#défoncer
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La chassée devenue chasseuse
J'enchaine vraiment en ce moment IRL alors, j'avais envie de dessiner un peu pour me vider la tête donc, voici une nouvelle version de Metaheta de dos avec plein de détour (juste un peu déçu qu'on ne voie pas les motifs autour de son oeil central dans son dos [mais ils se voient quand on grossit le dessin !]).
C'est une des Braves que j'aime le plus à cause de son histoire vis à vis des agarthans, son design qui est dur mais très satisfaisant une fois passé au noir, son caractère et sa force... même si j'en ai fait peut-être un peu trop pour cette dernière vu que... bah je sais même pas comment Némésis et Thalès ont pu réussir à la vaincre en fait 😅
Vu que la dame a 1 200 ans de sorcellerie à son actif, une force colossale, la capacité à moduler son corps comme elle le veut - que ce soit pour grandir, le tordre dans tous les sens ou changer d'apparence - et le contrôle comme elle le souhaite, voie sous tous les angles possibles grâce à ses yeux, se régénère très vite, lit dans les pensées des gens (vu qu'elle a développé ses sens et son corps, ça me semble dans la continuité qu'elle développe assez sa sorcellerie pour pouvoir voir et entendre les pensées des autres... et ce serait tout à fait son genre de lire de le faire pour repérer encore plus vite les agarthans)... ouais, arriver à la faire tomber est pratiquement impossible à ce stade, encore plus pour des agarthans vu que de base, si elle est aussi surentrainée, c'est justement pour les vaincre alors, elle connait tout leurs trucs et même armé de l'épée du Créateur, Némésis risque de ne pas faire long feu face à elle étant donné qu'il n'a ni son endurance, ni sa capacité de régénération ni d'adaptation. Encore, elle pourrait galérer contre des nabatéens qui pourrait la battre avec pas mal d'effort (même si je ne voie pas pourquoi elle s'en prendrait à eux, elle en a juste rien à cirer de ce qui se passe en-dehors de sa montagne et si on ne la menace pas), mais des agarthans... voilà quoi, elle les repoussait avant leur chute alors, avec les ressources bien diminuées, même pas la peine d'y penser. C'est elle qui va les éliminer, y a pas de débat là-dessus.
De base, je me disais qu'il l'épuisait en la forçant à combattre pendant des jours sans qu'elle puisse manger, boire ou dormir mais, il leur faudrait une véritable armée pour l'assaillir continuellement et à ce stade, je voie mal les agarthans avoir assez de ressources pour créer suffisamment d'automate ou recruter assez de gens pour ça... j'ai le même problème avec les autres sorciers vraiment anciens que son Lamine (avec son poison mortel en quelques secondes flottant dans l'air et sa capacité de régénération vraiment infinie vu qu'elle peut survivre à une décapitation et brûle moins vite qu'elle ne guérit), Kelon (idem, se régénère très vite, avec la difficulté en plus qu'il faut pouvoir l'attraper vu qu'il voie assez haut dans le ciel tout en étant ultra mobile avec ses ailes, avec ses éclairs qui peuvent toucher à assez longue distance) ou Pyrkaïa dans une moindre mesure vu qu'elle est une pointe plus jeune (bonne capacité de régénération et faut pouvoir attraper une véritable torche humaine) mais bref, à voir.
En plus, après tout ce qu'elle s'est pris dans les dents, les agarthans qui ont littéralement chassé son peuple pour s'amuser, voler les peaux des siens afin de s'infiltrer chez eux et faire encore plus de dégâts, tout ce qu'elle a enduré pour protéger sa cité, tout ce qu'elle a sacrifié pour son peuple, tout le travail pendant des siècles pour calmer sa paranoïa et qu'elle s'autorise un peu plus à vivre pour elle aussi et pas que comme une gardienne de sa cité... ouais, j'ai pas très envie de l'imaginer en train de perdre contre son pire ennemi, encore plus quelqu'un d'aussi arrogant et pourri que Thalès qui se prend pour un dieu, encore plus contre quelqu'un qu'il voyait comme une proie auparavant. Faudra bien un jour quand je me déciderais à faire son billet à elle mais bon, au rythme où je vais...
Alors, juste, vas-y reine, tu peux enfin en finir avec cette ordure qui a fait de la vie de ta cité un enfer, fait toi plaisir !
#écriture de curieuse#dessin de curieuse#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#goneril of the 10 elites#Metaheta Gonerile#Metaheta mérite de l'exploser cette pourriture !#C'est simple elle arrive à l'académie par voyage dans le temps raté elle défonce El et les agarthans qu'elle croise sans problème !#Pour Hubert El et Jéritza elle sent la magie agarthan autour d'eux idem pour Solon et Kronya#Elle risque même de prendre un grand plaisir à les défoncer vu qu'eux chassent les humains pour le plaisir...#... ou les utilise comme des cobayes d'expériences comme des animaux alors elle va leur faire ravaler leurs dents#alors si elle voie des humains alliés à des agarthans... ça va barder et ils vont prendre bien cher à coup de poings#même si elle épargnerait sans doute ses trois là... pas par pitié ou compassion juste parce qu'elle a lu dans les pensées de tout le monde#dont celle de Dimitri alors elle voie que c'est la personne dont Dimitri veut se venger alors elle ne lui volera pas sa vengeance#elle les gardera juste sous le coude le temps de s'occuper de tous les agarthans jusqu'à chez eux#même si elle pourrait épargner les civils qui ont été obligés de suivre comme elle l'a fait avec Pan dans le passé#même si elle serait du genre à le titiller sur le fait que sa tête est sans dessus dessous et qu'il consulter pour ses hallucinations#Elle n'a rien contre la vengeance mais elle sait aussi que c'est quelque chose qui peut te bouffer tout cru#alors quand c'est au point de voir des morts... ouais consulte gamin t'en a besoin#ce serait sa manière de mettre Dimitri en garde contre son envie de vengeance qui le rend aveugle à tout le reste quand il se perd#alors que des gens tiennent à lui et surtout ont besoin d'un roi compétent qui s'occupe de son peuple correctement#elle elle-même une personne très influente dans sa cité -peut-être née princesse - alors la protection de son peuple elle l'a dans le sang#-oui c'est la seule à être issue de l'aristocratie tous les autres sont plus au système D et des couches les plus basses de la société-#elle a le problème contraire d'Hilda elle ne s'arrête jamais que ce soit de travailler ou de construire pour son peuple
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.................................................................................................i am going to me foutre en l'air
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VIRGIN TERRITORY (chapter 3) ────── iamquaintrelle
# pairing: aurelien tchouameni x black oc (☔️✨💕)
# tags: @whoevenisthiz @irishmanwhore @lettersofgold @deonn-jaelle @sucredreamer @leighjadeclimbedmtkilimanjaro @rougereds @f1-football-fiend @judectrl @ayeshami @greyishbach @haartemis @goldenngt @solidbrii @sailurmewn @rainbowsparkelsunshine @lbchi @bbgkoo
# summary: she's been his pa for almost a year and every day is a struggle to function around him, but he'll never see her more than that...will he? and what will happen if he finds out she's also a virgin? masterlist.
Leila isn't trying to make it a whole thing, but that date with William? That man took her to this cute little restaurant tucked away in a corner of Paris where nobody would recognize him, ordered wine that probably cost more than her rent, and spent the whole night actually listening to her talk about her family back in Georgia. Not once did he make her feel like she was just some thick girl he was trying to get with – instead he treated her like she was actually interesting, like her stories about her mama's cooking adventures were the most fascinating thing he'd ever heard.
And when she found out he was half Cameroonian? Maybe Yolanda had a point about her having a type because these West African men were really out here testing her resolve. The way his accent got thicker when he talked about his family, the way he understood exactly what she meant about certain cultural things without her having to explain... it was nice. Really nice.
He didn't try to kiss her at the end of the night, even though she maybe (definitely) wanted him to. Just kissed her hand (which should be corny but somehow wasn't) and said he'd love to do it again soon. She'd gone to bed thinking maybe this could be something.
But then Sunday morning happened and somehow everything else felt small in comparison.
"Avant de commencer l'entraînement," ("Before we start training,") Didier's voice carried across the morning meeting room, "J'ai une annonce à faire." ("I have an announcement to make.")
The room went quiet – well, as quiet as a room full of French footballers can get, which means Marcus was still whispering something to Mike that had them both stifling laughs.
"En l'absence de Kylian," ("In Kylian's absence,") Didier continued, holding up the captain's armband, "nous avons besoin d'un nouveau capitaine." ("we need a new captain.") "Aurélien Tchouaméni."
The room erupted. Leila's never seen someone look so surprised and honored at the same time, like Aurélien couldn't quite believe what was happening.
"Notre nouveau capitaine!" ("Our new captain!") Marcus shouted, starting an impromptu chant.
"MON CAPITAINE!" Jules was the first to reach him, throwing an arm around his shoulders. "Tu l'as mérité, mon frère." ("You earned it, my brother.")
"Finalement, quelqu'un va peut-être réussir à le faire sourire," ("Finally, someone might succeed in making him smile,") Cama teased, doing an exaggerated salute. "Oui, Capitaine!"
The whole team picked up the salute, turning it into this ridiculous ceremony that had even Didier trying not to laugh.
"Je suis honoré," ("I'm honored,") Aurélien finally managed to say, voice thick with emotion as Didier handed him the armband. "Je ne sais pas quoi dire..." ("I don't know what to say...")
"Dis-nous qu'on va défoncer Israël!" ("Tell us we're gonna destroy Israel!") Mike called out.
"Et qu'on peut manger la cuisine de Leila ce soir!" ("And that we can eat Leila's cooking tonight!") Marcus added, which started a whole new round of cheering.
Leila couldn't help but clap and cheer with them all – because this was huge. This was her boss becoming captain of the French national team at twenty-four. This was history.
***************************
The Bridge's studio setup is way more casual than Leila expected, all warm lights and comfy chairs arranged in a circle like it's just bros hanging out – which, technically, it is.
"Ma puce, mon café?" Aurélien calls out as she's setting up his notes, and she pretends not to notice how Sébastien raises his eyebrows at the pet name.
"You have two hands that work perfectly fine," she responds, but she's already heading to get his coffee because she knows exactly how he gets without his caffeine fix before filming. Two sugars, splash of cream – the man drinks coffee like he's trying to hide the fact it's coffee.
"Ah, c'est comme ça maintenant?" ("So that's how it is now?") Jules grins as he walks in, followed by Ousmane and Thomas.
"Elle fait la grève," ("She's on strike,") Ousmane adds with a knowing smile.
"Can y'all not?" Leila mutters, but of course they can't because they live for chaos.
"What’s going on?" Thomas asks, settling into his chair while the makeup artist touches up his face.
"Nothing–" Aurélien starts, but Jules is already diving in.
"She's dating Wilo."
"I am not–"
"Wilo?" Sébastien perks up like he's just been handed gossip gold. "As in Saliba? Mon dieu, this is better than what I planned for the show."
"Speaking of the show," Leila cuts in desperately, "maybe we should focus on your actual topics? Like the Champions League? The national team? Literally anything else?"
"But this is much more interesting," Sébastien grins. "Tell me, how does our new captain feel about his PA dating his teammate?"
"We are NOT discussing my dating life on YouTube," Leila says firmly, handing Aurélien his coffee with maybe a little more force than necessary. Some splashes onto his notes and she automatically reaches to wipe it, just as he does the same. Their hands brush and she pulls back like she's been burned.
"Ooh, as-tu vu ça?" Thomas stage-whispers to Ousmane. "La tension!"
"I'm about to show y'all some tension with these coffee cups," Leila threatens, making them laugh harder.
"Non, non," Ousmane agrees solemnly. "We'll just discuss how our captain gets jealous every time someone looks at his PA. Like yesterday at training when Giroud asked her about American football..."
"I was not jealous," Aurélien protests. "I was concerned about her getting distracted from her duties."
"Her duties of watching you run laps?" Jules asks innocently.
"Her duties of maintaining my schedule–"
"The schedule she has memorized?" Ousmane adds.
