#désolée d'avoir mis du temps
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Je me suis encore réveillée avec la boule au ventre en plein milieu de la nuit. J'ai envie de lui envoyer ses 4 vérités parce que j'ai été trop gentille avec lui. Pendant notre appel j'ai mis toute la faute sur moi alors qu'il a une grande part de responsabilité de son côté aussi. À partir du moment où il a vu que je m'attachais, pourquoi il n'a pas essayé d'en parler? Ça pouvait venir de moi mais il aurait pu lui aussi remettre les choses au clair. Soit disant il attendait que ça vienne de moi, mais c'est trop facile de dire ça. Ça a duré des mois et il a bien vu que je n'en parlais pas donc il pouvait mettre le sujet sur la table??? Et comment il a pu coucher avec d'autres meufs en sachant que j'étais attachée à lui et sans jamais en parler?? En plus oui il a mis de la distance quand il a remarqué que je m'attachais mais j'ai relu la conv et il me sortait encore des "j'aurais tellement aimé être dans tes bras là mtn" même quand il avait capté??? Y a pas à jouer avec les gens comme ça?? Quand je lui ai demandé pourquoi il avait été si attentionné, il m'a sorti "pcq je suis juste gentil et que je m'intéressais à ta vie" mais je sais pas ça M'ÉNERVE. Je suis la seule à trouver ça chelou d'être AUSSI attentionné avec un plan cul?? Et tout le monde me dit "bah pourquoi tu lui reproches d'avoir eu un comportement convenable avec toi?". Non, non, je suis désolée pour moi y a rien de normal là dedans putain!!!
Mais j'ai tellement pas envie de lui faire ce plaisir de revenir vers lui parce que ça me dégoûte du plus profond de mon être que lui s'en batte les couilles. Je mérite tellement mieux que ça. Je mérite tellement quelqu'un qui me met en priorité. Et aussi j'ai tellement pas envie d'être encore plus blessée. Il peut être très cassant et froid et j'ai peur qu'il me dise des mots que je retiendrai trop. Et en même temps j'ai tellement de rancœur envers lui là et ça m'énerve que tout se soit bien terminé pour lui. Il est sorti de tout ça hyper satisfait pcq je lui ai dit qu'il n'avait rien à se reprocher. J'ai envie qu'il comprenne que ses comportements n'étaient pas normaux putain.
Et aussi je vais faire ma connasse là mais je me le garderais bien sous le coude si un jour j'ai envie de coucher avec quelqu'un pcq au moins là dessus on était sur la même longueur d'ondes. Et j'ai plus aucune empathie pour lui donc ce serait juste pour le fait de le faire. Je sais c'est pas ouf mais j'ai vraiment la haine.
(22/05/2024)
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Coucou!! C’est encore moi :D
Comment ça va? ça fait si longtemps!!
Oh! Oui! Le frog, Mon amour /p, Si tu étais transformé en grenouille, qui embrasserais-tu pour briser la malédiction ?
Mon ami, je suis vraiment désolé d'avoir mis du temps à répondre, j'ai été occupé par mon travail criminel ! (He means he got arrested to see Dad again.) Terry, ma chère, s'il te plaît, ne m'envoie pas de messages sur mon compte, c'est très dangereux. (okay. bye.)
Well, mon ami, I would give my beautiful daughter Dart un petit kiss on ze cheek, because nothing is greater than a father's love for his wonderful children!!
...
Ze real answer is my ex-husband Officier Garrett. Or maybe Pencil Man. Probably Pencil Man, if we are ze make-believing.
Translations under the cut!
[Ask translation for my non-speakers, love you all!: Hello!! It's me again :D How are you? It has been such a long time!! Oh! Yes! The frog, My love /p, If you were transformed into a frog, who would you kiss to break the curse?]
My friend, I'm really sorry it took me so long to respond, I've been busy with my criminal work! (He means he got arrested to see Dad again.) Terry, my dear, please don't send me messages on my account, it's very dangerous. (okay. bye.)
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Quand cette relation prendra fin, car elle prendra fin bien plus vite que même moi je ne le pense, je vais vraiment commencer à travailler. Certes, j'ai déjà commencé à travailler, j'ai déjà entamé des introspections, conclus certaines choses, mais, toute relation nous fait nous repositionner sur nombre d'opinions. En effet, je commence sincèrement à savoir ce que je ne veux plus, ce que je ne peux plus tolérer. Je crois que ce que je vis en ce moment avec ce garçon m'offre beaucoup d'opportunités pour plus tard. C'est l'une des rares fois de ma vie où je suis la personne saine et guérie. Où j'ai ce regard à la fois offusqué et à la fois attendri de voir comment se passe le processus de deuil amoureux chez les autres. J'ai souvent fait le parallèle avec lui car j'ai aussi mis du temps à m'en remettre, beaucoup de temps même. J'ai eu ses réactions, j'ai pensé aux mêmes choses que lui, j'ai aussi regretté quelqu'un qui ne méritait pas autant de mon temps, j'ai aussi voulu que cette personne revienne, j'ai aussi pas pu m'empêcher de retourner vers elle et de la comparer à chaque quelqu'un que je fréquentais. Si je ne lui en veux qu'à moitié c'est seulement parce que j'ai été pareille et que je sais que je suis pour lui ce que certains ont été pour moi: une leçon de morale. J'ai laissé des gens bien partir car je n'arrivais pas à me comporter correctement avec eux car j'étais encore trop amoureuse. Il est évident qu'on ne peut pas aimer quelqu'un quand on pense encore à quelqu'un d'autre. Plus les jours passent et plus je comprends qu'on a jamais été mis sur le même chemin pour s'aimer mais plutôt pour que j'apprenne l'amour de moi et lui, l'amour inconditionnel. La position que je prends dans cette relation est de plus en plus singulière du fait que j'intègre peu à peu qu'il n'est pas prêt alors que ça y est, moi, je le suis. Je ressens de la peine pour lui car dans ses yeux, je lis qu'il est désolé de penser à une autre fille que moi, qu'il est désolé de pas être à la hauteur, qu'il sait qu'il ne pourra jamais fournir ce que j'attends, qu'il a compris que ça n'avait jamais commencé. Car c'est vrai, nous n'avons pas d'histoire propre, nous avons son histoire à lui. Nous n'existe pas. Je, Il/Elle et Ils oui par contre. Je crois qu'au lieu de pâtir de ça, je dois me faufiler entre la peine et récupérer ce qui pourra me servir. Car un jour, on se verra, et il osera enfin me dire qu'il n'y arrive pas, que c'est pas moi c'est lui. Si simple que ça en devient frustrant, mais, néanmoins si véridique. Ce n'est pas moi, j'ai été, je suis et je serai inattaquable. Brusquer le terme, partir du jour au lendemain, lui expliquer tout ça, j'y pense mais je ne suis pas à quelques semaines près de prise de conscience. Il conclura d'un dénouement déjà anticipé de mon côté. J'aurais aimé rencontrer quelqu'un qui me voit moi et pas une autre, qui me valorise et qui ne regrette pas, pour qui je serais importante et pas maternante. Je le voulais sincèrement mais je ne crois pas que me mentir à moi même soit viable. Ça me fragilise mais pas nécessairement de la manière dont je l'aurais soupçonné. Je ne sais pas s'il y a quelque chose de plus douloureux que regarder quelqu'un qui essaie d'aimer mais qui n'y arrive pas, de plus douloureux que quelqu'un qui, en face de nous, pense à quelqu'un d'autre et ce, indépendamment de sa volonté. Lire un autre reflet que le sien dans une paire d'yeux nostalgiques d'une vie avec quelqu'un d'autre, c'est dur. Je me suis toujours dit qu'il avait de la chance d'avoir rencontré une fille (moi) qui a le même prénom que l'autre, bien que factice, ça enlève un poids de me dire qu'il adresse ses pensées les plus sincères à une fille qui s'appelle comme moi, bien que, ça ne soit pas moi. Réconfort factice qui m'a toujours fait sourire. J'ai le cœur qui saigne et j'ai hâte qu'on en finisse avec ça.
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Coucou ! :D Pour le jeu des questions de lecture : 35, 95 et 135 si tu veux ! :D
(PS : bon courage pour demain ! J'espère que ça te changera un peu les idées ! :D)
Saluuut ! Et désolée d'avoir mis autant de temps à répondre !
35) A book featuring the found family trope
Là tout de suite, celui qui me vient en tête est Three views of crystal water de Katherine Govier. L'héroïne est américaine et se retrouve au Japon, recueillie par la maîtresse de son grand-père qui est une plongeuse ama. Elle va trouver sa place et du soutien dans cette communauté. J'avais beaucoup aimé l'ambiance poétique et contemplative, les descriptions de la mer et l'entraide qui entre ces femmes.
95) Your favorite coming of age novel
Le précédent pourrait aussi rentrer dans cette catégorie, mais je disais sans hésiter :
-La licorne noire de Tanith Lee. C'est l'histoire d'une jeune sorcière dans l'ombre de sa mère qui découvre ses pouvoirs, son identité et sa place en ce monde. C'est drôle et entraînant, avec une héroïne débrouillarde.
-Isoline de Judith Gautier, c'est très romanesque, avec une héroïne qui acquiert sa liberté et une très belle fin.
-Vacances dans le Caucase, Maria Iordanidou. On peut dire que l'héroïne se retrouve rapidement projetée dans le monde adulte avec tout ce qu'elle traverse mais elle réussit toujours à s'en sortir et l'histoire garde une tonalité tendre et optimiste.
135) Recommend any book you like!
Allez, on va sortir de la fiction avec Artémise, une femme capitaine de vaisseaux en Grèce antique de Violaine Sébillotte-Cuchet. Artémise I de Carie est de mes personnages historiques préférés. S'il n'y a pas assez d'éléments sur elle pour en faire une biographie, l'autrice la replace dans son contexte et aborde beaucoup d'autres thématiques autour du pouvoir des femmes et de leur place dans la cité. J'ai trouvé ça passionnant !
Book recs aks
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YOUTH STUDIO CHAPITRE 5
(quartier commerçant)
shinobu : ooh, il y a plus de monde que d'habitude de gozaru !
je suis habituellement mal à l'aise avec les gens sur le trottoir qui distribuent des mouchoirs ou qui font de la publicité.
ça faisait effectivement longtemps que je n'avais pas emprunté une rue aussi large comme celle-là de gozaru.
makoto : ah oui ? désolé, je t'ai invité à un endroit qui te rend inconfortable.
shinobu : waah, s'il te plaît ne t'excuse pas de gozaru! yuuki dono je suis super content que tu m'aies invité de gozaru~♪
en fait, tant que je suis avec toi, j'ai l'impression que je pourrais aller dans n'importe quel magasin les yeux fermés de gozaru!♪
aau, ne, ne me pousse pas avec ton coude....... wah, oh, oooooh
makoto : shinobu kun, est-ce que ça va !?
shinobu : ugh... j'ai été pris au dépourvu de gozaru.... c'est peut-être parce que j'ai un petit peu sauté les entraînements car en ce moment il fait trop froid de gozaru.
après tout, je dois suivre l'exemple de capitaine dono, *râle râle* .....
makoto : euh, est-ce que ça va ? il y a un parc à côté du quartier commerçant. shinobu kun, attends-moi là-bas.
si jamais tu as une musique en tête pour la diffusion, j'irais la chercher pour toi.
shinobu : uhh..... si je fais faire à yuuki dono le travail qui m'a été donné, je trahirais les attentes du président qui attendait tant de moi de gozaru...
surtout que c'était une mission à faire seul, et je suis accompagné pour la compléter.
mais je suis avant tout un ninja de gozaru, c'est une excellente occasion de montrer le fruit de mes entraînements avec yuuta kun de gozaru. aller, c'est parti............♪
makoto : (wow, incroyable, il se faufile discrètement dans la foule)
(shinobu kun est petit alors ça doit être plutôt facile. je ne suis pas grand non plus, mais je n'ai pas non plus l'impression d'être assez petit.)
(si je faisais pareil que shinobu kun j'ai l'impression que je me ferais repousser par la foule à mi-chemin.)
shinobu : yuuki dono~! regarde, regarde! voici l'étendue de mes pouvoirs de gozaru!♪
makoto : ahaha, tu as raison. shinobu kun tu es trop fort♪
shinobu : ehehe, j'ai été félicité de gozaru........♪
makoto : bon je viens aussi, est-ce que tu peux m'attendre ?
shinobu : bien reçu de gozaru, je suis un bon garçon qui sait attendre patiemment de gozaru~☆
makoto : excusez-moi. s'il vous plaît laissez-moi passer~ oui merci beaucoup♪
shinobu : (ho ho, voici un autre moyen de traverser la foule de gozaru~. mais moi je suis timide alors cette technique m'a l'air difficile de gozaru.)
makoto : fiou, ça m'a pris du temps, merci d'avoir patienté shinobu kun. bon aller, entrons dans le magasin.
uwah !?
shinobu : yuuki dono, que t'arrive-t-il de gozaru ?
makoto : eh bien, il y a quelqu'un qui porte une énorme quantité de bagages........ elle ne doit rien voir devant elle, est-ce que ça va aller ?
shinobu : ce monsieur risque de tomber à n'importe quel moment, c'est vraiment dangereux de gozaru.
en plus il est en plein milieu de la foule. j'ai vraiment un mauvais pressentiment de gozaru.....
makoto : je pense qu'appeler cette personne pour l'aider serait une bonne idée.
shinobu : je suis d'accord avec ton idée de gozaru yuuki dono. on dit que lorsque quelqu'un est en difficulté, il faut toujours faire son possible pour l'aider, n'est-ce pas de gozaru ? je vais l'aider aussi de gozaru♪
................
(oh non de gozaru~! j'avais oublié que j'étais timide de gozaru.)
