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Certains diront qu'elle pourrait commencer par elle-même, mais ce serait cynique. Ben, il y a 500 ans, il n'y avait pas de riches madames qui voulaient vivre avec des chimpanzés non plus. Faque, STFU loser.
#le monde à bicyclette#coudon elle trouve pas que c'est un peu illusoire?#hmmm elle a dit cela en même temps Klaus SS Schwab et Bill Gates $$#Youtube
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La boucle est bouclée : Xavier Chiocci et Arthur Joly quittent l’USAP pour la Fédérale 1
#TRANSFERTS 🟥🟨 C’est la fin de leur carrière professionnelle ⬇️
Xavier Chiocci défendra les couleurs du XV du Coudon la saison prochaine – Icon Sport Les deux piliers de l’USAP terminent leur carrière professionnelle et rejoignent des clubs de Fédérale 1 après la fin de leur contrat avec l’USAP. Xavier Chiocci et Arthur Joly vont mettre un terme à leur carrière professionnelle. Non conservés par l’USAP à la fin de la saison 2023-2024, les deux piliers…
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Lexus RZ 450e et le Salon de Detroit
Le 21 septembre 2023
Ce n’est pas toujours facile de tenir un blogue comme celui que je publie aujourd’hui. Être chroniqueur automobile n’est pas facile non plus. Il ne faut pas grand-chose pour que l’on se fasse traiter de vendu à une marque (ben quoi? j’ai droit à certains goûts, n’est-ce pas? Je suis mordu de Cobra, de Lincoln et de Jeep et je ne m’en cache pas! Mais cela ne change rien à mes impressions ou à mes écrits!). Par exemple, souvent j’ai été traité de vendu à Chevrolet et à son pilote Dale Earnhardt quand je commentais les courses NASCAR à la télé…mais ce n’en était pas nécessairement le cas. Toujours dans le même ordre d’idée, j’ai souvent été traité de «Toyota basher» (surtout quand ce blogue passait sur le site internet d’un grand journal montréalais…) du moment où je trouvais le moindre défaut sur un des modèles de la marque japonaise. Mais, qu’y voulez-vous? C’est ainsi chez nous. C’est pourquoi, cette semaine, je vous parle du superbe VUM RZ 450e de Lexus, la marque de luxe de Toyota qui devrait être presque parfaite mais qui n’y arrive pas toujours ! Vous n’avez qu’à consulter les sites et les forums dédiés à Lexus…Mais voici mon opinion.
J’ai enfin réussi à conduire le superbe VUM Lexus RZ 450e ! (Photo Éric Descarries)
Toyota Canada m’a permis de conduire son tout nouveau VUM, le superbe RZ 450e pour une semaine. Avant d’aller plus loin, sachez que le RZ 450e est la version Lexus d’un VUM basé sur la toute récente plateforme e-TNGA de Toyota qui se retrouve actuellement sous le Toyota bZ4X et sous le Subaru Solterra. Or, le bZ4X est mal né. Dès le départ, Toyota a dû revoir sa façon de boulonner les roues qui, semble-t-il, pouvaient se desserrer toute seules. Le problème aura été réglé depuis ce temps. Mais, les premiers articles sur ce Toyota et le Solterra n’ont pas été élogieux. La raison? Une autonomie restreinte qui aura aussi été révélée avec le Solterra. Je vous le dis dès le départ, je n’ai pas réussi à «emplir» les batteries de la Lexus à plus de 275 km d’autonomie lors de mon essai! (Tout semble indiquer que Toyota ne compte pas faire du bz4x un succès commercial!). Coudon, c’est-y moi qui rêve? Mais Mazda n’est-il pas dans le giron de Toyota? L’autonomie de son petit MX-30 est moins de 150 km. Le système a-t-il été développé avec la collaboration de Toyota? Je sais que Mazda a annoncé que son partenaire en batteries est Panasonic et qu’il nous promet des batteries plus puissantes d’ici 2025. Oh! Panasonic est aussi partenaire en batteries pour voitures électriques avec Toyota.
De l’arrière, le Lexus RZ 450e reproduit certains styles déjà adoptés par Toyota sur certains autres de ses véhicules. (Photo Éric Descarries)
En fait, il ne s’agit pas de pointer du doigt une marque ou l’autre. La seule question que je me pose est celle-ci : comment cela fait-il que Toyota-Lexus-Subaru-Mazda n’ont pas été capables de produire leur premier véhicule totalement électrique avec une plus grande autonomie? (et je n’ai pas hâte de voir quelle en sera l’autonomie en hiver!). La concurrence (Audi Q4 e-tron, Genesis GV60, Mercedes-Benz EQB, Volvo XC40 Recharge et autres) fait tellement mieux et nous promet encore plus! Pourquoi le groupe japonais a-t-il pris la chance de nous proposer des véhicules aussi limités?
