes qu'un homme peut commettre. Il a traversé comme un météore trente années de l'histoire de son temps. Il a ouvert cette voie somptueuse qu'emprunteront à sa suite tous les autres poètes : l'absolue liberté.”
3) Charly 9
Quatrième de couverture :
“ Charles IX fut de tous nos rois de France l'un des plus calamiteux. À 22 ans, pour faire plaisir à sa mère, il ordonna le massacre de la Saint-Barthélemy, qui épouvanta l'Europe entière. Abasourdi par l'énormité de son crime, il sombra dans la folie. Courant le lapin et le cerf dans les salles du Louvre, fabriquant de la fausse monnaie pour remplir les caisses désespérément vides du royaume, il accumula les initiatives désastreuses. Transpirant le sang par tous les pores de son pauvre corps décharné, Charles IX mourut à 23 ans, haï de tous. Pourtant, il avait un bon fond. “
4) La Chute des géants
Quatrième de couverture :
“ A la veille de la guerre de 1914-1918, les grandes puissances vivent leurs derniers moments d'insouciance. Bientôt la violence va déferler sur le monde. De l'Europe aux États-Unis, du fond des mines du pays de Galles aux antichambres du pouvoir soviétique, en passant par les tranchées de la Somme, cinq familles vont se croiser, s'unir, se déchirer. Passions contrariées, jeux politiques et trahisons... Cette fresque magistrale explore toute la gamme des sentiments à travers le destin de personnages exceptionnels... Billy et Ethel Williams, Lady Maud Fitzherbert, Walter von Ulrich, Gus Dewar, Grigori et Lev Pechkov vont braver les obstacles et les peurs pour s'aimer, pour survivre, pour tenter de changer le cours du monde. Entre saga historique et roman d'espionnage, intrigues amoureuses et lutte des classes, ce premier volet du Siècle, qui embrasse dix ans d’histoire, raconte une vertigineuse épopée où l'aventure et le suspense rencontrent le souffle de l'Histoire... “
C’est une trilogie : La chute des géants , L’hiver du monde , Aux portes de l’éternité.
5) Misery
Quatrième de couverture :
“ Misery, c'est le nom de l'héroïne populaire qui a rapporté des millions de dollars au romancier Paul Sheldon. Après quoi il en a eu assez : il a fait mourir Misery pour écrire enfin le " vrai " roman dont il rêvait. Et puis il a suffi de quelques verres de trop et d'une route enneigée, dans un coin perdu... Lorsqu'il reprend conscience, il est allongé sur un lit, les jambes broyées dans l'accident. Sauvé par une femme, Annie. Une admiratrice fervente. Qui ne lui pardonne pas d'avoir tué Misery. Et le supplice va commencer. Sans monstres ni fantômes, un Stephen King au sommet de sa puissance nous enferme ici dans le plus terrifiant huis clos qu'on puisse imaginer. “
6) 1984
Quatrième de couverture :
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.»
7) 1Q84
Quatrième de couverture :
“ Entre l'an 1984 et le monde hypnotique de 1Q84, les ombres se reflètent et se confondent. Unies par un pacte secret, les existences de Tengo et d'Aomamé sont mystérieusement nouées au seuil de deux univers, de deux ères... Une odyssée initiatique qui embrasse fantastique, thriller et roman d'amour, composantl'œuvre la plus ambitieuse de Murakami. “
8) Tu ne jugeras point
Quatrième de couverture :
Lorsque l'enfant disparaît... Lorsque, ce jour-là, Denise Desantis entre dans un magasin, elle est pressée et elle laisse son dernier-né dans la poussette, devant la porte. Lorsqu'elle ressort, la poussette est vide. Les investigations du juge commencent par l'interrogatoire de Denise Desantis, la mère. C'est une femme ordinaire, effacée. Mère de quatre enfants. Tout prouve son innocence. C'est une femme sans histoires. Et pourtant...
9) Blade Runner - Les androïdes rêvent-il de moutons électriques ?
Quatrième de couverture :
“ Le mouton n'était pas mal, avec sa laine et ses bêlements plus vrais que nature les voisins n'y ont vu que du feu. Mais il arrive en fin de carrière : ses circuits fatigués ne maintiendront plus longtemps l'illusion de la vie. Il va falloir le remplacer. Pas par un autre simulacre, non, par un véritable animal. Deckard en rêve, seulement ce n'est pas avec les maigres primes que lui rapporte la chasse aux androïdes qu'il parviendra à mettre assez de côté. Holden, c'est lui qui récupère toujours les boulots les plus lucratifs normal, c'est le meilleur. Mais ce coup-ci, ça n'a pas suffi. Face aux Nexus-6 de dernière génération, même Holden s'est fait avoir. Alors, quand on propose à Deckard de reprendre la mission, il serre les dents et signe. De toute façon, qu'a-t-il à perdre ? “
10) Le troisième jumeau
Quatrième de couverture :
“ Comment deux vrais jumeaux, dotés du même code ADN, peuvent-ils être nés de parents différents, à des dates différentes ? C'est pourtant ce qui arrive à Steve, brillant étudiant en droit, et à Dennis qui purge une peine de prison à vie.Pour s'être intéressée de trop près à cette impossibilité biologique, Jeannie Ferrami, jeune généticienne de Baltimore, va déchaîner contre elle l'Université et la presse, cependant que Steve, dont elle s'est éprise, est accusé de viol, sa victime l'ayant formellement reconnu.Une seule hypothèse : l'existence d'un troisième jumeau. En s'orientant vers cette piste étrange, Jeannie ne se doute pas qu'elle touche à de formidables secrets, qui impliquent l'Amérique au plus haut niveau. “
11) La pourpre et l’olivier
Quatrième de couverture :
“ Deux siècles après la mort du Christ, l'Eglise chrétienne est encore pourchassée et déjà divisée, tandis qu'un homme, Calixte, se prépare à devenir le seizième successeur de Pierre. Nul n'aurait pu lui prédire pareil destin. Ni les légionnaires qui l'ont enlevé de Thrace et vendu à Rome comme esclave, ni le puissant sénateur qui en fit son banquier, ni Marcia, la concubine de l'empereur Commode à qui l'attache une passion démesurée, et surtout pas les chrétiens eux-mêmes dont il méprise la soumission. De Rome à Alexandrie, d'Antioche aux bagnes de Sardaigne, un homme hors du commun brise les chaînes de la fatalité et entreprend un bouleversant voyage en quête de la Vérité qui le conduira à la charge suprême pour laquelle il était appelé. “
12) L’assassin royal - L’apprenti assassin
Quatrième de couverture :
“ Au royaume des six Duchés, le prince Chevalerie, de la famille régnante des Loinvoyant - par tradition, le nom des seigneurs doit modeler leur caractère- décide de renoncer à son ambition de devenir roi-servant en apprenant l'existence de Fitz, son fils illégitime. Le jeune bâtard grandit à Castelcerf, sous l'égide du maître d'écurie Burrich. Mais le roi Subtil impose bientôt que FITZ reçoive, malgré sa condition, une éducation princière. L' enfant découvrira vite que le véritable dessein du monarque est autre : faire de lui un assassin royal. Et tandis que les attaques des pirates rouges mettent en péril la contrée, Fitz va constater à chaque instant que sa vie ne tient qu'à un fil : celui de sa lame... “
Il y a plusieurs suites.
