#de Paul Mathieu
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A Christmas Tale (Un conte de Noël) (2008) Arnaud Desplechin
December 20th 2024
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Billet spécial n°2 - Les imprimeurs de Lyon
Le cap des 200 billets de ce blog ayant été franchi, cela nous offre l'occasion d'un nouveau billet spécial. Quittant la capitale où sont situées l'essentiel des plaques commémoratives présentées ces derniers jours, il est l'heure de retourner dans une ville française également importante : Lyon.
De tout temps depuis sa fondation, Lyon a joué un rôle majeur dans l'histoire de France. Les XVème-XVIème siècles sont ainsi l'occasion pour Lyon de devenir l'un des principaux centres européens de l'imprimerie : finalisée en 1453, l'invention gagne Lyon en 1472 et lui confère une importance majeure dans le domaine de l'édition. Bénéficiant d'une politique fiscale favorable et du carrefour commercial qu'occupe Lyon, véritable ville de foires, une centaine d'ateliers d'imprimerie se concentrent notamment autour de la rue Mercière (2ème arrondissement). L'histoire de l'imprimerie lyonnaise n'est toutefois pas sans heurts : le "grand tric" de 1539, première grève de l'histoire de France, voit se révolter les ouvriers typographes qui protestent contre leurs conditions de travail et de rémunération. Il est le signe précurseur d'un déclin qui s'amorce dans les années 1560 (un siècle plus tard, l'industrie subsiste, mais se tourne surtout vers la contrefaçon).
Plusieurs plaques commémoratives (dont une partie a été installée sur l'initiative de Régis Neyret) honorant de célèbres imprimeurs lyonnais peuvent aujourd'hui être trouvées dans la rue Mercière et ses environs (les quatre premières et la dernière ont été apposées en décembre 2014, l'avant-dernière en 2003).
Sébastien Gryphe (1492-1556) est un imprimeur français d'origine allemande. Produisant surtout des traités administratifs, juridiques et religieux, il est le principal premier utilisateur des caractères italiques dans les années 1530. Il publie également les œuvres de François Rabelais, étant très proche du milieu humaniste. Surnommé le "Prince des libraires", il laisse un héritage important à Lyon. Texte de la plaque (21 rue Thomassin) : SÉBASTIEN GRYPHE, 1493 ? -1556. "PRINCE DES LIBRAIRES LYONNAIS". D'origine allemande, prolifique imprimeur (Rabelais, Alciat, Dolet…), il introduit le caractère italique en France.
Mathieu Husz (1455-1507) est un imprimeur allemand qui s'établit à Lyon. Il imprima de nombreux manuels théologiques, des ouvrages juridiques et des livres sur la construction. Texte de la plaque (9 quai de la Pêcherie) : MATHIEU HUSZ. D'origine allemande, il édita la GRANT DANSE MACABRE, 1499, où l'on voit la première représentation imprimée d'un atelier d'imprimeur-libraire.
Jean de Tournes I (1504-1564) s'est formé auprès de Sébastien Gryphe. Il édite de très nombreux ouvrages de poésie d'auteurs lyonnais, dont ceux de Louise Labé, ainsi que des traités d'architecture. Il décède des suites de la peste, mais son fils, Jean de Tournes II se fait également imprimeur et fonde une grande dynastie de libraires. Texte de la plaque (7 rue Jean de Tournes) : JEAN DE TOURNES 1er, 1504-1564. Premier d'une dynastie d'imprimeurs lyonnais, reconnu pour la qualité et la beauté de ses publications, il collabora souvent avec le célèbre graveur BERNARD SALOMON.
Aymon, Hugues (1500-1572) et Sibylle de la Porte étaient trois membre d'une influente famille de marchands libraires. Hugues, fils d'Aymon et père de Sibylle, fut plusieurs fois conseiller-échevin de Lyon et l'un des plus riches libraires de Lyon, apportant un soutien financier à Sébastien Gryphe. Texte de la plaque (68 rue Mercière) : AYMON, HUGUES & SIBYLLE DE LA PORTE. Famille de riches marchands-libraires, prolifiques éditeurs au sein de la Compagnie des Libraires, à Lyon au XVIème siècle
Fleury Mesplet (1734-1794) est un imprimeur québecois d'origine française. S'étant formé au métier d'imprimeur à Lyon et après un bref passage à Avignon, il s'établit au Canada, où il fonde La Gazette littéraire, premier journal de Montréal et premier journal exclusivement en français du Québec. Texte de la plaque (68 rue Mercière) : Hôtel Horace Cardon, résidence de grands imprimeurs lyonnais. Fleury Mesplet, 1734-1794, premier imprimeur-libraire en langue français au Canada, formé à LYON, rue Mercière
Étienne Dolet (1509-1746) est un imprimeur mais également écrivain et philosophe français. Établi à Lyon, humaniste et critique du christianisme de son époque, il édite nombre d'ouvrages jugés hérétiques, ce qui lui vaut arrestations et emprisonnements, pour être finalement exécuté sur le bûcher à Paris, devenant après sa mort un symbole de la libre-pensée. Texte de la plaque (56 rue Mercière) : Étienne Dolet, 1509-1546, humaniste, imprimeur en ces lieux à l'enseigne de la "Doloire d'or". Périt sur le bûcher. "Martyr de l'indépendance de la pensée" (Édouard Herriot)
Aimé de la Roche (1715-1801) fut l'un des plus grands imprimeurs lyonnais de son temps, consacrant l'essentiel de son activité à l'édition d'actes officiels pour différentes institutions, et publia également plusieurs journaux. Benoît-Paul Mougin-Rusand (1838-1897), issus d'une famille d'imprimeurs à la fois par son père et sa mère, se tourne quant à lui plutôt vers des ouvrages ecclésiastiques, des revues savantes et des livres d'histoire. Texte de la plaque (2 rue de Brest) : Halles de la Grenette. Du XVIIIe au XIXe siècle, de nombreux imprimeurs ont occupé cet ancien grenier à grains : AIME DE LA ROCHE, BALLANCHE & BARRET, MOUGIN-RUSAND, DURAND...
