#demi-monde
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The Mogador Bicentennial
Born 200 years ago, 19th century demi-mondaine Céleste Mogador (Élisabeth-Céleste Vénard, countess of Chabrillan, 1824-1909). A native Parisian, as a girl Mogador had suffered at the hand of an abusive step-father. She escaped during her late teens and resorted to prostitution before resolving to legitimize by becoming a stage performer, starting out at the Cirque Olympique as early as 1840. She…
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Along the shore the cloud waves break, The twin suns sink behind the lake, The shadows lengthen In Carcosa. Strange is the night where black stars rise, And strange moons circle through the skies, But stranger still is Lost Carcosa. Songs that the Hyades shall sing, Where flap the tatters of the King, Must die unheard in Dim Carcosa. Song of my soul, my voice is dead, Die thou, unsung, as tears unshed Shall dry and die in Lost Carcosa.
—"Cassilda's Song" in The King in Yellow Act 1, Scene 2
The King in Yellow (1895) by Robert W. Chambers
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D is for…
D8, Discordance, Destiny, Docks, Demi-Monde, Darling of the Ambassador’s Ball, Dramatic Tension, Destination, Death by Water, Do You Recall?
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L'Art et la mode, no. 33, vol. 15, 18 août 1894, Paris. La journée une élégante. Dessin de F. Fournery. Bibliothèque nationale de France
La matinée est très fraîche et la brise s’est levée; mais une partie de pêche est organisée, et comme elle n’y manquerait pas pour tout au monde, elle s’est équipée en conséquence. Par dessus la jupe courte en tissu des Pyrénées, très poilu, elle a jete une mante en gros molleton, telle qu’on en voit aux femmes du Tréport. Ainsi accoutrée, avec le panier en sautoir, elle ressemble à une vraie femme de pécheur… d’opéra-comique.
The morning is very cool and the breeze has risen; but a fishing party is organized, and as she would not miss it for anything in the world, she has equipped herself accordingly. Over the short skirt of Pyrenean fabric, very hairy, she has thrown a cloak of thick fleece, such as one sees on the women of Tréport. Thus dressed, with the basket in saltire, she looks like a real fisherman's wife… from a comic opera.
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Pour pédaler, après le déjeuner — exercice qui facilite singulièrement la digestion — elle endosse le plus étrange costume qui soit. La veste très courte, à petits revers, à boutons de nacre, s'ouvrant sur une chemisette mauve dont le devant est fixé par des perles. Cravate Charles X. Ceinture Helyett en cuir blanc piqué. Culotte demi-bouffante avec hauts poignets en velours blanc.
To pedal after lunch—an exercise that singularly aids digestion—she puts on the strangest costume imaginable. The very short jacket, with small lapels, mother-of-pearl buttons, opening onto a mauve blouse whose front is fastened with pearls. Charles X tie. Helyett belt in white stitched leather. Half-pouf breeches with high white velvet cuffs.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#August 18#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#bicycle#cape#Modèles de chez#Fournery
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La cantine
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Dieu que j'ai aimé la cantine.
Les nourritures roboratives des cantines nous enseignent que nous faisons peu les difficiles quand nous avons faim, et que nous faisons les ingrats une fois rassasiés. Et au souvenir de la fête que c'était, enfant, les jours de cordon bleu, de steak haché, de bourguignon et de petit salé, nous regrettons cette douce prise en charge. La cantine était l'un des trésors d'une routine qui semblait devoir durer toujours pour des enfants heureux à la seule odeur de la sauce brune, dans le vacarme du couloir de la file d'attente. Un esprit rassurant habitait les lieux hospitaliers de notre enfance. Le carrelage du sol, la glissière des plateaux-repas, la fumée des chauffe-plats, la foule nombreuse, l'institution d'un jour des frites, formaient un monde compréhensif et chaleureux.
J'allais deux fois, trois fois, chercher du supplément de cordon bleu, de yaourt à l'ananas, et des tranches de baguette "bien cuite", au point de finir seul à table, longtemps après le départ des camarades partis jouer au football. La paix revenue dans la grande salle posait la respiration. L'avenir serait meilleur. Nous portions des Nike Air et disions des gros mots, mais c'était temporaire. Tintement des couverts en arrière-plan plan. Grondement tranquille de quelque soufflerie, bruit apaisant. Je restais longtemps après la fin de ces services, parfois jusqu'à la sonnerie de fin de récréation tandis que les "dames de la cantine" s'étonnaient de trouver encore un élève à table. Je n'irai pas jouer, le monde est décevant, il fait meilleur dans la proximité des grandes personnes qui sont là pour nous. J'allais encore chercher du supplément. Tout revenait dans l'ordre. C'était la vie stable et la paix, peut-être un aperçu d'éternité bienheureuse. Tintement de couverts encore. Travailleurs en cuisine qui s'apostrophent en rangeant des chariots. La paix loin des engrenages du monde. Mes grands-parents, à Paris, là-bas, l'ordre de leur maison. Un refuge possible. La France tenue par des gens de France, souriants et âgés. Une organisation du monde qui venait de loin et se donnait à moi pourtant, à demi-étranger, un ordre qui me donnait hospitalité, amour, avenir. J'ai immensément aimé ces fins des services de cantine. Moments d'alternative inventés, gagnés sur l'engrenage obligatoire, moments de récollection, de récapitulation, moments de retrouvailles avec le temps lent de mon pays. La cour de récré c'était les jeux stupides, les prochaines boums, les tiraillements sans répit de la réputation et de la sentimentalité qui vous hameçonnent et vous enlèvent à vous même. Rester longtemps à la cantine c'était être rendu à soi-même dans la joie contenue, sans commentaire, sans éclat, dans un cadre, un tout petit cadre, qui délimite une paix totale.
Beaucoup plus tard je n'ai plus aimé que la vie variée, les "excitantes opportunités" pour "profiter de la vie" et "s'éclater comme des malades" dans des nouveautés étonnantes et toujours renouvellées, qui vous mettent la tête à l'envers. Il fallait pour que la vie ait du sel, pour repousser le démon qui vous accuse d'être un raté, accumuler en une seule journée un maximum de musts, que ces musts deviennent un flux continu, abondant, et sûr, qui vous remplisse et vous fasse passer par-dessus la vie.
Il fallait en une seule journée avoir gagné de l'argent, avoir été beau, avoir été bien habillé, avoir affermi son avenir professionnel, avoir serré une petite et s'en être réservé une autre pour plus tard, avoir été drôle, avoir été profond, avoir été guerrier de la survie immédiate dans un tête à tête avec l'existence tout en ayant accepté avec dégagement un salaire, l'amour d'une famille, d'un pays, d'un Dieu charitable, et goûté cette stabilité.
Il fallait en une seule heure avoir capté au réveil une musique nouvelle et opportune qui avait éteint vos doutes et façonné votre optimum d'état d'esprit, puis s'être douché en étrennant un fabuleux gel douche dérobé la veille dans un magasin de luxe, puis avoir passé vos vêtements favoris tout en honorant simultanément un rendez-vous téléphonique pris de longue date qui allait permettre un déblocage administratif auquel on ne croyait plus, être sorti et avoir marché face au soleil tout juste revenu et croisé au moins un regard de jolie passante, être monté dans le métro à la seconde exacte où les portes fermaient, et s'en être allé ainsi vers la foule des opportunités de l'heure suivante, de la journée suivante, des années suivantes sous l'égide d'une présence protectrice et bienveillante.
