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God lives in Brussels. On Earth though, God is a coward, morally pathetic and odious to his family. His daughter, Ea, is bored at home and can’t stand being locked up in a small apartment in ordinary Brussels, until the day she decides to revolt against her dad… Credits: TheMovieDb. Film Cast: Ea: Pili Groyne God: Benoît Poelvoorde God’s Wife: Yolande Moreau Martine: Catherine Deneuve François: François Damiens Marc: Serge Larivière Jean-Claude: Didier De Neck Aurélie: Laura Verlinden Willy: Romain Gelin Victor: Marco Lorenzini The Priest: Johan Heldenbergh Xenia, l’Allemande: Anna Tenta Jésus Christ: David Murgia Kevin: Gaspard Pauwels Philippe: Bilal Aya Martine’s Husband: Johan Leysen Adam: Dominique Abel Eve: Lola Pauwels Catherine: Sandrine Laroche Marc (9 years old): Louis Durant Willy’s Father: Jean Luc Piraux Willy’s Mother: Anne-Pascale Clairembourg Journalist: Alice van Dormael Journalist: Caroline Lambert Journalist: Jérôme Varanfrain The Nurse: Aïssatou Diop Le nongénaire: Armand Van Dormael La mère de Georges: Viviane de Muynck Georges: Pascal Duquenne Le chef des loubards: Hervé Sogne L’homme qui vivra le plus longtemps: Kody Kim Le sans-papiers: Besnik Limani Andrée: Michèle-Anne De Mey Médecin Willy: Jean-François Wolff Le généticien: Norbert Rutili Médecin hôpital: Luc Schiltz Passant micro-trottoir: Harry Cleven Musicien hélicon: Jean-Henri Compère Maquettiste: Tom Audenaert Clochard métro: George Nixon Maman hôpital: Ivone Semedo Publicité pompes funèbres: Christian Magnani François (8 ans): Tom Canivet La cousine de François: Clara Gunzig La fille des Allemands: Agatha Eleanor Masson Aurélie enfant: Nora Young Femme wasserette: Anne-Marie Loop Jean-Claude enfant: Fabien Zeimes Ambulancier: Gabriel Boisante Professeur de hockey: Charlie Degotte Prostituée: Thérèse Kobankaya Le fils de François: Diego Dalmans Petite fille boulangerie: Hannah Gunzig Willy (6 ans): Eiaël Lefranq Binon Danseuse main: Nora Alberdi Perez Le gorille: Kiko Mirales Sans abri devant l’église: Tanguy De Backer La fille du coiffeur: Elsa Houben Pianiste sur la plage: Julien Jakout Doublure lumière Benoît Poelvoorde: Cyril Perrin L’automobiliste qui n’a plus que 0 seconde à vivre: Jaco Van Dormael Kathy: Elisa Echevarria Menendez Film Crew: Producer: Jaco Van Dormael Editor: Hervé de Luze Screenplay: Thomas Gunzig Director of Photography: Christophe Beaucarne Original Music Composer: An Pierlé Script Supervisor: Elly Verduyckt Set Decoration: Pascalle Willame Production Design: Sylvie Olivé Producer: Olivier Rausin Casting: Michaël Bier Casting: Patrick Hella Costume Design: Caroline Koener Makeup Artist: Kaatje Van Damme Special Effects Supervisor: Emilien Lazaron Assistant Director: Renaud Alcalde Sound: Michel Schillings Sound: François Dumont Producer: Daniel Marquet Sound: Dominique Warnier Choreographer: Michèle-Anne De Mey Movie Reviews: Reno: > Re-editing the god’s creation. I was looking forward for this since it was from one of my favourite directors who is a very unique storyteller. This is a fantasy and a black comedy from Belgium that was chosen to represent the country in the last Oscars. This is where the critics overtake the film fanatic to like it more. It is a theme that revolves on what would you do if you get a power to write the laws of the nature. A complicated topic, because loopholes are inevitable, but the writer and director did not care much about that and narrated the tale what they just wanted to tell. The story centres on an arrogant and abusive father who is also the creator the universe, especially the designer of the lives on the earth and this tale takes place in the Belgian capital, Brussels. When his bored and concerned daughter Ea, runs away from home to re-edit his creation as advised by her brother JC, he goes after her to ensure everything stay as he had planned. In an unexpected confrontation between father and daughter, in the end who is going to be victorious is the rest of the narration. Remember, there is a po...
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Das war #gediegen auf dem #Flowmarket in der #Weststadt Schön, dass ihr alle am meinem kleinen aber feinen #Stand wart und großes #Dankeschön an die #Veranstalter. Ich komme wieder, #wennichdarf #degott #illustration #schwarzweiss #fineart #inkspiration #weltraum #luftballonsundufos (hier: Weststadtcafé)
#gediegen#flowmarket#weststadt#stand#dankeschön#veranstalter#wennichdarf#degott#illustration#schwarzweiss#fineart#inkspiration#weltraum#luftballonsundufos
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Quel mot trouver pour ce qui tout d’un coup anime les arbres des jardins pour le bouillonnement affriolant des prunus en dentelles fines pour tant de chair qui s’offre aux magnolias – comment saisir ce qu’attend de nous ce rose unanime ? comment saisir ces fleurs qui n’attendent sans doute rien de moi vieille branche au moignon dénudé arbre mourant ? quelle rose extraire de mes doutes ? j’aimerais le vieux rose humble et voisin du pourpre qui bientôt recouvrira l’arbre de Judée.