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Quelques phrases lues en 2024
En 2019, six Martine ont été engendrées par six familles courageusement rebelles aux appellations du jour.
Je ne vais faire que ça désormais : chercher partout des yeux qui me cherchaient partout.
À l'époque où je ne la connaissais pas, j'attendais déjà Anne Lebedele.
J'aime les lieux délabrés, j'en habite un.
[...] on disait chochotte quand j'étais petite pour les enfants délicats qui faisaient toujours des manières ou des histoires, et ça n'était pas un compliment, surtout pour les garçons.
Elle en était convaincue : si les hommes étaient capables d'échanger avec la même profondeur que les arbres, ils cesseraient de s'entre-tuer.
Chaque appartement qui se respecte, selon vous, devrait avoir, en vis-à-vis, un hôtel confortable.
Chaque soir nous jouions à ne pas mourir.
Les langues de vieux ne parlent que le patois et n'ont embrassé qu'une seule bouche.
Il y a cent mille espèces d'amour, inventées séparément, toujours plus ingénieuses, et chacune d'entre elles engendre des choses nouvelles.
À ceux qui l'écoutaient, il parlait des nuages et des larmes, de ces mondes lointains, de toutes ces choses de la terre et du ciel que ne savent que les enfants et les fous.
Il neigeait un tout petit peu, dehors, tellement peu que si je l'avais voulu, simplement pour m'amuser, je crois que j'aurais pu éviter les rares flocons qui tombaient et, le nez en l'air, en zigzaguant sur le trottoir, parvenir ainsi jusqu'au bout de la rue, sans qu'aucun m'ait atteint.
À quand remontait la dernière fois que les habitants de cette impasse avaient vu passer sous leurs fenêtres une Renault immatriculée dans les Bouches-du-Rhône ?
Face à face, chacune clouée sur son mur, une publicité pour Pepsi et l'autre pour Coca qui se regardent en chiens de faïence.
Il y a toutes sortes de gens dans le monde.
Les mensonges, c'est comme les os de poulet. Ils se coincent dans mon gosier et je les recrache.
J'aimais les insultes qui fusaient au bord des terrains de foot.
Parfois chez moi, quand il n'y a que les murs, je touche les murs qui me touchent en retour, est-ce que c'est faire le mur ?
Je refusais de cauchemarder de nouveau à cause d'une image.
Mélanie Martin était célèbre dans le pays pour avoir vu, en chair et en os, à l'occasion d'un baptême, Léon Zitrone.
Combien de fois dans ma vie ai-je prononcé la phrase suivante : « J'étais au collège à Sancerre » ? Et pour cause : j'étais au collège à Sancerre.
Il éclusa son whisky et, au lieu d'en commander un autre, opta pour une vodka comme s'il était facile de passer des États-Unis à la Russie.
Un clair de lune est-il rien d'autre, au fond, que quelque chose de quotidien, offert au mendiant comme au prince ?
C'est bien compliqué, la vie d'écrivain mais moins que la vie de non-écrivain.
Une année de lecture passée notamment en compagnie de Jean-Pierre Martin, Cédric Sapin-Dufour, Christian Oster, Olivier Rolin, Marie-Hélène Lafon, Marie Charel, Eric Faye, Camille Laurens, Marion Fayolle, Richard Powers, Étienne Kern, Joël Egloff, Sylvain Prudhomme, Régis Jauffret, Philippe Jaenada, Paul Auster, Antoine Wauters, Julie Marx, Yannick Haenel, Paul Fournel, Tanguy Viel, Enrique Vila-Matas, Robert Walser et Mathieu Lindon.
Bonne fêtes de fin d'année à toutes et à tous 🎅
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Songs for Writing🪶
An oddly specific list of songs for writing certain types of feelings, but ya know whatever - large mixture of genres.
Songs for fighting for your life:
One Hundred Strings by Secession Studios
on the verge by thrown
The Deep, the Dark by Tamer
Don't Look Away by The Plot In You
Every Reborn by Dario Marianelli
Run Boy Run by Woodkid
Suffer With Me by líue
Songs that make you feel like you're spinning:
Chaotic Theme by The Irrepressibles
Concertina Ballerina by Alternative Radio
Dreamland by Glass Animals
Golden Brown by The Stranglers
・ ・-・ ・- ・・・ ・ -・・ -・ --- ・・・ - ・ ・--・ --- -・ ・-- ・・ -・ --・ by Erased Tapes
La bohème by Charles Aznavour (especially at the end)
Hijo de la luna by Mecano
Songs that make you want to stare at the ceiling:
In My Room by Julia Wolf
Charms by Abel Korzeniowski
Le secret by Mathieu Lamboley
Calico Skies by Paul McCartney
who are you when you're alone by Maggie Lindemann
are you okay? by Jacal
What Did You See? by Cemeteries
Songs for the dark:
The Night Window by Thomas Newman
Nights in White Satin by the Moody Blues
Lavender Oil by Nicholas Britell
Vincent by Don McLean
Togetherness I by Tobias Lilja
Punish by Ethel Cain
lovenote by airshade
Songs for slow dancing:
Harvest Moon by Neil Young
I'm In The Mood For Love by Julie London
Let You Break My Heart Again by Laufey
Lens by Bilmuri
SLOW DANCING IN THE DARK by Galleons
Flightless Bird, American Mouth by Iron & Wine
Under The Table by BANKS
Songs for driving in the night:
Posthumous Forgiveness by Tame Impala
DARE by Gorillaz
That House by Dance With the Dead
Always with Me, Always with You by Joe Satriani
Rain by Mr.Kitty
Fiebre by Bad Gyal
A Little Death by the Neighbourhood
#i know this is random as hell but i don't care#take my hand lets ignore the algorithm together#did you spot the twilight reference in there lol#music inspiration#music for writing#now listening#writing
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Césarine de Houdetot, Baronne de Barante, Reading Paul et Virginie
Artist: Louise Bouteiller (French, 1783-1828)
Date: 1818
Medium: Oil on canvas
Collection: National Gallery of Victoria, Melbourne, Australia
Césarine d'Houdetot
Cesarine d'Houdetot , Baroness of Barante (September 27, 1794 in Pamplemousses , Mauritius -December 26, 1877 in Dorat ) is a French writer.