"Y'all really want me to poison your dinner tonight, huh?" Leila threatens, but they just laugh harder.
"See? This is why I need my own Leila," Sébastien says. "Where do I find a PA who cooks?"
"You don't," Aurélien's voice carries that edge again. "She's one of a kind."
The room goes quiet for a moment, and Leila busies herself with absolutely nothing important on her tablet.
"Okay!" The producer calls out. "Five minutes! Let's talk about the actual show content?"
"Oui, oui," Sébastien nods, suddenly professional. "First segment about then national team dynamics with our new captain, maybe some stuff about Jules and his fashion sense…."
"Maybe one about a certain PA?" Thomas asks hopefully.
"Including nothing about any PAs," Leila cuts in. "Unless y'all want to explain to Didier why half his starting lineup got food poisoning before a match."
"She wouldn't really..." Thomas starts.
"She absolutely would," Aurélien, Jules, and Ousmane answer in unison.
"Ma puce," Aurélien calls softly, and she looks up to find him watching her with that expression that makes her stomach do stupid things. "My notes?"
She hands them over, careful not to let their fingers brush. "Try not to start any international incidents this time."
"Une fois," ("One time,") he protests. "I say one thing about Premier League defenders..."
"You said they tackle like they learned football from YouTube tutorials," she reminds him.
"Was I wrong though?"
"That's not the point! Twitter was a nightmare for days."
"This is why you're my favorite," he says, and something in his voice makes her look up. "You keep me in line."
"Someone has to," she manages to say, stepping back as the cameras start rolling.
She watches from behind the scenes as they dive into football talk, the banter shifting into serious discussion about tactics and pressure and what it means to wear the captain's armband. Watches how Aurélien leads the conversation with natural grace, how he makes everyone feel heard while still keeping things moving.
"Et maintenant," ("And now,") Sébastien grins near the end, "Les fans veulent savoir - est notre nouveau capitaine single?" ("the fans want to know – is our new captain single")
Leila's head snaps up from her tablet.
"Non," Thomas jumps in before Aurélien can answer. "Son cœur appartient à son P–"
The water bottle that flies across the room and hits Thomas square in the chest is definitely not thrown by Leila.
"Cut!" The producer calls after they wrap the final segment, and Leila releases a breath she didn't know she was holding. They managed to get through the whole episode with only minimal chaos, though Thomas kept trying to sneak in comments about "certain PAs" until she started keeping a steady supply of projectiles within reach.
"That was fun," Sébastien grins, stretching as they all stand. "We should do this again. Maybe next time with Wilo as a guest?"
"Don't you have a dinner to prepare?" Jules asks quickly, shooting her a look that clearly says 'get out while you can'.
"Oui, about that dinner," Thomas perks up. "What exactly are you making?"
"If one more person asks me about dinner," Leila cuts in, gathering her things, "I'm making y'all eat protein shakes instead."
"You wouldn't," Ousmane gasps dramatically.
"Try me."
"Ma puce," Aurélien's voice is softer now that the cameras are off. "Need a ride to the store?"
And that's... new. He hasn't offered to drive her anywhere since The Comment™️.
"I can take her," Jules offers with fake innocence. "Since you probably have captain duties and all."
"I can drive my PA to the store."
"Your PA?" Thomas raises an eyebrow. "Just okay PA or...?"
The second water bottle that hits him is definitely from Aurélien this time.
"I'll wait in the car," he tells her, ignoring the knowing looks from everyone else.
As soon as he's out of earshot, the chaos erupts:
"Girl, if you don't get in that car–" Ousmane starts.
"But what about Wilo?" Thomas asks.
"Capitaine is clearly in his feelings–" Sébastien adds.
"EVERYBODY SHUT UP!" Jules announces. "Let her breathe."
Leila takes a deep breath, gathering her professional dignity around her like armor. "I have a dinner to cook for twenty something grown men who act like children. I don't have time for... whatever this is."
"This," Sébastien gestures vaguely, "is prime content. The captain and his PA?"
"There is no 'captain and his PA'," she insists. "There's just a PA who's about to feed half of the French Football Federation because she makes poor life choices."
"Speaking of poor life choices," Jules grins, "your man's waiting."
"He's not my–"
A horn honks outside. Twice.
"La patience de cet homme," Thomas laughs. "Vraiment incroyable."
"I hate all of you," Leila announces, heading for the door.
"But you'll still feed us?" Ousmane calls after her.
She doesn't dignify that with a response.
The car ride is... weird. Not tense exactly, but full of something she can't name. Aurélien keeps opening his mouth like he wants to say something, then closing it again. She pretends to be very interested in her grocery list.
Two hours and way too many bags later (because apparently she's feeding an army now), they're back at Clairefontaine and the kitchen is already buzzing with energy and she directs her very enthusiastic sous chefs – Michael and Cama, plus some actual kitchen staff who keep looking at her like she's either genius or crazy for attempting this.
"This is not 'season to taste'," she swats Cama's hand away from the seasoning. "This is 'season to kill'."
"But it needs more–"
"If you say 'spice' I'm demoting you to dish duty."
The thing about cooking while Chief Keef is blasting through Clairefontaine's halls is that it really sets a specific type of mood. Leila can hear Marcus and Mike singing "Don't Like" at the top of their lungs, probably driving everyone crazy, but she's too focused on making sure Cama doesn't turn her greens into chemical warfare.
Michael, who’s undoubtedly the sous chef MVP, is quietly following her instructions to the letter. There's something zen about the way he moves through the kitchen, precise and focused like he's preparing for a match instead of helping prep chicken.
"You're good at this," she tells him, and his answering smile is small but genuine.
"My grandmother," he says simply. "She taught me that cooking is meditation."
"YOUR GRANDMOTHER DIDN'T HAVE TO COOK FOR HANGRY FOOTBALLERS!" Marcus's voice carries through the door, followed by the opening beats of "Love Sosa."
"The meditation is about to turn into medication if they don't calm down," Leila mutters, but Michael just laughs softly.
The kitchen staff has gone from skeptical to impressed, watching her coordinate this whole production like she's done it her whole life. Which, honestly, she has – just usually for family reunions, not professional athletes who probably cost more than her entire hometown.
"It's almost ready?" Mike pokes his head in, looking like a hopeful puppy. "Because we're dying out here."
"You've eaten today," she points out. "Multiple times."
"But not your cooking," Marcus appears behind him. "And now the whole place smells like heaven and we're suffering."
"You're not suffering," she rolls her eyes. "You're being dramatic."
"I AM suffering," Mike insists. "Look at me, I'm wasting away."
"You literally had lunch two hours ago."
"That was before we could smell the mac and cheese," Marcus argues. "Now we're starving."
She's about to throw something at them when Michael quietly says, "The chicken's ready for the second batch."
"See?" She points at Michael. "This is why he's my favorite. He actually helps instead of just complaining."
"Favorites?" Marcus clutches his chest. "That's cold, Lei. Ice cold."
"You know what else is getting cold? This food, if y'all don't let me cook in peace."
"But–"
"OUT!"
They retreat, but not before Mike tries one last time to steal a piece of chicken. She catches him with her wooden spoon – years of defending food from hungry cousins have honed her reflexes.
"The quiet ones always got jokes," Cama laughs as Mike runs away clutching his hand dramatically, then yelps when she catches him trying to sneak a taste of the greens. "How do you even see everything?"
"I have eyes in the back of my head," she says seriously. "My mama installed them when I started cooking."
"They're getting restless," Michael notes as another song starts shaking the walls. She's pretty sure she can hear Jules trying to teach Marcus and Mike the words, which is... a choice.
"Let them be restless," she says, putting the finishing touches on the mac and cheese (extra cheese on top because she ain't playing). "Good food takes time."
The kitchen settles into a rhythm after that, just the sounds of cooking and the distant bass of whatever song Marcus and Mike have moved onto now. Even Cama calms down enough to actually be helpful, following her instructions with only minimal attempts at creative seasoning.
"This is nice," Michael says after a while, quiet enough that only she can hear. "Reminds me of home."
"Yeah," she smiles, understanding exactly what he means. There's something about cooking with people who get it, who understand that food is more than just fuel. It's love, it's family, it's...
"FANCULO!"
The Italian curse makes them all jump as Cama nearly drops an entire tray of cornbread.
"What happened?" Leila spins around, heart racing.
"The cornbread!" he looks devastated. "I almost... it almost..."
"But you didn't," she soothes, trying not to laugh at how genuinely distressed he looks. "The cornbread is safe."
"I would've had to leave France," he says seriously. "Change my name. Start a new life."
"Because of cornbread?"
"Have you met my teammates? They would never let me live it down."
He's not wrong. She can already imagine the chaos if anything happened to the cornbread. These grown men really out here ready to riot over some baked goods.
"Speaking of teammates," Michael says casually, too casually, "our captain's been pacing outside the door for the last ten minutes."
"He what?" She turns so fast she almost knocks over the hot sauce.
"Mhm," Michael hums, that knowing look back in his eyes. "Every time someone walks by he pretends he's on his phone."
"That's..." she doesn't even know how to finish that sentence.
"Interesting?" Cama suggests with a grin.
"Complicated," she corrects. "Now focus on not dropping any more cornbread."
"I didn't drop it!" Cama whined.
"Almost dropped it."
"So," Michael says after a moment, quiet enough that only she can hear, "we're really not going to talk about it?"
"About what?"
His knowing look rivals Jules', but he just goes back to prepping chicken.
"Nothing," he says. "Just thinking our new captain might need to work on his game off the field too."
She chooses to ignore that, focusing instead on finishing up everything. The food looks good – really good. Soul food isn't meant to be fancy, but there's something beautiful about it anyway. Something honest.
"Time to feed the children," she announces, and both Michael and Cama snort at her description of their teammates.
"They're going to lose their minds," Cama predicts as they start plating everything.
He's not wrong. She can already hear the excitement building in the cafeteria, the mix of French and English and various other languages all carrying the same message: finally.
"Ready?" Michael asks as they prepare to head out.
She looks at their work – all this food made with love and patience (and only minimal threats of violence).
"Ready."
The whole team is there, plus coaching staff, plus what feels like half the FFF. They've pushed tables together family-style, and someone (probably Marcus) starts a chant of "Speech! Speech!" that gets picked up by everyone else.
"Y'all are doing too much," she laughs, but Michael gently pushes her forward.
"I'll translate," he says, and she sends up a prayer of thanks for this man's whole existence.
"Okay, okay," she holds up her hands and the room quiets down. "Listen. Where I'm from, food is how we show love. It's how we celebrate victories and comfort each other through losses. It's how we welcome family – blood or chosen."
Michael translates as she speaks, his French making her simple words sound almost poetic.
"Today we're celebrating our new captain," she continues, and the cheers that go up nearly shake the windows. Aurélien, sitting at the center of the longest table, ducks his head but she catches his smile. "And tomorrow we're gonna beat Israel's whole ass."
The roar that goes up at that almost drowns out Michael's slightly more diplomatic translation.
"Everything is Halal," she adds, "and yes, there's dessert – banana pudding with vanilla ice cream because I'm not a monster."
She nods to the servers who start bringing out the dishes, and the way these elite athletes' eyes light up at the sight of proper soul food would be funny if it wasn't so endearing.
"Bon appétit, mes amis," she finishes, and immediately gets swept up in a group hug from Marcus and Mike that nearly takes her off her feet.
"An angel," Marcus declares as he squeezes her. "A motherfucking angel."
The room fills with the sound of comfortable chaos that reminds her of Sunday dinners back home. She catches William's eye across the room and he gives her a warm smile that makes her cheeks warm.
But then she feels it – that familiar weight of attention – and finds Aurélien watching her with an expression that makes her breath catch. He's looking like something out of her most inappropriate dreams, and...
"Your plate," Michael appears at her elbow with food he's made up for her. "Can't let the chef go hungry."
She tears her eyes away from Aurélien, forcing herself to focus on her food and not on how their new captain keeps glancing her way like he's trying to solve a puzzle.