13) Le Magasin des Suicides
Quatrième de couverture :
“ Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort ! Imaginez un magasin où l'on vend depuis dix générations tous les ingrédients possibles pour se suicider. Cette petite entreprise familiale prospère dans la tristesse et l'humeur sombre jusqu'au jour abominable où surgit un adversaire impitoyable : la joie de vivre... “
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2017 : Ça que c'tait
Écrire une critique est toujours subjectif. Faire un Top 10, encore plus. Est-il vraiment possible de déclarer : « Voilà, ces 10 films sont officiellement les meilleurs de l’année »? Tout au mieux, on peut affirmer que ce sont les 10 préférés de la personne qui a fait la liste... et encore là, seulement au moment où elle a été publiée. 2017 marque la vingtième année où je publie un Top 10, et il n’y a littéralement aucune de mes listes précédentes que je ne modifierais pas avec le recul — pour changer l’ordre, remplacer quelques titres, voire recommencer à zéro. Cela dit, je prends toujours un grand plaisir à cet exercice. Rien n’est plus personnel pour un critique que de distiller toute une année en une courte liste. Ce qu’on y inclut, tout comme ce qu’on n’y met pas, en dit beaucoup sur notre conception du cinéma, sur ce qui nous touche, ce qui nous fait rire, ce qui nous trouble, ce qui nous excite, ce qui nous fait peur, ce qui nous fait rêver…
Sans plus tarder, voici le Top 10 de mes films préférés de l’année.
1 - Dunkirk (Christopher Nolan)
Le temps peut paraître trop long, comme pour ces jeunes soldats attendant longuement d’être secourus sur les plages de Dunkerque. Ou on peut craindre de manquer de temps, comme ce pilote incarné par Tom Hardy qui voit rapidement arriver la fin de ses réserves d’essence alors qu’il abat une succession d’avions ennemis. Ou bien on se retrouve pris entre deux temps, en mer, entouré de dangers potentiels. Avec une ingéniosité hallucinante, Christopher Nolan et son monteur Lee Smith jongle avec trois récits se déroulant chacun à un rythme distinct, se croisant les uns les autres à divers moments. Brillamment mis en scène, avec une approche visuelle magistrale et une conception sonore complètement immersive, toutes deux particulièrement impressionnantes en IMAX, Dunkirk est rien de moins qu’un chef-d’oeuvre et aisément le meilleur film de l’année.
2 - Phantom Thread (Paul Thomas Anderson)
Dix ans après There Will Be Blood, le scénariste-réalisateur Paul Thomas Anderson et l'acteur Daniel Day-Lewis refont équipe pour Phantom Thread, une histoire d'amour sur fond de haute couture se déroulant à Londres dans les années 1950. Un embargo critique m’empêche de vous en dire plus jusqu’au jour de la sortie en salle au Québec. Phantom Thread prendra l’affiche le 12 janvier 2018.
3 - Guardians of the Galaxy Vol. 2 (James Gunn)
Pour être un bon père, pas besoin d'être un dieu. Pas besoin d'être parfait. L'essentiel, c'est d'être là quand c'est important... Et cela, ça va au-delà des liens du sang. Voici la morale de ce brillant film de science-fiction qui est miraculeusement encore meilleur que l'original. Les héros qu’on aimait déjà sont toujours aussi drôles et attachants (Peter, Gamora, Drax, Rocket, Groot), certains personnages secondaires deviennent ici centraux de façons inattendues (Yondu, Nebula), et de nouveaux personnages fascinants (Ego, Mantis) se joignent à la famille. James Gunn réalise ici le film le plus imaginatif, le plus beau, le plus émouvant du Marvel Cinematic Universe à ce jour, avec encore une fois la meilleure trame sonore de l’année.
4 - Mudbound (Dee Rees)
Comme un Grand Roman Américain de John Steinbeck adapté par Terrence Malick, mais surtout un long métrage que seule une femme afro-américaine aurait pu réaliser. À la fois épique et intimiste, ce drame d’époque se déroulant juste avant, durant et après la Seconde Guerre mondiale raconte l’histoire d’une famille blanche et d’une famille noire qui cohabitent de façon tendue sur une terre agricole au Mississippi. Explorant des thèmes tels que le racisme et le syndrome de stress post-traumatique, le film inclut une sublime narration en voix hors champ et de tout aussi sublimes images, même si le récit est souvent incroyablement sombre et douloureux. La scénariste et réalisatrice Dee Rees est une brillante raconteuse et elle met en scène avec brio chaque scène, obtenant notamment le meilleur de son excellente distribution d’ensemble. Si ce n’était pas un film distribué par Netflix, Mudbound mènerait probablement la prochaine course aux Oscars.
5 - Les Affamés (Robin Aubert)
Voici un film à la fois dépouillé et complet, parsemé autant de gags et de gore que de poésie, de surréalisme et d’émotion, le tout étant admirablement mis en scène par Aubert, qui déborde d’idées visuelles et qui les exécute toutes avec brio. Avec une série de personnages mémorables joués par quelques acteurs —Marc-André Grondin, Luc Proulx, Édouard Tremblay-Grenier —, mais d’abord et avant tout une superbe distribution d’actrices de différentes générations, comme dans Mad Max : Fury Road, de la petite Charlotte St-Martin, qui vole pratiquement le film (elle fait parfois un peu penser à Manon dans Les Bons débarras), à l’hilarante Monia Chokri, l’étonnamment badass Brigitte Poupart et les attachantes Marie-Ginette Guay et Micheline Lanctôt. Le meilleur film québécois d’une année où le cinéma de genre — au sens large (voir aussi : La petite fille qui aimait trop les allumettes, Le problème d’infiltration) — a dominé la production locale.
6 - Three Billboards outside Ebbing, Missouri (Michael McDonagh)
Probablement le scénario le plus ingénieux de l’année. Le récit a quelque chose d’à la fois imprévisible et inévitable. Fatidique. Et la manière dont Martin McDonagh module le ton de chaque séquence, chaque moment, chaque réplique, est magistrale. Scène après scène, on s’amuse énormément à regarder les différents acteurs interagir avec la phénoménale Frances McDormand ou entre eux. En même temps, le tout est parsemé de moments de vérité douloureuse ou d’ironie morbide, alors nos rires restent parfois pris dans notre gorge. C’est sur un fil très mince que se maintient brillamment le film, quelque part entre le plaisir et l’inconfort. Three Billboards outside Ebbing, Missouri dépeint une spirale de violence, où chacun agit selon ses propres intérêts, de façon justifiée ou pas, entraînant directement ou indirectement des conséquences inattendues.