Je vais donc laisser Toyota-Lexus réagir à cette question alors que je vais me concentrer sur le RZ 450e, un VUM très élégant avec tant de qualités. Il est issu des RZ 450h hybrides et PHEV sauf que sa calandre en est ... absente! Ce qui nous éloigne de la calandre en «sablier» à laquelle Lexus nous avait habitués. Incidemment, le logo Lexus au centre de l’avant de mon RZ d’essai était illuminé de soir, une option…Pour le reste, le Lexus RZ 450e est un peu plus court mais aussi plus bas que le RX350 du passé. On y reconnaîtra quand même la silhouette de ces Lexus et surtout la pointe arrière du toit. Quant aux feux, ce design est emprunté de la nouvelle direction de Toyota en matière de design.
Le tableau de bord est certes plus élégant que celui de plusieurs concurrents. (Photo Éric Descarries)
SI l’on passe à l’intérieur, on ne sera pas déçu. Dans le cas du RZ, ce VUM propose beaucoup d’espace intérieur mais la finition exemplaire y est à la fois discrète et très élégante. Le choix des matériaux est recherché, même le cuir synthétique! Le tableau de bord est moderne avec une instrumentation de style vidéo et un imposant écran pour la navigation mais il y a des formes géométriques bien étudiées. Il en va de même pour la console centrale avec ses deux grands porte-gobelets.
En passant, ce Lexus était équipée de la nouvelle version de l’Interface Lexus qui permet des commandes vocales et des échanges avec une machine dont la voix est semblable à celle d’un humain. Cet Interface Lexus peut accepter plusieurs participants et il permet des échanges assez poussées incluant un système de navigation infonuagique. Le système permet même aux «invités» de télécharger certaines ondes qui permettent de déverrouiller les portes. Pour ce faire, «l’invité» doit inscrire son compte auprès de l’Interface Lexus, un abonnement qui pourrait lui servir plusieurs autres fois avec d’autres véhicules Lexus. Je…ne me suis pas abonné à ce système tout simplement parce que je suis un peu «vieux jeu» et je crains toujours que mon «empreinte» soit un jour découverte…
Malgré une apparence plutôt modeste, le compartiment arrière du RZ 450e est vaste et accueillant. (Photo Éric Descarries)
Pour en revenir au véhicule lui-même, notons que les deux sièges baquets d’avant sont très confortables alors que trois passagers peuvent monter à l’arrière dans un environnement dégagé avec beaucoup de dégagement pour les jambes. Le RZ 450e d’essai que j’ai eu était justement à cinq passagers ce qui m’a laissé un espace de chargement de bagages assez intéressant. Notons que pour y accéder, on peut passer le pied sous le pare-chocs arrière (avec le porte-clés émetteur dans les poches) ce que je considère désormais comme un accessoire très pratique!
Il y a beaucoup d’espace pour les bagages des passagers dans le coffre du RZ. (Photo Éric Descarries)
Si l’on regarde sous le capot, on y voit un des deux moteurs électriques (un par essieu ce qui fait du RZ 450e un véhicule à quatre roues motrices). Celui-ci est plus puissant que le moteur semblable que l’on retrouverait sous le capot du Toyota bZ4X ce qui, selon Lexus, fait que le RZ 450e affiche une puissance totale de 308 chevaux (contre 214 pour le Toyota) et 320 li-pi de couple. Évidemment, il n’y a pas de «transmission» ni de différentiel. La fiche technique du RZ 450e ressemble alors beaucoup à celle de plusieurs véhicules électriques (ce qui déçoit les amateurs de mécanique comme moi!). Ah oui! Question pneus, ce Lexus était équipé de larges Dunlop d’été (qui n’auraient aucune caractéristique de traction en situation hors-route, aussi légère soit-elle!) sur jantes de 20 pouces.
Sous le capot se cache un des deux moteurs électriques. (Photo Éric Descarries)
Cette version de luxe du RX était équipée de pneus Dunlop de grandes dimensions sur roues de 20 pouces. (Photo Éric Descarries)
Sur la route
Ce qui est un dommage, c’est que le RZ 450e soit un véhicule électrique…comme les autres. Je l’avoue, le son des mécaniques me manque. Toutefois, les performances sont intéressantes alors que ce lourd véhicule (plus de 4600 livres) soit capable d’atteindre le cap des 100 km/h en moins de six secondes. Les reprises sont encore plus étonnantes. La tenue de route est semblable à celle des autres VUM équivalents alors que la direction demeure relativement rapide et le freinage bien adéquat. Et grâce aux grandes glaces tout le tour, la visibilité y est bonne. Mais il lui manque un certain plaisir de conduite!