For the first few minutes, the cafeteria vibrates of pure, unadulterated appreciation – the kind that makes a cook's heart sing. These professional athletes, who probably have personal chefs on speed dial, are absolutely demolishing their plates. Bradley's over there drowning his chicken in hot sauce like he's trying to prove something, while others are just making these little sounds of joy between bites.
"I'm going to marry you," Brice announces suddenly through a mouthful of mac and cheese, breaking the reverent silence like a hammer through stained glass.
The table erupts in hoots and hollers, and Leila definitely doesn't miss how Aurélien's fork freezes halfway to his mouth.
"It's a joke," Brice adds quickly, though his eyes are twinkling. "But this food? Magnifique."
"You can't just propose like that," Khephren shakes his head with mock solemnity. "There's a process. Parents first."
"Exactly," Ousmane nods with all the wisdom of someone who's been in this position before. "Gotta do it properly."
"And don't forget the bride price," Ibou adds, which sets off a wave of groans like he's just announced extra training.
"They don't do that in America, bro," someone calls out, which starts a whole debate about marriage customs in different countries.
"Speaking of America," Mike cuts through the chaos with surprising grace, "you're from Georgia, right?" At Leila's nod, he continues, "Do you know where your peoples from? Like which country in the motherland?"
"You can't just ask her that," Jules protests.
"Why not?" Mike shrugs, all innocence. "I'm just curious."
"Slavery happened," Michael says quietly, taking a casual sip of water.
"I know that happened," Mike responds, "but you know some Black people in the US do one of those ancestry.com tests. You know, to find their roots."
"I did one," Leila interjects, and suddenly she has the undivided attention of some of the most expensive athletes in Europe, all of them looking at her like she's about to reveal the secret to scoring hat-tricks.
"And?" Marcus prompts, gesturing with a chicken wing that probably violates several of their nutritionist's rules.
"You guys really want to know?"
The chorus of "yes" comes in various accents and volumes, but the enthusiasm is unanimous, and they're ready to put their food on pause – and considering how they've been eating, that's saying something.
Laughing, she pulls up her phone, scrolling through her gallery for that screenshot from her college days. "Okay, this is from my Cultural History & Heritage class, so... I'm 65% Ghanaian..."
The applause that breaks out would make you think someone just scored a World Cup winner. Ousmane's practically glowing with vindication.
"I knew you were Ghanaian! You're feisty," he declares.
"And that forehead," Ibou adds, making her touch it self-consciously.
"What's wrong with my forehead?"
"You got that West African forehead," Marcus explains through a grin. "It's still cute though!" he adds quickly, like he's just remembered his mama raised him right.
She's doing her best impression of a confused goldfish when she continues, "10% Western Bantu Peoples, 14% Beninese." Her eyes flick to Jules, who's wearing the kind of smile that suggests he's already plotting something.
"You and JK are cousins!" Cama announces with the excitement of someone connecting invisible dots. "The family reunion's gonna be lit!"
"9% French Guiana," she pushes on, "8% English, and the rest is Dutch."
The reaction to the English and Dutch parts hits like they've just heard she's part alien. Eyebrows shooting up across the table like they're trying to escape.
"Slavery," Michael says again, and the word lands like a weight, heavy with centuries of history.
"Right, right," comes the collective murmur, before Marcus breaks the moment by declaring he needs thirds "to honor all those ancestors."
"More cornbread, ma puce?"
She turns to find Aurélien holding out the basket, something soft in his expression that makes her heart do stupid things.
"I'm good," she manages to say.
"You sure? You've barely eaten."
"Just happy everyone else is enjoying it."
His response is cut off by Marcus starting a debate about whether Ghana or Benin has better jollof rice, and suddenly the whole table is taking sides in what's apparently a long-standing West African rivalry.
"Ghana obviously has the better jollof," she says quietly, just to watch Aurélien's eyes narrow in betrayal.
"Et tu, ma puce?" He shakes his head like she's personally wounded him. "Non, non. Cameroon's jollof is superior. This is just facts."
"Please," Ousmane cuts in with the confidence of someone about to start a war, "Nigerian jollof clears both. This isn't even a debate."
"Bullshit," Marcus declares. "Ghana invented jollof. You can't beat the original."
"Being first doesn't mean being best," Aurélien argues, and suddenly it's like they're discussing tactical formations instead of rice. "Cameroonians perfected it."
"The delusion," Ousmane sighs dramatically. "This is why you need a Nigerian wife. To show you what real jollof tastes like."
Leila tries not to think too hard about why that comment makes something twist in her chest, but then Aurélien's saying, "I don't need a Nigerian wife when I have–" before cutting himself off abruptly.
The table goes quiet enough to hear a fork drop.
"When you have what?" Jules prompts teasingly.
"When I have... more important things to focus on," Aurélien finishes lamely. "Like tomorrow's match."
"Mhm," Michael hums into his water glass, sharing a look with Jules that speaks volumes.
The conversation shifts to safer topics after that, but Leila can't quite shake the weight of that unfinished sentence. Can't quite ignore how Aurélien keeps sneaking glances at her like he's trying to read something written in a language he doesn't understand, but that's a problem for another day.
Match day arrives bright and crisp, the kind of weather that makes footballers' eyes light up. The usual pre-match routines take on extra weight today – this isn't just any game, it's Aurélien's first as captain, and you can feel it in the air at breakfast. Even Marcus and Mike are quieter than usual, energy focused instead of scattered.
But before they can get to the match, there's the small matter of getting to Budapest. The morning after her soul food extravaganza has these grown men acting like they've discovered the secret to eternal happiness.
"I swear," Marcus is saying as they wait in the private terminal, "I haven't slept that good since I was in the womb."
"That's called the itis," Leila explains, watching their confused faces with amusement. "When good food puts you in a food coma? Yeah that’s what it is."
"Whatever it was, we need it before every match," Mike declares, and several others nod enthusiastically.
"That's too much to ask," Aurélien cuts in, that protective edge creeping into his voice.
"I'll help cook again!" Cama volunteers immediately.
"NO!" comes the unanimous response, making him pout.
"After what you tried to do to those greens?" Michael adds quietly. "I think not."
The conversation halts as they board their plane, and Leila thought she knew what luxury was, but this private Airbus is on another level. It's all cream leather and polished wood, with business class seats that look more like individual living rooms. Each pod has its own entertainment system and enough space to lie flat, making her regular flight experiences look like public transit.
"First time on the team plane?" William's voice is warm as he slides into the seat next to her, flashing that smile that still makes her stomach flip.
"That obvious?"
"You're looking around like you just discovered Narnia."
She catches Aurélien watching them from across the aisle, his jaw doing that thing it does when he's thinking too hard.
"You should come to London after the break," William continues smoothly, either not noticing or choosing to ignore their captain's attention, "There's this amazing Nigerian restaurant I want to show you."
"Oh?" she tries for casual. "Just for the food?"
His smile turns soft. "Among other things."
Someone – definitely Jules – clears their throat loudly, and Leila suddenly finds the safety card fascinating.
"The restaurant's near Emirates," William adds. "I could show you around, catch a match..."
"You trying to convert her to Arsenal?" Bradley calls from behind them. "Nah, she needs to see a PSG match instead."
"Please," Mike scoffs. "Milan is clearly superior."
And just like that, they're all arguing about their clubs like they weren't just praising her cooking five minutes ago.
"Think about it?" William asks quietly while the others debate club merits.
She's about to answer when Aurélien's voice cuts through: "Leila, I need you to review the post-match schedules."
"Now? We just took off."
"Oui. Now."
William just shakes his head but his smile is knowing. "We'll talk later?"
She nods, gathering her tablet and trying not to analyze why their captain suddenly needs to review schedules he definitely already knows by heart.
**********************
The Puskás Aréna is something else entirely when they arrive – all modern glass and steel but somehow still intimidating as hell. Leila's back in her element, running through pre-match routines she's got down to a science by now. Water bottles positioned just so (because Michael swears the angle affects his performance), extra shin guards for Marcus (who she's convinced loses them on purpose at this point just to watch her scramble), and that specific pre-wrap that Mike treats like it's made of gold.
Aurélien's different today – you can see it in how he carries himself, that armband not just a piece of fabric but a crown. He moves through the locker room like he's been doing this his whole life, stopping at each player with exactly what they need: a quiet word with Jules, some complicated handshake with Cama that looks more like interpretive dance, a firm nod to William that carries weight she can't quite read.
The match itself? Pure poetry. Whatever that soul food did to them, it's working overtime because they're moving like they've got cheat codes enabled. Aurélien's commanding the midfield like he was born to it, every tackle clean enough to eat off of, every pass finding feet like he's got GPS in his boots.
Six minutes in and Cama's already making statements, finding the back of the net with the kind of finish that makes you question physics. Before Israel can even process what hit them, Nkunku's doubling the lead in the 26th minute, celebration looking suspiciously like a TikTok dance she's definitely seen Marcus teaching everyone.
Israel manages to pull one back, but these boys aren't about to let their captain's first match be anything less than spectacular. The last five minutes turn into a highlight reel – a goal in the 87th with a strike that probably broke the sound barrier, and then Bradley putting the final nail in the coffin just two minutes later, making it 4-1 with the kind of casual elegance that shouldn't be legal.
The final whistle just confirms what everyone already knew – this French team, with their new captain and apparently their new pre-match soul food ritual, is something special.
4-1. Four different scorers. And one very proud PA trying not to look too obvious about it.
*******************************
The rowdy chaos outside her hotel room tells Leila exactly what's about to go down. Post-match celebration means clubs, means someone's definitely about to drop stupid money on bottles, means Marcus will absolutely end up shirtless at some point, and means these boys are headed out to dance a little and find someone who's down to fuck. Instagram models will materialize like they've got professional athlete radar, the elevators about to get more action than a fashion week runway.
Her mind cannot handle the aura Aurélien has right now especially after winning his first match as captain; she knew what type time he was on and it wasn't going to be anything saintly. He loves a win more than anything and the only other thing that can top that is going out with the boys and bedding some girl.
Thank goodness she never heard him getting busy - that may scar her to the point of needing therapy but she read some things on gossip blogs (she didn't know if it was true or false) and the way they talked about him having humongous dick energy not to mention the stamina—
A knock on her hotel room door pulled her out of her thoughts and she hurriedly fixed her bonnet and glasses before looking at the peep hole and to her surprise it was Jules.
The hell?
"I know you know it's me," he says and Leila let out a groan silently debating on whether or not she should let him in. He knocked again, this time harder.
"Okay, relax." She said then opened the door. Jules eyes scanned over her body.
"That's how you going to the club, Leila? A bonnet and muumuu?"
And she squinted at him like he had three heads. "Huh?"
"You're coming to the club."
"I most certainly am not," she says, already trying to close the door, but Jules is faster, wedging his foot in the way.
"You really gonna let Wilo go to the club without supervision?" he asks with that smirk that means trouble. "When there's gonna be all those Hungarian baddies there?"
"Wilo is a grown man who can do whatever he wants," she says, but something must show in her face because Jules' grin gets wider.
"Mhm. And I'm sure Auré has nothing to do with you hiding in your room?"
"I'm not hiding, I'm being professional."
"Professional?" Jules actually laughs. "Ma puce, you're our age. You think the FFF expects you to sit in your room in a bonnet while we celebrate?"
"The FFF expects me to—"
"To what? Pretend you're not twenty-four? Come on. Get dressed. The car leaves in twenty."
"Jules—"
"Either you come willingly or I'm sending Marcus and Mike to get you. Your choice."
The threat of those two showing up at her door is enough to make her pause. They'd probably live-stream the whole thing, and then she'd have to explain to her mama why she's trending on French Twitter.
"Fine," she sighs. "But I'm not staying long."
"Sure," Jules says in a tone that suggests he doesn't believe her at all. "Wear that black dress you brought."
She narrows her eyes. "How do you know what's in my suitcase?"
"I don't. But you're a Black woman on a work trip – you definitely packed a just-in-case outfit."
"I hate that you know that."
