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Comment Retrouver sa Confiance en Soi en Post-Partum
La maternité met parfois notre confiance en soi à rude épreuve ! Découvrez des astuces pratiques et concrètes pour retrouver confiance en soi après bébé 🌈. Reprenez les rênes de votre bien-être 💪💛. #ConfianceEnSoi #PostPartum
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Sauvage
Julia Kerninon a un talent fou pour les portraits de femmes. Après Liv Maria, elle nous entraîne sur les pas d'Ottavia, en Italie. Après quelques déboires, va choisir d'ouvrir son restaurant. Un roman savoureux !
En deux mots À quinze ans Ottavia choisit de travailler aux côtés de son père, dans son restaurant de Rome. C’est en cuisine qu’elle rencontre Cassio et apprend avec lui l’art de la gastronomie et l’amour. Jusqu’au jour où elle croise le regard de Clem. Elle va alors partir se perfectionner à Paris. À son retour, elle décide de reprendre sa vie en main. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Ma…
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Il y a quelques nuits de ça j'ai fait un drôle de rêve et peut-être que c'était un cauchemar en fait. Il y a des moments que je n'ai pas retenu donc la cohérence se retrouve un peu impactée. Mais je sais que j'étais avec mon mec et que d'un coup j'ai perdu les eaux alors que vraisemblablement je n'étais pas enceinte. Puis mon ventre a poussé d'un coup et on est allé à l'hôpital en bus. C'était un bus tout encombré j'étais debout, au milieu de l'allée et personne ne voulait me donner une place. On arrive à l'hôpital et c'est un peu flou. Je suis juste dans une chambre et des fois il y a mon mec et des fois non mais je ressens beaucoup d'angoisse car j'étais pas enceinte 2h auparavant et je commençais à me dire que j'allais gâcher ma vie et j'avais mal partout. Et d'un coup, mon ex rentre dans la chambre et il me dit de me lever, qu'il a une surprise pour moi mais que je dois faire doucement et pas de bruit. Alors il ouvre la porte de la salle de bain et dedans il y a un petit chat tout noir et on ferme la salle de bain. On ne parle pas juste je caresse le chat et je suis tellement contente de voir ce chat. Et soudainement je suis à nouveau dans mon lit et en plein accouchement et il n'y a pas mon mec juste l'équipe médicale qui me regarde mais sans m'aider. C'est affreusement douloureux, j'ai l'impression que mon corps se déchire, que je vais mourir et personne ne parle, ne me répond, ils me regardent juste fixement. Je finis par accoucher et je demande à ce que ce soit sous X. Mon mec déboule dans la chambre alors qu'il n'avait pas été là jusque là, pas de mot, pas d'aide et là il commence à me dire qu'on va le garder, que c'est n'importe quoi ma décision. Jlui dis qu'il était absent, qu'il ne m'a même pas vue accoucher, qu'il ne s'en occupera pas. Et il se met en colère en me disant que je mens, que j'ai rien compris, qu'on va le garder.
Ce n'est pas à propos de la maternité ce rêve, pas fan des interprétations alambiquées mais je crois que c'est plus profond que ça. Que c'est juste le parallèle de ma vie actuelle: être seule face aux contraintes qui naissent, et que les personnes absentes se manifestent que dans ya plus rien à faire ou que quand le point critique est passé. En tout cas j'étais chagrinée au réveil.
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L'art, les femmes et un supermarché japonais
Ces dernières semaines j'ai vu (et revu pour l'un) deux films que j'ai vraiment adoré, deux films qui parlent d'agentivité, du carcan dans lequel sont coincées les femmes dans la société, de comment faire cohabiter l'art, le désir et le couple dans une société hétéropatriarcale. Et puis j'ai aussi regardé un film sur un supermarché japonais, ça n'a aucun rapport but bear with me !
Maternité éternelle, Kinuyo Tanaka (1955)
Le premier était un rattrapage puisque j'avais raté la ressortie en salles des films de la cinéaste japonaise Kinuyo Tanaka (1909-1977) dont j'avais pourtant entendu beaucoup de bien. J'ai donc commencé par Maternité éternelle (dont je préfère largement le titre anglais Forever a woman), un film de 1955 qui s'inspire de l'histoire vraie de la poétesse Fumiko Nakajō, décédée à l'âge de 31 ans d'un cancer du sein — et qui est écrit par une femme, Sumie Tanaka. Comme vous vous en doutez, c'est un film d'une tristesse infinie. Quand le film commence, Fumiko est coincée entre un mari qui ne l'aime plus, deux enfants dont elle doit s'occuper et un cercle littéraire qui critique sa poésie dans son dos parce que ses sujets ne semblent pas assez nobles. Comprendre par là que ce sont des sujets "de femme".
Elle divorce de son mari et apprend qu'elle doit lui laisser son fils, tandis qu'elle a la garde de sa fille. Ses liens amicaux / secrètement amoureux avec son mentor Takashi Hori (l'un des rares à aimer et comprendre ses poèmes) s'achèvent quand ce dernier décède (oui ce film est vraiment triste, j'ai essayé de vous prévenir). Dans la foulée, elle est diagnostiquée d'un cancer du sein et est hospitalisée. Au même moment, Fumiko apprend la publication de quelques-unes de ses œuvres dans une revue de poésie, ce qui lance sa carrière au pire moment. Évidemment, elle soupçonne son état de santé d'influencer la popularité soudaine de ses écrits.
Elle accepte après de longues tergiversations de s'entretenir avec un journaliste — bien qu'elle sait qu'il ne vient là que pour chercher le récit racoleur de ses derniers jours — et entame avec lui une relation sentimentale et sexuelle. Je précise sexuelle parce qu'il y a des scènes assez incroyables dans ce film dans lesquelles Fumiko exprime son désir sans détours alors même qu'elle souffre de regarder son propre corps suite à sa mammectomie.
