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#désapprendre
dandanjean · 9 months
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Désapprendre
Une phrase inspirante d’Edgar Morin : Au 21e siècle, les analphabètes seront ceux qui ne seront plus capables d’apprendre, de désapprendre et de réapprendre. Ce que nous connaissons nous permet d’avancer. Mais, il faut reconnaître, à l’exemple de la préparation d’un voyage, ce que nous avons lu sur le pays, les principales adresses, les habitudes de vies, deviens dépassé lorsque nous sommes…
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jade-curtiss · 1 year
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Trait toxique que j'apprécie chez moi (quand c'est donnant donnant c'est l'fun être une marde, ok): entretenir des dudes heteroflexibles qui veulent essayer de quoi de différent juste pour leur crier d'su la seconde qui m'compare avec les filles qui ont cotoyé qui sont ma foi, très très lame, comme me faire comparer a des bonnasses new age™ qui ont prit leur valeurs à la pige dans des articles click bait, comme voici mes cristaux (une brique de fondation, un beau bloc de béton creux) ça devrait matcher avec la face de ton énergie ainsi que celle d'ton ancienne guedoune.
#comme sérieux prochaine shot qu'un dude me dis que c'est sa première expérience je l'criss par la fnête#comme sérieusement sti que j'pu capable du monde#comme le dude qui a du aller en thérapie parce-que son ex trouvait ça l'avait pas d'allure le furry#sérieux si ça l'avait été ma plotte j'y aurait dit d'aller s'pendre si est po contente non mais kesséso#en plus c'était the tamest shit ever comme les esti d'plottes prudes devraient apprendre a farmer leur yeule comme les autres trous siboire#ça ferait des fucking vacances#pis aussi toute la vibe relationelle a déconstruire pis l'espèce de perception qui marche pas comme j'po capable ça m'écoeure juste y penser#comme désapprendre le fait que tu peux pas juste t'en tirer en payant des affaires ou en essayant d'acheter la personne comme fuck off#recevoir des patentes que j'ai pas demandé pour fucking red flag#l'incapacité d's'occuper de soi même parce-que sa bonasse ou sa mère a toujours tout fait pour lui po capable#si t'as plus que 10 ans pis ta cuisine a peaké au kraft dinner pas capable#comme pour vrai élever tout le monde avec un moule de roles pré établi est un fucking cancer pis l'monde devraient arrêter de faire ça#si y veulent arrêter d'être lame pis incompétent#ça va d'tout les bords#comme les meudames qui endurent ça pis pire encore élèvent d'la médiocrité pareil sont fucking pire esti d'épaisses qui comprennent rien#comme être une femme pis être conservatrice ça devrait être un aller simple a pinel merci bonsoir#comme pour une fois l'institutionalisation arrêterait des vraies menaces à place de faire à semblant
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lisaalmeida · 2 months
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Joue tant que tu le sais !
Tout ce qui est bon et beau
Se désapprendre...
La vie achète et vend
La perdition,
D ' autrui et heureux,
Joue dans le monde de l'imagination
Qu ' aucun autre monde ne contredit !
Joue instinctivement
Comme un animal !
Percer les yeux du temps,
Et autour de son alvar étonnement
De chèvre aveugle,
En train de sauter et de courir,
Défronte
L ' adulte que tu seras !
Michel Torga
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icariebzh · 6 months
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Mon cher petit garçon,
T’écrire ces quatre mots me bouleverse. Ils rendent si réel l’homme que tu es, en cet aujourd’hui qui est le tien, quand, dans celui qui est le mien, tu n’es encore qu’un enfant.
Cette lettre je l’adresse donc à l’homme que tu n’es pas encore pour moi, mais que tu es devenu puisque te voilà en train de la lire. Tu l’auras trouvée sans doute par hasard sur cette clé où je consigne en secret les trésors de ton enfance. J’ignore l’âge que tu as, j’ignore ce qu’est devenu le monde, j’ignore même si ces clefs fonctionnent encore mais j’ai espoir que, la découvrant, tu trouveras un moyen de l’ouvrir.