Bertrand Degott
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Une chronique de Lieven Callant
Frédéric Chef, Poèmeries, préface de Bertrand Degott, Éditions Traversées-Poésie, 83 pages, Juin 2018, 15€
Le titre donne le ton à ce nouveau recueil des éditions Traversées: on joue et on se joue des codes traditionnels de la poésie avec une certaine science légère et amusée qui permet malgré tout à son auteur et aux lecteurs d’apprécier avec lucidité des messages complexes et vrais, critiques surtout vis-à-vis d’eux-mêmes. Ces jeux réintroduisent ce qui manque parfois ailleurs, la fantaisie, l’audace, l’humour.
En se ré-appropriant d’une des formes clés de la poésie: le sonnet, Frédéric Chef me rappelle qu’on peut innover sans céder à la facilité voire à la grossièreté, sans rester prisonnier des codes multiples qui portent la poésie ou la sculpte parfois avec trop de rigueur. Les règles, les formes ne se figent pas mais servent de tremplin à l’écriture.
Vanités, hommageries et voyageries partagent les sonnets selon leurs caractéristiques comme on partagerait des pâtisseries selon leurs goûts et leurs textures mais aussi leurs valeurs nutritives et l’effet que ces délices procurent à ceux et celles qui les goûtent. Les « Poèmeries » seraient donc des friandises, des mets de choix.
Les poèmeries peuvent tout aussi bien être des gamineries autrement dit des enfantillages ou des espiègleries. Le poète reste un enfant après tout, en garde la spontanéité et une certaine joie de vivre, de goûter l’instant présent et de faire de la vie un jeu. De s’habituer à la vie par le jeu. Le poème nous aide donc à nous habituer à la vie.
Le suffixe –emerie fait aussi référence à un lieu de fabrication. Dans les poèmeries, on fabrique des poèmes, dans les hommageries des hommages, dans les voyageries, des voyages.
Le poème comme une notion à la fois et vague et précise devient aussi le lieu de rencontre de tous les poèmes et de tous les poètes. Lire-écrire, comme le fait Frédéric Chef et comme il nous invite à le faire par ce recueil est sans doute la meilleure façon de saluer le poète, les poètes et les poèmes.
Le poème est le lieu où l’on aspire à être soi, se retrouver dans les mots de l’autre. Il est l’endroit où tout au contraire on aspire à ne rien retrouver d’ancien, de connu et où l’on peut aisément disparaitre entre les mots et leurs saveurs, entre les images et les tableaux.
Le poème est un voyage d’exploration de lieux qui n’existent qu’en lui, ces lieux que l’esprit invente, répertorie ou cache. Pour ce voyage, il n’est pas forcément nécessaire de se déplacer matériellement d’une ville à une autre, d’un pays à un autre. Le poème est un univers en lui-même. Si de nombreux poètes sont de grands voyageurs, des aventuriers, d’autres explorent en restant cloués à un lit par la maladie, l’infirmité, l’angoisse, l’emprisonnement, la mort. Ils s’aventurent en des régions qu’ils sont les seuls à explorer pour l’instant. Pour l’instant seulement, car nous sommes tous condamnés.
François Villon, Georges Perros, Armand Robin, Amen Lubin, Ted Hughes, Roger Bodart, Jacques Borel, Pierre Morhange, Francis James, Ivan Bounine, Charles Baudelaire, Harry Martinson, Théophile Gautier, Pierre Loti, Alain Bertrand, et d’autres sont évoqués au fil des mots. Quelque chose venant d’eux rythme notre lecture, impose un souffle nouveau à l’écriture dans les trois parties que comporte ce très beau livre.
« je lis les poètes un peu comme on se lit
soi-même dans le miroir déformant des mots
essorant les poèmes les buvant jusqu’à la lie
trouveront-ils un soir pour apaiser mes maux » P40
« mais aucun poème ne ressuscite un mort
tu t’accables de vivre sans elle qui fut
ta joie ton feu autant le poids du remords » p44
« sorti du vide ce poème ou de la main
qui trace un chemin dans la poussière du temps
l’esprit se perd et se trouve un refrain
de l’espoir et l’abondance à contretemps
le cerveau est une chambre sans meubles
et sans tapis qui résonne et sonne le creux
et les mots mensongers ce décor meublent
nos regrets et cet appartement spacieux
pourquoi ce coeur bat-il encore? envahi
de doute et tremblements comme par la nuit
en nous les cris et le chant des fantômes
toi seul poète chasse de nous les araignées
clameur de trompe tous ses vers non alignés
peuplent cet univers vide que nous sommes p47
Les éditions Traversées nous offrent comme à leur habitude, un livre de qualité tant par son contenu que par par sa présentation graphique soignée. L’illustration de la couverture est une aquarelle de Jean-Claude Pirotte. Bertrand Degott a assumé la « préfacerie »
©Lieven Callant
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Frédéric Chef, Poèmeries, préface de Bertrand Degott, Éditions Traversées-Poésie, 83 pages, Juin 2018, 15€ Une chronique de Lieven Callant Frédéric Chef, Poèmeries, préface de Bertrand Degott, Éditions Traversées-Poésie, 83 pages, Juin 2018, 15€
#15€#83 pages#Éditions Traversées-Poésie#Bertrand Degott#Frédéric Chef#Jean-Claude Pirotte#juin 2018#le sonnet#Lieven Callant#Poèmeries#préface de Bertrand Degott
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Dans les mots malgré nous c’est au vertige qu’on s’abandonne. On dit plus qu’on ne voit plus qu’on ne sent. L'ancolie sur sa tige rejoint la mélancolie dans ta voix. Et nos tourments, nos appels sans réponse, par l’effet d’attirance entre les mots, se voient soudain reliés à la raiponce. L’arbre et l’amour ont les mêmes rameaux. La solitude ou la mélancolie monte en fleur à proximité des forts en ruine. Au bord des chemins l’ancolie réjouit autant les vivants et les morts, et tout le bleu qu’imprime ta présence alterne avec les blancs de ton absence.