Tanaka joue sans cesse avec ce regard douloureux que Fumiko pose sur elle-même. Dans une scène vraiment sublime elle tourne le dos à son amant, qui s'apprête à retourner à Tokyo, et on la voit le regarder dans un miroir. Tout ce jeu de regards dit beaucoup sur le rapport au corps et à la séduction. Maternité éternelle raconte la difficulté pour Fumiko d'être dans un même mouvement une mère, une poétesse, une amante et une femme. Combiner tous ces rôles sans en sacrifier aucun est un vrai fardeau. Et c'est très beau de la voir écrire dans sa chambre d'hôpital (simplement parce que les images de femmes qui écrivent au cinéma me paraissent trop rares), rongée par la peur de n'être aimée que pour son histoire personnelle, de ne trouver personne pour embrasser toutes les facettes de sa personnalité. J'ai fini le film en larmes mais avec aussi l'impression d'avoir vu une œuvre rare sur des sujets peu souvent traités.
Les chaussons rouges (Powell et Pressburger, 1948)
Et puis la semaine dernière j'étais à Paris et j'en ai profité pour faire un tour au Champo et revoir Les chaussons rouges (de Powell et Pressburger, 1948). J'avais déjà vu ce film il y a dix ans, et le redécouvrir m'a une nouvelle fois permis de mesurer à quel point le temps change notre perception des histoires. J'avais surtout gardé dans ma mémoire le souvenir du ballet central, qui n'est pas comme on a l'habitude de voir dans la comédie musicale un dream ballet mais plutôt un ballet cauchemardesque qui raconte l'histoire d'une femme possédée par ses chaussons de danse rouges. Une fois qu'elle les enfile, elle ne peut plus les enlever, ni s'arrêter de danser, elle est complètement manipulée. Si j'ai gardé un souvenir aussi précis de cette séquence c'est parce qu'elle est impressionnante visuellement, pleine de trouvailles, d'effets de perspective et de transparence, parce qu'elle invente de nouvelles choses �� chaque seconde. Et aussi parce que, comme je l'ai dit de nombreuses fois, j'adore les films en Technicolor. Et tout le film fait tellement bien usage de la saturation des couleurs, des chaussons d'un rouge vif aux cheveux roux de l'actrice Moira Shearer.
Mais j'avais oublié que, comme Maternité éternelle, Les chaussons rouges raconte avant tout l'histoire d'une femme tiraillée entre les hommes et l'art dans un monde où l'art est contrôlé par les hommes. Elle est coincée entre celui qui l'a découverte, son "mentor" le tyrannique Lemontov, et celui dont elle est tombée amoureuse, le compositeur du ballet Julian Craster. L'un est machiavélique, l'autre se présente comme un homme bon, mais tous les deux empêchent Vicky, la danseuse, de laisser libre cours à sa créativité. L'un contrôle ses rôles, l'autre contrôle la musique sur laquelle elle danse. Tous les deux sont des marionnettistes.
Les chaussons rouges est une sorte de backstage musical, c'est à dire un film qui raconte les coulisses d'une production. Mais contrairement à ce qui est d'usage dans ce sous-genre de la comédie musicale, l'entertainement ne gagne pas à la fin. Le show ne fait pas tout oublier, il ne suffit pas à effacer les violences et les injustices. Au contraire, le divertissement et les hommes qui en tiennent les ficelles demandent un sacrifice. C'est un film très glaçant mais vraiment passionnant, que je vous conseille de rattraper si vous êtes à Paris !
Supermarket woman, Jūzō Itami (1996)
Le dernier film n'a pas grand chose à voir mais j'avais quand même envie de l'archiver par ici. C'est un film qui parle de supermarchés, d'ambition, de capitalisme et de sororité. J'ai eu envie de regarder Supermarket woman de Jūzō Itami parce que j'avais adoré son Tampopo, un film qui donnait vraiment envie de manger des ramen. Bref, Supermarket woman met une nouvelle fois en scène l'irrésistible Nobuko Miyamoto et son énergie contagieuse dans un contexte culinaire.
Le scénario tient sur un post-it : une femme qui se pense la "ménagère" moyenne décide d'aider un ancien camarade de classe à sauver son supermarché de quartier. Ce dernier risque de couler à cause de la concurrence d'un supermarché concurrent qui casse les prix. Gros TW morceaux de viande en gros plan, poissons morts, moult fruits et légumes emballés dans du plastique (le film date de 1996). Le personnage de Nobuko Miyamoto, Hanako, infuse donc sa bonne énergie et ses bonnes idées dans ce temple capitaliste. Avec sa modestie, elle fait passer ses trouvailles pour du "bon sens" : écouter les clientes, privilégier les bons produits, s'allier avec les petites mains du supermarché et se rebeller contre la misogynie du boucher et du poissonnier qui font régner la terreur.
J'étais un peu circonspecte devant certains aspects du film — oui, ça reste la victoire d'un supermarché contre un autre, et donc du gentil-capitalisme sur un très-méchant-capitalisme plus agressif — mais je dois avouer que j'ai été happée par le ton léger et les nombreuses intrigues en coulisse. Il y a cette bizarrerie très plaisante qu'on trouvait déjà dans Tampopo. Et puis je me suis retrouvée comme bercée par le côté très familier du supermarché, ses allées, ses promos, ses néons blancs. J'aurais suivi Hanako et son sourire pendant plusieurs heures, ce qui prouve que la magie étrange de ce film opère.
Comme je n'irai jamais au Japon (même si ça a été l'un de mes rêves pendant longtemps), j'ai eu aussi l'impression de pouvoir faire ce que je préfère en voyage : zoner au supermarché et regarder les différents produits. Eh, la magie du cinéma ! Voilà si vous êtes un enfant des années 90 qui adorait aller faire les courses avec sa mère, peut-être que ce film est aussi un peu pour vous ?
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Je n' arrive pas a dormir..
Il est 23h26 et impossible de trouver sommeil.
Cela me soule car demain j' aimerais me lever tôt, c est a dire être en forme a 6h.
Depuis que je suis partie à l' étranger j ai beaucoup de problème avec le sommeil.
Si il y a des gens qui ont des conseilles..
En attendant je vais rendre utile ces heures.
Je vais continuer de lire le livre de Simone de Beauvoir, le deuxième sexe tome I.
