#dan mcneely
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ryunumber · 9 months ago
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does dan mcneely from trapped have a ryu number?
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Dan McNeely does not have a Ryu Number.
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nezumithewriter · 3 months ago
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if i had a nickel for every batshit insane male protagonist in a obscure puzzle game with equally batshit insane puzzle solutions made more crazy by the game’s poor quality, I’d have two nickels
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which isn’t a lot but it’s weird it happened twice
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worseperson · 5 months ago
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Shinji’s dad looks like Dan McNeely
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lonesomejester · 5 months ago
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The trapped fandom is dying, reblog if you love traps
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flagboi-whotookit · 1 year ago
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Hello can you draw me something
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yourfaveisanavatar · 7 days ago
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Dan McNeely from the Newgrounds - TRAPPED - Trilogy is an avatar of the Stranger and the End
dan mcneely from the trapped trilogy is an avatar of the stranger and the end!
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lyrebirdreams · 6 months ago
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match my awesome swag
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lucabyte · 8 months ago
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sweet vestigial catch finally rolled out of my queue so i can finally say WHAT DO YOU MEAN IT ONLY EVER GOT <700 NOTES. I THINK ABOUT SWEET VESTIGIAL CATCH SO MUCH...
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four-bastard-bustle · 1 year ago
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I gotta start writing Red Leader like Dan McNeely, legendary villain of the hit flash games series Trapped
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knightochan-official · 5 months ago
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absolutely unjust that dan mcneely's wonderfully hammy VA is imprisoned in gamemaker amateur games but the maid from trapped is now 2b
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cantripwilltrip · 5 months ago
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knighto caught a wife of dan mcneely on the TL and frantically scrolled up to find it again while declaring excitedly "DAN MCNEELY!!!"
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nezumithewriter · 1 year ago
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shout out to this art of dan mcneely from the -TRAPPED- trilogy on newgrounds i never finished for obvious reasons
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jpbjazz · 7 months ago
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LÉGENDES DU JAZZ
CURTIS COUNCE, LA TROP BRÈVE HISTOIRE D’UN GROUPE D’EXCEPTION
‘’While it lasted, the Curtis Counce Group was one of the most exciting ever organized in Los Angeles. Counce picked four men who almost immediately achieved a togetherness only long-established bands seem to have. Today, Carl Perkins is dead, and the members of the group have gone off in different directions... It would be difficult under the best conditions to recapture the feeling of the 1957 quintet. Without Perkins whose unique piano style was basic to the group’s special sound, it is impossible.’’
- Les Koenig
Né le 23 janvier 1926 à Kansas City, au Missouri, Curtis Counce s’est installé en Californie en 1945. En Californie, Counce s’était fait la main en se produisant au célèbre club Alabam aux côtés de grands noms du jazz comme Johnny Otis et Art Farmer. Il avait aussi joué avec Wardell Gray, Hampton Hawes, Benny Carter, Shorty Rogers et Buddy DeFranco.
Counce avait commencé à enregistrer en 1946 avec Lester Young. Dans les années 1950, Counce avait enregistré avec d’autres grands noms du jazz comme Shorty Rogers, Stan Kenton, Shelly Manne, Lyle Murphy, Teddy Charles et Clifford Brown.
Après avoir fait une tournée en Europe avec l’orchestre de Stan Kenton en 1956, Counce avait formé son propre quintet en août de la même année. Le groupe comprenait le saxophoniste Harold Land (un ancien membre du célèbre quartet de Max Roach), le trompettiste Jack Sheldon (parfois remplacé par Gerald Wilson), le pianiste Carl Perkins et le batteur Frank Butler. Le groupe avait fait ses débuts dans un célèbre club bebop de Los Angeles, The Haig. Le groupe se produisait aussi dans un club appelé la Sanborn House. Land expliquait: ‘’There was another pot down on Sunset: the Sanborn House. We played there quite a while, longer than we did at The Haig, and the group built up quite a following. The Haig was very small, but this was a large club.’’