Bertrand Degott- À chaque pas
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Dienstag, 04. Januar 2022 Bauchgefühl reicht nicht Kreuzfahrt jetzt kostenlos stornieren? Erneut mussten Kreuzfahrtschiffe wegen Corona-Fällen an Bord ihre Reisen unterbrechen oder vorzeitig beenden. Lässt sich eine geplante Kreuzfahrt aus Sorge vor Ansteckung nun einfach so stornieren? Wie sehr die Corona-Pandemie die Welt des Reisens weiterhin im Griff hat, zeigt sich gerade an der Kreuzfahrt: Zwei Schiffe von Aida und Tui Cruises mussten rund um Neujahr Fahrten unterbrechen oder vorzeitig beenden. Was können nun Verbraucherinnen und Verbraucher tun, die eine Seereisen-Buchung für die nächste Zeit aus Sorge vor Corona am liebsten stornieren möchten? Die Reedereien selbst verweisen auf ihre bestehenden Regelungen dazu. Bei Tui Cruises zum Beispiel gelten weiter für alle Gäste der "Mein Schiff"-Flotte die regulären Umbuchungs- und Stornoregeln, teilte Sprecherin Friederike Grönemeyer mit: Alle Gäste, die den "PRO-Preis" gebucht haben, könnten ihre Reise einmal kostenlos umbuchen. Das ist bei dieser höchsten von insgesamt drei Preiskategorien des Anbieters bis maximal 50 Tage vor dem jeweiligen Abreisetermin möglich. Aida Cruises wies darauf hin, dass eine einmalige Umbuchung bis 40 Tage vor Reiseantritt kostenfrei möglich ist - aber nur für Reisen, die seit dem 9. Dezember 2021 neu gebucht wurden und bei denen das Schiff bis zum 31. März 2022 ablegt. Für Abfahrten nach dem 31. März gelten andere Regeln. Eine einmalige kostenfreie Umbuchung ist hier bis 60 Tage vor Reisebeginn möglich für Gäste, die den "Aida Premium Tarif" gebucht haben - oder aber dann, wenn Gäste in den letzten zwei Wochen vor ihrem Abfahrtstermin ein positives Testergebnis vorlegen. Doch was machen Reisende, für die diese Regelungen der Anbieter nicht gelten, weil sie andere Tarife gebucht haben oder weil Fristen verstrichen sind? Hier hilft zunächst ein Blick auf die Rechtslage. Unsicherer Ausblick: Nicht übereilt stornieren Eine Kreuzfahrt ist in aller Regel eine Pauschalreise, weil mehrere Reiseleistungen zusammenkommen, etwa die Verpflegung, der Transport und vielleicht auch die Unterhaltung, sagt André Schulze-Wethmar als Rechtsexperte beim Europäischen Verbraucherzentrum (EVZ) in Kehl. Grundsätzlich kann jeder Tourist vor Reiseantritt nur dann kostenlos von seinem Reisevertrag zurücktreten, wenn außergewöhnliche Umstände während der Reise am Urlaubsort oder bei der Beförderung dahin zu erwarten sind, sagt der Reiserechtler Paul Degott aus Hannover. Und ob dieses europaweit geltende kostenlose Sonderkündigungsrecht bei Kreuzfahrten greift, hängt vom Einzelfall ab, so Schulze-Wethmar. Verbraucherinnen und Verbraucher sollten in der Regel nicht übereilt stornieren, um nicht auf den Stornokosten sitzen zu bleiben, rät Schulze-Wethmar. "Man kann dann zwar noch versuchen, das gerichtlich geltend zu machen, aber das ist recht schwierig", so der Jurist. Zugleich könnten Verbraucher die Anbieter um Kulanzlösungen bitten. Die reine Spekulation, dass es zum Beispiel einen Corona-Ausbruch an Bord geben könnte, reicht in der Regel nicht aus für einen kostenlosen Rücktritt: "Wenn ich jetzt vor einer gebuchten Kreuzfahrt sitze und das dumpfe Bauchgefühl habe "Das geht auch bei mir schief", dann wird mir das leider nichts nicht helfen", sagt Degott. Corona-Ausbrüche und Quarantäne Das zeigten laut Degott auch