#coup de bonheur
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Rituel pour réussir le permis de conduire -marabout Togan
Rituel pour réussir le permis de conduire -marabout togan Rituel pour réussir le permis de conduire-C’est normal d’être anxieux et stressé lorsque vous allez passer votre examen de conduite. En effet, le permis de conduire est un examen important qui détermine votre capacité de prendre le volant. Vous n’avez que quelques heures pour obtenir la meilleure note, et si vous ne réussissez pas, vous…
#Formule magique pour avoir le permis de conduire#Marabout permis de conduire#Porte bonheur permis de conduire#porte chance pour examen#réussir l’examen de conduite#réussir son permis de conduire du premier coup#rituel pour avoir son permis conduire
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CHALLENGE NetGalley : bilan 2023
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#éditions de la MARTINIERE#Calmel#Ce que disent les silences#Challenge NetGalley#coup de coeur#Da Costa#Editions livre de poche#Editions Michel LAFON#Editions XO#La faiseuse d&039;étoiles#Labbé#Le bateau fraise#Le templier de l&039;ombre#Manel#Martineau#Petits bonheurs à tous les étages#Romances société et les autres#Thrillers et policiers#Un destin sauvage si sauvage#Vesper
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Et oui......j'ai attrappé un coup de cœur....un coup de boum boum...un un coup de café....prestige de l'amour....au goût du bonheur...je ne peux plus m'en passer...oui...oui...ça fait boum boum à tout heure !!!
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Le bonheur c'est la joie simple de la vie dans l'instant présent. Une petite coupe de champagne avec moi ... C'est samedi ! Trinquons au bonheur
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Les habitudes qui rendent ma vie un peu plus douce et heureuse en tant que personne fluctuante et dépressive : · Lire. Pas forcément beaucoup, mais régulièrement. Le lecture me force à me concentrer, à mobiliser mon attention, à me poser. C'est une forme de méditation active. Et puis surtout c'est l'une de mes passions, ça m'apporte beaucoup de joie.
· Chronométrer les moments importants pour moi, ceux que j'ai du mal à m'accorder, comme la lecture, pour m'obliger à m'offrir ce temps. Souvent, je n'ose pas commencer une activité parce que j'ai peur de ne pas être productive, mais visualiser le temps exact me fait relativiser : 30 minutes dans une journée, c'est rien du tout. Lancer le chronomètre me donne aussi une impulsion d'action et me permet de sortir de la paralysie.
· Marcher plus. L'objectif c'est 10 000 pas mais je n'y arrive pas toujours. C'est pas grave. Souvent je rentre du travail à pied, ça me prend seulement 15 minutes de plus que le bus. J'en profite pour écouter un épisode de podcast, ce que j'ai rarement le temps de faire. Marcher me permet d'être dehors, de prendre l'air, d'être seule et de ne pas hurler intérieurement sur tous les gens du bus (ou si je suis à vélo, sur les autres cyclistes ou les automobilistes), donc ça me repose émotionnellement. Je suis extrêmement sensible aux gens et je me prends toujours toutes leurs énergies négatives en pleine tête (parce que malheureusement c'est rare les scènes de bonheur dans le bus donc je reçois peu d'énergies positives).
· Écrire : tout et n'importe quoi. Des pensées. Des histoires. Des poèmes. Des lettres. Des billets sur Tumblr.
· Dormir assez et boire assez : ça je n'y arrive pas vraiment mais pour l'instant je ne me blâme pas. Le reste est déjà bien.
· Détendre mon corps. Je fais du bruxisme et ça crée des tensions dans ma nuque, mes épaules, mon crâne et évidemment mon visage. C'est super douloureux. J'essaie d'être attentive à mes sensations physiques, de me relâcher, de faire des auto-massages. J'essaie aussi de sourire quand j'y pense et c'est assez magique, ça déclenche tout de suite une mini joie intérieure, je suis tout à coup reconnaissante d'être en vie. Ne fonctionne pas avec les sourires forcés.
· Ne pas me disperser. Ne pas me lancer dans un millier d'activités. Me rappeler régulièrement qui je suis et ce que j'aime pour ne pas me perdre, c'est-à-dire : lire et écrire, être au calme, marcher dans la forêt, être avec mes amies proches, bouger librement mon corps. Écrire ces désirs et ces objectifs régulièrement pour ne pas les oublier. J'ai écrit mes résolutions 2025 à peu près 5 fois depuis fin décembre mais la répétition me permet de garder mes projets en tête. Eh oui, certaines personnes sont si déconnectées d'elles-mêmes que se rappeler ses propres désirs est laborieux.