Cependant, et je me dois d’y revenir, en exploitant les performances du véhicule, on en réduit la charge électrique plus rapidement. L’espérance d’autonomie de 275 kilomètres peut diminuer plus vite que l’on s’y attend…
Soyons francs. Quand je conduis des autos de presse, j’aime beaucoup faire de petits «road trips». Il n’y a pas meilleure façon d’évaluer un véhicule en toutes circonstances. Par conséquent, en faire du pareil avec le Lexus RZ 450e ne m’a pas paru une bonne idée (par exemple, les gens qui ont livré ce même véhicule de Toronto à Montréal ont dû arrêter deux fois pour le recharger. Cela veut dire qu’il faille trouver des bornes puissantes car, avec son petit chargeur attitré de 6,6 kWh, il faut plus de 10 heures pour compléter la charge !). Pourtant, le RZ 450e a toutes les qualités pour en faire un véhicule idéal pour les longs voyages…mais il ne peut les faire. Voilà donc un véhicule qui ne pourrait répondre à mes besoins, moi qui doit souvent faire des six heures de route (pour aller aux évènements de Toronto, pour aller au circuit routier de CTMP, pour aller voir mon fils en Abitibi, pour aller à la mer et j’en passe). Mais si vous prévoyez que des déplacements courts et de petites balades ou encore, si votre idée d’un VUM de luxe est celle d’un véhicule qui se distingue lors de vos déplacements urbains, alors le RZ 450e est pour vous.
Désolé, Toyota mais cette fois, je suis obligé de reprendre ma cape de «Toyota basher». Le RX 450e est beau, confortable, bien construit, utile et tous les qualificatifs positifs auxquels on peut penser pour décrire un VUM presque parfait. Sauf…
Le Lexus RZ 450e affiche un prix de départ de 64 950 $. Le véhicule que vous voyez ici avait pour quelque 9100 $ d’options incluant une peinture spéciale et des sièges avant ventilés, la clé intelligente avec démarrage à bouton-poussoir, le moniteur à vue panoramique, les sièges avant chauffants, le toit panoramique, le moniteur d’angles morts avec système d’alerte de circulation transversale arrière, le hayon arrière assisté avec capteur activé par le pied, les rétroviseurs extérieurs à inclinaison automatique en marche arrière, les rétroviseurs repliables à réglage assisté, les rétroviseurs extérieurs chauffants, le système intuitif d’aide au stationnement avec freinage automatique, le rétroviseur extérieur électrochromique (côté conducteur seulement), la caméra de recul avec moniteur de guidage arrière, le chauffage frontal radiant aux genoux, le tableau de bord décoré et l’éclairage ombré d'ambiance monochrome. Ajoutez à cela les écofrais d’huile de 18 $, la taxe d’accise pour la climatisation, les frais OMVIC de 10 $ et les frais de transport et de préparation de 2205 $ et l’on obtient un prix final de 76 383 $. Évidemment, selon le modèle choisi, il y aura des rabais gouvernementaux allant jusqu’à 13 000 $ sur le RX 450e.
Je termine en me demandant encore pourquoi Toyota (quand même pas le dernier venu en matière de technologie automobile) a-t-il décidé de mettre sur le marché une voiture électrique avec une si petite autonomie. Les exemples contraires ne manquaient pourtant pas chez les concurrents. Le Lexus RZ 450e est superbe…mais il me laisse perplexe…
Je n’ai pas été au Salon de Detroit !
Il fut un temps où le Salon d l’Auto de Detroit était un «must». Je me souviens de l’époque où je devais partir de chez nous le lendemain du Jour de l’An pour me rendre à Detroit, là où l’on y dévoilait avec fracas de nouveaux modèles, des études de style, de nouvelles technologies et j’en passe. En plus de couvrir les nouvelles autos, j’en profitais pour faire des photoreportages sur les pneus (souvent prototypes) les plus extraordinaires ou sur la mécanique toute nouvelle.
Mais tout ceci est du passé. Le Salon de l’auto de Detroit est, depuis, passé du mois de janvier (terrible pour voyager) au mois de septembre et, bien franchement, il n’affiche certes plus le lustre qu’il avait auparavant. Imaginez-vous, même les constructeurs européens profitaient de Detroit pour lancer leurs nouveautés.
