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Netzach - Le Cycle des Cieux
La séphira de Netzach accueille le Royaume élohien de la Victoire. Sa capitale est Nogah et son archange-roi est Haniel.
Netzach est la septième des séphiroth. Elle est gouvernée par le choeur des principautés et par l’archange-roi Haniel.
A l’aube du Tohou, Netzach représentait le flanc gauche d’Adam Kadmon, le corps-univers.
Dans le langage des élohim, le terme “netzach” signifie les émotions, et la victoire.
Netzach est l’univers des émotions, des sentiments, de l’amour.
Les âmes doivent apprendre à céder à ces émotions, pour cheminer vers l’acceptation et l’amour. Une fois leurs émotions acceptées et développées, les âmes sont victorieuses et peuvent poursuivre leur chemin.
Netzach est un royaume-océan, ponctué d’îles luxuriantes et de palais de nacre. Au dessus s'étendent de vastes cieux bleus et violets, ponctués de nuages blancs.
Les élohim de Netzach font constamment la fête et leur réjouissances illuminent le paysage.
L’océan de Netzach est infini, comme le cosmos de Malkouth. Les élohim vivent autant au-dessus qu’en dedans. Mais cet océan peut être dangereux. Les élohim qui s’y aventurent trop profondément ne reviennent parfois pas.
L’heptagramme est un symbole de Netzach. Ainsi que la croix de vénus.
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Âmes liées
Dans les cieux embrasés, une nuit de fête éclate, annonciatrice d’un évènement divin : la naissance des âmes. Sous le regard attentif des oracles, les astres tracent leur chemin à travers l’obscurité, déterminant le moment où les âmes viendront fouler la terre. Lors de leur chute, il arrive que les étoiles se croisent, s’enlacent et achèvent leur course ensemble, imprégnées de l’autre. Unies dans leur trajectoire, elles sont alors liées par un lien intangible à travers les cycles de leurs (ré)incarnations. Qu’elles soient romantiques (”âmes destinées”), amicales / familiales (”clusters”) ou jumelles cosmiques, leur destin est scellé. Tu peux choisir parmi les différentes options suivantes, qui sont cumulables, ou n'en choisir aucune, si tu préfères que ton personnage n'aie aucune âme liée.
Pour toutes les âmes liées :
⭢ co-conscience : dans les moments de détresse, elles peuvent atteindre l’état de co-conscience, co-habitant temporairement dans un même corps pour affronter les défis se dressant sur leur chemin.
⭢ télépathie : capacité à communiquer par la pensée, la télépathie n’est pourtant pas aussi invasive que l’on peut le croire : il est possible de créer des barrières dans l'esprit pour ne pas entendre la / les personne·s et ne pas se faire entendre en retour. La possibilité d’ouvrir ou de fermer des canaux de discussions s’acquiert plus ou moins facilement d’une personne à l’autre.
Âmes Destinées
Les âmes destinées sont âme sœurs, liées par les étoiles, portées à l'univers afin d'être ensemble. Ce lien mystique vient se tisser dans les étoffes du cosmos, et ce toutes dimensions confondues. Dans les nuits où les songes se mêlent à la réalité, les âmes-liées peuvent partager des rêves lucides, mais les visages ne sont distincts que pour la personne ayant deviné l’identité de son âme-liée. Lorsqu'elles sont amenées en contact, aussi bien lors de la première rencontre qu’à la réalisation des âmes concernées, une marque commune (Soulmark) vient prendre place sur l’épiderme à la manière d’un tatouage.
Clusters
Âmes liées les unes aux autres de manière platonique, si la dimension romantique n'est pas inscrite dans ce lien, il n'en est pas moins puissant. Les âmes d'un cluster peuvent se projeter astralement, permettant une connexion profonde entre les membres du groupe.
Jumeaux Cosmiques
Dans le tissu des mondes parallèles, un phénomène mystique s'est dévoilé : la naissance de jumeaux·elles à travers deux dimensions soeurs. Ces âmes élues émergent à l’unisson, nées du même souffle de vie. Pourtant, malgré leur apparence identique, iels sont des reflets contrastés l’un·e de l’autre, des échos divergents de la même essence. Leurs particularités, leurs caractères, leurs destins, tout les sépare et les unit à la fois. Le phénomène ne se manifeste qu’entre les deux Terres et n’inclut pas la dimension Fae. En choisissant un jumeau cosmique, cela veut donc dire qu'à Neferis, un autre personnage avec ton faceclaim peut-être joué, et sera intrinsèquement relié au tien.
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Les [civilisations modernes] donnent le vertige par leur fièvre de mouvement et de conquête de l'espace, génératrice d'un arsenal inépuisable de moyens mécaniques capables de réduire toutes les distances, de raccourcir tout intervalle, de contenir dans une sensation d'ubiquité tout ce qui est épars dans la multitude des lieux. Orgasme d'un désir de possession ; angoisse obscure devant tout ce qui est détaché, isolé, profond ou lointain ; impulsion à l'expansion, à la circulation, à l'association, désir de se retrouver en tous lieux - mais jamais en soi-même. La science et la technique, favorisées par cette impulsion existentielle irrationnelle, la renforcent à leur tour, la nourrissent, l'exaspèrent : échanges, communications, vitesses par delà le mur du son, radio, télévision, standardisation, cosmopolitisme, internationalisme, production illimitée, esprit américain, esprit « moderne ». Rapidement le réseau s'étend, se renforce, se perfectionne. L'espace terrestre n'offre pratiquement plus de mystères. Les voies du sol, de l'eau, de l'éther sont ouvertes. Le regard humain a sondé les cieux les plus éloignés, l'infiniment grand et l'infiniment petit. On ne parle déjà plus d'autres terres, mais d'autres planètes. Sur notre ordre, l'action se produit, foudroyante, où nous voulons. Tumulte confus de mille voix qui se fondent peu à peu dans un rythme uniforme, atonal, impersonnel. Ce sont les derniers effets de ce qu'on a appelé la vocation « faustienne » de l'Occident, laquelle n'échappe pas au mythe révolutionnaire sous ses différents aspects, y compris l'aspect technocratique formulé dans le cadre d'un messianisme dégradé. A l'inverse, les civilisations traditionnelles donnent le vertige par leur stabilité, leur identité, leur fermeté intangible et immuable au milieu du courant du temps et de l'histoire : si bien qu'elles furent capables d'exprimer jusqu'en des formes sensibles et tangibles comme un symbole de l'éternité. Elles furent des files, des éclairs dans le temps ; en elles agirent des forces qui consumaient le temps et l'histoire. De par ce caractère qui leur est propre, il est inexact de dire qu'elles « furent » - on devrait dire, plus justement et plus simplement, qu'elles sont. Si elles semblent reculer et s'évanouir dans les lointains d'un passé qui a même parfois des traits mythiques, cela n'est que l'effet du mirage auquel succombe nécessairement celui qui est transporté par un courant irrésistible l'éloigne toujours plus des lieux de la stabilité spirituelle. Du reste, cette image correspond exactement à l'image de la « double perspective » donnée par un vieil enseignement traditionnel : les « terres immobiles » fuient et se meuvent pour celui qui est entraîné par les eaux, les eaux remuent et fuient pour celui qui est fermement ancré dans les « terres immobiles ». Il faut enfin rappeler quelle fut, dans les civilisations traditionnelles, la conception du temps : non pas une conception linéaire, irréversible, mais une conception cyclique, à périodes. D'un ensemble de coutumes, de rites et d'institutions propres soit aux civilisations supérieures, soit aux traces de celles-ci chez certains peuples dits « primitifs », apparaît l'intention constante de ramener le temps aux origines (d'où le cycle), dans le sens d'une destruction de ce qui, en lui, est simple devenir, de le freiner, de lui faire exprimer ou refléter des structures supra-historiques, sacrées ou métaphysiques, souvent liées au mythe. De la sorte, et non comme « histoire », le temps - tel une « image mobile de l'éternité » - acquit valeur et sens. Retourner aux origines voulait dire se rénover, boire à la source de l'éternelle jeunesse, confirmer la stabilité spirituelle, contre la temporalité. Les grands cycles de la nature suggéraient cette attitude. La « conscience historique » , inséparable de la situation des civilisations « modernes », ne scelle que la fracture, la chute de l'homme dans la temporalité. Mais elle est présentée comme une conquête de l'homme actuel, c'est-à-dire de l'homme crépusculaire.