· Accepter mes différences et mes étrangetés qui ne sont des différences et des étrangetés que si je ne les assume pas. Ma différence en elle-même n'est pas douloureuse. Ce sont le rejet, le mépris et les discours d'exclusion des autres qui font mal.
· Accepter d'avoir une personnalité contrastée, comme beaucoup de personnes. Nous ne sommes pas des archétypes, nous ne sommes pas des stéréotypes, nous ne sommes pas des personnages de fiction. Par exemple la société oppose depuis toujours la figure de la sainte et celle de la salope, la deuxième étant très souvent réprimée socialement. Mais l'identité n'est pas binaire. Vouloir être une sainte le lundi et une salope le mardi ne signifie pas qu'on est hystérique, instable ou malade. Je ne suis pas linéaire, j'ai des désirs et je suis vivante. Je serai sage et docile quand je serai morte.
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Et oui, j'ai attrappé un coup de Cœur, un coup de Boum Boum, un un coup de Café, prestige de l'Amour, au goût du Bonheur, je ne peux plus m'en passer ! 🤎
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
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Les passantes d'Antoine Pol
Je dédie cette chanson
à chaque femme pensée comme de l'amour
en un instant de liberté
à celle connue à peine
Pas le temps et ça valait le coup
de perdre un siècle de plus
À celle presque à imaginer
Tellement pressé, tu l'as vue passer
Du balcon à un secret plus loin
et tu aimes en rappeler le sourire
qui ne t'a pas fait
et que tu lui as décidé
dans un vide de bonheur
À la compagne de voyage
ses yeux le plus beau paysage
Fans paraître plus court sur le chemin
et peut-être que tu es le seul à la comprendre
et tu la fais descendre sans la suivre
sans avoir touché sa main
À celles qui sont déjà prises
et que je vis des heures déçues
Avec un homme trop changé
Ils t'ont quitté, folie inutile
voir le fond de la mélancolie
d'un avenir désespéré
Des images chères quelques instants
Vous serez bientôt une foule distante
Surmontées d'un souvenir plus proche
pour peu que le bonheur revienne
c'est très rare que l'on se souvienne
des épisodes du chemin
Mais si la vie cesse de t'aider
c'est plus dur de t'oublier
de ces interviews de bonheur
Des baisers qu'on n'a pas osé donner
des occasions laissées pour attendre
des yeux plus jamais revus
Alors dans les moments de solitude
quand le regret devient l'habitude,
une façon de vivre ensemble,
on pleure les lèvres absentes
de toutes les belles passantes
que nous n'avons pas pu retenir
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Petite fête
à la demande de @babythere j’espère que ça plaira 😇
6« Wow, vous avez l'air... incroyable. »
Lilia X reader
Tout le monde s’en était sorti vivant de la route, et c’était une très bonne chose. L’atmosphère était remplie de soulagement et de joie. Billy, débordant d’énergie, avait envie de fêter cet événement. Avec un sourire charmeur, il avait supplié Agatha, insistant sur l’importance de célébrer leur chance.
"Allez, Agatha, ce serait tellement bien de le faire chez toi !" avait-il dit, ses yeux pétillants d’excitation.
Après de très longues heures de supplication, Agatha, finalement convaincue par l’enthousiasme de Billy, avait accepté. La nouvelle avait rapidement circulé, et tous s’étaient mis en tête de s’habiller pour l’occasion. Les préparatifs allaient bon train : les lumières scintillantes étaient accrochées, et la musique douce flottait dans l'air, créant une ambiance festive.
Les invités étaient tous présents, parés de leurs plus beaux atours, riant et discutant joyeusement. Chacun avait fait un effort, des robes élégantes aux costumes bien taillés, tous semblaient ravis d’être là. Pourtant, une ombre planait sur cette fête : Reader n’était pas encore arrivée.
Lilia était assise sur le canapé, les coussins moelleux l'entourant comme une étreinte réconfortante. Ses pensées vagabondaient, se heurtant à l'inquiétude qui s'était installée dans son esprit. "Où est donc passée Reader ?" se demandait-elle, le regard fixé sur la porte, espérant la voir entrer à tout moment. Le bruit des rires et des conversations joyeuses des autres invités résonnait autour d'elle, mais elle se sentait déconnectée, perdue dans ses réflexions.
C'est alors que Billy s'approcha et s'assit à côté d'elle, son sourire habituel illuminant son visage. Il remarqua immédiatement l'air préoccupé de Lilia.
"Hé, Lilia," commença-t-il, sa voix douce et rassurante, "ne t'inquiète pas. Reader va bientôt arriver, j'en suis sûr."
Lilia tourna lentement la tête vers lui, ses yeux se posant sur son ami. Elle lui offrit un sourire, bien que légèrement hésitant.
