#confiance profonde
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sadeyes-dream · 2 years ago
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J’aimerais être aimé 😢
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empiredesimparte · 3 months ago
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⚜ Le Cabinet Noir | N°26 | Francesim, Palais des Tuileries, Paris, 9 Fructidor An 230
In a historic televised address, Emperor Napoleon V, unexpectedly, decides to temporarily hand over power to his beloved wife, Empress Charlotte, thereby instituting a Regency. This unexpected announcement surprised the French public, who had anticipated hearing about the first political actions of his reign. To reassure the nation, Napoleon explains that the Empress will be supported by a trusted council, led by Imperial Prince Henri, who will ensure the continuity and greatness of Francesim.
Beginning ▬ Previous ▬ Next
⚜ Traduction française
Dans une annonce télévisée historique, l’Empereur Napoléon V, contre toute attente, décide de céder temporairement le pouvoir à son épouse bien-aimée, l’Impératrice Charlotte, marquant ainsi la mise en place d’une Régence. Cette déclaration inattendue a surpris le peuple français, qui attendait plutôt les premières mesures politiques de son règne. Pour rassurer la nation, Napoléon indique que l'Impératrice sera épaulée par un conseil de confiance, présidé par le prince impérial Henri, qui veillera à la continuité et à la grandeur de la Francesim.
(Napoléon) Français, françaises,
(Napoléon) C’est avec un profond sentiment de responsabilité et de dévouement envers notre grande nation que je m’adresse à vous aujourd’hui.
(Napoléon) Je veux servir la Francesim avec discernement. Pour cela j’ai, comme les Empereurs avant moi, bien des conquêtes à faire.
(Napoléon) Afin de répondre à toutes les exigences qu’implique mon rôle, j’ai pris la décision de parfaire ma formation militaire à l’Ecole Navale.
(Napoléon) J’ai la ferme conviction qu’elle sera bénéfique à tout l’Empire et renforcera notre position sur la scène internationale.
(Napoléon) Durant cette période, je crois satisfaire l’opinion publique, en même temps que j’obéis à mes sentiments pour l’Impératrice, en la désignant comme Régente.
(Napoléon) L’Impératrice sera assistée par un Conseil composé d’hommes ayant ma confiance, le prince impérial Henri à sa tête. Ensemble, ils travailleront pour la grandeur de la Francesim
(Napoléon) Montrons qu’une nation où règne la confiance résiste aux emportements, et que, maîtresse d’elle-même, elle n’obéit qu’à l’honneur ou à la raison
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mrsines · 2 months ago
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Jalousie
À la demande de @harknessshi en espérant que ça va te plaire.
29"Pouvez-vous s'il vous plaît arrêter d'être si jaloux pendant une seconde"
Agatha x Lecteur
Reader, membre du Coven d'Agatha, se tenait là, entourée par ses anciennes amies et nouvelles compagnes d'aventure. Leurs regards se croisaient dans une ambiance chargée d'électricité, alors qu'elles se préparaient à affronter la nouvelle épreuve, celle d'Alice. L'air était saturé d'excitation et d'anticipation, chaque sorcière arborant un style rock qui tranchait avec le passé traditionnel de leur magie. Reader, avec son jean similicuir noir qui brillait légèrement sous les lumières, dégageait une aura de confiance. Son t-shirt en col en V noir, ajusté à sa silhouette, ajoutait une touche de mystère, tandis que sa veste rouge flamboyante, presque comme une armure, attirait tous les regards.
Agatha, bien qu'elle se tenait parmi elles en tant que leader, ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d'œil vers Reader. Les souvenirs de leur amitié à Salem, teintés de rires et de secrets partagés, s'entrelaçaient avec le ressentiment causé par la quête insatiable de pouvoir d'Agatha. La tension entre elles était palpable, un mélange de nostalgie et de rivalité, comme une danse délicate entre le passé et le présent. Reader, consciente de ce regard insistant, ressentait un frisson parcourir son corps , à la fois intriguée et méfiante.
Autour d'elles, Jen, Alice et Lilia, et l'adolescent pleine de fougue, semblaient prêtes à plonger dans l'inconnu. Les éclats de rire et les murmures enthousiastes résonnaient, mais pour Reader, tout cela était assourdi par le poids de son histoire avec Agatha.
Dans l'atmosphère électrique de la salle, Jen ne pouvait s'empêcher de contempler Reader, son regard captivé par sa beauté saisissante. La façon dont Reader ajustait sa veste rouge, les mouvements fluides de ses bras, la manière dont ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, tout cela faisait battre son cœur un peu plus vite. Jen, déterminée à ne pas laisser passer sa chance, prit une profonde inspiration et s'approcha de Reader.