Au retour de certaines nuits passées dehors à courir les filles je prenais conscience dans des moments d'illumination profonde, que jouir vraiment de la vie supposait de se contenir totalement et tout le temps. J'allais ces nuits là au bout de moi-même, au bout de mes finances, au bout de mon temps libre, au bout de ma peur de l'autre pour oser l'aborder et réussir à la convaincre, j'osais aller chercher cette vie qui ne venait pas à moi et j'assumais de la prendre avec méthode et passion exactement comme on prend une fille. Je touchais au centre de l'existence, à ce pourquoi j'avais jusqu'ici vécu sans avoir osé y aller. Aussitôt, tout devenait paradoxe. Les hommes etaient malheureux disaient Pascal, de ne pouvoir rester en leur chambre ? Eh bien tout le malheur des hommes je le voyais était de vouloir jouir de la vie, de vouloir s'abîmer, s'évader, s'oublier. La musculation, l'éducation, le gain d'argent, les belles possessions matérielles, les appuis mondains étaient des potentiels laborieusement amassés, mais ils étaient comme de l'huile dans des outres fatiguées de les contenir et qui ne demandaient qu'à crever, qu'à se répandre, qu'à purger leur trop-plein. Il faudrait ne jamais vouloir se soulager et ne jamais se fatiguer d'amasser, toute la vraie joie est là. À quels tourments nous condamnent, je le voyais, la recherche hédoniste ! À cet homme moderne et maudit qui se gaspille lui-même parce qu'il est seul, habité d'un monde de désir et assiégé d'un monde d'impossibilités. Telle est la cruelle condition des hommes, voilà ce que je comprenais. En-dedans, un besoin total, et en-dehors, une indifférence totale. J'ai beaucoup aimé les auteurs qui ont su exprimer ce moment précis, ce lieu précis de l'existence, ce vrai tête à tête avec les choses, un face à face musculaire, intellectuel, instinctif, spirituel, financier, judiciaire, total, qui engage avec frayeur et ivresse la totalité de votre être qui veut de toutes ses forces faire naître un nouveau monde. Herman Hesse, Dostoievski, London, Morand, Céline. Et plus près de nous, Soral et Cysia Zykie. Alors vous sentez que vous n'êtes pas de taille, que vous êtes faible et fanfaron ou tout du moins, que vous pourrez tenir mais temporairement, qu'il faudra très vite un support, "un lieu où reposer sa tête", une grâce, une aide externe, une réponse à vos tentatives comme une bouée de sauvetage à un naufragé haletant qui s'épuise et s'affole.
J'ai longtemps fait le fou pour sortir de la condition de perdant immobile que nous promettait cette affreuse ville de Grenoble, entre les gauchistes, les fonctionnaires, les étudiants ESC et les racailles. Il a fallu, du moins le croyais-je, il a fallu trouver une bande de fous et de déclassés comme moi, et lancer la machine. Resquiller, voler, cambrioler, siphonner, camper, cogner, attraper, crier, saccager, courir pour sa vie. Plus tard ce fut le Vietnam, Hongkong, Paris, tenter sa chance, forcer la chance. L'argent, la bourgeoisie retrouvée, re-perdue, regagnée, les vestes en cuir et les baskets Dior Homme ancien modèle, les filles qui ont la mèche sur le front et le collant qui s'arrête à la cheville. Planer au-dessus du marécage où s'enfonce le monde impie des indifférents, et parfois se débattre dedans, avec horreur, larmes et rage.
Eh bien je préférais la cantine.
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Enough // Copia x reader, sfw
Happy 2025 ♡ I'm back on Tumblr after what feels like an eternity. The last 3-4 months of 2024 have been difficult for me, both physically and mentally. Plus, working in retail (bookselling) meant I haven't had time to exist for myself over the holidays.
The first Ghost fic I offer to the fandom is a self-indulgent piece I wrote to cope with my condition. Gn!reader insert for the most part, but it's intended for (and dedicated to) anyone going through severe period pain, endometriosis, and/or adenomyosis.
1k words, hurt/comfort, established relationship, a splash of angst, SFW
Disclaimer: I haven't written anything in over 10 years and English is not my native language.
It has no real beginning, but it always ends the same – sharp knives burrowing under your skin, coiling through your insides like parasites.
Some days, they creep in quietly, like shadows slipping through a cracked door. You go about your day, pretending to be whole, until they force you to surrender. Other days, they come without warning, striking with a fury that chokes the fight out of you. Phantom hands clutch at your core, and you snap like a twig. The pain leaves you tethered to the bed, your legs betraying you as they buckle under the weight of something unseen.
You’re trapped in a body at war with itself, confined in a purgatory between the living and the dead. A demi-monde of sorts, where the ghosts of who you once were mingle with the echoes of who you can never be.
And then there’s the guilt.
It seeps into the cracks of your broken shell, silent and heavy. Guilt for the days you’ve lost, for the plans you’ve cancelled, the promises you couldn’t keep. Guilt for the way your suffering spills over, touching the people you love, making them worry for you.
And then, there’s him.
Copia stands in the doorway, a steaming mug of tea in his hands and a hot water bottle tucked under his arm. The tea trembles slightly in his hands – not enough to spill, but enough to reveal his unease. You both know you won’t be able to drink it, but brewing it has made him feel in control of something.
He doesn’t look at you right away. His eyes are fixed on the floor as he braces for what he’s about to see. He hates this part – the pallor of your skin, your body curled up against the vastness of the bed, the helplessness that clings to him like a second skin.
“Hey,” he says softly, taking a few steps inside the room. He puts the mug and the hot water bottle on the nightstand and slowly kneels beside you, careful with every motion. His hands twitch at the sides, desperate to pull you into his arms, to take the pain away from you.
But he knows better. Your body is fragile, unyielding to all but the gentlest touch, so he settles for what won’t make you wince. One hand interlaces with yours, the other combs through your hair in a slow, soothing motion.
“I’m here.”
It’s not the pain itself that shatters him, though seeing you like this is agony. Mostly, he loathes the futility of his efforts and words. He can’t fix this.
Your body barely reacts to his presence, save for the faintest twitch of your fingers against his. It’s enough for him.
“I have made you chamomile tea,” he states, glancing at the mug. “Thought, eh… maybe you wanted to try this time.”
You crack one eye open, the effort heavier than it should be, and a shadow of a smile tugs at the corners of your mouth.
“Thank you,” you whisper, squeezing his finger with all the strength you can muster.
“Right, okay.” He exhales a quiet breath and picks up the hot water bottle. You watch as he makes sure your shirt is not rolled up before carefully nestling it close to your belly. Satisfied, he tucks you back in with practised ease. Then, lifting your hand to his lips, he presses a kiss to your fingertips with the softness of clouds.
Dark shadows circle his eyes, and faint stubble dusts his jaw. His face bears the evidence of his devotion: meetings cancelled without hesitation, sleepless nights spent researching remedies, mornings waiting in doctor’s offices.
His love is a net woven around the frayed edges of your being, holding you together when you feel like splintering apart. Yet the weight of it presses against your guilt anyway, whispering that this kindness, this devotion, is more than you deserve.