Le Salon de Detroit de 2023 vient de se dérouler dans les grandes salles de l’Huntington Place (ex-Cobo Hall). Voici ce qu’auront été les «grands dévoilements».
Chez GM, la grande nouvelle venait de GMC qui y dévoilait le VUM Acadia 2024 redevenu un grand véhicule semblable au Buick Enclave et au Chevrolet Traverse (son actuelle version intermédiaire n’attire pas la clientèle espérée). De plus, on pouvait y voir la version électrifiée du grand pick-up Sierra maintenant EV. Curieusement, le stand Cadillac ne pr��sentait pas la Celestiq ou l’Escalade IQ électrifié. Mais il y avait les Cadillac CT5 et XT4 tous deux avec avant révisé.
Vu chez GM, le nouveau GMC Acadia. (Photo GM)
Aussi au stand GM, le GMC Sierra EV. (Photo GM)
Chez Ford, la grande nouveauté était la version révisée du F-150 2024 avec calandre redessinée et panneau arrière à multiples fonctions. Il y avait aussi la Mustang Mach-E Rally.
Ford dévoilait son F-150 révisé au Salon de Detroit. (Photo Ford)
Enfin, chez Stellantis, la grande nouveauté était l’actuel Jeep Gladiator à peine retouché pour 2024 avec une nouvelle calandre et un tableau de bord revu avec un plus grand écran.
Chez Stellantis, c’était la place du Jeep Gladiator à peine révisé. (Photo Stellantis)
Parmi les autres déceptions, il n’y avait pas, à Detroit, de nouveau Toyota Land Cruiser alors que Hyundai avait choisi de ne pas s’y montrer avec ses Sonata et Elantra avec avant redessiné (déjà présentés au Salon de Miami).
Ah oui! Il y a eu un Salon à Munich un peu plus tôt. Si quelques nouveautés y ont été présentées par certains constructeurs européens, les récents rapports nous signalent que les visiteurs ont été plus attirés par les autos chinoises (électriques) qui y étaient exposées. On en reparle plus tard!
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Berkeley alum shares her success in the fashion industry with prospective students
At a recent Berkeley College Fashion and Marketing Career Seminar, High School and Community Relations Associate Melissa Coudon didn’t waste any time capturing the attention of participants considering a career in the fashion industry. Big numbers mean big opportunity “One hundred billion items of clothing are produced each year. That translates to nearly 14 items for every human being on the planet,” she began. “So, it comes as no surprise that clothing production represents the world’s third largest manufacturing industry. Let’s also not forget that $49.2 billion is generated by cosmetic sales in the United States each year,” she continued. “With the global cosmetic industry, we’re talking about more than $380 billion dollars. So, don’t listen to anyone who says there's no money in fashion!” With that, Ms. Coudon introduced Francesca Cohen, a 2015 graduate of the Berkeley College Fashion Merchandising and Management program, and the current Director of International Accounts at Milk Makeup, a well-known New York City-based cosmetics and skin care company. Following a lifelong passion “I always knew I wanted a career in fashion, but I thought I wanted to be a designer,” Francesca explained. “Growing up, I always like loved clothes and loved to dress up. I was never into Barbies or anything like that. I always wanted to go shopping!” She said, “I took a few classes in design and sewing and found that the technical side was not for me. I wanted to learn the business of fashion. I did a lot of research and found Berkeley’s fashion program was exactly what I wanted.” “The flexibility of attending the different Berkeley locations was key for me,” according to Francesca. “I attended the New York City campus my first year. When I worked at the Garden State Plaza, I was able to take classes at the Woodland Park campus. Through Berkeley, I was able to do two internships—which were very important. My first internship was at Aritzia in NYC, where I did retail sales, public relations and marketing. My second internship was at Rebecca Minkoff, where I worked production, which is the nuts and bolts of the fashion industry.” A fascinating career journey “Throughout my career journey, I’ve found that networking is key,” Francesca pointed out. “I was working as an account manager in handbags and had friends who worked in the beauty sector. One of my friends told me of an opportunity; I interviewed; got the position and thought I would give beauty a try. Beauty is definitely a faster paced field. I starting working at Becca (Estée Lauder) in operations and production with Sephora accounts. From there I slowly learned about international sales, and I found my niche. Estée Lauder gave me opportunities within Dr. Jart where I was Sales and Marketing Manager and became part of the International Team dealing with Mexico and Columbia. I launched Blush Bar in Columbia. From there I became Manager, Travel Retail Worldwide Marketing Department in Estée Lauder for all accounts in China.” Rebounding to even greater heights after a setback Unfortunately for Francesca, many facilities in China shut down when the COVID-19 pandemic hit, and she lost her job at Estée Lauder. But she quickly bounced back. “With my International experience, I was able to start a position as Director of International Accounts at Mario Badescu Skin Care,” she