7 - Star Wars: The Last Jedi (Rian Johnson)
Moins direct dans son approche que The Force Awakens, qui nous présentait rapidement et efficacement trois nouveaux protagonistes (Rey, Finn, Poe) particulièrement attachants, en plus d'offrir à Han Solo un formidable dernier tour de piste, The Last Jedi renferme néanmoins certaines des meilleures scènes dramatiques, comiques et d'action de toute la série, ainsi que plus de trouvailles visuelles que jamais. En restant vague pour ceux qui ne se sont pas encore précipités en salle, je pense notamment à Rey et Kylo Ren dans la salle du trône de Snoke, au point culminant d’un montage alterné où la trame sonore devient soudainement silencieuse, et au tour de Force de Luke Skywalker. On sent vraiment qu’on se dirige vers la finale de cette nouvelle trilogie, et on est déjà impatient de découvrir ce qui arrivera à nos héros préférés dans l’épisode IX.
8 - Logan (James Mangold)
Un film au souffle épique, avec des scènes d’action incroyablement brutales et sanglantes. C’est aussi un film étonnamment contemplatif et atmosphérique par moments, nous faisant vraiment ressentir le spleen du vieux Logan, qui commence à en avoir marre de cette interminable existence de violence. À ses côtés, on retrouve un professeur Charles Xavier nonagénaire, pris de démence et ayant perdu le contrôle de ses pouvoirs télépathiques… Ils sont éventuellement rejoints par Laura, une fillette troublée, mais qui s’avère formidablement badass. Si Hugh Jackman tire sa révérence après cette neuvième apparition en Wolverine comme il l’a annoncé, il n’aurait pas pu choisir un meilleur film final. Je l’ai adoré dans ce rôle dès le premier X-Men en 2000, mais jamais auparavant on n’avait pu autant apprécier à la fois toute la rage animale et la fragile humanité du personnage que dans Logan.
9 - Blade Runner 2049 (Denis Villeneuve)
Comme le classique de Ridley Scott, le film de Denis Villeneuve est un exemple épique de « worldbuilding ». Chaque scène, chaque plan déborde de détails qui suggèrent tout un univers de possibilités. Villeneuve, son directeur artistique Dennis Gassner et son directeur photo Roger Deakins créent une vision du futur fascinante et constamment captivante visuellement. Au-delà de l’orgie d’images saisissantes, on savoure également un brillant essai sur la notion d’humanité et la nature de la mémoire via le prisme de la technologie, thèmes déjà présents dans l'opus de Scott. Le scénario de Hampton Fancher & Michael Green ne manque pas d’idées intrigantes et de rebondissements surprenants, Villeneuve parsème le tout de moments de suspense et d’action hyper efficaces et, on ne peut pas le répéter trop, les images de Deakins sont sublimes.
10 - mother! (Darren Aronofsky)
Alors que les détails étranges s’accumulent et que l’atmosphère devient de plus en plus tendue, menant à certaines des séquences les plus intensément chaotiques de la filmographie du réalisateur de Requiem for a Dream et Black Swan (ce qui n’est pas peu dire!), on réalise qu’il y a manifestement plusieurs niveaux de lecture possibles. Il y a bien sûr beaucoup de symbolisme biblique (la Création, Caïn et Abel, la venue d’un enfant-sauveur, etc.), mais aussi une fascinante allégorie du processus créatif d’un artiste (de l’inspiration à l’éventuelle adulation du public), une métaphore écologique (mère Nature assaillie par la civilisation destructrice), une vision dérangeante du mariage et de la procréation, et bien plus encore. Voici un thriller psychologique méticuleusement conçu et parfaitement exécuté, porté par des performances extraordinaires de tous les acteurs, Jennifer Lawrence en tête.
#dunkirk#guardians of the galaxy vol. 2#phantom thread#mudbound#les affamés#the last jedi#three billboards outside ebbing missouri#logan#blade runner 2049#mother!
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Nina Simone, le coeur et la politique Des combats pour les droits civiques aux chansons d'amour la pianiste afro-américaine revient à l'Europe
Publié le 25 octobre 1991 à 00h00 Mis à jour le 25 octobre 1991 à 00h00
On lui a reproché d'être noire. Puis d'être star. Avec caprices. Elle voulait être pianiste classique, elle fut chanteuse de blues. Fille de la Caroline du Nord, elle rêva d'Afrique, mais c'est en vedette américaine qu'elle vécut au Libéria. On aima ses batailles. Celle pour les droits civiques aux Etats-Unis, avec ses chansons rebelles : Young, Gifted and Black, Mississippi Goddam (pour les quatre enfants noirs morts dans un attentat raciste en Alabama en 1963), Why (pour l'assassinat de Martin Luther King). On s'amusa de son tempérament orageux, on en oublia son désespoir pour ne retenir que les galères d'argent, les ennuis de star, les tourments d'amoureuse.
Après des années d'ombre, de pillages subis par compilations interposées, de concerts douloureux, Nina Simone est revenue. En 1988 avec Myriam Makeba sur la scène du chapiteau du Festival banlieues bleues à Saint-Denis. Puis à l'Olympia, où elle donne aujourd'hui un nouveau tour de chant. En attendant une tournée américaine avec Myriam, l'amie consacrée, un film autobiographique et un livre à paraître aux Éditions de la Renaissance. " Je me sens totalement africaine, précise Nina Simone, qui vit aujourd'hui à Amsterdam, parce que les gens y sont chaleureux ", pas très loin de Bruxelles où s'est installée Myriam Makeba : " Celle qui m'a emmenée en Afrique, au Liberia. " " En 1974, j'étais complètement écoeurée des Etats-Unis. Mon mari et manager, Andy [Andrew Strand], était parti. Nous avions divorcé, c'était très dur, financièrement aussi. L'Amérique que l'on avait voulu construire dans les années 60, dans le combat pour les droits civiques, n'était plus qu'un mauvais rêve, avec Nixon à la Maison Blanche et la révolution noire transformée en disco. Ma fille de douze ans, Lisa, et moi étions revenues des West Indies, de Barbados. Je n'avais plus rien. Myriam Makeba était dans le secteur. Elle me demande : " Nina, es-tu prête à rentrer à la maison ? " Je lui dis Oui. Après avoir réglé quelques affaires, nous sommes parties directement en Afrique. C'est elle qui a choisi le Liberia, car elle y connaissait du monde, elle devait y donner un gala, c'était à l'époque du gouvernement Tolbert. Et puis c'était un pays riche, plein d'hommes riches... Et elle avait pu deviner que je m'y plairais. De plus, le Liberia était symboliquement important dans l'histoire de l'esclavage " .