Seul élément blanc du groupe, Sheldon était né à Jacksonville, en Floride, le 30 novembre 1931. Après s’être installé à Los Angeles en 1947, Sheldon avait étudié la musique durant deux ans au L.A. City College. Après un séjour de deux ans dans l’armée de l’air, Sheldon avait joué avec Jack Monrose, Art Pepper, Wardell Gray, Dexter Gordon et Herb Geller. Il avait aussi fait partie des membres fondateurs du groupe de Joe Maini et Lenny Bruce.
En plus de Counce, la section rythmique du groupe était composée de deux musiciens d’exception, le pianiste Carl Perkins (sans lien de parenté avec le chanteur rock du même nom) et le batteur Frank Butler. Né à Indianapolis, en Indiana, Perkins avait fait partie des groupes de rhythm & blues de Tiny Bradshaw et Big Jay McNeely avec qui il avait développé un solide sens du blues. Doté d’un style peu conventionnel, Perkins jouait souvent avec le bras gauche parallèle au clavier. Né le 18 février 1928 à Wichita, au Kansas, le batteur Frank Butler avait joué avec Dave Brubeck, Edgar Hayes et Duke Ellington, entre autres.
Aucun des membres du groupe n’était un musicien vedette, même si Land avait acquis une certaine célébrité durant son séjour avec le groupe de Max Roach et de Clifford Brown. Même si l’initiative de la fondation du groupe revenait à Counce, il s’agissait surtout d’un groupe coopératif où chacun des membres était un partenaire à part entière. On pourrait même dire que la formation était une sorte d’anti-groupe, en ce sens qu’il était beaucoup plus que la somme de ses parties. Harold Land expliquait: ‘’We were all close friends within the group, so it was a good idea for all of us, because we all liked each other personally as well as musically.’’
Fondateur des disques Contemporary, Lester Koenig avait toujours eu le don de dénicher des nouveaux talents. Dans la seconde moitié des années 1950, Koenig avait donné sa chance à une vaste gamme de musiciens prometteurs, dont Ornette Coleman et Cecil Taylor. Le 8 octobre, seulement un mois après que le groupe de Counce ait fait ses débuts au club The Haig, Koenig l’avait invité à entrer en studio. La chimie du groupe avait été évidente dès le départ.
La première pièce que le groupe avait enregistrée était ‘’Langslide’’, un thème de hard bop de Land. Perkins et Sheldon avaient également collaboré au répertoire du groupe avec deux compositions: ‘’Mia’’ et ‘’Sarah.’’ La session comprenait aussi une reprise de la composition ‘’Big Foot’’ de Charlie Parker que le saxophoniste avait enregistrée sous le titre d’’’Air Conditioning’’ et de ‘’Drifting on a Reed’’ pour les disques Dial. Le groupe était revenu en studio le 18 octobre pour enregistrer une dernière pièce: ‘’Sonar’’ de Gerald Wiggins et Kenny Clarke.
Publié sous le titre de The Curtis Counce Group, le premier album de la formation était paru au début de 1957 et avait remporté un succès immédiat. Le critique Nat Hentoff du magazine Down Beat était si enthousiaste qu’il avait accordé quatre étoiles à l’album. Mais le groupe ne faisant pas de tournées et se produisant surtout dans la région de Los Angeles, il était demeuré très peu connu sur la scène nationale. Même si Land se rappelait que le groupe s’était déjà rendu jusqu’à Denver, au Colorado, il ne s’était rien produit à son retour dans l’est. Bien que la formation soit très populaire à Los Angeles, elle n’avait pu rivaliser avec son principal concurrent, le quintet de Chico Hamilton.
À la fin de 1957, le groupe avait publié un deuxième album qui est aujourd’hui considéré comme un classique, You Get More Bounce With Curtis Counce. D’abord publié avec une blonde pulpeuse portant un décolleté plongeant sur la pochette, l’album avait été réédité plus tard avec une illustration beaucoup moins provocante. L’album avait été enregistré dans le cadre de différentes sessions tenues en 1956 et 1957. En plus de la pièce ‘’Sonar’’ qui faisait partie des sessions de l’album précédent, le groupe avait enregistré une version swing de ‘’Stranger in Paradise’’ lors de la seconde session du 15 octobre 1946. Outre la pièce ‘’Big Foot’’ mentionnée plus haut, l’album comprenait également deux pièces qui avaient été enregistrées le 22 avril 1957: ‘’Too Close for Comfort’’ et ‘’Counceltation.’’ Cette dernière pièce était une composition de Counce. À l’époque, Counce étudiait la composition avec Lyle ‘’Spud’’ Murphy. ‘’Counceltation’’ était une pièce expérimentale basée sur le système à douze tonalités de Murphy. La pièce était intéressante, même si elle était un peu trop cérébrale et académique pour être appréciée par un large public. L’album comprenait également une autre composition de Counce intitulée ‘’Complete’’ qui avait été enregistrée en mai. Une version du standard ‘’How Deep is the Ocean’’ faisait partie de la même session. Quant au classique ‘’Mean to Me’’ souvent associé à Billie Holiday, il avait été enregistré en septembre.