Et par la magie de l’écriture, voici que cette lettre devient la fine paroi qui nous relie, et entre l’aujourd’hui où je t’écris - où tu commences à déchiffrer les phrases, où tu as peur dans le noir, où tu crois à la magie - et celui où tu me lis, chaque mot de ma lettre a gardé sa présence ; si à l’instant j’écris je t’aime, voilà qu’à ton tour, des années plus tard, tu lis je t’aime. Et que t’écrire d’autre que je t’aime, alors que nous vivons ce que nous vivons en ce confinement dont tu n’as peut-être plus qu’un vague souvenir ? Quoi dire de plus urgent que l’amour ?
En ces journées étranges où rode une mort invisible et où le monde va vers son ravin, un ravin qui semble être l’héritage laissés aux gens de ta génération, un père, plus que de raison, s’inquiète pour son fils. Je te regarde. Tu dessines un escargot. Tu lèves la tête et tu me souris. "Qu’est-ce qu’il y a papa ?" Rien mon garçon.
Je ne sauverai pas le monde. Mais j’ai beau ne pas le sauver, je peux du moins te désapprendre la peur. T’aider à ne pas hésiter le jour où il te faudra choisir entre avoir du courage ou avoir une machine à laver. T’apprendre surtout pourquoi il ne faudra jamais prononcer les mots de Cain et, toujours, rester le gardien de ton frère. Quitte à tout perdre. J’ignore d’où tu me lis, ni de quel temps, temps de paix ou temps de guerre, temps des humains ou temps des machines, j’espère simplement que ton présent est meilleur que le mien. Nous nous enterrons vivants en nous privant des gestes de l’ivresse : embrassades, accolades, partage et nul ne peut sécher les larmes d’un ami.
Mais si ton temps est pire que celui de ton enfance, si, en ce moment où tu me lis, tu es dans la crainte à ton tour, je voudrais par cette lettre te donner un peu de ce courage dont parfois j’ai manqué et, repensant à ce que nous nous sommes si souvent racontés, tu te souviennes que c’est la bonté qui est la normalité du monde car la bonté est courageuse, la bonté est généreuse et jamais elle ne consent à être comme une embusquée, qui, à l’arrière vit grâce aux sang des autres. Nul ne peut expliquer la grandeur de ceux qui font la richesse du monde. Donne du courage autour de toi et n’accepte jamais ce qui te révulse.
Quant à moi : je t’aime. Ton père t’aime. Sache cela et n’en doute jamais.
Ton père".
Wajdi Mouawad
Un homme de paix invité ce mardi matin sur France Inter
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spaceship_to_the_sun
[En below] C'est BEAU n'est-ce pas ? Quand on prend conscience qu'on est acteurs et actrices du monde à chaque instant, que lorsque les choses changent en nous les choses changent autour de nous. Oui, on doit apporter de la lumière au monde et ça commence par toi, alors regarde tes peurs regarde tes talents, aime ta vérité et sois qui tu es car le monde n'attend que ça, le monde a besoin de ça. Dis OUI au changement, dis OUI à toutes ces choses que tu sais instinctivement bonnes pour toi, ose, n'attends plus rien car c'est maintenant que ça se joue. ↠ Chaque jour je vois des dizaines de choses merveilleuses autour de moi, VOIS ces choses et fais grandir ton émerveillement, à toi de réanchanter le réel, à toi de voir la beauté d'une fleur qui s'ouvre à la lumière, à toi de voir la beauté de la pluie qui fertilise... Ainsi je prie chaque jour pour que chaque être ait conscience de son pouvoir et accroisse sa conscience de lui-même et de ce monde. Parfois ça demande de sortir de sa zone de confort mais ce positif changera TOUT. Plus on regarde et prend conscience de nos peurs moins elles ont de place, la partie de toi qui a conscience de tes peurs n'a pas peur, elle. On est né•es avec l'amour et on a appris la peur, la voie spirituelle c'est désapprendre la peur et accepter à nouveau l'amour. Regarde-toi ~ Tu mérites tout ça... Tellement. Eye love you.
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aurevoirmonty · 1 year
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La plupart des résultats de l'éducation moderne sont des hommes sans instruction. Notre éducation est déséducation ; toute sa tendance est de désapprendre aux gens les traditions de leurs pères.