L'installation de Nina Simone au Liberia est provisoire. Des problèmes de coeur " et de lit ", précise-t-elle, avec son compagnon, C.C. Dennis, un homme politique libérian, la ramènent vers l'Europe après quatre ans d'essai d'existence au pays des esclaves libérés. " J'ai eu un jour de cafard l'idée stupide de partir sans rien dire en Caroline du Nord, demander conseil à ma mère. C.C. Dennis ne m'a jamais pardonné cette absence. J'ai encore vécu deux ans au Liberia, mais sans le revoir. Puis j'ai pris le chemin de la Suisse. J'ai su plus tard que son fils avait été fusillé pendant le coup d'Etat de 1980, attaché à un cocotier sur la plage. C.C. Dennis est mort deux semaines après son fils, le coeur brisé, sans que j'aie pu lui dire mon attachement. J'ai conçu de ce silence une culpabilité qui ne m'a pas quittée jusqu'à aujourd'hui. " Il y a, quoiqu'on y fasse, derrière Nina la star, Eunice Waynon, la jeune noire née en 1932 à Tryon d'un père barbier et prédicateur méthodiste. " Mon mode de vie n'appartient qu'à moi, j'ai plus de liberté qu'avant, car je suis plus riche, plus célèbre, je vais, j'habite où je veux. Mais d'un point de vue musical, je ne me sens absolument pas libre. Les problèmes ne sont réglés ni en Afrique du Sud ni aux Etats-Unis. J'aimerais chanter plus de chansons d'amour, mais je ne peux pas, car la musique est une des plus grandes armes que nous ayons pour lutter contre la discrimination. Tous mes protest-songs des années 60-70 demeurent totalement actuels. Il y a encore énormément de travail à faire en Afrique, où les famines n'ont pas cessé, où la pauvreté est terrifiante. J'espère que mon peuple pourra prendre son destin en main, surtout après la libération de Nelson Mandela. "
En exil volontaire
Et l'Amérique ? Pour Nina Simone, l'avenir se dessine écrasant. Elle qui hait le rap ( " C'est absolument antimélodique. Tout le monde peut faire ça ") n'a plus guère pour les Etats-Unis qu'un attachement d'enfant exploitée. " Il est extrêmement difficile d'échapper à la culture américaine, dans le monde entier. Le show-business est encore plus riche là-bas qu'ici. Mais comme le dollar est très fort, je garde la nationalité américaine. Si le dollar chutait, je la leur rendrais. Je voudrais être citoyenne africaine. Etre l'ambassadrice aux Nations unies d'une nation africaine. "
Des humeurs, des envies... Nina Simone en a tant eu. De brusques qui la faisaient abandonner les salles de concert au désespoir de tous. D'autres, belles et profondes, qui lui ont donné le swing et un talent qui lui permet de chanter aussi bien My Way, I love you Porgy, Ne me quitte pas, qu'un classique du blues...
Comment fait-elle, Nina, l'Américaine en exil volontaire, pour traverser ainsi les âges, les styles, sans s'y perdre ? " J'écoute de la musique classique et j'utilise des rythmes africains. " La musique classique, le piano, blessure ouverte à jamais... " Frank Lords et System TV sont en train de terminer un film sur ma vie. Nous sommes allés très récemment filmer les dernières scènes à Versailles, dans les jardins, où j'ai interprété Roméo et Juliette de Tchaïkovski au piano. J'aurais pu être concertiste, comme vous le savez. Mais j'ai dû arrêter mes études de piano à vingt-deux ans pour aller jouer du blues dans des boîtes parce que j'étais noire. "
Pour le reste, tout est question de feeling, de sentiment. Jacques Brel, c'est pour " les larmes dans sa voix ". " Il y a douze ans, un ami m'avait apporté la cassette à New-York et chaque fois que Brel disait : " Ne me quitte pas ", je pleurais. Puis, je suis partie en Suisse et j'ai appris la chanson avec un professeur. Je l'ai répétée pendant trois ans avant d'oser la chanter. Trois ans pour comprendre exactement ce que les mots voulaient dire, parvenir à les prononcer. Aujourd'hui, j'espère chanter une autre chanson française, Il n'y a pas d'amour heureux (Aragon/Brassens). J'espère. On verra ".
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Voivod "Angel Rat"
#voivod#denis bélanger#dennis d'amour#michel langevin#jean-yves theriault#thrash metal#progressive metal#canada
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The Vinyl of the Day is ‘Off The Coast Of Me’, the debut album of Kid Creole And The Coconuts, 1980. The band was created and fronted by August Darnell, who originally formed the band ‘Dr. Buzzard’s Original Savannah Band’ with his brother Stony Browder Jr. Their self-titled debut release was a Top 40-charting album which was certified gold and was nominated for a Grammy. Darnell adopted the name Kid Creole in 1980, began wearing zoot suits and dancing onstage in a style reminiscent of films of the '30s and '40s, and fronted the multi-racial, multi-cultural ‘KC&TC’. The co-founder of the band was Darnell’s Savannah Band associate vibraphone player Andy Hernandez, also known as his "trusty sidekick" Coati Mundi. Hernandez served as Darnell's on-stage comic foil, as well as his musical director and arranger.The original Coconuts, a trio of glamorous and often skimpily-attired backing vocalists, were led by Darnell's then-wife Adriana ‘Addy’ Kaegi, who also served as the choreographer and costume designer of the Coconuts.
As a great fan of The Kid (and his Babes) this obscure, freshman LP is sweet and infectious in places, but it also has the hollow ring of a demo LP - which it was. Only the milestone "Maladie D'Amour" sounds fully developed, with its Savanah Band-esque lushness. Compared to their subsequent LPs, this one is musically pretty weak. As a collection it is disjointed and never really delivers a punch. Audio-wise, it has a lot of problems - for example, ‘Mister Softee’ sounds like it was recorded in a garage...not so bad if you pretend you're actually in there with 'em!
Along with the classic "Maladie D'Amour", "Yolanda" is a real standout here - a slow-down, lowdown groove with terrific thematic feeling derived from the lyrics and vocals (boy yearns for girl; girl teases boy and refuses him) and the song's breezy West Indian tempo. "Off The Coast Of Me" has a charm all its own, with a faraway, muted sound that's like a mild dose of Martin Denny. Here we get our first real exposure to The Babes, in perfect, prototypical form. "Lili Marlene" is a whacky pop tune with its German lyrics and campy ‘Bavarian karaoke’ sound. "Bogota Affair" holds up well, and is a song that would have been a real knockout had it been born on one of the Kid's later, more musically mature recordings. Its dramatic shift from uptempo to down in the second half is sheer brilliance! The same can be said of the infectious, giddy "Calypso Pan American", another Savanah-esque number, showing what The Kid could do with a low budget production. If only he had more resources at his disposal, and perhaps some direction from a more experienced studio crew...
This flamboyant album is full of fun, puns and tongue-in-chic humour. Although the album as a whole is uneven, the aforementioned tracks make this a very enjoyable album. If you like clever, intelligent lyrics over disco with a dash of Caribbean and Latin beats, you'll love Off The Coast Of Me.
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La Gazette de la L1 : 3e journée
Les résultats de la journée
FC Metz 0 - 1 AS Monaco Olympique Lyonnais 3 - 3 Girondins de Bordeaux Montpellier Hérault SC 1 - 1 RC Strasbourg Alsace OGC Nice 2 - 0 EA Guingamp Stade Rennais FC 2 - 2 Dijon FCO AS Saint-Étienne 3 - 0 Amiens SC ESTAC Troyes 0 - 1 FC Nantes LOSC 0 - 2 SM Caen Olympique de Marseille 1 - 1 Angers SCO Paris Saint-Germain 6 - 2 Toulouse FC
Les gestes
Le coup d'œil pour voir l'appel de Falcao puis la superbe passe décisive en cloche du pied gauche, par Rachid Ghezzal, sous les yeux de Sidney Govou, commentateur (sobre?).