Lorsque l’album avait été publié à la fin de 1957, le groupe semblait promis à un brillant avenir. Malheureusement, une série d’événements malheureux avaient contribué au déclin du groupe: la mort du pianiste Carl Perkins à l’âge de vingt-neuf ans en 1958 d’abord (il avait été remplacé par Elmo Hope), puis la baisse de popularité du jazz dans les clubs de Los Angeles à la fin de la même décennie.
Expliquant le déclin du jazz à Los Angeles à la fin des années 1950, l’historien Ted Gioia écrivait dans son ouvrage West Coast Jazz: Modern Jazz in California, 1945-1960, publié en 1998:
‘’The great flowering of modern jazz on the West Coast, which had begun in the mid-1940s on the street of Central Avenue, had reached a dead-end, financially if not creatively. It’s place in Southern California music culture was now taken over by innocuous studio pop records, the nascent sound of surf music, and the steadily growing world of rock and roll. In retrospect, the music being played by Harold Land, Sonny Criss and Teddy Edwards... {and that had been played by the Counce groups}, and the few other straggling survivors of the modern jazz revolution stands out as the last futile effort to hold onto the grounf painfully won over a decade and a half of jazz proselytizing in the Southland, of attempts to spread the gospel of a rich, complex and deep music, a music now on the brink of being drowned out by the amplified sounds of garage bands, three-chord wonders somehow made into media stars.’’
Le groupe avait enregistré un dernier album pour les disques Contemporary avant de disparaître en 1958: ‘’Carl’s Blues.’’ L’album était particulièrement bien nommé, en particulier parce qu’il contenait une composition de Perkins intitulée ‘’C Blues’’ qui avait été une des dernières pièces que le pianiste avait enregistrée avant sa mort. La pièce était également un des faits saillants de l’album.
Le matériel qui faisait partie de l’album avait été enregistré en trois sessions. Parmi les pièces figurant sur l’album, on retrouvait aussi une composition de Sheldon appelée ‘’Pink Lady’’, et des versions des standards ‘’I Got Rhythm’’ et ‘’Love Walked In’’ ainsi que du classique d’Horace Silver ‘’Nica’Dream.’’ Les dernières pièces de l’album avaient été enregistrées le 6 janvier 1958 lors de la dernière apparition de Perkins avec le groupe. Pour l’occasion, Gerald Wilson avait remplacé Sheldon sur deux pièces. Les autres pièces étaient un solo de batterie de Butler intitulé ‘’The Butler Did It’’ et une performance mettant en vedette Land avec la section rythmique du groupe sur une pièce intitulée ‘’I Can’t Get’’ dans lequel il démontrait ses talents d’improvisateur. L’album comprenait également la pièce ‘’La Rue’’, une composition que Clifford Brown avait écrite pour sa femme, Emma La Rue Anderson.
Carl Perkins est mort le 17 mars 1958 cinq mois avant son 30e anniversaire de naissance. Autre victime d’une consommation excessive de narcotiques, Perkins était l’âme du groupe de Counce. Sa mort avait éventuellement entraîné la disparition de la formation. Lorsque Les Koenig avait publié le troisième album du groupe quelques années après que les pièces aient été enregistrées, il avait déclaré:
‘’While it lasted, the Curtis Counce Group was one of the most exciting ever organized in Los Angeles. Counce picked four men who almost immediately achieved a togetherness only long-established bands seem to have. Today, Carl Perkins is dead, and the members of the group have gone off in different directions... It would be difficult under the best conditions to recapture the feeling of the 1957 quintet. Without Perkins whose unique piano style was basic to the group’s special sound, it is impossible. It is tempting to wonder how the band would have been received had it been based in New York; certainly it would have give some of the more famous groups of the fifties a run for the money.’’