Urteile aus den Corona-Jahren 2020 und 2021. Gerichte hätten dabei genau hingeschaut, ob ein kostenloser Rücktritt von einer Reise zu gewähren war oder nicht. Das sei nur dann der Fall gewesen, wenn handgreifliche Gründe dafür sprachen. Doch was wären solche Gründe? Ein solcher läge vor, wenn Reisende in der Folgewoche auf ein Schiff gehen sollen, das noch unter Quarantäne liegt, nennt Degott ein fiktives Beispiel. Dann könnte es sein, dass sich ein Risiko so verdichtet hat, dass Reisenden die Kreuzfahrt nicht zuzumuten sei. "Das kommt aber immer auf den Einzelfall an." Wenn aber konkrete Anhaltspunkte dafür sprechen, dass dort, wo die Kreuzfahrt stattfindet, außergewöhnlichen Umstände vorliegen, wäre das ein wichtiger Anhaltspunkt für eine mögliche kostenlose Stornierung. Schulze-Wethmar nennt beispielhaft dafür einen plötzlichen unerwarteten Corona-Ausbruch der Omikron-Variante am Ausgangsort der Reise oder vielleicht auf dem gleichen Schiff. Bei der Argumentation helfen könnten Reisenden unter Umständen auch Hinweise des Auswärtigen Amtes, das derzeit von Kreuzfahrten abrät. Der Reiseveranstalter oder die Reederei könnte jedoch einwenden: "Wir bringen Sie ja direkt mit dem Bus zum Schiff." Man dürfe auch nicht vergessen, dass es die Corona-Pandemie schon längere Zeit gibt, sagt Verbraucherschützer Schulze-Wethmar. Schon jetzt argumentierten viele Veranstalter damit, dass das Corona-Risiko gar kein außergewöhnlicher Umstand mehr ist, zumindest wenn man während der Pandemie gebucht hat. "Und im Zweifel streitet man sich dann wirklich vor Gericht." Gute Karten: Der Reiseveranstalter sagt die Kreuzfahrt ab Am besten sei es für den Verbraucher, wenn der Veranstalter von sich aus storniert - "dann bekommt man das Geld ganz sicher zurück", sagt Schulze-Wethmar. Sagt der Anbieter nicht ab und hat man nicht selbst frühzeitig storniert, sollte man so lange wie möglich warten und die Lage im Auge behalten. "Das ist natürlich für den Verbraucher ein heißes Eisen, wenn er länger abwartet." Denn liegen aus Sicht des Anbieters keine außergewöhnlichen Umstände vor und führt er die Tour durch, bleiben Reiseunwillige meist auf hohen Stornokosten sitzen. Besorgte Reisende sollten sich direkt mit dem Anbieter in Verbindung setzen und gezielt nach den Maßnahmen zum Infektionsschutz an Bord fragen, rät Degott. Vielleicht ließen sich so die Sorgen minimieren. Schon vor Vertragsabschluss vorsorgen Mehr zum Thema Um Probleme zu vermeiden, sollte man sich nach Empfehlung der Experten schon bei der Buchung für ein Angebot entscheiden, bei dem der Anbieter von sich aus ein kostenloses Stornorecht einräumt. Es gebe Reiseveranstalter, die gegen Aufpreis ein zusätzliches vertragliches kostenloses Rücktrittsrecht einräumen. Oder man schließt eine entsprechende Versicherung ab. Hier sollte man aber die Konditionen prüfen. Bei Beschwerden gegen Reiseanbieter im EU-Ausland bietet das EVZ kostenlos eine außergerichtliche Unterstützung an. Wer die Reise dann antritt, hat auch Anspruch auf die komplette Durchführung. Gelingt dem Anbieter dies nicht, können Kunden den Reisepreis zurückverlangen - zumindest für jene Tage der Reise, die Urlauber am Ende nicht hatten. Zudem können Minderungsansprüche für die Tage davor gelten, sagt Degott - etwa, wenn Maßnahmen an Bord das Programm abspeckten oder man sogar in der Kabine bleiben musste. "Dabei kommt es auf ein Verschulden des Anbieters nicht an."