"Je sais, Billy," répondit-elle, sa voix trahissant une pointe d'anxiété. "C'est juste que… je me demande ce qui lui prend tant de temps."
Billy observa Lilia, son regard plein de compréhension. "Peut-être qu'elle a eu un contretemps," suggéra-t-il, tentant de la rassurer.
Lilia se laissa aller à un léger rire, appréciant le soutien de son ami. "Tu as raison, comme toujours," répondit-elle, un peu plus à l'aise.
Elle se redressa et observa la pièce, se laissant emporter par l'énergie de la fête, tout en gardant un œil sur la porte, espérant apercevoir Reader.
Reader était enfin arrivée, et elle avait l'air éblouissante dans son pantalon rouge qui épousait parfaitement ses formes, mettant en valeur son allure dynamique. Son haut noir, simple mais élégant, ajoutait une touche de sophistication à sa tenue.
En la voyant entrer dans la pièce, Billy ne put s'empêcher de sourire, ses yeux s'illuminant de joie et d'admiration. Reader, réalisant qu'elle avait attiré l'attention de tous, s'approcha avec une petite moue d'excuse.
"Désolée pour le retard," dit-elle, sa voix douce mais pleine d'énergie, presque comme une mélodie qui résonnait dans l'air.
Lilia, qui observait Reader avec admiration, ne pouvait s'empêcher de la trouver tout simplement magique. Elle se sentit submergée par l'émotion, ses mots peinant à sortir. Après un moment de silence, elle réussit à articuler, le cœur battant :
"Wow, tu as l'air… incroyable." Ses mots, chargés de sincérité, firent briller les yeux de Reader, qui ne pouvait cacher son bonheur.
Reader rougit délicatement, un sourire timide se dessinant sur son visage. "Merci, Lilia," répondit-elle en s'asseyant à côté de son amie, leurs épaules se frôlant. "Je peux dire la même chose pour toi, cette couleur te va vraiment bien."
Lilia se sentit flattée, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Elle jeta un coup d'œil à son propre haut, un doux rose qui contrastait avec le rouge flamboyant de Reader.
"C'est gentil de ta part," dit-elle, le cœur léger.
Les deux amies échangèrent un regard complice, conscientes que leur complicité ne faisait que grandir au fil des instants partagés, créant un moment inoubliable rempli de rires et de complicité.
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saga: Soumission & Domination 373
Noël 2015-3,
25 au soir.
Dès qu'ils sont partis ça part en touze ! Nous sommes tous nus en quelques minutes et je retrouve mes Samir et Ammed habituels vêtus de leurs seuls boxers en cuir maintenant bien patinés.
Ça sonne !! Fuck ils ont oubliés quelques choses (un des parents) et on est déjà tous à poil.
Heureusement ce ne sont que Dorian avec Julien venu voir si son petit apprenti s'était bien tenu !
Ils montent et ont la demi-surprise de nous trouver déjà tous biens chauds. Quelques âmes charitables les aident à arborer la même tenue que nous et ils entrent dans la mêlée.
Je me fais la réflexion que serait quand même bien si les derniers arrivants se faisaient Nathan. Je suis sûr que ce dernier ne refuserait pas.
Je pars à sa recherche et le trouve en levrette à subir les assauts de Dan. Je me penche et lui fais part de ma dernière idée. Vu qu'il était déjà bien parti dans son trip, il met un peu de temps à tilter. Il demande un temps mort à son étalon et nous nous écartons quelques minutes.
Il argumente que ça va surement gêner Julien avec qui il a établi un relationnel stable. D'un autre côté, il ne sait pas comment le remercier lui et Dorian. Connaissant mes deux amis, je suis sûr que ce n'est pas parce qu'ils l'auraient baisé ce soir qu'ils abuseraient plus tard de la situation. Là-dessus il est d'accord avec moi.
Nous laissons en plan Dan qui part chercher son bonheur avec un autre partenaire et cherchons son maître de stage. Nous les trouvons tous les deux à s'occuper de Duke. A bien y réfléchir c'est plutôt l'inverse ! Les carrures et les " équipements " de mes deux Pros l'ont attiré comme le miel un ours (bon un ourson tout imberbe d'accord !).
Pas d'explication, je pousse Nathan dans le trio. J'observe de loin (enfin à 2m). Il faut quelques minutes aux deux ainés pour s'apercevoir de qui les avait rejoints. Bref mouvement de recul de la part de Dorian alors que julien, le nez entre les fesses de son apprenti, n'a toujours pas capté. Nathan lui fait " chut " d'un doigt sur ses lèvres avant de les ouvrir pour engloutir son manche. Je vois Julien se redresser et kpoter sa queue pour enfiler le cul qu'il venait de préparer. Il ne devine pas qui il encule, Dorian, avec ses mains posées sur la tête de Nathan (pour bien maîtriser le ramonage de sa gorge) camoufle son identité. De plus de dos à 4 pattes ça pourrait être n'importe lequel de mes " petits frères ".