His grin is entirely too satisfied. "Twenty minutes. And Lei?" He pauses at the door. "Aren't you curious what your captain's going to say when he sees you in something other than work clothes?"
Before she can throw something at him, he's gone, his laughter echoing down the hallway.
She looks at her reflection in the hotel mirror, bonnet and all, and lets out a deep sigh.
"Lord," she mutters, already reaching for her suitcase, "give me strength."
Because Jules isn't wrong – she definitely packed that black dress. Just in case.
The black halterneck dress has been sitting in her suitcase like it's been waiting for this moment, all dangerous intentions and "maybe I will act up tonight" energy. She holds it up, already questioning herself because this hem is definitely living its best thigh-high life. But then again, if she's about to get dragged to a club by a bunch of football players, she might as well look like she meant to be there.
The over-the-knee boots are her compromise with herself – wedge heels because she refuses to die tonight trying to channel her inner Instagram baddie in stilettos. Her silk press is still hanging on by a prayer and whatever magic Theresa put in that heat protectant, so at least that's one less thing to worry about.
One last glance in the mirror has her reaching for her silver metallic Diesel mini purse (her one designer splurge that she justified as a "work expense" because technically she does need to look put together around these millionaires).
A knock at the door has her rolling her eyes. "It has not been twenty minutes—" she starts, yanking it open, ready to tell Jules exactly where he can put his timeline.
Except it's not Jules.
William's standing there looking like every bad decision she's ever wanted to make, already dressed for the club in a fitted black Amiri shirt that's doing criminal things to his shoulders.
"Oh," she manages, suddenly very aware that this dress is doing exactly what it was designed to do. William's eyes do a slow sweep from her boots all the way up, and listen – she might need to text Theresa a thank you for this silk press because the way he's looking at her right now?
"Jules said you needed an escort to the club," he says, voice a little rougher than usual. "But I'm thinking maybe we should skip it."
She tries to remember how to form words like a professional. "Skip it?"
"There's this rooftop bar..." he starts, then stops as voices carry down the hallway – she catches Aurélien's distinct tone among them and something in William's expression shifts.
"The rooftop bar?" she prompts, pretending she doesn't hear the footsteps getting closer.
William steps closer, just inside her doorway. "Much quieter than the club. Better view. And we could actually..." he pauses as the voices get louder, "talk."
The way he says 'talk' definitely isn't suggesting conversation about the weather.
But before she can respond, another voice cuts through:
"Ma pu—" Aurélien's voice cuts off abruptly, and Leila watches something complicated pass across his face as he takes in the scene – William in her doorway, her in this dress that's definitely not PA-appropriate, the energy crackling between them that definitely isn't professional.
He's already dressed for the club too, looking like he stepped out of a GQ spread in all black everything, that captain's confidence still radiating off him. For a moment, nobody moves.
"Capitaine," William says easily, not moving from his spot. "We were just discussing alternate plans for tonight."
"Alternate plans?" Jules appears behind Aurélien, taking in the situation with raised eyebrows. "Non, non. The team celebrates together. You know this."
"I was thinking—" William starts, but Aurélien cuts him off.
"The van's leaving. Now." There's something in his voice that doesn't invite argument. "Both of you."
Leila catches Jules hiding a smile behind his hand, and she really might have to fight him later.
"After you," William says to her, finally stepping back, but his hand finds her lower back as they head toward the elevator and she swears she hears something that sounds suspiciously like a growl from behind them.
The rented van's already bumping with French trap music when she climbs in, Marcus and Mike immediately letting out wolf whistles that would absolutely get them slapped by their mamas.
"OH? Okay Lei! I see how you coming tonight!" Cama's eyes go wide. "This is not PA behavior!"
"Nah for real though," Marcus grins, "who told you to show up looking this good? We trying to play it cool tonight!"
"Cool?" Mike winks at her. "Ain't nothing cool about this. Now we know why Jules was so pressed about you coming out."
Bradley's already pouring shots in the back, passing them around like they didn't just play 90 minutes of professional football. "To the baddest in the van!"
"Hold up though," Khephren raises his glass with a smirk. "You really just been hiding all this under them work clothes? That's foul, Lei."
William's hand is still somehow finding reasons to brush against her knee, while Aurélien's watching the whole scene from the front like he's plotting multiple homicides. The bass is hitting hard enough to cover whatever Jules is saying to him, but judging by their captain's face, it's nothing he wants to hear.
"Another round?" Bradley calls out as Gazo's latest hit has everyone trying to rap along.
"No, I’m good. Thanks," she says.
The club is exactly what you'd expect when rolling with the French national team – all VIP treatment and bottle girls already lined up like they got a notification that fine athletes were incoming. Security parts the crowd, leading them straight to the section.
"You good?" William asks as she slides into the booth next to him, his hand finding that spot on her lower back again. Before she can answer, Marcus is already ordering bottles like he's trying to buy out the whole club.
"Dom, Clase Azul, and whatever our PA wants because she blessed us with that soul food!" he shouts over the music.
"And that dress," Mike adds, earning himself a look from Aurélien that could freeze hell.
The first bottle of Dom arrives with sparklers because of course it does – these men don't know how to do anything lowkey. Bradley's already got his phone out, documenting everything for his Close Friends story while Cama starts pouring shots like it's his job.
"To our captain!" Someone calls out, and more bottles appear, more sparklers, more everything.
"And to our angel," Khephren adds with a wink in her direction. "Feeding us like kings!"
She catches Aurélien's expression in the strobe lights, something dark and hungry in his eyes as he watches William lean in to whisper something in her ear. The music's too loud to hear what Jules says to him, but whatever it is makes their captain knock back his entire drink in one go.
"Dance with me," William says as Rema's voice fills the club, and Leila immediately starts shaking her head, pushing her glasses up her nose like they'll shield her from his request.
"Oh no, I don't—"
But then he does that thing with his tongue, running it across his lips in a way that should be illegal, and her brain short-circuits for a second.
"Come on," he grins, already standing and holding out his hand. "One dance."
Before she can protest again, he's leading her down from their VIP section to where the dance floor is pulsing with Afrobeats. She catches Aurélien's expression as they pass – something dangerous flickering in his eyes as he watches William's hand on her waist.
"I really don't dance," she tries one last time, but William's already pulling her closer, moving to the beat like he was born doing this.
"Everyone dances to Afrobeats," he says in her ear, his accent wrapping around the words. "Just feel it."
And maybe it's the shots, or maybe it's the way his hands feel on her hips, but she finds herself starting to move. The rhythm catches her, William's smile grows wider, and suddenly she remembers – she does know how to dance. She just usually doesn't do it in front of half the French national team.
But tonight? Tonight feels different.
The thing about dancing with a professional athlete is that they know exactly how to move. William's got this natural rhythm that makes it easy to follow his lead, his hands steady on her hips as she finds her groove. The beat switches to "Calm Down" and suddenly they're moving like they've been dancing together forever.
"Look who can dance after all," he murmurs in her ear, pulling her a little closer as she rolls her hips. The shots are definitely helping with her confidence, but it's the way he's looking at her that's really doing it – like she's the only girl in this packed club.
She catches glimpses of the other boys joining the dance floor – Marcus already shirtless (called it), Mike with some girl who looks like she models for Fashion Nova, Cama doing some complicated dance routine that has everyone making space. But she keeps feeling that weight of attention from above, knows without looking that Aurélien's watching every move, every time William's hands slide a little lower, every time she moves a little closer.
"You've been holding out on us," he says against her ear. "All this time in training and we never knew you could move like this."
A particularly bold turn has her back pressed fully against him, and oh – apparently footballers really do have incredible stamina because that's definitely not his phone in his pocket. His thumb traces her jawline, tilting her face up to his, and the look in his eyes makes her mouth go dry.
"I think," he says, voice rough in a way that sends heat straight through her, "we should get out of here."
The reasonable part of her brain, the part that remembers she's technically working, tries to speak up. But then his lips brush her ear and that part of her brain short circuits completely.
"I've got a suite," he continues. "Much quieter than here. Better view of the city."
She knows what he's really saying. Knows exactly what that invitation means. Knows that tomorrow she'll either have the best story for Yolanda or the biggest regret of her career.
From somewhere behind them, she hears Mike shout something that sounds suspiciously like "GET IT, LEI!" She's going to have to fight him later.
William's still waiting for an answer, his body moving against hers in a way that's making thinking very difficult. His hand slides up her spine, leaving fire in its wake, and really – what's the worst that could happen?
Besides losing her job, her dignity, and whatever's left of her heart that isn't already tied up in another footballer who thinks she's just okay.
The music shifts to something slower, something that has William pulling her even closer, and she's about to say yes to everything he's suggesting when someone bumps them hard enough to break their bubble.
"Désolé," Aurélien's voice cuts through the music as he moves past them toward the bar, not sounding sorry at all. Bradley is right behind him, shooting them an apologetic look that seems more amused than anything.
But William's not letting this moment slip. His fingers turned her attention back to him like their captain didn't just try to body check them on the dance floor. "So? That view I mentioned..."
Maybe it's the shots. Maybe it's the way he's looking at her. Maybe it's how Aurélien didn't even acknowledge her when he passed. Maybe it's all of it, mixing with the bass and the heat and the way William's fingers are drawing promises on her skin.
"Show me," she says, and his smile turns dangerous in the best way.
He leads her through the crowd, hand firm on her lower back. They pass the VIP section where Mike lets out another wolf whistle (she's definitely fighting him tomorrow), where Marcus is too busy with his own conquest to notice, where Cama's eyes go wide before he bumps Jules' shoulder with a knowing look.
She catches one last glimpse of Aurélien at the bar as they head for the exit, watches him knock back what looks like straight whiskey while Bradley says something in his ear. His eyes meet hers for just a moment, dark and intense and full of something she can't name.
But then William's guiding her toward the door, and she decides that's tomorrow's problem.
Tonight belongs to different choices.
**************************
The Uber ride is charged with enough electricity to power all of Budapest. William's got his hand on her thigh, thumb tracing circles that are making her brain malfunction, and listen – she might need to text God an apology real quick because the thoughts she's having right now are absolutely not church-appropriate.
He's definitely feeling those shots, all loose limbs and heated looks, but she's right there with him – everything's got that soft-focus feeling that makes bad decisions feel like destiny. The way he's looking at her like she's something to be devoured is doing things to her heart rate that can't be healthy.
But underneath all that liquid courage, panic is starting to set in. Because this man definitely thinks he's about to get the kind of experience his usual conquests provide, and she's over here having never gone past first base. Her virgin self is really about to try to play in the Champions League with no practice, and that's not even counting the fact that this man is built like he was carved from marble.
"You're thinking too loud," he murmurs, leaning in close enough that she can smell his cologne mixed with expensive liquor. His lips brush her ear and – oh. OH. Maybe this is how she dies. At least it's a good way to go.
The hotel appears way too quickly and not quick enough. William helps her out of the car like the gentleman he is, but his eyes are pure sin as they head for the elevator.
Her heart's doing double-time now, a mix of want and worry that has her pressing her thighs together. Because she wants this – wants him – but also? She's seen the gossip blogs. She knows what these football players are working with. And her inexperienced self is really about to—
The elevator doors close and William presses the button for his floor, and suddenly everything feels very, very real.
Lord help her.
It took no time before William got her pressed against the mirrored wall, one hand braced beside her head while the other plays with the ends of her hair. They haven't even kissed yet but the anticipation is thick enough to cut.
"You're beautiful," he murmurs, eyes tracking over her face like he's memorizing it. "You know that?"
The elevator dings at his floor and suddenly they're playing this game of trying to walk down the hallway while staying as close as possible. His key card takes three tries to work because he's too busy pressing soft kisses to her temple, her cheek, the corner of her mouth that's trying not to smile too wide.
Then they're through his door and everything shifts. His hands find her waist, pulling her close as he backs her against the door. The first press of his lips against hers is gentle, questioning, like he's asking permission yet when she sighs into it, fingers curling into his shirt, gentle goes out the window.