You can’t fathom how he sees you when you barely recognise yourself anymore. Pain defines your existence; there isn’t a single task you can complete without pausing, lying down, and summoning the strength to try again. Your contribution to the relationship hinges on the rarity of your good days, fleeting as they are. His affection feels unearned. Who could love someone so broken?
“I’m making pizza for dinner, amore,” he says.
“Pizza? You’re lucky my uterus will kill me first,” you quip weakly.
He pretends not to hear, smoothing the edge of your blanket as if the small gesture might anchor you to the present. He knows you’ve spent too much time in your head again.
“Gluten free marinara,” he continues, almost matter-of-factly. “No dairy. No Coke.”
You attempt to laugh despite yourself, but all that comes out is a strained exhalation. “Even Jesus had a better last dinner.”
A soft snort escapes him, lightening the mood for a moment. “Eh, perhaps he had better food,” he replies, “but sure as shit he’d pay for my kind of kisses.”
You want to laugh again and tell him he’s an idiot, but another wave of pain pulls a grimace from you. Your eyes flutter closed as exhaustion drags at you.
“Thank you for making dinner,” you mumble, words slurred by fatigue.
“You don't have to thank me.”
He lingers for a moment, watching the slow rise and fall of your chest. The mug of tea remains untouched on the nightstand, and he knows it will stay that way, but he doesn’t mind.
“I’ll bring it in soon,” he says softly, half to himself, as he gets up.
“Don’t rush, I’m not going anywhere.”
It’s meant to comfort him, but the slight waver in your voice and the implication of your words betray your own fears.
He hesitates, glancing back at you from the doorway. His lips press together, a quiet war playing out in his head, but he doesn’t let it show on his face. Instead, he offers a small smile.
“No, you’re not.”
As he disappears into the hallway, silence engulfs the room, punctuated only by the steady ticking of the bedside clock. You stare at the mug of chamomile tea, now lukewarm, yet you can still feel its warmth from a distance.
The knives stir in your core but Copia’s touch is stronger. You close your eyes, letting exhaustion claim you. The guilt doesn’t vanish, and neither do the cramps, but beneath it all, he's there with you. For you, somehow. Fragile as you are, you cling to that small, essential truth: you are not alone.
And tonight, that is enough.
#ghost fandom#the band ghost#ghost fanfiction#copia x reader#papa emeritus iv#copia#my fic#hurt/comfort
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Hi! Hope you had a nice Sunday so far. Fitness Anon here.
Everyone is horrified and disgusted by the latest pap walk and the woman who was chosen for it. Probably the reason for this is that actually it is very clear what kind of profession this woman has. She is an escort girl.
Let's put it this way: the other initial girls (e.g. MM, MC, AM) in the past were also hired, paid and used for a special kind of service. They all had to sign a contract and were obliged to fulfil their contractual obligations. And in return they all were paid or received other benefits.The only difference was that they were labelled as an actress or a model. But in the discussions here they were called beards. And the purpose of their use was exactly the same as this time.
Apart from that, one could also ask how to characterise the type of agreement made with T? He is paid to pretend to provide services for C. Is it not the same as pretending to be S’s girlfriend? And everyone here more or less agrees that T is being a paid help, too.
Are people here so engrossed right now because this time it is quite obvious what was previously carried out in a rather hidden manner?
Dear (returning) Fitness Anon,
There have been others. Some with names, others - without a name or a bio, fleeting specters across a blurry screen. But spare one or two mysteries (Nobu gal, tattoo gal, etc), all of them had at least a honorable pretext on their business cards. Wannabe is not disgust-inducing, but a prostitute, weeeell....
This time, the unfortunate connection with the seedy demi-monde was obvious from the start, then substantiated. Add to this the hand holding - not a pretty picture. At all. Call me an idiot, but I think that gave many people pause, across the dash. Especially when the whole rest of the pic looked so artificially and hastily cobbled up.
By contrast, C is sheltered by her grotesque marriage fic. Irrespective of paperwork.
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Le dernier arrêt|Ni-ki
✦ Fandom : Enhypen ✦ Personnages : Ni-ki et narratrice ✦ Genres : Horreur, surnaturel, thriller psychologique ✦ Nombre de mots : 2k ✦ TW : Angoisse, isolement, réalité altérée, perte d’un être cher ✦ Résumé : Une jeune femme prend le métro comme à son habitude lorsque soudain, un arrêt brutal plonge le wagon dans le noir. Lorsqu’elle retrouve la lumière, tous les passagers ont disparu. En sortant, elle découvre une ville étrange, floue et irréelle. Elle y retrouve Ni-ki, un ami proche, mais quelque chose en lui semble différent, mélancolique. ✦ Note de l'autrice : L'idée de cette histoire m'est venue un jour où le métro que je prends habituellement a eu un arrêt d'urgence, plongeant les passagers dans l'obscurité totale pendant quelques instants. Ce moment suspendu, à la fois angoissant et fascinant, m'a rappelé une légende urbaine japonaise autour d’une station de métro fantôme : Kisaragi Station.
Le métro gronde sous terre, ses vibrations secouant doucement les passagers qui s’accrochent aux barres métalliques. J’ai mes écouteurs sur les oreilles, la musique couvrant le son mécanique du train. C’est mon quotidien, une routine invariable, où chaque station est un point fixe, une habitude rassurante. Les lumières artificielles défilent à travers les fenêtres, projetant leur lueur blafarde sur les visages fatigués. Une autre journée qui commence, sans surprise, sans éclat. Mais soudain, tout bascule. Un choc brutal me projette presque en avant. Le métro s’arrête, si brusquement que les passagers autour de moi émettent des exclamations de surprise, certains tombent, s’accrochent aux sièges. Puis, sans prévenir, les lumières se mettent à clignoter furieusement avant de s’éteindre complètement. Le noir m’enveloppe. J’entends des cris, des murmures paniqués. Une voix étouffée quelque part appelle quelqu’un, mais le son est comme aspiré par l’obscurité. Le silence tombe, lourd, oppressant, et mon cœur s’accélère, battant la chamade dans ce néant.
Quand les lumières se rallument, tout est différent. Autour de moi, il n’y a plus personne. Le wagon est vide. Je me redresse lentement, mes mains tremblantes agrippées à la barre devant moi. Les sièges désertés, les fenêtres plongées dans un noir d’encre... Je me sens soudain très petite dans cet espace immense et déshumanisé. Je fais quelques pas, mes chaussures crissant légèrement sur le sol.
— Est-ce qu’il y a quelqu’un ?
Mais aucune réponse ne vient, juste le bourdonnement léger des lampes au-dessus de ma tête. Je me dirige vers les portes, poussée par une curiosité irrésistible et une peur que je ne peux pas ignorer. Celle-ci s’ouvre automatiquement devant moi et je me retrouve dans une station qui m’est inconnue.