Il capte au moment où il échange sa place avec Dorian. Nathan relève la tête et plonge sur le gland de son maitre de stage avant que ce dernier n'ait le temps de se reculer. Après c'est trop tard ! Le plaisir apporté par la douceur de la gorge de son apprenti le soude à lui. L'aspiration au fond de sa gorge encore plus. Je les laisse et me trouve un duo où m'intégrer.
Pablo m'accueille avec plaisir et je m'intercale entre lui et Duke échoué sous sa coupe après son remplacement par Nathan. Je me glisse dans le cul de Duke et collé à son dos lui glisse dans l'oreille de bien serrer son anneau. Chose qu'il fait parfaitement au ressenti de la compression de ma bite. Pablo profite de cette position pour introduire ses 24 x 6 bien au fond de mon trou.
Après quelques instants où j'ai été l'élément moteur du trio, Pablo a pris la relève. Il m'a pilonné la rondelle et chacun de ses coups de rien m'envoyait taper mes couilles contre celles de Duke alors que mon gland cherchait à aller encore plus profond en lui. Un simple " Gorgeous " provenant de Duke a salué ce changement de rythme.
Je retrouve mon ibère dans ce qu'il a de plus impérieux (complètement différent de son frère malgré une bite identique). Son gros gland à force de buter contre ma prostate fini par m'envoyer au 7ème ciel et je jute dans ma kpote alors que je maintiens Duke au plus près de moi, le pilonnant dur mon dernier cm de bite. Quand je recule brutalement, je provoque l'explosion de mes deux partenaires. Duke me jute dans la main alors que je ressens chacune des éjaculations qui gonflent encore plus le volume de Pablo (enfin par Kpote interposée).
Petit repos, je roule un patin à Duke alors que Pablo nous quitte pour aller enculer plus loin. Il me demande si aux prochaines vacances françaises, ses trois nouveaux amis pourraient revenir en Californie, il aimerait bien les emmener visiter le Grand Canyon, aller jusqu'à Las Vegas. Je suis d'autant plus d'accord que ce sera le dernier mois de ma présence à Berkeley.
Quand il apprend ça, il est content puis déçu que mon séjour ne dure pas plus longtemps. Je ne pense pas mentir en lui affirmant que ce n'est pas parce que je ne serais plus en Californie qu'il cessera de voir mes " petits frères ". Je crois bien qu'ils sont suffisamment accrochés pour que je sois bon à payer quelques allers et retours France-Californie.
Cette affirmation me vaut une nouvelle pelle qui de remerciement dévie en un nouvel appel de sexe.
Nous nous faisons rejoindre par ses trois amis avant que je ne replonge ma queue dans son intimité. Petite fête de retrouvaille, d'autant plus forte qu'ils apprennent que la fin de mes études aux USA ne sonnera pas celle de leurs contacts. Du coup je me fais violer par 4 énergumènes en rut !!
C'est Ludovic qui me tire de cet enchevêtrement de corps. Quand il en apprend la raison, il me dit que c'est de ma faute, j'ai qu'à être plus circonspect dans mes déclarations !! Merci le soutient !!
Semaine inter fêtes :
Débarquons à Paris pour que nos américains en prennent plein les yeux. Nous squattons l'appart de Kev et aussi celui d'Henri sur l'insistance de ce dernier.
Kev est encore plâtré mais avec une coque en fibre de verre qui ne l'immobilise plus.
Les journées nous laissons les jeunes trainer ensemble et avec Dan et Tyler nous parcourons, musées et sites remarquables de la capitale. L'affluence touristique est plus faible que de normale, rapport aux attentats de novembre !
Je m'éclipse du groupe le temps d'aller cherche ma commande place Vendôme. En plus des participants de l'année dernière qui manqueraient notre " Nouvel an " pour rien au monde, cette année je dois ajouter mes trois invités.
" Mon " vendeur n'est pas en vacances et s'il m'introduit dans un salon privé, moi je m'introduis dans son cul. Il est mouillé tellement il attendait ma visite. Je l'encule en prenant mon temps, lui le torse posé sur la table de présentation puis, lui le dos sur cette même table ses jambes relevées vers le plafond puis, moi assis dans le fauteuil client et lui les deux jambes passées sur les accoudoirs qui me branle la bite avec sa rondelle.
