#demi-monde
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Along the shore the cloud waves break, The twin suns sink behind the lake, The shadows lengthen In Carcosa. Strange is the night where black stars rise, And strange moons circle through the skies, But stranger still is Lost Carcosa. Songs that the Hyades shall sing, Where flap the tatters of the King, Must die unheard in Dim Carcosa. Song of my soul, my voice is dead, Die thou, unsung, as tears unshed Shall dry and die in Lost Carcosa.
—"Cassilda's Song" in The King in Yellow Act 1, Scene 2
The King in Yellow (1895) by Robert W. Chambers
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I've been thinking about this for a bit now, and... are Beverley and Nightingale in a scene together (disregarding the comics) after the Tech Cave scene in book 1? Because it’s interesting, if you think about it, that we know they have some sort of relationship with each other but it’s never actually shown. I mean Nightingale basically set Peter and Beverley up and it’s never discussed why
#am i just forgetting some scenes#its a great metaphor for the degree of seperation Nightingale has from the demi monde#rivers of london
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Coupe du monde 2022 : la France est en finale !
La deuxième demi-finale de la Coupe du monde 2022 mettait en opposition les Bleus au Maroc. Les hommes de Didier Deschamps n’ont pas failli à la tâche et se sont imposés sur le score de 2-0. La France retrouve la finale d’un Mondial quatre ans après et y affrontera l’Argentine.
Crédit photo : jorono/Pixabay
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Le doute persiste pour Angel Di Maria avant Argentine-Croatie - L'Équipe
Le doute persiste pour Angel Di Maria avant Argentine-Croatie – L'Équipe
Absent en huitièmes de finale (fatigue musculaire) et entré en fin de match en quarts, Angel Di Maria s’est entraîné normalement lundi. L’optimisme est de mise pour l’ex-Parisien, qui a débuté avec les titulaires lors de la mise en place, mais la décision sera prise ce mardi. S’il devait être remplaçant, Lionel Scaloni aurait deux options : reconduire une défense à cinq (avec Lisandro Martinez)…
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#AK PARTİ#Angel Di Maria (ARG)#Argentine#Coupe du monde#Coupe du monde 2022#Demi-finales Demi-finales#Echo (cat)#football#José Barroso
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D is for…
D8, Discordance, Destiny, Docks, Demi-Monde, Darling of the Ambassador’s Ball, Dramatic Tension, Destination, Death by Water, Do You Recall?
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Hi! Hope you had a nice Sunday so far. Fitness Anon here.
Everyone is horrified and disgusted by the latest pap walk and the woman who was chosen for it. Probably the reason for this is that actually it is very clear what kind of profession this woman has. She is an escort girl.
Let's put it this way: the other initial girls (e.g. MM, MC, AM) in the past were also hired, paid and used for a special kind of service. They all had to sign a contract and were obliged to fulfil their contractual obligations. And in return they all were paid or received other benefits.The only difference was that they were labelled as an actress or a model. But in the discussions here they were called beards. And the purpose of their use was exactly the same as this time.
Apart from that, one could also ask how to characterise the type of agreement made with T? He is paid to pretend to provide services for C. Is it not the same as pretending to be S’s girlfriend? And everyone here more or less agrees that T is being a paid help, too.
Are people here so engrossed right now because this time it is quite obvious what was previously carried out in a rather hidden manner?
Dear (returning) Fitness Anon,
There have been others. Some with names, others - without a name or a bio, fleeting specters across a blurry screen. But spare one or two mysteries (Nobu gal, tattoo gal, etc), all of them had at least a honorable pretext on their business cards. Wannabe is not disgust-inducing, but a prostitute, weeeell....
This time, the unfortunate connection with the seedy demi-monde was obvious from the start, then substantiated. Add to this the hand holding - not a pretty picture. At all. Call me an idiot, but I think that gave many people pause, across the dash. Especially when the whole rest of the pic looked so artificially and hastily cobbled up.
By contrast, C is sheltered by her grotesque marriage fic. Irrespective of paperwork.
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je suis à ça d'arrêter le rp, sérieux je pense que c'est plus pour moi il y a 5 jours je poste une recherche de lien, en pré-lien, un truc cute parce que la personne avec qui j'avais prévu un lien love a quitté le monde du rp il y a un mois et demi, oui j'ai mis un mois et demi à me relancer à la recherche d'un lien love je vois déjà pas où est le problème mais visiblement, s'en est un déjà j'ai refusé 3 demande de plans c*ls depuis, deux par mp, ça m'avait saoulé parce que mon perso, quand on va lire sa fiche, c'est pas son genre, mais ok j'ai rien dis nouveau mp ce matin, un membre qui fait beaucoup de smut mais à qui j'ai pas encore beaucoup parlé et le début des échanges est super, ça commence bien super génial je suis content.e comme je l'ai précisé dans mon pré-lien, /et sur ma fiche!!/, mon perso est pas du tout quelqu'un qui va coucher dès le premier soir, non loin de là, il faut qu'il ressente quelque chose pour sa partenaire au début, dans nos échanges, on me dit comprendre, qu'il n'y a pas de souci, mais mp après mp je vois quand même qu'on tente de me convaincre d'un plan c*l qui devient plus que ça, ou qu'il y ait au moins une nuit de partagée entre les deux avant même qu'ils aient échangé leurs numéros je continue de refuser, je commence même à être réticent.e et gentil.le comme tout je dis que c'est peut-être pas idéal un lien entre nos perso comme on est pas d'accord sur les bases, base précisé dans ma fiche, base précisé dans le pré-lien résumé du prochain mp : je suis une personne prude, qui devrait sortir de chez moi pour découvrir le monde parce que l'amour rose bonbon ça n'existe plus, d'abord les plans c*ls pour voir si on est compatible, après les sentiments, mais comme je suis très certainement une -vieille fille-, pour employer le terme poli - je peux pas m'empêcher de jouer un personnage coincé qui sait pas vivre sa life je sais pas, je dois m'inquiéter que cette personne pense que l'amour ça se trouve d'abord en passant à l'acte physique ou seulement être en colère parce que ça se permet de parler comme ça à quelqu'un ? TU viens me trouver avec un lien qui ressemble pas au lien que je cherchais, TU viens m'ennuyer, TU viens me faire perdre mon temps et c'est moi qui la.e méchant.e prude qui veut pas faire vivre son personnage, non mais je crois rêver vraiment j'en peux plus et vu ma dernière expérience avec un staff je sais même pas si j'ai le courage d'aller leur en parler
#forum rp#forum rpg#forum francophone#cdg forums rpg#je pense je vais arrêter le rpg et rester sur le gaming#le monde gaming c'est ultra toxique mais LOL ça l'est devenu moins que le monde du rpg on va où
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L'Art et la mode, no. 33, vol. 15, 18 août 1894, Paris. La journée une élégante. Dessin de F. Fournery. Bibliothèque nationale de France
La matinée est très fraîche et la brise s’est levée; mais une partie de pêche est organisée, et comme elle n’y manquerait pas pour tout au monde, elle s’est équipée en conséquence. Par dessus la jupe courte en tissu des Pyrénées, très poilu, elle a jete une mante en gros molleton, telle qu’on en voit aux femmes du Tréport. Ainsi accoutrée, avec le panier en sautoir, elle ressemble à une vraie femme de pécheur… d’opéra-comique.