La pichenette en talonnade de Giovanni Sio qui oblige Bingourou Camara à un sauvetage près de son poteau et ainsi préserver le nul pour Strasbourg.
Firmin Mubele qui lève la tête et ne trouvant personne à qui adresser son centre, décide de le poser directement dans le but.
Les Nantais réduits à dix et qui décident quand même, plutôt que de préserver le 0-0, de faire le jeu en deuxième mi-temps et d'aller chercher la victoire à Troyes. Ça fait plaisir de vous revoir par chez nous, Mister Ranieri.
La belle reprise de volée d'Emiliano Sala, aux seize mètres, qui offre une victoire méritée aux nantais.
La "Dennis Bergkamp" de Clinton Njie.
Le double-contact conclu en talonnade de Morgan Sanson pour lancer Lucas Ocampos, qui ne rend pas hommage à l'offrande.
La sortie supersonique et fort à propos d'Hervé Koffi, après un antigeste de Thiago Maia qui perd le ballon dans le rond central alors qu'il n'a aucun joueur de champ derrière lui.
La longue transversale sereine et élégante de Kader Mangane pour son attaquant Ihsan Sacko, à l'origine de l'ouverture du score.
La reprise de volée à l'horizontale de Layvin Kurzawa à la réception d'un corner de Neymar, tiré droit comme une balle de fusil.
Le râteau derrière la jambe d'appui de Romain Hamouma qui s'ouvre la place pour frapper au but.
La main décisive de Thiago Silva sur la bouche de Marco Verratti lors de l'expulsion de ce dernier, pour éviter une plus longue suspension (et réalisant ainsi le fantasme de certains arbitres...).
L'enrhumage collectif de la défense toulousaine par Neymar grâce à une conduite de balle soyeuse – et à un peu de chance.
Les straps Pierre Menès, pour éviter que les bras vous en tombent.
Les antigestes
La défense toulousaine qui se fait enrhumer par Neymar à cause d’un dégagement complètement manqué – et d’un peu de malchance.
Dani Alves qui oublie Max-Alain Gradel, lequel en profite pour rappeler à tout le monde ses redoutables qualités de finisseur (quinze buts sur ses quinze derniers matches du championnat de France. Re-bienvenu en Ligue 1).
Le défenseur lillois pas collé à son poteau sur le but de Caen sur corner.
Alexandre Mendy qui essaie tout au marquage sur Kenny Tete, sauf de regarder le ballon.
La non-reprise de Giovanni Sio, tout seul au deuxième poteau sur un coup franc.
La course d'accompagnement de Doria sur le but angevin, digne d'un chien pour aveugle.
L’hommage de Rudi Garcia à Louis Nicollin (ou à un entraîneur de district) lorsque celui-ci pénètre sur le terrain afin de se rendre sur le lieu du carton rouge de Lucas Ocampos.
Le contrat immoral entre Rennes et Dijon qui interdisait aux Côte-d'Oriens d'aligner Wesley Saïd.
L'hommage de Michel Der Zakarian à Calimero qui réalise la passe de deux jérémiades de suite sur l’arbitrage.
Le match qu'il ne fallait pas rater
Un but exceptionnel qui permet à l’équipe à domicile de se diriger vers une victoire tranquille, un carton rouge qui remet tout en cause, des jolies pralines dans les lucarnes, il y avait un match à ne pas manquer ce week-end! On ne parle pas de PSG-TFC, qui aurait aussi pu correspondre. Petit florilège pour faire parler l’imaginaire avant un résumé vidéo:
La démonstration balistique de Nabil Fekir dont la trajectoire du missile ne laisse aucune chance à un Benoit Costil trop avancé.
http://pic.twitter.com/RrJALT5wuM
— Philou (@philousports) 19 août 2017
Les cinq minutes d'indiscipline lyonnaise qui leur coûtent peut-être le match, avec deux cartons jaunes pour Sergi Darder puis un pour Bertrand Traore qui provoque le coup-franc transformé par Malcom. Parmi celles-ci, on remarquera le premier lyonnais cité et ses deux minutes de nawak.
Les coups francs directs de Malcom et de Bertrand Traoré, ainsi que le coup franc indirect de Memphis pour trois buts qui montrent l'importance d'avoir un bon tireur dans son équipe. Malcom qui invente d’ailleurs le "coup franc Arkanoid" avec un premier tir qui détruit le mur, un second sur une brique indestructible (Mariano) pour que le ricochet fasse mouche. Le même Malcolm qui égalise à la dernière seconde d'une superbe frappe sous la barre.
VIDEO
Les minutes
La minute “bon résumé de la soirée de dimanche”, par Hervé Mathoux: "Vous vouliez voir Neymar, vous avez vu Neymar." (Canal Plus)
La minute Christian Jeanpierre, par Stéphane Guy: "Les Toulousains arrivent sur le terrain hyper déterminés, ils ne sont même pas venus reconnaître le terrain (...) on peut compter sur ce diable de meneur d'homme qu'est Pascal Dupraz pour remonter ses hommes comme des pendules!" (Canal Plus)
La minute Babel, de Paganelli à Neymar: "Troféo por la cheminée." (Canal Plus)
Les observations en vrac
On a pu voir une bonne transmission entre Renaud Quad et Nolan Roue.
Nabil Fékir, avec un but marqué à 54 mètres des cages adverses, du mauvais pied, devient le deuxième buteur le plus lointain, derrière Saber Khlifa (64 mètres) et devant Memphis Depay (51 mètres).
Pas mal, ce festival de la patate au Parc OL.
Le PSG joue-t-il mieux sans Marco Verratti ?
Plus fort que Kamil Glik sur les corners, à part peut-être Chuck Norris, on ne voit pas.
Ouf, Marcelo Bielsa n'a pas démissionné après une défaite à domicile contre Caen.
C'est la première fois depuis la saison 2009/10 qu'on ne dénombre aucun 0-0 après les trois premières journées de championnat. Stéphane Ruffier et ses montants restent d’ailleurs les seuls invaincus après celles-ci.
Corentin Jean qui jette Neymar au sol après avoir subi un geste technique digne d’Olive et Tom: le mec qui a floqué son maillot de Toulouse "Jean Neymar" a eu le nez creux.
Le Paris Saint-Germain n'ayant passé qu'une petite année en seconde division, il n'y a eut qu'un seul PSG-TFC en L2 (contre vingt-neuf en L1). C'était il y a presque quatorze ans jour pour jour, le 26 août 1973 et il y avait déjà eu huit buts, cinq pour le PSG de Michel Llodra (père de...) entrainé par Just Fontaine et trois pour le Téfécé.
Après deux déplacements périlleux à Monaco et Paris, le TFC est troisième meilleure attaque à l'extérieur avec quatre buts marqués (chiffre gracieusement offert par le générateur de statàlacon amplement utilisé par la presse spécialisée).