Listen. LISTEN. William Saliba can KISS. She's got her back against his hotel room door, his hands cupping her face like she's precious while simultaneously trying to steal her soul through her mouth. Everything's hazy with want and Clase Azul when his lips find that spot behind her ear that makes her knees weak. One of his hands slides down to her hip, thumb finding skin where her dress has ridden up, and the noise she makes should be embarrassing but he groans in response like she's driving him crazy.
His mouth is doing ungodly things to her neck, the kind of things that make her understand why people write songs about moments like this, when reality crashes back in.
"Wait," she manages to breathe out. "I should... I need to tell you something."
He pulls back just enough to look at her, eyes dark and intense in a way that makes her forget how to breathe. His thumb traces her bottom lip and for a moment she forgets what she was going to say.
"What's wrong?" His voice is rough in a way that does things to her insides, accent thicker than usual.
They've somehow migrated from the door to the middle of his suite, the city lights of Budapest twinkling behind them through floor-to-ceiling windows. His hands are still on her waist, thumbs drawing circles on her hips that make it hard to think straight.
"I've never..." she starts, then stops, trying to find the words while his mouth is doing devastating things to her collarbone. "I haven't..."
He pulls back again, and this time understanding dawns on his face slowly, his eyes widening. One hand comes up to cup her cheek, and she leans into it despite herself.
"Wait. You're...?"
She nods, warmth rushing to her cheeks that has nothing to do with his kisses or the shots still buzzing through her system.
"But you're twenty-four," he says like he's trying to solve a complicated math problem. His other hand is still on her waist, thumb still moving in those maddening circles. "And you look like... I mean, how has nobody...?"
She shrugs, suddenly finding his gold chain very interesting. "Just never happened. Never felt right with anyone."
His fingers catch her chin, tilting her face back up to his. The heat in his eyes has been replaced by something softer, something that makes her heart do different kinds of flips.
"We can wait," he says, thumbs stroking her cheeks. "Until you're ready. No pressure."
"You sure?"
His answering kiss is gentle now, all sweet promise instead of consuming fire. "Some things are worth waiting for."
They end up on his couch, trading lazy kisses that slowly build and ebb like waves. His hands stay respectfully above clothes even when hers wander a bit (because listen, those footballer abs are a gift and she's only human). They talk about nothing and everything – about growing up in France, about her friends in Georgia, about how nervous she was her first day as a PA.
It's nice. More than nice. The kind of nice that makes her wonder if maybe...
But it's getting late, and her willpower is seriously testing its limits with the way he keeps looking at her like she's something precious. She should go. She needs to go.
"I should head back," she murmurs against his lips.
"Mhm," he agrees, but kisses her again anyway.
Ten minutes and several more "I should really go" kisses later, she finally makes it to his door. He pulls her in for one last kiss that nearly changes her mind about leaving.
"Think about what I said," he says. "About London."
"I will."
She's still floating on cloud nine when she rounds the corner and nearly collides with them – Aurélien and what looks like this evening's conquest. The girl's exactly his type – all curves and confidence, the kind of ass that probably has its own Instagram following. They're wrapped around each other like they can't wait to get behind closed doors, and the sight hits her like a bucket of ice water.
Their eyes meet over the girl's shoulder, and something in his expression makes her stomach drop. She tries to slip past quietly, already planning how many miles she'll need to run tomorrow to forget this moment.
"Good night, Leila."
She freezes mid-step, the sound of her actual name falling from his lips feeling like a slap. Not 'ma puce'. Not his usual pet name that makes her heart flutter. Just Leila.
His hotel room door clicks shut, and she stands there in the hallway like someone just pressed pause on her whole world. In the eight months she's known him, through every up and down, every early morning and late night, every moment of casual intimacy and professional distance, he's never once called her just Leila.
Never once until now, when she's standing in a hallway wearing another man's kisses while he takes another woman to his bed.
The universe really does have a sense of humor.
A cruel one.
………….tbd
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saga: Soumission & Domination 372
Noël 2015-2, l'annexe 1
24 au soir.
Nous sommes tous invités chez Emma. Pablo (frère d'Ernesto et son cuisinier) a demandé l'aide de Nathan. Comme ce dernier a commencé sa journée chez Julien afin d'honorer toutes les commandes de la boutique, il est un peu fatigué quand nous arrivons vers les 18h.
Pour faire plaisir à Emma nous sommes tous " habillés " c'est-à-dire costume cravate. Pour nos trois invités, j'ai tapé dans les placards de mes escorts pour trouver leurs tailles adéquates.
Duke est un peu troublé, pour lui c'est la première fois qu'il porte ce type de vêtement, plus habitué au style décontracté de la côte Ouest. Quand il s'aperçoit qu'il peut quand même bouger et que le tissu suit ses mouvements, ça va mieux.
Emma est ravie de parler Anglais. Mes amis s'étaient fait une tout autre idée de ma " mère " même si je leur avais dit qu'elle faisait encore très jeune !!
Diner délicieux bien sûr, Pablo et Nathan s'étant surpassés comme toujours. Nous aidons tous au service afin qu'ils ne passent pas tout leur temps en cuisine mais puissent être avec nous tous.
Au moment de partir, je reste avec Ernesto, PH et Ludovic sur place. Nathan rentre au Blockhaus fêter Noël avec ses deux amis
Nous passons les 3 heures qui suivent à faire l'amour à Emma. L'intensité est d'autant plus forte que notre séparation a été longue (je compte par notre passage rapide de mi-novembre). Nous investissons sa chambre avant de faire de même avec son corps. Elle est bouillante ! Nous n'avons pas fini de la déshabiller que ses tétons sont durs comme de la pierre. Le premier je pose ma main sur son sexe et je sens son clitoris dans le même état. J'arrache sa culotte en dentelle et plonge ma tête sous sa jupe. Mes trois comparses se charge de lui faire garder l'équilibre que l'aspiration dans ma bouche de ce petit appendice compromet.
Le sol se jonche de nos différents vêtements jusqu'à ce que, nus, nous nous pressions contre elle. Sa bouche, sa chatte et son oignon reçoivent la visite de nos sexes turgescents. Bien que glissant avec facilité dans ses trois trous, nos bites se trouvent bien serrées par ses muscles internes hypertoniques. Aux doubles pipes s'enchainent les prises de chatte par deux queues tout comme les doubles sodo. L'optimum est atteint alors que je la sodomise avec Ernesto (tous les deux couchés sur le dos, elle nous chevauche en se couchant dos sur mon torse pour dégager sa chatte. PH s'agenouille au-dessus du nombril d'Ernesto pour enfiler le vagin Emma. Il ne reste plus à Ludovic devenir se faire pomper pour que chacun trouve sa place.
Les mains sur les haches d'Emma je donne le tempo de cet enchevêtrement de corps. Ses cris de plaisir doivent traverser les murs. Les nôtres ne sont pas moins retenus. Heureusement que Pablo loge au-dessus des garages sinon il n'aurait pu tenir de nous entendre baiser pareillement.
Je suis le premier à venir. J'englue le gland d'Ernesto mais bientôt ses spermatozoïdes rejoignent les miens. Puis c'ets au tour d'Emma de partir en vrille. PH jouit de se faire serrer la queue par ses muscles vaginaux alors que Ludovic, à nous entendre tous, part à l'autre extrémité du corps supplicié de plaisir.
Désemboitage lent, nos queues encore excitées ne débandent pas rapidement. Sur le dos, deux de ses hommes de chaque côté, Emma nous remercie. C'est à ce moment-là que je remarque un nouvel aménagement : le plafond tapissé de glaces, réfléchissant son corps alanguis.
C'est Ernesto qui lui demande si esthétiquement notre dernière position sortait du lot des positions " classiques ". Réponse : " je n'ai pas vu grand-chose avec Ludovic qui me tenais la tête pour me défoncer la gorge ". Excuses de ce dernier, vite acceptées.
25 décembre :
Réveil difficile quelques heures plus tard. Douche glacée pour achever de retrouver nos esprits, petit déjeuner léger en prévision du repas de Noël au Blockhaus. On dévalise ma garde-robe locale puisque le dresscode est " casual ".
On arrive à la maison en même temps que Côme avec ses parents. C'est la première fois qu'ils viennent. Ils sont impressionnés par l'extérieur. Cette façade aveugle, juste percée d'étroites " meurtrières " verticales explique le surnom de la maison. Le fait qu'à droite mon acquisition reprenne le même type d'ouverture ainsi que le bâtiment de notre voisin de gauche (ce que je n'apprécie pas particulièrement même si elles sont disposées horizontalement !), renforce encore l'effet.
Nous entrons. J'explique l'usage des différents niveaux sans épiloguer sur celui de ma société. Ce n'est qu'en ouvrant la porte du monte-charge à l'étage de vie que je pense aux projections des " déjeuner sur l'herbe " joués par mes amis. Trop tard !
Alors qu'Enguerrand embrasse ses parents, je m'avance et m'aperçois que quelqu'un y avait pensé aussi et le mur ne reflète qu'une vue du golden gate de San Francisco depuis Télégraph Hill.
Il ne reste pas moins les deux cariatides aux hanches pudiquement recouvert de serviettes très étroites pour une fois. Heureusement la lumière en provenance de la piscine surplombant la cuisine attire leurs premiers regards.
Comme je m'étonne de ne pas voir de grande table, Samir exceptionnellement vêtus pour l'occasion (tout comme Ammed) m'explique que tout est installé sur la terrasse. Nous restons donc à ce niveau le temps que les derniers invités arrivent. Ils font connaissance avec les autres habitants de la maison. Côme leur avait déjà expliqué qu'ils n'y auraient qu'Emma et la mère de Max comme éléments féminin en sus de sa mère et, j'ai su plus tard, qu'il leur avait aussi demandé de ne pas trop poser de question sur qui était avec qui, ce qui leur éviterait de se faire des idées déplacées !
Les parents de Max arrivent enfin. Leur fils va les accueillir au rez-de-chaussée. Le père, qui était déjà venu pour suivre ma convalescence s'était chargé d'avertir sa femme. Malgré ça, je l'ai vue tourner la tête dans tous les sens dès sa sortie du monte-charge.
Les bouchons de champagne sautent et les verres se remplissent comme les petits fours arrivent. Les jeunes aident mes Hommes de service le tout dans une ambiance assez bruyante.
Pour les cadeaux nous sommes priés d'accéder à la terrasse, enfin !!
Pas de sapin décoré, ils m'ont bien eu ! Par contre je découvre que le mur mitoyen avec notre nouveau voisin a été abattu et que l'espace des deux cours a été redistribué. Le grand tatami et les agrès de gymnastique ont migré de l'autre côté, laissant de nouveau un espace plus conséquent à la végétation.
Là, mes amours (Marc, PH, Ludovic et même Ernesto) me souhaitent un joyeux Noël et m'expliquent qu'ils avaient fait l'acquisition du bâtiment voisin pour y installer un parking + au premier étage une salle d'art martial plus conséquente que le petit espace du Blockhaus et au second un appartement communautaire destiné à remplacer la colocation que je louais et permettre à plus de mes escorts d'y loger.
Les fous !!
Emma sort du sac qu'elle avait amené avec elle, 13 boites étroites recouverte d'un papier glacé noir. Pablo fait la distribution. Les américains sont ravis mais un peu gênés d'avoir le leur. On ouvre pour y trouver une grosse montre Suisse. Le même modèle pour tous juste gravé d'un " 2015 ". Elles rejoignent toutes les poignets et chacun d'admirer l'effet qu'elle fait sur le sien.
Moi je distribue aux deux couples (parents de Max et ceux de la fratrie) des enveloppes. Dedans j'ai mis un bon pour un séjour à San Francisco voyage compris évidement. Pour les autres, mes amours un nouveau jonc en or, gris cette fois qui rejoignent aussitôt ceux précédemment offerts à leur bras droit. Mes deux escorts de maison (Joao et Romain) reçoivent un I-phone 6 tout comme Pablo. Pour les invités d'outre atlantique, j'avais demandé à PH d'aller chercher chez mon joailler de Paris trois anneaux en or, plats gravé du 25-12-15. En plus pour Duke qui avait dit à la triplette combien il kiffait trop le fait que j'ose porter des bracelets en plus des différents anneaux, chevalière et pendant d'oreille, un beau saphir à accrocher à son percing d'oreille. Dane me dit que j'ai fait une folie et que son garnement de frère ne valait pas ça. Quand je le lui accroche, sa couleur rehausse celle de ses yeux. Il me saute au cou et me dit qu'il y avait pensé mais n'avait pas osé faire le pas.