Je me sens paumé dans cette lecture, j essai de faire un peu d esprit critique mais je ne suis pas très doué pour ça, je pense qu il faudrait que je lise des livres qui contredisent ses propos et me faire un avis mais c est dure pour moi je n ai pas confiance en moi, en mes pensées.
Ses propos historique il faut que je les prennes avec des pincettes.
Pareil pour la biologie la psychologie.
J ai l impression que ce livre est fait pour des personnes qui ont déjà quelques connaissances général, pour l aspect biologie et psychologie.
C est un livre pour moi ou il faut faire plus de recherches de son côté.
Il y a certains passages où il faut avoir des connaissances en philosophie comme par exemple quand elle fait référence a la dialectique de l esclavage.
Et j ai été deçu, je m attendais a autre chose de ce livre, j attendais un texte qui expliquait celon l auteur ce que cela signifie pour elle être une femme.
Avec bien-sûr sa vision de la chose sur ses propos historiques et autres, mais au lieu de ça je n' ai eu que des propos de pourquoi la femme est autre, pourquoi elle se définit a travers l homme. Que sans homme elle n a pas d unité.
Ok mais comment faire par la suite ?
J ai malgres tout un propos qui m a marqué et qui reste au fond de ma tête.
Celui que finalement on pourrait expliquer le fait que la femme est un humain et comme l homme elle a besoin de faire ce monde soi, de se l appartenir de le modifier, de découvrir des choses, mais malheureusement par sa réalité biologique qui est celui d enfanter elle n a pas pu se réaliser comme l homme dans l humanité. ( C est un passage qu elle explique dans la période prehistorique )
Ce qui peut expliquer pourquoi la femme veut tant être comme un homme.
Et là on pourrait revenir à mon propos précédent et dire que j' ai la réponse pour devenir ce qu est l autre. Une humaine qui ne se réalise pas car sa réalité biologique qui l'appelle a enfanter.
Mais dans tout les cas même si ce que je dis est vrai, avec tout ces années il doit bien y avoir une façon de se voir en tant que femme ?
Et je pensais que Simone allait apporter une pensée là dessus.
Alors que finalement elle ne fait que victimiser la femme sur ce qu elle ne peut pas être.
Je ne veux pas définir la femme que par la maternité et je pense qu il y a une façon de définir la femme sans que se soit du copier coller sur un homme mais je n ai toujours pas trouvé cette définition.
Il me reste la fin du livre a lire a voir par la suite.
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Affiliation pour Mamans Entrepreneures : Comment Générer des Revenus Passifs
Affiliation pour Mamans Entrepreneures : Comment Générer des Revenus Passifs
Le marketing d’affiliation représente une opportunité en or pour les mamans entrepreneures désireuses de concilier leur vie professionnelle avec leurs responsabilités familiales. En tant qu'ambassadrice de produits ou services, vous pouvez générer des revenus passifs tout en restant active dans la vie de vos enfants. Dans cet article, vous découvrirez comment bien démarrer votre aventure en affiliation et maximiser vos gains.
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Pourquoi Choisir le Marketing d'Affiliation ?
Avant de plonger dans les stratégies spécifiques, comprenons pourquoi le marketing d'affiliation est particulièrement adapté aux mamans entrepreneures.
Flexibilité : Vous choisissez vos horaires et votre rythme. Cela est essentiel pour celles qui doivent jongler avec les activités scolaires et familiales.
Aucun investissement initial : Contrairement à d'autres modèles d'affaires, le marketing d'affiliation n'exige pas de mise de fonds importante, ce qui le rend accessible.
Revenus passifs : Une fois que vous avez mis en place vos liens d'affiliation, vous pouvez continuer à générer des revenus longtemps après.
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Comprendre les Modèles d’Affiliation
Il existe plusieurs types de programmes d’affiliation qui répondent à des méthodes de rémunération variées. Voici quelques-uns des plus utilisés :
Paiement par vente (PPS) : C'est le modèle classique où vous êtes payée pour chaque vente effectuée grâce à votre lien d'affiliation. Idéal pour celles qui croient fermement en leurs recommandations.
Paiement par clic (PPC) : Ici, vous êtes rémunérée simplement pour le trafic que vous générez vers un site. Ceci est une excellente option pour les débutantes qui peuvent ainsi se familiariser avec le processus.
Paiement par lead (PPL) : Dans ce modèle, vous recevez une commission lorsque des utilisateurs remplissent un formulaire. C'est parfait si vous avez des compétences en persuasion et en marketing.
Dans le choix de votre modèle, pensez à vos forces et à votre audience.
Sélectionner la Niche Idéale
L’Art de Choisir Ses Passions
Choisir une niche pertinente est l’un des aspects les plus cruciaux de votre réussite en tant que maman entrepreneure affiliée. Réfléchissez à ce que vous aimez et à ce dans quoi vous êtes bonne. Par exemple, si la parentalité vous intéresse, envisagez de promouvoir des produits liés à la maternité ou à l’éducation.
Identifiez les Opportunités de Marché
Effectuez des recherches approfondies sur les tendances du marché. Des outils comme Google Trends et Ubersuggest vous permettront de découvrir des sujets en vogue. Par exemple, une étude réalisée en 2023 indique que les produits bio pour bébés connaissent une croissance de 36 % dans les recherches sur Google. Si cela vous attire, cela pourrait être un créneau à explorer !
Sourcing de Produits et Programmes d'Affiliation
Choisir des Produits Pertinents
Lorsque vous sélectionnez vos produits, pensez à l'image de votre marque. Recherchez des programmes d’affiliation sur des plateformes comme Awin, ClickBank ou Rakuten qui proposent des produits en phase avec les valeurs de votre audience. Si votre communauté est sensible à l'écologie, optez pour des marques qui mettent l'accent sur des pratiques durables.
Mise en Avant des Témoignages
Rien de tel que le partage d’expériences personnelles pour établir une connexion avec votre audience. Que ce soit un produit que vous avez testé vous-même ou un témoignage d'une amie, cela renforce la confiance. Pour chaque produit que vous affichez, rédigez une critique honnête et authentique.