Statàlacon encore: jamais Lyon et Bordeaux ne s'étaient séparés sur un score de trois partout. Ce Lyon-Bordeaux est donc historique… (puisqu’on vous disait que c’était un match à ne pas manquer!)
Les neymarobservations
Avec tous ces hommages, personne n'a relevé celui de la coupe de cheveux de Neymar à Jocelyn Angloma.
Tout le monde semble avoir oublié que des buts aussi exceptionnels que celui de Neymar, Weah, Ronaldinho et Coridon en ont aussi marqué à Paris.
En se relevant indemne après avoir percuté un panneau lumineux qui affichait une pub pour beIN Sports, Neymar nous a privés du comme-un-symbole de la saison.
On ne peut que s'incliner devant Neymar, mais peut-être pas aussi bas que la plupart des médias sportifs.
Jouer "dans l'ombre de Neymar", cela signifie que ton sublime ciseau sur un corner tendu (de Neymar) va passer quasiment inaperçu.
La zone mixte de Pascal Dupraz
"La vie, il faut la vivre au présent."
"On a plus que perdu le match aujourd'hui puisqu'on a moins 4 au goal-average."
"Au foot, quand on marche, on est l'ennemi de ses coéquipiers."
"À défaut d'être touché par la grâce dans mon métier d'entraîneur, je suis un vrai passionné de football."
"Je vais me servir du jeu de Neymar pour mes attaquants."
"Cette inspiration-là (le sombrero de Neymar sur Corentin Jean), en tant que modeste joueur, je ne l'aurais pas eue. Si je me départis de mon côté partisan, d'entraîneur du TFC, ça fait du bien au foot de voir ça, cette classe."
"En rouge? Ne t'inquiète pas, c'est juste les anciens impacts des frappes de Pancrate."
Ligue 1 Neymarama
On ne va jeter la pierre à personne, tant est compréhensible l'engouement que suscite Neymar Junior. On peut juste admirer nous aussi, et peut-être documenter cet engouement. Dans L'Équipe, Vincent Duluc, habilement, prévient: "Pour en avoir ras-le-bol du Brésilien, pour éprouver quelque chose d'une indigestion face au menu unique des deux semaines écoulées, il suffit de ne pas regarder le foot, et de ne pas l'aimer". Et de confirmer que le "festin" ne fait que commencer.
La "mania" étant appelée à durer, il sera difficile de ne pas épuiser très vite le stock de superlatifs et de métaphores, à l'image de ceux relevés dans les six pages du quotidien sportif consacrées au match – ou plutôt au joueur du match:
"grande classe, festival, magie, poudre d'or, fulgurances, enluminures, inoubliable, coups de génie, nouveau héros, endiablé, lumineux, génial, génie, extraterrestre, baptême de feu, grand spectacle, morceau de génie, phénomène, vertige du maître, irrésistible, magistral, incroyable frisson, soirée majuscule, chef-d'œuvre, délicieusement magnifique, bilan phénoménal, véritable révolution, crack, redoutable, virtuosité, star, étoile brésilienne, nouveau roi, histoire d'amour."
Le trophée Xavier Gravelaine
Nantes décide de se joindre au challenge Gravelaine en signant Andrei Giroto qui découvre le huitième club de sa carrière à seulement vingt-cinq ans. Pendant ce temps, Claudio Ranieri, son coach, a connu treize clubs professionnels (et une sélection nationale) en trente ans de carrière d'entraineur.
Le Bâton de Bourbotte
On a beaucoup parlé du record de quinze victoires consécutives en Ligue 1 de l'AS Monaco, mais évidemment la vraie statistique importante de cette troisième journée, c'est que les Monégasques conservent le Bâton de Bourbotte pour la vingt-et-unième fois consécutive après leur victoire à Metz. Il parait que Zlatan Ibrahimovic et David Beckham commencent à s'inquiéter sérieusement pour le record de vingt-six matches détenu par le PSG de 2012/13, et on les comprend.
Le coin fraîcheur
On ne le relèverait pas dans d'autres sports, mais au foot, l'absence totale de contestation des Amiénois alors qu'ils concèdent deux penalties est à souligner.
Bryan Dabo, après un doublé, qui reste respectueux de son ancien coach qui ne le faisait pas jouer: "Je ne suis pas là pour critiquer Christophe Galtier parce qu’on n’oublie pas tout ce qu’il a fait pour le club de l’AS Saint-Étienne, c’est vraiment unique. Maintenant je suis focalisé sur le nouveau coach, et c’est vrai que c’est une forme de renaissance. L’année dernière j’ai passé une saison très très difficile et je me suis remis en question. Je ne vais pas accabler les anciens coaches, ce n’est pas mon éducation. On avait chacun notre part de responsabilité. Mais je veux effacer la saison dernière et je suis focalisé là-dessus."
L'imitation de la célébration de Blaise Matuidi, parti à la Juventus par Neymar sur son premier but. Et plus précisément, en écartant tout sujet polémique et en parlant seulement de football, on voit de plus en plus un gosse qui joue au foot (plutôt pas trop mal) et qui aime vraiment ça.
Claudio Ranieri après Troyes-Nantes, qui a vu l'expulsion directe de Chidozie Awaziem: "Jamais je ne dirai quelque chose contre l'arbitre. C'est le travail le plus difficile dans le foot."
Les mots croisés
Horizontalement: 1. Partenaire loin d'être historique. 2. Un cissé sans u / Bourreau moderne. 3. Marco s'emmêle au dernier moment / Associé à Paris. 4. Très Mauvais Entraîneur de Toulouse / Acronyme du Forez. 5. Central de Klopp / La légende de Teddy. 6. Sept ou neuf, c'est pareil. 7. Au Danemark avant en, en Suède avant son / La fin de Bruno Conti. 8. Dernier conseil pour un tireur de penalty. 9. Promu portugais de l'année / Lindsay en désordre.
Verticalement: 1. Partenaire d'une équipe cycliste historique. 2. Club argentin du ventre mou / Milieu de rêve. 3. Un club singulier du Gard / À l'école et dans L'Équipe. 4. Le normal, l'américain et l'australien. 5. Dix ans d'amour pour Bixente. 6. Sorcier blanc / Interjection de tout un stade. 7. Arrière droit / On le voit souvent en bonne Kompany . 8. Ballons d'or / Généralement raté en Ligue 1. 9. Pays de viande et de football.
La réponse est ici.