Césarine d'Houdetot was the daughter of César Louis Marie François Ange d'Houdetot and the granddaughter of Sophie Lalive de Bellegarde Countess d'Houdetot and aunt of Louis-Mathieu Molé 's wife. Césarine's sister, Élisabeth married Jean-Baptiste Lecat de Bazancourt.
Cesarine d'Houdetot married the November 26, 1809 Prosper de Barante. From 1848, the couple resided permanently at the Château de Barante near Thiers. Of great piety, she participated in numerous charitable works and helped her husband to create the Thiers mutual society.
They had a son, Prosper-Claude-Ignace-Constant Brugière de Barante (1816-1889), who was prefect of Ardèche in 1845, deputy under the Second Empire and senator under the Third Republic. His granddaughter, Jeanne de Barante, married in 1872 Alfred Sommier , a very wealthy sugar industrialist who restored the Vaux-le-Vicomte estate from 1875 to 1908.
#portrait#oil on canvas#female#full length#seated#landscape#mountains#sky#cloth#flowing gown#book#french writer#oil painting#french culture#louise bouiller#french painter#french art#artwork#19th century painting#palm trees#house#river
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12h Sebring 2024
Que foi a estreia do Lamborghini SC63 na GTP no IMSA
Na largada o Cadillac V Series R #31 se manteve na frente com Pipo Derani
Na largada na GTD Pró e GTD
E teve uma confusão entre os GTS , envolvendo a Ferrari #62 da Risi Competizone
A rodada do Oreca #88 da AF Corse
A batida do Cadillac #31 com Pipo Derani causada por um toque com a Ferrari da Triarse Competizone , que alias foi no mesmo ponto em que o Argentino José Maria Lopez bateu nas 1000 Milhas de Sebring em 2022 com Toyota Hypercar.
youtube
Momento da batida do Acura NSX GT3 da equipe Gradiant Racing , que colocou bandeira amarela na pista inteira.
youtube
Momento em que o Acura #40 passava o Cadillac #01 da Cadillac Racing\Chip Ganassi e assumia a liderança no final da corrida.
A vitória ficou o Acura ARX06 #40 da WTTR Andretti , a primeira do segundo carro da equipe
youtube
O Lexus RC F GT3 da Vasser Sullivan Racing na GTD Pró , na LMP2, a vencedora foi a Era Motorsport.
GTP
1-40-Jordam Taylor\Colton Herta\Louis Deletraz-Acura ARX06-WTTR Andretti-333 Laps
2-01-Scott Dixon\Range Van Der Zande\Sebastien Bordais-Cadillac V Series R-Cadillac Racing\Chip Ganassi
3-7-Felipe Nasr\Matt Campbell\Dane Cameron-Porsche 963-Porsche Penske Motorsport
4-25-Dris Vanthorn\Connor De Philippe\Maxime Martin-BMW M LMDH V8-BMW Team RLL
5-10-Filipi Albuquerque\Brandon Hartley\Ricky Taylor-Acura ARX06-WTTR Andretti
6- 24-Philip Eng\Augusto Farfus\Jesse Khron-BMW M LMDH V8-BMW Team RLL
7-63-Matteo Cairoli\Romain Grosjean\Andrea Calderelli-Lamborghini SC63-Lamborghini Iron Lynx
8-5-Julian Andlauer \Gian Maria Bruni-Porsche 963-Mustang Simpling Racing-Proton
9-6-Nick Tandy\Frederick Makowickie\Mathieu Jaminet-Porsche 963-Porsche Penske Motorsport +1 Lap
LMP2-TOP 3
1-18-Ryan Dalziel\Connor Zilisch\Dwight Merriman-Oreca 7-Era Motorsport-330 Laps
2-11-Miken Jensen\Steven Thomas\Hunter McElrea-Oreca 7-TDS Racing
3-22-Paul Di Resta\Bijoy Garg\Dan Goldburg-Oreca 7-United Autoesports
GTD PRÓ-Top 5
1-14-Ben Bernicoat\Kyle Kirkwood\Jack Hawkshorth-Lexus RC F GT3-Vasser Sullivan-316 Laps
2-62-David Rigon\James Calado\Daniel Serra-Ferrari 296 GT3-Risi Competizone
3-19-Mirko Bortolotti\Jordan Pepper\Franck Pereira-Lamborghini Huracan GT3 Evo 2-Iron Lynx
4-1-Bryan Sellers\Madison Snow\Neil Verghagen-BMW M4 GT3-Paul Miller Racing
5-23-Alex Riberas\Ross Gun\Mario Farnbacher-Aston Martin Vantage GT3 Evo-Heart Of Racing
GTD-Top 5
1-57-Russel Ward\Phillip Ellis\Indy Dontje-Mercedes-AMG GT3-Winward Racing-314 Laps
2-47-Antonio Fuoco\Roberto Lacorte\Giorgio Sergionatto-Ferrari 296 GT3-Cetilar Racing
3-120-Adam Adelson\Jan Haylen\Eliott Skeer-Porsche 992 GT3 R-Wright Motorsport
4-27-Roman de Angelis\Ian James\Zacharie Robichon-Aston Martin Vantage GT3 Evo-Heart Of Racing
5- 78-Loris Spinelli\Devlin Defrancesco\Misha Goikhberg-Lamborghini Huracan GT3 Evo 2-Forte Racing
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2023 in 12 movies (1 per months)
January