(je me tiens courageusement devant lui, mais je ne sais pas comment lui parler de gozaru. aauuaauu, que dois-je faire ?!)
makoto : hum excusez-nous, est-ce qu'on pourrait vous aider ?
shinobu : (yu, yuuki dono~! tu lui as adressé la parole pile au bon moment, yuuki dono, tu sais tellement bien lire l'ambiance de gozaru♪ tu mérites une fantastique pluie de remerciements de gozaru!)
makoto : mais quand même, c'est une sacrée pile de bagages.
hmm, c'est vrai que quand j'avais fait les courses pour mes fournitures scolaires j'en étais ressortis avec une montagne d'achats aussi.......... hm?
shinobu : yuuki dono, en réfléchissant autant, tu risques de tomber de gozaru.
un jour, j'étais à un concours d'observation de grenouilles à l'école et j'ai perdu l'équilibre et je suis tombé dans l'eau de gozaru.
makoto : ahaha, ça m'arrive souvent aussi quand je ne porte pas mes lunettes. en fait, sa voix me paraissait familière, du coup je me demandais si c'était quelqu'un que je connaissais.
mais la seule fille que je connais, c'est....
attends, est-ce que c'est toi anzu chan !? anzu chan, c'est bien toi pas vrai .....?
shinobu : je ne peux pas verifier son visage parce qu'elle a la tête derrière un sac, et c'est également difficile de bien discerner sa voix de gozaru. je vais écouter attentivement pour vérifier si c'est bien la voix de anzu dono de gozaru~♪
.....................
uugghh, elle ne dit rien du tout donc je ne suis même pas sûr que ce soit une fille en premier lieu de gozaru. s'il te plaît, juste dis quelque chose au hasard de gozaru~.............
makoto : elle a réalisé que la personne qui se tient devant elle est shinobu kun. mais elle se concentre pour ne pas faire tomber tous ses bagages donc elle ne sait pas à quelle distance il est exactement.
je me demande ce qui se serait passé si on s'était trompé de personne, heureusement que c'était bien anzu chan~
shinobu : j'ai cru qu'elle m'avait mis un super vent de gozaru. comme d'habitude anzu dono va à son rythme bien à elle.
et d'ailleurs, je ne sais pas comment tu arrives à trouver l'équilibre avec cette quantité questionable de bagages sur les bras de gozaru♪ et hop, attention
makoto : c'est pas trop lourd ? le sac que je porte n'est pas si lourd que ça, tu veux qu'on échange ?
shinobu : aucune raison de s'inquiéter de gozaru♪ j'ai passé beaucoup de temps à l'entraînement, j'ai gagné du muscle, je peux porter n'importe quel bagage, peu importe son poids de gozaru~ hop hop
fu.... fuu. si anzu dono ne m'avait pas soutenu je serais tombé de gozaru
tu portais tellement de choses de gozaru, anzu dono tu dois être plus musclée que moi de gozaru~♪
aïe, non je n'ai pas dis que tu manquais de délicatesse de gozaru........? je trouvais qu'être fort c'était cool, alors je te complimentais.
makoto : ahaha, shinobu kun tu as vraiment manqué à anzu chan.
la réaction de anzu chan est un peu froide, je me demande si elle essaye juste de cacher sa timidité ....
enfin bref, anzu chan tu es sur le chemin de l'école ? oui c'est bien ce qui me semblait.
nous on faisait du shopping pour rechercher de la musique........ c'était censé être demain ? non, avec anzu chan c'est encore une autre affaire.
en fait, demain c'est le tour de shinobu kun au comité de diffusion. on avait commencé à en discuter, puis on a décidé d'aller rechercher de la musique pour sa diffusion.
hein ? tu veux nous joindre ? moi ça ne me dérange pas mais qu'en est-il de shinobu kun ?
shinobu : anzu dono est toujours la bienvenue de gozaru~♪
makoto : shinobu kun est partant, et toi anzu chan ?
c'est un très gros bagage que tu portes. tu ferais quand même mieux d'aller le déposer avant notre shopping.
ah, tant mieux si ce n'est pas urgent♪
"je suis désolée de devoir faire les magasins avec mes bagages dans les bras" ?
nous te sommes redevables anzu chan, si on se reparti tout ça entre nous trois ça devrait largement le faire !
shinobu : c'est exact de gozaru. j'aimerais avoir des opinions différentes par rapport au choix pour ma musique de gozaru, alors c'est du donnant-donnant de gozaru !
makoto : shinobu kun tu dis quelque chose de vraiment bien ! anzu chan a l'air d'être d'accord, alors allons-y tout de suite~♪!
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END☆☆☆☆☆
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Chapitre 79 : Confrontation
La respiration sifflante de Raines se répercutait dans l'air, un son glaçant qui fit frissonner Parker. Un mélange de dégoût et de haine monta en elle, ravivant des souvenirs douloureux. Chaque souffle de cet homme semblait la narguer, rappelant les horreurs qu'il avait infligées à tant d'innocents, y compris à Mulder. Ses pensées se tournèrent vers son partenaire, son cœur se serrant sous le poids de l'inquiétude et de la culpabilité. Elle le détestait de tout son être, mais surtout après ce qu’il avait fait subir à Mulder.
Raines la regardait avec un sourire narquois, savourant chaque seconde de son tourment. Parker, tentant de maîtriser la tempête intérieure qui menaçait de la submerger, prit une grande inspiration avant de parler, sa voix tremblant légèrement de colère contenue.
Ça, c'est vous qui le dites. Que me voulez-vous, sale ordure ? Réglons nos comptes maintenant, qu'on en finisse !
Elle sortit son arme, la tenant fermement pour cacher ses mains tremblantes, mais une petite voix à l'intérieur d'elle ne cessait de murmurer le nom de Mulder. Était-il seulement en sécurité ? Ce salaud de Raines avait-il encore un autre coup tordu en réserve ?
Raines eut un rire forcé, qui résonna comme un écho sinistre dans le silence de la nuit.
Vous m'avez quelque peu déçu, mademoiselle Parker. Depuis votre départ du Centre, vous semblez avoir changé du tout au tout.
Parker ne put s’empêcher de laisser échapper un rire amer. La tension en elle ne faisait qu’augmenter, nourrie par la rage et l’amertume.
Qu'est-ce que ça peut vous faire, crâne d’œuf ? C'est quoi ce look ridicule ? Vous vous prenez pour un gangster ? Je vois que vous vous amusez bien depuis que mon père n'est plus là. Vous n'avez pas perdu de temps pour reprendre le contrôle du navire, hein ? Cracha-t-elle, son ton empreint de sarcasme.
Les mots lui brûlaient la langue, chaque mot étant un exutoire pour l’immense colère qui grondait en elle. Et pourtant, derrière cette colère, il y avait une autre émotion, plus sournoise, plus terrifiante : la peur.
Raines, touché par ses paroles, retrouva son sérieux, ses yeux s’assombrissant.
Vous croyez que j'ai eu le choix, peut-être ? À cause de votre imprudence, vous avez rompu le secret de notre existence ! Vous nous avez mis dans un sacré pétrin, Parker ! Vous devriez avoir honte de ce que vous avez fait ! S’exclama-t-il avec ferveur, sa voix grondant de colère.
Parker serra les poings, luttant pour ne pas laisser la peur la paralyser.
Je ne regrette absolument rien ! Vous avez mérité votre sort ! Quant à mon père, il a fait son choix ! J'en suis désolée pour lui. Mais maintenant, vous allez me dire la vérité, docteur Frankenstein ! Qu'est-ce que vous avez fait ? Dit-elle, à bout de nerfs, sa voix trahissant la terreur qu'elle ressentait pour Mulder.
Raines esquissa un sourire suffisant, son regard plein de fierté.
Comme vous avez pu le remarquer, je n'ai plus besoin de tout mon matériel pour respirer. Grâce à l'aide d'un ami haut placé, j'ai pu guérir, et désormais, je suis un tout nouvel homme.
Parker sentit une boule se former dans sa gorge. Elle savait à qui il faisait référence, et l'idée que cet homme soit impliqué la rendait malade.
Je vois. Et je suppose que votre “ami” en question est un grand amateur de cigarette, n'est-ce pas ? Alors, avec laquelle de toutes vos répliques ai-je l'honneur de parler ? J'espère avoir au moins le droit à l'original. Renchérit-elle, tentant de masquer sa peur par un ton moqueur.
Raines eut un rictus mauvais, ses yeux étincelant de malveillance.
Vous avez l'air d'avoir un peu trop réfléchi à la question, Parker. Le seul sujet dont vous parlez se trouve dans cette morgue à Quantico. Ce n'est qu'un vieux prototype, rien de plus. Je me suis servi de lui pour attirer votre attention et ainsi retrouver votre trace.
Le rire amer de Parker fendit l’air.
Non, sans blague ? Et je suppose que la tentative de meurtre sur mon équipier faisait aussi partie de votre stupide plan ? Pourquoi s'en prendre à eux ?
Le mépris dans la voix de Raines était palpable.
Je sais ce qu'ils représentent pour vous. Surtout cet homme avec qui vous faites équipe.
Ces mots furent la goutte d’eau de trop. Parker sentit une vague de colère pure l'envahir, et elle lutta contre l'envie de lui sauter à la gorge. L’image de Mulder blessé, allongé sur ce lit d’hôpital, fit monter les larmes à ses yeux, mais elle les refoula avec une détermination farouche. Elle ne laisserait pas cet homme voir sa faiblesse.
Soudain, une voix retentit derrière elle, brisant la tension :
FBI ! Ne bougez plus !
Parker se retourna, le cœur battant à tout rompre. Mulder se tenait là, son arme pointée sur Raines. L’homme semblait surpris de le voir, encore en vie et en pleine forme. Parker sentit une vague de gratitude mêlée de peur l’envahir ; le voir risquer sa vie pour elle réveillait une tempête de sentiments qu’elle avait toujours refoulés.
Montrez-moi vos mains ! Ordonna Mulder en s’approchant prudemment de lui.
Raines s’exécuta sans résistance, mais Parker pouvait voir le mépris dans ses yeux. Mulder le fouilla rapidement avant de le plaquer contre le pare-chocs de sa voiture pour le ligoter fermement.
Vous êtes en état d'arrestation pour tentative de meurtre sur un agent fédéral ! Vous avez le droit de garder le silence. Tout ce que vous direz pourra être retenu contre vous. Maintenant, vous allez attendre sagement ici, le temps que les renforts viennent vous chercher. Ne vous en faites pas, nous prendrons soin de vous. Contrairement à vos méthodes, nous veillons sur nos captifs. Dit-il d'un air dédaigneux.
Raines lui lança un sourire mesquin, mais Parker voyait bien que quelque chose l’avait déstabilisé. Était-ce la présence inattendue de Mulder ?
Lorsqu'ils revinrent au quartier général, Skinner rejoignit les deux agents qui attendaient dans le couloir où Raines était enfermé.
Vous avez fait du bon boulot. Dit-il.
Parker haussa les épaules avec un rire sans joie.
Je n'ai pas fait grand-chose. C'est lui qu'il faut féliciter. Dit-elle en désignant Mulder du menton.
Skinner acquiesça.
Oui, mais c'est en partie grâce à vous que nous avons pu le coincer, étant donné qu'il vous pourchassait. Ajouta-t-il.
Ne vous réjouissez pas trop vite. Si Raines est ici, c'est parce qu'il l'a bien voulu. Il prépare quelque chose, c'est évident. Dit-elle, ses soupçons revenant en force.
Skinner posa une main sur son épaule.
C'est pour cela que nous allons l'interroger. Reposez-vous un peu, vous en avez assez fait pour ce soir. Je m'en occupe. Nous avons une longue journée qui nous attend demain. Dit-il avec raison.
Oui, vous avez raison. Répondit Mulder avant de se lever pour repartir.
Il se leva pour partir, mais Parker resta immobile, les yeux fixés sur lui. Elle attendit quelques minutes après son départ, s’assurant de ne pas croiser son regard. Pourquoi se sentait-elle toujours si désarmée en sa présence ?
Le lendemain matin, Scully apprit rapidement la nouvelle et rejoignit Mulder pour préparer l'entretien avec Raines. Les deux agents savaient que la partie était loin d'être gagnée. La capture de cet homme n'était peut-être pas le fruit du hasard, et c'était bien pour cette raison qu'ils devaient rester prudents.
Il était à présent 9h30 passées, et Mulder et Scully arrivèrent dans la salle d'interrogatoire où Raines les attendait, toujours aussi calme, comme s’il avait tout prévu. Mulder s’installa face à lui, ses yeux brûlant d’une détermination froide.
Je crois que nous avons pas mal de choses à nous dire. Vous allez commencer par m'expliquer pourquoi vous avez tenté de me tuer ? Lança Mulder, la tension palpable dans sa voix.