Mes trois " petits frères " sont ravis de sa surprise vu qu'ils étaient à l'origine de ce cadeau. Ils l'entourent et Côme doit aller leur dire de mettre un peu de discrétion à leurs effusions rapports aux parents. Leurs bisous avec la langue ça finirait par choquer.
Emma reçois de ma part des boucles d'oreilles de chez Tiffany.
Je reçois des parents de Max et des 3 frères une caisse de 6 bouteilles de Romanée-Conti. Une folie pour eux ! Je les engueule gentiment.
Je prends un peu de temps avec eux, heureusement qu'Emma les avait " coachés " à leurs arrivées. Après m'avoir remercié une nouvelle fois, surtout quand je leur ai dit qu'à San Francisco ils auraient un véhicule pour se promener, ils admirent ce que nous avons fait de cet ensemble d'entrepôts industriels. Pour les sculptures d'Alban, ils sont moins fans mais trouvent amusant que j'ai repris l'utilisation de cariatides pour le soutien de la piscine à l'étage en dessous.
Le déjeuner est merveilleux et je suspecte Pablo d'y avoir mis son grain de sel. C'est confirmé par l'intéressé quelques minutes plus tard.
Dès le café avalé, avant la visite de mon " voisin ", j'ai juste le temps de sodomiser Enguerrand venu me retrouver alors que je faisais mes ablutions de sortie de table.
Ce petit obsédé m'avait collé aux basques et alors que je me lavais les mains, il m'a descendu pantalon et slip avant d'emboucher ma bite qui déjà se remplissait de sang. Raide en moins d'une minute, je le retourne et l'enfile coincé contre le lavabo. Il tend sa tête en arrière pour qu'on se roule un patin pendant l'action. Mes vas et vient sont rapide mais profond et il ne peut retenir, à chacun de mes coups de rein, un gémissement significatif. On va se faire griller si nous restons trop longtemps absents. J'accélère le rythme, ses gémissements suivent jusqu'à ne plus être entrecoupés de silence. Quand il jute dans le lavabo, sa rondelle me bloque et me fait éjaculer. Trop bon ce petit coup en douce !! Je pilonne encore deux trois fois son cul pour bien propulser mon sperme tout au fond et je ressors brutalement. Ça tire un dernier gémissement d'Enguerrand qui me dit que ça lui fait tout d'un coup froid. On se nettoie un brin, se réajuste l'un l'autre pour effacer les traces de nos turpitudes puis on rejoint le monde.
Je me fais direct grillé par PH et Ludovic qui voient dans mes yeux comme un reflet de satiété !! Tout bas ils me traitent d'obsédés et quand Enguerrand nous rejoint, ils savent qui en a bénéficié.
La nouvelle Annexe 2:
L'entrepôt fait 30m de façade sur 15 de profondeur. Le rez-de-chaussée est organisé en parking. Ici aussi le monte-charge existant a été rénové mais pas transformé en ascenseur comme au Blockhaus.
Le premier étage : un sas d'entrée pour isoler la salle de sport. Un seul plateau organisé en trois grands tatamis et au fond contre le mur mitoyen les sanitaires séparés de la grande salle par une paroi en verre juste sablée au niveau des hanches. On voit quand même 2 portes pleines cachant des WC et une série de douches (pommes zénithales) sans séparation couvrant le reste du mur soit pas loin de 11m avec devant un lavabo circulaire à 4 robinets.
Le mur côté rue est recouvert de glaces et celui de la cour est percé de grandes fenêtres du plafond à 50cm du sol, la partie basse servant de banc. Quelques barres d'assouplissement, sont réunies en faisceau à chacun des trois tatamis.
Le 2ème étage : on sort du monte-charge sur un palier occupé de grands placards pour mettre manteaux et chaussures. On entre directement dans un grand séjour avec cuisine ouverte sur la gauche. Toute équipée avec 3 blocs de cuisson et 4 frigos américains. La salle doit faire dans les 200m². Elle est séparées en plusieurs coins salon/détente avec chacun leur grand écran plat (avec chacun 4 séries d'écouteurs) et une énorme table haute du côté de la cuisine pouvant accueillir une 15aine de convives.
Un sas contenant 4 WC sépare le côté jour du côté nuit. Puis viennent 8 chambres d'environ 25m² et au fond une salle d'eau commune sur le modèle de l'étage inférieur.
L'installation est encore vide, mes amours me laissant le choix des futurs " locataires/bénéficiaires ".
Alors que la triplette se verrait bien être les premiers occupants, levée de bouclier chez les parents. Déjà que quand ils sont chez eux (semaine chez Max et WE chez Enguerrand) ils se plaignent de ne pas les voir beaucoup, ici ils ne les verraient plus du tout.
Partie remise pour les jeunes !!
La cour, qui est couverte comme la nôtre, a récupérée toute la partie Gymnastique et les postes de musculations.
La soirée s'avance et c'est avec impatience que certains attendent le départ des invités (Emma et les parents).
Jardinier
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Évidemment, nous n'apprenons jamais rien. Le ciel se ferme et les yeux. La pluie coule - mais les caniveaux de mon cœur...
Au milieu de Celetná - et les passants - je ne heurte pas - mais je m'abîme - les larmes sous mes talons et les pavés trébuchant - dans ma bouche inaudible... Nul sanglot n'aura chassé les nues.
La rosée n'émeut plus ce bleu qui délave. Attendre... à n'en pouvoir plus - rougie jusqu'au bout des cils. Et les tuiles se détachant une à une. A vive allure, je marche - vers quel azur. Vers quelle échappatoire.
Passage bouché - de mon âme - envolée d'oiseaux. Je perds ma voix - quand mon cœur, de mes lèvres, coule. Nausée, à fendre l'âme des rues.
Ils passent. Sans savoir quel précipice - aimer. Quel danger. Les mains humides - à force de sécher mes joues. Glacées par le vent et le froid qui rôdent - de place en place. J'ai marché.
J'ai lutté. En vain - paroles d'amour - et mes pleurs - à défoncer l'asphalte de leurs cris - j'aurais voulu pouvoir pousser entre les pavés, sur ma poitrine, que les germes percent ma peau - que de leurs yeux, les feuilles te regardent -
J'aurais voulu pouvoir éclore mille tendresses. Que le béton de mon ventre - meurt. Tout ce qui sourd de mon corps - émotions confuses - les églises ont perdu leurs vitraux. Et les tessons, dans mes mains.
J'ai beau hurler. J'ai beau jouir. J'ai beau écrire. Je disparais. Au milieu des foules - mes bras levés - pour chercher l'espace - où te retrouver. Avalée par les vagues.
Mes yeux mouillés - ne connaissent plus la pitié ni la joie. Et j'avale, avec difficulté. Des pierres. Et j'avale, avec difficulté, tes mots. Et je trouverai - effrontée - la percée de ciel
- je trouverai le soleil ascendant - qui fait pour moi raison, définitive, de te rester. Et de demeurer là, étendue, à l'ombre de tes yeux, sous un astre inflexible qui, tous les deux, nous étreint d'une même lumière - sans jamais savoir ce qui nous déparie - sans trouver fermeté à nous départir - l'un de l'autre
- non. Je ne trouve pas sens, ni conscience à aller seule - lointaine. Ni impératif, ni volupté - ni estrangement - ne sauraient avoir raison de moi. De mes entêtements. À nous colluder. À renaître la joie - dans ton cœur et le mien - à n'avoir d'autre croyance que d'aimer et de jouir
- et de savoir le bonheur réalisé, ici-bas et maintenant. Si sous ta main, tu perçois le sang qui bat - avec fureur - dans mes veines. Pour crier d'aimer, vivre - et aimer vivre - encore, ne serait-ce qu'un instant - plutôt que cette mort qui nous fait solitude
- je mordrai encore (sans pitié) à ta peau pour qu'à mes dents le sang gicle - et que je te sache, là. Plein d'envie - et de vie. Les yeux humectés - de peur - de ne plus te connaître - je te rassemble. Sur ma poitrine.
Et du pied, je chasse les feuilles. Les bâtiments ni la nuit n'encombreront la clarté de mon ciel. Je piétinerai tout ce qui m'empêche et ferai de grands signes - dissiper les ombres.
Que mes larmes encore tressautent. Pour écumer l'horreur. Furieuses. Acharnées. Mes forces. À te renaître encore - et braver...
L'incendie qui m'éclaire et me nuit.
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"Vous pensez qu'ils sont fâchés ?"
"Ouais, carrément. On va se faire défoncer."
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Pfiou en ce moment c'est pas facile facile. J'ai dû amener Mayka au véto parce qu'elle posait plus sa patte avant sur le sol, déjà qu'elle a la patte arrière à moitié morte bah elle avait moins d'équilibre avec 2 pattes en moins. Heureusement rien de grave elle est sous anti inflammatoire. Le plus dur c'est mon papy, j'en ai parlé à personne quasiment mais il a eu un accident (débile en plus) et il a du être opéré lundi, ça s'est très bien passé c'était une très grosse opération où il lui on soudé des vertèbres mais le problème c'est qu'il a déliré complet, il avait de grosse hallucinations, il a pris ma mère pour un chien, il a essayé de s'échapper de l'hôpital, ils ont été obligé de le contentionner vénère, les bras, les mains, les jambes, les pieds, la tête parce qu'il ne devait surtout pas bouger et resté immobile avant l'intervention. Les médecins pensent que c'est ça qui lui a fait péter un câble, ma mère penche plus pour le valium qui lui ont donné pour qu'il se calme (mon papy prend même pas un Doliprane alors du valium a haute dose...😒), j'espère juste que c'est pas plus grave, il déliré moins lundi soir après l'opération, hier il était ultra fatigué mais plus de délire. Donc on va croiser fort fort les doigts 🤞. Inutile de vous dire que ça va pas du tout de mon côté et que je suis obligé de me défoncer au Xanax pour avoir ne serait-ce que 3h de sommeil en ce moment 🙃.
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Donc le mec aux cheveux blancs, c'est littéralement un anti majik. En vrai, ça pourrait être un foil intéressant pour Ichi. Surtout que même Uroro le craint. Et vu la puissance de celui ci, même Desscaras décide d'intervenir, bien que vu le regard c'est plus personnel. Mais là Ichi a les yeux plus gros que le ventre, il va se faire défoncer !
So the white-haired guy is literally an anti-majik. In truth, it could be an interesting foil for Ichi. Especially since even Uroro fears him. And given the power of this one, even Desscaras decides to intervene, although given the look it's more personal. But Ichi's eyes are bigger than his stomach, and he's about to get his ass kicked!
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Alors de base le temps est long mais il l'est encore plus quand je sais que demain je vais me faire défoncer en partiel à 9h du mat' et que j'ai pris le parti pris de pas travailler cette matière. Mais vraiment quel enfer. J'ai l'impression que ça fait 6j que je suis débout. Est ce qu'on pourrait abréger mes souffrances svp ? Je déteste les périodes de partiel pour ça, au lieu de se faire éclater sur 5 jours bien condensés, on se fait éclater sur 3 semaines. 3 semaines où j'attends ma sentence vraiment. Depuis 14h j'suis dans mon lit, j'attends la faucheuse à ce niveau là. En plus, étant quelqu'un sans passion, j'sais même pas quoi faire, littéralement rien dans cet appartement n'est prévu pour que je puisse me divertir. Jpeux faire la vaisselle cela dit. C'est d'un ennui.. jvais attendre de manger puis j'irai me doucher et dormir. J'ai même pas faim. Ça fait 5j jmange sans la sensation d'avoir faim ça me perturbe. Faudrait que je sorte et me bouge mais bon, sortir sous la pluie et la grêle pour faire quoi ? De l'aquaplaning avec tous les tocards de ma rue ? Mais par pitié quoi
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Je suis incapable de supporter plus d'une semaine de servage, comment est-ce que j'ai fait pour tenir 6 mois sans une goutte d'alcool quand j'étais plus jeune?? Et sans me défoncer pour compenser qui plus est?!