remembered. “Once again, networking played an important role as I have a friend that told me about the position as Director of International Accounts at Milk Makeup.” Believing in the products she helps to sell “Before pursuing the position, I tried the makeup,” Francesca explained. “I need to believe in the products before I’ll work for a company. Sustainability was also important to me and it plays a big role in the industry. Milk Makeup maintains 100% commitment on sustainability. The products are cruelty-free. We are what’s called a clean make up brand.” When she started at Milk Makeup last year, she was in charge of the Sephora accounts in Europe, AMZ (Australia/Mexico), and Middle East. “I now have added accounts in the UK, so I’ve traveled to London and Paris for negotiations,” she recounted. “And I’ve just returned from our sales meeting in Barcelona.” Empowered by her Berkeley College education Ms. Coudon went on to ask Francesca the ways that her education has helped her along the way in her career. “My Berkeley experience has been instrumental throughout every stage of my career. The classes that I took were so important – Product Development, Retail Math, Retail Buying, Strategies, and so many more,” she said. “The professors were amazing and shared real-life information that helped prepare me with the tools that I would need. And, of course, my internships played a key role in learning the industry.” Offering advice for future fashion industry professionals When asked about the qualities need for success in the fashion business, Francesca responded “Along with an education in fashion, communication, hard work, dedication, and resilience are what employers look for.” She was quick to point out the importance of learning and experience for those with aspirations in the fashion industry. “I would say to start out in production so that you can understand every piece of the fashion business,” she recommended. “In time you will find your specialty as there are so many opportunities.” Francesca also spoke of “misconceptions” about the fashion and beauty industry always being glamourous. “ Behind every event that looks glamorous, like the fashion shows, there are countless people behind the scenes who are just as important as those participating directly in the events,” she noted. “You have to do the work to get the glitz and glamour. The hard work pays off!” As the mother of a young son, Francesca also remarked that, “I love the international aspects of by job, but being away from home can be challenging. Forging a future in fashion Francesca plans on continuing her current path and hopes to one day one day head an International Department. “Ultimately, I’d love to develop a new beauty brand,” she said. “Sometimes it’s all about the right place and the right time.” And it seems like Francesca is developing quite a knack for that. [bts/disclaimer1] Originally published here: https://berkeleycollege.edu/berkeley-today/2023/03/berkeley-alum-shares-her-success-in-the-fashion-industry-with-prospective-students.html
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Le M.U.R. de Bordeaux - DECEMBRE 2022 Performance du collectif MONKEYBIRD
Crédit photo : © Pôle Magnetic, © Denis Coudon
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Le Mont Coudon - Toulon - Provence IMG_20190828_171256 par Jean-Marc PAYET Via Flickr : Quand le Mont Coudon a la tête dans les nuages ! Le mont Coudon est un des principaux sommets des Monts toulonnais. Il culmine à 702 mètres d'altitude. On trouve à ses pieds, entre autres, les communes de Toulon et La Valette-du-Var. Il est simplement surnommé dans la région Le Coudon. #montcoudon #lavalette #lavaletteduvar #lavaletteduvar83 #avenue83 #var #provence #provencealpescotedazur #provencefrance #regionsud #maregionsud #cotedazur #cotedazurfrance #frenchriviera #meteo #nuages #cloudysky #clouds #toulon #toulonforever #toulontourisme #jmlpyt #photography #picoftheday #photooftheday #merveillesdefrance #dream_teavelpix
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Little sunset view on the Mont Coudon, south of France. . . . #ig_france_ #var #lafarlede #montcoudon #coudon #toulon #southoffrance #frenchcastle #frenchmountain #frenchmountains #frenchblogger #landscapephotography #landscapehunter #sceneryphotography #travelblogger #femaletravel #insta_france #frenchriviera #explorefrance #frenchvillage #mountainview #obtopofthemountain #ontopoftherock (at La Farlède) https://www.instagram.com/p/B7jUAuhAgKw/?igshid=6esosh5k4xes
#ig_france_#var#lafarlede#montcoudon#coudon#toulon#southoffrance#frenchcastle#frenchmountain#frenchmountains#frenchblogger#landscapephotography#landscapehunter#sceneryphotography#travelblogger#femaletravel#insta_france#frenchriviera#explorefrance#frenchvillage#mountainview#obtopofthemountain#ontopoftherock
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✩ top poster by Eric Rohman (1930)
✩ director: Clarence Brown (UTenn grad ~ 1910)
✩ bottom poster by Roland Coudon
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Pour mener l'étude, nous avons d'abord sélectionné des villes du monde entier, y compris des villes cyclistes traditionnelles, ainsi que certains endroits moins connus améliorant leur infrastructure cyclable.