The morning is very cool and the breeze has risen; but a fishing party is organized, and as she would not miss it for anything in the world, she has equipped herself accordingly. Over the short skirt of Pyrenean fabric, very hairy, she has thrown a cloak of thick fleece, such as one sees on the women of Tréport. Thus dressed, with the basket in saltire, she looks like a real fisherman's wife… from a comic opera.
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Pour pédaler, après le déjeuner — exercice qui facilite singulièrement la digestion — elle endosse le plus étrange costume qui soit. La veste très courte, à petits revers, à boutons de nacre, s'ouvrant sur une chemisette mauve dont le devant est fixé par des perles. Cravate Charles X. Ceinture Helyett en cuir blanc piqué. Culotte demi-bouffante avec hauts poignets en velours blanc.
To pedal after lunch—an exercise that singularly aids digestion—she puts on the strangest costume imaginable. The very short jacket, with small lapels, mother-of-pearl buttons, opening onto a mauve blouse whose front is fastened with pearls. Charles X tie. Helyett belt in white stitched leather. Half-pouf breeches with high white velvet cuffs.
#L'Art et la mode#19th century#1890s#1894#on this day#August 18#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#gigot#bicycle#cape#Modèles de chez#Fournery
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Il va falloir d'emblée que vous sachiez que ce post est écrit par un homo qui a la trouille et qui a besoin d'extérioriser son angoisse.
Je pense pas mal ces derniers jours à ce qu'a dit Sartre, c'est à dire qu'on a jamais été aussi libre que sous l'Occupation. Au vu des événements de la semaine écoulée, je me dis ce que ce raisonnement s'applique à toutes les situations dont la gravité est telle qu'elle exclut la possibilité des demies-mesures. Faire un choix nuancé est un luxe qu'on ne peut pas s'offrir, Macron s'en est bien assuré.
Les options qui s'offrent à nous sont radicales : soit on choisit le statu quo (Macron) et on continue notre fuite en avant ultra-capitaliste avec les conséquences écologiques qui vont avec, soit on cède à la peur, la haine, la colère, la frustration et tous ce qui motive le votre RN. Ou bien on essaie de rétablir un semblant de justice dans ce monde qui va à vau-l'eau, et on vote pour le Front Populaire.
Ce que je dépeins, c'est un portrait très manichéen de la situation, et on pourra trouver de fait mon argumentaire critiquable, mais je crois néanmoins que rarement le pays a été autant face à un choix qui engage à ce point son destin. Il n'y a plus de possibilité de faire de compromis, de voter pour le parti le moins mauvais en se pinçant le nez, ou en faisant la fine bouche car on aime pas tel ou tel candidat. Et c'est bien ce qui fait que je ne dors pas l'esprit tranquille : je n'ai vraiment pas l'impression que tout le monde réalise la portée de ce qui va se jouer le 30 juin et le 7 juillet.
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est-ce que je suis la seule à son grand âge pour qui ça compte encore qu'on lui souhaite son anniversaire ? je sais pas comment dire mais comme je retiens toutes les dates d'anniversaire de tout le monde (j'ai pas d'effort à faire, genre on me le dit une fois et je le retiens), quand on pense pas au mien ou que je reçois pas beaucoup de messages pour me le souhaiter je peux le prendre vraiment mal ? genre on sait hein c'est qu'une date, show must go on t'es pas le centre de l'univers, mais arf vraiment ça me touche trop et je sais pas pourquoi, quand ça arrive j'ai l'impression de compter pour personne mdr
est-ce que ça arrive à d'autres gens ça ou est-ce que c'est vraiment juste moi qui ait besoin de grandir et me rendre compte que j'ai plus six ans et demi ?