On m'a répété que le premier mois était le plus difficile, qu'après, les symptômes étaient gérables, mais les gens ne comprennent pas que c'est pas juste la dépendance physique ni même psychologique. C'est un mode de coping, et si tu dépends de l'alcool pour gérer tes émotions et t'automédicamenter depuis une dizaine d'années, c'est pas un petit mois qui va tout régler comme par magie!
L'alcool sera toujours là pour apaiser toutes les émotions qui me submergent. C'est une habitude, un besoin profond, irrépressible et systématique. C'est aussi ce qui a rendu ma relation avec mon partenaire d'alcoolisme si intime.
J'ai peur de ne pas être capable de gérer les émotions négatives, les ruminations, l'anxiété, la dépression, toutes ces difficultés. J'ai peur de me sentir étouffé et que ça laisse place à mon impulsivité qui était si prédominante quand j'étais jeune. J'ai peur de perdre le contrôle, de perdre mes repères, de perdre mon réconfort. J'ai peur de craquer et de tout gâcher, et alors que tous mes efforts de sevrage n'aient servi qu'à renforcer ma dépendance. J'ai peur de perdre une amitié précieuse avec mon partenaire. J'ai peur de ne plus être capable de m'ouvrir à quelqu'un comme je le fais si facilement sous l'effet de l'alcool. J'ai peur que toutes ma détresse reste coincée en moi, que je ne sois plus capable de me confier à qui que ce soit, que je devienne trop self-conscious, trop anxieux, d'avoir trop peur d'être trop. J'ai peur de devoir vivre avec un alcoolique sans pouvoir moi-même céder à la tentation.
Alors l'idée stupide que c'est une simple dépendance dont le sevrage peut être facilement réglé grâce à une désintox, de l'antabuse ou je ne sais quoi, c'est de la grosse bullshit.
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6 : dans une classe différente
Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
#fe3h oc drawcember#fe3h#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'était un truc que je voulais faire depuis un moment : qu'est-ce que c'est que ces habits pour les femmes ?!#Je sais que c'est un code du JRPG mais on peut changer les choses vous savez !#Et Metaheta est parfaite pour s'énerver contre ce genre de pratique !#Je vais pas avoir le temps de le faire mais j'aurais bien fait l'équivalent avec un perso masculin qui subit aussi une armure féminine#genre Pertinax vu que c'est bien son genre de s'énerver quand on tente de le déguiser avec un truc pas pratique#il se retrouve avec l'armure de savante mortelle ou d'assassine il va pas apprécier alors avec celle des magiciennes...#il ferait comme Metaheta : autant aller se battre à poil... et surtout rendez-moi mes vêtements !#enfin ça se fera peut-être un jour...#j'espère surtout que celle-ci vous plait !#et faut vraiment que je fasse une fiche de perso pour Metaheta ^^'#C'était long de faire toutes les fiertés - surtout sur le 2e - mais c'était satisfaisant une fois le crayon gommé !#et je sais je me suis trompé pour les mains le pouce était à l'envers à la base... ma faute habituelle... j'ai corrigé comme j'ai pu - -'
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the more i watch south africa's matches recap....... im dead scared.........
#thomas ramos et melvyn jaminet si vous vous blessez jvais vous défoncer#le jeu au pieds il va être important
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En septembre dernier je suis allée avec des potes faire du surf et on avait pris un cours parce que la plupart débutait. C’était la première fois que je surfais en métropole. Au final, si tu te débrouillais tu pouvais gérer à ta guise donc c’est ce que j’ai finalement fait. Le moniteur était super gentil alors que je stressais un peu au début parce que ça faisait un petit moment que j’étais pas montée sur une planche. Dès qu’on se croisait dans l’eau on rigolait et il m’encourageait ou me félicitait à chaque fois. Puis à un moment il a commencé à me pousser pour tenter des plus grosses vagues au fond. Pour moi c’était carrément inenvisageable j’ai jamais essayé et j’ai juste pas le niveau. Puis, bon faut pas trop me chauffer sinon je veux tout tester donc j’accepte.
Vous avez pas idée à quelle point j’avais l’impression d’être dans la cours des grands en allant au fond 🤣. Il y a avait pas beaucoup de monde et autant dire que j’étais la seule meuf (ouais j’me la pète ouais). Bref j’étais dans un film vraiment mdrrr.
Évidemment il m’a accompagné et m’a ma guidé. Une vague arrive, elle est énorme je pense que je vais me faire défoncer à ce moment mais va y je rame à fond.
( je rac la suite après)
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saga: Soumission & Domination 386
Mes Escorts-1
Tout fonctionnant sans moi, conséquence de mon absence prolongée, j'ai beaucoup de temps libre après les cours. Je profite de ça pour revoir mes Escorts un par un et faire un point sur leurs besoins et leurs désirs.
Je laisse de côté ceux qui sont en contrat exclusif (Jean, Phil et Luc) ou spécialisés (Jonathan et François) et commence par :
Jimmy.
A 24ans, comme il n'a pas beaucoup grandi (il fait 1m70), on lui en donnerait toujours 18. Il adore son travail de jardinier pour quelques clients dont Pierre et Olivier, les parents d'Ed et Théo entre autre et kiffe toujours de se faire défoncer par mes clients les plus grossement membrés. Bien qu'il soit Escort depuis 5 ans, il ne lasse pas ma clientèle qui continue à me le demander régulièrement. Il m'explique qu'il est quand même le meilleur de tous en gorge profonde et en dilatation anale. Il me raconte que lors d'une prestation, le client s'était masturbé dans son cul. Je demande quelques explications. Il me dit que le client l'avait réservé pour un fist et une sodo Il avait commencé par la sodo puis enchaîné par le fist. C'est lui-même (Jimmy) qui, bien parti, lui avait proposé d'ajouter sa bite à sa main. Le mec avait pris un pied comme jamais et ça lui avait rapporté une prime équivalente à la prestation négociée. Il me dit qu'il avait vu avec Jona pour requalifier la prestation et partager le surplus. Maintenant ce client le commandait exclusivement pour refaire ça.
Je lui demande si côté privé, il s'était trouvé un petit copain.
Réponse : pas encore, bien qu'il ait des demandes, il me dit qu'il se casera avec un mec du type de mes clients quand il aura fait le tour de la question. Et vu son imagination, c'est pas pour demain ! Sa vie entre notre campagne, et ses déplacements lui convient tout à fait. Il a son havre de paix et ses périodes de sexe intense.
Charles-Edouard (Ed)
Maintenant 21 ans, il s'est allongé et malgré les heures de muscu reste longiligne. Ce physique plus sa blondeur en fait un de mes Escorts les plus classe. Mes clients l'adorent car sous un dehors " bien sous tous rapport ", se cache une chaudasse de la pire espèce. Certains de mes clients blacks ne le retiennent qu'à cause de la différence de couleur extrême qu'ils ont avec lui. C'est un blond à la peau très blanche et les premières fois où je l'ai accompagné, dans certaines positions j'avais l'impression de voir un domino géant. Ses études vont bien et ses parents qui maintenant savent qu'il travaille pour moi, n'y voient aucun inconvénient. Ils auraient du mal à lui reprocher ce qu'eux même achètent auprès de mes amis (Second et Julien) ou mes escorts. Chacun d'eux apprécie les doubles- sodo devant l'autre.
Ed me dit que cela va faire un moment qu'ils ne se cachent même plus quand ils se font baiser. Souvent il leur est arrivé à lui et son petit frère Théo d'entrer dans le salon ou d'aller nager dans la piscine alors qu'ils se faisaient démonter la rondelle dans ces endroits.
Lui kiffe toujours autant de travailler pour moi et voit son " trésors de guerre " augmenter gentiment tous les mois ce qui lui convient tout à fait. Il aime ses vacances tous frais payés en palace, même si maintenant il a les moyens de se les offrir tout seul. Ce qu'il adore le plus c'est de choquer les bien-pensants. Les autres se doutent bien qu'il n'est pas le " fils " ou " neveu " qui accompagne son parent. Il ajoute qu'il est rarement le seul jeune dans ce cas et que ça lui est arrivé souvent, pour ne pas dire toujours, d'en profiter pour organiser avec ses homologues des touzes qui les changeaient agréablement de leurs clients. Souvent aussi, il a pu profiter des " gens de service " qui, sans les assimiler à leur condition, reconnaissaient en eux des serviteurs de la classe aisée.
Certains clients le sort comme un trophée de chasse, dans ces cas-là il fait en sorte de rendre jaloux tous les autres hommes avec lesquels ils entrent en contact. Il n'adore rien tant que de recevoir des propositions en douce pour soit changer de " papa " ou de délaisser le sien temporaire pour quelques instants, moyennant une très grosse enveloppe.
Il me rassure en m'affirmant qu'il a toujours décliné ces propositions. Il sait que cela aurait porté préjudice à la réputation de ma boite.
Daniel :
Depuis qu'il a accepté ma proposition, il taffe et double ou triple son salaire de vendeur chez Suzuki (et c'est un bon vendeur qui se fait de confortables commissions). Avec lui, tout roule. Il fait kiffer les clients qui pensent s'encanailler avec un motard. Ils ont l'impression de risquer leur vie en faisant venir un " loubard ". Daniel accentue cet aspect en arrivant toujours bardé de cuir noir. Il me dit avoir même acheté quelques bracelets et chaines en acier pour augmenter leurs frissons ! Pas au courant je lui demande s'il avait fait passer les factures à Jona. Comme il me répond non, je lui dis que tout ce qui est équipement de travail est pris en charge. J'insiste et il me dit qu'il le fera. Du coup ça lui arrive de plus en plus qu'on lui demande d'être actif. Souvent il commence par se faire enculer et doit (scénario organisé) se rebeller et " forcer " le client jusqu'à l'enculer. J'admets que c'est original comme plan. Quand il me dit qui il a déjà enculé parmi mes clients, sur certains noms je tombe de haut ! Il me confirme que lui aussi ça n'aurait pas été ces noms-là qui lui seraient venu en premier à l'esprit. Il s'amuse de cette évolution qui lui va bien puisqu'il est actif/passif à la base.
Morgan :
Mon collègue d'école de commerce, comme moi en dernière année. Il a laissé tomber le foot pour se consacrer totalement à son activité d'escort et aux séances de sport maison. Ses parents sont ravi du travail qu'il a trouvé à coté de ses études (ils ne savent pas le contenu du poste !) qui lui permet d'être aussi bien payé.
Avec Simon, c'est le grand amour et il n'envisage pas sa vie sans lui. C'est en plus réciproque. Ça été le premier " couple " qui s'est créé entre mes escorts.
On discute un peu. Il m'assure que même quand il aura commencé à travailler, il ne cessera pas ses prestations pour moi, enfin en fonction de son travail et que je pourrais toujours compter sur lui. Il a fait son cursus à l'étranger en Afrique du sud et sa séparation d'avec Simon a été dure, même s'ils se sont vus tous les mois. Il me dit qu'il s'était fait un ami là-bas qui a comblé partiellement son manque, surtout des grosses queues de mes clients ! Ils ont dû rester discrets car même avec l'abandon de l'apartheid, les relations sexuelles entre blancs et noirs pouvaient poser des problèmes surtout quand elles sont homosexuelles. En attendant ça lui a permis de tenir sans trop déprimer d'être sans son Simon. Coté physique ses 65Kg tout mouillés sont loin et comme moi il accuse 85Kg de muscles sur la balance. Je ne peux m'empêcher de lui demander de se mettre à poil, même si cette occasion m'est donnée lors des séances sportives, là je peux prendre mon temps pour voir les changements. Il est superbe. Epilés nickel, ses 19x6 même non bandés en imposent en haut de ses grosses cuisses. J'aime beaucoup cette différences : grosses cuisses >< petit cul et épaules larges. Il me fait bander et il s'en aperçoit et bande à son tour. Comme je suis assis à mon bureau, il me tire et me pousse contre le plateau. Sa langue fraiche vient se battre avec la mienne. Il recule juste pour me dire que cela faisait longtemps qu'il ne m'avait remercié pour ce qui lui était arrivé. On colle nos peaux, pecs contre pecs, nos tétons bandent eux aussi et on reprend notre pelle. Nos queues se touchent, nos glands mouillent et leurs frottements l'un contre l'autre attisent notre excitation commune.