Julius Evola, L'Arc et la Massue
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La peste certaine, plutôt qu'un hypothétique choléra...
Il faut vraiment se donner beaucoup de mal pour arriver à trouver, dans l'Histoire de France –pourtant riche en cycles inintelligibles et en péripéties inexplicables-- un homme d'état qui se soit donné autant de mal que Emmanuel Macron pour déchirer un peuple déjà prompt à se quereller, et pour pourrir une situation déjà pas mal écornée, la transformant en écartèlement ''à quatre chevaux'' –ce supplice réservé, il y a bien longtemps, aux seuls régicides, mais apparemment devenu ''abordable par tous » », dans ce qui reste comme bribes de souvenirs de feu notre beau pays.
Force est de reconnaître que l'idée saugrenue d'une dissolution ne peut trouver de justification que dans la puérilité de sale gosse trop gâté de notre président qui a préféré casser son joujou plutôt que d'accepter qu'il ne se plie pas à tous ses caprices. Le résultat ne s'est pas fait attendre : un envol spontané de la Nation vers les cieux auxquels le pouvoir interdisait d'aller. La catastrophe lui semblant encore pire que le trouble qui lui avait donné naissance, le pouvoir a mobilisé toutes ses forces --et les techniques de la propaganda, du viol des foules et du mensonge d'état réunies-- pour transformer un processus jusque là relativement démocratique (dans les limites étroites que notre ''démocratie conditionnelle'' nous laisse) en une manipulation impudique à en être mortifère
Le résultat de ce gigantesque tripatouillage est à la hauteur des moyens mis en œuvre par un président aux abois (dont la France exaspérée aurait vraiment préféré qu'il soit... aux abonnés absents) : une catastrophe sans limites potentielles, qui risque fort de mener le pays à sa ''fin finale'', et qui, quel que soit le sens dans lequel on la retourne et le côté sous lequel on la regarde, ne peut avoir que des conséquences et des suites épouvantables. Pour en arriver à ce point-le-plus-bas, il a fallu ressortir d'immenses mensonges dans le genre de ceux qui avaient été utilisés à grande échelle lors de la farce sinistre du covid : ceux qui nous conduisent à notre perte ont découvert que plus ils mentent gros et fort, et plus ''ça passe''... et nous n'avons pas fini de payer les conséquences de cette sinistre découverte (NDLR - petit rappel, pas inutile : ''sinistre'', étymologiquement, n'a qu'un seul sens : à gauche ! Nous y sommes, en plein !).
Je ne vous cacherai pas que hier, au moment des résultats de cet étalage de mauvaise foi, de rapprochements contre nature, d'insultes à l'intelligence, de déformation du réel et de l'abolition de toute morale, j'ai eu le sentiment d'être ''KO – debout'' : pour la première fois depuis 2013, je me suis assis devant mon clavier, pour venir vers vous, à notre habitude... mais j'ai été dans l'incapacité absolue d'écrire un seul mot. La seule pensée qui occupait tout le petit espace de mon cerveau encore plus limité que d'habitude était : ''Je refuse de participer à la mise à mort de la France que j'ai tant aimée : j'arrête ce Blog''. Dites-moi ce que vous en pensez...
Pour aujourd'hui, je n'ai pas de commentaires à faire autres que ''C'est vraiment trop con''... et ''Comment une telle folie a-t-elle pu être possible ?''... Le plus vraisemblable est que le ''programme'' (le vrai mot est : ''le délire'') du soi-disant front soi-disant populaire --qui n'est qu'une més-union contre-nature des pires forces mauvaises de l'ultra-gauche et de l'islamo-gauchisme'', promues ''système de référence'' (NB : chacun est libre de son choix, bien entendu... mais est libre, aussi, de dire que ce choix-là est de très loin le plus destructeur qui ait jamais été conçu !)-- va se traduire, au début, par des éructations, des anathèmes, des mesures perverses et la présence envahissante sur nos petits écrans des trognes haineuses d'irresponsables promus ministres... mais peu ou pas des mesures suicidaires promises. En tout cas, pas tout de suite : merci De Gaulle, merci la V ème république ! Et même, à la limite et au prix de quelques nouvelles compromissions aussi puantes que celles qui viennent de nous donner cette ''Chambre honteuse'', Macron pourrait encore sortir vainqueur de cette partie de à qui perd, perd. Ce serait un comble !
Ce qui reste de bon en Europe, les marchés, le bon sens des électeurs –qui ne peuvent pas ne pas se réveiller très vite devant les conséquences de ce qu'on les a forcés (d'une certaine manière) à faire !)-- et les juges contre lesquels nous avons tant râlé, parfois, devraient nous protéger des idées autodestructrices des fous-furieux a qui nous avons bien imprudemment confié un pouvoir dont ils ne savent et ne peuvent que mal se servir, pour notre plus grand malheur...
Là où toute cette péripétie honteuse devient une menace, c'est que l'ultra-gauche maintenant au pouvoir réel –car elle contrôle la presse et donc la désinformation-- n'a qu'une seule idée fixe : changer définitivement la composition sociologique du corps électoral, de façon à ce que tout retour en arrière sur sa main-mise sur le pouvoir devienne très vite impossible... Nous sommes déjà bien lancés sur ce terrain de malheur !
Nous allons hélas avoir bien des occasions de revenir sur ces sujets, sur ces malheurs, sur les horreurs qui nous attendent. Pour aujourd'hui, je suis encore trop ''sous le choc'' pour pouvoir proposer autre chose que ma tristesse, mâtinée de honte, que ma crainte des lendemains, et que mon incompréhension devant le caractère ''Gribouille'' de mes compatriotes, décidément très enclins à lâcher la proie pour l'ombre... Pourquoi les français font-ils le bon choix dans les sondages et dans les ''premiers tours'' et TOUJOURS le mauvais, devant l'obstacle ? Car là, ils ont vraiment choisi ce qu'il y avait de pire...
H-Cl.
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Le Dernier Grand Jour ou Yom Hachemini Atseret « solennité de clôture du huitième jour »
Du Mercredi 23 octobre au soir au Jeudi 24 octobre au soir (jour chômé).
“ Le quinzième jour du septième mois, quand vous récolterez les produits du pays, vous célébrerez donc une fête en l’honneur de l’Éternel pendant 7 jours : le premier jour sera un jour de repos et le huitième aussi. “ (Lévitique 23:39)
Les sept jours de la Fête des Tabernacles sont associés aux 1.000 ans du règne de Yahshua / Jésus sur la Terre (Millénium).
Selon Apocalypse 20:7-10, Satan sera délié et relâché de l'abîme pour peu de temps après les 1.000 ans de paix pour reséduire l'humanité qui n'aura pas connu d'épreuves et beaucoup de gens, à nouveau se rebelleront contre Dieu et tomberont dans son piège.
Cette Sainte Convocation du 8ème jour ordonnée par YHWH correspond à la remise des clés du Royaume par Yahshua / Jésus au Père, à la fin du Millénium, quand tous ses ennemis seront sous ses pieds.