The Horse Whisperer (1998) directed by Robert Redford with Robert Redford, Kristin Scott Thomas, Scarlett Johansson, Sam Neil, Chris Cooper and Cherry Jones
[First Time]
February
L'Horloger de Saint-Paul (1974) directed by Bertrand Tavernier with Philippe Noiret, Jean Rochefort, Jacques Denis, Yves Afonso, Julien Bertheau and Jacques Hilling
[First Time]
March
The Fabelmans (2022) directed by Steven Spielberg with Gabriel LaBelle, Michelle Williams, Paul Dano, Seth Rogen, Keeley Karsten, Julia Butters and Judd Hirsch
[First Time]
April
The Third Man (1949) directed by Carol Reed with Joseph Cotten, Alida Valli, Orson Welles, Trevor Howard and Bernard Lee
[First Time]
May
The World, The Flesh and the Devil (1959) directed by Ranald MacDougall with Harry Belafonte, Inger Stevens and Mel Ferrer
[First Time]
June
La ciociara (1960) directed by Vittorio De Sica with Sophia Loren, Eleonora Brown, Jean-Paul Belmondo, Carlo Ninchi, Andrea Checchi and Pupella Maggio
[First Time]
July
Oppenheimer (2023) directed by Christopher Nolan with Cillian Murphy, Robert Downey Jr., Emily Blunt, Matt Damon, Florence Pugh, Josh Hartnett and Casey Affleck
[First Time]
August
Heat (1995) directed by Michael Mann with Al Pacino, Robert De Niro, Val Kilmer, Tom Sizemore, Diane Venora, Amy Brenneman, Dennis Haysbert, Donald Breedan and Ashley Judd
[First Time]
September
Catch Me If You Can (2002) directed by Steven Spielberg with Leonardo DiCaprio, Tom Hanks, Christopher Walken, Nathalie Baye, Amy Adams, Martin Sheen, James Brolin and Brian Howe
[First Time]
October
Le Grand Bain (2018) directed by Gilles Lellouche with Mathieu Amalric, Guillaume Canet, Benoît Poelvoorde, Jean-Hugues Anglade, Philippe Katerine, Félix Moati, Alban Ivanov, Balasingham Thamilchelvan, Virginie Efira et Leïla Bekhti
[First Time]
November
Fools Rush In (1997) directed by Andy Tennant with Matthew Perry, Salma Hayek, Jon Tenney, Carlos Gómez, Tomás Milián, Siobhan Fallon et John Bennett Perry
[First Time]
December
The Great Race (1965) directed by Blake Edwards with Tony Curtis, Natalie Wood, Jack Lemmon, Peter Falk, Keenan Wynn et Ross Martin
[First Time]
Honourable Mentions :
Airplane! (1980)
Duel (1972)
Les Sentiments (2003)
The Carpetbaggers (1964)
Scoop (2006)
Mon crime (2023)
To Have and Have Not (1944)
The Super Mario Bros. Movie (2023)
The Man Who Shot Liberty Valance (1962)
臥虎藏龍 (2000)
The Glenn Miller Story (1954)
Le Dernier Voyage (2020)
Dead Men Don't Wear Plaid (1982)
L'ingorgo (1979)
Indiana Jones and the Last Crusade (1989)
Adieu Gary (2008)
Conflict (1945)
Fahrenheit 451 (1966)
La Nuit américaine (1973)
Sorcerer (1977)
La Guerre des polices (1979)
Life of Pi (2012)
The Big Short (2015)
Le Hussard sur le toit (1995)
Excalibur (1981)
The Naked Gun: From the Files of Police Squad! (1988)
Bridget Jones’s Diary (2001)
Le Procès Goldman (2023)
Enter the Dragon (1973)
Matrimonio all'italiana (1964)
Chaplin (1992)
La Vie de château (1966)
Escape from Alcatraz (1979)
Au-delà des grilles (1949)
Second Tour (2023)
Le Couteau dans la plaie (1962)
The Eiger Sanction (1975)
JFK (1991)
Le Fugitif (1993)
Chef (2014)
Quai des Orfèvres (1947)
Appointment with Death (1988)
Bridget Jones: The Edge of Reason (2004)
Wallace & Gromit: The Curse of the Were-Rabbit (2005)
River of No Return (1954)
L'Assassinat du père Noël (1941)
Dances with Wolves (1990)
Die Glasbläserin (2016)
The Lion in Winter (1968)
Les Mystères de Paris (1962)
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La naissance de l'Eglise catholique
Nous évoquions il y a peu le judaïsme, nous parlons assez souvent de l'islam, et parfois du christianisme, mais –un lecteur-ami me le faisait récemment remarquer-- nous parlons rarement de l'Eglise catholique (dont orthodoxie et protestantisme sont, au fond, des conséquences), si ce n'est pour pester, parfois, contre l'acharnement des ''conciliaires'' à vider les églises... ou a rêver d'interdire le pèlerinage de Chartres. Certes, la catholicité n'a plus rien du ''manteau de gloire'' dont parlait le moine Glaber (985-1047), dit ''le chroniqueur'' --un ancêtre des Blogueurs, quoi, mais en dire un mot est un hommage à sa grandeur passée, et l'Avent est ''le moment où jamais''.