L’album ‘’Carl’s Blues’’ n’avait cependant pas été le dernier album du groupe. Un mois après la mort de Perkins, Counce avait tenté de refaire surface avec une nouvelle édition de son quintet dans le cadre d’une session pour les disques Dootone de Dootsie Williams qui avait donné lieu à la publication d’un album au titre plutôt ambitieux intitulé Exploring the Future. Seuls Counce, Land et Butler faisaient partie de l’édition originale du groupe. Le trompettiste Jack Sheldon avait été remplacé par le Suédois Rolf Ericsson. Né à Stockholm le 29 août 1927, Ericsson s’était installé aux États-Unis en 1947 et avait travaillé avec plusieurs groupes, dont ceux de Charlie Barnet, Elliot Lawrence et Woody Herman. Il avait également été membre des Lighthouse All Stars d’Howard Rumsey en 1953. En remplacement de Carl Perkins, on retrouvait un pianiste de New York nommé Elmo Hope qui avait joué et enregistré brièvement sur la Côte ouest à la fin des années 1950.
Né en juin 1923, Hope était un ami d’enfance de Bud Powell. Il avait aussi participé activement à la scène du jazz new-yorkaise dans les années 1940 et au début des années 1950, même s’il était demeuré très peu connu du grand public. Même si le jeu de Hope n’était pas aussi orienté vers le blues que celui de Perkins, il excellait dans le style hard bop dont le groupe de Counce avait fait sa marque de commerce.
Malheureusement, l’album Exploring the Future était d’une qualité d’enregistrement nettement inférieure à celle des albums précédents du groupe. De toute évidence, la mort de Perkins et le départ de Sheldon avaient grandement altéré la cohésion de la formation, même si la qualité de la production aurait pu être rehaussée si certaines pièces avaient fait l’objet de quelques prises supplémentaires. Quatre des huit pièces de l’album avaient été écrites par Hope et étaient indéniablement de style hard bop.
La première pièce de l’album, intitulée ‘’So Nice’’, comprenait des solos d’Ericsson, de Land et de Hope. L’album comprenait également une reprise du standard ‘’Move’’ de Denzil Best, qui était essentiellement composée d’un solo du batteur Frank Butler. L’album comprenait aussi deux ballades, le standard ‘’Someone to Watch Over Me’’ sur lequel Counce interprétait un magnifique solo, et ‘’Angel Eyes’’, sur lequel Ericsson, Land et Hope avaient également livré leurs propres solos. Malgré ces prouesses techniques, on avait un peu l’impression que le groupe vivait sur du temps emprunté et que l’enthousiasme des débuts n’était plus là.
Il s’agissait du dernier enregistrement du groupe sous la direction de Counce. Deux autres sessions avaient été organisées avec sensiblement le même alignement par la suite, mais sans Counce, qui avait été remplacé par Leroy Vinnegar. La première session était dirigée par Hope et avait eu lieu le 31 octobre 1957. Le Elmo Hope Quintet, qui était composé de Stu Williamson à la trompette, de Land au saxophone ténor, de Leroy Vinnegar à la contrebasse et de Butler à la batterie, avait enregistré trois pièces pour les disques Pacific Jazz: ‘’Vaun Ex’’, ‘’St Elmo’s Fire’’ et ‘’So Nice.’’ Les trois pièces étaient des compositions de Hope. Que le producteur Dick Bock ait décidé ou non d’enregistrer un album complet avec le groupe, aucune autre pièce n’avait été enregistrée (ou à tout le moins publiée). Deux des trois pièces de la session avaient finalement été publiées sur des anthologies au cours de l’année suivante. Au début des années 1960, les trois pièces avaient été publiées sur une réédition des oeuvres du batteur Art Blakey. La qualité d’enregistrement de ces trois pièces était de loin supérieure aux enregistrements du groupe de Counce avec les disques Dootone.