Créer du Contenu de Qualité
L'Importance d'un Contenu Engagé
Pour attirer et conserver l’attention de votre audience, il est essentiel de créer du contenu pertinent et engageant. Pensez à aborder des sujets qui intéressent votre communauté. Que vous choisissiez un blog, une chaîne YouTube ou des réseaux sociaux comme Instagram, montrez votre personnalité.
Par exemple, partagez des conseils pratiques sur l'utilisation de produits ou des tutoriels. Utilisez des visuels attrayants pour renforcer l'impact de votre message. Selon une étude récente, les contenus accompagnés de visuels sont 94 % plus susceptibles d’être partagés.
Optimisation SEO : Une Nécessité
Pour maximiser votre visibilité en ligne, travaillez sur votre SEO. Utilisez des mots-clés pertinents en rapport avec votre niche dans vos articles, titres, et descriptions. Par exemple, incorporez des termes comme “affiliation pour mamans”, “revenus passifs pour mamans” ou “marketing d’affiliation pour femmes”. Cette stratégie permettra d'améliorer votre classement sur Google et d’attirer plus de visiteurs.
Évaluer la Performance et S’Adapter
Analyser vos Résultats
N'oubliez pas que la simple publication de votre contenu n'est pas suffisante. Il est essentiel de suivre vos performances. Utilisez des outils comme Google Analytics pour observer quels liens génèrent le plus de clics et de conversions. Posez-vous les bonnes questions : Quels types de contenu plaisent le plus ? Quelles offres fonctionnent le mieux ?
N’ayez Pas Peur de Tester
Le marketing d'affiliation est en constante évolution. N’hésitez pas à expérimenter différentes stratégies. Lancez des campagnes publicitaires, organisez des concours ou des promotions. Chaque nouvel essai peut vous donner des insights précieux sur les préférences de votre audience.
Passez à l’Action !
Balancing votre vie de maman avec des ambitions entrepreneuriales peut sembler difficile, mais le marketing d'affiliation vous offre une chance unique de générer des revenus passifs tout en restant présente pour votre famille. En appliquant ces conseils, vous êtes sur la bonne voie pour réussir dans cet univers en pleine expansion.
N’hésitez pas à vous former, à échanger avec d'autres mamans entrepreneures et à vous lancer dans l'affiliation. Le temps est venu de prendre votre envol et de transformer votre passion en profit. Alors, êtes-vous prête à écrire votre propre histoire de succès en affiliate marketing ? Le monde des opportunités est à votre portée, saisissez-le dès aujourd'hui et inspirez d'autres mamans à suivre votre chemin !
En suivant ce guide, vous pouvez non seulement générer des revenus passifs, mais également construire une communauté qui partage vos valeurs et votre passion. En tant que maman entrepreneure, vous avez le pouvoir de transformer votre vie. Alors, commencez d��s maintenant votre aventure en affiliate marketing !
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Passé les 35 ans, des choses soudainement rentrent dans le Passé, ton inconscient décide de communiquer avec ton conscient et dans ce sens, tu arrives enfin à clore des chapitres qui devaient prendre fin. Certaines peurs aussi s'apaisent. Ta gyneco t'a assainé d'un sain "vous avez le temps, vous pressez pas, si il le faut, en temps voulu, on se fera aidé, mais vaut mieux attendre et le faire avec le bon, plutôt que le premier venu" et soudainement ton besoin de contrôle et ton rétro-planning relationnel installé depuis tes 27 ans environ s'écroule comme un mur de sable et fait place à de grandes bouffées d'air frais et comme si les symboliques ne suffisaient pas, tu croises au hasard de tes journées, sans que jamais ils ne te voient, des couples, des individus connus autrefois qui trimballent poussettes et cernes sous les yeux. Les algorithmes semblent aussi avoir entendu le message, tu croules sous les documents et les posts. C'est la grande révélation, c'est surtout la grande tranquillité. Entre deux choix d'avocats, la voix de Rosalia sur Saoko, semble te lanciner dans les oreilles "c'est la vie que tu veux?".
Un désir certes mais un désir est fugace, combien sont-elles à avoir questionné ce désir?
Personne ne décide de tes journées, de tes soirées, tu ne dois pas prendre de rdv, organiser les vacances pour deux, questionner le ménage quotidien encore moins les repas. Aucune critique sur tes amis, ta famille, pas de frustration parce que ce qui était programmé n'a pas pu être mis en action.
Alors évidemment il a bien des choses qu'il faut apprendre à faire seule, boire le café dans le café, seule, se balader à l'expo seule, envisager les soirées, seule, reporter inlassablement les restos, parce que tous les autres, constamment en duo "on déjà prévu autre chose", puis finir, par la faire seule cette séance de cinéma.
Et admettre avec beaucoup d'amertume par ces expériences, qu'il existe une hiérarchie des priorités amoureuses et que l'amitié et en second, voir troisième position.
Tes amis d'ailleurs, ne le savent pas, mais tu appliqués constamment sur eux tes petites expériences et statistiques sociologiques. Sur toutes tes vraies copines filles, combien sont seules?
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Combien sont-elles dans une galère d'emploi tandis que leur compagnon gagne sa vie?
Combien vivent sous un toit séparés?
Combien ont du mettre entre parenthèse leur carrière pro avec la maternité?
Combien arrivent à mener leur propre vie sociale indépendamment de celles du duo?
Combien on sacrifié leur choix, désir au profit de ceux de l'autre?
Combien? Combien? Combien?
Même à ta petite échelle, sur un si petit échantillon, tous les résultats sont identiques à ceux des grandes statistiques.
Passe les 35 ans, avant même la grande maturité des 40, tu sais déjà, que les statistique tu ne veux pas y statuer.
Un désir, certes, mais un désir est fugace, tu veux absolument, passé les 35 ans, le questionner. Ton besoin d'équité est quasi bourdieusien, tu refuses toute situation qui pourrait rejouer un rapport de domination.