L'équipe-type mystère
Qu'est-ce que tous ces joueurs ont en commun? (la réponse est un peu capillotractée). Thomas Didillon Dariusz Dudka Ron Vlaar Branislav Ivanovic Paulo Machado Gilles Yapi-Yapo Lucas Silva Sasa Ilic Jean-Kévin Augustin Jackson Martinez Nill de Pauw
Le championnat à l'envers
Quel retournement de situation! Après le 3-0 contre Nantes, le LOSC a complètement inversé la tendance en enchaînant deux résultats inattendus face à Strasbourg (0-3) puis Caen (0-2), se replaçant au championnat. Après avoir réussi son coup tactique d'aligner deux joueurs de champ différents dans les buts, Marcelo Bielsa est resté cette fois plus sobre, même si la stratégie de ne pas défendre les corners a une nouvelle fois payé. Avec le résultat nul de Rennes contre Dijon (2-2), voilà deux équipes que l'on n'attendait pas à si belle fête, pas si loin que cela des deux leaders: Metz et Amiens. Partis sur un rythme de champions, Lorrains et Picards ont pour l'instant réussi à laisser tous les points en route, confirmant les pronostics très flatteurs de l'avant-saison. À moins d'un recrutement réussi d'ici la fin du mois, les Amiénois semblent d'ailleurs partis pour être difficiles à battre dans la production (in)offensive.
Le championnat vu par Twitter
j'ai fini de lire tout et j'ai pris un doliprane http://pic.twitter.com/jPQRP82gb2
— Philou (@philousports) 19 août 2017
Si tu écoutes un match commenté par Christophe Josse sans l'image, tu peux croire que c'est un arbitre qui court seul sur un terrain.
— Eddy Fleck (@eddy_fleck) 20 août 2017
Contrairement à mon équipe, cette machine a l'option pressing. Et ça c'est top ! http://pic.twitter.com/WA5UlgAp2h
— Michel-Michel-Michel (@LeKouss) 17 août 2017
http://pic.twitter.com/7x9aIrjTsB
— Lino Treize (@LinoTreize) 19 août 2017
Merci à betomar, De Gaulle Volant, forezjohn, Gazier, Jean-Huileux de Gluten, JeanLoupGarou, le Bleu, Lucho Gonzealaise, Mama, Rama & Papa Yade, Marius T, Milan de solitude, Moravcik dans les prés, pipige, revlog, r_v_matou, Sens de la dérision, tes fessées, vertigo pour leurs contributions. Les mots croisés sont de Parkduprince, l'équipe-type mystère de Milan de solitude, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de McManaman et de Rolfes Reus.
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The Romantic Gestures of 7 Famous Artist Couples
Art has long been inspired by great romances and lovers turned muses (or vice versa), so it’s no surprise that artist couples have gone to great lengths to communicate their love. On the occasion of the forthcoming bookThe Art of Love: The Romantic Pairings Behind the World’s Greatest Artworks, we share the ambitious romantic gestures of seven influential artist couples.
Camille Claudel and Auguste Rodin turned their fierce passion into famed sculptures
Le Baiser (The Kiss), ca. 1886. Auguste Rodin Musée Rodin, Paris
Bust of Rodin, ca. 1889. Camille Claudel Museo Soumaya
Auguste Rodin and Camille Claudel fell in love hard and fast when they met in 1882. She was a wunderkind sculptor with a knack for channeling the virile energy of the human body into clay; he was 24 years her senior and already famous for his towering, deftly hewn sculptures. Their letters reveal the fierce passion and extreme volatility that marked their relationship. “In a single instant I feel your terrible force,” Rodin wrote to Claudel the same year they met. “Atrocious madness, it’s the end. I won���t be able to work anymore…yet I love you furiously.”
During their affair (Rodin was already in a 20-year-long relationship with Rose Beuret), the two artists deeply influenced each other’s work. Claudel’s sculptures exuded humanity and sensuality, which Rodin gleaned during the years they worked side-by-side in his Paris studio. Scholars have conjectured that the rapturous, intertwined figures in two of Rodin’s most celebrated pieces—The Kiss (1882) and Eternal Idol (1890–93)—were inspired by his love for Claudel and her expert handling of clay.
Pablo Picasso presented Dora Maar with a miniature painting on a ring
Portrait de Dora Maar (Portrait of Dora Maar), 1937. Pablo Picasso "Picasso-Giacometti" at Musée Picasso Paris, Paris
Pablo Picasso, ring with a portrait of one of Picasso’s muses, Dora Maar, late 1930s. Photo by Adrian Dennis/AFP/Getty Images.
Pablo Picasso is notorious for being a womanizer and philanderer who swiftly moved from muse to muse. A heady mix of passion, altercation, and short-lived reconciliation defined most of his relationships, including his nine-year liaison with Surrealist photographer Dora Maar. The two met in 1936 at the famed Parisian café Les Deux Magots. She was plunging a knife repeatedly between the fingers of her gloved hands; he was enthralled by her dangerous game and left with her gloves as a memento.
Picasso painted Maar many times during their fiery romance, and often gifted the works to her after particularly angry rows. One such olive branch came in the form of ring. Where a gem would normally reside, Picasso nestled a small rendering of Maar, complete with wide, lopsided eyes and a blue striped chemise. Though the relationship went up in flames when Picasso left her for the younger Françoise Gilot in the early 1940s, Maar kept the ring until her death.
Frida Kahlo painted a sensual flower for Nickolas Muray
Frida Kahlo With Magenta Rebozo, “Classic” (2nd Edition), 1939. Nickolas Muray Matthew Liu Fine Arts
Frida Kahlo, The Breton Portrait, 1939. Nickolas Muray Matthew Liu Fine Arts
Frida Kahlo had many lovers during her turbulent marriage to Diego Rivera, but Nickolas Muray was one of the most enduring. Muray, a New York–based photographer, met Kahlo during his trip to Mexico City in 1931. A note from Kahlo scrawled on a doily immortalizes the first days of their passionate affair: “I love you like I would love an angel,” she wrote to him. “You are a [lLilly] of the valley my love.”
In their extensive correspondence, Kahlo affectionately signed letters with the nickname Xochitl, after a Nahuatl word for “flower” or “delicate thing.” In 1938, she gave Muray a painting of a flower, which has been interpreted by scholars as a creative representation of their relationship. The small canvas radiates with innuendo. Kahlo composed the flower as two unified parts: a bell-shaped vessel resembling a vagina and a phallic bundle of petals nestled within it.
Dorothea Tanning and Max Ernst refused to call each other husband and wife
Lettre d'Amour (Love Letter), 1969. Dorothea Tanning Thomas French Fine Art
Max Ernst was helping his wife, the storied art patron Peggy Guggenheim, research artists for her upcoming exhibition “30 Women” when he first encountered fellow Surrealist painter Dorothea Tanning. Ernst visited her studio and stayed for a game of chess. Three weeks later, he left Guggenheim and moved straight into Tanning’s apartment.
In 1946, they married in an idiosyncratic double ceremony alongside fellow artist Man Ray and his partner, dancer Juliet Browner, in Hollywood. Ernst nodded to the event in his 1948 painting Chemical Nuptials, an alchemical term for the melding of sulphur and mercury, as scholar M.E. Warlick has pointed out. While they’d formalized their relationship, the couple resisted using the terms “wife” and “husband.” “If you get married you’re branded,” Tanning wrote in her 2003 memoir Between Lives: An Artist and Her World. “We could have gone on, Max and I, all our lives without the tag. I never heard him use the word ‘wife’ in regard to me. He was very sorry about that wife thing.”