L’autre côté est un monde que je ne connais pas. Ou du moins, pas tout à fait. La ville est là, mais elle semble floue, comme une peinture à moitié effacée. Les rues sont vides, les bâtiments s’élèvent, grandioses et menaçants, leurs contours ondulant légèrement, comme dans un rêve. Le ciel est d’un gris étrange, un mélange d’aube et de crépuscule, sans soleil, sans lune. Une lumière diffuse éclaire tout, sans jamais vraiment chasser les ombres. Les murs des bâtiments sont ornés de motifs étranges, et l’écho de mes pas résonne comme une mélodie oubliée. L’atmosphère est chargée d’une énergie singulière, une sensation à la fois familière et terrifiante. Je scrute l’horizon, espérant voir un signe, quelque chose qui m’expliquerait où je suis. Je devrais avoir peur. Tout dans ce moment me crie de faire demi-tour, d’attendre que la réalité se réinstalle. Mais il y a quelque chose d’irrésistible dans cette lumière, une curiosité qui me pousse à avancer. Je marche, le cœur battant, cherchant un signe, quelque chose de familier. Et puis, je le vois. Assis sur un banc, au bout d’une ruelle étroite. Il semble tellement réel, et pourtant, il y a quelque chose d’étrange en lui. Ses yeux, d’habitude pétillants de vie, sont maintenant sombres, presque insondables.
— Ni-ki ! j’appelle, en courant vers lui.
Il tourne la tête, et son regard se pose sur moi, mais je ne vois pas la chaleur et l’amitié que j’ai toujours connues. Il y a une distance, une sorte de mélancolie dans son expression. Je m’arrête devant lui, haletante, et il me regarde de ses grands yeux sombres, une expression douce, mais indéchiffrable sur le visage.
— Qu’est-ce qu’il se passe ici ? Est-ce que je suis en train de rêver ? je demande, tentant
de reprendre mon souffle.
Il hausse les épaules, un léger sourire aux lèvres. Il s’avance, et je sens mon cœur se serrer. Il a toujours été celui qui m’apportait du réconfort, celui qui me faisait rire. Mais maintenant, il semble comme un étranger, perdu dans une réalité qui m’échappe.
— Viens, suis-moi.
Sa main se tend dans ma direction et j’hésite, quelques secondes, avant de lier nos doigts entre eux.
Nous marchons ensemble, et le monde autour de nous change au gré de nos pas. Des scènes de notre vie se dessinent, flottant comme des souvenirs projetés. Je vois la forêt où nous avons marché, un jour d’été, le soleil perçant à travers les branches, sa main tendue vers moi pour m’aider à franchir un ruisseau. Je revois cette soirée dans mon appartement, des pizzas sur la table, nos rires résonnant contre les murs alors que nous nous moquions des personnages d’une série stupide. Des simples moments de bonheur.
—Tu te souviens de ça ? je demande, pointant du doigt l’image de nous deux, assis sur le
canapé, riant aux éclats.
Il acquiesce, ses yeux rivés sur le souvenir, une amertume que je ne comprends pas dans son regard.
— Oui, murmure-t-il, c’était une excellente soirée.
Sa voix est douce, mais il y a quelque chose de triste, une profondeur qui me fait frissonner. Les souvenirs continuent de se matérialiser autour de nous, flous mais si vivants, et je suis happée par cette sensation étrange, cette nostalgie qui m’envahit de plus en plus. Pourquoi tout me donne l’impression que chaque seconde peut être la dernière ? Je lève les yeux vers lui, le cherchant du regard comme pour trouver un sens à tout ça, mais il l’évite soigneusement. Une certaine peur commence à naître dans mon esprit, comme si je sentais au fond de moi qu’il y a quelque chose que je devrais comprendre, une vérité enfouie derrière ce calme irréel.
— Pourquoi est-ce que tout semble si…
Je cherche le mot, mais il m’échappe.
— Pourquoi suis-je ici, Ni-ki ?
Il détourne les yeux, et le décor change à nouveau. Nous sommes sur un toit, le vent soufflant et emportant avec lui les feuilles mortes qui virevoltent autour de nous. Je me souviens de ce jour – nous avions passé l’après-midi sur ce toit, à parler de nos rêves, de nos secrets, à regarder la ville s’étendre à nos pieds. Mais ici, dans ce monde étrange, tout semble amplifié. Les couleurs sont plus vives, les émotions plus intenses, presque douloureuses.
— Parfois, dit-il, sa voix portée par le vent, il y a des choses qu’il faut accepter, même si
on ne les comprend pas tout de suite.
Je fronce les sourcils, cherchant à saisir ce qu’il essaie de me dire. Il me regarde alors, ses yeux brillants d’une tristesse indéchiffrable, et il tend la main.
— Viens.
Je la saisis, et une chaleur douce m’envahit. Nous dansons, là, au milieu de ce toit fantomatique, sans musique, juste le bruissement des feuilles dans les arbres et le battement irrégulier de mon cœur. Ses bras m’entourent, et je ferme les yeux, laissant la chaleur de sa présence m’envelopper, un instant hors du temps. Ses doigts finissent par se resserrer un peu autour des miens, sa main froide pressant contre la mienne. C’est si étrange, ce contraste. Lui qui, habituellement, est toujours plein d’énergie, là, il semble s’effacer, comme une ombre. Il relève la tête, son visage prenant une expression douce mais empreinte de ce trouble insaisissable.
— Je suis content que tu sois là.
Ses paroles me troublent profondément. Il y a quelque chose dans sa voix, une forme de résignation qui me fait comprendre qu’il y a plus que ce qu’il laisse paraître. Nous reprenons notre route, et je remarque que nos souvenirs s’estompent peu à peu, remplacés par des fragments de paysages incertains, de ruelles silencieuses et de lieux inconnus. À chaque pas, l’atmosphère semble se faire plus lourde, plus oppressante, comme si le temps lui-même ralentissait. Il me regarde cette fois avec une intensité qui me fige, avant de murmurer, presque trop bas pour que je l’entende :
— Il est temps.
Mes doigts se serrent instinctivement autour de sa main, refusant de lâcher prise, refusant de croire qu’il puisse y avoir quelque chose d’inéluctable ici. Puis, je le sens se détacher, doucement, comme un rêve qui s’évanouit au réveil. J’ouvre les yeux en sursaut dans le métro, la lumière crue des néons m'aveuglant un instant. Le brouhaha du train, les grincements des rails, tout semble étrangement familier. Je prends une grande inspiration et réalise que ma main est posée sur celle de Ni-ki, assis à côté de moi, un sourire tranquille sur le visage. Je me tourne pour l’observer alors qu’il me semble perdu dans ses pensées, sa tête se balançant au rythme de la musique qu’il écoute. Sa présence devrait me rassurer, mais pourtant, un sentiment, pesant, continue de courir dans mon esprit. Je sais que ce n’était qu’un rêve, mais il reste en moi comme une brume tenace, une sensation qui refuse de disparaître. Ses doigts, sous ma main, sont tièdes, bien réels cette fois, mais je n’arrive pas à chasser la trace de cette froideur qui s’était imprimée dans ma mémoire. Il pivote enfin la tête dans ma direction, son casque dorénavant autour de son cou, et m’adresse un sourire amusé.
— Ça va ? me demande-t-il sans doute à cause de mon regard insistant, on dirait que t’as
vu un fantôme.
— Oui… enfin, non. Ce n’est rien. J’ai juste fait un rêve étrange. je termine en secouant la tête, tentant de rire pour dissiper le malaise qui commence à s’installer.
Ni-ki se penche vers moi, et je peux lire l’amusement dans ses iris foncés.
— Du genre ? T’as rêvé de moi, c’est ça ?
Sa voix prend une intonation malicieuse, et je vois son sourire s’étirer.