“Ensuite viendra la fin, quand il remettra le royaume à celui qui est Elohim et Père, après avoir détruit toute domination, toute autorité et toute puissance. Car il faut qu'il règne jusqu'à ce qu'il ait mis tous les ennemis sous ses pieds. Le dernier ennemi qui sera détruit, c'est la mort. Elohim, en effet, a tout mis sous ses pieds. Mais lorsqu'il dit que tout lui a été soumis, il est évident que celui qui lui a soumis toutes choses est excepté. Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même sera soumis à celui qui lui a soumis toutes choses, afin que YHWH soit tout en tous.” (1 Corinthiens 15:24-28)
“Et en la dernière journée, la grande journée de la fête, Yahshua se tint là et cria, disant : “ Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi et qu’il boive. Celui qui croit en mois, selon ce qu’a dit l’écriture, des fleuves d’eau vive couleront de son ventre. ” (Jean 7:37-38 - Jésus à la fête des tentes)
Puis la terre disparaîtra, les cieux seront roulés.
Une nouvelle terre viendra avec la Nouvelle Jérusalem, toute d’or, de pierres précieuses, de cristal, avec nos maisons préparées par Yahshua / Jésus !
Il n’y aura plus ni jour ni nuit, Yahshua / Jésus sera au centre.
Ce rendez-vous fait de nous des prophètes obéissants, annonçant au monde ce qui vient, ce qui arrive, La Bonne Nouvelle.
Bonne Fête du Dernier Grand Jour, que YHWH vous accompagne par Son Fils Yahshua / Jésus en faisant souffler sur vous son Ruah Ha Kodesh.
Sim'hat Torah (Joie de la Torah) est célébrée par le peuple juif par des chants et des danses, marquant ainsi la fin du cycle annuel de lecture de la Torah.
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Notes : Les 7 Fêtes de l’Eternel correspondent au plan de salut de l’humanité.
Puissions-nous célébrer les Saintes Convocations de Dieu, Notre Père, ensemble, dans l’unité, par son Fils Yahshua, Notre Roi, avec la compréhension de leur signification prophétique.
L’Olivier franc (Juda - les Juifs) sur lequel se greffe l’Olivier sauvage (Ephraïm - les Nations) pour former le peuple d’Israël spirituel.
Sources : Juda & Ephraïm
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Bracelets en pierres selon le thème astral : Aide à la manifestation
Ces cycles et ces âges ont remis l'astrologie au premier plan en raison de la spiritualité du nouvel âge ; en dehors d'autres modes plus jeunes, on voit des articles comme les bracelets en pierre qui sont identifiés à votre signe du zodiaque ; les charmes protecteurs basés sur l'astrologie sont également célèbres.
Le choix des cristaux et des matériaux du bracelet emblème du zodiaque fait réfléchir sur son caractère, ses chances et ses défauts. La lecture des horoscopes aide également à être en contact avec soi-même. L'amélioration du caractère individuel peut se produire à la suite d'une meilleure compréhension de la structure générale et du but de l'univers tout entier.
Lorsque vous portez un magnifique bracelet associé à votre signe, par exemple le bracelet solaire Lion avec rubis et or, vous êtes confiant, fier et optimiste car vous savez que l'univers vous a façonné en tant que Lion dans les moindres détails. Les ornements basés sur l'astrologie sont plutôt non conventionnels, c'est le moins que l'on puisse dire.
Un aspect plutôt intrigant du travail avec les cristaux est qu’il apporte le concept de fréquences et d’idées d’intention et de formes de pensée placées dans des objets physiques. Le port d’une pierre de naissance comme un collier pendentif ferait un péridot Taureau et un bracelet en émeraude par exemple augmenterait la probabilité d’atteindre des objectifs qui sont réciproques à la carrière, aux finances et aux syndicats. Ils agissent également comme une sorte de « vaisseau spatial » pour appeler son désir dans le cosmos.
Les choses qui peuvent être décrites par les astrologues comme favorables ou non en regardant la position des étoiles à la naissance sont également observées. Les glyphes et le symbolisme sur les amulettes sont ceux qui s’opposent aux aspects indésirables, tels que Saturne ou Mercure, etc. Ils prennent soin de vous pendant le voyage épique de la vie.
Connexion aux traditions anciennes
Des anciens Babyloniens aux astrologues védiques, les gens ont cherché de l’aide dans les cieux et ont porté des bibelots liés aux étoiles. Allez-y ! Et bénéficiez des meilleurs avantages des Bracelets en pierres selon thème astral, Bracelets de protection astrologique pour la meilleure expérience.
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(Re)naissance du phénix
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Super Phoenix - Hikari no sekai he (Vers un monde de lumière)
Que la lumière soit…
Il était une fois en des temps reculés…
Dieu avait séparé le monde en lumière et ténèbres. La lumière était le royaume de Dieu. Les ténèbres étaient le royaume de Satan. Ainsi furent créés les anges et les démons. Alors, pour protéger le Bien, Dieu sépara la Terre des Cieux. Cependant, il était dans la nature des démons de détester tout ce qui n'était pas les ténèbres. Ils détestaient les anges. Encore aujourd'hui, le combat entre les anges et les démons continue, dans les Cieux comme sur Terre.
SUPER PHOENIX ! FLY INTO THE FLASHING WORLD ! (Envole-toi vers un monde éblouissant !)
Des milliers de rêves sont dispersés par-delà l'horizon scintillant Des milliards d'amours (SUPER PHOENIX) Perdu dans le labyrinthe, fais confiance aux sentiments brûlants dans ton cœur Et un SUPER PHOENIX indélébile en jaillira (CYBER UP !) Le vent (kamikazé) se reflète dans tes yeux L'aventure ne fait que commencer
SUPER ANGEL PHOENIX ! Déployons nos ailes de lumière SUPER FIGHTER PHOENIX ! Et saisissons des lendemains scintillants
Se perdant en chemin Même si la lumière finit par se faire engloutir par les ténèbres Tu ne renonces jamais (SUPER PHOENIX)
Par-delà l'arc-en-ciel Le sourire de tes amis scintille Et t'appelle (SUPER PHOENIX)
(CYBER UP !) Tenons-nous la main Et ouvrons maintenant la porte de nos rêves
SUPER ANGEL PHOENIX ! La foi est une force inébranlable SUPER FIGHTER PHOENIX ! Gardant le sourire dans ton cœur
SUPER ANGEL PHOENIX ! Déployons nos ailes de lumière SUPER FIGHTER PHOENIX ! Et saisissons des lendemains scintillants
SUPER ANGEL PHOENIX ! La foi est une force inébranlable SUPER FIGHTER PHOENIX ! Gardant le sourire dans ton cœur
SUPER ANGEL PHOENIX ! Déployons nos ailes de lumière SUPER FIGHTER PHOENIX ! Et saisissons des lendemains scintillants
« Le phénix, parfois écrit phœnix ou phoenix (du grec ancien : illyrienne (poenix), au sens probable de « rouge sang »), est un oiseau mythique, doté d'une grande longévité et caractérisé par son pouvoir de renaître soit de son propre cadavre, soit des flammes de son bûcher. Il symbolise un cycle de mort et de résurrection. Il est appelé par une périphrase moderne « l'oiseau de feu ».
Selon l'historien grec Hérodote, le phénix est originaire d'Arabie et rattaché au culte du Soleil dans la cité d'Héliopolis, en Égypte, où il était vénéré : il le décrit comme une sorte d'aigle au plumage rouge et or. D'autres auteurs le montrent multicolore, tel Solin, compilateur de Pline l'Ancien (Polyhistor, chapitre 34). »
« Là aussi naît le phénix, qui a la grandeur de l'aigle, la tête ornée de plumes formant un cône, des caroncules à la gorge, le cou rayonnant d'or, le reste du corps de couleur pourpre, si ce n'est la queue, qui est d'azur éclatant et semée de plumes incarnat. »
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La roselière et les larmes du soleil
31/03/2024
La roselière et les larmes du Soleil poème de vigile pascale
Pascal dans ses pensées déjà réfléchissait à la nature humaine
L'homme un roseau pensant entre deux infinis se singularisant par son être fini
La mort réduit les hommes à attendre leur terme du mieux qu'ils le pourront et elle les enferme dans cette condition comme en une prison
Cette pensée sublime s'est enrichie depuis par celles d'autres cîmes plus complète aujourd'hui
Oui cette condition loin de les enfermer dans une succession est un cycle sacré
L'homme contient en lui et le jour et la nuit et l'univers entier faiseur de galaxies
Lorsque l'on considère de l'homme la matière on retrouve en son sein les corps élémentaires aux mystérieux hymens des astres et des pierres planctons et champignons De toutes les espèces la lente évolution dans l'immense univers d'infinies dimensions
Toute cette matière de la terre jusqu'aux cieux est réseaux de lumières aux invisibles essieux
Equilibres précaires immuables pourtant de tous lieux émanant
Ondes et arborescences signent toute semence contenues dans le lait et le soma sacré
Qu'on l'appelle destin voie tao ou dharma C'est le même chemin par nous tous parcouru!