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Fuite du Personnel Soignant en Haïti : Urgence Sanitaire au Plus Grand Centre Hospitalier
Jude Milcé, directeur exécutif du plus grand centre hospitalier du pays, tire la sonnette d’alarme : plus de 14 % du personnel soignant a quitté le pays. Dans des services cruciaux tels que la pédiatrie, la chirurgie et la maternité, cette fuite atteint des proportions alarmantes, avec jusqu’à 80 % de départs parmi les résidents. Cette situation critique menace sérieusement les capacités de…
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Plus concrètement, mon mémoire porterait sur la vie de Lina Medina, aujourd’hui très âgée, et connue pour être la plus jeune mère de l’Histoire de l’humanité (elle donna naissance au Pérou en 1939 à cinq ans). Une histoire difficile, tant par sa problématique éthique que par son traitement médiatique lacunaire, auquel je souhaite en conscience consacrer un documentaire de création.
Dans sa partie créative, le travail mêlera deux voix : celle objective de l’enquête, retraçant la vie de Lina et essayant de restituer la personnalité d’une enfant puis d’une adulte entrée malgré elle dans l’Histoire (elle est un sujet de buzz permanent sur les réseaux), en somme de lui accorder du temps ; et une voix plus intime, celle du chercheur travaillé par son sujet, manipulant les archives, ressentant et déployant la véritable portée critique du documentaire.
À travers cette histoire en effet sera interrogée la forme de l’enquête artistique et les gestes qu’elle provoque, la place de la maternité dans la société moderne et la manipulation d’histoires-spectacle sur les réseaux. Sur ces trois sujets, la recherche théorique aura donc toute sa place.
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★ 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 21 avril 2023 > bit.ly/hobo-21avril2023
L'Enjeu féministe des retraites Christiane Marty, La Dispute
La Planète brûle Pas de révolution climatique sans révolutions sociales David Camfield, Les Nuits rouges
Le Théâtre carcéral Relations à soi et aux autres dans un monde sans commun Alexia Stathopoulos, Éditions du commun
L'Industrie du complotisme Réseaux sociaux, mensonges d'État et destruction du vivant Matthieu Amiech, La Lenteur
Les Psychanalystes et le travail Lise Gaignard, La Dispute
Censored 08 Apocalypticotrashecocidocious Collectif, Lab éditions
Vers la normativité queer Pierre Niedergang, Blast
Sortir du rang La Place des femmes en agriculture Julie Francœur, Remue-ménage
Women's Lands Construction d'une utopie (Oregon, 1970-2010) Françoise Flamant, iXe
L'Écriture de Monique Wittig À la couleur de Sappho Catherine Écarnot, iXe
Maternités subversives Maria Llopis, Goater
Une petite histoire de l’anarchisme Marianne Enckell, Nada
Une histoire personnelle de l'ultra-gauche Serge Quadruppani, Divergences
Mathieu Mestokosho, chasseur innu Serge Bouchard, Dépaysage
Quatre-vingt-neuf Georges Lefebvre, Éditions sociales
Être femme Virginia Woolf, La Variation
La Flemme Michèle Perrein, Les Lapidaires
Pente raide Marvic, Ici-Bas
L’Héritière de Keroulaz Marc Gontard, Goater
Onésime Francis De Miomandre, Les Lapidaires
Cerf, mon frère Juan Pablo Roncone, L'atinoir
Mo’ Meta Blues La musique selon Questlove Ahmir « Questlove » Thompson, BPM & Libertalia
The Velvet Underground Le Son de l'excès Massimo Palma, La Variation
Lacan écoute les Cramps & autres pulsions parallèles László, La Variation
Hollywood propaganda Final Cut Matthew Alford, Éditions critiques
« La question de la retraite des femmes n’est pas une question « spécifique » de celle des retraites. Au contraire, la réflexion sur l’avenir des retraites gagne à se baser sur le modèle de société souhaité qui intègre l’exigence d’égalité. » Christiane Marty, L'Enjeu féministe des retraites, La Dispute.
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Scream de Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett
Vingt-cinq ans après que la paisible ville de Woodsboro ait été frappée par une série de meurtres violents, un mystérieux tueur fait de nouveau surface en portant le masque de Ghostface et prend pour cible un groupe d'adolescents. Il est déterminé à faire ressurgir les sombres secrets du passé de chacun.
durée : 1h54 / année de sortie : 2022
Encore un bond de dix ans pour ce nouvel opus de la saga Scream, mais cette fois ce n’est plus Wes Craven qui est à la tête du film mais deux nouveaux réalisateurs, Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gilett. Ainsi les deux réalisateurs veulent rendre hommage au défunt créateur Scream et proposent un « requel », soit une suite des précédents films (sequel) sans pour autant être dans la lignée directe des précédents éléments, en empruntant des éléments mais en leur donnant une nouvelle image (reboot, remake).
Nous remarquons donc que de très nombreux éléments de Scream sont réempruntés par les deux réalisateurs : la scène d’ouverture avec Ghostface qui demande quel est le film d’horreur préféré à la jeune fille, la final girl et son petit-ami, la fête où le groupe d’ami se disperse et se fait attaquer et la maison de Stu qui est le dernier acte du film. Cependant ces différents éléments sont remis dans le contexte actuel des années 2020. En effet, après la scène d’ouverture, Tara ne meurt pas comme le personnage de Drew Barrymore. De plus, contrairement à Casey du premier film qui avait cet air naïf concernant les films d’horreur, Tara a un accueil plus critique du genre, parlant des nouveaux types d’horreurs qui ont émergés après la fin de Scream 4. En effet, quand Scream 4 parlait du torture porn des années 2000, Tara parle du elevated horror qui s’est largement développé dans les années 2010, avec The VVitch de Robert Eggers ou Get out de Jordan Peele : le slasher ne peut plus exister car ce n’est plus ce que les spectateurs recherchent. En effet, quel est l’intérêt d’avoir un film bourré de clichés, suivant globalement les mêmes lignes et sans critique sociale, etc. ?