Ensuite, nous avons analysé chaque emplacement pour plusieurs facteurs qui déterminent si une ville est bonne pour le vélo ou non.
Pour commencer, nous avons examiné le pourcentage d'utilisateurs de vélos, car il s'agit d'une énorme indication des conditions générales du cyclisme, mais aussi des exigences de base telles que la sécurité, la criminalité liée au vélo et l'infrastructure routière.
Cette recherche a porté sur le nombre de vélos volés, de décès et d'accidents à vélo, la longueur des routes cyclables spécialisées, les investissements dans la qualité de la route et plus encore.
Et voilà l'index Luko 2022 des 90 top villes :
#montréal en 16e ? 🤣 si vous le dites !#los angeles ?#lisboa ?#jakarta?#ben coudon on a dû sauter un épisode 🫣
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Henri Lebasque (French, 1865 -1937)
Le Coudon, Le Pradet , 1923
oil on canvas, 73.00 x 91.40 cm
http://www.blouinartinfo.com/galleryguide-venues/750624/past-results/1
#Henri Lebasque#french art#Lebasque#Le Coudon#post impressionism#landscapes#french postimpressionism#art#mu art#mu
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J'ai réussi à : coudon le blé d'Inde a 22 cennes yest pourri du coton
Et est où la victoire dans ça??
Si mon blé d'Inde best pourri du coton c'est que le blé d'Inde a guéri du sien. 😘
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Toyota RAV4 Hybride Woodland Edition, Plastimania et…une nouvelle Cobra?
Le 8 mars 2023
Parfois, il y a des véhicules que j’ai de la difficulté à saisir. Ce n’est pas qu’ils ne sont pas recommandables. C’est que je me demande pourquoi ils ont été créés. Un des meilleurs exemples, c’est le Toyota RAV4 Hybride Woodland dont il est question cette semaine!
Je sais qu’il y a quelques années, alors que ce blogue était publié dans un grand journal montréalais, j’ai été catalogué comme «Toyota basher». En effet, si ce que j’écrivais ne plaisait pas à un certain nombre de lecteurs qui étaient «vendus» à des produits Toyota (dans la famille de l’un d’eux, il y avait sept Corolla ce qui faisait de cette auto «l’ultime auto» pour eux…), je recevais une volée de bêtises.
Mettons les choses au clair! Pour moi, un véhicule Toyota demeure un véhicule comme un autre. Certains modèles, j’aime. D’autres moins! Ce n’est qu’une question de goûts! Mais si je trouve des défauts, ce n’est pas du «bashing». C’est ce que j’ai constaté! C’est ce que j’ai vécu! Et cela, les gens de Toyota Canada savent le reconnaître…et l’accepter! Et s’il y a du bon, du meilleur, je le soulignerai! Et c’en est le cas pour le RAV4!
Là où j’ai un peu de difficulté, c’est au niveau du besoin d’une version qui se proclame un 4 x 4 tout-terrain comme le Woodland Edition (en passant, il y a un concessionnaire du nom de Woodland Toyota à Verdun près de Montréal…il n’a rien à voir avec la nomenclature de Toyota…). Entendons-nous, le petit VUS (ou VUM, c’est selon) RAV4 de Toyota, c’est un véritable succès commercial. Il a réussi à détrôner la berline Camry dans le cœur de bien des automobilistes. Et ça se comprend! La ligne du véhicule est belle, et encore, beaucoup plus belle que dans le passé. Son design est plus «viril» sans toutefois déplaire à la gent féminine. Et, on en voit partout, sous toutes finitions. Mais de là à en faire une version Woodland qui se veut un «tout-terrain»? Serait-ce pour concurrencer le Ford Bronco Sport (qui est ni plus ni moins qu’un Escape révisé…) que je ne serais pas surpris. Mais jusqu’à quel point Toyota avait-il besoin de créer un RAV 4 «off-road»? Je me le demande…car le constructeur ne suffit déjà pas à la demande! Et plus encore lorsqu’il s’agit de la version Hybride!
Toyota nous propose maintenant la finition Woodland Edition pour son populaire RAV4 Hybride. (Photo Éric Descarries)
Outre cela, le magnifique modèle Woodland qui m’a été confié la semaine dernière est presque une réussite totale. Je dis «presque» parce que (critiques, préparez-vous), je lui ai trouvé des défauts. Eh oui! Le «Toyota basher is back!».