« Hé, tu sais que cette veste te va à merveille ? » lança Jen avec un sourire charmeur, sa voix douce mais pleine de confiance.
Reader tourna la tête, surprise, mais un sourire se dessina sur ses lèvres. « Merci, Jen. »
« Tu es absolument incroyable, » répondit Jen, s'approchant un peu plus, ses yeux pétillants d'admiration. « Je veux dire, qui d'autre pourrait porter du similicuir et du rouge avec autant de classe ? »
Agatha, observant la scène de loin, plissa les yeux, un regard noir et méfiant s'installant sur son visage. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir une vague de jalousie en voyant Jen flirter avec Reader sous son nez.
« Jen, tu devrais peut-être te concentrer sur l'épreuve plutôt que sur… disons, des distractions, » intervint-elle d'une voix glaciale, le ton chargé de menace.
Reader, consciente de la tension qui montait, essaya de garder son calme. « Je pense que nous avons tous besoin d'un peu de distraction avant de plonger dans ce qui nous attend, tu ne pense pas Agatha ? » dit-elle, lançant un regard complice à Agatha
« Exactement ! » s'exclama Jen, ignorant délibérément le ton d'Agatha. « Et puis, je suis sûre que nous allons toutes briller. Mais je dois admettre, Reader, que c'est toi qui voles la vedette. »
Le regard d'Agatha se durcit encore plus, mais elle ne pouvait pas s'opposer à l'énergie qui émanait de Jen et Reader. La tension était palpable, une bataille silencieuse entre l'amitié, la rivalité et l'attirance.
~oOo~
Agatha était assise dans la cabine de son, le regard perdu dans le vide, la tension palpable dans l'air. Chaque fois qu'elle voyait Jen s'approcher de Reader, une vague d'irritation l'envahissait. Elle levait les yeux au ciel, sa frustration se manifestant par un léger soupir.
Reader, qui avait remarqué l'humeur d'Agatha, décida de la suivre. Elle entra dans la cabine et ferma doucement la porte derrière elle.
"Peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ?" demanda Reader, son ton léger mais direct.
Agatha éclata de rire, un son qui trahissait une nervosité sous-jacente. "Je ne suis pas du tout jalouse," répondit-elle, feignant l'indifférence.
Reader croisa les bras, un sourire amusé sur le visage. "Ah, donc je peux passer tout mon temps avec Jen, ça ne te dérange pas ?"
Agatha leva à nouveau les yeux au ciel, silencieuse, son expression trahissant son malaise. Reader s'approcha d'elle, s'asseyant sur le bord de la chaise.
"J'aime bien te voir jalouse, mais ce n'est pas ce qui te va le mieux," ajouta-t-elle, son regard perçant cherchant à capter l'attention d'Agatha.
Agatha détourna le regard, mais un léger sourire se dessina sur ses lèvres. "Tu sais que je préfère quand tu es avec moi," murmura-t-elle finalement, la jalousie se mêlant à une affection indéniable.
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urween · 7 months ago
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
⚠︎ warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
1 470 mots
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Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-là tu es toujours là pour l'aider à se sentir à l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne à part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là, tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris à utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout à bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
À quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrôler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-là, tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
° x-men masterlist
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jeanchrisosme · 2 months ago
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Il y a quand même des femmes qui n’attendent rien d’un homme, pas de matériel, pas d’argent! Elles veulent juste de l’amour, de la confiance, un grand soutien et de l’affection ... Dans un monde où tout semble parfois devenir échange et intérêt, certaines âmes ne désirent que la simplicité d’un amour sincère. Elles n’ont pas besoin de cadeaux somptueux ou de promesses en l’air ; elles aspirent seulement à la sécurité d’une étreinte, à l’honnêteté d’un regard, à la tendresse d’un mot. Ce sont des cœurs qui battent pour l’essentiel, pour la beauté d’une connexion profonde et authentique. Le plus beau des cadeaux est souvent invisible aux yeux, mais inoubliable dans le cœur
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e642 · 21 days ago