Pourtant, en pointant du doigt le fait que les spectateurs veulent un film où ils puissent réfléchir à des thématiques plus larges (deuil, maternité, racisme, sexisme) et en voulant contourner cela avec Scream (2022), les deux réalisateurs échouent à mon sens. En effet, pour moi ils se calquent trop sur Scream (1996) en essayant de donner un côté subversif mais celui-ci ne fonctionne tout simplement pas. Afin de garder Scream (2022) dans la suite de la trilogie originelle, ils donnent à Samantha, la final girl, un lien de filiation avec Billy Loomis, qui serait son père biologique et qui aurait eu une relation quand il était adolescent avec la mère de Samantha, en même temps qu’il sortait avec Sidney. Ainsi, tout le versant « psychologique » de leur film repose sur ces hallucinations que Samantha voit et sur son dilemme intérieur. Pourtant en tant que spectateur nous ne pouvons pas croire à cela. C’est amené de manière trop abrupte et sans nuance. Alors que Craven étendait l’univers de manière intelligente et en lien avec le film et son époque, la filiation Billy/Samantha est difficilement croyable, donnant l’impression de modifier l’univers originel pour un twist largement inutile au film.
Par ailleurs en voulant donner leur propre version Scream (1996), les deux réalisateurs ne sont en aucun originaux. En effet, Ritchie, le compagnon de la final girl, est un des deux Ghostface, sans grande surprise. Sa complice est Amber et tous deux ont pour trait d’être la représentation des fans toxiques qui ont des demandes de plus en plus pesantes sur les réalisateurs. En effet, c’est là que la méta-critique classique de Scream intervient : il est dit que Stab 8 est le dernier volet de la saga Scream dans les films Scream et qu’il a été très largement détesté par les fans. Ce volet clôturait la saga dix ans plus tôt et dénonce ici la tendance hollywoodienne à étendre des films sur des suites à foison, en faisant perdre l’intérêt initial du film. Pourtant en professant cette critique, les deux réalisateurs tombent dans ce travers car le film montre exactement ce que les personnages critiquent : un film qui n’a aucune plus-value sur l’univers Scream. Alors que Scream 4 abordait le tournant d’internet et donc de l’époque à travers les Ghostface motivés par cela, ici ils caricaturent des fans qui vont refaire leur propre film Stab en revenant au matériau de base, mais eux-mêmes charcutent Scream (1996) en n’apportant aucune subversion ni originalité.
Afin de montrer leur volonté de s’inscrire comme la véritable réponse à ce problème de franchisation des films d’horreur, ils décident de ramener le trio originel. Autant Sidney Prescott a une lignée de vie qui est en cohérence avec la quadrilogie, autant les personnages de Gale et Dewey semblent être out of character pour moi. La subversion ici va être, contrairement à Craven, de tuer un des legacy character, ici Dewey. Je reconnais que c’est intéressant d’enfin mettre à l’épreuve une des règles des suites Scream qui est que personne n’est épargné et tout le monde peut mourir. Cependant les réalisateurs ne prennent pas non plus un risque très grand quant aux morts sur le nouveau casting.
Pour résumer, Scream (2022) perd l’authenticité du film original. En effet, les tentatives de subversion et d’adapter le film aux années 2020 perd le propos original qui était de critiquer le genre de l’horreur et de faire une nouvelle proposition. En jouant avec les attentes du spectateur et en apportant une méta-critique au cinéma, Craven répondait dans un film divertissant et qui nous tient en haleine. S’inspirant du who done it? Le spectateur est pris en étau dans le film jusqu’à la fin. Ici, Bettinelli-Olpin et Gillett pensent proposer une critique de la franchisation des films en faisant exactement ce qu’ils critiquent. Alors que le film aurait pu jouer avec les attentes du spectateur en transcendant le genre du elevated horror, le film est plat, apportant des twists peu croyables et des personnages qui nous restent hermétiques.
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Un hôpital de Leeds a déclaré un incident critique après la découverte d'un colis suspect à l'extérieur d'une maternité.Des spécialistes de la police et de l'armée ont été appelés à l'aile Gledhow de l'hôpital St James, où certains patients ont été évacués.La fiducie du NHS a déclaré qu'elle avait déclaré un incident critique "afin que nous puissions assurer la sécurité du personnel et des patients" pendant que les services d'urgence enquêtaient.La police du West Yorkshire a exhorté les gens à éviter l'entrée de l'aile Gledhow et a déclaré qu'elle avait érigé un cordon par mesure de précaution.La fiducie des hôpitaux universitaires de Leeds, qui supervise l'hôpital St James, a déclaré: «Les services d'urgence sont actuellement confrontés à un incident de colis suspect à l'extérieur de l'aile Gledhow de l'hôpital St James.«Un cordon a été mis en place par mesure de précaution pour assurer la sécurité publique et nous avons travaillé avec la police pour évacuer certaines zones de service afin d'assurer la sécurité de nos patients et de notre personnel.«Les patients sont invités à se rendre à l'hôpital comme d'habitude pour les rendez-vous, à moins qu'ils ne soient contactés autrement. Les visites pour les patients qui se trouvent actuellement dans l'aile Gledhow et l'aile Lincoln de l'hôpital St James sont suspendues jusqu'à ce que nous ayons plus d'informations. Les accidents et les urgences à St James's sont toujours ouverts.La police du West Yorkshire a ajouté: «Les officiers sont en contact avec des spécialistes de l'armée qui sont sur les lieux pour faire une évaluation conformément aux procédures normales. Les gens sont priés d'éviter l'entrée de l'aile Gledhow pour le moment.Inscrivez-vous pour Première éditionNewsletter quotidienne gratuiteArchie Bland et Nimo Omer vous guident à travers les meilleures histoires et ce qu'elles signifient, gratuitement tous les matins de la semaine
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Zapping ciné décembre 2021 (bis)
Zapping ciné décembre 2021 (bis)
Quatre films pour vous donner envie d’aller au chaud dans les salles obscures ce mois-ci ! (more…)
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Le Planning familial a réussi le tour de force de se faire passer pour un organisme d'intérêt commun, apolitique et à vocation médicale, bref une extension de l'hôpital : un service public. A droite, personne n'en fait la critique, à la notable exception de Marion Maréchal qui dans la campagne pour les Régionales de 2015 avait proposé de lui couper toute subvention. Aujourd'hui, en plus d'un groupe de pression pro-avortement, le Planning familial est un lobby LGBT-wokiste. Bref, un mouvement politique à part entière, avec une différence notable par rapport à ses concurrents LREM ou RN : il dispose de bureaux dans toutes les grandes villes et d'une équipe médicale habilitée à intervenir sur le corps des jeunes femmes. Si un parti de droite faisait le quart d'une telle politique, en ouvrant, par exemple, des maisons pour aider les jeunes femmes à accepter et bien vivre leur maternité, le gouvernement les dissoudrait dans l'heure. L'existence même du Planning familial est un cas unique. Le minimum syndical serait de supprimer ses subventions, ses bureaux payés par le contribuable et de lui retirer ses médecins (en campagne, on en manque), qui ont singulièrement oublié leur serment d'Hippocrate : « Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. (…) Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. »
Julien Langella
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TOP10 des meilleurs films en 2021
L’année fut courte (un demi année cinéma environ) mais intense: chargée en très belles surprises!