— Allez, avoue. Tu te languis de moi jusque dans tes rêves maintenant ?
Je sens mes joues s’échauffer et je secoue vivement la tête pour le faire cesser.
— Ce… n’est pas ce que tu crois, je balbutie, tentant de minimiser. C’était différent.
Il écarquille légèrement les yeux, feignant une expression d’incrédulité exagérée.
— Oh, différent comment ? Genre, romantique ? Tragique ?
Son visage s’approche du mien, l’air faussement sérieux.
— Ou bien, était-ce un rêve où tu me déclares ton amour éternel avant de t’enfuir dans le
coucher de soleil ?
Je me mordille la lèvre, cherchant quoi répondre, mes mains moites de gêne.
— Rien de tout ça, d’accord ? C’était…
Je cherche à détourner la conversation, mais il éclate de rire, ravi de ma réaction, et me pince gentiment l’épaule.
— Relax, dit-il en riant, ses doigts toujours entremêlés aux miens. Je te taquine.
Un sourire naît malgré moi, même si je détourne un peu les yeux pour échapper à son regard perçant. Sa main serre la mienne avec chaleur, et je sens mon cœur se calmer, même si quelque chose continue de me hanter.
La voix du conducteur annonce notre prochaine station, puis soudain, un flash de lumière intense envahit le wagon. Un bruit assourdissant secoue le métro, un grondement puissant qui résonne dans mes os. Le train tremble, et tout se passe en une fraction de seconde. J’entends des cris, je sens le sol se dérober sous mes pieds, et tout autour de moi se transforme en un chaos terrifiant. Le souffle d’une explosion ébranle la rame, le monde autour de nous devenant un tourbillon de poussière et de débris, et je perds pied, me sentant aspirée par un vide abyssal. Dans le tumulte, je m’accroche désespérément à la main de Ni-ki, le seul repère, le seul ancrage que j’ai dans ce monde qui s’effondre autour de moi. Je tente de murmurer son nom, mais ma voix se brise dans le bruit assourdissant. Alors que le train s’immobilise enfin, le silence s’installe progressivement, lourd et oppressant. Autour de nous, des débris jonchent le sol, et la lumière faiblit. Dans ce calme étrange, je ressens la chaleur de sa main… ou plutôt, je sens cette chaleur s’éteindre. Je tourne lentement la tête vers lui, mon cœur s’arrêtant presque en voyant son visage, calme, paisible. Il me regarde sans me regarder, ses yeux empreints de cette même mélancolie qui m’avait troublée plus tôt. Et là, je comprends. Ma gorge se serre alors que je ressens l’absence de chaleur à travers son épiderme, cette sensation glaciale qui remonte le long de mon bras.
— Ni-ki… je murmure, une larme roulant sur ma joue.
Mais il ne répond pas. Ses yeux restant fixés sur moi, empreints d'une tendresse infinie, comme un dernier adieu silencieux.
❥ Les histoires ne s’achèvent jamais vraiment, elles restent suspendues entre les pages et les cœurs qui les lisent… Merci d’avoir voyagé avec moi ღ © schizophrenic-writer 2025.
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saga: Soumission & Domination 363
L'effervescence règne à la villa. On se prépare pour la soirée. Epilation toute fraiche, massage respectifs de nos corps avec un hydratant qui nous laisse la peau soyeuse, rasage pour ceux qui en ont besoin, bref on se fait tous beaux.
Marc et Hervé nous regardent d'un oeil goguenard. Jusqu'à ce qu'on s'occupe de leurs cas ! Séparés en deux groupes, nous leur sautons dessus et les immobilisons. Là, ils ont droit à la même préparation que nous, pipe en plus (histoire de se faire pardonner). Au sortir du même régime, ils nous paraissent encore plus canon nos deux quadras. C'est tout juste s'ils font la 30aine dépassée.
Le plus dur, les vêtements. Paco qui connait bien la boite nous dit que nous serons en maillot de bain très vite surtout avec nos physiques de bogosses.
A lui aussi je demande de se préparer car y'a pas de raison qu'il ne nous accompagne pas lui aussi. Dans un premier temps il refuse, argumente qu'il aura plein de rangements à faire après le diner. J'envoie Jesus lui faire des yeux de chat malheureux pour avoir son acceptation. Donc retour au choix des maillots. Pour moi ce sera un Aussiebum un " Lowrider Flower Power ". L'élasthanne présent épouse bien la forme de mon paquet et il est très " court " sur les fesses ! PH et Ludovic optent pour un ES " Barcelona marin " rouge pour l'un et bleu pour l'autre. Ernesto se prend un Addicted de la dernière collection un " sport sailor " pour être en accord avec mes deux autres amours, auquel il a enlevé le mécanisme pack up, ses 24x6 même au repos restent très " visibles " ! La triplette opte pour le même maillot Aussiebum le " League 15 " blanc. Les autres s'équipent aussi " cute ", même nos deux ainés qui enfilent un boxer.
Un jeans plus un marcel et nous descendons à pied. La station est plein de beaux mecs. Notre groupe se fait siffler plus d'une fois avant que nous arrivions à la boite. A la porte un des mecs qui nous avaient " racolés " sur la plage est au tri ! Il nous repère même si nous sommes plus nombreux. Il nous laisse entrer et fait un signe de tête à Paco quand ce dernier passe devant lui. Il me dira plus tard (le mec de la boite) que Paco était assez connu sur la place ! Nous laissons tomber très vite les t-shirt et torses nus, nous nous jetons dans la foule de mec en train de danser. La musique est forte, l'ambiance chaude. Je mate autour de moi. En dehors de la " villa ", il n'y a que du beau mec ! Physiquement pas plus de 30ans musclés bronzé, avec ou sans barbe mais tous baisables !! Les pantalons tombent des fesses même s'ils n'en cachaient pas grand-chose déjà. Les maillots sont pleins et certains ont du mal à tout retenir de ce que leurs propriétaires veulent cacher. Nos deux ibères sont dans cet état. Moi je me retiens encore malgré les nombreuses mains sur mes fesses qui essayent de baisser mon jeans ! Ludovic et Enguerrand sont quand même les plus canons et eux aussi sont collés et appréciés à leurs justes valeurs. Ernesto comme PH et nos deux ainés surveillent notre triplette. Pas question que leur " fraîcheur" ne soit exploitée.
Paco vient me voir alors que je suis en " surveillance " de mon petit monde pour me prévenir qu'il a fait ce qu'il fallait pour que nos jeunes soient en sécurité. Comme je ne comprends pas, il me dit qu'il a fait passer le mot aux mecs de la sécurité pour qu'ils ne leur arrivent rien de fâcheux. Il me désigne discrètement les types. A part les " officiels " reconnaissable, il m'en montre une demi-douzaine d'autre qu'on aurait pu prendre pour des usagers. Un qui me voit en train de parler avec Paco me fait un signe de tête.
Du coup je me lâche. Je rentre dans la mêlée joue des coudes pour m'installer et danse. Mes amours me rejoignent et dans l'ambiance nous n'hésitons pas à nous rouler des pelles. Quand je jette un coup d'oeil panoramique, je vois Marc coller un petit mec mimi tout comme Hervé. Les petits sont toujours ensemble et s'éclatent à l'autre bout de la piste. Alors que je vais pour repartir dans mon trip, j'aperçois un des " sécurités " en civil (càd en maillot de bain) choper un mec plus âgé qui collait un peu trop nos jeunes et le dégager.