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Transi Sibérie-Primorie Ma foi, on aura "fait" ce gros bout de terre qu'est la Russie. Du moins on aura été en transit, on aura parcouru ces quelques kilometres, parfois en réalisant l'avancée du parcours par la fenêtre de notre wagon 3ème classe RJD, parfois pas. La Siberie laissera clairement une envie de plus dans la bouche. Même si j'avais une idée du découpage administratif de la Russie , et donc du début pseudo officiel de la région "Siberie", ça a été assez délicat de déterminer précisément "l'entrée" qui sonne pour nous, européens éduqués à coup de petits bosquets et de plaines plutôt rikikies, comme quelque chose d'immense, hostile et indomptable, à défaut d'évoquer l'histoire des goulags. La sensation de grandeur démesurée de cette nature du Nord a fait son apparation, à mon sens, une fois passé Omsk (une ville située grosso modo 200km au Nord du milieu du Kazakhstan). Les énormes prairies entourées de bouleaux laissaient déjà deviner l'infini du territoire qui courrait jusqu'au Nord. Puis, aux "abords" (c'est à dire 1000km avant, à l'échelle russe) d'Irkustk, l'apparition des forêts de conifères et de timides reliefs ont amorcé la dimension hostile du grand Nord. Qu'est ce qui se cache derrière cette montagne touffue ? Tout en sachant que le même pattern de paysage doit se répéter presque à l'identique sur encore 500km, je ne pouvais pas m'empêcher une sorte de curiosité pour ce qui pouvait suivre, loin là bas. Le Baikal marque une rupture dans tout ce jeu de non-délimitation du territoire. La grosse banane sur la carte, là, tu sais où ça commence et tu sais où ça s'arrête. Tu te sens donc une minimum rassuré : la rationalité d'un espace-objet délimité offre un temps de repis, un confort de compréhension. Mais c'est sans compter sur la variable de l'échelle qui, encore une fois, joue des tours. L'île sur laquelle il était prévu qu'on se rende, Olkhon, était pour moi à deux pas d'Irkustk, une petite enjambée de bus quoi. Eh bah non, diou ! 6h de bus qu'on te met dans la tronche pour t'y rendre, et tout ça pour aller juste au début du lac. L'imaginaire du lac, de l'étendue d'eau, pour ceux auxquels on se frotte en Europe, c'est celui de la paisible pêche ou de la balade du dimanche. Piéton ou voiture, peu importe, le lac, tu en fais le tour en un claquement de doigts plus ou moins grand. Ici, le bordel défie toute logique classique : la longueur de la banane équivaudrait à se faire le trajet Paris-Barcelone, la rapidité de l'autoroute en moins. En ayant recours à un petit calcul cartosexuel (ma nouvelle identité sexuelle, pour ceux qui n'étaient pas encore au parfum), faire le tour à pied équivaudrait à une marche de 7 mois. Ainsi, l'arrivée au Baikal laisse pressentir le retour de cette sensation de truc insaisissable. Puis, hop, au détour d'une colline, en passant par un petit col en hauteur, tu aperçois un bout de bleu profond, bien pur et cristallin à la fois, comme il faut. A vrai dire, on est arrivé par la rive Ouest du lac, au sud de l'île, en fait une sorte de petit de detroit qui forme une mer. Aussi le Baikal apparaissait dans un aspect assez miniaturisé : petit village sur la côte, petites falaises sculptées par le vent de l'autre côté, sur l'île, et petites courbes dessinées par les plages qui descendent des steppes. C'est Olkhon, sur son versant Ouest. Je ne reviendrai pas trop sur la morphologie de l'île. Simplement sur l'étrangeté des steppes de la côte precitée. Celles ci laissaient une impression double très saisissante : au bord de l'eau, elles semblaient délicates, comme des prairies disposées ici et là pour le plaisir du marcheur (à savoir enfoncer les pieds dans un sol qui dit "crounch-crounch" et planter la tente oklm), alors que passé les premières collines, dans les terres, elles donnaient l'impression d'être paumé sur une plateau d'Asie centrale : immenses possibles étendues arides, sans vegetation, sans obstacles, donc liberté totale de mouvement comme angoisse de se perdre dans du rien. Les quelques chevaux sauvages aperçus étaient comme là pour confirmer l'hypothèse tronquée. Aussi, les steppes nous protégeaient de la forêt qui rôdait à l'Est. Au moins, on se disait que les ours ne seraient pas succeptibles de s'aventurer dans ces paysages sans bouffe : rassurant. Le dernier soir sur l'île, on a finalement cédé pour le confort d'une guest house, parce que les muscles tiraient un chouilla et que le froid nous avait surpris. Étant resté sur ma fin vis à vis de mes fantasmes stéréotypés de cuiteàlarusse, je suis allé faire un tour au magasin du village et me suis topé une tite bouteille de Zilionaya Marka, charmante goutue vodka au cèdre qui désinfecte tout en douceur, puis suis allé picoler sur la plage, admirer un temps les montagnes sur la rive d'en face tout en me saoulant. Là le Baikal prenait encore une autre forme. C'était comme un jeu de lui attribuer une forme de personnalité. Comme un truc de funambule, à tanguer entre présence d'une entité propre, immense profonde et hostile, et une simple étendue d'eau placée là par le hasard des acrobaties des plaques tectoniques, y'à de ça belles lurettes. Il y avait quand même un brin de mystique. Je ne sais pas si c'est dû à la présence des bâtons chamaniques que l'on croisait de temps à autre perdus au milieu de nulle part, mais sans pour autant forcer l'impression, le bordel semblait doté d'un quelque chose. Le lac inspirait simultanément l'apaisement, l'hostilité la plus totale et l'irrésistible envie d'y aller. Je pense qu'au delà de tout délire ecolo, religieux ou capitaliste, c'est un peu le genre de sensation que doit inspirer la nature lorsqu'on