Joseph Cornell inscribed love letters to Yayoi Kusama in his sculptures
Untitled (Yellow Sand Fountain), 1959. Joseph Cornell Allan Stone Projects
Infinity Dots, 1992. Yayoi Kusama Yodo Gallery
The relationship between pioneering sculptor Joseph Cornell and Pop art progenitor Yayoi Kusama was largely platonic but deeply loving. They met in 1962, when one of Cornell’s collectors suggested Kusama as a live model, and infatuation followed. Cornell, who was still a virgin and living with his mother at age 59, began sending Kusama copious love letters and poems, some of which were scrawled inside his signature surrealistic collage boxes.
One poem reads: “Fly back to me / Spring flower / And I shall tie a string to you / Like this butterfly / I taste some of / The drink in your / Glass that you leave / I drink to Yayoi / Now— / I think of my princess.”
Cornell died in 1972, leaving Kusama boxes of magazine cuttings and other collage materials, which she used in the work that would jumpstart her artistic career in Japan in the later part of the decade.
Gilbert & George fell in love at first sight as young art students
Portrait of the Artists as Young Men, 1972. Gilbert & George Sies + Höke
At Home with Lina Bo Bardi, Living Sculpture (Casa de Vidro), 2012. Gilbert & George Fondation Beyeler
Gilbert Prousch and George Passmore, better known simply as Gilbert & George, first crossed paths as students at Central Saint Martins in 1967, quickly becoming a romantic and artistic duo. Prousch has described their meet-cute as love at first sight: “I followed like a dog,” he said of his initial attraction to Passmore. They’ve been inseparable since, translating their bond and life together into art.
In 1969, they created The Singing Sculpture, in which their own bodies became “living sculptures,” and they have placed self-portraiture (often featuring themselves in the buff) at the center of many provocative photomontages. Once, when confronted with the question “What will you do if one of you gets run over?” they answered with signature wit: “Fear not! We always cross the road together.’’
Marina Abramović and Ulay walked across the Great Wall of China to mark their breakup
Relation in Space, 1976. Marina Abramović & Ulay Richard Saltoun
Marina Abramović and Ulay’s 12-year partnership produced one of the most influential performance art practices of the 20th century. The intensely physical body of work they built while living together in the confined space of a van explored the vicissitudes of human relationships and the endurance required to maintain them. For Relation in Space, a performance piece unveiled at the 1976 Venice Biennale, the two lovers ran from opposite sides of the room, their naked bodies colliding over and over again in the middle. In AAA-AAA, a video from 1978, they exchange violent screams until their voices go hoarse.
Later, they planned to cement their love in their most ambitious performance yet: each would walk from one side of the Great Wall of China, meeting at the center to wed. But by the time they made arrangements, Ulay’s infidelity had been revealed and their relationship disintegrated. In turn, the 1988 performance became symbolic of their parting, rather than their union. When they crossed paths at the Great Wall’s midpoint, the artists marked the end of their relationship.
from Artsy News
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"Le feu couve en attendant le jet d’essence qui arrosera les braises, et nous écoutons des politiciens qui alimentent notre haine et notre étroitesse d’esprit, qui nous disent qu’il s’agit simplement de revenir aux vraies valeurs, alors qu’eux sont assis dans leurs propriétés de bord de mer à écouter les vagues pour ne pas avoir à entendre les cris des noyés." (Dennis Lehane-Un dernier verre avant la guerre) http://img1.picmix.com/output/pic/normal/0/2/9/6/6496920_968ca.gif Deux prières pour la France par des témoins de la foi, Marthe Robin et et Marcel Van. « O Père, ô mon Dieu, délivrez, sauvez maintenant votre France. Préparez le coeur de vos enfants à la mission qu'ils vont avoir à accomplir pour toutes les nations, pour l'Eglise tout entière. O Père, ô mon Dieu, que les coeurs de vos élus tressaillent maintenant à votre appel, reconnaissant votre voix, votre commandement, votre invitation à agir. Conduisez-les, ô mon Dieu, chacun à sa place et chacun à sa mission. Imposez-leur vous-même tout ce que vous voudrez de chacun d'eux et de tous. Que rien ne soit l'effet de leur propre choix mais uniquement de votre unique volonté d'amour. Vierge immaculée, ne les laissez pas s'égarer ni se tromper. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit. Coeur immaculé de Marie, priez pour nous. Saints et saintes de France, intercédez pour nous. » Marthe Robin (1902-1981) « Seigneur Jésus, aie compassion de la France, daigne l'étreindre dans ton Amour et lui en montrer toute ta tendresse. Fais que, remplie d'amour pour toi, elle contribue à te faire aimer de toutes les nations de la terre. Ô Amour de Jésus, nous prenons ici l'engagement de te rester à jamais fidèles et de travailler d'un coeur ardent à répandre ton Règne dans tout l'univers. Amen ». Cette prière a été dictée par le Christ le 14 novembre 1945 au jeune novice rédemptoriste Marcel Van (1928-1959). Jésus la lui avait ainsi présentée : « Petit enfant de mon Amour, écoute, je vais te dicter une prière, et cette prière, je veux que les Français me la récitent. » Il lui dit ensuite : « Ô mon enfant, dis aux Français que cette prière est celle-là même que je veux entendre de leur bouche. Elle est sortie de mon coeur brûlant d'amour et je veux que les Français soient les seuls à la réciter. Quant à toi, mon enfant, je veux que tu la récites aussi, mais tu la réciteras également en français. » Marcel Van (1928-1959) –
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Un acteur de "Friends" se sépare de sa femme, après sept ans de mariage...
Quand on interprète un personnage comme Ross Geller dans "Friends" , si malchanceux en amour, peut-on vraiment s'étonner d'enchainer les tuiles ? C'est la question que doit se poser l'acteur David Schwimmer, 50 ans, alors que son mariage à la photographe britannique Zoe Buckman (de 19 ans sa cadette) prend l'eau. Sept ans après s'être passés la bague au doigt, et 5 ans après la naissance de leur fille, Cleo, les amoureux ont décidé de se dire adieu...Et si rien n'est plus pareil depuis leur coup de foudre à Londres, en 2007, sur le tournage de "Cours toujours Dennis", les parents ont décidé de garder des rapports cordiaux pour le bien de leur progéniture. C'est donc dans un communiqué commun que David Schwimmer et Zoe Buckman ont annoncé leur rupture aux fans : "C’est avec beaucoup d’amour, de respect et d’amitié que nous avons décidé de nous séparer quelques temps pour déterminer l’avenir de notre relation".Pour le moment, ils n'ont pas encore employé le mot "divorce", mais ont expliqué qu'ils ouvraient "un nouveau chapitre pour [leur] famille". Et d'ajouter : "Notre priorité dans ce moment difficile est, bien sûr, le bonheur et le bien-être de notre fille. Nous vous demandons donc de nous soutenir et de respecter notre intimité".>> A voir aussi : Exclu vidéo : Lena Dunham, David Schwimmer… Les stars s’unissent pour la bonne cause F.A... Retrouvez cet article sur Public
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Voivod "Dimension Hatröss"
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