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(Source de la Cozanne, Vauchignon, lieu-dit, cirque du Bout du Monde)
traité provisoire pour une hydrographie poétique, les sources insaisissables des cours d'eau
il existe des rivières aux sources incertaines ; ainsi la Cozanne n’a toujours pas dévoilé son origine ; la grotte où elle pourrait prendre naissance au lieu dit le cirque du Bout du Monde, possède en effet différents points d’eau possible, dont notamment une cascade jaillissant du calcaire Bajocien, en cette petite vallée verdoyante où elle apparaît frêle et limpide, sonore et gracile (dans ses Impressions de voyage, Alexandre Dumas père en parlait en ces termes : « le sol se fend tout à coup sur une longueur d'une lieue et demie et sur une largeur de cinq cents pas, laissant apercevoir à la profondeur de deux cents pieds à peu près, une vallée délicieuse, verte comme l'émeraude et sillonnée par une petite rivière blanche et bruissante… » ) ; mais cela n’empêche pas son écoulement épanouie sur une courte terre de Cote-d’Or et de Saône-et-Loire et même dit-on, en sa vallée inférieure, d’étendre ses enchantements remarquables ; il existe donc des eaux dont la terre garde encore le mystère ; des eaux qui savent, qu'elles viennent d’un monde inconnu à l’homme
© Pierre Cressant
(samedi 6 mai 2023)
#poésie en prose#poésie#poètes sur tumblr#poème en prose#prose poétique#poètes français#french poetry#poètes français#petite hydrographie poétique de la france#petite hydrographie poétique du monde#rivière#source#source des rivières#petite géographie poétique du monde#la cozanne#cozanne#traité provisoire pour une hydrographie poétique
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Ces 10 derniers jours :
- j'ai assisté à la proclamation des résultats de mon fils
- j'ai traversé une partie de Marseille en talons
- j'ai assisté au plus beau mariage du monde (celui de ma meilleure amie)
- j'ai passé deux jours au paradis avec une cinquantaine de personnes que je ne connais pas
- j'ai partagé une chambre avec trois personnes que je ne connaissais pas et ça a vidé ma jauge sociale
- Le lendemain de Marseille, je suis partie en camp de cirque.
- j'ai fait les courses et la cuisine pour 130 ados artistes pendant 7 jours avec une équipe incroyable et contre toute attente, ça a rempli ma jauge sociale !
- j'ai cuisiné dans la boue avec les pieds trempés
- j'ai commencé mes journées à 5h30 pour finir à minuit et demi
- j'ai dormi sous tente
- j'ai sympathisé avec les profs du coup j'ai eu plein d'opportunités pour essayer leurs cours
- j'ai bivouaqué une nuit dans les arbres
- j'ai fait de la danse verticale
- j'ai fait un salto en trapèze volant, c'était hyper impressionnant
- j'ai jonglé avec un jongleur que j'admire
- j'ai fait de l'acro-porter
- j'ai assisté à des spectacles, des répétitions, des entraînements, des réunions
- j'ai reçu des bisous, des câlins, des mercis en veux-tu en voilà
❤️
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saga: Soumission & Domination 327
Sosthène
Le second Escort de diversification est d'origine martiniquaise. Né à Fort de France en 2006, il est arrivé en France tout petit et n'a pas l'accent chantant de là-bas. Il est déjà en 2ème année d'études de lettres (doué le petit) et pratique la course à pied. Famille de fonctionnaire (parents professeurs, lui de français, elle des écoles), il est le second d'une famille de 4 enfants (soeur 20ans, lui 18 ans, frère 17ans, soeur 11 ans). Le rapport me souligne qu'il est homo outé dans sa famille et parmi ses amis. Sans petit copain actuellement, il change souvent de partenaires sans non plus en consommer 20 par mois ! Il utilise plus facilement internet que les lieux de drague, même s'il lui arrive de sortir dans certains bars gays.
Le portrait me va. Je compte y aller direct avec lui. Premièrement je ne cours pas le marathon même si j'ai bien récupéré de mon accident et deuxièmement je me fatigue à chercher des approches discrètes.
Muni de son dossier, je me pointe à la sortie de sa fac un soir de semaine. Je l'aborde et direct je lui montre mon dossier. De voir son nom sur un carton l'intrigue. Je lui dis que j'ai sa vie dedans et que j'aimerai lui proposer un travail en relation avec ses capacités. J'ajoute pour qu'il ne se méprenne pas qu'il ferait un escort superbe. Je n'ai plus qu'à attendre sa réaction.
Elle ne tarde pas. Après m'avoir scruté bien 5 mn, il me dit qu'on peut aller boire un verre et que c'est moi qui paye. Ça me va.
Même s'il y a toujours un café à côté de l'entrée des facs, il me demande d'aller plus loin, il y connaitra moins de monde susceptible de troubler notre conversation. Dixit Sosthène dans le texte !
Quand on arrive devant ma voiture, il me demande si c'est celle de mon père. Je ne réponds pas et lui dis de monter. Il hésite mais accepte quand je dis qu'il y aura plein de monde pour décrire la caisse dans laquelle il est parti au cas où je voudrais le kidnapper. Il rit et monte dedans. On roule pour trouver un bar en centre-ville. Puisqu'il est "out ", je choisi un bar gay.
Il accepte un demi et je prends pareil. Il me demande alors d'éclaircir ma proposition. Je lui explique les prestations de ma société et lui dit clairement que je suis à la recherche de diversifications ethniques. J'ajoute en riant qu'il fait partie d'un programme de discrimination positive. Il me demande son dossier. Je le lui tends. Il le lit consciencieusement, revenant sur certains paragraphes. Il me demande qui a fait ce travail et m'avoue qu'il est très complet. Il trouve les infos sur ses parents et l'analyse de leur situation financière un peu intrusif et limite illégal. Je le rassure et lui dit qu'il sera détruit dès qu'il m'aura donné sa réponse, qu'elle soit positive comme négative. Je lui dis que ce dossier me permettait juste de contacter les personnes les plus susceptibles d'accepter.
On vide un peu nos verres. Je le laisse réfléchir. Il me pose quelques questions concernant le temps que ça risque de lui prendre. Il ne veut pas que ça interfère trop avec ses études. Je l'assure que bien qu'il sera sûrement très demandé, je serais en mesure de limiter ses prestations à 1 par semaine si cela lui convient. Il me demande alors combien il se ferait dans cette configuration de travail. Quand j'annonce le chiffre, il n'en revient pas. Je précise que c'est le tarif en cas de prestations classiques ++. Il me demande si ce que j'entends par ++ serait de type sexuel. J'acquiesce. Avec des mecs ? Re-acquiescement de ma part. Ouf de sa part, il avait craint devoir assurer avec des cougars !