G. K. Chesterton
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unmondemeilleur · 2 months
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L'amour nous naissons avec lui. La peur on nous l'enseigne. Notre parcours spirituel est de désapprendre la peur et d'accepter le retour de l'amour dans nos cœurs.
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yes-bernie-stuff · 2 months
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LUNDI 22 JUILLET
VAINCRE SES PEURS
« L'AMOUR PARFAIT BANNIT LA CRAINTE » 1 JEAN 4.18
"Je suis convaincue que des personnes seront portées par les messages de Parole du Jour, ce qui les incitera à profondément changer en fonction de que Dieu a décidé pour eux." Hélène Je fais un don
Selon les psychiatres, il existerait près de deux mille peurs différentes ! L’être humain n’a que deux craintes innées : les chutes et les bruits trop forts. Toutes les autres craintes sont apprises au cours de l’existence. Mais on peut aussi les désapprendre ! La vie nous façonne à travers quelques expériences déterminantes qui peuvent produire un sentiment soit de confiance soit d'incertitude. Elles peuvent susciter de l’espoir ou nous rendre vulnérables, provoquer la foi ou la peur. Jean exprime l'objectif final de notre relation avec Dieu : « Il n'y a pas de crainte dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte » (v.18). Les mots « amour parfait » ne décrivent pas notre amour pour Dieu, mais plutôt l'amour inconditionnel, immérité et infaillible de Dieu pour nous. Un pasteur écrit : « Le but de l'amour est justement de ne pas avoir peur ! En grandissant dans une relation d'amour avec Dieu, on désapprend les peurs qui nous paralysent. La foi chasse nos craintes irrationnelles. La seule crainte ordonnée par Dieu est la crainte de Dieu. Et si on craint Dieu, si on l’aime, si on l’honore, on n’a plus à craindre quoi que ce soit. Désapprendre ses peurs, c'est apprendre à faire toujours plus confiance à Dieu. » Voici l'une des plus grandes promesses de Dieu dans la Bible : « Je ne te délaisserai pas ni ne t'abandonnerai. C'est pourquoi nous pouvons dire avec courage : Le Seigneur est mon secours ; je n'aurai pas de crainte. Que peut me faire un homme ? » (Hé 13.5-6).
B365 — Plan de lecture
2 Samuel 7-8
Prière du jour
Merci Jésus, car tu chasses mes craintes.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2024 Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2024PHARE MEDIA, 39-41 avenue de Colmar, 68200, Mulhouse, France
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christophe76460 · 2 months
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Le pardon des péchés
«Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter, en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements.»
‭‭Jacques‬ ‭1‬:‭22‬ ‭LSG‬‬
Jour 3 - Et après
Et après ? Notre nature a changé, notre identité à changé, nous étions pécheurs, nous sommes maintenant Saints (1 Corinthiens 6: 11). Nous sommes passés par un processus de repentance, peut-être même de délivrance, nous avons renoncé à notre vie passée et notre désir est de plaire à Dieu, à un tel point que nous avons décidé de passer par les eaux du baptême, cependant nous réalisons que, dans notre vie de tous les jours, nous péchons encore, pourquoi ?
Quelques éléments de réponse:
- Par habitude : certaines habitudes que nous avons prises durant notre vie sans Dieu, sont parfois comme inscrites dans nos gènes et, bien que nous ayons été libérés de la racine de ces péchés, les automatismes que ceux-ci avaient créés en nous sont toujours là. Il nous faut donc faire un travail de discipline, afin de nous débarrasser de tous les résidus de ces péchés. C’est un peu la même chose que lorsque l’on désinstalle d’un ordinateur, un programme ou une application qui contient un virus, même si l’application n’existe plus, il reste encore quelquefois des fichiers cachés qui nous empoisonnent la vie ; la solution est de les traquer un par un et les supprimer. C’est le même processus avec les mauvaise habitudes, il nous faut les traquer une à une et les supprimer.