Pour mes critiques complètes, cliquer sur le lien.
VOUS DEVEZ ABSOLUMENT VOIR :
1) LE DERNIER DUEL de Ridley Scott
Le bonheur de retrouver un film épique, talentueux, grandiose et dépaysant comme seul Ridley Scott sait les faire, 2h40 beaucoup trop courtes pour ce qui sera certainement un des plus bel opus de la décennie.
2) LE DIABLE N’EXISTE PAS de Mohammad Rasoulof
Un film choc, bigrement iranien comme on les aime, complètement original, puissant et inoubliable.
3) LA VOIX D’AIDA de Jasmila Žbanić
Une voix qui se fait enfin entendre sur la guerre des Balkans, et quelle voix! Sensible, juste, intelligente, subtile et nécessaire en tout points de vue.
4) SOUND OF METAL de Darius Marder
Les sons les plus assourdissants sont bien évidemment ce qui sont produits par le silence. Les graves du manque, les aigus de la douleur, les basses que la solitude fait résonner en nous. Surdité, déchéance et résilience, pour un petit bijou de film, aussi simple que poignant.
5) LA LOI DE TEHERAN de Saeed Roustayi
Magnifique triller sur fond de perdition sociale généralisée. Un moment intense et haletant de bout en bout.
6) DRIVE MY CAR de Ryusuke Hamaguchi
Puissant, décalé, inattendu en tout. Un étrange film sur le deuil, qui vous remue dans des aires encore inconnues de votre âme.
7) TRUE MOTHERS de Naomi Kawase
Sensible et japonais, profond, simple et radical; sur la filiation et la maternité, of course.
8) SERRE MOI FORT de Mathieu Amalric
Un deuil sans mots, sans réalité, sans consolation. L’absolu de la douleur absurde qui n’en finit plus. Ames sensibles s’abstenir.
9) UN HEROS de Ashgar Farhadi
Notre iranien préféré de retour avec un récit brillant, tendu, angoissant et toujours plein de Téhéran la mystérieuse.
10) BENEDETTA de Verhoeven
Parce que religion et pouvoir n’en finiront jamais de construire des alliances toxiques pour l’une comme pour l’autre… Une histoire vraie, captivante et bouleversante, qui remet les choses à leur juste place.
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Les illusions perdues de Xavier Giannoli
Pour revoir le classement 2020, cliquez sur ce lien
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Lecture: Chroniques du Pays des Mères d’Elisabeth Vonarburg
(L’avant-dernier paragraphe est à sauter pour éviter les spoilers, même si le dénoument du livre est très prévisible.)
Chroniques du Pays des Mères a été publié pour la première fois en 1992. La version que je commente ici est la version définitive, publiée en 2019. Elisabeth Vonarburg est une écrivaine de science-fiction vivant au Québec. Elle a publié de nombreuses nouvelles, romans et essais et a reçu de nombreux prix pour ses ouvrages.
Chroniques du Pays des Mères raconte une partie de la vie de Lisbeï, qui nait dans un futur où les femmes sont plus nombreuses que les hommes, puisqu’un virus a déséquilibré le ratio des naissances. On suit notre héroïne de ses premiers apprentissages à sa presque trentaine, puis l’épilogue lève au peu le voile sur les années jusqu’à sa mort. Elle vit dans une nation de femmes, organisée et gouvernée par les femmes, avec un fonctionnement par petites villes autonomes qui échanges certains biens et surtout des hommes pour la reproduction et se réunissent régulièrement pour prendre des décisions communes. Les petites filles et les adolescentes sont des “Vertes” jusqu’à une quinzaine d’années, moment où elles deviennent des “Rouges” car en âge de se reproduire. La plupart portent des enfants, conçus par insémination artificielle, jusqu’à leur trentaine, après quoi elles deviennent des “Bleues”. Sont aussi déclarées Bleues toutes les femmes stériles, ainsi que les femmes qui ne parviennent pas à délivrer des enfantes bien portantes. Toutes les femmes participent aux tâches de fonctionnement de la communauté; les Bleues peuvent en outre exercer des métiers jugés dangereux, comme exploratrice, récup��ratrice, ou tout autre emploi qu’une femme en âge de et supposée procréer ne devrait pas exercer, sous peine de risquer des dommages à ses futures enfantes.
Elisabeth Vonarburg ne peint pas une utopie. Un monde où les femmes sont forcées (pas tant par menace physique que par socialisation dès l’enfance, sans questionnement admis du dogme établit et avec une gradation de reconnaissance non avouée en fonction des qualités reproductives de la femme en question) à porter des enfants pour repeupler le pays et assurer la pérennité de l’humanité, ce n’est une utopie que pour celles qui pensent qu’être une femme est avant tout être une mère, et que toutes les femmes aspirent, dans leur coeur, à avoir des enfants. Il y est certes fait mention d’avortement (clandestin, non-répandu) et certaines femmes du récit expriment des critiques quand à l’obligation reproductrice (ou au moins l’obligation de tentative de reproduction) mais les choses ne semblent pas prêtes de changer sur de ce point de vue au pays des mères.