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Il y a quelqu'un qui m'a demandé en message privé si c'était bon ou mauvais signe que je n'inonde plus tumblr de posts aussi imbuvables que redondants. À vrai dire, je ne sais pas trop. Je ne crois pas que ce soit signe d'un état mental parfaitement stable, je me sens juste particulièrement dépassée et le dire ne me fait plus autant de bien. Ça fait déjà quelque temps que j'attends d'avoir des idées, des ressentis, des questionnements nouveaux mais j'en ai pas. Les mêmes choses tournent en boucle. J'essaie aussi de ne pas trop verbaliser et dire exactement ce qui m'angoisse car j'ai la sensation d'y donner vie dès lors que les mots sont posés. Je suis en pleine période de partiel, c'est la 5e année que je me tue la santé à apprendre des choses qui ne me serviront pas ou qui sont évaluées de telle sorte que je ne puisse pas m'en servir dans l'examen. La fac continue de me désespérer, j'aimerais bien plaindre mes profs, chargés de TD et autres mais je commence à saturer de supplier les autres pour qu'ils aient un comportement adéquat. Il faut toujours courir partout et se démener pour avoir un cours, pour avoir un partiel sans faute, pour qu'une convention soit signée au bout d'un mois. Les gens ont des choses à faire, des pressions extérieures que je ne peux pas comprendre très certainement mais j'ai plus envie de docilement dire que c'est rien. C'est pas rien vraiment. En janvier, je sais que ça va commencer à être compliqué du fait que les partiels continuent, qu'on doit rendre des dossiers assez importants, que je dois commencer le stage, commencer le semestre d'après, écrire un rapport de stage de 3000 manières différentes pour m'adapter aux masters auxquels je vais devoir candidater. Tout ça en 3 mois bon. Je poursuis ma quête de la paix et du silence en sortant très peu, en voyant le moins de personne possible en ne tissant aucun lien profond. Mon copain est anormalement gentil et bienveillant et ça me donne seulement l'impression qu'il me cache quelque chose. Je me dis qu'il n'est pas impossible que dans quelques mois je découvre un fait ou un évènement perturbant. Remarque, avec un emploi du temps haché, changeant, faux, des périodes où on se voit peu, je ne peux que douter. Il me dit souvent de rationaliser et lui faire confiance. C'est un concept de demander la confiance de la même personne à qui on a brisé ladite confiance. De toute façon, j'ai l'impression que c'est un peu le propre de nous tous de faire ça, créer un traumatisme et finir par le reprocher. Je ne me sens ni bien, ni mal, seulement seule et insuffisante. Cette année passe à une vitesse et une lenteur terrifiante. Tout s'enchaîne et s'enchaînera. Je m'apprête seulement à entrer dans l'œil du cyclone et j'ai pas envie mais ça passera ça, comme tout depuis le début de mon existence. C'est peut-être la seule pensée pseudo réconfortante.
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claudehenrion · 7 months ago
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Madre mía...
Cette interjection espagnole décrit parfaitement notre situation incompréhensible : au delà d'un certain point, il ne reste plus qu'une mère, pour apporter du secours (NDLR : le même ''SOS'', dit en arabe et en onomatopées, n'est pas mal non plus : ''Taï taï taï... Ya ouili, ouili, ouili...''). En français, on dispose de la magnifique ''Une fois qu'on a passé les bornes, y'a plus de limites'' d'Alphonse Allais. Mais aujourd'hui, on a besoin de toute la richesse de toutes les langues pour tenter de décrire le méga bordel (Si vous avez un mot aussi précis, je suis preneur !) qu'est la France, en ce lendemain des ''Européennes''..
Il y a 3 ou 4 jours, je vous avais timidement prévenus (cf. ''Les dangereuses Européennes''), mais qui aurait pu prévoir que, seule parmi les nations du monde civilisé –dont la plupart votent, ces temps-ci-- la France n'était même plus capable de résister au choc (?) indirect d'une élection totalement indépendante de ses règles de fonctionnement. Son chef, qui passe le plus clair de son temps à donner des leçons –sans queue ni tête, mais très coûteuses et très risquées-- au monde entier, qui s'en fout, et à dépenser en Ukraine l'argent qu'il s'est arrangé pour que... nous ne l'ayons plus... n'est même pas capable de résister 24 h à la poussée démocratique et parfaitement légale d'un parti politique parfaitement légitime... et classé premier dans son pays ! A titre purement personnel, j'ai espéré, contre toute raison, que l'intelligence ''Marion-Eric'' ferait une percée. Je savais mon pari perdu, il l'a été. Dommage pour tout le monde. Il nous reste à digérer une super gueule de bois.