Il accepte et me dit que ça fera du bien qu'il s'assume tout seul vu qu'avec ses 3 frère et soeurs, ses parents comptent leurs dépenses. Je lui donne ma carte et on fixe un rendez-vous. Je le ramène chez lui car il se déplace en Tram. Il me fait le lâcher au coin de sa rue.
Il passe au Blockhaus le jour prévu. Il me téléphone du trottoir, persuadé que je lui ai fait un plan foireux. Je descends le chercher. Quand il entre, il regarde partout. Quand il voit le parc de véhicules, motos comprises, il me demande combien il y a d'appart. Je lui dis qu'il n'y a qu'un seul logement, tout ici est à moi. Il a du mal à le croire. Je le pousse dans le monte-charge et nous allons à mon bureau. Depuis peu, à l'instigation de mes Escorts, j'ai décoré ses murs blancs par une frise de leurs photos, toutes prises dans la même position avec le même maillot Aussiebum. En plan rapproché, ils remplissent bien le format A4 (photo en pied).
Ça accroche le regard de Sosthène qui ne me parle qu'après avoir maté toute la série. Il me dit qu'il comprend. Ça manque un peu de couleur tout ça. Il ajoute qu'il ne devrait pas faire tâche sauf côté couleur bien sûr ! Je remplis le dossier des infos qui me manquent. Notamment la taille exacte de sa queue. Pour cela je lui demande de se mettre nu. Il s'exécute avec assez de grâce. J'en profite aussi pour voir sa pilosité. Il la maitrise déjà beaucoup, son torse et ses membres sont glabres. Ses dessous de bras sont tondus à 2 ou 3 mm tout comme son pubis proprement taillé. Ses couilles sont lisses et aucun poil ne sort de sa raie du cul. Sa queue pend entre ses cuisses. Le gland circoncis dépasse ses couilles de bien 6cm. A la mesure, au repos il fait dans les 14cm. Mais le fait de le prendre ne main change sont état. Il bande vite et se redresse à la verticale et pourtant y'a de quoi faire ! Je garde ma main dessus tant la sensation est agréable. Quand il me dit qu'il ne fera pas mieux, je mesure à nouveau. Le nombril est couvert depuis déjà quelques minutes, j'utilise ma main gauche pour tirer la hampe vers l'horizontale (ce qui n'es pas chose aisée) et pose le mètre ruban. En pleine forme mon nouvel ami développe un engin de 23cm x 5,8 de diamètre après un gland dont la couronne affiche un 6,2cm elle. Couleur de l'ensemble plutôt foncée avec éclaircissement de la circoncision au gland et ce dernier d'un violet tirant vers le rose. Je lui demande de confirmer sa " recto/verso bilité ". Il le fait et je lui demande quel côté il apprécie le plus. Pas de préférence c'est selon. Ça me va.
Je lui demande son statut sérologique, à sa dernière analyse il était séronég. Je lui dis qu'il ne pourra travailler qu'après une nouvelle analyse. J'en profite pour lui donner les principes de l'entreprise : rapports SSR exclusivement. Il prend l'adresse du labo.
Je lui brosse aussi le portrait type de mon client :
Particularité : de nombreux " neveux " !
Il tique sur la taille des bites. Je balaye son appréhension d'un revers de main et lui dis qu'avec un peu d'entrainement c'est faisable, qu'il regarde bien tous les mecs qui nous entourent. A part les quelques qui sont sur le marché féminin, tous les autres ne s'en portent pas plus mal. D'autant qu'à un rythme moyen d'une fois par semaine, il n'y a pas surutilisation.
A poil devant moi, son excitation commence seulement à retomber bien que cela fasse presque 5mn que nous discutons. Je lui demande comment il se trouve question " self défense ". Sa réponse est rapide, " nothing " ! Je lui dis qu'il y a une habitude dans ma société c'est d'être en capacité de se défendre de tout un chacun, du client qui outrepasse son contrat à la petite frappe qui croit que taper du PD c'est valorisant en passant par l'homophobe convaincu pour qui c'est un devoir que de nous casser la gueule. Il me dit n'avoir jamais été concerné jusqu'à présent. Je lui indique que je mets à disposition mes installations sportive (plateau muscu et combat + piscines) deux soir par semaine pour l'entretien du physique. L'encadrement est réalisé en interne. En natation par un vrai maitre-nageur et en sports de combat par des pratiquants de haut niveau en Karaté, Krav Maga, Capoeira et même par deux Commandos.
Il me demande où j'ai trouvé tous ces mecs. J'élude et lui propose de visiter les installations. On se lève et comme je m'approche du monte-charge, il me dit qu'il ne va peut-être pas y aller à poil. Je lui lance son slip et il l'enfile comme la porte s'ouvre. Au second je lui fais visiter la partie muscu et son tatami central dédié au combat, les sanitaires et la piscine/jacuzzi. Puis nous descendons dans la serre.
Quand on arrive au rez-de-chaussée, PH entre en moto. J'attends qu'il la mette sur sa béquille pour approcher et présenter Sosthène. Il lui serre la main comme si ce dernier était tout habillé. J'ai l'impression que cela le trouble le nouveau ! PH me roule une pelle dès qu'il a retiré son casque, puis nous accompagne dans la serre/jardin. Le bassin surprend Sosthène surtout quand je lui dis qu'elle fait 25m.
Nous remontons ensemble au premier. PH nous laisse et continue vers les hauteurs.