Ouvrons donc grand les Portes trop longtemps retenues de l'Esprit qui l'emporte sur nos espoirs déçus
Remettre notre Etoile au centre du Dharma comme les Egyptiens le faisaient autrefois
Notre Disque Solaire est notre Créateur quelque nom qu'on lui donne Il est Notre Sauveur
La Terre fut créée de l'une de ses larmes L'Atmosphère et puis l'Eau Et qu'en avons nous fait?
Il n'est jamais trop tard pour déposer les armes D'un bien triste chaos nous allons réchapper
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INGESTED - The Tide of Death and Fractured Dreams
Ingested est un trio de death metal technique en provenance de Manchester, Angleterre.
Composé de Jason Evans – chant, Sean Hynes - guitares, chœurs, Lyn Jeffs – batterie, ces Britanniques acerbes fendent des crânes depuis près de 18 ans : « Nous commençons définitivement à sentir notre âge par moments, en voyant comment les tendances évoluent autour de nous. Nous aimerions penser que nous avons amené le sous-genre 'slam-death metal' à un public plus large, et que nous avons également ouvert la voie à l'expérimentation d'autres genres de metal extrême. En toute honnêteté, je ne pense pas que beaucoup de changement ait eu lieu », disent-ils. « Nous sommes les trois mêmes gars qui font de la musique. Nous nous sommes améliorés au fil des années. »
Le groupe ne s’arrête jamais et ce nouvel album intitulé « The Tide of Death et Fractured Dreams » est à la fois innovant et brutal, et davantage destructeur que leurs derniers avec une belle traînée de sang musical pour une férocité plus purulente.
« Nous travaillons toujours sur de nouvelles musiques en coulisses, c'est presque comme si nous ne sortions jamais d'un cycle d'écriture. Si les idées continuent à affluer, autant en profiter pleinement. » dixit Ingested
Plusieurs featuring sur cet opus avec le chant de Mark Hunter de Chimaira pour « In Nothingness » et le chanteur de Sylosis Josh Middleton avec « Expect To Fail ». Pour les paroles, depuis toujours les conflits d’Ingested étaient enracinés dans la dépression et l’insécurité : "Nous écrivons toujours sur des expériences ou des luttes personnelles, nous n'avons pas tendance à avoir un thème général pour un album, c'est généralement ce qui se passe dans nos vies qui met la plume sur papier." Dixit Ingested, le groupe continue son exploration avec une voracité conséquente.
En apparence désordonnés dans leur composition mais en réalité agencés selon une mystique particulière à coups de blast-beats, de rythmique grinçante sur des riffs décalé par des harmoniques perçantes et des mélodies mineures inondant le mix d'éclats rapides. 10 nouvelles chansons percutant les airs en s'enchaînant d'une manière vicieuse, tout est dévastateur, comprimé, compressé, compacté. La batterie fournit un ancrage solide à ces échanges saccadés, passant de blast-beats serrés à des rythmes de transe galopants, tissés ensemble par des remplissages et des motifs particulièrement complexes selon les standards. Les riffs sont intenses et vertigineux, ils explorent les deux côtés du spectre sonore dans un conglomérat torride de tempos alternés. Les compositions alternent des impacts dévastateurs, permettent aussi d’aérer par des atmosphères où arpège cristallin et touches bourdonnantes accueillent une suspension.
Ingested mêle et démêle son corps musical aux effluves qui se dégagent d’une nuit de démangeaison et brûlure. Chaque titre est un métal recélant son mystère sonique. Tel un oiseau sous la foudre des cieux fou et sublime comme un Icare qui s'envole vers la combustion.
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LE MARIAGE SELON LE DESSEIN DE DIEU. ( PARTIE 1 )
Prenez un instant pour réfléchir à l’ordre, à la beauté et à la perfection des modèles de la création de Dieu ici sur la planète terre ; nous pouvons les trouver partout autour de nous. Considérez les rythmes et les modèles des saisons de l’année et des marées de l’océan. Et qu’ils sont merveilleux, les mouvements des étoiles dans les cieux et la beauté et la diversité du règne végétal et du règne animal ! Nous sommes inspirés et remplis du plus grand respect par les cycles de la vie que Dieu a conçus dans l’ordre de Sa création.
Peut-être même plus extraordinaire, cependant, est un élément essentiel dans Son plan divin qui est souvent oublié et même ignoré au milieu des pressions et des distorsions culturelles du vingt et unième siècle. Cet élément vital et essentiel est le merveilleux modèle que Dieu a établi pour nous dans Sa Parole au regard de comment Il définit le mariage : l’union entre un homme et une femme en tant qu’époux et épouse. Nous trouvons que ce modèle original selon Dieu pour que l’homme et la femme soient bénis, est basé sur la vérité des versets tels que ceux-ci :
Genèse 1 : 27 - 28
27-Dieu créa l’homme à son image,
il le créa à l’image de Dieu, il créa
l’homme et la femme.
28-Dieu les bénit, et Dieu leur dit :
Soyez féconds, multipliez,
remplissez la terre…
Dieu explique davantage ce modèle essentiel, la relation complémentaire entre l’homme et la femme, en Genèse 2 : 18, 24 .
Genèse 2 : 18
18- L’Éternel Dieu dit : Il n’est pas bon
que l’homme soit seul; je lui ferai
une aide semblable à lui.
24- C’est pourquoi l’homme quittera
son père et sa mère, et
s’attachera à sa femme, et ils
deviendront une seule chair.
Dieu a fourni une aide << semblable >>, ou complémentaire, pour l’homme, une compagne pour travailler à ses côtés. Dans Son dessein pour le mâle et la femelle, Dieu a établi Son modèle pour que l’homme et la femme soient unis dans le mariage et deviennent << une seule chair >> dans leur marche en tant que mari et femme. Ceci englobe les aspects physiques des rapports sexuels et de la procréation.
Notez qu’il n’y a aucune indication que le dessein de Dieu englobe l’union d’hommes avec des hommes ou de femmes avec des femmes. Si nous regardons ces relations logiquement, elles ne cadrent pas avec le dessein de Dieu. Les corps humains de l’époux et de l’épouse, l’homme et la femme, sont parfaitement et harmonieusement conçus pour les rapports sexuels.
Cependant, il est immédiatement évident que dans les actes sexuels homme-homme et femme-femme, seule une union sexuelle de fortune est possible, et la procréation est impossible. La Parole de Dieu et la création de Dieu nous disent clairement que l’homme a été fait pour la femme et que la femme a été faite pour l’homme.
Nous avons vu en Genèse 2 : 18 que Dieu a donné à l’homme une femme comme compagne, et Dieu a conçu leur union sexuelle tendre dans une relation sexuelle intime pour que cela soit une grande composante de cette compagnie.
À suivre . . .
Que Dieu vous bénisse abondamment, vous fortifie, vous protège et vous garde en parfaite santé au nom de Jésus-Christ, amen!
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Malkouth - Le Cycle des Cieux
La séphira de Malkouth est située à la base de la Création. A l’aube du Tohou, elle représentait les pieds d’Adam Kadmon, le corps-univers.