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Question Cher Père Angel, Je suis tombé par hasard sur votre site web et, lisant quelques lettres ici et là, j'ai été très frappé par la profondeur de ce que vous écrivez, par la délicatesse et la patience avec lesquelles vous répondez aux questions de nous les jeunes. J'ai toujours été d'avis que rien n'arrive par hasard, alors j'en profite pour vous soumettre quelques-uns de mes doutes. Je suis une fille de 20 ans et depuis environ deux ans je suis fiancée à un garçon de mon âge que j'aime énormément. Le lien qui nous unit est vraiment fort et spécial, comme il y en a peu. Il a tellement de qualités merveilleuses que j'ai toujours recherché chez un garson et que je n'espérais jamais trouver. Nous partageons les mêmes valeurs et nous voulons vraiment, dès que nous en aurons l'occasion, nous marier et avoir une belle famille. Nous aimons beaucoup parler de notre avenir et l'imaginer ensemble, toujours unis tous les deux. Nous sommes à la fois croyants et pratiquants et fréquentons la même paroisse. Je dois admettre que la foi de mon copain est beaucoup plus forte et plus solide que la mienne. Il a grandi dans une famille très "traditionnelle", qui lui a transmis des valeurs nobles, que moi aussi, du moins pour l'essentiel, je partage. Moi aussi, j'appartiens à une famille chrétienne, qui a toujours mis Jésus-Christ et sa Parole au premier plan, mais malheureusement, je chancelle très souvent et je suis assaillie de doutes. Parfois, j'ai du mal à être pleinement convaincue de l'existence d'une vie "post-mortem", j'ai peur que ce soit un rêve, une illusion... Cependant, grâce au soutien de mon petit ami, ma foi se renforce même avec des hauts et des bas. Allons droit au but. Mon petit ami et moi avons décidé de ne pas avoir de relations sexuelles complètes avant notre mariage, plus de son choix que du mien. Même si je suis chrétien, je n'ai jamais été en mesure de comprendre pleinement et d'être d'accord avec les enseignements de l'Église catholique sur la morale sexuelle. J'ai toujours cru que chaque personne, en tant que née libre, est propriétaire de son propre corps et a le droit de le gérer à sa guise. La morale sexuelle chrétienne m'a donné l'idée d'une série de préceptes oppressifs introduits pour mortifier l'homme et étouffer son énergie vitale naturelle. Pour cette raison, au début de ma relation, j'ai vu le choix de mon petit ami, de rester vierge jusqu'au mariage, comme une décision égoïste, je ne pouvais pas comprendre sa signification et j'enviais la liberté de tant de mes pairs qui se comportaient déjà comme mari et sa femme, par exemple vivant dans la même maison pour étudier, prendre des vacances ensemble (ce que mon copain et moi aimerions faire aussi, mais ce que nos parents ne permettent pas, car ils pensent qu'il est immoral que deux jeunes célibataires dorment ensemble dans un hotel). Au fil du temps, mon petit ami et moi avons longuement parlé (il a un don merveilleux, il sait m'écouter et est capable de me comprendre profondément) et j'ai complètement changé d'avis sur beaucoup de choses : j'ai réalisé que c'était envers moi une forme d'amour haute et très noble, ainsi qu'une démonstration de respect pour moi et mon corps. J'ai dit que nous nous sommes abstenus d'avoir des relations complètes, mais cela ne signifie pas que nous avons renoncé à vivre la sexualité sous d'autres formes. (…). Désolé pour la digression, je suis de retour sur le sujet maintenant. Je regarde comment les autres couples se comportent et cela me fait souffrir du fait que, alors que d'autres peuvent vivre leur passion sereinement et insouciante sans se fixer de limites, nous devons au contraire toujours composer avec le sentiment de culpabilité et la peur du péché lorsque nous vivons notre intimité. Le fait de ne pas pouvoir recevoir le corps du Christ me rend triste et me fait sentir incohérente avec moi-même et avec mes principes, comme
si je vivais avec une double personnalité. Pourtant j'ai l'impression de ne pas pouvoir changer les choses, car je ne pense pas pouvoir me passer de la passion dans ma relation. Je ne trouve pas normal qu'on arrive au mariage avec la peur de la nudité, sans avoir rien connu du corps de l'autre et sans savoir donner du plaisir à la personne qu'on aime… Mon copain et moi avons acquis un bon niveau de contrôle, qui permet de ne pas dépasser une certaine limite pour éviter que la situation ne devienne irréparable : on est comme deux personnes penchées au bord d'un ravin puis reculant d'un pouce avant de tomber dans le gouffre. Cela dit, j'ai quand même conscience que je dois beaucoup travailler sur mes convictions et que je dois essayer de me sortir beaucoup d'idées de la tête, à la fois parce que je veux garder cette cohérence dont j'ai parlé plus tôt, et parce que sinon je risque de prendre un mauvais chemin. Je sais que vous avez abordé ce sujet à plusieurs reprises, mais je serais heureux si vous pouviez également avoir quelques mots pour moi. En substance, je voudrais vous demander comment je peux apprendre à aimer d'une manière plus conforme aux enseignements de Jésus-Christ, comment je peux établir la relation avec mon fiancé différemment et arriver à être pleinement satisfaite même sans cette partie passionnée dont je vous ai parlé. Je vous remercie d'avance pour le temps que vous me consacrerez. Avec dévouement. ************** La réponse du prêtre très chère, 1. vous n'avez probablement pas lu les différentes réponses que j'ai données concernant les relations sexuelles avant le mariage et aussi les différentes impuretés. Vous pouvez cliquer sur le moteur de recherche de notre site la rubrique "relations prénuptiales" et vous trouverez de nombreuses réponses. Je ne vais pas répliquer aux différentes déclarations que vous avez faites. Je devrais répéter jusqu'à l'ennui ce que j'ai déjà dit mille fois. Au lieu de cela, je me limite à signaler quelques erreurs fondamentales. 2. Le plus important est de penser au corps et à la sexualité comme s'ils étaient les vôtres, avec lesquels vous pouvez faire ce que vous voulez. C'est en grande partie la mentalité commune. Mais c'est faux. Le corps que nous habitons n'est pas le nôtre. Nous ne l'avons pas fabriqué nous-mêmes, et il ne nous a pas non plus été donné pour en faire ce que nous voulions. Bien sûr, vous aussi, convenez que vous ne vous êtes pas donné le corps et que vous devez obéir à plusieurs de ses lois, même si vous ne le voulez pas. Par exemple, vous devez manger si vous voulez vivre. Avant tout, il faut respirer si on ne veut pas mourir. Et ainsi de tant d'autres choses. Le psaume 99.3 dans sa version latine nous rappelle fortement cette vérité : « Scitote quoniam Dominus ipse est Deus ; ipse fecit nos, et non ipsi nos » (Sachez que le Seigneur est Dieu ; il nous a créés et non nous). L'italien est très doux : « il nous a fait et nous sommes à lui ». Saint Paul : « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous ? Vous l'avez reçu de Dieu et vous ne vous appartenez pas" (1 Co 6, 19). D'après votre e-mail, il me semble que vous et vous seul êtes au centre. Dieu est à la périphérie. Comme si nous ne recevions pas de lui à chaque instant "l'existence, l'énergie et la vie". 3. La deuxième chose que vous oubliez, et c'est un grave oubli, c'est celle du sens de la vie et de la raison de la loi divine : la sanctification. Cela semble complètement étranger à vos perspectives. Alors que la sexualité et la relative capacité d'aimer nous ont été données précisément pour cela. "Toutes choses ont été créées par lui et pour lui" (Col 1:16). En dehors de cette perspective, la loi de Dieu est dé
formée et est lue avec des yeux complètement différents de ceux avec lesquels Dieu nous demande de la lire. Sa loi est essentiellement une loi de liberté. Mais d'une liberté intérieure, qui permet de s'élever et de s'unir à Dieu. Il ne s'agit pas de pure volonté, de liberté purement extérieure qui consisterait à faire de notre corps ce que nous voulons. 4. La troisième erreur émanant de votre e-mail est la confusion entre le véritable amour et la passion. La passion a été placée par Dieu dans notre personne. Et nous devons le remercier car à travers la passion, nous trouvons le dynamisme dans tant de choses. Sinon, nous serions aussi froids que des robots. Cependant, la satisfaction des passions, quelle qu'en soit la forme, ne peut être la raison ultime de notre être ensemble. Sinon, vous n'aimez que vous-même et votre propre satisfaction. Mais ce n'est pas comme ça qu'on apprend à s'aimer, à s'écouter, à se servir, à se dévouer à l'autre dans les bons comme dans les mauvais moments. Je pense à Mère Teresa de Calcutta qui disait : "J'ai appris à n'aimer que de Dieu" Dans votre cas, comme malheureusement dans celui de beaucoup d'autres, on ne pense pas du tout qu'il faut apprendre de Dieu. Pour beaucoup, aimer est la même chose que courir après ses instincts. Alors que les fiançailles se font exprès pour apprendre à dominer ses instincts car sinon nos mariages et nos familles n'auraient pas une longue vie. 5. La dernière erreur est de suivre ce que font les autres, ce qui vous semble plus libre. Oui, ils sont peut-être plus libres extérieurement parce qu'ils font ce qu'ils veulent. Mais sont-ils libres à l'intérieur ? Jésus pense différemment. En effet de manière très forte il a voulu attirer l'attention sur une tromperie qui nous vient de notre adversaire. Il a dit : « En vérité, je vous le dis : quiconque commet un péché est esclave du péché » (Jn 8, 34). Cette expression "vraiment je te le dis" signifie "je te le jure". Répété deux fois, il signifie "Je vous jure solennellement". Notre adversaire dit plutôt : « Non, vos yeux s'ouvriront et vous deviendrez comme Dieu », comme il l'a fait avec nos ancêtres. Nous avons vu comment leurs yeux s'ouvrirent : ils se découvrirent vides, pauvres, misérables et incapables de communiquer entre eux. 6. Je pense que j'ai été clair. Au fond de tout et au centre de tout, ne vous mettez pas vous-même et vos pensées : mettez Dieu, mettez Jésus-Christ. Le problème de fond n'est pas de savoir si c'est licite ou non (bien que cela aussi ait son importance, car quand on va sur la route on a encore besoin de signes et on en ressent le besoin) mais d'être persuadé que l'engagement chrétien révèle une autre réalité et renvoie à un autre amour. Surtout, elle révèle une autre Personne: celle dont nous sommes tombés amoureux n'est qu'un signe et un rappel, et nous pousse à vivre en profonde communion et intimité avec elle. 7. C'est pourquoi les fiancés chrétiens qui ont compris ces choses et les ont vécues ressentent le besoin de protéger leur amour et de le garder pur et exempt de toute contrefaçon. Ils sont satisfaits de la loi du Seigneur parce qu'elle les aide à se vaincre. Et en même temps, cela les aide à s'aimer d'une manière vraie et sainte. Et, précisément pour cette raison, de manière durable, comme le souhaite tout petit ami. Merci pour le mail qui m'a donné l'opportunité d'amener la réflexion plus en amont et dans sa perspective ultime. Je vous souhaite bonne chance, je vous rappelle au Seigneur et je vous bénis. Père Angelo.
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I was tagged by @sans-rancune-sans-regrets et @plaidetchocolatchaud thank you midgets !!!
Real name : Julie
Nickname : Ju / Juju / grosse tête / mocheté (mes amis sont supers)
Zodiac : Gémeaux
Other blogs : avant j’avais un skyblog
Favorite musicians or groups : Asking Alexandria, Of Mice and Men, Disturbed, Kiss, Crown The Empire, Airbourne, Veil of Maya, Papa Roach, Hozier, Two Feet, The Weeknd, Childish Gambino, Oh Wonder, Little Oceans (bon courage ça n’a aucun sens)
How many blogs do I follow : je crois qu’on s’approche des 300
Favorite food : les FRITES je vais vous souler jusqu’à ce que McDo rouvre avec ça. Le monde veut des FRITES.
Lucky numbers : je dis rien car je rejoue au loto demain
What am I wearing : un joggo noir, un t-shirt harry potter et un hoodie
Dream vacation : l’Islande, New York, un road trip dans les Cinq Terres et mon top 1 : une excursion dans les îles grecques + Athènes.
Drink of choice : ALORS. Le matin : thé / terrasse l’après-midi : sirop de violette / starbucks l’hiver : moccha blanc / starbucks l’été : refresha hibiscus / terrasse le soir : une pinte de blonde / terrase très tard le soir : un rouge qui tâche.
Languages : je sais dire oui en albanais
Dream car : en berline une BMW, en citadine une Mini
Instruments : je jouais de la flûte au collège
Celebrity crushes : Ricky Whitle, Cillian Murphy, Lili Reinhart, Ester Exposito, Emma Watson
Random facts : j’ai été déléguée tous les ans au collège alors que je me présentais jamais, mon doudou s’appelle Doudou, j’ai une dent en plus que les humains normaux (une canine)
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{FRENCH} Sodo (Dewdrop) x Male!Reader
Demande : Demande WattPad
Genre : Male
Qui : Sodo | DewDrop (Ghost)
N/A : Voilà pour Sodo x Male!Reader! Je suis vraiment désolée pour le temps que j'ai mis à écrire! J'espérai un peu mieux de moi honnêtement, mais j'ai su faire quelque chose! Je ne savais pas quoi mettre comme conflit alors j'ai imaginé un petit truc amusant lié à Copia, puis le reste de l'idée est venu! J'espère tout de même que ce One Shot te plaira ou t'aura plu <33
- - - : Timeskip
~ ~ ~ : Flashback
- - -
Une nouvelle journée débute dans l'abbaye. L'ensemble du bâtiment est plutôt calme, seuls les bruits de pas des soeurs se font entendre avec quelques bavardages ici et là.
Seulement, ce calme habituel est coupé par un bruit de vase qui se brise. Ce bruit résonne dans les couloirs et surprend toutes les personnes passant à proximité de la pièce d'où vient la source sonore.
A l'intérieur de cette salle se trouvent les Ghouls. Habituellement, le groupe s'amuse ou s'entraîne pour les diverses Tournées de la bande Ghost. Mais aujourd'hui, une toute autre ambiance prend place.
DewDrop se retrouve accroupi sur la table en chêne de la salle, exposant ses dents acérées vers toi de façon menaçante, prêt à te sauter dessus à tout moment.
De ton côté, tu te tournes à nouveau vers lui, quittant le vase, qu'il a tenter de lancer sur toi plus tôt, des yeux. Ton regard illustre la colère amère qui s'est éveillée en toi. Cette colère que tu as toujours ressenti envers Sodo.
Pourquoi étais-tu en colère envers la Ghoul? Et bien... Le mâle t'a en fait toujours détesté. Et ce, depuis ton arrivée dans l'abbaye. Tu n'as jamais su pourquoi il ne pouvait pas te supporter, et tu ne le sais toujours pas aujourd'hui...
DewDrop et toi ne vous quittez pas des yeux. Les autres Ghouls remarquent alors l'élan que Sodo commence à prendre, prêt à frapper.
Instantanément, alors que la Ghoul s'apprête à t'attaquer, Mountain et Aether se jettent sur lui, le retenant de faire plus de dégâts que précédemment.
"- Assez, Sodo! Vous en avez trop fait!
- Ne vous plaignez pas d'avoir des problèmes avec la Soeur Impératrice ou Papa..."