Il est convaincu et signe le contrat que je lui mets sous le nez (il y a un codicille annulatif en cas d'analyse non conforme) . J'ajoute que j'ai oublié que le contrat comprenait aussi un véhicule de fonction. Il rit et me dit d'arrêter de plaisanter. J'ouvre le contrat au paragraphe et il lit que le véhicule est mis à disposition permanente avec sa carte de carburant pour l'équivalent de 300 € / mois. La marque et le modèles est à la discrétion de l'employeur. Il me demande si c'est pareil pour tous les contrats. Je lui explique qu'il n'est pas question que mes escorts se trimballent dans de vielles caisses pourries, il en va du standing de ma société. De même les transports en commun sont prohibés pour des raisons de pratiques, horaires, ligne... Donc il devra passer à ce garage (dont je lui fournis l'adresse) pour prendre sa voiture. Comme pour les autres, il a droit à une RCZ. Il hallucine quand je lui dis le modèle.
Quand il me demande quand il commence et que je lui dis mardi prochain. Réaction " déjà ? " Je complète par " entrainement physique ".
Avant qu'il ne parte, je lui demande pourquoi il a accepté de discuter avec moi. Après tout mon entrée en matière était un peu brusque. Il me dit que si j'avais été moche il aurait coupé court. Mais là, je l'ai intrigué et il s'était dit que si ça finissait par un " coup " il aurait pas tout perdu. Je m'approche alors et je lui roule une pelle pour le remercier d'avoir pensé cela. Je lui dis que la dernière étape, le test physique rapproché, aura lieu dès l'obtention de ses résultats même si on baise sous kpote.
72h plus tard, il me téléphonait pour me demander un rendez-vous pour " étudier " ses résultats d'analyse.
Quand il entre dans mon bureau, je remarque qu'il s'est vêtu avec un peu plus de recherche. Plutôt il a laissé ses vêtements de tous les jours à la fac pour des un peu plus branchés et de marque. Il me tend la feuille. Comme prévu tous les résultats sont négatifs, ce qui est positif pour son admission dans ma troupe. Alors que je lis il est déjà en train de se déshabiller. Quand je relève les yeux de mon papier, il est en boxer blanc ES. Et son début d'excitation le rempli bien !
C'est lui qui fait le premier pas. Il s'approche de moi, se colle contre moi et me roule une pelle des plus agréable. Ses lèvres pulpeuse mais pas trop grosses sont douces et contrastent avec sa langue râpeuse et exigeante. Il cherche le mienne et se bat avec elle dès qu'il la trouve. Cet échange me fait bander et je sens sa bite se développer entre nos deux corps. Elle court vers la droite, empêchée de se redresser à la verticale par l'élastique du boxer. Je glisse une main entre nos deux corps et décolle la ceinture du boxer de ses abdos. Sa bite des redresse immédiatement et je relâche. Il entreprend de me mettre nu. Le retrait de mon t-shirt lui permet d'attaquer mes tétons et sa bouche délaisse la mienne pour venir les lécher, sucer, aspirer et pour finir les mordiller. Je suis sensible et ma queue bande encore plus, comprimée par mes jeans. Il le sent bien mais me laisse dans cet état le temps de bien dresser et faire gonfler mes deux tétons. Seulement alors, il glisse contre moi pour se retrouver à genoux et les yeux en face de mon bassin, il s'attaque enfin à mon pantalon. Il prend son temps pour l'ouvrir, bouton par bouton. La surprise, c'est lui qu'il l'a quand ma bite sort comme un diable de sa boite. Oups ! J'avais oublié de mettre un slip !!
Elle passe rapidement d'un emballage de toile par un en muqueuse naturelle et vivante. Très vivante même ! Il fait en sorte que ses joues collent ma hampe alors qu'il m'aspire vers sa gorge. Sa langue au passage tourne autour de mon gland, repousse encore plus mon prépuce alors qu'elle parcourt le dessous de sa corole. Ses mains posées sur mes fesses, il me pousse vers lui et je vois ma bite disparaitre en totalité. Bien callé entre ses amygdales, mon gland se fait masser par des déglutitions rapides qui l'attirent vers son estomac. Putain que c'est bon ! A part la question des dimensions, il maîtrise bien la pratique. Je pose enfin mes mains sur sa tête. Ses cheveux courts glissent entre mes doigts. J'affermis ma prise pour le diriger un peu. Mais ce n'est pas nécessaire vu comme il se donne.
Je dois même le calmer pour ne pas me mettre à jouir aussitôt.je le prends par les épaules et le relève. Il colle sa langue sur ma peau de mon gland jusqu'à ma bouche. L'effet est agréable. Quand il me donne sa langue, j'y retrouve un très léger goût de ma bite. Alors qu'on s'embrasse encore, il enjambe ma bite et la coince sous ses couilles. Ses balancements de bassin font frotter mon gland contre sa rondelle. Je mouille et ça lubrifie les glissements. Il se tourne brusquement prend appuis de ses avants bras sur mon bureau, cambre les reins et balance du cul pour m'appeler. Je n'y résiste pas et m'accroupis pour lui bouffer la rondelle. J'aime les gémissements de plaisir que ça lui fait sortir. Sa rondelle s'assouplie vite et je me redresse prêt à le planter. Vite une kpote et je m'enfonce d'un seul et long mouvement. Le temps de me pencher sur lui, d'attraper ses épaules et je donne le coup de rein final qui enfonce mon dernier cm. Bien qu'il se soit préparé, je le sens, il serre bien ma queue et de son côté semble apprécier la prise. Ses halètements me le prouvent. Alors que je me retire pour encore mieux y retourner, il me prend de vitesse et recule pour se planter lui-même.