Une question qui devrait intéresser beaucoup de monde, dont les chrétiens rémanents, devrait être celle de la naissance de l'Eglise, sujet rarement traité s'il en est (on parle de 2 à 3 % de la population en France. Dans toute l'Europe, leur chiffre est en chute libre, mais l'Afrique sub-saharienne aujourd'hui et l'Asie, demain, sont des réservoirs sans limites pour le développement de ce qui reste de très loin la première religion au monde avec quelque 2,5 milliards de pratiquants... ce qui mérite bien un éditorial de temps en temps !), !
La première ''mention'' remonte évidemment au Christ lui-même, qui dit à Pierre ''sur cette pierre, je bâtirai mon église'', un jeu de mots sur ''Petrus'' et ''petram'' (Pierre, et une pierre). L'évangéliste Mathieu (16 /13-23) en parle ensuite, utilisant le mot grec ''ecclesia'' (= assemblée) qui deviendra ''église'' par simple glissement sémantique. Saint Luc, autre évangéliste, la fait remonter (Actes, 2) à la première Pentecôte (''Allez et baptisez''...), et d'autres à Noël –''la naissance est la base de tout''-- ou à Pâques et au mystère de la Résurrection, qui crée le premier espoir d'éternité, donc de continuation, donc de transmission nécessaire.
''La première église'' peut être considérée comme le premier groupe se ''suiveurs'' (on dirait aujourd'hui : de followers, en franglais), exclusivement des juifs hiérosolymitains qui se sont très vite séparés en deux groupes : les ''hébréophones'', qui parlaient l'hébreu, et les ''hellénophones'', qui préféraient le grec, alors langue le plus utilisée dans cette partie du monde, que Saint Luc appelle ''les héllénistes'' (ce qui désignait plutôt, ''in illo tempore'', les juifs convertis au paganisme grec). La querelle alla jusqu'à des violences extrêmes (déjà !) et Stéphane (devenu depuis Saint Etienne, mais ne fréquentant pas encore le stade Geoffroy-Guichard !) fut lapidé pour blasphème, comme n'importe quel iranien ou afghan d'aujourd'hui.
Ces ''hellénistes'', obligés de fuir et de se réfugier à Chypre dans les années 40, ont commencé à ''enseigner'' les gens qui parlaient la même langue qu'eux : des grecs. Paul, juif lui-même, mais citoyen romain, fit de même avec des latinophones, dont un exemple connu est le Centurion Corneille. La question ''faut-il se convertir d'abord au judaïsme pour devenir chrétien ?'' sera tranchée par Saint Paul lui-même en l'an 48 : les convertis non juifs ne seront plus circoncis. Mais au fond, la première génération de ''chrétiens'' (le nom lui-même date de l'an 44, une dizaine d'années après la Crucifixion) fut surtout missionnaire et ne s'est pas trop préoccupée de problèmes structurels et de son organisation.
Le premier siècle fut une période de foisonnement et même d'explosion. Saint Paul (encore lui ! Cet homme fut un géant de la pensée et de l'action) a tout de même précisé une première liste d'activités : il y a, explique-t-il ''d'abord les Apôtres, puis les Prophètes, puis les enseignants''... idée que nous retrouverons dans une hiérarchie en trois étages (les Episcopes, nos Evêques actuels, les Anciens, et les Clercs) qui va s'étendre et se généraliser dès le 2 ème siècle, temps où le Canon des écritures est fixé dans ses grandes lignes et ne sera plus modifié qu'à la marge. (Rappel : un ''Canon'' est un texte consignant une décision de l'autorité religieuse ou fixant une règle de foi et de discipline religieuse). Au début du 3 ème siècle, toutes les communautés ont adopté une organisation de type iso-monarchique, avec un seul chef, l'Evêque.
Il est possible d'affirmer que l'Eglise chrétienne (qui ne deviendra ''catholique'' que bien plus tard,, en 1598, pour se distinguer de la Réforme) est à peu près unifiée au début du V ème siècle et sa forme variera très peu, au fil des siècles. C'est la plus vieille structure connue, la première ''mondialisation'' (et la seule qui ait réussi !), le premier cas de ''structure managériale'', etc... et la seule qui ait été stable et opérationnelle plus de 1600 ans, record qui ne va pas être facile à battre !
Ce gros travail de recherche terminé, je reste étonné de la vitesse avec laquelle des idées tellement choquantes par rapport à celles pratiquées alors se sont répandues, il y a 2000 ans. Deux remarques me viennent à l'esprit : soit il s'agit d'un phénomène ''venu d'ailleurs'' et sans doute ''d'en haut'', et tout s'explique (NB : il suffit de vouloir croire !)... soit nos arrière-arrière-grands ancêtres étaient vraiment plus souples et plus ouverts que nous... et ils étaient, surtout, sensiblement moins dogmatiques que nous ne le sommes, enfouis dans nos certitudes pourtant toutes démontrées fausses au moins trois fois par jour... Et la masse devenue ingérable de nos faux-problèmes actuels (''faux'' en ce sens qu'ils ne sont insolubles que parce qu'''on'' refuse de bien les poser)... s'explique, aussi, très facilement ! Au fond, il reste vrai que ''tous les chemins mènent à Rome'' !