En attendant moi je me fais draguer par un mec qu'on croirait sorti d'un film de BelAmi type Kris Evans. Grand, gueule carrée, musclé, imberbe avec un maillot déformé par un paquet volumineux et pesant. Tentant non ?! Ben oui, je suis humain et je me laisse tenter. Ernesto me voit partir avec le mec vers des fauteuils. Il tombe dessus et m'entraine avec lui. J'essaye de me retenir mais je glisse et lui tombe tout cru dans les bras. Pelle ! Langue encore fraîche, impérieuse dans sa façon de vouloir enrouler la mienne. Je ne me laisse pas faire, on est du même gabarit ! Mes mains palpent ses pecs qu'il contracte. Belles masses aux gros tétons sensibles. Comme je suis couché sur lui, mes abdos m'annoncent son érection et l'amplitude de cette dernière. A vue de " peau ", il doit faire dans les 21/22 bien larges au moins 6 ! Tout ce que j'aime chez un type avec qui baiser !! Mais c'est encore un peu tôt. On retourne sur la piste et nous dansons collés, très collés. De nos bouches grandes ouvertes afin de pouvoir gouter la langue de l'autre jusqu'à nos cuisses, on n'aurait pas pu glisser entre nous une feuille de papier à cigarette !! Caliente !! Il connait bien la boite et nous isole dans un recoin. Nos bites en profitent pour sortir de leurs écrins et c'est lui le premier à s'accroupir pour me la bouffer. Il devait être affamé, quoi qu'avec son physique je ne vois pas comment ça se pourrait, car il me l'avale jusqu'aux couilles. Il me donne l'effet d'un mort de faim tellement il met de l'entrain à me bouffer la queue. Mon gland ne sort de sa gorge que pour les respirations que je trouve très espacées ! Mes mains se posent naturellement sur ses épaules et massent ses trapèzes balèzes et descendent titiller ses tétons sûrement travaillé vu leurs tailles. En pinçant les deux " boutons ", je le tire vers le haut et on repart en pelle juste le temps que j'attrape sa bite et ses couilles. A la base ma main ne fait que la moitié du tour ! Et j'ai beau serrer, je ne progresse pas vu la raideur de l'engin.
A mon tour de lui gober le gland. Je lui démontre qu'il n'est pas le seul à savoir faire des gorges profondes !! Ç'est lui qui me redresse avec la même technique que moi. On se roule des pelles pendant que nos deux bites s'apprivoisent.
Nous sommes interrompus par l'arrivée d'Enguerrand. Il me parait tout chafouin !
Sans trop me décoller de ma trouvaille, (faudrait pas qu'il prenne la tangente), je lui demande ce qui se passe. Il me dit qu'ils sont tellement surveillés qu'ils vont rentrer bredouille de la soirée.
Je ne réfléchis pas, je le glisse entre nous deux, dos contre mon torse. Il ne s'y trompe pas et entreprend ma " conquête ".
L'autre se laisse faire. Le roulage de pelle qu'ils se font ne le fait pas débander et je descends avec son short le maillot d'Enguerrand qui commençait à être trop petit.
Je glisse sur le côté et nous pouvons nous lécher le museau à trois. Je garde une main sur le cul d'Enguerrand afin de prévenir toute velléité d'envahissement sauvage, l'autre est occupée à tester la rondelle de l'indigène.
Pas de réticence à la progression de mes doigts de fée vers puis dans le cul de mon " BelAmi ". De l'autre côté, je sens sa main rejoindre la mienne et me demander le passage. Je vérifie que c'est bien la sienne avant de le laisser passer.
Le doigt qu'il enfile dans mon petit beau-frère fait bander encore plus fort ce dernier.
On est bien chauds. J'attrape 2 kpotes dans mon jeans et en tends une à l'inconnu. J'enfile l'autre.
Debout, Enguerrand plaqué contre le mur se prend les 21x6 dûment recouverts alors que j'enfile ma bite dans son enculeur. Trop bon ! Je suis hyper serré et le mec en rajoute en comprimant sa rondelle. Je vois qu'Enguerrand aussi prend du plaisir. La joue écrasée contre le mur, les yeux fermés, il halète sous le labourage en règle de son intimité. Je m'accroche à ses épaules et bascule mon bassin violemment en avant pour prendre et lui faire prendre son pied. C'est chose faite 10mn plus tard. Lui mordant l'épaule pour éviter que je hurle, je rempli ma kpote dans un dernier coup de rein qui l'écrase sur Enguerrand. Aux spasmes qui agitent sa rondelle je conclu qu'il fait de même bien au fond du trou d'Enguerrand. Je récupère au creux de ma main le sperme de ce dernier pour qu'il ne marque pas son territoire avec ses gènes. Sans que je lui dise, il vient lécher sa production pour me nettoyer les doigts.
Notre inconnu le regarde puis me remercie d'avoir partagé ma " salope " avec lui. Quand je lui dis que c'est mon " Ermanastro ", il s'interloque avant d'éclater de rire et de me dire que j'avais trouvé la famille idéale. Il comprend d'autant mieux que Ludovic nous a, à ce moment-là, retrouvé.
Il ne s'éloigne pas alors que je me fais gentiment remonter les bretelles par Ludo qui me dit, en reluquant l'ibère de la tête aux pieds, que je ne pense qu'à moi.
Je me défends que j'aie partagé avec Enguerrand. La confirmation de ce dernier me sauve quelques instants. On se réajuste et j'entraine mes deux partenaires sexuels et mon mec vers le bar nous rafraichir.
Malgré la musique, on en apprend un peu plus sur le mec. Il se nomme Felipe, il est madrilène et en congés. Avec une demi-douzaine de potes, ils ont loués une villa un peu en extérieur avec piscine. 5 mn plus tard il nous invitait tous les trois à passer les voir. Ses potes étant comme lui, homos et pas trop mal foutus.
Dos contre le bar, il les cherche du regard et nous les montre. Je lui dis que nous c'est pareil sauf qu'on est un peu plus nombreux. J'arrive à retrouver la bande sauf Marc qui doit se faire plaisir avec un petit mec dans un coin. A mon tour je les montrer du doigt (je sais, c'est pas poli mais difficile de faire autrement !).
Avec amusement nous voyons nos amis respectifs opérer un mouvement vers nous et nous finissons ensemble. Présentations, amusement de la similitude de nos situations, surtout quand nous leur donnons notre adresse et qu'elle se situe à une rue de la leur ! Ses amis sont du même type que lui, sportifs et musclés imberbes et bien montés (vu les maillots bien remplis).
Quand Marc nous rejoint enfin, on décide que la nuit est assez avancée pour que nous rentrions.
Comme leur villa est sur notre chemin, nous nous y arrêtons.