Même de l’arrière, le RAV4 affiche une ligne plaisante. (Photo Éric Descarries)
De l’extérieur, je n’ai rien à redire sur ce petit VUS. Son plus récent redesign est un véritable succès. Les petits ajouts cosmétiques qu’il aura reçus pour en faire une version Woodland le rendent encore plus attrayant. Mais, je vous avertis tout de suite, ce n’est pas un TRD ce qui explique qu’il n’est pas aussi «haut sur pattes» que celui-ci! Mais, il est beau!
Le tableau de bord du RAV4 est mieux aménagé que dans le passé! (Photo Éric Descarries)
Là où je crois que le RAV4 Hybride gagne et perd des points en même temps, c’est à l’intérieur. Tout d’abord, je dois le mentionner, Toyota a revu le tableau de bord et non seulement est-il plus joli mais aussi est-il plus ergonomique. Je me souviens des premiers RAV 4 de cette génération qui avaient certaines commandes placées au bas de la planche de bord, près de la console, où elles étaient difficiles à atteindre. Dans la version 2023, ces mêmes commandes ont été intégrées ailleurs dans la planche de bord où elles se trouvent à la portée de la main (Coudon, les gens de Toyota avait-ils lu mes articles?) . Autrement, tout est bien agencé sauf…Sauf que l’instrumentation est totalement illisible lorsque le soleil reflète sur la lunette du bloc d’instruments (ce n’est pas du Toyota bashing…). Pour le reste, l’aménagement intérieur est virtuellement sans reproche avec des sièges très confortables, un accès facile et même des places arrière généreuses sans oublier un espace de chargement utile et bien dégagé pour un véhicule de ce gabarit. Trois hourras pour le hayon à déploiement électrique!
La lunette du bloc d’instrumentations est facilement éblouie par la lumière selon les angles du soleil…on n’y voit plus rien! L’angle de cette photo ne reproduit pas exactement l’effet mais on en a une idée...(Photo Éric Descarries)
Les places arrière sont vraiment généreuses sur le RAV4. (Photo Éric Descarries)
L’espace du compartiment cargo est non seulement vaste, il est bien conçu avec moins de coins encombrants. (Photo Éric Descarries)
En ce qui a trait à la mécanique, j’ai eu droit à ce que Toyota fait de mieux, la configuration hybride électrique que j’affectionne tout particulièrement. Malheureusement, le constructeur a été la cible de critiques importantes lorsque certaines composantes électriques de ce système ont commencé à corroder dans les RAV4 de notre partie du monde. Le remplacement des pièces a été des plus coûteux mais, à ma connaissance, il semble que Toyota ait pris soin de remplacer ces pièces à ses frais…en espérant que cela ne se reproduise plus (n’est-ce pas la preuve que les constructeurs d’autos devraient avoir des centres d’essais au Québec, là où le climat est tellement rude (peut-être le plus rude au monde!) qu’il peut rendre tant de pièces vulnérables?).
Le moteur du RAV4 Hybride est un quatre cylindres de 2,5 litres combiné à des moteurs électriques. (Photo Éric Descarries)
Donc, mon RAV4 Woodland Edition était mû par le fiable quatre cylindres Toyota de 2,5 litres à principe Atkinson (qui ajoute un cinquième temps à la combustion interne) combiné à deux moteurs électriques, une boîte «automatique» à contrôle électronique à variation continue (eCVT) et un moteur électrique de 58 chevaux (indépendant des ensembles mécaniques) à l’arrière pour produire une motricité aux quatre roues le tout produisant un total de 219 chevaux. La batterie de 1,6 kWh est au lithium-ion. La version Woodland Edition est montée sur roues spécifiques de 18 pouces. Dans le cas de ma voiture d’essai, elle était chaussée d’excellents pneus Bridgestone Blizzak qui se sont avérés très efficaces. La suspension utilise certains éléments de l’option TRD mais le tout a été calibré pour donner au Woodland un comportement routier plus modéré.
Sur la route
J’ai vraiment utilisé le RAV4 Hybrid Woodland Edition à tous ses usages. En ce qui a trait aux accélérations, passer du point mort à 100 km/h demande environ huit secondes et les reprises sont plus rassurantes que prévu. J’ai roulé à vitesse de croisière raisonnable sur autoroute et j’ai pu constater que le véhicule était relativement silencieux sur pavé sec. Sur des routes secondaires des Laurentides, le RAV4 Woodland s’est avéré plus confortable qu’espéré!