J'espère que cet éditorial inhabituel, qui m'a demandé un bel effort de recherche, de synthèse ... et de vérification soigneuse des souvenirs de mes lectures depuis mon enfance, n'aura rebuté personne et que, malgré la raideur (relative, tout de même) du sujet, Amis-lecteurs, vous aurez trouvé plaisir à me lire, et aurez appris plein de choses, comme je l'ai fait, en le rédigeant...
H-Cl.
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Jean Pierre Darroussin (French Actor)
Jean Pierre Darroussin takes a leading role as Henri Dufolt (Code name Socrates) in the French TV Series "Le Bureau des Legends"
The Bureau of Legends or BDL is a French television series in five seasons broadcast and fifty episodes of 52 minutes created by Éric Rochant
Within the General Directorate for External Security (DGSE), a department called the Bureau of Legends (BDL) trains and remotely directs so-called clandestine agents. Immersed in foreign countries, their mission is to identify people likely to be recruited as sources of intelligence . Operating in the shadows, "under legend", that is to say under a completely fabricated identity, they live for many years in permanent concealment.
Guillaume Debailly, alias Paul Lefebvre, alias Malotru, returns from a six-year clandestine mission in Syria . In contradiction with security rules, he does not seem to have completely abandoned his legend or the identity under which he lived in Damascus 2. His love affair with the Syrian Nadia El Mansour will seriously complicate things and lead him in particular to play a double game between the DGSE and the CIA .
Organization of the DGSE
The series is based on the real organization of the DGSE. The characters who are part of the DGSE hierarchy are:
Pierre de Lattre de Tassigny, the Director General of External Security , played by Stefan Godin
Marcel Gaingouin, the Director of Operations , played by Patrick Ligardes .
Colonel Marc Lauré, known as “MAG” (Waffle Iron), the Director of Intelligence , played by Gilles Cohen , direct superior to the head of department.
Jean-Jacques Angel, known as JJA ( James Jesus Angleton ), the head of the security department (DSEC) then of the Bureau des légendes, played by Mathieu Amalric .
Henri Duflot, known as "Socrates", head of department, played by Jean-Pierre Darroussin . This position is then occupied by Marie-Jeanne Duthilleul, played by Florence Loiret Caille .
This amazing series is currently streaming on Paramount+ in the UK
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The Exhibitors Herald, June 1926
The first of the deluxe presentations was at the Forrest theatre, Philadelphia, Thursday evening. The audience was composed largely of members of the Advertising Clubs of the World, which was holding an international convention in the Quaker City, and the members of the Poor Richard Club. There were also present a large turnout of society, official and judicial life of Philadelphia. The other audience, which included Mrs. Coolidge, members of the diplomatic corps and Washington newspapermen, as guests of the National Press club, viewed the picture at a special screening Friday night at Poli’s theatre in Washington. General W. W. Atterbury; Senator-elect [and notorious political boss] Wm. S. Vare; Senator [and law professor] George W. Pepper; Lieut. Commander Geo. B. Wilson, U. S. Navy [not to be confused with the character from the Great Gatsby] ; Mrs. Barclay Warburton [civil rights supporter and journalist] ; Major Norman MacLeod; E. T. Stottsbury; Paul Thompson; Alexander Van Rensselaer; Mrs. Charlemagne Tower; Dr. H. J. Tily [department story owner, mason] ; Mr. and Mrs. Theodore W. Reath; Frank Smith; Mr. and Mrs. Jos. N. Snellenburg [merchant in clothing trade] ; Mr. and Mrs. Arthur Block; Mr. and Mrs. Jules E. Mastbaum [movie theater and department store magnates] ; George Nitsche [possibly an affiliate of U. Penn]; Josiah H. Penniman [Provost of U. Penn] ; J. Willis Martin [a judge]; H. S. McDevitt; John J. Monaghan. Judge Buffington, of Pittsburgh; Thos Finletter [could be one of a a number of lawyers with this name]; Mr. and Mrs. A. L. Einstein; Maurice Paillard, French consul; Robt. Von Moschzisker [justice of the Supreme Court of Pennsylvania]; Mayor W. Freeland Kendrick; Geo. H. Elliott, director of public safety; Chas. B. Hall, president of City Council; Dr. Charles Hart; Rev. Wm. H. Fineschriber; Chas Fox, district attorney [could be a coincidence but Charles Fox III and IV are both currently lawyers in Pennsylvania]; John Fisler, president Manufacturers Club [golf afficianado]; Albert M. Greenfield [real estate broker and developer]; Jos. P. Gaffney; Mr. and Mrs. Ellis Gimbel [department store owner]; Daniel Gimbel [brother and co-owner along with Ellis]; J. D. Lit; Richard Gimbel [son of Ellis Gimble]; Benedict Gimbel [brother of Ellis and Daniel]; Colonel Robert Glendinning [banker]; Benjamin Golder [member of the Pennsylvania State House of Representatives], Agnew