La chose faite, on vérifie un par un les bracelets que j'ai commandés. En raccord avec les anneaux de l'an passés, en or rose aussi mais gravé " Blockhaus 16 ". 83, ça prend du temps !! Le chiffre m'a été donné par PH qui n'as pas préciser qui sera là. Je sais qu'il y aura tous mes escorts homos et les potes mais qui peut ou ne peut pas venir je ne le sais pas !
Henri profite de notre passage pour nous " sortir " dans un grand restaurant de la capitale. Les consommateurs sont un peu revenus depuis les lendemains des attentats mais il est déjà 20h30 et la salle est loin d'être pleine. Notre table de 15, Ric et Nathan nous ont rejoints détone. Duke est muet jusqu'au milieu du repas, impressionné par le service. Les serveurs qui connaissent bien Henri sont souriants à nous passer les assiettes. Ils prennent un soin particulier auprès de Kev qui ne peut aps encore dissimuler complètement son état.
J'en vois même un draguer ouvertement Duke qui ne sait plus où se mettre.
L'ambiance est bonne et nous sommes un peu bruyants. Notre table attire les regards et beaucoup de sourires. Henri a beau avoir presque 3 fois nos âges, il nous comprend quand même. Ric impressionne Tyler et Duke qui ne l'avaient pas encore rencontré. Son physique même dissimulé sous ses vêtements coupés sur mesure ne laisse personne indifférent. Je discutais avec Alban et Henri quand je me suis aperçu que Duke n'était plus à table. Quand il revient, je note qu'il ne peut cacher un air satisfait.
Dessert et café pris nous partons après que je me sois " battu " avec Henri pour la note. Bien sûr il a gain de cause et règle nos diners. Du coup je laisse le pourboire et les 200€ que je glisse au serveur qui nous raccompagne me valent un merci appuyé.
Dans la rue je coince Duke et le questionne jusqu'à ce qu'il m'avoue s'être fait le serveur qui l'avait chauffé. Il m'avoue que c'est quand même une première pour lui, même à San Francisco, il n'avait jamais consommé sur place.
J'éclate de rire, lui tape dans le dos et lui souhaite la bienvenue en France. Enguerrand lui demande s'il avait été actif ou passif avec le mec. Réponse de l'intéressé " actif, son cul était trop tentant " et non seulement il l'avait défoncé mais le mec ruait du cul pour la prendre plus hard encore !!
Retour à l'appart de Kev pour notre dernière soirée à Paris. Nous buvons un verre quand sonnerie de la porte. Kev va ouvrir et revient avec 3 bomecs qui nous les présentent comme ses potes de muscu. Je reconnais dans le plus balaise celui dont il m'avait déjà parlé et qui est " super équipé ". Ils boivent avec nous mais ça dérape vite à ce pourquoi ils étaient venus, c'est-à-dire un bon plan baise !
Avec le format de Ric et la bite d'Ernesto, faut dire que le balaise se pose en fantasme vivant !!
Je me l'accapare direct et mon petit cul étroit sous un dos et des épaules bien larges à l'air de lui faire de l'effet. Nous nous étalons dans le grand séjour et même l'escalier qui monte à la chambre.
Pour ma part, j'étale ma conquête dos sur la table basse et entreprend de vérifier le tonus musculaire de la bête. Je m'étale sur lui. A part les épaules qui sont de même largeur, tout le reste chez lui est plus hypertrophié que chez moi. Je descends sur ses pecs et bouffe ses gros tétons en érection. En même temps j'empoigne ses pecs épais et les presse avec difficulté. Je descends plus bas, ma langue suit le sillon entre ses blocs d'abdos. J'atteins son gland avant le nombril, bien avant d'au moins 5cm, la taille de son gland quasiment !! Je ne peux m'empêcher d'ouvrir grand ma bouche pour abriter cette merveille. Comme je fais une pause, il m'attrape par la nuque et d'une seule poussée me défonce la gorge et plaque mon nez contre son pubis épilé. En bonne " salope " je déglutis rapidement pour masser sa bite. Là c'est lui qui s'arrache de ma bouche en gueulant un " la saloooope " qui fait éclater de rire plus d'un participant !!
Quand je le reprends en bouche il est plus circonspect et me laisse gérer la pipe. J'alterne le jeu de ma langue sur son gland, décolletage de la couronne, pénétration de ma langue en pointe dans son petit trou.... Avec des plantages dans les profondeurs étroites du début de mon oesophage.