Plus petite que la nôtre elle aussi est tout confort avec piscine et jacuzzi. Felipe sort les bouteilles du frigo. Vodka, gin, whisky... le choix est vaste et les doses servies conséquentes. Auraient-ils comme des envies d'abuser de nous ?? En attendant ils sont sympathiques et les maillots volent au moment de nous jeter dans l'eau. Quand nous y sommes tous, impossible de nager !! Mais je crois que c'était pas trop le but non plus ! Les corps se frottent les muscles gonflent et les bites entrent toutes en érection. Je laisse Felipe que je connais déjà pour ses potes. Notamment le plus jeune et aussi le plus " développé " coté musculature. Quand j'empoigne ses bijoux de famille, de ce côté là aussi il n'a pas été laissé pour compte. Bonne queue raide accompagnée d'une paire de couilles glabres d'un beau volume aussi. Nos tétons se collent alors que je lui roule un patin. Sa langue goûte encore la vodka qu'il s'est enfilée tout comme moi. Ouf ! On ne va pas faire de mélange d'alcool qui nous donnerait mal à la tête au réveil (lol) ! Sa bite passe sous mes couilles et dans l'eau je m'assois dessus. Elle me tente et j'ai envie de connaitre sa dextérité à s'en servir. Je sors de l'eau et d'un coup de rein, le tire du bassin. Il m'entraine dans la villa. Je n'avais pas fait attention mais plusieurs mecs étaient déjà partis sur des plans " particuliers ". Du coup, on a un peu de mal à trouver où nous poser. On finit par revenir sur la terrasse et on se met au " travail ". On doit avoir le même âge et son physique est nickel. Brun de poil mais totalement imberbe ou épilé sauf la touffe, il est bronzé avec marque de maillot. Ce qui me fait kiffer grave. Sa belle queue rose pâle arbore un gland bien violet et découvert. On passe un bon moment à se caresser, se lécher, s'embrasser (avec la langue évidemment), à se travailler les tétons aux doigts puis avec les dents. Nos bites et couilles ne sont pas de reste puisque souvent nous alternons le reste avec de bons pompages en profondeur. J'aime qu'il prenne mes 20cm sans haut-le-coeur lui non plus. J'aime sa langue inquisitrice. Elle se coule sous mon prépuce pour aller titiller mon gland, elle s'enfonce dans ma rondelle, poussant sa salive dans mes profondeurs pour préparer l'assaut prochain. De mon côté je pompe en fond de gorge ce gland qui va bientôt tester l'autre extrémité de mon tube digestif. Quand je me sens prêt, je lui enfile une kpote, le plaque dos sur la terrasse et enjambe son bassin pour venir m'assoir sur son mat.
Rhh ! Le bien que ça fait !! Il a l'air étonné que je m'enfonce en une seule fois la totalité de ses 21cm mais quand mes fesses touchent ses cuisses, il en ferme les yeux de plaisir ! Je savoure cet envahissement de mon corps avant de chevaucher mon nouvel ami. Ses mains venues se poser sur mes hanches modère ma fougue. Il en libère une pour venir la poser sur mon cou et attirer ma tête vers la sienne. Je lui roule un patin mais c'était pour me dire quelque que chose qu'il m'avait penché.
Il voulait juste me dire que j'avais un cul divin et une rondelle parfaite ! Pour ça il n'était pas obligé de chuchoter ! Je me redresse et fort, je crie à ceux qui veulent l'entendre que sa bite est une merveille et qu'elle me rend fou. Il me rattrape et me dis qu'ils ont des voisins !!
Je lui réponds que jusque-là c'était flatteur pour lui ! Il rit et me fait taire avec sa langue. Pour me laisser moins de choix, il se redresse me bascule sur le dos et tenant par les chevilles mes jambes écartées, s'ingénie à me limer la rondelle avec science. Il me fait décoller grave !
Il alterne quelques positions autres avant de remplir sa kpote au bout de sa résistance. Un petit coup de sa langue sur mon gland et je lui tapisse le visage de mon sperme. Juste la force de se trainer à l'intérieur pour trouver un coin de matelas et je tombe de sommeil. Il est midi quand j'émerge ! A peu près en même temps que tous les autres sauf Paco qui, en bon cuisinier, finissait de mettre en place le " petit déjeuner ".
Les invitants sont surpris mais apprécient l'attention. Comme ils s'étonnent de certains plats, Paco leur avoue avoir dû faire un saut chez nous. On déjeune tous dans une bonne ambiance, les autres habitants de la maison ont trouvé eux aussi leur plaisir dans notre touze improvisée de la veille et matin. Felipe est collé de notre trio ce qui semble lui aller tout à fait. Quand j'éclairci les données, il me dit que ces trois jeunes lui ont asséché les couilles comme jamais encore ça lui était arrivé !!On rentre chez nous avec leur promesse de nous rejoindre à notre villa vers les 20h
Jardinier
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Il va falloir d'emblée que vous sachiez que ce post est écrit par un homo qui a la trouille et qui a besoin d'extérioriser son angoisse.
Je pense pas mal ces derniers jours à ce qu'a dit Sartre, c'est à dire qu'on a jamais été aussi libre que sous l'Occupation. Au vu des événements de la semaine écoulée, je me dis ce que ce raisonnement s'applique à toutes les situations dont la gravité est telle qu'elle exclut la possibilité des demies-mesures. Faire un choix nuancé est un luxe qu'on ne peut pas s'offrir, Macron s'en est bien assuré.
Les options qui s'offrent à nous sont radicales : soit on choisit le statu quo (Macron) et on continue notre fuite en avant ultra-capitaliste avec les conséquences écologiques qui vont avec, soit on cède à la peur, la haine, la colère, la frustration et tous ce qui motive le votre RN. Ou bien on essaie de rétablir un semblant de justice dans ce monde qui va à vau-l'eau, et on vote pour le Front Populaire.
Ce que je dépeins, c'est un portrait très manichéen de la situation, et on pourra trouver de fait mon argumentaire critiquable, mais je crois néanmoins que rarement le pays a été autant face à un choix qui engage à ce point son destin. Il n'y a plus de possibilité de faire de compromis, de voter pour le parti le moins mauvais en se pinçant le nez, ou en faisant la fine bouche car on aime pas tel ou tel candidat. Et c'est bien ce qui fait que je ne dors pas l'esprit tranquille : je n'ai vraiment pas l'impression que tout le monde réalise la portée de ce qui va se jouer le 30 juin et le 7 juillet.
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Mise au point. Le saviez-vous ?
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/d176b5d2da63f75c8554c4ca7ade7151/f29ecfa72c2e15a6-74/s540x810/2ad063e53673bb28c67c922c19b200687e701a71.jpg)
La demi-sœur d'Anne Frank, Eva Schloss, nous informe, que les vidéos et images que nous voyons de la libération d'Auschwitz sont des reconstitutions filmées des mois après la libération. On peut notamment le constater par l'absence de neige, pourtant très présente le 27 janvier 1945. Lors de la libération du camp d'Auschwitz par l'Armée rouge, les conditions étaient extrêmes, et des températures glaciales. Les soldats soviétiques n’avaient pas de matériel audiovisuel sur place pour documenter cette libération. Par conséquent, les images et vidéos associées à cet événement ont été recréées par les américains après pour des raisons de documentation et de propagande. Cela inclut les scènes montrant des survivants qui ont dû jouer la scène, avec des enfants derrière les barbelés, ou encore des prisonniers libérés. Ces reconstitutions ont été réalisées pour capturer une représentation visuelle des horreurs et sensibiliser le monde, alors que les preuves visuelles directes manquaient.