Il y a bien un changement qui s’amorce dans la tradition du pays des mères au cours du récit, et c’est celui de la place des hommes. Considérés seulement selon leurs qualités reproductives, interdits de travailler les métaux et de toucher aux armes, traités avec méfiances, exclus des jeux sportifs et des assemblées représentatives, relégués aux fermes éloignées des habitations principales, traités comme des filles ratées quand ils sont petits, échangés entre familles pour maintenir la diversité du patrimoine génétique, les rôles sont somme toute inversés par rapport à la situation actuelle. Lisbeï soutient leurs revendications et leur inclusion grandissante au nom de la démocratie et de l’égalité, au nom de la religion aussi puisque la femme et l’homme sont supposées être complémentaires. Je suis assez sceptique sur la façon dont les arguments sont présentés; les hommes du récit, bien qu’empêchés (pour l’instant) de trop nuire aux femmes, font quant même tous preuve de tendances à la misogynie; qu’elle soit réprimée, bienveillante, ou clairement ouverte. Le pays des mères se tire une balle dans le pied en leur ouvrant la porte, mais ce n’est pas le sujet principal du récit.
Le thème principal du récit est l’imbrication de la religion et de l’histoire; comment établir la vérité quand on a peu de traces écrites, des éléments physiques parfois contradictoires, et de nombreuses tendances déformées par des siècles de transmission orales? Il y a dans le roman toute une dissertation sur la résolution de points de vue et de perspectives divergentes, sur l’établissement des faits et sur ce qui doit guider la recherche historique. On y trouve aussi une reflection sur le pouvoir des mots, les choix de représentations et la façon dont leur interprétation peut finalement conduire à comprendre l’opposé de ce qui était soutenu. Ce sont les aspects les plus intéressants du roman, cette réflexion sur l’histoire et son appréhension.
Dans Chroniques du Pays des Mères, Elisabeth Vonarburg réinvente la religion chrétienne avec une “fille d’Elli” (dieu) qui donne sa vie (plusieurs fois, elle ressuscite deux fois) pour apporter son message d’unité et d’amour aux femmes. Malgré le retournement, cela reste un outil pour inciter les petites filles (et les femmes une fois adultes) à ne pas se poser trop de questions et à rester dans le droit chemin (porter des enfants). C’est une fantaisie pour se rassurer, et parfois même un obstacle à l’évolution des personnages, qui s’y raccrochent désespérément et refusent de questionner leur certitudes par peur d’être en conflit avec le dogme. Rien de très progressif dans une version féminisée de la chrétienté. Comme si ces religions avaient quelque chose de fondamentalement opposé à la liberation des femmes…
Je ne sais pas comment l’expliquer, mais l’inceste au sein des fratries n’y est ni tabou, ni considéré négativement. Ce n’est pas le seul roman que j’ai lu récemment et qui lui fasse une belle place; deux romans de science-fiction écrits par des femmes cet été, deux dans lequel il apparaît. L’inceste entre soeurs est apparemment culturellement répandu dans le pays des mères, en tout cas suffisamment pour que personne ne s’en émeuvent, et que même certains personnages le prennent en compte bien plus que le simple amour entre soeurs. L’inceste entre soeur et frère ne semble (un peu) mal vu que parce qu’il risque d’engendrer des enfants consanguins. Coïncidence qu’il apparaisse dans ces deux romans? Expression poussée à l’extrême d’une vision “libérée” de la sexualité féminine? Dans une société plus juste, plus “avancée”, plus de tabous sexuels? Si on a l’homosexualité libérée et le compagnonnage entre femmes comme seule source acceptée de plaisir sexuel pour la plupart des femmes (ce qui est le cas dans le pays des mères), on a aussi forcement l’inceste entre soeurs? L’inceste entre soeurs est présenté dans le roman comme quelque chose de spontané, de pur, continuation naturelle de l’amour sororel. Je n’y crois pas trop et c’est un aspect du livre qui me dérange.
Chroniques du Pays des Mères est présenté par la préface comme un roman féministe; la quatrième de couverture nous promet que “loin de chez elle [Lisbeï], devenue ‘exploratrice’, elle accomplira l’un de ses rêves les plus chers : découvrir les secrets du lointain passé du Pays des Mères”. Présentation trompeuse; Lisbeï ne s’aventure pas très loin de chez elle, n’ira pas explorer grand chose, et ne fait que vaguement avancer la recherche sur le passé du pays des mères. Lisbeï ne devient exploratrice que parce qu’elle ne peut pas devenir la “Mère” de sa famille (dans la tradition du pays des mères, la responsable d’une famille, et la seule des femmes parmi elles qui conçoit des enfants par relation sexuelle avec un homme, les autres femmes étant inséminées artificiellement), rôle auquel elle était promise en vertu de sa place de première-née de la “Mère” précédente. Pauvre Lisbeï, comme les femmes sont censées se reproduire, elle s’en sent lésée et privée de quelque chose de fondamental. Elle fait bien quelques découvertes d’importances, qui suscitent de nouvelles questions historiques et religieuses. Mais vers la fin de sa vingtaine, par un “heureux” incident, elle tombe enceinte et, au lieu de poursuivre son projet d’exploration révolutionnaire, qu’elle était déterminée à mener à bien malgré les réticences de toutes les femmes de son entourage, le roman se finit brutalement avec une Lisbeï sédentaire qui reste auprès de sa fille. Un fin décevante; sept cent pages de récit pour aboutir à un épilogue plat. Lisbeï s’est reproduite, sa fille a fait de même, personne n’a été explorer les mauterres — et l’épilogue nous fait miroiter ce qui aurait pu être, avec des révélations non étayées sur ce qui attendait Lisbeï là-bas. Comme si les dernières pages avaient été écrites par une auteure totalement différente, avec un ton sans aucun lien avec ce qui a précédé. Fini la Lisbeï forte de ses convictions, il ne reste qu’une femme enchaînée à la maternité.
Ce n’est pas un navet, mais c’est un livre qui malgré les questions intéressantes qu’il soulève laisse à la lectrice un goût d’inachevé. Comme si on avait suivi un sentier de randonnée en espérant arriver sur un beau panorama, mais que le clou du spectacle est juste une vue sur un lotissement de banlieue.
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