Malkouth est l’univers que nous connaissons en tant qu’humain. C’est dans ce royaume que les âmes des vivants s’incarnent.
Malkouth est partagé entre tous les chœurs élohiens, qui collaborent pour guider les vivants vers EL.
Découvrez le Royaume de Malkouth dans Le Cycle des Cieux, Tome 1, Les Gardiens de Sicad, disponible sur @worldanvil
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Amaterasu
Âge inconnu Mesure 1 mètre 65
Déesse japonaise du Soleil
Amaterasu est née de l'œil d'Izanagi, il y a plusieurs siècles, après le retour de ce dernier du Royaume des Morts. Petite sœur de Kagutsuchi, le dieu du Feu, elle a bénéficié d'un tant soit peu d'affection de leur père.
Pour preuve de l'amour qu'il lui portait, Izanagi lui a offert la souveraineté sur les Cieux qu'elle partage avec l'un de ses frères nés juste après elle, Tsukuyomi, créant ainsi le cycle de jour et de nuit.
Après une violente dispute avec Susanoo, son autre frère, elle s'est enfermée dans une grotte, faisant disparaître le soleil avec elle. Ses pairs ont réussi à l'en faire sortir, mais son frère en a payé le prix en étant banni du Royaume Divin. Heureusement pour lui, il a su se racheter en offrant à Amaterasu l'épée de Kusanagi. Elle ne lui a, pour autant, toujours pas tout pardonné.
La déesse affectionne particulièrement ses pairs et elle le leur montre comme elle le peut. Malgré son calme, son humilité et sa discrétion, elle attire souvent tous les regards sur elle mais elle préfère rester seule, dans sa tranquillité et sa sérénité. Elle est également curieuse et avide de connaissances, ce qui la pousse à se rendre dans le monde des humains pour apprendre leurs arts.
Elle a l'apparence d'une belle femme dans la trentaine. Elle a de très longs cheveux blonds et des yeux dont la couleur pourrait être comparée à celle du soleil. Elle dégage une certaine grâce et de la prestance.
Quand elle se rend dans le monde humain, elle est obligée de se teindre les cheveux en noir et de porter des sortes de lentilles de la même couleur.
Amaterasu n'utilise jamais ses pouvoirs, ceux-ci dépassant l'entendement. Si elle venait à le faire, ciel, terre et mer se déchaineraient.
• Univers medieval fantasy japonais. • Elle n'est pas adaptée pour un contexte se déroulant uniquement dans le monde des humains. • Plusieurs divinités japonaises apparaîtront en tant que personnages secondaires. • De petites adaptations peuvent être apportées après discussion.
• Recherches :
- Une autre divinité → Après avoir confectionné un énième vêtement pour l’un de ses pairs, Amaterasu viendrait directement à sa rencontre pour le lui offrir, un sourire timide ornant ses lèvres et appréhensive d’un rejet. Ce serait le moment idéal pour profiter de sa présence habituellement discrète et pour nouer de nouveaux liens avec elle.
- Un démon → Il n’y aurait rien de plus terrifiant pour Amaterasu que de se retrouver face à un démon, alors qu’elle se baladait tranquillement dans le monde des humains. Cherchant à ne pas dévoiler sa couverture, elle tenterait de fuir par tous les moyens et de ne plus croiser le chemin de ce qu’elle pense être un ennemi.
• Peuvent apparaître ou être mentionnés dans le RP, en fonction du contexte : Kagutsuchi, Susanoo et Shion.
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La Völuspá, un des textes les plus célèbres de l'Edda poétique, révèle un mythe de création commun aux peuples aryens, qui trouve des échos dans les récits grecs et dans le Mandala 10 du Rig Veda. Ce poème aborde également le cycle de la vie et de la renaissance, une thématique partagée avec d'autres groupes aryens et la culture de Samara, ainsi que la création de l'homme.
La Rígsþula, quant à elle, décrit la formation du système de castes tripartite, illustrant comment elles émergèrent et se structurèrent chez les fils de Heimdall.
Le Hávamál, souvent considéré comme un recueil de sagesses proverbiales, offre des conseils pratiques pour la vie quotidienne et pour les guerriers. Il relate aussi le chemin de Wotan vers l'illumination et la découverte des runes, soulignant son rôle de guide spirituel et de guerrier philosophe.
Dans les strophes 8 à 10 du Grímnismál, ainsi que dans Helgakviða I-II et la strophe 32 de la Völuspá, Valhalla est décrit en détail. Cet immense hall où Wotan reçoit les guerriers tombés au combat est souvent comparé à d'autres lieux mythologiques tels que l'Elysium, l'Olympe, Svargaloka ou encore le Mont Sumeru (Meru), mettant en lumière les similitudes entre les mythologies indo-européennes.
Le Grímnismál et la Gylfaginning fournissent des descriptions d'Asgard, le royaume des dieux, établissant des parallèles entre ce lieu mythique et d'autres espaces sacrés de différentes traditions.
Enfin, la Gylfaginning explore la création de l'ordre à partir du chaos, l'organisation des cieux et le rôle des dieux, en mettant particulièrement en avant la position de Wotan en tant que dieu et chef. Ce texte peut être interprété à travers une lentille euhéméristique, c'est-à-dire en considérant les dieux comme d'anciens rois ou héros divinisés, offrant ainsi une perspective sur la manière dont les anciens Aryens percevaient leurs divinités et structuraient leur cosmologie.
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Est-ce que la vie est un test ?
Il est possible de prendre la vie comme une succession de leçons et de tests, avec son examen final qui donne accès à la vraie Vie. Cependant, ce n'est pas tout à fait le cas. En effet, la vie est plutôt comme un arbre sur lequel chaque être humain de la planète Terre est appelé à fleurir et à mourir pour donner un fruit.
En effet, aucune fleur ne devient un fruit sans mourir d'abord. Le fruit ne sert pas la fleur mais il sert à l'abondance de la vie.
C'est pourquoi, il faut en premier lieu fleurir, puis vient l'instant où il faut mourir pour renaître sous la forme d'un fruit qui se donne à Dieu.
La chose est vraie matériellement parlant, et également vraie, spirituellement parlant.
C'est ainsi que chacun vit sous l'influence de cycles. Des cycles qui se suivent comme les saisons. À savoir, hiver, printemps, été, automne…
*****
Le fruit
Toi, l'être, sorti du Néant, remercie dès maintenant ta maman,
Toi, qui fus un enfant, observe comment tu es, à présent,
Il Est depuis le Commencement, et Observe du Firmament,
Chaque jour, sois florissant, et honore : Dieu est Grand.
Il comble de Joie, et de bonheur, la fleur, qui est dans la foi, qui ouvre son cœur,
Il y a un temps pour porter sa croix, pour se défaire de la peur,
Et si tu as trop de poids, laisse tomber, qu'il se meure.
Ce que tu sèmes, c'est ce qui donne du goût au fruit,
Tu es ton propre anathème lorsque tu nuis,
Même le plus beau des diadèmes ne peut se voir la nuit,
Dieu veut que tu aimes la création de la vie.
Miséricorde, Dieu tout puissant !
Pour la horde, des mécréants, pour les païens, et afin qu'ils s'accordent reste Patient, car quand vibreront les Cordes, viendra le Jugement.
Ce que tu penses, c'est ce que tu sèmes et ce que tu fais ;
Évite les offenses, prends l'amour pour thème, et trouve la paix,
Chacun prend part à la souffrance, chacun demande est-ce que tu m'aimes ? En recherche d'humanité,
Chacun cherche le sens mais il est perdu, l'Éden, quand le Royaume est à la portée.
Pour faire plaisir à Dieu, pour devenir un bon fruit, à savourer la vie dans les Cieux, il faut croire au Seul Esprit.
Pour adorer l'Éternel, il s'agit d'avoir fleuri, et d'aider chaque merveille à rejoindre le Ciel, pour vivre auprès de Lui.