Il se baisse et embouche ma bite. Ses cheveux courts touchent mes abdos quand il fait passer mon gland dans sa gorge. J'aime ! J'aime surtout quand il pompe profond, couvrant ma queue de salive. Sans faiblir, il continu pendant au moins un bon 1/4 d'heure avant de se redresser, me tourner le dos et se pencher tout en restant cambré. Un véritable appel au viol. Comme il est consentant, je me kpote vite fait et plonge entre ses fesses. Je sens le passage de sa rondelle, brève résistance, puis sa douce chaleur interne. C'est tellement bon que je reste bloqué au fond de son cul quelques instants avant d'entamer le limage de son oignon. Limage qui se transforme en labourage de grande ampleur avec l'utilisation complète des 20cm de mon appendice. Je pousse les papiers derrière moi qui encombre mon bureau et d'une rotation propulse Morgan dos sur le plateau, ses jambes entre mes bras en appui sur mes épaules. Il se retient au bord car sinon mes coups d rein l'auraient propulsé de l'autre côté. Je pousse sur ses jambes pour venir lui cueillir les lèvres. Sa grosse bite se trouve compressée entre elles et je sens ses couilles contre mon bas ventre.je me redresse, attrape un kpote et sans cesser de lui défoncer le cul la lui enfile sur son sexe. Quand il est prêt, je décule, monte sur le bureau (béton) et m'assois dessus. Bon format, les diamètres de 6 cm ça a du bon ! Je fais l'ascenseur sur cet axe de plaisir et comme nous sommes déjà très excités tous les deux, il ne nous faut pas longtemps pour jouir. Mon sperme lui zèbre le torse et le visage. N'étant pas encore prêt, il se redresse et se lève, portant mes 85Kg sans problème. Enfin pour les trois coups de reins qui m'ont décollé les fesses de lui avant que la pesanteur ne me fasse reprendre ma position initiale avec une brutalité propre à le faire exploser.
Sous la douche commune, on rit de ce dérapage impromptu mais pas non contrôlé.
Simon :
Quand je le vois il sait déjà que j'ai profité de son mec. Il me propose d'évacuer cette dimension en faisant de même d'entrée de jeux, qu'on aura qu'à discuter après.
Je l'attrape par le cou et écrase mes lèvres sur les siennes. Pulpeuses elles ont toujours eues sur moi l'attrait d'un aimant. Il le sait et m'en fait profiter. Je passe de pelles en morsure et suçage de sa lèvre inférieure. Dans mes bras je n'ai plus, comme pour Morgan, un garçon longiligne (en 2011 il pesait 66Kg pour ses 1m80) mais un très beau mec aux muscles bien formés qui doit accuser au moins 80Kg sur la balance. Il a gardé ses cheveux mi- longs qui vont si bien avec ses yeux bleus. En plus quand on agrippe sa crinière, il y a de quoi s'accrocher contrairement à la plupart de mes escorts aux cheveux plutôt courts.
On se fait donc un peu plaisir ensemble. Je reconnais dans sa façon de faire l'amour la marque de Morgan. L'enthousiasme qu'il avait quand je l'ai pris dans mon équipe est toujours la même et sa fraîcheur intacte. La chose expédiée (façon de dire d'une petite séance de baise d'une bonne heure et demie), on discute de son avenir.
Il me confirme qu'il ne l'envisage pas sans son Morgan et qu'il s'établira comme avocat là où ce dernier trouvera du taf. Je lui dis alors que j'avais quelques idées là-dessus et voulait son ressenti quant à l'orienter vers certains de mes " contact " professionnel, collègues d'AG des boites de ma mère. D'après lui, Morgan ne s'offusquera pas d'un petit coup de pouce et ce se sera pas son employeur qui sera lésé vu ses compétences... officielles. Je lui offre de l'aider aussi si l'intégration dans une cellule juridique privée l'intéresse. Je sais et certaines des sociétés d'Emma ont sous contrat des juristes. Il me dit qu'il y réfléchira et me le dira en temps et heure, selon où Morgan atterrira.
Il me plait bien ce petit couple, la prochaine fois je m'inviterai entre eux, ça devrait être intéressant !
Viktor et Nicolaï :
Je reçois mes deux " Russes " ensemble. De toutes les manières ils sont collés ensembles dans leurs études de langues comme dans leur appartement et souvent dans leurs prestations. Même quand mes clients n'ont besoin que d'un traducteur, ils me commandent les deux en prévision de leurs " troisièmes mi-temps ". 22ans chacun, il se ressemble de plus en plus. Seule la blondeur qui confine au blanc de Nicolaï les distingue d'autant plus que souvent ils sont habillés pareil. Faisant partie de ceux qui voyagent le plus (contrats de traducteur oblige) ils ont négocié avec leur fac les absences que cela provoque. Sans dévoiler de secret, je crois bien qu'un petit coup de fil de mon correspondant dans les services de l'état à leur doyen à bien aidé pour cette tolérance. Nicolaï a trouvé auprès de Victor et surtout sa mère, un rappel de sa Russie natale. Sa nouvelle identité lui a même permis de retourner à Moscou en toute sécurité. Ils me disent que quelques-uns de mes clients leur demandent de baiser entre eux avant de participer. Au point que parfois ils en oublient que le client les mate jusqu'à ce que l'un d'eux se fasse ouvrir l'oignon par son gros ou très gros morceau.
A l'examen de leurs physiques, pas de surprise. Même nus ils sont jumeaux. Seule la queue de Nicolaï légèrement plus longue mais aussi plus fine (enfin 5.5 c'est déjà pas mal), ajoute une différence, car ce n'est pas leurs pilosités réduites à un minimum qui frise l'inexistence qui le feraient. Alors que nous discutons encore, ils m'approchent de chaque côté avant de me lever de mon fauteuil et de me mettre à poil en 30 seconde chrono. On ne se refait pas, je bande comme un fou (faudrait peut-être que je consulte ça pourrait être maladif ?!).
Je les laisse faire, ça me permettra de voir comment ils ont évolués. Quand un s'occupe de me sucer la langue et de me rouler un patin, l'autre embouche ma bite dans une fellation que je ne renierais pas moi-même. Quand ils me trouvent suffisamment chaud, alors que Nicolaï continue sa pipe en mode gorge profonde, Victor me travaille la rondelle. Qu'on s'occupe de moi des deux coté c'est jouissif. Surtout que la langue qui travaille ma rondelle est très efficace. Elle me détend bien l'oignon et je me sens prêt, après une telle préparation, à enculer l'un tout en me prenant l'autre dans le cul.
C'est chose faites quelques minutes plus tard. Viktor sur le dos, moi au-dessus avec ma bite dans son cule et derrière moi Nicolaï qui me stimule la prostate de l'intérieur. Mes 20cm font merveilles dans Viktor qui mouline du cul pour augmenter ses sensations. Comme il serre bien ma bite, ça me fait aussi pas mal d'effets ! Le corps de ma queue pistonne son trou alors que la peau qui le recouvre, elle, se vrille. Excitation augmentée garantie. A cela s'ajoute la pénétration des 20 x 5.5 de son partenaire entre mes fesses et, à l'aide de mes va et vient, au plus profond de moi. Me voilà pris en sandwich et quelque part c'est terriblement efficace !!
Ils me changent plusieurs fois de position, toutes sont aussi bonnes que la première. Quelques intermèdes où je me retrouve en 69 avec Viktor ou Nicolaï après leurs échanges de ma rondelle. Quelques autres où j'encule L'un ou l'autre lui-même faisant son affaire à son partenaire. On se retrouve à s'achever d'un coup de main pour se juter dessus et réciproquement.
Sous les douches ils m'expliquent qu'ils comptent bien continuer à bosser comme maintenant. Ils sont en train de se constituer un carnet d'adresse avec lequel ils n'auront aucun mal à trouver du travail en tant qu'indépendants. Dès que l'attrait sexuel qu'ils génèrent se sera tassé.
Ce qui, vu leur gueules encore très " juvéniles " ne risque pas d'arriver demain !
Jardinier
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Je viens de passer 20 jours au Canada. Enfin au Canada, au Québec plutôt. Hébergée par la best des best Juju (Alice et Marie ragez pas). Franchement une réussite, on s’est tapées qu’une ou deux fois dessus mais on s’est surtout bien marrées. J’ai découvert sa vie ici, rencontré ses amis et Bonnie! Bonnie c’est la petite chatte toute noire de Juju aussi appelé « ma fifille » (les connaisseurs entendront la voix de Juliette le dire) ou Bobo. Je comprends mieux pourquoi elle ne veut pas rentrer au pays de fromage pour l’instant, elle est entourée par des gens super, super drôles, super gentils, super nuls au billard. Et même si c’est ma petite sœur elle m’a appris des trucs : le ukulélé, le style et que si je laissais traîner des affaires j’allais me faire défoncer. Ensemble on a aussi appris la danse en ligne ou dans country. S’il vous arrive de danser avec Juliette éloigner c’est un vrai carnage, elle va blesser votre physique et votre estime pour elle.
Je ne vais pas vous mentir : Montréal c’est moche, enfin Maman me dirait de dire « je ne trouve pas Montréal à mon goût ». En attendant peu de bâtiments valent le détour, c’est relativement sale et alors le supplément neige grise fondue n’est pas du tout valorisante. Par contre la vie y est agréable. Les gens sont gentils, détendus et surtout ils ont des cafés incroyables! Mention spéciale au café des habitudes où on doit enlever ses chaussures avant d’entré dans un endroits lumineux et cosy de trois pièces dans lesquelles on peut s’installer dans un canapé, sur un pouf, dans une tente ou en haut d’une cabane.
Le Québec pour les fêtes de fin d’année c’était un super choix. La neige et le lac gelé autour du chalet pour Noël c’était tout simplement magique. Pour couronner le bonheur Maman, Alice et Marie ont fait le voyage depuis la France pour qu’on fête ça toutes ensemble. Après quelques jours à Montréal, nous avons fait un stop dans la ville de Québec pour la photo pèlerinage sur le canon devant le château Frontenac. Nous avons fait du patinage au milieu d’une forêt qui nous a valu quelques chutes et bleus. Ensuite ça été direction le chalet pour 4 jours d’apéro, jacuzzi, repas, balade dans la neige, lecture et ouverture de cadeaux. Ah non… Pas de cadeaux on les avaient oublié à Montréal. Sauf Maman qui les avaient gardé dans sa valise, quelle prévoyance!
Enfin ça a été l’étape magique : Sacacomie. Un hôtel tout en rondins de bois, sur le bord d’un lac avec aucune autre construction. Un décor de trappeur avec des cheminées dans toutes les pièces presque et une pléthore d’activités. On a mis à profit nos 24h avec glissades sur tubes, raquettes, patinoire, marche sur le lac gelé et spa. Le sauna du spa a une vue incroyable sur les sapins couverts de neige. L’homme qui s’occupe des activités s’appelle Claude et ressemble à un personnage tout droit sorti d’un film de Noël avec sa barbe blanche et son air bonhomme. Lorsqu’on lui a rendu nos équipements ils nous a invité à le suivre pour nous révéler un secret, secret pour nous aider à saisir le bonheur de la vie. Il se fait surnommer Santa Claude!
Après un séjour reposant et glacial et des au-revoirs difficiles, le choc thermique m’attend avec ma prochaine destination. C’est aussi le premier vol vers l’inconnu!
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