Tu te moques des paroles de Aether et Mountain, les fixant d'un air ennuyé :
"- Papa ne dira pas grand chose... Il n'est pas Primo, Secundo ou encore Terzo. Ni même Papa Nihil! Je vous rappelle que c'est Copia."
Les Ghouls femelles, qui depuis le début restent dans le fond de la pièce, se regardent et acquiescent quand elles se tournent ensuite vers toi alors que Cirrus valide tes propos :
"- Y/N n'a pas tort... On va dire que... Copia est un peu plus ouvert que les précédents Papas.
- Ca n'empêche pas qu'il peut s'énerver quand il le veut. Là Dew', tu as brisé son vase stupide préféré qu'il a installé il y a trois jours."
Tout le monde se tourne vers Swiss qui hausse les épaules avant de lever ses mains en l'air de façon innocente :
"- Tout ce que je veux dire, c'est que t'es dans la merde Sodo. Et toi aussi Y/N.
- Moi!?
- Dewdrop ne se battait pas tout seul."
Tu soupires de défaite et tourne le dos à Swiss. Tu sais qu'il a raison, mais tu ne veux pas l'assumer. Après tout, c'était Sodo qui l'avait cherché!
Aether et Mountain font descendre Sodo de la table et alors que le calme commence doucement à revenir, la porte d'entrée s'ouvre avec un fracas, prenant par surprise un peu toutes les Ghouls, sauf Swiss, qui lève le doigt et se met à compter :
"- Cinq, quatre...
- Qu'est-ce qui s'est passé ici?
- Trois, deux.... Un..
- Mon vase!!"
Tout le monde cesse de faire quoi que ce soit dans la pièce, ne sachant jamais comment va réagir Copia. Sachant qu'il est beaucoup attaché à ses affaires étranges que seul lui aime sous ce toit.
Le précédemment Cardinal fonce vers l'objet en pièces avant de se tourner vers ses Ghouls, les plus gros morceaux du vase entre ses mains gantées.
"- Qui est responsable de ce gâchis, enfin?"
Swiss sort, les mains dans les poches et rapidement, les filles le suivent. Ensuite, les autres Ghouls sortent. Il ne reste que toi et Sodo avec Copia. Vous restez figés là, regardant le vase de Papa IV.
Tu t'avance avec hésitation vers lui. Ne sachant pas quoi dire, tu choisi l'option : faire tes excuses. Tu t'agenouille face à Papa et ramasse les quelques morceaux restant au sol :
"- Je suis désolé Papa... Ce n'était pas volontaire. Si il faut, on t'en offrira un autre.
- Aaaah, Amico! Tu sais que je tenais à ce vase! Il était unique en plus... Je l'avais fait faire!
- Je sais.. Et encore une fois, je suis désolé. Le prochain ne le remplacera sûrement pas, mais on en reprendra un."
Voyant que Copia reste plutôt calme face à la situation malgré sa déception, Sodo commence à reculer, se disant que l'ancien Cardinal pense qu'il s'agit seulement de ta faute.
Malheureusement pour lui, le dernier Papa se tourne dans sa direction sans pour autant vraiment le regarder :
"- DewDrop?"
La voix de Copia fait stopper la Ghoul instantanément. Il regarde à nouveau l'homme accroupi face aux débris avant de s'avancer de quelques pas lents vers celui-ci.
"- Papa..?
- Je suppose que si Y/N a brisé mon vase, ce n'est pas seul?
- Vous m'accusez?
- Oh je t'en prie... Ne me prends pas pour un uomo stupido. Vous vous battez régulièrement et ce n'est pas la première fois qu'un bazar comme tel est commis."
Sodo soupire, laissant tomber ses bras le long de son corps alors qu'il regarde à l'opposé de toi et de Copia, ennuyé par la situation.
Papa IV se relève, toujours avec les débris du vase entre les mains. Il se saisit d'une corbeille à fruit vide qui est posée sur la table de la pièce pour y déposer les morceaux brisés.
Ayant ramassé les restes de ton côté, tu fais la même chose que Copia alors que l'homme prend à nouveau la parole :
"- Sachez que même si je tiens à vous, même si je suis moins sévère que vos précédents Papas, vous n'en sortirez pas indemnes de cette bêtise."
Toi et Sodo échangez un contact visuel, les yeux écarquillés, alors que vous vous demandez ce qui vous attend. Vous vous tournez tout les deux vers Papa qui lui, lève un doigt en l'air, comme un parent gronderait ses enfants.
"- Je veux que vous me nettoyiez toute cette pièce. Et quand je dis tout, ce n'est pas à prendre à la légère! Sol, meubles, fenêtres, tout au complet! Et vous avez de la chance que je ne vous demande pas toute l'Abbaye!"
Alors que vous soupirez comme des enfants boudeurs, Copia s'éloigne de vous avant de se stopper au seuil de la porte. Il regarde à nouveau dans votre direction pendant qu'il fait des signes étranges et exagérés avec ses mains.
"- Maintenant, je retourne travailler. Et je veux que cette salle soit propre à mon retour! Hop hop hop!"
Sur ces derniers mot, l'ancien Cardinal quitte la pièce, refermant la porte derrière lui.
Sodo se tourne vers toi, un regard noir posé sur ta silhouette.
"- Ne me regarde pas comme ça. On a de quoi nettoyer à aller chercher, Dewy."
La Ghoul grogne alors que tu le devances, sortant de la pièce pour aller chercher de quoi nettoyer dans le sellier de la cuisine.
Dewdrop te suit tout de même, marmonnant dans sa barbe des mots incompréhensibles.
- - -
Une fois de retour dans la grande pièce, tu t'approches des fenêtres, un seau d'eau avec du nettoyant pour vitres en mains et un torchon tenant sur ton avant-bras.
Sodo te regarde juste faire, tenant une balayette et un balais classique dans ses mains en plus d'un paquet de lingettes.
Tu t'assois sur le bord d'une des fenêtres après l'avoir ouverte avant de te tourner vers Sodo :
"- Bien... comme convenu, je me charge des fenêtre et toi tu sol et des meubles.
- "Comme convenu"? Tu as convenu ça seul! Tu ne m'as même pas demandé mon avis!
- Tu veux nettoyer les fenêtres qui sont délicates à faire? Tu veux nettoyer les fenêtres pour que quand il y aura une prochaine pluie elles seront affreusement salies et ça te frustrera? Je pense que tu préfères passer à côté, non? Dis toi que je te rends service.
- Un service, tu parles..."
Dewdrop te tourne le dos, partant de l'autre côté de la pièce pour commencer à se débarrasser des poussières. Quant à toi, tu lèves les yeux au ciel avant de débuter ton nettoyage de fenêtres.
- - -
Quelques heures sont passées.
Après que Dewdrop ait fini de retirer la poussière et de nettoyer les meubles et que toi tu ais fini de laver les fenêtres, vous avez rendu le sol d'avantage propre avec de l'eau et du savon.
Maintenant, vous êtes assis sur les bancs autour de la table, attendant patiemment le retour de Copia.
Enfin... "patiemment". C'est un bien grand mot car voilà un bon moment que vous avez fini votre nettoyage. Le sol a eu le temps de sécher, et Papa Emeritus IV n'est toujours pas là. Vous commencez à perdre patience.
Refusant de t'énerver facilement, tu décides de tenter une conversation simple avec Sodo, essayant de détendre l'atmosphère et de vous occuper le temps que Papa arrive.
"- Uhm... Ce n'était pas si mal de faire le ménage avec toi.
- Quoi?
- Je veux dire... T'as vu? On ne s'est pas engueulés, on ne s'est pas battus. C'est pas si mal?"
Sodo hausse simplement les épaules. Au moins, il n'a pas tiré une tête désagréable, il ne t'a pas non plus insulté ou crié dessus. Tu prends ça comme un bon point.
"- Les meubles sont propres... Tu as fait du bon boulot là bas.
- Bien évidemment... J'avais pas envie de rester là très longtemps alors bon- il fallait bien que je fasse ça correctement."
Tu acquiesces. Tu poses ta tête sur la paume de ta main, cherchant après un nouveau sujet de discussion mais sans succès.
Un petit sursaut te prend quand la Ghoul reprend la parole :
"- Ce n'était pas mal de ton côté non plus...
- Est-ce un compliment que tu me fait?
- T-tu m'en as fait un aussi techniquement!
- U-un compliment!? Pour toi!? Jamais de la vie!
- Tu te ment à toi-même!
- Et toi donc!"
Vous vous pointez du doigt mutuellement comme des gamins. Réalisant que vous commenciez une dispute et en plus de ça pour encore quelque chose de stupide, vous vous détournez de l'un et de l'autre, décidant de ne plus rien dire et de ne même plus vous regarder.
Plusieurs minutes sont passées et Copia n'est toujours pas là.
Tu te tournes vers la porte, te demandant si celle-ci va s'ouvrir avec un Copia passant son seuil ou non.
"- Papa en met vraiment du temps."
Cette fois, tu n'obtiens pas de réponse de la part de Sodo.
Tu te tournes vers lui une nouvelle fois et le regarde curieusement. La Ghoul a croisé ses bras sur la table et posé sa tête sur eux. On pourrait presque dire qu'il peut s'endormir à tout moments.
"- Sodo?
- Hm...
- J'ai une question..
- Si c'est trop ennuyeux, ne cherche pas, alors réfléchis bien à ce que tu vas me demander, Y/N."
Tu prends une longue mais discrète inspiration avant d'expirer et de demander :
"- Pourquoi me détestes-tu?"
A ces mots, Sodo se fige.
Ses mains se saisisse avec force de ses bras. Tu es presque sûr qu'il pourrait y planter ses griffes, même à travers sa chemise noire.
"- Je t'avais dis de bien réfléchir à ta question.
- Excuse moi si ça t'énerve. Mais j'ai vraiment besoin de savoir..
- A ce point?
- Tu me déteste et je ne sais pas pourquoi, les autres ne me disent rien quand je leur demande alors qu'ils ont l'air d'être au courant! Ca me concerne, j'ai le droit de savoir, non?"
Dewdrop ne te regarde pas.
A vrai dire, il regarde le mur à sa gauche, préférant observer les tableaux qui y sont accrochés plutôt que ta personne assise en face de lui.
Avec un soupire, tu te lèves. Sodo se tourne vers toi, te regardant avec les sourcils froncés et également avec une pointe de curiosité.
"- Qu'est-ce que tu fou?
- Je sors. Tu vois bien que Papa ne revient pas. Il nous a sûrement oublié. Et moi je peux pas rester avec quelqu'un comme toi qui n'est même pas capable de sympathiser ou même de m'expliquer ce qui ne va pas!"
Les poings serrés, tu perds patience et commence à te diriger vers la sortie.
Alors que tu tends la main vers la porte, tes poignets sont saisis par deux mains fortes. Tu n'as pas le temps de réaliser ce qui se passe que ton corps et plaqué contre le mur.
En réalisant, tu croises le regard de la Ghoul présente dans la même pièce que toi. Tu déglutis difficilement alors que tu essayes de te débattre.
"- Lâches moi! Bordel, à quoi tu joues!?
- Tu veux savoir pourquoi je te détestes!?
- Pourquoi!?"
Dewdrop épingle tes poignets au dessus de ta tête d'une main alors qu'il attrape ton menton entre deux doigts d'une autre. En faisant tout cela, ses yeux perçants ne quittent jamais les tiens.
Tu respires lourdement alors que tu ne quitte pas son regard également.
"- Tu es un homme, voilà tout."
Tes sourcils se froncent dans la confusion.
Ta respiration se calme alors que tu tentes de comprendre ce qu'est le problème dans le fait que tu sois un homme.
"- Parce que je suis humain, tu ne m'apprécie pas?
- Tu ne comprends pas..."
Son emprise sur tes poignets se desserre, mais il ne te laisse pas pour autant partir. Sa main qui tenait il y a quelques instants ton menton se pose sur ta hanche.
Sodo lâche un soupire.
"- Par homme, je ne parle pas de ton espèce... Tu es un mâle, Y/N.
- E-et...? Il y en a des "mâles" dans cette Abbaye, alors je ne vois pas d'où vient le problème-
- Le problème est que tu m'attires, idiot."
Un calme lourd s'installe et tu ne sais pas quoi dire.
Tu fixes la Ghoul en face de toi, bouche bée et la créature te regarde toujours. Seulement, cette fois-ci, la honte et la culpabilité sont reflétées dans son regard.
Toutefois, Dew' reprend son courage à deux mains et continue :
"- Tu m'attires beaucoup... Et c'est si mal...
- Qui a-t-il de mal à aimer le même sexe, Sodo..? Tu sais que ce n'est pas interdit ici, et Papa est complètement ouvert là dessus.
- Mais la Soeur Impératrice, et notre réputation... Puis- le fait que tu sois un homme humain aussi... On serait trop mal vus...
- Dewdrop, n'ose plus me répéter ces phrase. Même en Enfer.
- Si je venais à t'aimer comme je le souhaite, je te briserai!"
Comme l'emprise de Sodo tu tes poignets est plus faible, tu parviens à les libérer. Tu prends alors son visage en coupe dans tes mains et le regarde plus profondément droit dans les yeux.
"- Donc avec toutes cette colère et cette soit disant "haine"... tu voulais juste me préserver?
- Si tu veux comprendre ça comme ça...
- C'est comme ça que je le comprend, Sodo. Et sache que peu importe ce que les autres pensent, l'important c'est ce que toi tu ressent... Ce sont tes émotions, pas celles des autres, alors c'est à toi d'en décider."
Dewdrop avale difficilement sa salive. Ses yeux se ferme alors qu'il marmonne un simple "merde". En relevant son regard vers toi, il se saisit de ton visage comme toi tu tiens le sien et presse ses lèvres contre les tiennes.
Son masque froid part en contact avec ton visage, mais ça ne te dérange pas tant que ça.