Cela n'a rien d'insensé : c'est inscrit dans la nature, comme une image qui montre comment tout est créé, comment vivre l'aventure ; tu es venu quand tu es né, mais crois-tu que tu sois mûr ? Mais si le fruit est vicié c'est comme une injure !
Alors, rectifie-toi ! Nul ne connait le dernier jour.
La force est dans la foi, l'action est dans l'amour ;
Pour celui qui croit, Dieu est au-dedans et aux alentours ;
À celui qui se noie, les Écritures portent secours !
Par la grâce de Celui qui Est, refuse maintenant d'être un pécheur, qu'Il t'ouvre les yeux sur la vérité, qui reste vivante dans le cœur ; tu es pardonné et désormais, aime tes frères et sœurs, tu seras récompensé pour ton labeur.
Romain Borlet
Poète inspiré
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Celui qui a créé la terre et le cycle des cieux, — que de douleurs cuisantes il a mises au cœur de l’homme ! — Que de lèvres comme le rubis, que de chevelures comme le musc — n’a-t-il pas enfouies dans le sein de la terre !
Omar Khayyâm, Robâiyât, 14 (trad. Claude Anet et Mirza Muhammad)
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La Parachah Haaziynou : « Oyez », « Ecoutez », « Prêtez l’oreille…»
Pensée
“ Cieux, prêtez l’oreille, et je parlerai, et toi terre, écoute les paroles de ma bouche. Ma leçon goutte comme l’averse ; ma parole descendra comme la rosée, comme une pluie fine sur l’herbe tendre, et comme des ondées sur l’herbe mûre. Oui, le nom de YHWH, je le proclame, Attribuez la grandeur à notre Élohim ! ” (Deutéronome 32:1-3)
« et IL fait l’expiation pour son sol, pour son peuple » (Deutéronome 32:43)
Vision de félicité exprimée sous forme poétique du cantique de Moshéh… Mais n’y a-t-il pas là, matière à ne pouvoir que chanter, tellement la bénédiction promise est et sera merveille !
“ Oui, la terre se remplira de la connaissance de la gloire de YHWH, comme les eaux couvrent la mer. ” (Habacuc 2:14)
Lectures Parachah : Dévariym / Deutéronome 32 Haftarah : Shémouel B / 2 Samuel 22:1-51 Bériyth Hadachah : Hiyzzayon / Apocalypse 5:6-14 ; 14:1 à 5 ; 15:1-4
Rappel Les commentaires ne sont pas des études, mais des pensées que la lecture de la parachah nous inspire et nous permet, sur une année, de relier les textes de la Torah et des Prophètes aux textes de la Bériyth haHadachah, de l’Alliance renouvelée en Yahshua.
Résumé de la parachah Haaziynou - en hébreu « oyez, écoutez, prêtez l’oreille… » - est le premier mot de la parachah du même nom.
C’est la 53ème lecture hebdomadaire du cycle annuel, la dixième du Livre du Deutéronome. C’est donc également l’avant dernière du cycle liturgique et son étude coïncide avec les fêtes du 7ème mois, période de repentance et d’opportunité de pardon. C’est aussi le thème central de notre parachah.
La plus grande partie de la parachah Haaziynou est composée d'un « poème-cantique » de 70 lignes que Moshéh transmit au peuple d'Israël, le dernier jour de sa vie terrestre.
Ces 70 lignes renvoient-elles à l’existence des 70 nations autour d’Israël ? Cela signifierait que ce chant n’est pas adressé uniquement aux seuls bnei Israël (enfants d'Israël) survivants du désert mais, à terme, à toute l’humanité soucieuse de « prêter l’oreille » aux dévariym, paroles données à Moshéh !
Prenant le ciel et la terre à témoins, Moshéh exhorte le peuple en ces termes :
« Souviens-toi des jours d'antan, méditez les années, d'âge en âge ; interroge ton père, il te l'apprendra, tes aïeux, ils te diront » [de quelle manière Élohim] « l'a trouvé au pays du désert » pour en faire Son peuple.
Le cantique met en garde contre les pièges de la prospérité :
« Mais Yéchouroun (Israël - Jacob) s'engraisse et se rebelle. Tu deviens gras, replet, bouffi. Il abandonne l’Élohim qui l'avait fait, il méprise le Rocher de son salut »
et contre les terribles calamités qui en résulteraient, décrites par Moshéh comme Élohim « détournant Sa face ».
Cependant, il promet qu’Élohim, en finalité, vengera Ses serviteurs et se réconciliera avec Son peuple et Sa terre.
La parachah se conclut par l'ordre d’Élohim à Moshéh de gravir le mont Nevo (aujourd’hui en Jordanie) jusqu'à son sommet, depuis lequel il contemplera la terre Eréts-Israël avant de mourir sur la montagne.
« De loin seulement tu verras le pays, tu n'y entreras pas, dans cette terre que Je donne aux enfants d'Israël. »
Chapitre 32 du Dévariym / Deutéronome
Ce Shirah / poème-chant de Moshéh a été écrit sur l’ordre d’Élohim.
Les 6 parties (ou huit selon les analystes) sont écrites dans un style lyrique avec une vigueur d’évocation qui désespère le traducteur, impuissant à la restituer, quelle que soit la langue de destination.
Ce chant dépeint essentiellement ce qui arrivera aux enfants d’Israël jusqu’à la fin des temps.
*** C’est un poème prophétique, universel dans le temps et l’espace.
1. L’introduction : Moshéh explique que toute faute a son origine en elle-même, YHWH n’est donc pas à blâmer. Moshéh prend comme témoins le ciel et la terre pour enjoindre les enfants d’Israël à rester fidèles à la Torah, qui est comparée à la pluie et la rosée.
2. Les voies de la providence divine dans les versets 4-14 : Enumération des bontés d’Élohim envers le peuple.
3. La faute du peuple dans les versets 15-18 : Moshéh prophétise la rébellion des enfants d’Israël.
4. YHWH cache Sa face dans les versets 19-35 : C’est le châtiment de YHWH consécutif aux fautes de Ses enfants.
5. YHWH s’apaise dans les versets 36-43 : Il s’abstient de la destruction dont Il pensait frapper Ses enfants.
6. La fin du poème est attribuée à Moshéh et Yéhoshoua (versets 44-47) : Consolation du peuple israélite et promesse que justice sera faite à leurs oppresseurs. La fin de la parachah répète ce qui est dit dans la parachah Piynéhas (Nombres 25:10 et suite) à savoir l’ordre à Moshéh de monter sur le mont Nevo pour voir Éréts Israël avant sa mort.
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Verset 1 : Moshéh personnifie les ciels et la terre à qui il parle comme à deux témoins convoqués au mariage d’Élohim et d’Israël. Étrangement, dans la Torah, ce chant est découpé en 2 colonnes parfaitement symétriques, comme suit :
Comme nous pouvons le constater, ce premier verset est divisé en deux demi-phrases: qui commencent et se terminent respectivement par un h(x2), un w, un y : Hé, Vav, Yod, soit encore les 4 lettres formant donc le tétragramme sacré YHWH.
C’est ainsi que Moshéh conclura très logiquement cette courte introduction par :
« C’est le Nom de YHWH que je proclame… »
Autorisons-nous un « commentaire maison » : relions les 4 mots/verbes formés par les 4 lettres du tétragramme dans ce verset :
Ma bouche - Parler - Entendre - Écouter
ce que nous pourrions restituer par :
« Ma bouche va parler : entendez et écoutez ! »
Or, en hébreu le verbe utilisé pour « écouter » renvoie à une intimité de l’écoute, une intériorisation.
« Entendez la puissance de Ma Parole, puis recevez-là en vous-même. »
Préalablement, Moshéh avait utilisé une succession de termes issus du dictionnaire poétique et lyrique pour qualifier la Parole d’Élohim : rosée, pluie, ondée, averse, gazon, plantes.