On se fait du bien mutuellement un bon moment dans cette position avant que je le tourne et ses chevilles sur mes épaules, son dos sur mon bureau, je mène à mon tour la danse. Il s'accroche au plateau alors que je l'encule virilement. Les coups de bassins secs et profonds alternent avec de lents mouvements qui me font sortir le gland de son cul. J'aime ses gémissements qui me signalent qu'il prend du plaisir. Comme leur fréquence est en train de raccourcir, je lui dis de se retenir je voulais qu'il m'encule à son tour. Je veux voir son côté actif. De mon côté je ralentis aussi mes va et vient avant de sortir complètement. Je lui tends une kpote et alors qu'il l'enfile, à mon tour je prends la position. En levrette, j'attends son assaut. Je suis grave excité mais il prend quand même le temps de me lécher l'anneau. Il fait même plus puisqu'il fait pénétrer sa langue d'au moins un cm dedans. Rapidement je me sens prêt et lui dis d'y aller. Ses mains se posent sur mes hanches (comme si j'avais envie de lui échapper !) et son gland se présente à ma porte arrière. Je pousse un peu et il me met ses 23cm entiers. J'ai bien senti le passage du léger bourrelet de son gland et chaque cm qui a suivi.
23cm c'est long mais c'est bon ! En même temps qu'il s'enfonce, je le sens basculer le bassin en de lentes rotations qui aident son avancée. Quand il est bien au fond, je passe mes mains en arrière agrippe ses fesses et recule brusquement pour m'assurer que j'ai bien tout en moi. C'est le cas et je relâche ma pression pour le laisser gérer. Il n'a que 18ans mais il me baise avec une science consommée du plaisir. Nous sommes de même taille et alors qu'il me laboure le cul, il se penche sur moi et ses lèvres posées sur mon cou me donnent des frissons supplémentaires. Il joue de sa langue avec mes oreilles. Quand je tourne la tête nos lèvres se collent et bien que nous nous roulions une pelle profonde, il ne cesse de me limer la rondelle. J'aime ça aussi. Je me décolle et lui demande depuis combien de temps il baise et qui l'a initié pour qu'il soit aussi bon. Je me tourne sur le dos et on se retrouve face à face. Il me fait un clin d'oeil et me dit que non ce n'est pas un pro plus âgé qui l'a initié mais qu'il a bien étudié sur internet et qu'il a adapté lors de ses mises en pratique avec des mecs de son âge.
Nous continuons à baiser et il me fait jouir. Le frottement à chacun de ses passages du renflement de son gland sur ma prostate a vite fait eu raison de ma résistance. Je me couvre de mon sperme et mes contractions anales qui bloquent ses va et vient de façon discontinue le font exploser dans sa kpote. Quand il se retire, je note une dose plus importante que la moyenne. Il n'y a pas que son sexe qui soit plus que la norme !
Sous la douche, je lui parle du fait qu'il n'a jamais baiser avec un " vieux " et lui demande s'il ne craint pas de blocage. Il me dit que non mais par précaution je vais le faire tester par Marc puisqu'il rentre le WE prochain. Avec ses 47 ans, et ses 22cm qui adorent les jeunes mecs, j'aurai une certitude sur ma nouvelle acquisition.
Je lui en fais part. Il est d'accord bien sûr. Comme je lui dis qu'il sera rémunéré comme une prestation normale, il se récrie que c'est encore une phase de test, qu'il n'a pas à être déjà payé. Je lui dis juste qu'avec Marc, il m'aura aussi ainsi que deux autres de mes hommes. Donc ce sera aussi une petite touze à 5. Il rit et me demande combien j'ai d'amant. Je compte sur mes doigts et par ordre d'apparition dans ma vie je liste : Marc 47ans, PH 21ans, Ernesto 21ans aussi et Ludovic 18ans. J'ajoute que ce sont tous mes maris aussi. Dans le sens où l'on s'aime tous. Il trouve ça spécial et me dit que lui n'a encore pas trouvé le grand amour, ni même l'amour tout court.
Une fois secs, je le félicite sur son boxer, il me dit que c'est celui qu'il porte quand il part en " sexe ". Il n'en a qu'un parce qu'ils ne sont pas donnés. Ça me donne l'occasion de parler de ses vêtements. Il n'a pas de costume et encore moins de smoking. Comme aux autres je lui donne l'adresse de mon fournisseur officiel. Pour les sous-vêtements, je l'emmène piocher dans le stock. Il hallucine de voir toutes les marques sur lesquelles il a bavé sur internet. Alors qu'il hésite entre deux boxers (ES et Addicted), je lui mets les deux entre les mains et l'oblige à en choisir d'autres. Il est comme un gamin devant ses cadeaux de Noël !
Il me dit qu'il n'a pas encore été chercher la voiture, il voulait que je sois sûr de l'embaucher. Du coup je téléphone au garage et leur dis de préparer une RCZ, qu'on venait la chercher. Quand on arrive, le concessionnaire est là. C'est vrai que cela fait un moment que je ne l'ai vu, on s'arrange au téléphone. Son fils est avec lui et c'est lui qui a préparé la voiture. Beau jeune homme d'une vingtaine d'année, il me dit que c'est lui qui est maintenant en charge de ma flotte de voiture. Je ne perds pas au change. Son bleu de mécanicien, propre, ouvert sur son torse glabre et très musclé, le rend très désirable. Désolé, c'est plus fort que moi, je dois être un peu obsédé ! Il nous conduit jusqu'à la voiture. Elle est noire et son polit la rend plus brillante qu'un diamant. On fait le tour et je ne peux m'empêcher de chercher son reflet sur la tôle. Je remarque quand même que je ne suis pas le seul intéressé par le mécano. Je vois mon Sosthène boire littéralement les paroles du beau mec. C'est sûr que ça le change des minets de sa Fac. Je me dis qu'il est temps de les laisser entre-eux. Justin me raccompagne à ma voiture. Alors qu'il ferme ma porte, il me demande si c'est aussi un employé de ma société. Je confirme son intuition et j'ai droit à un dommage qui sort du fond de son coeur. Je repousse la portière et le rappelle. Il se rapproche et je lui glisse que je ne gère pas leurs vies personnelles, s'il tenait à le savoir. Il me quitte avec un grand sourire. Serait-il des " nôtres " ce joli jeune homme ?