Alors que j'ai son gland bien profond dans ma gorge, il me soulève le bassin et me fait tourner pour nous placer en 69. J'ai l'impression de ne peser que quelques kilos vu la facilité avec laquelle il m'a basculé. Il me suce un peu puis attaque direct l'objet de sa convoitise, ma rondelle encore fraiche. Alors que je m'occupe a bien lubrifier sa bite, il en fait de même avec cette dernière. Je sens sa langue progresser et pousser sa salive. Quand il estime que je dois être préparé plus profond, ce sont ses doigts qui prennent la relève et j'en sens un puis rapidement 2 et enfin 3 pénétrer mon intimité. Cela dure un bon moment jusqu'à ce qu'il m'estime prêt à le recevoir. Je ne voulais pas le vexer mais ça va faire un moment que je le suis, prêt !
Il se couche sur le dos et je l'enjambe de face. Les mains en appui sur ses gros pecs, je descends mon bassin pour faire le contact gland / rondelle. Il m'a traité de salope, il va voir que ce n'était pas juste une promesse. Je bouge un peu des hanches pour bien me placer puis d'un coup d'un seul, je me plante ses 24x6 jusqu'aux couilles. Là, c'est lui qui cri son plaisir. Moi je me retiens, et savoure cette pénétration violente mais à la hauteur de mon désir. Je reste un moment les fesses écrasées contre ses cuisses avant de le chevaucher façon grand prix de l'arc de triomphe. Là il doit bien admettre que c'est moi qui mène le jeu. Ce sont mes fréquences de va et vient, mes différents degrés de compression de rondelle qui dirigent sa courbe de plaisir. Kev qui l'entend gémir s'approche de moi et me dit de ne pas le lui " gâcher " car il n'est pas sûr de pouvoir être aussi bon que moi. C'est flatteur !!
Son pote lui dit de me laisser faire. Il se laisse encore mener quelques minutes puis reprend la barre. Il se redresse, plie ses jambes sous moi et d'un coup de rein nous met debout. Enfin lui, car moi je suis accroché à son cou, mes bras enserrant mes chevilles posées sur ses épaules. De nouveau j'ai l'impression de ne rien peser. Il campe ses pieds un peu écartés sur le sol et avec ses gros bras, m'écarte le bassin du sien avant de relâcher son effort et que, naturellement, mes fesses reviennent s'écraser contre lui, son gland me pénétrant au plus profond de mon trou. Trop, trop bon !!!
Je bande comme un fou et mes couilles écrasées contre ses abdos à chaque retour à la position de départ me procurent un plaisir/douleur mélangé. Alors que je comptais bien tirer le jus de ses couilles avant de moi-même partir, c'est l'inverse qui se produit. Les montées de plaisir qui me provient de ma rondelle et de ma prostate maltraitée à chaque passage de son gros gland se confond avec la douleur renvoyée par mes couilles écrasées au même moment. J'explose et recouvres nos pecs de grosses giclées de sperme. J'ai le plaisir de sentir en moi que mes contractions d'anus ont raison de sa résistance et il repli sa kpote. Avant d'être totalement vidé, ses jambes cèdent et alors qu'il s'agenouille sur le tapis, je m'enfonce une dernière et très profonde fois sa bite dans le cul. Ça me procure une dernière poussée de plaisir qui me fait gémir comme la dernière des salopes ... que je suis à ce moment-là. Je serre mon anneau à le bloqué tout au fond de moi et quand je relâche l'effort, il explose dans sa kpote.
On s'écroule sur le côté en se déboitant. Kev nous rejoint et me demande comment je trouve son " culturiste ". Seule réponse possible, " trop bon ".
Je ne peux m'empêcher de lui demander ce qu'il fait pour le nouvel an. Il ne déparerait pas dans notre bande et plus d'un lui servirait de kpote vivante !
Il est déjà pris et m'explique qu'il réalise une prestation pour un mec !!
Les autres se finissent et de tous les côtés ça gémi, ça exprime le plaisir pris par ou dans le corps du partenaire.
Nous finissons la nuit tous ensemble dans l'appart de Kev
Le lendemain retour au Blockhaus.
Jardinier
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TIREZ LES ROIS ! 🤴
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Salut ! 😊
Je me permets de te contacter parce que je suis une grande fan de ce que tu fais, vraiment. Tes créations sont super inspirantes, et j’admire beaucoup ton travail ! 💜
Je trouve qu’on ne prend pas assez souvent le temps de parler des gens qui nous inspirent, que ce soit pour leur créativité, leur style ou juste leur vibe. Du coup, je voulais te poser une petite question : si tu devais recommander trois créateurs d’avatars, tu choisirais qui et pourquoi ? Et tant qu’on y est, qu’en est-il des créateurs de gifs/crackships ? Tu as des noms qui te viennent en tête ? Et pour ceux qui font des AES, tu aurais des recommandations ?