- Notre éducation : il y a des choses que nous avons apprises dans notre éducation, qui sont loin d’être conformes à ce que la Parole de Dieu nous enseigne, ce sont des faux raisonnements (Jacques 1:22) et ces faux raisonnements nous conduisent à prendre des décisions opposées à celles que la Parole de Dieu nous demande de prendre. Il nous faut parfois désapprendre certaines choses, afin de réapprendre de manière saine. Une des solutions est de demander à Dieu d’amener ces faux raisonnements à la lumière, tout en étant nous-mêmes disposés à changer d’attitude, et cela nous concerne tous, nous choisissons de nous soumettre à la Parole de Dieu et non l’inverse.
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deepthinker-society · 4 months
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Nouveau départ. Ceci est une fiction. Ceci est pourtant une fiction dans laquelle peut-être certains se reconnaîtront. L'histoire parle d'Elle que je croisai un jour de septembre sur mon chemin en sirotant ma limonade. Elle était là, bêtement à attendre sur une chaise. Elle était là, stupidement, son café devant elle. Elle était là, les yeux dans le vide et le regard nulle part. Elle était là, bloquée dans son quotidien, bloquée dans ses convictions, ses idées, son mode de vie. Elle était là. Et c'était là, dans ce banal café parisien qu'elle décida de tout recommencer. Elle voulait changer. Radicalement. Une coupe de cheveux ou une nouvelle activité ne suffirait plus. Il fallait tout revoir. Oublier ce qui pourrait l'être. Réapprendre. Reconsidérer. Changer. Tout simplement. On appellerait ça : une renaissance. C'était évidemment impossible dans sa totalité. Elle le comprit quand elle partit en vadrouille quelques jours plus tard. Tout ça à cause de la musique qui passait à la radio. Elle avait beau se trouver cette fois-ci dans ce restaurant péruvien loin de tout et loin des siens, la musique dont elle ne comprenait pas les paroles était un air qu'elle écoutait sur son baladeur il y a de ça 20ans. Rien ne s'oublie vraiment. Et pourtant, dans ce pays qui ne la connaissait pas, elle avait déjà fait un pas. Elle était ailleurs, déterminée. Déterminée à recommencer ce qu'elle n'avait su achever. Déterminer à recommencer non pas tout, puisque ceci ne lui était pas permis, mais ce qui pourrait l'être. On prendrait ça comme une nouvelle page, comme un nouveau chapitre. Elle prenait ça comme un nouveau livre, une nouvelle bibliothèque. Une nouvelle vie. Elle souhaitait maintenant pouvoir s'affranchir de ce qui la limitait. Pour cela, il lui fallait suffisamment de force non plus pour apprendre, ça, ce serait pour plus tard, mais déjà pour désapprendre ce qui l'empêchait d'avancer. En prenant son sac et payant l'addition, elle se mit à espérer. Elle voulait pouvoir rêver, croire et créer de nouveau. Sortir de sa torpeur et réapprendre à vivre pour devenir non pas quelqu'un, mais ce qu'elle voulait être, au fond d'elle-même. #renaissance #fiction
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dandanjean · 1 year
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S’apprivoiser
On peut partir en voyage pour toute sorte de raison. On peut vouloir changer de décor, ou découvrir une culture différente, ou simplement s’évader. Moi, je suis partie pour désapprendre. J’avais le besoin de ne plus dépendre de ce que je sais de moi. En fait, je ne voulais pas mieux me connaître en rencontrant des inconnus au fil des rues, je voulais me libérer de ma représentation de moi-même…
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Tomber à. l'eau. de rose.
Tu aimes et tu as peur de le dire Car, à coup de clichés, tu te ferais détruire. Un jour, j'ai aimé, enfin je crois, je sais pas. Tout ce que je sais c'est que je l'ai gardé pour moi. Impossible de décrire ce que je ressens. Peut-être quand je te dis « je t'aime », je te mens. Faut-il que ça ressemble aux contes de fées ? Combien de personnes ai-je le droit d'aimer ? Est-ce que c'est « toi, moi, dans les yeux pour la vie » ? Est-ce qu'on s'aime encore lorsque tout est fini ? Est-ce que c'est comme une vieille photo qui s'efface, se détruit avec le temps, ne devient qu'une trace ?