Curieux comme une vieille chatte, je ne peux m'empêcher d'appeler Sosthène une bonne heure après. Sous prétexte de savoir si tout va bien avec sa nouvelle voiture, je lui demande incidemment s'il avait réussi à avoir le n° perso de mon mécano. Je l'entends s'étouffer à l'autre bout ! Je lui rappelle qu'il fait ce qu'il veut de son cul entre les prestations mais avec toujours en tête le SSR. J'ajoute que s'il n'avait pas été avec moi, c'est moi qui me le serais fait avant de rentrer. Il se choque. Je lui demande alors s'il était rentré tout bandant ? S'il n'avait pas profité de mon départ pour visiter les toilettes du garage ? Il me dit qu'il n'est pas comme ça. Je me moque un peu et lui dit qu'il a peut-être loupé le coup du siècle. Le mec m'avait l'air très intéressé par lui et je lui avais quasiment donné ma bénédiction quand il m'avait raccompagné.
Sosthène me rappelle le lendemain midi pour me remercier. Quand je lui demande de quoi, il me dit qu'il avait osé rappeler Justin et qu'il avait fini la nuit chez lui. Que c'était trop bon et qu'il croyait être tombé amoureux. Je lui dis de ne pas s'emballer. Ce doit être l'effet " encanaillage ", opposition de milieu et de type de vie. L'un travail avec un boulot manuel, l'autre est en fac et de lettre en plus ! Difficile de faire plus éloigné. Il me dit que non, avec moi c'était très bon mais avec lui c'était comme ça n'avait jamais été avant.
Soudain, je pense qu'il a peur que je crois qu'il va me quitter parce qu'il m'assure que cela ne change pas notre contrat. Ils en ont parlé Justin et lui. Je le remercie pour la discrétion. Il rigole et me lance qu'avec tous les mecs que j'ai envoyé chercher une caisse dans ce garage, je n'avais pas fait non plus preuve de cette même discrétion que je lui reprochais d'avoir oubliée. Justin savait pertinemment ce que faisaient mes employés.
En attendant il me dit qu'ils sont d'accord pour qu'il honore son contrat de travail. Ouf ça l'aurait embêté de perdre un escort prometteur avant même qu'il n'ait commencé.
Jardinier
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Bruno Petkovic (Croatie) : « L'Argentine ne se résume pas à Messi » - L'Équipe
Bruno Petkovic (Croatie) : « L'Argentine ne se résume pas à Messi » – L'Équipe
Bruno Petkovic (attaquant de la Croatie, avant la demi-finale de la Coupe du monde face à l’Argentine) : « En ce qui concerne votre première question, nous n’avons pas de plan spécifique, du moins pas encore, pour arrêter Lionel Messi. En général, nous ne nous concentrons pas sur le fait d’arrêter un seul joueur, mais sur toute l’équipe. L’Argentine ne se résume pas à Messi, elle a un certain…
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#AK PARTİ#Argentine#Bruno Petkovic (CRO)#Coupe du monde#Coupe du monde 2022#Croatie#Demi-finales Demi-finales#football#Sujets vidéo et podcasts (cat)#Thierry Dengerma#video#Video source externe
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« La fin du monde a bien eu lieu. Elle n’a pas eu lieu un jour précis, mais s’est étalée sur plusieurs décennies. Le monde qui a disparu était un monde où la plupart des enfants savaient lire et écrire. Où l’on admirait les héros plutôt que les victimes. Où les appareils politiques n’étaient pas encore devenus des machines à broyer les âmes. Où l’on avait plus de modèles que de droits. Un monde où l’on pouvait comprendre ce que voulait dire Pascal quand il affirmait que le divertissement nous détourne d’être vraiment hommes. Un monde où les frontières garantissaient à ceux qui y vivaient une façon d’être et de vivre qui leur appartenait en propre. C’était un monde qui avait aussi ses défauts et qui fut même parfois horrible, mais la vie quotidienne du plus grand nombre y était au moins réglée par des dispositifs de sens aptes à dispenser des repères. Par le truchement des souvenirs, ce monde reste familier à beaucoup. Certains le regrettent. Il ne reviendra plus. Le nouveau monde est liquide. L’espace et le temps y sont abolis. Délivrée de ses médiations traditionnelles, la société est devenue de plus en plus fluide et de plus en plus segmentée, ce qui facilité sa marchandisation. On y vit sur le mode du zapping. Avec la disparition de fait des grands projets collectifs, autrefois porteurs de visions du monde différentes, la religion du moi -un moi fondé sur le désir narcissique de liberté inconditionnée, un moi producteur de lui même à partir de rien- a abouti à une « détraditionnalisation » généralisée, qui va de pair avec la liquidation des repères et des points fixes, rendant l’individu plus malléable et plus conditionnable, plus précaire et plus nomade. Depuis un demi-siècle, l’ « osmose idéologique de la droite financière et de la gauche multiculturelle » (Mathieu Bock-Côté) s’est employée, sous couvert de « modernisation » émancipatrice, à faire confluer libéralisme économique et libéralisme sociétal, système du marché et culture marginale, grâce notamment à la récupération marchande de l’idéologie du désir, capitalisant ainsi sur la décomposition des formes sociales traditionnelles. L’objectif général est d’éliminer les communautés de sens ne fonctionnant pas selon la logique du marché… »
Robert de Herte
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Cincinnati’s Absinthe Lovers Chased The ‘Green Fairy’ In Their Own Midwestern Way
If you were to wander into one of Cincinnati’s tonier watering holes some evening in the 1890s, you would surely not be surprised to find beer on tap and a few bottles of rectified whiskey gracing the backbar shelves. A selection of fruit cordials and liqueurs might not raise an eyebrow. But absinthe?