Je suis vraiment curieuse de découvrir tes coups de cœur
Merci d’avance, et encore bravo pour ton boulot qui déchire. 🙌
Bonjouuuur 💜
Tout d'abord, merci pour ton message, il me va vraiment droit au cœur 🤗 C'est une très douce attention durant ces fêtes ! D'ailleurs, désolée d'avoir tant tardé à te répondre.. Faut dire que je suis très souvent à la traine de manière générale sur tumblr (et j'ignore si je pourrais un jour me soigner 😂)
En ce qui concerne mes coups de cœur, je me suis un peu retourné la tête pour ne pas oublier de gens, mettre en avant d'autres, ect.. Parce qu'en vrai, y'a beaucoup de vrais merveilles. Ce qui me plait surtout, c'est de voir combien les styles ont évolués au travers des années (jesuisvieilleouioui), c'est vraiment dingue ! Sinon, pour t'apporter tout de même une réponse, je me suis arrêtée sur trois personnes, qui, à chaque fois que je croise leurs créations, me mettent des étoiles dans les yeux ! 🌟
J'aime beaucoup et depuis longtemps le style de @rollinginthedeep-swan, ses idées et ses inspirations sont toujours sublimes (et j'admire sa résilience avec les gifs souvent trop lourd mdr) mais aussi @soeurdelune pour ses mises en scènes incroyables sur ses avatars (c'est de l'art !). Mais aussi beaucoup pour ses gifs et ses ambiances incroyables @cavarage (qui est aussi soeurdelune 🙌) 💜
Voilààà 💜 J'espère t'avoir un peu répondu ! Je te remercie encore une fois pour ton message 💖 (je m'en remets pas mdr) et je te souhaite plein d'excellentes choses pour 2025 💕
D'ailleurs, je vous souhaite tous plein de bonheur, de santé et de belles surprises pour cette nouvelle année qui démarre ❤️🔥 Comme on dit, puisse le sort nous être favorable 🙌
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VIEILLIR EN BEAUTÉ ET EN SAGESSE “Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur, Sans remords, sans regret, sans regarder l’heure. Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur, Car à chaque âge se rattache un bonheur. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps, Le garder sain en dedans, beau en dehors. Ne jamais abdiquer devant un effort. L’âge n’a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce! À ceux qui se sentent perdus dans la brousse, Qui ne croient plus que la vie peut être douce Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement. Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan. Être fier d’avoir les cheveux blancs, Car pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour, Savoir donner sans rien attendre en retour, Car où que l’on soit, à l’aube du jour, Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir, Être content de soi en se couchant le soir. Et lorsque viendra le point de non-recevoir, Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir!
Ne regrette pas de vieillir. C’est un privilège refusé à beaucoup!”
Texte de Félix Leclerc
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Petits bonheurs à tous les étages de Sandra MARTINEAU - 💗 💗 💗 💗 💗
Merci aux éditions XO pour cette lecture qui m’a ravie ! Le résumé des éditions XO – 11 mai 2023 : Joanna, la trentaine pétillante, mère de trois enfants, coule une vie ranquille, et un peu ennuyeuse, dans un quartier résidentiel, entre dîners mondains et après-midi au golf. Alors, le jour où, sous ses yeux, son compagnon, richissime financier, est arrêté pour escroquerie, c’est un tsunami…
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#coup de coeur#Editions XO#Martineau#Petits bonheurs à tous les étages#Romances société et les autres
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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Les vrais amies ce ne sont pas celles qui se penchent avec pitié sur notre souffrance, ce sont celles qui savent partager sans envie notre bonheur... et pourquoi pas en ce temps froid et de fête une coupe de champagne pour pétiller de joie...
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Hiver 1930, Hylewood, Canada (2/3)
Il s’est passé beaucoup de choses ces derniers temps. Papa est mort deux semaines avant le mariage de Marie. Il n’aura jamais assisté aux noces d’aucun de ses enfants, étant donné que celles de Louise n’ont jamais abouti… Cela me fait me sentir un peu coupable. Je lis bien tes railleries, mais je ne suis pas d’humeur à y répondre, je sais exactement ce que tu vas m’écrire, et tout ce que je peux te dire, c’est que tu n’as pas complètement tort mais que c’est plus compliqué que cela. N’insiste pas, tu n’auras rien de plus.