Sur ces enregistrements, Land et Butler avaient souvent démontré une complicité déconcertante qui donnait parfois l’impression à l’auditeur qu’ils communiquaient par l’entremise d’une sorte de télépathie. Il faut dire que Land et Butler faisaient partie du groupe depuis les débuts. Comme Land l’avait expliqué plus tard: ‘’We’ve always been close friends, and we were born on the same day of the month in the same year {Butler le 18 février, et Land le 18 décembre 1928}... and even our wives get sick and tired of our talking about how ‘’in tune’’ we are with each other {rires}.’’ Le fait saillant de l’album était la composition de Perkins ‘’Grooveyard’’, une pièce qui était très influencée par le gospel et le blues.
En réalité, pour avoir une meilleure idée du talent du groupe à cette époque, il est sans doute préférable de se référer à des albums de Land comme ‘’Harold in the Land of Jazz.’’ Comme l’écrivait Bob Gordon dans son livre ‘’Jazz West Coast: The Los Angeles Jazz Scene of the 1950’s’’publié en 1986:
‘’Perhaps the definitive recordings from this period came under the leadership of Harold Land for Contemporary records. Harold in the Land of Jazz (reissued later as Grooveyatd) is significant both as the first album released under Harold Land’s name and as Carl Perkins’s last recording. The sessions were held on 13 ans 14 January 1958, and the musicians were Rolf Ericsson, Land, Carl Perkins, Leroy Vinnegar and Frank Butler. These Contemporary recordings combine the fire of the Dootoo recordings and the recording quality of the Pacific Jazz Session.’’
En 1989, grâce au dévouement d’Ed Michel des disques Contemporary, un cinquième album du groupe avait été publié sous le titre de Sonority. Dans ses notes de pochette, Michel écrivait:
‘’I always feel like I’m being given a treat when I get to work in materials from the Contemporary vault (not only because one of the things I’d hoped for in my salad days was to grow up to turn out something like Les Koenig): but this batch of Curtis Counce previously-unreleased takes strikes some sort at special nerve. They were all recorded around the time I was starting out in the record business (for Contemporary’s down-the-street rival Pacific Jazz, run by the estimable Richard Bock), and featured players I was hearing with great regularity at the time on the active and exciting L.A. scene. And ‘’active’’ and ‘’exciting’’ are appropriate words to describe things.’’
Les quatre albums du groupe de Counce qui avaient été publiés à l’origine par les disques Contemporary, ont été réédités en 2006 dans le cadre d’un double CD publié sur étiquette Gambit Spain. Le groupe avait aussi enregistré un album dans le cadre de la Craft Recordings Acoustic Sound Series, mais il n’avait jamais été publié. Décrivant la production du groupe, l’historien du jazz Ted Gioia écrivait dans son ouvrage West Coast Jazz: Modern Jazz in California publié en 1992: ‘’The Curtis Counce quintet is one of the great neglected jazz bands of the 1950s. The reasons for his neglect are difficult to pinpoint.’’ Dans son livre ‘’Jazz West Coast: The Los Angeles Jazz Scene of the 1950’s’’, Bob Gordon dressait également un portrait du groupe de Counce. Gordon précisait: ‘’Jack Sheldon on trumpet, Harold Land on tenor saxophone, Carl Perkins on piano, Curtis Counce on bass and Frank Butler on drums made up the original powerhouse group whose aggressive and hard-hitting style of jazz certainly belied Grover Sales wrap that ‘’many West Coast Jazz... recordings... today strike us as bloodless museum pieces...’’ Tentant d'expliquer l'échec, ou du moins la disparition, du groupe de Counce, Gordon poursuivait:
‘’It is hard to understand why the Curtis Counce Group failed to achieve the recognition - either popular or critical - it deserved. Perhaps it’s because the group was so difficult to piegeonhole. As a Los Angeles-based group it couldn’t remotely be identified with the West Coast school. Stylistically, the Curtis Counce Group fit quite naturally with such groups as the Jazz Messengers or the Horace Silver Quintet, but such a comparison tended to upset the East Coast-West Coast dichotomy that then figured so prominently in jazz criticism. So, stuck as they were thousands of miles from the centre of editorial power, the musicians in the group turned out their own brand of hard-swinging jazz in relative obscurity. It wouldn’t be fair to say they were totally ignored by the influential critics, but they were seldom evaluated at their true worth.’’