la saisit dans une immensité aussi flagrante : la crainte et le désir, la peur comme l'envie de s'y perdre. C'est sur ce même sentiment que la fin de notre séjour en Siberie s'est progressivement achevé : prolongement des forêts de conifères jusqu'à disparaître pour laisser place à des bosquets de bouleaux en cascade sur fond de froide rivière. Franchement si quelqu'un me degotte ne serait qu'un semblant d'itinéraire pédestre pour se rendre du Sud au Nord de la Siberie, vers l'Arctique, je lui lèche les orteils, promis. Ainsi donc la Siberie semblait s'achever naturellement pour laisser la place au Far East District. Ici, c'était plus l'atmosphère des villes qui conotait vers le perdu et l'abandonné. Je pense que là bas, dans des villes comme Tchita ou Khabarovsk, des trucs comme "Moscou" ou la "Fédération", c'est juste des concepts lointains. Tout semble perdu et oublié. J'aurais vraiment aimé aller faire un tour dans ce coin là, histoire de voir si l'unité russe n'est qu'un rêve de façade, un vieux projet impérialiste du Kremlin ou une réalité. Petite parenthèse : l'équivalent russe du departement, c'est l'oblast, le kraï ou la république. Et sur cette fin de siberie, il y a un tout petit département qui s'appelle "Krai autonome juif". Un drôle de WTF administratif, je veux même pas d'explication, c'est juste trop improbable,ici quoi. Mais tout cela cesse quand on repique vers le Sud, vers Vladivostok. Une dizaine de degrés en plus au thermomètre, et voilà la végétation qui change : plus luxuriante, plus dense. Avec un côté plantes exotiques qui survivent quand même aux rudesses de l'hiver. Même si je ne kiffe pas tellement ce genre de paysages, que j'associe dans mon imaginaire à la Corée, c'est tout de même surprenant. Tout semble d'un coup moins perdu. Et c'est d'autant plus vrai une fois rendu à Vladivostok. C'est encore officiellement la Russie, mais tu sens que tu rentres dans une autre sphère d'influence. Et de fait, la ville entretient je pense bien plus de relations avec la Chine, la Corée et le Japon qu'avec la Russie européenne. En arrivant, Noé à l'impression d'être sur la côte Ouest des USA : c'est assez vrai. Gros traffic, gros axes routiers et ponts emmêlés, soleil et pub partout, buildings et montagnes à la californienne en arrière plan, la végétation en plus. Moi c'est peut être un peu plus le Japon, pour les caisses surtout. Tout le monde ou presque ici conduit une gova japonaise. Hors histoire de volant à droite (et donc mega dose d'accident je suppose), l'aspect des voitures donne vraiment un côté japonais, en tout cas un côté pas Russe. Les affiches à visée commerciale sont pour beaucoup traduites en chinois et coréen, et là population semble très brassée et variée sur le plan ethnique. Plus jeune egalement : Vladi abritte la FEFU (Far East Federal University), où de nombreux étudiants se rendent, de l'etranger, mais aussi de Siberie (notre wagon était essentiellement composé de jeunes d'Irkustk ou d'Ulan Udé qui rentraient pour la reprise des cours). C'est aussi malheureusement un shlaggy hub militaire. La Marine russe quoi. Alors certes l'uniforme de marin fait plus innocent et moins agressif, même c'est tout de même la merde sur ce point. Mais le summum pour moi c'est les gigantesques grues de fret pour les bateaux. En fait Vladi, c'est Saint Nazaire en plus actif, plus gros, plus fresher, plus industriel, plus gros 4x4 et make up bourgeois, et surtout plus n'importe quoi. Donc impression d'être à la maison tout en étant à l'autre bout du continent, ce qui fait tout de même bizarre. Sur l'actu politique locale, on a pas spécialement glané beaucoup d'infos, si ce n'est que selon notre logeuse, "ici on aime pas trop faire des manifestations mais faut pas trop nous embêter". Traduit dans les faits, ça donne une acceptation passive des megalomanies autoritaires de Sir Poutine, mais aussi une manifestation-voiture monstre lorsque celui ci vient à Vladi et annonce l'interdiction prochaine de l'import de voitures japonaises (que tout le monde conduit). Si on était dans un film, on pourrait se dire que chouette c'est les irresistibles Vladi-Gaulois qui résistent à l'envahisseur moscovite, mais en vrai on se rend compte que comme d'habitude, ça pue et qu'il ne s'agit de la défense d'un petit confort de vie, et non d'une opposition frontale à la ligne politique du pays. Bref, politiquement, c'est toujours pas la grande folie, et le plus horrible c'est qu'on finirait presque par s'habituer, même si au fond on sait que c'est degeu. M'enfin on va pas se laisser abattre pardis ! La prochaine fois je reviens et je choppe un visa 3 mois, ça jte ldis l'ami !
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5 Dinge, die du gestern im TV verpasst hast
1. ZDFzeit (ZDF): So genial trickst die Lebensmittelindustrie
Die richtige oder falsche Ernährung rückt immer weiter in den Vordergrund. Egal ob vitaminreich, fettarm oder ohne tierische Bestandteile, die Wünsche der Kunden werden immer anspruchsvoller. Die Branche reagiert darauf mit Tricks, die teils tatsächlich originell sind – aber nicht immer fair.
Lebensmitteltechniker Sebastian Lege erklärt, mit welchen Methoden die Hersteller arbeiten, um Extrawünsche für Massenware umzusetzen. Und an welchen Stellen diese zu lasten der Qualität gehen.
Da ist zum Beispiel ein Cranberry-Kirsch-Müsliriegel, wie man ihn wohl in jedem Supermarkt und in jeder Drogerie findet. Dieser schmeckt nach Cranberrys und Kirschen, besteht allerdings hauptsächlich aus Apfelstücken und Rosinen. Dafür wird den Rosinen zunächst der Geschmack ausgewaschen, dann sorgt Rose-Beete-Extrakt für die rote Farbe, Aroma aus der Tüte und Erdbeersirup für den Geschmack.