Sodo prend en note ce que tu lui as dit il y a quelques instants et rapidement, il ne se retient plus. Il te plaque un peu plus contre le mur, t'embrassant avec plus de passion et ne souhaitant pas se séparer de toi ne serait-ce qu'une seconde.
Seulement, Satan en a décidé autrement.
Alors que vous vous perdez dans votre extase, la porte s'ouvre et un cri de surprise vous sort de votre rêverie :
"- Oh, Satana, mes excuses!!"
Vous regardez dans la direction de l'entrée de la pièce pour y trouver Copia qui se cache les yeux. L'homme cherche après la poignée de porte et une fois qu'il la saisie, il vous fait quelques signes de la main avant de dire :
"- J-je- Je vérifierai demain pour la pièce! J'espère que c'est bien nettoyé! En attendant, filez donc vous trouvez une chambre!"
Sur ces mots, Papa quitte la pièce, vous laissant à nouveau seuls.
Tu te tournes à nouveau vers Sodo et il fait de même. Vous vous fixez un instant avant de rire. Dewdrop cesse de s'esclaffer et se redresse, toujours en te fixant droit dans les yeux.
"- Où en étions-nous?"
Une goutte de sueur coule le long de ta tempe alors que tu ris à nouveau mais nerveusement cette fois-ci.
Tu es parti pour une longue nuit avec ta Ghoul on dirait!
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I made a thing, un petit cadeau pour @yumeka-chan ❤ (j'ai suivi ton conseil 😉 📝)
Une petite fic un peu smutty Alzagar/Guenièvre avec du Arthur & Guenièvre pour le réveil 😁
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Le Joli Brigand
Il la surprend au détour d'un couloir alors qu'elle se presse pour sa réunion et la tire dans l'ombre d'une alcôve pour la coincer entre lui et la pierre du château.
"Où est-ce que tu cours comme ça petite princesse ?"
Elle pousse un petit cris de joie avant de se pendre à son cou et de l'embrasser passionnément.
"Alzagar ! Vous êtes enfin revenu. Vous m'avez tellement manqué."
Il la pousse plus fermement contre le mur et elle l'attire plus étroitement, écarte les jambes pour qu'il puisse glisser un genoux entre ses cuisses alors que ses lèvres s'attaquent déjà à son cou.
C'est elle qui remonte ses jupons et détache les boutons de ses braies avec impatience et c'est lui qui la soulève et la bloque habilement contre le mur.
"Le vilain bandit et la jolie reine."
Lui susurre-t-elle alors qu'elle a une main sur ses fesses et que l'autre le guide entre ses cuisses.
"Vous n'êtes pas vilain et je ne suis pas jolie."
Sa tête tape le mur derrière elle et il étouffe un râle dans son cou avant de commencer à bouger.
"Très bien, le joli bandit et la vilaine reine alors."
Elle pouffe de rire entre deux gémissements et ça suffit pour faire de sa journée une réussite.
Plus tard, pendant leur réunion, Arthur se penche vers elle et lui murmure.
"J'en déduis à votre retard, à votre sourire et aux marques qui décorent votre cou qu'il est rentré."
Elle rougit furieusement mais hoche la tête.
"Vous voulez le rejoindre ?"
Ses yeux pétillent de malice et Guenièvre sait qu'il a une idée saugrenue derrière la tête alors elle lui lance un petit sourire avant d'acquiescer.
"Je fais diversion pour que vous puissiez vous éclipser et en échange vous prenez ma place pour les doléances de demain, marché conclu ?"
Il la regarde innocemment comme s'ils ne savaient pas déjà pertinemment tous les deux que demain la Délégation des Paysans Unifié, présidée par Ropharz et Guethenoc, allait venir. Mais elle sent le souvenir d'Alzagar couler le long de sa cuisse et décide qu'il en vaut le mal de tête et bien plus encore.
"Marché conclu."
Les voix montent avec une facilité et un naturel déconcertant, ils sont rodé depuis le temps et ils font une bonne équipe, tout le monde autour de la table n'y voit que du feu, comme d'habitude. Il n'en faut pas beaucoup pour que les cris fusent, que les portes claquent et qu'elle se retrouve à courir dans le couloir.
"Je vous ferai un rapport."
Lui avait lancé discrètement son mari avec un clin d'œil, soulagé d'avoir pu se débarrasser de demain et organisant déjà la longue journée de détente qu'il comptait faire.
Quand elle rentre dans sa chambre, Alzagar l'attend nu sous les draps.
"Vous en avez mis un temps !"
Elle se dépêche d'enlever sa robe et de le rejoindre.
"Désolé vraiment mais j'ai entendu dire qu'un joli brigand se promenait dans le château et on n'est jamais trop prudent."
Il rit alors qu'elle se blottit contre lui.
"Ne vous en faites pas, venez plus près, je vais vous protéger."
Fin
#kaamelott#my art#Guenièvre x Alzagar#smutty#Smut au coucher#Smut au reveil#Arthur & Guenièvre#Il n'y a pas de pendrenievre dsl#Le Jolie Brigand#Alzagar#guenièvre pendragon#arthur pendragon
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Mister BG aka méga crush #16
On arrive vers la mi janvier, BG a toujours prévu de revenir. J'ai super hâte, à priori lui aussi. Nos conversations sont de plus en plus chaudes, et en même temps je le trouve super touchant. Il me pose des questions qu'aucun mec ne m'a posé avant, à savoir ce que j'aime, ce que j'aimerais découvrir, mes fantasmes etc. Me livrer comme ça à lui me fait encore plus tomber sous son charme.
Le 16 janvier arrive et je suis assez surprise qu'il ne m'ai pas donné de rdv.
"Tu rentres toujours aujourd'hui ?
- Oui oui j'ai mon train à 15h.
- Top :) Du coup je te vois ce soir?"
Et là, grosse désillusion...
"Ohla non désolé pas ce soir, je dois filer sur Bourges j'ai un rdv très tôt demain matin."
Je me sens hyper conne. Il est vrai qu'il m'a dit qu'il rentrait en France le 16 mais jamais qu'il serait dispo ce jour là pour qu'on se voit. Je suis déçue évidemment mais je m'étais monté la tête toute seule. Je lui demande donc clairement quand est ce que je peux le voir.
"Normalement je remonte mercredi sur Paris, là ce sera bon. T'inquiète pas je ne t'oublie pas"
Ok très bien je patiente. Mais le mercredi rebelote "Finalement je ne remonte pas aujourd'hui. Ce weekend j'espère"
Ça commence à gentillement m'agacer. Mais ok, il ne m'a pas posé de plan, il me prévient donc soit, on verra ce weekend.
Mister se rend compte que je commence à m'impatienter et m'explique donc (enfin) qu'il est embêté, qu'il doit rester sur Vierzon pour s'occuper de sa grand mère.
Évidemment toute trace d'agacement quitte mon corps instantanément. Je m'excuse d'avoir insisté pour qu'on se voit et lui demande s'il a besoin d'aide. Il décline la proposition mais ça y est l'idée a germé dans ma tête.
Si il ne peut pas montrer sur Paris, rien ne m'empêche de descendre sur Vierzon. Je commence donc à lui en parler. Il refuse, ne souhaitant pas me faire faire autant de route, surtout qu'il ne pourra pas s'absenter plus d'une heure. Ok je capitule pour cette fois. Mais je réitère la proposition plusieurs fois histoire que l'idée fasse son chemin dans sa tête à lui aussi.
Nous arrivons donc au samedi où il ne peut toujours pas rentrer. Mais il me demande "Lundi tu travailles? Parce que je suis dispo entre 15h et 19h"
Joie, bonheur, il me donne enfin un vrai rdv et pas un "normalement". Sauf que bah oui je travaille 😅 et il est toujours sur Vierzon.
Mais tant pis, je décide de poser mon après midi pour aller le voir. Lui se charge de réserver un hôtel parce que évidemment je ne peux pas débarquer chez sa grand mère.
Et quand même... Je m'excuse auprès de lui mais j'ai besoin de lui poser la question :
"Tu ne me fais pas poser mon aprèm et faire 4h de route aller/retour pour ne pas venir hein ?
- Non je te promets que je serai là. Je n'ai pas envie de te faire du mal"
Alors vivement lundi et croisons les doigts pour que tout se passe comme prévu.
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Petit moment en famille
On m'a demandé d'écrire une suite à ma fanfiction, donc la voici. En espérant que ça vous plaira.
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Arthur sortit en soupirant de la salle à manger. En dix ans, il y avait beaucoup de choses qui changeaient, mais tout autant qui ne changeaient pas. Les repas avec ses beaux-parents faisaient partie de la deuxième catégorie. D'ordinaire, la présence de Guenièvre les rendaient plus supportables, mais ce soir-là, elle était malheureusement clouée au lit par une fièvre. Elle s'était réveillée ce matin avec une mine épouvantable : elle était pâle et avait des cernes énormes sous les yeux. Elle avait admis avoir eu du mal à s'endormir. Arthur s'était rendu compte qu'il y avait vraiment un problème lorsqu'ils avaient pris leur petit déjeuner. Elle n'avait pas pu le finir alors qu'elle avait un bon appétit, d'habitude. Puis, lorsqu'elle avait voulu quitter la pièce, elle avait faillit s'évanouir et se serait certainement violemment cognée la tête contre la table si Arthur ne l'avait pas rattrapée à temps. Voyant son front trempé de sueur, il avait mis la main dessus et s'était rendu compte qu'elle était brûlante. Il l'avait aussitôt portée jusqu'à leur chambre et mise au lit. D'après Merlin et Elias, ce n'était rien de grave et elle avait juste besoin de repos. Lorsqu'il arriva devant la chambre, il y croisa Angharad, sa petite Enide dans les bras.
"-Comment va-t-elle ? Demanda-t-il.
-Beaucoup mieux. Sa fièvre a baissé. Elle dort, là.
-Merci d'avoir pris soin d'elle, Angharad. Et aussi d'avoir pris la relève pour les jumeaux.
-C'est mon métier, Sire.
-Allez donc rejoindre Perceval. Si on a besoin d'aide, on fera appel à Nessa."
Angharad sourit, s'inclina légèrement et se retira. Arthur entra dans la chambre et s'approcha du lit. La première chose qu'il constata, c'est que Guenièvre avait repris des couleurs. Il posa une main sur son front. Il sourit en constatant que sa fièvre avait presque disparu. Il retira sa main pour la placer sur sa joue. Elle cligna des yeux, tourna la tête et sourit.
"-Désolé, je voulais pas vous réveiller.
-C'est pas grave. J'ai dormi presque toute la journée.
-Comment vous-sentez vous ?
-Beaucoup mieux. Et vous ? Ça a été, les repas avec mes parents ? Ils vous ont pas trop embêté ?
-Un peu, mais bon, c'est pas comme si j'avais pas l'habitude. Le jour où on se prendra pas le chou pour une raison ou pour une autre, je pense que ce sera le début officiel de la fin du monde.
-Ah, carrément ! Vous exagérez pas un peu ?
-A peine."
Pendant un instant, ils se regardèrent sans rien dire avant d'éclater de rire. Arthur se pencha pour embrasser Guenièvre. A ce moment-là, un cri retentit. Arthur s'approcha du berceau dont il provenait et prit le bébé dans ses bras.
"-Hé bien, Elaine, vous avez peur qu'on ne vous donne pas assez d'attention ? Ne vous en faites pas, on vous en donnera tellement que vous finirez par en avoir ras-le-bol."
Elaine rit et entreprit d'attraper les cheveux d'Arthur. Celui-ci alla s'assoir sur le lit. Là, un cri de protestation s'éleva du deuxième berceau. Genièvre se leva, s'approcha du berceau, prit le bébé dans ses bras et dit d'une voix exagérément aigüe :
"-Non mais, c'est quoi ce favoritisme éhonté ?! Moi aussi, j'veux être dans les bras !"
Elle rit et continua :
"-Vous avez bien raison de faire valoir vos droits, Erec. Mais il ne faut pas être trop jaloux, non plus."
Elle alla alors s'assoir à côté d'Arthur. Les jumeaux étaient nés trois mois auparavant. Et, au grand soulagement d'Arthur, ils étaient tous les deux en bonne santé. Arthur l'annonçais sans complexe à qui voulait l'entendre : il n'avais jamais été aussi heureux. Il n'avait peut-être pas encore trouvé le Graal, mais il avait sa famille. Et ça valait tous les Graals du monde.
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Voilà, voilà ! N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé. En fait, pour ma prochaine fic, je pensais faire une autre pendranièvre (sans lien avec celle-ci et la précédente). Mais j'ai eu une idée de fic Perceval x Angharad. Je fais laquelle en premier ?
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J'avais écrit "moments oubliés", des petits passages qui je trouve auraient été super à voir sur le jeu. J'avais écrit d'autres choses et je suis toujours motivée en attendant le mariage. Voici un nouveau bout de "moments oubliés " qui suit directement la première partie. Merci à vous qui me lisez et si vous avez des retours à me faire, que vous ayez aimé mon histoire ou non, n'hésitez pas ! (Désolée s'il y a quelques coquilles, j'écris sur mon tel et le correcteur de Notes me fait de drôles de corrections)
Moments oubliés (part 2) POV Nath
Le Cosy Bear est rempli quand j'arrive. Nina s'active dans tous les sens. Ce n'est pourtant pas l'heure du rush. J'imagine que c'est plutôt bon signe. Je rentre dans le café et Su' est également en train de s'occuper de plusieurs personnes à la fois. Elle file jusqu'à la machine à café et je la suis discrètement. Elle prépare 3 cafés tout en parlant avec une jeune femme d'une exposition. Elles échangent leurs coordonnées et Su' repart apporter les cafés à ses clients. J'avoue m'amuser un peu à la regarder dans son élément. Elle sourit et met toute son énergie dans ce qu'elle fait. Je suis heureux qu'elle soit épanouie dans son travail.
Elle finit par me remarquer et ouvre de grands yeux.
- Nath! Je ne m'attendais pas à te voir si tôt !