Victime d’une crise cardiaque le 31 juillet 1963, Curtis Counce se trouvait dans l’ambulance qui le transportait vers un hôpital de Los Angeles lorsqu’il avait poussé son dernier soupir. Il avait seulement trente-sept ans.
Ont survécu à Counce son épouse Mildred, sa fille Celeste et un fils. Le fils de Counce, qui était né le 10 avril 1961, avait été placé en adoption par sa mère biologique. Curtis connaissait l’existence de son fils, mais en raison de sa façon de vivre, il n’avait jamais fait partie de sa vie. Le fils de Counce, dont on ignore le prénom, est décédé le 23 janvier 2022.
Contrebassiste remarquable, Counce était également un excellent soliste. Malheureusement, sa mort prématurée l’avait empêché de réaliser son immense potentiel.
©-2024, tous droits réservés, Les Productions de l’Imaginaire historique
SOURCES:
CERRA, Steven. ‘’Remembering The Curtis Counce Group.’’ Steven Cerra, 26 mai 2018. ‘’Curtis Counce.’’ Fandom, 2024. ‘’Curtis Counce.’’ Wikipedia, 2024. SALVUCCI, Richard J. ‘’Curtis Counce: You Get More Bounce With Curtis Counce!’’ All About Jazz, 18 novembre 2023.
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redrockinreaper · 1 year ago
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Do you ever feel like Dan McNeely?
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olden-towne · 8 months ago
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Dan McNeely of Flash Bash and the Trapped trilogy
Comment or reblog this post with a fighting game character and I’ll tell you what part of the LGBT+ acronym I think they are
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linuxgamenews · 8 months ago
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Revive Wetlands and Breed Frogs in Kamaeru: A Frog Refuge
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Kamaeru: A Frog Refuge is a cozy farming sim game that is due to evolve onto Linux, Mac, and Windows PC. Thanks to the creative minds at Humble Reeds. Working to make its way onto Steam soon. Ready for some chill vibes with cute frogs? Kamaeru: A Frog Refuge is due to make its way onto Linux via Steam, June 8th, 2024. Developed by Humble Reeds and published by Armor Games Studios, this cozy farming sim is all about frogs, farming, and nature love. You play as a kind soul helping an old friend revive the wetlands from your childhood. Your mission? Turn them into a safe haven for friendly little frogs. With the help of a cast of welcoming NPCs, you’ll photograph and breed frogs to boost your reputation. Also, decorate your frog sanctuary and plant native crops. All due to make your amphibian friends feel at home. In Kamaeru: A Frog Refuge you will meet Cleo, who’s back home looking for a break from her daily grind. She teams up with her childhood friend, Axel, to breathe life back into the local wetlands. Since they aim to create a welcoming home for their frog friends. Your job is to re-energize the withering wetlands. Dig ponds, plant crops, and place furniture throughout the sanctuary. You'll also attract over 500 different frogs across eight species. Watch as these cute critters nap on cozy sofas or bask in bubble baths.
Kamaeru: A Frog Refuge Release Date Trailer
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Document each discovery in your Frogedex. Observe and photograph new frog breeds, noting their colors and patterns. Also collect valuable data on their behaviors and food preferences to help them adjust to their new home. Along the way, you're due to meet friendly NPCs like former surgeon Anabelle and Djena the furniture maker. Manage resources to secure extra funds and turn the dried wetlands into a frog paradise. Kamaeru: A Frog Refuge is a charming amphibian adventure features colorful visuals that look like watercolor paintings. Rekindle old friendships, make new ones, and restore the wetlands to a peaceful home for your hoppy companions. Dan McNeely, CEO & Founder of Armor Games Studios, says, "The comforting relaxation of Kamaeru: A Frog Refuge encourages players to take a break from life's responsibilities and spend time nurturing a wholesome, wildlife environment. Join Cleo and her friend Axel in crafting a flourishing environment for our adorable, amphibian friends." Kamaeru: A Frog Refuge cozy farming sim arrives on June 8, 2024. Doing so in multiple languages including English, French, German, Japanese, Spanish, Brazilian Portuguese, and Simplified Chinese. It will be available on Linux, Mac, and Windows PC. So be sure to Wishlist it on Steam.
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