„Schmeckt wie Erdbeeren vom Feld“, erklärt der Lebensmittel-Experte Sebastian Lege. Mit getrockneten Äpfeln funktioniert dieser Prozess besonders gut, dabei sind diese besonders billig. Ein ähnliches Prinzip gilt auch bei Fruchtsäften.
Denn ein tropischer Fruchtsaft enthält beispielsweise 50 Prozent billigen Apfelsaft, 35 Prozent Orangensaft aber nur 15 Prozent der teureren tropischen Früchte. Und in einem scheinbar reinen Himbeersaft beträgt der Anteil an Himbeeren magere 7,5 Prozent.
Interessant war auch, dass der Geschäftsführer einer Firma die vegetarische Salami produziert offen darüber redet, wo der Vorteil für ihn liegt: Sie lässt sich billiger produzieren als eine Salami aus Fleisch, kann aber teurer verkauft werden.
Schließlich gab es aber auch einen Trick, der dem Verbraucher mehr nützt, als dass er ihn täuscht. Denn die beliebten Smoothies in den Supermarktregalen sollten 30 Tage haltbar sein. Bislang wurden sie ultrahoch erhitzt wie Milch, was zwar Bakterien, Keime und Pilze abtötet, jedoch auch die Vitamine zerstört.
Ein neues Verfahren arbeitet nun mit Hochdruck, um die Smoothies zu konservieren ohne die Vitamine zu beeinflussen. Weil das Verfahren mit Glasflaschen nicht funktioniert, sollte man in Zukunft also tendenziell zu Plastikflaschen greifen. Bei allen anderen Tricks der Lebensmittelindustrie hilft, was noch nie geschadet hat: Der Blick auf die Zutatenliste.
2. Markus Lanz (ZDF): Willkommen im Witzfigurenkabinett
Drei Comedians dominierten die gestrige Talkrunde bei Markus Lanz – wenn auch zwei von ihnen gar nicht zugegen waren. Lacher Nummer eins: Vizekanzler Sigmar Gabriel, der nun Außenminister anstatt Kanzlerkandidat werden will. „Familiäre Gründe“ gab er dafür im Interview mit dem Stern an und das ist nur verständlich. Als Kanzler da hat man schließlich wirklich viel um die Ohren und Gabriel erwartet nun schon sein drittes Kind.
Welche Rolle passe da besser als die des Außenministers, der ständig zwischen Berlin und Bagdad unterwegs ist? Richtig, das klingt ganz nach einem schlechten Scherz.
Lesen Sie mehr in der TV-Kritik: Willkommen im Witzfigurenkabinett
3. Stille Retter (Arte): Ungewöhnliche Doku über wahre Helden
Mit dem Einmarsch der deutschen Wehrmacht in Frankreich 1940 befanden sich alle in Frankreich lebenden Juden in akuter Lebensgefahr. Trotzdem überlebten statistisch gesehen drei von vier den Holocaust – mehr, als in den anderen von den Nazis besetzten Ländern.
Die Dokumentation erzählt erstmals von den Umständen ihrer Rettung und vom zivilen Widerstand der vielen „stillen Retter“, die dabei geholfen haben. Zeitzeugen berichten von Geschichten tödlicher Bedrohung und selbstloser Hilfsbereitschaft. Ihre Erinnerungen werden eindrucksvoll im Stil einer Graphik Novel nacherzählt.
4. Goodbye Deutschland (VOX): Auswandern für die Liebe
Die 24-jährige Claudia Camposeo aus Stuttgart hat wohl den klassischsten Grund, ihre Heimat zu verlassen: Sie will für die Liebe auswandern. Sie lernte vor einem Jahr auf einer Weltreise den amerikanischen Gefängniswärter Anthony kennen und will ihm nun folgen.
Im 10.000 Kilometer entfernten Kalifornien will sie mit ihrem Liebsten eine Teddybär-Firma gründen, obwohl keiner der beiden damit Erfahrungen hat. Dafür lässt Camposeo ihren unbefristeten Job als Bankkauffrau zurück, doch was tut man nicht alles für die Liebe.
5. Rosins Restaurants (Kabel 1): Rauer Ton im „Degott Schleppi“
Trotz großer Investitionen und aufwendigen Renovierungsarbeiten bleiben die Gäste im Familienbetrieb „Degott Schleppi“ bislang aus. Den Koch Kai und seine Ehefrau Tina bringt das in Schwierigkeiten, denn alle Ersparnisse des tätowierten Pärchens stecken bereits in dem Betrieb.
Hinzu kommt der Raue Ton in der Küche, denn zwischen dem Betreiber-Paar und dem Nachwuchs-Koch Pascal ist die Stimmung extrem aufgeheizt.
Fotos: ZDF, Arte
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Illustrations et petites animations pour le site de Charlie Degotte, metteur en scène bruxellois génial et déjanté!