Termes que le prophète Isaïe réutilisera pour relier à son tour, ciels et terre :
« De même que la pluie et la neige descendent des cieux et n’y retournent pas sans avoir arrosé la terre, sans l’avoir fécondée et l’avoir fait germer pour fournir la semence au semeur et le pain à manger, ainsi en est-il de la parole qui sort de ma bouche, elle ne revient pas vers moi sans effet, sans avoir accompli ce que j’ai voulu et réalisé l’objet de sa mission. » (Isaïe 55:10)
Nous pouvons nous étonner de ce que Moshéh n’interpelle pas ses semblables mais les cieux et la terre.
Il nous faut alors nous souvenir du premier verset de la Torah qui contient tout le projet divin :
« en tête de tout (béréchiyth), Élohim a créé et le ciel et la terre ». « béréchiyth bara Élohim éth hachamayim vé-éth haaréts ».
Moshéh réutilise ici le même vocabulaire que le Béréchiyth, comme le fera Isaïe :
« Écoutez, les cieux, je vais parler (haazinou hachamayim vaadabérah) et qu'elle entende, la terre, les paroles de ma bouche (vétichmâ haaréts imréy-phi). »
En introduction de son chant, Moshéh invoque le couple ciel-terre à témoin.
Ce faisant, c’est tout le projet divin qu’il prend à témoin.
Ce couple existe en tant que couple par l’action de la Parole comme l’établira Isaïe.
Moshéh invoque donc de façon subtile et lyrique la Parole comme véritable témoin de ce qui va suivre dans ce cantique testamentaire.
Il est intéressant dès lors de relier également ce passage de la Torah (qui est une introduction) à la célèbre introduction de Jean l’évangéliste, à savoir :
« Au commencement (béréchiyth) était la Parole… et la Parole était (en forme d’) Élohim ».
Voyons-nous les relations entre ces 3 passages ?
La Parole unit les deux témoins invoqués par Moshéh (selon Isaïe) et le tétragramme « caché » qui sont présents dans le premier verset du chant de Moshéh (comme celui signifié sur l’écriteau de la croix de Golgotha) ! Tout y est.
L’évangéliste Yohanan explicite le chant de Moshéh en nous expliquant que cette Parole s’est faite chair.
Dès lors, il ne nous est pas interdit de songer que Yahshua Lui-même fut le témoin privilégié des dernières paroles testamentaires de Moshéh lorsqu’il prit ciels et terre – et donc la Parole – à témoins dans ces ultimes recommandations pour les générations futures.
Par ailleurs, considérons que Moshéh prit les ciels et la terre à témoin car ils sont perpétuels.
D’autres témoins plus matériels disparaitraient et avec eux les preuves du témoignage. Moshéh veut donc s’adresser également aux générations lointaines, les dernières, voire la dernière !
Un indice ? Toute la création fut contrainte d’écouter le chant de Moshéh, et pour écouter il faut au minimum se taire, faire silence.
Quelle surprise de retrouver un évènement similaire dans notre dernier livre, soit le livre de la Révélation de Yahshua :
« Quand l’Agneau ouvrit le septième sceau, il se fit dans le ciel un silence d’environ une demi-heure. » (Apocalypse 8:1)
Ce silence « apocalyptique » suit une séquence bien connue du livre de l’Apocalypse : il suit le dénombrement / recensement des 144.000 fidèles issus des 12 tribus d’un Israël recomposé.
Cette armée de combattants est ensuite emmenée sur le mont Sion (Jérusalem) où un cantique lui est donné !
Ils chantent alors le cantique de l’Agneau… et le cantique de Moshéh.
« Ils chantaient le cantique de Moshéh, le serviteur d’Élohim, et le cantique de l‘Agneau : Grandes et admirables sont tes oeuvres, YHWH Élohim tout-puissant. Justes et véritables sont tes voies, Roi des nations. » (Apocalypse 15:3)
C’est un nouveau chant : Shir Hadach, celui de la rédemption ultime, une rédemption qui annihilera toute la souffrance, l'ignorance, la jalousie et la haine de la surface de la terre.
Nous attendons tous l’expression originale de cet ultime chant du cantique de Moshéh et de l’Agneau.
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!! Assurément, ceux qui enseignent encore que les deux « testaments », les deux « alliances » seraient dissociables, doivent encore étudier la Torah, pour cesser d’enseigner une contre-vérité. Tous ces livres, toutes ces paroles, sont reliés les uns aux autres, par Celui qui des deux n’en fait qu’un : Yéshoua.
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Verset 7 :
« Souviens-toi des temps antiques, médite les annales de chaque génération ; interroge ton père, il te l’apprendra, tes anciens, ils te le diront. »
Moshéh insiste sur le fait que nous ne sommes chacun qu’un maillon d’une longue chaîne qui remonte loin dans les siècles.
En réalité, ce qui lui importait au moment où il allait quitter ce monde c’était de faire comprendre à cette nouvelle génération, qui allait entrer en Kénaan, que le cours de l’Histoire à venir n’était en rien différent de tout ce qui s’était déjà passé depuis les temps diluviens notamment (temps antiques).
L’histoire collective dépendra du comportement et des choix individuels de chacun de ceux de cette nouvelle génération.
*** Rien n’est acquis aux termes de ces 40 années, tout reste à faire et à préserver pour que ce « chant » traverse l’Histoire et puisse à son tour servir de lumière, de témoignage, sur le chemin des croyants de la dernière génération.
C’est grâce au comportement courageux de nos ancêtres en la Foi que la chaîne est parvenue solide jusqu’à nous et que nous avons à notre tour à la relayer.
Le passé est donc pour nous riche d’enseignements car il nous apprend à transmettre de façon authentique, sans ajout ni retrait.
Aujourd’hui, Moshéh n’est plus là pour parler, mais ses mots sont encore présents, fidèlement reproduits, présents dans le texte de la Torah, qu’il nous appartient d’étudier de Shabbat en Shabbat.
Avec ce chant, nous sommes arrivés au sommet de la Torah ! Ce qui nous y est dit est donc essentiel.
Il s’agit du dernier message de Moshéh, et comme le fit le patriarche d’Israël (Yaâqov) à l'occasion de ses dernières paroles, lorsqu’il s’approche du moment de sa mort, Moshéh a l'obligation de léguer un enseignement important - qu'il plaise ou non ! Aussi, ce que va nous révéler Moshéh dans ce cantique est de la plus grande importance.
Justice et Amour d’Élohim, infidélité de l’homme…
Versets 15 à 21 :
« Yéchouroun est devenu gras et il s’est regimbé. Et il a délaissé Élohim, son créateur, Il a méprisé le Rocher de son salut... Tu as dédaigné le Rocher qui t’a fait naître, Et tu as oublié l’Élohim qui t’a engendré. YHWH l’a vu et il a ressenti du mépris. Il a dit : Je leur cacherai ma face, Je verrai quel sera leur avenir ; car c’est une génération pervertie, ce sont des fils auxquels on ne peut se fier. »
Le peuple hébreu-israélite porte trois noms : Israël, Jacob, Yéshouroun.
Les trois dernières lettres de ces noms forment ensemble le mot « lavan », soit « blanc ».
Ce qui pourrait signifier que grâce aux mérites de Jacob les péchés d’Israël sont pardonnés et les transgressions de Yéshouroun blanchies ? (c’est une hypothèse de lecture bien sûr non recevable).
Mais en inversant les 3 lettres, on obtient le mot « naval », ce qui signifie : impie ou avili.
Car il est écrit « c’est une génération de perversions… »
Dans ce verset, Moshéh prophétise que les enfants d’Israël transforment le « lavan en naval », d’où la sentence d’Élohim :
« je verrai quel sera leur avenir… »,
ce qui sous-entend :
« Je verrai en fonction des choix opérés par ce peuple… ».
« Il a méprisé le Rocher de son Salut » = Israël méprisa et dédaigna Élohim
Et selon les mots d’Ézéchiel :
« Ils tournaient le dos au sanctuaire et faisaient face à l’est… » (8:16).