T. Dice [President of Reading Railroad]. Dr. Leon Elmaleh [founder of the Levantine Jews Society of Philadelphia]; H. Gilbert Cassidy [a judge]; Utley E. Crane [author of Business Law for Business Men]; Cyrus H. K. Curtis [magazine publisher]; Chas. S. Caldwell; G. W. Cole; Hampton L. Carson [lawyer, professor, state Attorney general]; A. Lincoln Acker [Philidelphia port collector]; Max Aron [lawyer]; Eugene C. Bonniwell [a judge]; Chas. L. Brown; Edward Groome; Chas. L. Bartlett; Edward Bok [editor of the Ladies Home Journal]; Mr. and Mrs. Geo. H. Lorimer [editor of the Saturday Evening Post]; Edw. Bacon; Chas. Curtis Harrison [a judge]; Samuel S. Eels, Rev. J. J. O’Hara [future Archbishop of Philadelphia], and Bishop Thos. J. Garland, D. D. [Episcopalian bishop]
There were a bunch of Universal employees in attendance too but that's less interesting to me. Let's see who went to the Washington show
Both showings were under the auspices of Ambassador Henri Beragner of France and Marcel Knecht, French publisher and trade representative. Dr. Ferdnand Heurteur, leader of the orchestra of the Paris Opera House, came to the United States to conduct the orchestras at these two showings. Among the distinguished guests at the Washington showing were: Don Juan Riano, Spanish ambassador; Senor and Senora de Mathieu, Chilan ambassador; Raoul Tilmont, secretary, Belgium embassy; G. H. Thompson, second secretary, British embassy; A. J. Pack, British embassy; Eduardo Racedo and Madame Racedo, first secretary, Argentine embassy; Conrado Traverso, Argentine embassy; Dr. and Senora Velarde, Peruvian ambassador; Dr. and Madame Santiago F. Bedoya, secretary, Peruvian embassy; Senor and Senora Tellez, Mexican ambassador; Senor and Senora Castro, secretary, Mexican embassy; Ambassador de Martino, Italy; Colonel Augusto Villa, miltary attache, Italian embassy; Count and Countess Sommati di Mombello, Italian embassy; Signor Leonardo Vitetti, Italian embassy. Baron and Baroness Ago Maltzan, German embassy; Mr. and Madame Matsuidaira, Japanese embassy; Mr. and Madame Gurgel de Amaral, Brazilian embassy; Senor and Senora de Sanchez Aballi, Cuban embassy; Senor Don Jose T. Baron, secretary, Cuban embassy; Brigadier General Georges A. L. Dumont, military attache, French embassy; Mr. Jules Henry, first secretary, French embassy; Major and Madame Georges Thenault, French embassy; Captain and Madame Willm, French embassy; Mr. A. Konow Bojsen, secretary, Danish legation; Mr. and Madame Marc Peter, Swiss ambassador; Mr. Andor de Hertelendy, Hungarian embassay; Senor and Senora Ricardo Jaimes Freyre, Bolivian embassy. Mr. and Mrs. Timothy A. Smiddy, minister, Irish Free State; Mr. and Madame Simoposilis, Minister from Greece; Mr. and Madame Prochnik, Austrian ambassador; Mr. and Madame Charles L. Seya, Latvian embassy; Mahmoud Samy Pasha and Madame Samy Pasha, Egyptian embassy; Mr. Zdenek Fierlinger, Minister from Czechoslovakia; Mr. Simeon Radeff, Bulgarian embassy; Mr. and Madame Jan Ciechanowski, Polish minister; Senor don Manuel Zavala, Nicaragua embassy, and Mr. and Madame Bostrom, Swedish ambassador.
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Photo
Sur les images ci-dessus, jeune homme se visualisant dans la tenue d’un tueur en série portant un masque à gaz, dans le film d’horreur “Meurtres à la St-Valentin 3D” (2009).
Ci-dessus, les acteurs Vincent Cassel et Mathieu Kassovitz, ficelés sur le tournage du long-métrage “Birthday Girl” (2001).
Ci-dessus, une image de la comédie horrifique “Leprechaun 4 : Destination Cosmos” (1996) mettant en scène un farfadet meurtrier.
L’image ci-dessus, extraite du film d’animation “Le Bossu de Notre-Dame” (1996), présente les personnages de Quasimodo et de Phœbus, bâillonnés face à Clopin, un saltimbanque animant la Fête des Fous, (une sorte de Carnaval).
Ci-contre : jeune homme aux poignets garrottés avec de la réglisse dans une fabrique de bonbons, au détour de l’une des scènes d’un film pour enfants intitulé “Hop” (2011).
Ci-dessous, un photogramme extrait du film d’horreur “Uncle Sam” (1996) et montrant un homme bâillonné avec un drapeau américain, un jour de fête nationale.
Sur l’image présentée ci-dessous : un homme sanglé, cagoulé d’un masque en caoutchouc macabre représentant un crâne humain. Un photogramme du film “Halloween III : Le Sang du Sorcier” (1982).
Ci-dessous, une image tirée d’un court-métrage intitulé “Thanksgiving” (2007), un film de quelques minutes prenant la forme d’une bande-annonce de slasher movie.
Ci-dessous : un homme ligoté et bâillonné en sous-vêtements avec une guirlande de Noël, après qu’on lui ait volé son costume de super-héros, dans le film pour enfants “La Course au jouet” (1996).
Face-à-face entre l’acteur Romain Duris et le comédien Jean-Paul Belmondo dans le long-métrage “Peut-être” (1999) dont l’intrigue se déroule un soir de réveillon : un jeune homme voyage dans l’avenir et rencontre ses descendants, qui le kidnappent et le séquestrent.