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Le palmarès des 16ème Trophées de la Construction
Mercredi 6 septembre avait lieu la cérémonie de remise des récompenses de la 16ème édition des Trophées de la Construction, organisés par Batiactu et le Groupe SMA. Lors de cette soirée, 23 lauréats ont été distingués sur les 150 projets présentés. Cette année encore, CIMBAT.COM était partenaire de l'évènement, et son créateur, Gabriel Degott, membre du jury des Trophées " Internet . Solutions en ligne ". Crédit photo : Dominique Eskenazi Les différentes catégories du Concours Comme chaque année, les Trophées de la Construction récompense les projets du Bâtiment les plus novateurs, qui se démarquent par leur architecture, les solutions techniques ou les produits/matériaux utilisés ou encore dans leur conception et leur organisation. Le concours se divise en deux grandes catégories : Le
Source : http://bit.ly/2wdrBC6
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Le palmarès des 16ème Trophées de la Construction
Mercredi 6 septembre avait lieu la cérémonie de remise des récompenses de la 16ème édition des Trophées de la Construction, organisés par Batiactu et le Groupe SMA. Lors de cette soirée, 23 lauréats ont été distingués sur les 150 projets présentés. Cette année encore, CIMBAT.COM était partenaire de l'évènement, et son créateur, Gabriel Degott, membre du jury des Trophées " Internet . Solutions en ligne ". Crédit photo : Dominique Eskenazi Les différentes catégories du Concours Comme chaque année, les Trophées de la Construction récompense les projets du Bâtiment les plus novateurs, qui se démarquent par leur architecture, les solutions techniques ou les produits/matériaux utilisés ou encore dans leur conception et leur organisation. Le concours se divise en deux grandes catégories : Le
Article : http://feeds.feedblitz.com/~/457664052/0/isolationcomblesperdus
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#smelly #hairy #freaky #extraterrestrial #floral #fauna | #degott #illu #schwarzweiss #weirdbutdope #aliennation
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ITB-Podiumsdiskussion zum Thema Reisesicherheit: Studiosus-Gespräch rückt Kundenerwartungen in den Mittelpunkt
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München (ots) – Reisesicherheit aus Kundensicht – das steht im Mittelpunkt des traditionellen Studiosus-Gesprächs auf der ITB. Die Podiumsdiskussion findet am 10. März im Rahmen des ITB Kongresses statt. Aktuelle Daten der Reiseanalyse 2017 bilden dabei den Ausgangspunkt, um sich einem für die Tourismusbranche besonders wichtigen Thema zu nähern. Denn die jüngsten politischen Entwicklungen und eine Zunahme von Terroranschlägen haben bei vielen Menschen Ängste ausgelöst und zu einer Zurückhaltung bei Reisebuchungen geführt.
Den Kunden und seine Bedürfnisse haben die Experten auf dem Studiosus-Podium konsequent im Blick und diskutieren das spannende Thema unter der Moderation der Journalistin Anke Plättner aus ganz unterschiedlichen Perspektiven. Welche Rolle spielt Reisesicherheit zum Beispiel bei der Wahl eines Urlaubsziels? Welche Informationen wünschen Kunden von Reiseveranstaltern? Wie kann man Ängsten bei der Beratung im Reisebüro begegnen? Und welchen Standpunkt vertreten Verbraucherschützer?
Auf dem Podium sind:
- Prof. Dr. Martin Lohmann, NIT; Reiseanalyse; Leuphana n Universität Lüneburgn - Guido Wiegand, Chief Marketing Officer, Studiosus Reisenn - Matthias Sworowski, Geschäftsführer, Oscar Reisenn - Prof. Dr. med. Borwin Bandelow, Stellv. Direktor, Klinik für n Psychiatrie und Psychotherapie, Universitätsmedizin Göttingenn - Rechtsanwalt Paul Degott, Spezialist für Tourismusrecht
Die Podiumsdiskussion unter dem Titel \“Reisesicherheit konkret: Was der Kunde erwartet\“ findet im Rahmen des Destination Day 3 auf dem ITB Berlin Kongress am Freitag, 10. März 2017 von 12.45 bis 13.45 Uhr in der Halle 7.1a, Saal New York 1 statt. Aktuelle Informationen zur Veranstaltung sind im Internet unter www.itb-kongress.de abrufbar.
Über die Unternehmensgruppe Studiosus
Studiosus ist der führende Studienreise-Anbieter in Europa. Die hohe Qualität der Programme, erstklassige Reiseleiter und ständige Innovationen sichern Studiosus die Marktführerschaft. Neben Studienreisen hat Studiosus auch attraktive studienreisenahe Angebote, wie zum Beispiel Eventreisen und Reisen für Singles, im Programm. Im Jahr 2016 reisten rund 100.000 Gäste in mehr als 100 Länder weltweit mit der Unternehmensgruppe Studiosus, zu der auch die im günstigeren Rundreisesegment positionierte Veranstaltermarke Marco Polo gehört. Der Umsatz erreichte im gleichen Zeitraum ein neues Rekordniveau von 261.887.000 Euro. Insgesamt hat die Unternehmensgruppe Studiosus über 1000 Routen im Programm. Am Firmensitz in München sind derzeit 320 Mitarbeiter beschäftigt, davon 26 Auszubildende. Zudem arbeitet Studiosus mit 570 Reiseleitern weltweit zusammen. Gegründet wurde das Familienunternehmen am 12. April 1954. Internet: www.studiosus.com
Pressekontakt:
Dr. Frano Ilic, Pressesprecher der Unternehmensgruppe nTelefon: +49 (0)89 500 60 - 505, E-Mail: [email protected]
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Lets have some #fun on #planetearth | #degott #illustration #blackandwhite #schwarzweiss #graphicdesigns
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