À basse vitesse, le (ou les) moteur(s) électrique(s) prennent la relève mais qu’à basse vitesse. Encore une fois, presser sur la commande EV Only ne donne pas un résultat très prolongé. Mais quand le moteur à essence entre en action, il le fait relativement discrètement même si celui-ci n’est pas aussi silencieux ou doux que prévu.
J’ai aussi conduit le RAV4 Hybride Woodland en pleine tempête de neige (ou presque) de Laval à Saint-Jean-sur-Richelieu et en tout temps, je me suis senti en sécurité et en commande du véhicule grâce au système de stabilité et aux pneus Bridgestone Blizzak. De plus, soulignons la belle visibilité que procure la grande «fenestration» du RAV4 ce qui en facilite la conduite et surtout les manœuvres de stationnement en conduite urbaine… Vous aurez aussi compris que je n’ai pas tenté d’excursions hors-route avec ce RAV4 Woodland. Il serait certainement capable d’attaquer des sentiers un peu exigeants mais certes pas de concurrencer des Wrangler ou Bronco de ce monde. Des Bronco Sport ou Jeep Renegade, peut-être…
Question de consommation, je n’ai, cependant, pas été émerveillé. Malgré le fait que l’ordinateur de bord ait indiqué une consommation moyenne de 7,1 l./100 km, mes calculs à la pompe se sont soldés par une moyenne de 7,9. La différence n’est pas terrible mais au total, je m’attendais plutôt à des chiffres autour des 6,0. Peut-être qu’en été…?
Si vous tenez à tirer une remorque, sachez que Toyota recommande de vous en tenir à 1750 livres ou moins (Hybride exige). Les autres RAV4 affichent une capacité qui en est presque le double.
Selon Toyota Canada, le RAV4 Hybride XLE AWD affiche un prix de base de 37 990 $ auquel il faut ajouter l’option de la finition Woodland de 2 190 $. Ajoutons-y les Écofrais de filtres (0,70 $) et huiles (22,50 $) en plus des 100 $ pour le climatiseur, les 10 $ de frais OMVIC et, enfin, les frais de transport et préparation de 1930 $ et on en arrive à un prix final de 42 243,20 $.
Recommandable le RAV4? Bien entendu. Mais ne vous leurrez pas. Il pourrait y avoir quelque petits pépins en cours de route. Après tout, même avec une si belle réputation, le RAV4 demeure un véhicule automobile qui sera rudement mis à l’épreuve chez nous!
Plastimania
Si vous croyez que le «hobby» des modèles réduits à assembler soit une «affaire du passé», essayez de visiter une exposition d’un jour comme celle de Plastimania qui vient de se tenir à Saint-Jean-sur-Richelieu samedi dernier. Vous y verrez des gens de tous âges qui non seulement s’adonnent à ce passe-temps mais qui cherchent à le perfectionner. Il y a de tout, des autos miniatures (surtout) aux avions, aux camions, aux bateaux et même aux figurines…et ce n’est pas que pour les «vieux». La prochaine exposition se tiendra à Drummondville en avril prochain. Je vais vous tenir au courant!
L’exposition/évènement Plastimania a attiré beaucoup de monde à Saint-Jean malgré la «tempête» de neige de samedi dernier. (Photo Éric Descarries)
Une nouvelle Cobra à faire rêver…
Ce n’est un secret pour personne, je suis un grand amateur des légendaires Cobra des années soixante…au point où j’en possède plusieurs modèles de l’échelle 1/87e à…1/1 ! La mienne est une reproduction de 1965 construite par le Québecois Michel Pigeon (et terminée par moi-même) et mue par un V8 de 5,0 litres. Je l’ai depuis plus de 12 ans…mais voilà que le constructeur original, AC Cars en Angleterre, vient de dévoiler son prototype de «nouvelle» Cobra qu’il compte mettre sur le marché d’ici quelques mois. Toujours mue par un moteur Ford de 5,0 litres de 654 chevaux et 575 li-pi de couple (fort possiblement basé sur un tout récent V8 Coyote comme celui que l’on retrouve sous le capot d’une actuelle Mustang) avec boîte manuelle à six vitesses ou automatique à dix rapports, les observateurs les plus aguerris croient que AC demandera quelque 285 000 livres sterling (460 000 $ CAD) pour ce roadster de 1500 kilos avec carrosserie de fibre de carbone sur châssis tubulaire fait en Italie. Devrais-je garder ma bonne vieille Cobra?
La Cobra pourrait être de retour avec un V8 Coyote pour près du demi-million de dollars au Canada…peut-être…(Photo AC Cars).
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Some photos of trail de Coudon. Great experience it was les gars #coudon #trailrunning #ultratrail #toulon #acrotrail #teamchullanka #abma #shortshorts #run
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