It’s true. Cincinnati had its devotees of “La Fee Verte,” the “Green Fairy” so beloved of habitués of the Parisian demi-monde. According to the Cincinnati Commercial Gazette [4 February 1894]:
“Absinthe is a fascinating tipple. It is drunk in various forms in all the high class saloons and cafés in Cincinnati.”
In this particular review, the Commercial Gazette suggested that this infatuation was a relatively recent phenomenon:
“Absinthe has not been observed in the Cincinnati bars for a very long time. Within the past five years, however, it has gradually but surely made its way into the favor of the man who is fastidious in his habit of ingurgitation. At first, absinthe was used by the barkeepers to give an added flavor to a whisky cocktail. ‘A little whisky with a dash of absinthe’ is now an order that a barkeeper hears frequently.”
Finding absinthe in Cincinnati may have been a novelty for the reporter, but absinthe drinkers had been imbibing this ‘fascinating tipple’ for decades by then. An 1871 advertisement for Joseph R. Peebles’ Sons grocery – then still located at Fifth and Race Streets and not yet relocated to Peebles’ Corner – offered absinthe along with anisette and chartreuse. A steamboat manifest from that same year revealed that the J.H. Groesbeck was carrying two boxes of absinthe, shipped from New Orleans to August Fix, who ran a liquor store on Walnut Street. Typically, Cincinnati got its French culture filtered through New Orleans rather than direct from Paris.
While exotic French liqueurs were easily imported to Cincinnati, it appears that the hallowed ritual of absinthe preparation was less transportable. Per the Commercial Gazette:
“The American barkeeper has never mastered the art of dripping the water into the absinthe so patiently and thoroughly that the bitter oil of the liquor is slowly brought to the surface of the tiny liquor glass, from which it is carefully gathered with a spoon.”
Cincinnati’s bonifaces preferred a simple concoction of water, absinthe and a dissolved sugar cube. The locals didn’t seem to mind, and the Commercial Gazette approved:
“In this form absinthe is extremely attractive to the palate of the experienced tippler. As a ‘pick-me-up’ after a rather industrious night of drinking, it is unsurpassed. It soothes the discordant nerves, effectually removes the ‘deep seal brown taste’ that tipplers find in their mouths in the morning, and gives a ‘tone’ to the disordered stomach that is as insidiously soothing as the soft touch of a pellet of morphia.”
Diluted with water, sweetened with sugar, absinthe may have been “soothing,” but those who drank it straight were reputed to have cast-iron throats. Al Thayer’s 1894 book, “Pickings From Lobby Chatter” describes one such human:
“I saw an actor in one of our saloons, last week, take a tumbler, fill it to the brim with absinthe, and drink it down with a relish. Eugene Brown, who was in charge of the bar, offered him a paper of tacks to wash it down with.”
Because of that formidable scratch, absinthe most often appeared in Cincinnati libations mingled with a veritable pharmacopeia of liqueurs and bitters. The Cincinnati Post [20 October 1897] described one such concoction:
“The ‘brain duster’ is a local invention, and as you would judge from its name, is the right thing to get rid of the early morning cobwebs. It is made of absinthe, sugar, lemon juice, ice and whisky.”
Another Post reporter, interviewing a local barkeeper [21 July 1883], inquired why so many of his cocktail recipes called for a dash, or more, of absinthe.
“It is a wonderful stimulant for the brain, and is valuable to counteract nervous spells after long drunks. The absinthe used in the cocktail above mentioned is a powerful stimulant imported from France. Its main ingredient is oil of wormwood. It acts directly and powerfully on the brain, and is sometimes used to overcome sleepiness. Used to excess, it produces a peculiar and incurable brain disease resembling epilepsy, and soon puts a man in the deep box.”
Although failing to import the protracted ritual of absinthe presentation, America absolutely imported absinthe’s dangerous reputation. All the while Cincinnati drinkers were chasing the Green Fairy, legislators in France and the United States were conspiring to ban the liqueur altogether and succeeded in 1914. Cincinnati newspapers blamed absinthe for any crime committed by anyone who ever drank the stuff.
While the coroner concluded that Albert Strong, a Mount Auburn salesman, died from a morphine overdose, the local newspapers implied that a nearly empty bottle of absinthe in his room revealed the source of his suicidal outlook. Similarly, Guy Means, a medical student rooming on Ninth Street must have been “frenzied by the effects of absinthe” when he rushed into a neighboring doctor’s apartment and swallowed a bottle of morphine and a bottle of potassium bromide.
John Monpetit, a French Canadian living in the West End, allegedly gave up an absinthe addiction to join the Salvation Army, but relapsed and was thrown into the insane asylum when he attempted to paint his wife red. The courts awarded Margaret Bain a divorce from Ambrose Shaw, who had lost his position with the Emery real-estate development company because of his drunkenness. According to the Enquirer [12 February 1910]:
“Absinthe was his favorite drink, she said, and he became a slave to it.”
It wasn’t only the lowlifes and the bohemians who liked their absinthe. The Enquirer [5 March 1895] reported on a very formal dinner at the St. Nicholas Hotel for ex-Congressman Bellamy Storer. As the after-dinner speechifying began, cigars were lit and absinthe passed around in “frosted glass.”
Still, most local barkeeps followed the lead of Cincinnati Reds pitcher Jack Sutthoff who tended bar at a West End establishment during the off-season. A gang of Sutthoff’s pals showed up one evening, having conspired to order the most outrageously complicated beverages they could imagine, several involving absinthe. Sutthoff stared them down and issued an ultimatum:
“You guys’ll drink beer or whisky straight or you don’t drink.”
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