Tu aimes et tu as peur de le dire Car, à coups de clichés, tu te ferais détruire. Parce qu'au final t'es pas vraiment Barbie, Tu as peur de vieillir, de changer et tu fuis. Espérances qui dépassent la réalité, Trop douloureux de créer un conte avorté. Par ta propre pensée que tu te fais bouffer. Dis-donc, Princesse, de qui es-tu effrayée ? Des autres ? ou de ton regard stéréotypé ? C'est typique de l'image que tu veux donner. L'amour n'est pas un état ou une histoire, C'est un moment que tu prolonges par espoir.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coup de clichés, tu te ferais détruire. On dit : tu sera le prince, moi, la transie, On dit : Je serais l'amante, toi, le mari. Va falloir choisir une date de péremption. Une nuit, une semaine, trois de passion Un, trois, dix ans ou éternellement ? C'est le compte à rebours de l'engagement. Des clichés d'Hollywood, tu te sens l'otage. Tu voudrais aller voir le soleil sur la plage, Comme passer des heures les yeux dans les yeux Sans te sentir du cinéma un amoureux.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coups de clichés tu te ferais détruire. Mais aime ! Un instant et une éternité ! La mesure du moment n'est pas dans la durée. Suspends le temps autant que tu le voudras, Ce que tu donnes jamais ne te détruira. Offre donc sans retour, sans attendre de dû. Le pouvoir est à celui qui peut donner et, à celui à qui il ne peut être rendu.
Tu aimes et tu as peur de le dire, Car, à coups de clichés, tu te ferais détruire. À ceux qui ont déjà, qui peut les comprendre. Les stéréotypes il faudrait désapprendre. A ton image, ton amour est à la fois, Banal et unique. Il est surtout à toi. Laisser d'autres regards te le façonner, Serait le renvoyer à sa banalité. Ce qui n'ont jamais, ne peuvent te jeter la pierre. Ils devraient la garder puisqu'ils espèrent… Alors tu aimes et tu finis par démentir, Car, à coups de clichés, tu t'es fait détruire.
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bbruitdefondd · 9 months
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Life is Life, une exposition hommage à la vie et à l'oeuvre de Gregory Le Lay
Vernissage le 10/11/23 à 18h du mardi au samedi, 10h/12h 14h/19h, jusqu'au 24 novembre 2023
Un ensemble d'oeuvres sur papier a été rassemblé par les amis et proches, cette exposition de Gregory Le Lay est immanquablement généreuse, joyeuse, triste et impertinente à la fois, fidèle à lui même.
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A chaque fois que j’écris sur le travail d’un.e artiste, il y a toujours un doute qui m’anime : et si ce que j’écris ne servait strictement à rien ? Animé de la certitude de mon inutilité, il reste tout à vivre. L’écriture que je mène avec les artistes ne trouve son sens que dans un débordement vers l’amitié, le rire, les sanglots, la tendresse, les désaccords, les conversations sans fin, la danse, les plongés dans les calanques. Faire des expositions, écrire sur des œuvres, réunir des personnes pour parler de ce qu’elles observent, boire des coups pour fêter que ça puisse exister, remballer et remettre une couche d’enduit, nous permettra toujours de réinventer un monde. 
Celui qu’on vit ensemble.
J’ai écrit un texte en juin 2012 sur le travail de Grégory où je parlais déjà de sa vie aux Azores, un archipel portugais en plein Atlantique, d’où il avait ramené la longose, une plante aux fleurs très parfumées, désormais considérée invasive sur île. Pendant nos conversations, il m’avait évoqué la manière dont on emploie souvent en botanique les mêmes mots utilisés pour parler d’émigration, oubliant que les espèces végétales ont elles aussi toujours voyagé. 
Partout dans son travail il y a des présences animales. Ça me bouleverse toujours de comprendre qu’il ne cherchait absolument pas à les faire parler ou à les transformer en personnages. Il n’était question que de partager du temps avec eux, d’apprendre d’eux pour se désapprendre. Grégory me parlait souvent de l’envie de devenir une éponge, de se laisser traverser par cette île. 