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est-ce que je suis la seule à son grand âge pour qui ça compte encore qu'on lui souhaite son anniversaire ? je sais pas comment dire mais comme je retiens toutes les dates d'anniversaire de tout le monde (j'ai pas d'effort à faire, genre on me le dit une fois et je le retiens), quand on pense pas au mien ou que je reçois pas beaucoup de messages pour me le souhaiter je peux le prendre vraiment mal ? genre on sait hein c'est qu'une date, show must go on t'es pas le centre de l'univers, mais arf vraiment ça me touche trop et je sais pas pourquoi, quand ça arrive j'ai l'impression de compter pour personne mdr
est-ce que ça arrive à d'autres gens ça ou est-ce que c'est vraiment juste moi qui ait besoin de grandir et me rendre compte que j'ai plus six ans et demi ?
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(Source de la Cozanne, Vauchignon, lieu-dit, cirque du Bout du Monde)
traité provisoire pour une hydrographie poétique, les sources insaisissables des cours d'eau
il existe des rivières aux sources incertaines ; ainsi la Cozanne n’a toujours pas dévoilé son origine ; la grotte où elle pourrait prendre naissance au lieu dit le cirque du Bout du Monde, possède en effet différents points d’eau possible, dont notamment une cascade jaillissant du calcaire Bajocien, en cette petite vallée verdoyante où elle apparaît frêle et limpide, sonore et gracile (dans ses Impressions de voyage, Alexandre Dumas père en parlait en ces termes : « le sol se fend tout à coup sur une longueur d'une lieue et demie et sur une largeur de cinq cents pas, laissant apercevoir à la profondeur de deux cents pieds à peu près, une vallée délicieuse, verte comme l'émeraude et sillonnée par une petite rivière blanche et bruissante… » ) ; mais cela n’empêche pas son écoulement épanouie sur une courte terre de Cote-d’Or et de Saône-et-Loire et même dit-on, en sa vallée inférieure, d’étendre ses enchantements remarquables ; il existe donc des eaux dont la terre garde encore le mystère ; des eaux qui savent, qu'elles viennent d’un monde inconnu à l’homme
© Pierre Cressant
(samedi 6 mai 2023)
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Ces 10 derniers jours :
- j'ai assisté à la proclamation des résultats de mon fils
- j'ai traversé une partie de Marseille en talons
- j'ai assisté au plus beau mariage du monde (celui de ma meilleure amie)
- j'ai passé deux jours au paradis avec une cinquantaine de personnes que je ne connais pas
- j'ai partagé une chambre avec trois personnes que je ne connaissais pas et ça a vidé ma jauge sociale
- Le lendemain de Marseille, je suis partie en camp de cirque.
- j'ai fait les courses et la cuisine pour 130 ados artistes pendant 7 jours avec une équipe incroyable et contre toute attente, ça a rempli ma jauge sociale !
- j'ai cuisiné dans la boue avec les pieds trempés
- j'ai commencé mes journées à 5h30 pour finir à minuit et demi
- j'ai dormi sous tente
- j'ai sympathisé avec les profs du coup j'ai eu plein d'opportunités pour essayer leurs cours
- j'ai bivouaqué une nuit dans les arbres
- j'ai fait de la danse verticale
- j'ai fait un salto en trapèze volant, c'était hyper impressionnant
- j'ai jonglé avec un jongleur que j'admire
- j'ai fait de l'acro-porter
- j'ai assisté à des spectacles, des répétitions, des entraînements, des réunions
- j'ai reçu des bisous, des câlins, des mercis en veux-tu en voilà
❤️
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« La fin du monde a bien eu lieu. Elle n’a pas eu lieu un jour précis, mais s’est étalée sur plusieurs décennies. Le monde qui a disparu était un monde où la plupart des enfants savaient lire et écrire. Où l’on admirait les héros plutôt que les victimes. Où les appareils politiques n’étaient pas encore devenus des machines à broyer les âmes. Où l’on avait plus de modèles que de droits. Un monde où l’on pouvait comprendre ce que voulait dire Pascal quand il affirmait que le divertissement nous détourne d’être vraiment hommes. Un monde où les frontières garantissaient à ceux qui y vivaient une façon d’être et de vivre qui leur appartenait en propre. C’était un monde qui avait aussi ses défauts et qui fut même parfois horrible, mais la vie quotidienne du plus grand nombre y était au moins réglée par des dispositifs de sens aptes à dispenser des repères. Par le truchement des souvenirs, ce monde reste familier à beaucoup. Certains le regrettent. Il ne reviendra plus. Le nouveau monde est liquide. L’espace et le temps y sont abolis. Délivrée de ses médiations traditionnelles, la société est devenue de plus en plus fluide et de plus en plus segmentée, ce qui facilité sa marchandisation. On y vit sur le mode du zapping. Avec la disparition de fait des grands projets collectifs, autrefois porteurs de visions du monde différentes, la religion du moi -un moi fondé sur le désir narcissique de liberté inconditionnée, un moi producteur de lui même à partir de rien- a abouti à une « détraditionnalisation » généralisée, qui va de pair avec la liquidation des repères et des points fixes, rendant l’individu plus malléable et plus conditionnable, plus précaire et plus nomade. Depuis un demi-siècle, l’ « osmose idéologique de la droite financière et de la gauche multiculturelle » (Mathieu Bock-Côté) s’est employée, sous couvert de « modernisation » émancipatrice, à faire confluer libéralisme économique et libéralisme sociétal, système du marché et culture marginale, grâce notamment à la récupération marchande de l’idéologie du désir, capitalisant ainsi sur la décomposition des formes sociales traditionnelles. L’objectif général est d’éliminer les communautés de sens ne fonctionnant pas selon la logique du marché… »
Robert de Herte
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En trainant sur Insta, je regardais le compte d'un de mes neveux, qui a publié une vidéo où il offre un cadeau à sa mère (ma fameuse demi-soeur).
Elle va donc avoir affiché dans un cadre chez elle, devant TOUT le monde, une photo...de moi toute petite et mon père (notre père). Depuis des années elle en parle comme SA photo avec SON papa chéri, ses fils n'ont pas connu mon père donc ils y peuvent rien.
On a 12ans de différence: c'est ELLE qui avait pris la photo, mon frère et moi on s'en souvient très bien puisque c'est l'une des seules fois où elle a bien voulu faire une activité avec notre père, elle voulait pas de lui alors qu'elle adorait ma mère (elle a failli l'adopter...dieu merci ça c'est pas fait).
On me reconnait carrément même à 4ans, l'âge de mon père aussi mais personne n'a jamais rien démenti, ni mes cousines plus agées, ni ma tante (soeur de mon père) ni ma grand-mère paternelle.
Je sais plus quoi dire.
Ça fait 20ans que je l'ai sorti de ma vie pour d'autres délires (entre autre elle voulait que je sois sa mère de substitution, j'avais 15ans elle 27... Je vous laisse vos propres conclusions) je me dis que d'un côté ça confirme juste ma décision, de l'autre je veux cramer sa baraque et ce putain de MENSONGE encadré et la frapper parce qu'elle s'approprie MON souvenir, MA joie, MA vie et que ça dérange personne dans cette famille de dégénérées (oui elles ont toutes un grain, je suis la "moins"pire).
J'en ai des nausées et un gout de merde dans la bouche.
Elle m'en a fait des trucs tordus, celui-là ne passera JAMAIS.
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