Toutes mes félicitations d’ailleurs pour les fiançailles d’Antoine. Très clairement, je n’y croyais plus. Avait-il donc si peur de la réaction de votre arrière-grand-mère qu’il a attendu que sa période de deuil soit terminée avec de faire sa demande ? Aurore est bien patiente, d’autres filles n’auraient pas attendu si longtemps. Va-t-elle être remplacée ? Nous avons dû nous aussi engager quelqu’un d’autre pour remplacer notre bonne. En effet, nous avons bien failli y passer aussi : il y a eu un incendie dans la maison. Heureusement, il a été rapidement maîtrisé. Il est dû à la négligence de notre ancienne bonne, Clothilde, parce qu’elle était trop alcoolisée pour faire attention à ce qu’elle faisait. Elle n’en est pas à son premier coup d’éclat… Son peu de diligence dans les tâches ménagères nous avait causé une invasion de rats peu après la mort de Maman. Nous la gardions parce que ses talents culinaires compensaient ses autres défauts (elle cuisine vraiment très bien). Mais cette affaire d’incendie va trop loin, j’ai perdu suffisamment de membres de ma famille comme cela ces dernières années. Pour tout t’avouer, je m’en veux un peu de la licencier dans cette période difficile, malgré les circonstances, donc je lui ai fait une belle lettre de recommandation qui passe sous silence sa tentative d’homicide involontaire…
[Transcription] Marie LeBris : S’il tente de me faire le même coup que le fiancé de Louise, je connais deux ou trois personnes qui… Napoléon Bernard : Il va certainement arriver… Tenez, le voilà ! Georges Rumédier : Tu es splendide. Une vraie reine des glaces. Napoléon Bernard : Georges Rumédier, voulez-vous cette femme comme épouse… Marie LeBris : Tu es en retard ! Georges Rumédier : Pardon ! J’avais quelques vérifications à faire, pour installer… Eh bien, pour ce que tu sais. Napoléon Bernard : …dans le bonheur et les épreuves, dans la santé et la maladie, dans la richesse et la pauvreté… Marie LeBris : Georges, c’est mon affaire, pas la tienne. C’est important que tu comprennes ça. Si je tombe et que tu es impliqué, tu tomberas aussi. Tu en as bien conscience ? Napoléon Bernard : …pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ? Georges Rumédier : Oui. Napoléon Bernard : Marie LeBris… Marie LeBris : Je le veux.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Jules Le Bris#Laurita Donaldo#Clothilde Floch#Napoléon Bernard#Georges Rumédier#Marie Le Bris III#Stéphanie Rumédier#Georges Leloup#Eugénie Bernard
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Ignore that its 3am and that ive been in bed for like 3h unable to sleep
I'm thinking of that Cowboys Fringants musical I went to see on the 22nd
And how just under 2k people sang with and *to* the dying main character on stage about how life is so short, like a shooting star, and how you shouldn't spend your free time trying to gather up free time, and the actors threw paper airplanes into the audience and we kept them flying the whole time while singing
God that musical was Something. The way they had the aging rockstar character finish his life/song on stage and just continue singing and walking off-stage through the fire exit, singing about how he's done and has nothing left to give and just turn off the big lights, will you? You can start sweeping around him, he just needs the safety lights, it's just us here, he's done, show's over
Cowboys fringants have so many songs about the fragility of life and the beauty of "lowly" people's lives. La Reine makes me bawl like a baby every time (it's about a homeless old lady who everyone remembers so so fondly who has a smile and a welcoming embrace for everyone and she's found frozen dead in the snow one morning after a very full and eventful life but no one even knows her name or anything about her, but everyone cries)
Also goddamn it's so weird when you spend most of your life feeling like things are "cringe" in your mother tongue and likewise it's "annoying" that the government has to put *laws* into place to try and preserve it, but actually theres beautiful things made with it, and actually yeah it's worth protecting, especially between a huge part of the country speaking (and expecting you to speak) English, and a big influx of France French speakers who flock to the expensive neighborhoods and who are often given management jobs over locals, and who refuse to mingle, and who mock your accent and "improper" french while English speakers mock you for insisting that there's a big difference between the two or getting mad when you point it out. And also your own government loooves to sell you out as cheap, dumb labor
Anyway. The musical was sad, and beautiful, and infuriating, and grand, and it was just about a bunch of regular weirdoes - truckers, and single moms, and junkies, and insurance salesmen (and Johnny Flash fjdjd) - stuck together in some weird limial circus cabaret bar and it was wonderful
Anyway
Et si je m'arrête un instant pour te parler de la vie,
Si je m'arrête un instant pour te parler de la vie. J'constate que, bien souvent, on choisit pas, mais on subit. Et que les rêves des ti-culs s'évanouissent ou se refoulent dans cette réalité crue qui nous embarque dans le moule.
La trentaine, la bedaine, les morveux, l'hypothèque, les bonheurs et les peines, les bons coups et les échecs.
Travailler, faire d'son mieux, n'arracher, s'en sortir, et espérer être heureux un peu avant de mourir.
Mais au bout du ch'min, dis-moi c'qui va rester~
De notre p'tit passage dans ce monde effréné. Après avoir existé pour gagner du temps, on s'dira que l'on était finalement...
Que des étoiles filantes! 🌠
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