- J'ai réussi à m'extirper du commissariat plus tôt que prévu alors je me suis dit que j'allais venir voir ma charmante fiancée mais visiblement je tombe mal.
- Je suis un peu occupée oui mais... installe-toi au comptoir, je vais te servir quelque chose.
Elle sort de la cuisine avec un plateau rempli de bonnes choses à manger.
- Je parie que tu n'avais pas encore mangé ! Tu me diras si ça te plaît. J'espère pouvoir me libérer d'ici une petite heure.
Elle m'embrasse rapidement et repart aussitôt s'occuper de nouveaux clients. Je prends un petit moment pour observer la clientèle. Il y a des familles, des étudiants, des gars en costumes qui travaillent sur leurs ordinateurs portables en prenant leur café, des petits groupes de filles... apparemment le café plaît à tout le monde. Certaines personnes s'attardent sur les tableaux exposés, d'autres sur les vitrines remplies de gâteaux colorés. Je ne me souviens pas avoir vu le café si rempli quand on venait à l'époque du lycée. Je ressens une grande fierté à l'idée que Su' ait pu transformer cet endroit à son image.
Je finis mon repas et Su' réapparaît avec un café. Elle me sourit mais je sens qu'il y a quelque chose qu'elle souhaiterait me dire.
- Tout se passe bien?
- Oui oui, encore une journée bien remplie mais tout se passe super bien.
Je ne la quitte pas des yeux, attendant qu'elle me dise ce qui la chiffonne. Elle semble chercher ses mots. Elle sait que j'ai compris qu'elle a quelque chose à me dire.
- Hum... j'ai reçu un message de ma mère. Elle m'a dit qu'elle et mon père ont pas mal de choses à faire et qu'ils ne pourront venir nous voir que d'ici un mois... mais...
Elle me fixe et se mord la lèvre.
- J'aimerais les appeler en visio pour leur dire... pour leur annoncer...
Elle me montre sa main gauche où une certaine bague devrait se trouver.
- J'aimerais mettre tout le monde au courant mais je voudrais que mes parents soient dans les premiers informés. Bien sûr j'aurais préféré qu'ils puissent être là pour leur dire en face mais bon...
- On fait ça ce soir ?
- Oh... et bien si tu es d'accord... oui...
Je lui fais un clin d'œil et elle me sourit. Une fois que tous nos proches seront au courant que nous allons nous marier l'année prochaine, les choses sérieuses vont vraiment commencer.
Le soir venu, je dois m'empêcher de rigoler doucement devant ma fiancée qui s'est transformée en pile électrique, guettant le moment où ses parents vont appeler. Elle a vérifié la connexion sur son ordinateur une dizaine de fois.
Je la prends par la main et on s'installe sur le canapé. Blanche arrive une seconde plus tard.
- Blanche, tu veux parler à mes parents aussi? Tu veux partager la bonne nouvelle ? Malheureusement je ne suis pas sûre que nous puissions avoir des croquettes pour chat au menu pour notre grand jour.
Blanche se contente de s'étirer avant de se mettre en boule sur mes genoux.
- Ma mère devrait lancer l'appel d'ici quelques minutes... au fait Nath... tu as des nouvelles de ta soeur?
- Elle est toujours en voyage.
- Et?
- Hum? Oh tu veux savoir quand est-ce que je vais lui dire? Je vais essayer de savoir quand elle passera dans le coin pour qu'elle prépare son agenda. On dirait une vraie business woman !
Su' pose ses yeux sur le calendrier dans un coin du salon.
- Il faut vraiment qu'on fixe une date...
- Une fois qu'on aura mis nos proches au courant, on essaiera de voir ce qu'ils en pensent. Et on se mettra d'accord.
Notre discussion est interrompue par la sonnerie de l'application de visio. Belle-maman est pile à l'heure. Su' lance la caméra et répond à l'appel. L'image de ses parents apparaît sur l'écran.
- Bonsoir vous deux! Ça fait plaisir de vous voir! On devrait faire ce genre d'appels plus souvent! J'étais étonnée que tu nous proposes cet appel d'ailleurs, Su'... tout ça bien dans vos vies professionnelles ?
Nous avons à peine le temps de les saluer que les questions fusent...
- Maman, papa, tout va bien ne vous en faites pas! Côté boulot on gère ! Et si on a voulu vous parler ce soir... c'est pour partager une très bonne nouvelle avec vous.
- Oh... on vous écoute...
Un petit silence s'installe et je vois bien que les parents de Su' sont en train de retenir leur souffle, attendant une grande nouvelle. Ils vont être servis... Su' me regarde, m'encourageant à prendre la parole en premier.
- Lucia, Philippe, j'ai la chance d'avoir Su' à mes côtés depuis un petit nombre d'années maintenant et nous allons officialiser notre relation l'année prochaine.
OK j'avoue je n'avais pas réfléchi à comment annoncer la chose. En tout cas mes futurs beaux-parents sont figés sur l'écran, comme si la connexion avait été interrompue.
- Maman, papa, on va se marier !!!!
Su' montre la bague qu'elle s'était empressée de porter sitôt rentrée à la maison après le travail. Ses parents ouvrent grands leurs yeux et c'est son père qui parvient à trouver ses mots en premier même s'il paraît ému.
- Je... nous... nous sommes ravis pour vous, c'est une excellente nouvelle.
- Mais qu'est-ce que tu racontes Philippe, c'est la nouvelle du siècle tu veux dire, notre Su' va se marier!
Lucia paraît presque sur le point de pleurer et elle se met à parler à toute allure de l'aide qu'elle souhaite nous apporter et son excitation est telle qu'elle ressemble un peu à sa sœur Agatha. C'est drôle et attendrissant à voir.
- Maman, respire, calme-toi. Maintenant que vous êtes au courant, on va l'annoncer à tout le monde et on va lancer les préparatifs. On espère arrêter une date bientôt.
- Oh Philippe tu es sûr que nous ne pouvons pas prendre la route de suite pour aller les voir?
Philippe soupire lourdement.
- Je suis vraiment navré, j'aurais voulu être disponible mais j'ai encore quelques semaines de travail sous tension et...
- Je sais mon chéri, c'est juste que... oh et si on faisait comme... ah comment ça se dit déjà... un apero virtuel?
Su' se met à rire. Son père hausse un sourcil interrogateur en regardant sa femme.
- Maman... on peut très bien attendre...
- Tut tut tut... Nathaniel, tu es partant ?
- Je vais chercher une bouteille et des verres.
Je me lève sous le regard amusé de ma fiancée et j'entends sa mère indiquer à Philippe de prendre une bouteille spéciale "grandes occasions". Quelques instants plus tard, nous trinquons à distance.
- A votre santé les enfants ! Surtout ménagez-vous autant que possible, un mariage c'est énormément de travail.
- On sait, maman. Je pense même engager un wedding planner pour être sûre de ne rien laisser au hasard.
- Du coup on va essayer de passer vous voir aussi vite que possible. On vous invitera dans un super restaurant pour fêter ça ! On va arranger nos plannings pour vous aider autant que vous en aurez besoin!
- Merci à vous deux. Ça nous touche beaucoup d'avoir votre soutien.
- C'est normal Nathaniel, on fera en sorte que vous ayez le mariage que vous voulez.
Philippe toussote.
- Il faudrait aussi peut-être... dire à Agatha de ne pas sortir toutes ses robes à froufrous avec des arc-en-ciel.
- Oh Philippe, ne t'en fais pas. Ma sœur a pas mal de contacts donc je suis sûre qu'elle pourra aussi les aider. A sa manière.
- On peut aussi éventuellement vous aider à payer certaines choses.
Lucia lève les yeux au ciel.
- Ne vous inquiétez pas. Il veut juste savoir à quelle hauteur on doit braquer notre banquier.
- Vous avez déjà investi de l'argent dans le Cosy Bear et c'est très gentil de votre part. On aura juste besoin de votre soutien et de vos conseils avisés.
Nous avons parlé une bonne heure au final. Su' s'affale sur le canapé une fois l'appel fini.
- Je me doutais bien que mes parents seraient quasiment en train de faire des bonds... je suis sûre qu'ils vont en parler pendant des heures maintenant.
- Je n'en attendais pas moins d'eux.
Elle se redresse et caresse mon visage.
- Merci d'avoir joué le jeu pour "l'apéro virtuel" et d'avoir laissé ma mère parler pendant tout ce temps.
- Tes parents m'ont accepté il y a longtemps. C'est la moindre des choses que de les laisser exprimer leur joie pour l'occasion.
- Monsieur Carello, seriez-vous vraiment le gendre idéal ?
- J'y travaille depuis que je vous connais ma chère demoiselle... même si je n'ai pas toujours pris le chemin le plus facile pour y arriver.
Son regard est tout ce dont j'ai besoin pour avoir envie de la soulever du canapé pour la porter jusqu'à notre lit.
#my candy love#mcl nathaniel#amour sucre#amour sucre love life#amour sucré#mcl wedding#amour sucré nathaniel
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one shot for caliaween (eldarya)
TOUT DROITS RÉSERVÉS
Malgré la perte d'un amour profond, le destin semble porter ses fruits et alors qu'elle s'y attendait le moins, la voilà confrontée à un amour vénéneux. Peut-être est-ce là une façon d'interpréter le deuil ..? Ou plutôt de tenir une promesse difficile.
J'y repensais. Plutôt souvent même depuis que nous étions rentrés de Memoria. Nos corps étaient si proches et je pouvais en sentir la chaleur contre ma poitrine, mais pourtant, je n'avais eu le courage de lui dire quoi que ce soit. Après réflexion, je me sentais presque honteuse d'avoir pu partager cela avec lui : que pensait-il de moi désormais. J'éméttais plusieurs jugements sur ma propre personne, mais l'heure n'était pas dédiée à tout cela, je me devais de me concentrer sur ces parchemins sur lesquels j'avais décidé de me pencher en revenant de mission - de quoi me détendre après une soirée pareille. Mais pourtant, je ne pouvais m'empêcher d'y repenser. Après tout, j'ai pu profiter d'un moment avec Lance et je regrettais presque de ne pas avoir eu ce courage de lui avouer. Toutefois, le soleil qui perçait les vitres de la bibliothèque dans laquelle j'étais installée m'éclaira le visage d'une lueur orangée, indiquant que la nuit tombait, je crois que j'avais passé plus de temps que prévu à étudier et penser. Rangeant mes parchemins dans mon sac, je me suis empressée de quitter la bibliothèque, fermant derrière moi avant de dévaler les escaliers pour rejoindre le corridor. La nuit au QG était plutôt calme, en vérité personne ne s'aventurait véritablement dehors en ces temps ci, il n'y avait pas de quelconque menace et même si les gardes de nuit étaient aux aguets, ils ne prêtaient pas grande attention aux membres du QG couche tard. D'ailleurs, certains sortaient la nuit par nécessité, que ce soit des vampires ou encore des loups - garous - ou toute créature nocturne en vérité. En tant qu'elfe je n'avais pas spécialement le besoin vital de me ressourcer la nuit, du moins tout dépendait de la lune. Cette lune me faisait d'ailleurs revenir en tête des souvenirs, des souvenirs plutôt heureux en vérité - ces soirées que je passais avec Valkyon lorsqu'il était encore là, mais je les voyais sous une autre vision...
Non ça n'était pas Valkyon, c'était Lance.
Lance qui lui souriait avec ce même air qu'avait son jeune frère. Les yeux larmoyants, je me secouais frénétiquement la tête pour chasser cette pensée. Comment pouvais-je tomber amoureuse d'un homme qui m'avait pris Valkyon ? Mais en même temps, peut-être que c'était une façon de le pardonner finalement.
Valkyon, Lance. A la fois, Valkyon me manquait terriblement et le deuil était dur mais la présence de Lance me le rappelait et je me sentais comme bien auprès de lui. Et cette scène à Memoria, cette mission, j'ai réellement cru que quelque chose s'était passé entre nous mais..
─ Calia' ?
Tirée de mes songes, je fus interpellée par une voix familière qui me fit sursauter. Qui pouvait venir me voir en pleine nuit ? Cette chevelure d'albâtre, ce parfum à la senteur aromatique, du romarin précisément mais avec une touche de lavande, ces oreilles blanches et cette voix modulée. Koori.
Son air éternellement confiant, un fin sourire que nul ne saurait défier, même en pleine nuit la prestance de la kitsune me faisait frissonner, me rappelant ma rencontre avec elle qui fut des plus intrigantes en vérité. Sa voix assurée attendait comme une réponse, ses paupières mi fermées laissant entrevoir ses iris azur me défiait du regard alors qu'après un moment d'absence je m'exprimais :
─ Désolée, tu m'as fait peur. Comment vas-tu Koori ?
─ Comme toujours. Je me demandais qui arpentait les couloirs tardivement, j'aurais cru à Karenn.
Elle semblait presque déçue de me voir, m'enfin, c'était son air habituel, je n'y prêtais pas trop attention. En vérité, je ne prêtais attention à rien du tout et mes pensées me submergeaient de nouveau, pendant un court instant me voilà rêvassant, perdue dans ce monde onirique qui me faisait voir cette silhouette que je n'osais croire être la sienne. Je repassais ce moment ensemble dans ce bain, ce bain où nous nous étions rapprochés et où quelque chose, quelque chose s'était passé entre nous mais, est-ce seulement le même avis de son point de vue ? " Calia... ", "Calia..." ; j'entendais sa voix m'appeler, une voix douce comme s'il voulait me dire quelque chose, mais quelque chose de plus glacial me tira de ce rêve.
─ Calia ? Tu vas bien ? Tu sembles étourdie depuis ton retour de Memoria. Tout s'est bien passé ?
─ Huh..? Tout va bien Koori, ne t'inquiètes pas ! Je suis simplement fatiguée.
─ ... Tâche de prendre soin de toi.
Je reconnaissais cet air inquisiteur sur le visage de la kitsune, elle n'allait pas me lâcher tant que je serais étourdie par Lance. Même si elle ne connaissait pas la situation, elle devait se douter de quelque chose mais j'avais comme un nœud autour du cou, un lien qui m'empêchait d'admettre. Admettre ce que je ressentais.