Son travail est l’une des plus belles choses que j’ai pu vivre pendant ces années tourbillonnantes où nous avons vécu à Marseille. Il y a un sens de l’improvisation construite, d’un devenir permanent, d’une joie qui n’a pas peur de l’ennui. Tout respire, les questions restent ouvertes, il y a une fragilité qui permet aux autres de venir. Est-ce que nous faisons et écrivons sur l’art pour que quelqu’un le reconnaisse un jour ? Grégory savait intimement que l’art était le mot sous lequel nous désignons notre envie de générer de la vie, de le faire ensemble, de refuser aussi de participer à tout ce qui amoindri cette puissance. Les œuvres ici montrées gardent une trace de cette aventure. Tout doit disparaitre mais nous sommes toujours là, contre l’oubli.
J’entends ton rire Grégory. Nous te célébrons cher ami.
Pedro Morais
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photos Mathieu Mangaretto
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lisaalmeida · 1 year
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Joue tant que tu le sais !
Tout ce qui est bon et beau
Se désapprendre...
La vie achète et vend
La perdition,
D ' autrui et heureux,
Joue dans le monde de l'imagination
Qu ' aucun autre monde ne contredit !
Joue instinctivement
Comme un animal !
Percer les yeux du temps,
Et autour de son alvar étonnement
De chèvre aveugle,
En train de sauter et de courir,
Défronte
L ' adulte que tu seras !
Michel Torga
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marcleblanc · 9 months
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moirabarrie · 10 months
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Écrire , taper
Jour sans lignes
Il faut admettre quelque part
Ça
Je me sens tellement vide de l’interieur que mon echo me fracasse en revenant vers moi.
Tout rebondit comme la lumière. J’étouffe un peu.le silence est interminable, assourdissant, violent ça n’a aucun sens. Je pense à Charles Juliet et aux mots dont on a besoin, je suis incapable de les trouver. Il faut un remède puissant des mots bruts, cognés, de l’eau de vie. Et aujourd’hui je ne sais pas où la trouver , j’ai besoin de ma langue parfois aussi. Je pourrais écrire , ou peut être que non. «  je crève parlez moi, parlez moi » on en est là. Je ne veux pas écrire je veux ce remède qui libère de qui étouffe. Absurde, tout va bien, en vrai ,en vrai non. Je parle à des gens qui habitent le ciel, sauf qu’ils existent, certains. Il va falloir écrire l’histoire E , il va falloir désapprendre la honte (d’exister), si cela est possible .
Demain matin essaye de ne pas te destester d’avoir écrit , on s’en fout, tout le monde s’en fout alors écris ici si tu en a envie. Tout le monde s’en fout, ce n’est pas grave d écrire ici ou ailleurs. Ça n’a pas à être intéressant, c’est légitime, on a le droit jeter des crayons de couleurs ou des carottes sur la voie publique (je crois). Je ne me souviens pas avoir su écrire de l’eau de vie. Mais l’esprit se soulève tellement haut, le corps est mort. Je l’espere, penser a ce qu’il doit vivre est un cauchemard. Je ne veux pas recheminer ici. Et oui ça m’attire car je suis perdue, mais je veux pas y retourner.on est seuls on ne voit que nous . Le paysage est fixe.on est paralysé. Regarder en haut ne sert à rien. Il faut pouvoir séparer l’esprit de son corps. Voir les nuages au plafond. Entre les cases, par dessus. Le soleil sur le parquet etc etc . Bref bref. Les entrées sous les papilles, mon plaisir du moment, franchement. Je cherche juste une perche. Peut être, je ne sais pas, je fais face à la superficialité aberrante de cette vie. Comment font ils pour vivre comme ça sans être torturés? Vraiment c’est un nouveau mystère. Qu’est ce qui les fait tenir. Comment est leur esprit ? Leur état . C’est un métier social couplé à tant de solitude. Bref c’est quoi leur enfance à ces gens ?? Ils ont l’air épanouis, aiment ils le service comme j’aime la lumière? Et ça leur suffit ? Oui peut être. Sûrement ils trouvent l’epanouissement là. Bref on s en fout dodo . C’est bien qu’on ait discuté quand même
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