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Artist from the book
Josep Puig
Willem Kromhout
Karl Moser
Otto Wagner
Charles Rennie Mackintosh
Charles Francis Ainsley
John Pollard Seddon
Cass Gilberd
Armas Lindgren
Alexandre Marcel
Daniel Hudson Burnham
Eliel Saarinen
Gerald Calloott Horsley
Bernard Maybeck
Michel De Klerk
Peder Nilhelm Jensen-klint
J Li Mathieu Lauweriks
Sigurd Lewerentz
Erich Mendelsohn
Ragnar Ostberg
Adolf Eibink
Poelzig
Ivar Tengbom
Joseph Vago
Gunnar Asplund
Joseph Marrast
Paul Groesch
Tony Garnier
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french cinema
i said i'd make a french new wave list so here we go! these are my favourite new wave films and those that aren't considered new wave but are still my favourite from french cinema in the 60s-90s.
la haine (1995, mathieu kassovitz—favourite film of all time.)
pierrot le fou (1967, jean luc godard—this film a classic, it is wholesome to me and i love jean-paul belmondo)
le genou de claire (1970, éric rohmer—i love almost all this movies)
la collectioneuse (1967, éric rohmer)
vivre sa vie (1962, jean-luc godard)
peppermint soda (1997, diane kurys)
le bonheur (1965, agnès varda)
a nos amours (1983, maurice pialat)
pauline a la plage (1984, éric rohmer)
masculin féminin (1966, jean-luc godard (rip king)!—this is one of my favourite films, i don't know why but i've always enjoyed watching it time and time again)
honorable mentions: fat girl (2001, catherine breillat) conte d'été (1997, éric rohmer), day for night (1973, françois truffaut), kung fu master (1988, agnès varda) and la boum 1+2 (a classic. you can't be french and not have seen this movie)
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AFFICHAGE LIBRE FREE BILLBOARD
avec Mathieu Tremblin sur une invitation d’Éric Watier & Cedric Torne de l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Montpellier.
Avec les contributions de :
Thomas Ducrocq - Marker on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #2, Place de la Révolution française, Montpellier, Fr.
Bon Dimanche : ) Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #3, Place de la Révolution française, Montpellier, Fr.
Samuel Bosseur - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #5, Avenue Albert Einstein, Montpellier, Fr.
Aziyadé Baudoin Talec - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #6, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Coco Bergholm - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #9, Avenue Saint-André de Novigens, Montpellier, Fr.
Zeko - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #11, Boulevard Ernest Renan, Montpellier, Fr.
Stephane Mroczkowski - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #12, Boulevard Mounié, Montpellier, Fr.
Name - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #13, Boulevard des Sports, Montpellier, Fr.
Germain Ipin - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #15, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Louise Moulin - B & W print, marker, acrylic & spray paint on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #16, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Gérard ZlotyKamien - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #17, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Jean Faucheur - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #18, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Deana Kolencikova - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #19, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Serra Glia - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #20, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Souad El Maysour - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #32, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Roland Gorgen - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #33, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Julie Savoi - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #34, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Elsa Werth - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #36, Rue Marie-Jeanne Langlois, Montpellier, Fr.
Danilo Milovanic - B & W print & spray paint on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #37, Avenue Villeneuve-Angoulème, Montpellier, Fr.
Sebastian Jung - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #38, Avenue Villeneuve-Angoulème, Montpellier, Fr.
Céline Ahond - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #60, Avenue des Moulins, Montpellier, Fr.
Emma Cozzani - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #61, Avenue des Moulins, Montpellier, Fr.
Nicolas Henri Muller - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #62, Avenue du Professeur Louis Ravas, Montpellier, Fr.
Elsa Quintin - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #63, Avenue du Professeur Louis Ravas, Montpellier, Fr. Pierre Frankel - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #64, Avenue Henri Marès, Montpellier, Fr.
Louise Guarrigues - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #68, Avenue de la Justice de Castelnau, Montpellier, Fr.
Gilbert Coqalane - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #69, Avenue de la Justice de Castelnau, Montpellier, Fr.
Duo Oran - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #81, Avenue d'Occitanie, Montpellier, Fr.
Jean-Claude Luttmann - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #87, Avenue Paul Parguel, Montpellier, Fr.
Soline Lecourbe - Marker on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #89, Rue Adrien Proby, Montpellier, Fr.
Claude Closky - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #90, Avenue Augustin Fliche, Montpellier, Fr.
Mardi Noir - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #99, Rue du Général Riu, Montpellier, Fr.
Aurore Leduc - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #112, Rue du Faubourg Figuerolles, Montpellier, Fr.
Anna Lejemmetel - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #113, Rue du Faubourg Figuerolles, Montpellier, Fr.
Info & Map.
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutôt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amèrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais régulièrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais à Paris puisque Paris est à 3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti à Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter à la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy après un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hôtel habituel, dans le 18ème.
La gérante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (à mon grand désarroi, je rêve de ressemble à monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisième ou la quatrième fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été très raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
Après ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continué à marcher et le temps s'est gâté, il a finit par pleuvoir et j'ai dû me réfugier dans une brasserie où, unique client, j'ai profité des happy hours pour déguster une pinte de blonde à 5€.
A ce moment là, j'étais plutôt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu être autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hôtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté près de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était très bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes côtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'était pas muet, bien au contraire, il passait son temps à invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais déjà Mathieu et Nina mais il n'empêche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon côté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était très amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tôt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'étais dingue de dépenser 110€ pour une nuit à l'hôtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prévenir pour qu'il m'héberge.
Nous avons convenus de nous voir à midi.
J'ai rassemblé mes affaires et j'ai quitté mon hôtel pour aller au musée d'Orsay où avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment très émouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de près.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et très tôt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de là avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il était possible d'en être autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est très lié à mon enfance et je suis toujours très nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis très heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train après une petite journée qui s'est déroulée très vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces dernières semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthète laid, quelle ironie, tout de même !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutôt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce récit en saluant celles qui me lisent toujours : fidèles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis désormais), c'est un honneur d'être lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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