Les joues rosies je saluais une dernière fois Koori qui me toisait avec un air défiant alors que j'entrais dans ma chambre, puisse la journée de demain être plus calme.
Mais j'en espérais trop. A prier pour la journée de demain, j'en oubliais ma nuit, une nuit qui semblait encore me tourmenter. Un énième cauchemar, un cauchemar qui ne me lâchait pas. Des années auparavant, ce cauchemar se présentait comme un souvenir bien réel de la mort de mon cher et tendre Valkyon, mais désormais, il était différent. Valkyon n'était plus, ni même les plaines d'Eel, non, nous étions seuls avec Lance jusqu'au moment où un individu dans l'ombre vint le transpercer d'une lame d'argent, et je le voyais s'effondrer, mort dans mes bras sans que je ne puisse rien y faire. Un cauchemar dont je n'arrivais pas à me défaire, je rêvais de la mort de Lance et j'en souffrais, j'en souffrais autant que lorsque j'ai perdu Valkyon.
Ambiance musicale conseillée : https://www.youtube.com/watch?v=5TrhlLIY9Tk
Et encore une fois, je me levais avec des sueurs froides.
Attrapant une robe de chambre, j'en profitais pour faire une sortie nocturne après avoir préalablement pris soin de me nettoyer le visage à l'eau claire. Rabattant ma chevelure albâtre en arrière, prenant soin de bien mettre en évidence mes oreilles, je me dirigeais en premier lieu vers la salle des portes pour m'assurer de ne déranger personne avant de passer le pas de la porte et rejoindre l'extérieur. Je ressentais comme le besoin de me rendre au parc de la fontaine, l'eau et la lune me porteraient conseil, je le savais.
Le ciel étoilé témoignait d'un temps excellent pour le lendemain. Je m'approchais de la fontaine, éclairée par cette lueur sélène qui me convenait parfaitement. Prenant place sur un rocher, je trempais mes pieds dans l'eau alors que j'observais le ciel, cherchant les constellations en me remémorant des moments avec Valkyon que j'aimerais passer avec Lance.
Une légère brise soufflait sur mon visage et le chant des petits insectes semblait agréable à l'oreille. Mes pieds dans l'eau amusaient les poissons, je les bougeais délicatement pour ne pas les brusquer, profitant de cet instant de paix qui ne me faisait que du bien.
Je me sentais bien, aussi bien que lorsque j'avais pu profiter de ce moment à Mémoria. Mes deux mains posées à l'arrière du rocher sur lequel je me tenais, je respirais cet air pur laissant ma robe de chambre s'ouvrir un peu et laisser profiter mon bassin de ce coup de vent. Ma tenue était légère mais il ne faisait pas froid, ce léger débardeur et ce short en coton ne me dérangeaient pas spécialement. Quelques petits familiers nocturnes s'étaient rendus auprès de moi pour observer ma présence alors que je comptais seule les étoiles, cherchant un passe temps pour me changer les idées, cette sortie me faisait un bien fou.
Ce calme, je le cherchais depuis maintenant longtemps mais il semblait être momentanément suspendu par un bruit de pas survenant derrière moi. En premier lieu, je pensais à Koori, ce serait logique. Mais en me tournant, ce fut la silhouette de Lance, dans une tenue décontracté qui me regardait, intrigué par ma présence : ce contact visuel me fit rougir jusqu'aux oreilles alors que je refermais subitement ma robe de chambre, embarrassée.
─ Je t'ai vu à travers la fenêtre, je me demandais comment tu allais. Tu n'es pas spécialement une fille de la nuit alors, je me suis permis de venir te voir. Pardonne moi si je t'ai effrayé, Calia.
─ L..Lance, non c'est pas grave.
─ Puis-je me joindre à toi ? Je ne suis pas fatigué et je t'avoue que rester seul n'est plus vraiment une activité intéressante.
─ Bien sûr que tu peux, enfin je veux dire, si ma compagnie te suffit.
Il sourit en prenant place à ses côtés, alors qu'elle avait quitté le rocher pour l'herbe, quittant l'eau et profitant de l'herbe légèrement humide de la nuit. Mon cœur battait la chamade mais je faisais de mon mieux pour ne pas lui montrer, il observait les étoiles en silence, et moi je le fixais lui, détournant le regard à chaque fois qu'il le tournait vers moi. Le silence pesant de la scène semblait continuer encore un petit moment avant qu'il touche mon épaule d'une main - ce qui me fit immédiatement rougir -, me montrant le ciel de son autre main.
─ Regarde ces étoiles, elles forment un draflayel.
─ Oh tu as raison.
Il ne lâchait pas mon épaule, continuant d'observer les étoiles avant de se mettre à me fixer. Je l'observais du coin de l'œil, trop gênée pour oser le confronter du regard. Il passe une main douce dans mes cheveux, repoussant une mèche rebelle derrière mon oreille pointue, passant au passage l'un de ses index sur ma joue d'une manière plutôt agréable. Comme par réflexe, j'attrapais sa main comme pour la caresser.
Je me retirais soudainement, me rendant compte de ce que je venais de faire alors que Lance me souriait d'un air amusé.
─ On a pas beaucoup discuté depuis qu'on est rentré de Memoria. Mais tu sais Calia', j'ai beaucoup apprécié le moment qu'on a passé ensemble.. Néanmoins.. Il se coupa, un peu gêné.
─ J'ai.. beaucoup aimé aussi. Adoré même..
─ Je ne sais pas quoi penser. Etrangement, je me sens perdu et je ressens le besoin de t'en parler pour une étrange raison.
Contre toute attente, il se mit face à moi. Caressant doucement ma joue en gardant cet air hésitant, il semblait tourmenté tout autant que moi et je me sentais coupable de ne pas pouvoir l'aider. A moins que...
─ Mon coeur me dicte moultes choses, je ne saurais tout exprimer. Mais mes pensées sont tournées vers mon frère et..
─ Valkyon, serait.. heureux de nous voir ainsi.. je.. je pense en tout cas.
A ces mots, ses yeux s'écarquillèrent. Comme si ce que je venais de dire sans réfléchir le faisait relativiser, je déposais ma main sur la sienne, la même qui tenait ma joue comme pour le rassurer. J'étais pourtant d'un rouge pivoine, mon corps n'était plus mien et mon cœur le dictait selon ses envies. La légère brise reprit, alors qu'elle fit virevolter ma robe de chambre qui dévoilait désormais mon haut court et mon ventre mis à nu, un ventre qui attira l'attention de Lance puisqu'un détail semblait l'intriguer. Tournant son regard vers le miens, il semblait des plus solennels et sans mots, il descendait doucement sa main vers mon cou, puis contre mon buste, caressant ma peau frêle et innocente avant d'épouser les courbes de mon corps pour atteindre mon abdomen, seul endroit où ma peau n'était plus immaculée.
Dans son regard je sentais un regret. Un regret terrible alors qu'il caressait mon ventre avec une douceur inouïe. Il l'observait longuement, hésitant avant de s'abaisser à cette hauteur pour y déposer ses deux lèvres, pile à l'endroit où ma cicatrice se trouvait, cicatrice qu'il m'avait lui même faites il y a de cela de longues années.
─ Puisses-tu un jour me pardonner pour cette marque.
Suite à ce baiser, il relevait son visage vers le mien, l'air désolé.
Il tenait mes hanches d'une manière très romantique et je ne pouvais m'empêcher de tourner le visage, gênée par la situation. Mais Lance lui, s'était soudain épris d'une certaine tendresse à mon égard, et alors que la lune nous éclairait de plein fouet, il se décida à m'enlacer.
J'enfouis mon visage contre son épaule, profitant de cet instant que je pensais encore une fois passager, un instant qui ne saurait se réitérer dans le futur.
Mais j'espère me tromper.
J'espère terriblement me tromper.
Lance s'était légèrement reculé pour attraper le bout de mon menton et tourner mon regard vers le ciel. A ce moment-là passait une étoile filante, une étoile filante qui fit sourire le dragon.
─ N'est-ce pas le signe de faire un vœu ?
─ Je l'ai déjà fait.
─ Le mien est en quelque sorte déjà exaucé.
A cette phrase, il me fixa. D'un air solennel.
Je ne savais pas comment prendre cette déclaration mais au fond de mon cœur je savais.
Je savais que ce moment n'était pas le dernier mais seulement, si seulement pouvait-il simplement durer pour toujours et à jamais.
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Chapitre 27 : Coup de fil
Quelques minutes plus tard, au Blue Bridge Motel, l'atmosphère était tendue. Mulder et Scully, à bout de patience, s'approchèrent du comptoir de la réception. L'angoisse les rongeait alors qu'ils tentaient de rassembler les morceaux de ce puzzle désordonné.
- Bonjour, excusez-moi. Commença Mulder en essayant de garder son calme. - Nous cherchons une jeune femme brune. Elle était avec nous hier soir. Vous l'avez peut-être croisée ce matin ?
Le réceptionniste leva les yeux de son registre, ses traits s'illuminant à la mention de la jeune femme.
- Ah oui, une superbe nana avec de beaux yeux bleus ? Répondit-il, un sourire rêveur flottant sur ses lèvres.
Mulder serra les dents, l'agacement montant en lui.
- Si vous le dites... Mais vous l'avez vue, oui ou non ? Demanda-t-il, une pointe d'impatience perçant sa voix.
Le réceptionniste sembla redescendre sur terre, son sourire s'effaçant.
- Non, désolé. Je ne l'ai pas revue depuis hier soir.
Ils quittèrent le motel, Mulder jetant des coups d'œil autour de lui, comme si Parker pouvait réapparaître d'un moment à l'autre. Leurs regards se croisèrent, chacun comprenant ce que cela signifiait : Parker avait effectivement disparu sans laisser de trace, et leur pire crainte se confirmait. Ils échangèrent un bref coup d'œil, l'inquiétude se lisant sur leurs visages. Scully, en particulier, sentit une boule d'angoisse se former dans son estomac.
De retour à la voiture, le silence était lourd, les pensées tourbillonnant dans leurs esprits. Finalement, Scully ne put contenir son inquiétude.
- Très bien, et maintenant, qu'est-ce qu'on fait, Mulder ? Demanda-t-elle, sa voix trahissant son exaspération.
Mulder, les yeux rivés sur la route devant lui, semblait absent.
- Tu peux essayer de l'appeler, mais je doute qu'elle réponde. Dit-il sans grand espoir, son ton révélant un découragement profond.
Scully soupira, se sentant de plus en plus perdue dans cette situation.
- C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Comment retrouver une femme capable de disparaître sans laisser de trace ? Ironisa-t-elle, une frustration palpable dans sa voix.
Mulder, lui aussi désemparé, se tourna vers elle, cherchant des réponses qu'il ne trouvait pas.
- Ah, je vois... Elle ne t'a donc pas mis au courant. Murmura Scully, une lueur de compréhension traversant ses yeux.
- Au courant de quoi ? S'impatienta Mulder, sentant que quelque chose lui échappait.
Scully soupira avant de lui révéler ce que Parker lui avait confié la veille. Chaque mot l'enfonçait un peu plus dans sa confusion. Il se demandait comment une personne pouvait autant le fasciner et l’exaspérer à la fois.
- C'est une histoire de dingue. Murmura-t-il, presque pour lui-même. - Cette fille est vraiment surprenante... insupportable, mais... Il marqua une pause, cherchant le mot juste. - Déconcertante.
Scully hocha la tête, consciente du tourment intérieur de son partenaire. Ils étaient tous les deux confrontés à une situation qui dépassait de loin ce qu'ils avaient imaginé.
- Le seul recours qu'il nous reste est de contacter l'agent Pendrell. Il pourrait nous donner des informations utiles. Proposa Scully.
Mulder acquiesça, reconnaissant qu'ils n'avaient plus d'autres options. Ils quittèrent le motel, leurs pas les menant dans une petite ruelle déserte où se trouvait une vieille cabine téléphonique. L'endroit était parfait pour passer un appel discret, loin des regards indiscrets. Une fois dans la cabine, Scully composa le numéro, espérant que Pendrell pourrait les aider.
- Agent Pendrell, j'écoute. Répondit une voix au bout du fil.
- Sean ? C'est Dana Scully. Désolée de te déranger, mais nous sommes à la recherche de quelqu'un et nous n'avons pas beaucoup de temps. Dit-elle, un soupir de soulagement s'échappant de ses lèvres à l'idée d'avoir enfin une chance de faire avancer les choses.
- Dana ? Est-ce que tout va bien ? Où es-tu ? Il est arrivé quelque chose ? S'inquiéta Pendrell, sa voix trahissant une nervosité croissante.
- Je ne peux pas te dire où je suis, Sean. Mais je dois savoir si tu sais où se trouve l'agent Parker en ce moment. Insista Scully, son ton devenant plus pressant.
Un silence pesant s'installa, comme si Pendrell hésitait à répondre. Puis, d'une voix hésitante, il finit par dire :
- Euh... je... Pourquoi je le saurais ? Répondit-il, clairement mal à l'aise.
Scully sentit son cœur s'accélérer. Il y avait quelque chose qu'il ne disait pas.
- Sean, je t'en prie. Nous sommes au courant. Nous savons que Parker et toi travaillez ensemble. Elle a disparu hier soir, et nous n'avons aucune piste pour la retrouver. Si tu as la moindre information, dis-le-nous. Implora-t-elle.
Soudain, le téléphone se coupa, ne laissant qu'un bip monotone dans l'air. Scully resta figée, son cœur battant la chamade.
- Allô ? Sean, tu m'entends ? Dit-elle, sa voix tremblante, mais en vain. Le silence était total. Elle sortit précipitamment de la cabine.
- Mulder, nous avons été coupés. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais ça m'inquiète beaucoup. Tu crois qu'on est suivis ? J'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Dit-elle, son visage trahissant une profonde inquiétude.
Mulder serra les dents, sentant la situation leur échapper de plus en plus.