Pour mémoire, le camp de Juda stationnait à l’Est du Mishkan et faisait face à l’entrée du sanctuaire.
Il ne lui tournait pas le dos, ce qui serait une attitude de détournement.
Et d’invoquer la sentence du prophète Malachie :
« Il est vain de servir Élohim ; que gagnons-nous à observer sa discipline et à cheminer tristement dans la crainte de YHWH Tsévaoth ? Mais à présent nous estimons heureux les impies… » (3:14).
Et comme l’exprimèrent également les femmes idolâtres en Jérémie 44:18 :
« Mais du jour où nous avons cessé de brûler de l’encens aux constellations… nous avons manqué de tout. »
Voici donc le message radical de Moshéh dans cette parachah Haaziynou
Les croyants israélites - Juifs de Juda et leurs associés, Éphraïm et leurs associés - sont littéralement poursuivis par Élohim… par Amour.
Leur bonheur et leur malheur ne sont dus qu’à Lui, ainsi que les commentateurs disent : « Si tu jouis ou si tu souffres, c’est par Sa main. »
Pourquoi fait-Il donc cela notre Élohim ? Moshéh explique que si nous souffrons, c’est exclusivement par Sa main… mais c’est uniquement de notre faute.
Lorsqu’Élohim veut nous faire du bien et que nous ne Lui obéissons pas, nous L’empêchons ainsi de nous prodiguer le bien. Dès lors, il n’y a qu’un responsable de ton bonheur ou ton malheur : c’est toi !
Rien de plus simple que de rendre le Créateur du monde responsable des conséquences de nos fautes, cela évite tant de questions sur nos certitudes !
Car chacun veut profiter de ses journées de vie terrestre, de toutes les manières possibles et sans entrave. Qu’Élohim nous impose une limite et des restrictions peut ainsi sembler être une injustice majeure.
La souffrance serait donc ainsi imputée avec cynisme, et cette injustice serait propre à la Justice d’Elohim ?? (quel paradoxe !).
Nous refusons alors l’évidence : la jouissance et le bien-être ont précédé toute peine et toute souffrance.
Ce constat nous apparait incompréhensible et irrecevable car après avoir baigné dans le bien et la jouissance, nous ne supportons pas la perte même momentanée de cet état. Parce que le monde est rempli de bienfaits offerts sans limites au méchant, il nous apparait scandaleux d’en être soudainement privés.
Les hommes ne réclament jamais de justifications pour leurs joies, elles leur semblent aller de soi, comme un dû.
Et lorsque la vie joue un mauvais tour, au lieu de s’interroger sur les causes manifestes de ces maux, dont ils sont en général responsables, les hommes s’empressent de demander des comptes à leur créateur : « Pourquoi m’as-tu abandonné ? »
Notre Élohim nous renvoie alors cette même question, tel notre propre reflet dans le miroir : « Pourquoi toi, m’as-tu abandonné ? »
Cette question à double sens, Yahshua la cria sur la croix, en tant qu’homme réalisant les prophéties à son sujet. Elle s’adressait à Son Père, mais elle s’adressait aussi aux hommes qui l’écoutaient sur le mont Golgoltha, ainsi que Moshéh prophétisa dans cette parachah Haaziynou :
« il [Israël] a méprisé (abandonné) le Rocher de mon Salut… »
Nous savons qui est ce Rocher, nous connaissons notre Salut.
Mais Moshéh prophétisa également qu’en réaction à cet abandon individuel et collectif, Élohim « cacherait sa Face». Nous savons aussi « Qui-est-l’Ange-de-sa-Face » et nous mesurons la portée prophétique des paroles de Moshéh. Le Mashiah Yéshoua s’est donc caché pour un temps à son peuple en criant pourquoi m’as-tu abandonné ?
La mort de Moshéh
Étrange séquence finale que l’épisode de la mort de Moshéh ! Il est enseigné que Moshéh pêcha 4 fois contre le « Saint béni soit-Il » mais qu’à chaque fois, il loua Élohim de l’avoir puni de son vivant, avec justesse.
Ainsi :
- Quand Élohim voulut l’envoyer vers Pharaon, Moshéh rétorqua avec vigueur à deux reprises : « je ne suis pas beau parleur… envoie quelqu’un d’autre… »
- Quand Élohim interpella Moshéh sur les cris de Son peuple, Moshéh répliqua « Pourquoi donc as-tu laissé le peuple travailler si durement en Égypte ? »
- Libéré d’Égypte et du piège des armées de Pharaon, Moshéh confronté au quotidien s’écria : « Comment pourra-t-on donner suffisamment de viande à Israël ? Est-ce du petit et du gros bétail qu’on égorgera pour eux qui leur suffira ? »
- Et souffrant de la soif, Moshéh frappa le rocher au lieu de lui parler avec douceur.
Pour toutes ces fautes, Élohim dit à Moshéh tu ne combattras pas pour moi en Kénaan et tu ne verras pas tous les miracles que je ferai pour eux (enseignement midrashique sur la passation de pouvoir avec Josué).
Bien sûr, la Tradition vole au secours de Moshéh en citant un sage avéré, Salomon :
« Car il n’est pas homme juste sur terre qui fasse le bien et qui ne pêche pas… » (Ecclésiaste 7:20)
Verset 50 :
« Meurs sur la montagne, là où tu montes… »
Cet étrange verbe à l’impératif signifie-t-il que Moshéh doit mourir de sa propre volonté, en renonçant par pure obéissance et confiance à cette vie-ci ?
Les commentateurs de la Torah posent la question.
Comme une dernière épreuve avant de monter, Moshéh doit accepter sa propre mort pour vivre son ascension. Les églises modernes diraient volontiers enlèvement.
Or, Moshéh fut bel et bien enterré, quoiqu’il soit précisé que nul ne retrouvât sa sépulture et que son corps fut revendiqué par Élohim seul via l’archange.
Il est dit dans ce même cantique, verset 39 :
« C’est moi qui fais mourir et qui fais vivre »
et qu’il n’est pas écrit l’inverse pourtant plus logique :
« c’est moi qui fait vivre et qui fait mourir » !
Les commentateurs voient dans cette inversion mort-vie, l’annonce de la possible résurrection, annonce validée définitivement et sans ambiguïté en 1 Samuel 2:6 :
« Le Seigneur fait mourir et fait vivre, il fait descendre dans le monde des morts ou en fait remonter. »
Verset 51 :
« Parce que vous m’avez été infidèles… parce que vous n’avez pas manifesté ma sainteté au milieu des Israélites… »
Le rappel de la faute donne la raison du châtiment de Moshéh qui contemple la terre promise sans pouvoir y accéder.
Voici la conclusion de l’apparente « injustice » et « non clémence » que porte l’épisode de la mort de Moshéh : c’est une chance et une grâce pour un peuple d’être jugé par Élohim, car ce jugement est une consolation à venir pour Ses serviteurs.
Si le juste souffre alors que le méchant prospère, c’est parce que par Amour le Père reprend celui qui Lui appartient.
Prospérer dans la méchanceté et le pêché n’est pas bon signe pour celui qui s’en félicite ! Puissions-nous souffrir un peu… et faciliter le travail de notre Avocat, qui fermera ainsi la bouche de nos accusateurs :
« Laissez passer celui-là, il a déjà payé, et pour ce qui reste encore, J’ai donné le prix de rachat… ! »
“ Car j’estime que les souffrances du temps présent ne sont pas dignes d’être comparées avec la gloire à venir qui doit nous être révélée. ” (Romains 8:18)
Pour finir dans la joie et la légèreté de coeur données par ce cantique (voir le dernier verset : « jubilez nations ! »), à la question de savoir pourquoi Élohim a empêché Moshéh de pénétrer dans le pays, l’humour juif répond :
« Sans doute parce que c’était plus beau de loin… »
Shabbat shalom véshavoua tov.
Source : Juda & Ephraïm
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