- Nous voilà dans de beaux draps. Il va falloir être bien plus prudents à partir de maintenant et éviter de contacter qui que ce soit. On va devoir se débrouiller seuls. Commençons par la maison de Parker. Peut-être y trouverons-nous des indices. Proposa-t-il, son ton ferme malgré l'incertitude qui le rongeait.
Scully le regarda avec une lueur d'incrédulité dans les yeux.
- Tu es sérieux ? Nous n'avons aucun mandat pour entrer chez elle, Mulder. On ne va quand même pas forcer l'entrée. Dit-elle, stupéfaite.
Mulder haussa les épaules, un sourire sarcastique étirant ses lèvres.
- Ce n'est pas comme si on avait le choix. Si tu penses que Parker nous attend gentiment chez elle pour boire le thé, tu te mets le doigt dans l'œil. Répliqua Mulder, essayant de cacher son agitation derrière un masque de sarcasme
Scully roula des yeux, exaspérée, mais elle savait qu'il avait raison. La situation échappait à tout contrôle, et ils devaient agir vite.
- Très drôle, Mulder. Mais je n'aime vraiment pas la tournure que prennent les choses. Imagine qu'il lui soit arrivé quelque chose à cause de notre imprudence. Réfléchit-elle à voix haute, son esprit torturé par des scénarios inquiétants.
- Je pense que Sean a juste paniqué, répondit Mulder en essayant de la rassurer. Retournons à la voiture et allons jeter un œil chez elle. Si quelque chose ne va pas, nous le saurons rapidement.
Avec un dernier regard échangé, ils remontèrent dans le véhicule, chacun perdu dans ses pensées. L'angoisse grandissait en eux, mais ils savaient qu'ils ne pouvaient pas se permettre de baisser les bras maintenant. Le mystère entourant Parker devenait de plus en plus épais, et ils étaient déterminés à le percer, coûte que coûte.
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Bucky x reader (in french)
La peur de l'abandon
Attention: énorme doute de soi; Fin heureuse; Angoisse
(chemin 1)
Résumé : Tu demandes à Bucky de jouait le rôle de ton rendez-vous au bal des anciens camarade. Tu veux marquer les esprits car tu étais la personne timide que personne ne remarquer étant adolescent. Sauf qu'il te fait comprendre que c'est non et il s'en veux après. Il découvre ensuite tes énorme manque de confiance.
Masterlist (in french):
Masterlist (in english):
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'' S'il te plaît Bucky ! '' Tu le supplia alors qu'il se dirigea vers la cuisine '' Non [Y/N], pourquoi tu mentirais comme ça ? '' Pourquoi mentirais-tu ? Tu n'étais pas du genre faire ça. Mais tes années de lycée ont été les pires, tous tes amis qui sont restés avec toi se sont mis en couple tandis que les autres sont parti dans d'autres établissements. Tu t'es retrouvé souvent seule. Au début c'était rien, tu t'es dit qu'ils avaient le droit de passé du temps avec leur partenaire. Mais ils sont jamais revenus. Bucky était déjà parti. Et tu étais encore seule ici. Tu soupiras et parti vers ta chambre pour t'habiller. Tu essaya pratiquement toute les tenues que tu avais mais même bien habiller, tu n'avais personne. Tu te laissas tomber sur ton lit et regardas le plafond. Personne ne voulait y aller avec toi et tu n'avais rien d'extraordinaire à te mettre. Alors tu décidas de ne pas y aller. Tu retira tes vêtements et te mit plus confortable.
Bucky parla avec Steve quand il t’aperçut sur le canapé. Il fronça les sourcils surpris que tu sois là. '' Bucky ? '' Il regarda son ami '' Oui ? '' Steve suivit son regard pour tomber sur toi. '' Elle ne devait pas être à sa réunion ? '' Le soldat de l'hiver hocha la tête '' Qu'est ce qu'elle fait encore là '' Il hausse les épaules sans te quitter des yeux. Il décida de se rapprocher de toi. '' [Y/N] ? '' Il demanda en se posant à côté de toi '' Oui ? '' Tu le regarda rapidement avant de reporter ton attention sur ta série. '' Tu n'es pas à ta réunion '' Tu baissas les yeux quelques instants '' Je n'avais pas envie d'y aller '' Bucky était un peu décontenancer. '' Tu avais envie d'y aller il y a même pas 1 heure '' Tu soupiras '' Je n'ai rien à faire la bas, je préfère être ici '' Bucky insista '' Tu as pas des amis que tu peux retrouver là-bas ? '' Il voulais que tu y ailles mais tu ne savais pas pourquoi. Et puis, tes amis sont bien mieux sans toi là-bas te dis tu '' J'ai pas envie Bucky '' Il soupira '' Tu veux que je vienne ? '' Tu réfléchit. S'il vient, tout le monde te regardera, mais ça ne sera pas sincère. Bucky avait raison, il ne faut pas mentir '' J'ai pas envie James '' Il tressaillit. Tu ne l'avais jamais appelé James. '' D'accord '' Il regarda la série avec toi avant de partir et de te laisser seule. Encore.
Il retrouva Steve, qui était parti s'entraîner avec Natasha. Quand elle le vit arrivée, un peu choquée, elle laissa sa place contre Steve. '' ça va ? T'as l'air d'avoir vu un fantôme '' Il regarda son ami '' Je pense que j'ai fait quelque chose de mal avec [Y/N] '' Steve était intrigué '' Comme quoi ?'' Le soldat hausse les épaules '' Je lui ai demandé pourquoi elle n'a pas été à sa réunion mais elle était froide, distante et elle m'a appelé James '' Steve était surpris. Tu donnes toujours des surnoms aux gens, tu les appelés par leur prénom que quand ils ont fait quelque chose de mal '' Qu'est ce que tu as fait ? '' Il demanda curieux ''J'ai pas voulus aller avec elle à sa réunion '' Le blond ne comprit pas. Jamais tu n'aurais fait la tête pour quelque comme ça, tu n'as jamais forcé les gens '' Tu es sûr d'avoir rien dis d'autre ? '' ''Je lui ai demandé pourquoi elle mentirait mais elle ne m'a jamais répondue '' Steve haussa les épaules, c'est peut-être une mauvaise journée et tu as besoin de temps.
Le lendemain. Tu as raté l'entraînement avec Natasha. Ça les avait inquiétées. Que ce soit Natasha ou Bucky, même Tony était un peu inquiet pour toi, même s'il ne disait rien. Bucky décida d'aller te voir pour te trouver allonger sur ton lit à regarder le plafond. ''[Y/N] ? '' Tu le regarda surpris '' Bucky ? Qu'est-ce que tu fais là ? '' Tu te redressa. '' Tu as raté l'entraînement '' Tu fronça les sourcils. Tu n'en as jamais raté, à part quand tu étais malade mais tu avais toujours prévenue. Tu regardas l'heure sur ton réveil qui indiquait 10 heures 30. Tu soupiras et retombas sur ton lit. '' ça va ? '' Il s'assit sur ton lit et te regarda. Tu hochas la tête. '' Elle est toujours en train de s'entraîner ? '' Il secoua la tête. '' Elle est parti avec Clint et Wanda faire du shopping'' Il jouait avec ces mains clairement nerveux '' Ecoute... Je suis désolé pour hier, je savais que c'était important pour toi, mais... Je n'avais pas envie que les gens me voient avec toi '' Pas envie qu'il te voit avec lui ? ça te fit mal au cœur. Qu'est-ce que ça voulait dire ? Que tu n'étais pas assez bien pour lui ? Qu'il aurait eu honte ? '' Je comprend '' Bucky regarda tes yeux remplis de douleur et de tristesse. '' Je ne suis pas sûr '' Il se lève et te prends la main pour que tu puisses te lever aussi. Arrivé face à face, tous les deux debout. Il soupire pour se donner du courage tenant ta main dans la sienne. '' Je suis le soldat de l'hiver, j'ai tué beaucoup de monde et même si je m'en veux... Les autres me voient comme un assassin et je peux les comprendre, mais je ne voulais pas t'infliger ça. Imagine-toi '' Il sourit clairement en train d'imaginer la scène dans sa tête '' Toi, dans les plus beaux vêtements que tu as pour paraître encore plus belle alors que tu l'es déjà. '' Il arrêta de sourire petit à petit, pensant à ce que penseraient les gens de toi s'il te voyait avec lui '' Mais, je ne supporterais pas que les gens te fasse des remarques parce que tu sors avec moi, même si c'est un faux rendez-vous '' Tu étais abasourdie '' Bucky '' Tu pris sa joue et lui sourit '' Tu es le seul homme à qui j'ai demandé de venir pour une raison. Je m'en fou des remarques si je suis avec toi '' Il sourit et te prit dans ses bras et tu le serras aussi. '' Tu ne m'en veux pas ? '' Il s'éloigna. '' Je ne voulais pas y aller '' Elle s'éloigna.
'''Tu avais l'air de vouloir y aller '' La peur de te voir seule jusqu'à la fin était une de tes pires peur '' Je n'avais plus envie c'est tout '' Il te regarda douteux. '' Pourquoi ? '' Tu te sentis toute suite mal, c'est un peu honteux de lui avouer que tu avais peur de veillir seule. Mais les sentiments remonta plus vite que ton sang froid. '' Je serai seule... comme je l'ai toujours été depuis le lycée, ! Si j'y serai allé, tout le monde verra que j'ai pas évoluer, que j'ai pas d’intérêt, que je suis toujours seule '' tu le regardais droit dans les yeux, il était en train de réfléchir à se que tu disais. Comme s'il refléchissait à pourquoi tu dis ça '' Même si j'y serai allé avec toi. Je n'aurai pas été seule, mais... Ça aurait pas été sincère donc peut-être que les personnes m'aurai vu accompagné mais le sentiment reste le même pour moi '' Il ne comprit pas vraiment comment tu pouvais dire que tu te sentais seule, tu étais avec les Avengers. C'était ta famille, tout le monde t'aimais et te soutenais. Il ne comprit pas que tu ne parlais pas de famille, mais plutôt d'ami avec qui passait du temps sans penser à sauver le monde. Tu voulais arrêter de t’inquiète pour tout le monde quand ils partaient en mission. Tu voulais une pause et surtout, tu voulais être aimé comme tes amis étaient aimés par leur partenaire. Tu voulais être dans une relation. Mais ta faible estime de soi t'a toujours bloqué. Tu as eu quelques petit-amis, bien sûr, mais ça n'a jamais dépassé les 2 mois. Tu étais toujours abandonné. Tu as essayé de changer de paraître plus confiante et c'est grâce à ça que tu as rejoint les Avengers, mais tu n'as plus jamais été en couple après ça. Ça va bien faire plus de 5 ans. '' Comment tu peux dire ça ? Tu as les Avengers ! '' Tu soupiras, bien sûr qu'il n'allait pas comprendre. '' Laisse tomber, je vais prendre ma douche '' Quand tu commenças à partir vers la salle de bain il te prit par le bras '' Non, explique moi s'il te plaît '' Il te suppliais. Il voulait t'aider, tu as toujours été gentil avec lui et il commençait à développer des sentiments pour toi. Tu soupiras et te retournas vers toi. '' J'ai jamais eu une relation de plus de 2 mois ! On m'a toujours fait passer en deuxième, sois je n'étais pas assez bien sois il jouait avec moi '' '' [Y/N] tu es très bien, ces gens-là, c'était juste des connards d'accord ? '' Il prit une de tes mèches de cheveux et la plaça derrière ton oreille. '' Tu ne dois jamais douter de ça '' Il prit ta main '' Et il y a une personne qui t'aime ici, d'accord '' Elle le regarda avec confusions '' Qui ? '' Il déglutit, il avait tant envie de te le dire, il voulait t'aider. '' C'est pas grave si c'est pas réciproque, je comprends mais je t'aime depuis longtemps. Tout chez toi est parfait, ton humour, ta beauté, ton intelligence, ta gentillesse '' Tu le regarda avec surprise avant de sourire. La vérité c'est que tu l'aimais aussi mais tu t'es dis que tu n'avais aucune chance, c'était Bucky, un héro de guerre des années 40. Il était parfait à tes yeux, poli, drôle, beau. '' C'est vrai ? '' Il hocha la tête '' Est ce qu'on peut rester ami ? ''Il était persuader que tu ne l'aimais pas en retour '' Bucky ? '' Il te regardant '' Je t'aime aussi '' Il fut tout aussi surpris. Steve lui a fait remarquer plusieurs fois que tu le regardais souvent, que tu l'écoutais toujours quand il parlait, que tu t’inquiétais toujours plus pour lui quand il partait en mission. Steve t'a aussi fait remarquer que Bucky parlait souvent de toi. Il te complimentait sur ta tenue ou sur tes performances à l'entraînement avec Nat ou Wanda.
Quand il reprit ces esprits, il se pencha vers toi, pris ta joue dans sa main. Tu le regardas. Ça fait si longtemps que tu as rêvé de ça. Il fit durer le moment en te regardant dans les yeux, te laissant du temps pour reculer ce que tu ne le fis pas. Il te rapprocha donc de lui. Vos poitrines se collaient. Tu plaças tes mains contre son cou, n'en pouvant plus attendre, le tirant vers toi et plaça tes lèvres sur les siennes. Vos lèvres s’emboîtent parfaitement menant une danse ensemble. Il laissa tomber ses mains sur ta taille te rapprochant encore plus. Vous étiez à fond dans le baiser oubliant ce qui y était autour de vous. C'était comme un rêve. Tu te demandas quand tu allais te réveiller. Vous avez tous les deux reçu la marque d'amour que vous attendiez depuis longtemps. Il posa son front sur le tien, reprenant votre souffle. '' Je t'aime '' Dit il à nouveau. '' Je suis désolé pour hier '' Elle sourit '' Je préfère être avec toi sincèrement devant personne que d'être avec toi pas sincèrement devant tout le monde '' Il s'éloigna de toi, toujours ses mains sur tes hanches en souriant
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