Mais les lecteurs réguliers de ce blog savent ma confiance profonde dans l'existence, invisible mais efficace in fine, d'une ''justice immanente'' qui finit par rattraper ceux qui ont échappé à la soi-disant ''justice'' des hommes, des Etats et, le cas échéant, de Dupont-Moretti (je dis ça pour rigoler !). Les anciens disaient ''Il est puni par où il a péché'', et la sagesse des nations a effectivement remis les choses en place : après sept trop longues années durant lesquelles il a passé son temps à vomir sur un quart, devenant pas sa faute un bon un tiers, des français (càd. ceux qui refusaient ses visions changeantes d'un avenir qui ne pouvait conduire qu'à la catastrophe collective et au malheur individuel), notre président-ado se retrouve seul devant le méchant destin qu'il nous avait concocté à grands coups de mauvaises décisions, d'analyses foireuses, de croyances progressistes et (donc) de solutions perverses, pires que le mal...
Et maintenant ? La révolte des braves gens a, une fois de plus, écarté la menace immédiate d'un macronisme pervers... Mais –ce qui n'était pas prévu, et même jugé et juré impossible par les ''ceux-qui-savaient''-- toutes les digues ont lâché, d'un coup, en cinq minutes-chrono ! Il ne voulait pas d'une victoire même minoritaire du Rassemblement national ? Il a réussi à fabriquer un tsunami-RN qui risque de tout emporter... Car si –comme beaucoup le supposent-- le triomphe européen du tandem Le Pen-Bardella se confirme aux législatives annoncées et bricolées à la hâte, quelle autre issue lui restera-t-il que de (se) démissionner lui-même, après avoir démissionné la bande de nullissimes qu'il traînait derrière lui et dont il nous imposait, contre notre gré mille fois répété, les effroyables idées, l'arrogance méprisante, les références mortifères et la bêtise inculte... encore que, entend-on dire, ici ou là, ''n'est pas De Gaulle qui veut''.
Ce scrutin européen et ses conséquences totalement imprévues nous ont tout de même apporté quelques bonnes nouvelles : la joie, en premier, de savoir que la bande de cuistres gauchisants qui avaient été élus dans le sillage de Macron –et à qui nous devons tant de décisions aux conséquences souvent mortelles pour la Nation-- va disparaître en grande partie. Un nombre grandissant de français n'en pouvaient plus, de les voir se pavaner à nos frais en mettant aux voix les pires idées possibles. Une autre bonne nouvelle, c'est le ratatinement des ''écologistes punitifs'' qui ont fait tant de mal à notre jeunesse (combien d'enfants ont grandi dans un univers de terreur, par leur faute ? Il ne faut jamais le leur pardonner), comme aussi à notre industrie, à nos agriculteurs, à notre économie, à nos choix politiques, etc... Mais ils nous ont tant fait de mal, à nous et à la France, qu'il est presque normal qu'on leur en veuille..
Essayons de rester dans les sujets fondamentaux : Emmanuel Macron nous a ''baladés'' pendant son quinquennat et demi dans les horreurs de sa pensée narcissique et erratico-progressiste : pas de programme, pas de buts, pas de direction générale –autres que cette Europe anthropophage, invivable et dystopique, qu'il a prétendu nous imposer aux dépens de notre France, dont nous sommes si nombreux à vouloir la pérennité. Nous lui devons l'effondrement de notre diplomatie et de notre poids dans le monde, une déroute absolument dramatique en Afrique de l'Ouest, notre humiliation permanente devant l'Algérie confite dans la haine pathologique qui reste la seule raison d'être d'un personnel politique corrompu et, plus récemment, ses prises de risque illimitées devant un adversaire qui nous surclasse sur tous les chapitres, en multipliant sans raison objective (Poutine n'a pas la possibilité de nuire à d'autres pays : il ne parvient pas à prendre plus de 10 ou 20 km² en Ukraine. On agite devant nous un épouvantail...) des engagements intenables auprès d'un pays croupion avec lequel nous n'avons jamais eu de relations autres que mercantiles et à court terme...
Son bilan –le jour où il faudra le faire-- se résumera sans doute à son affirmation péremptoire de ramener le RN à trois fois rien... Bravo, l'artiste ! Que croyez-vous qu'il en tire comme leçon ? Le fait d'être écrabouillé à plates coutures est pour lui une raison suffisante pour –surtout-- ne pas changer de stratégie... et en remettre une couche, en confiant aux chaînes d'un ''Sévice Public'' à sa botte (argent illimité oblige !) ses ''conseils pour le vote à venir''... que tout le monde attend, pour rigoler d'abord, puis les transgresser ensuite. Il refuse de voir à quel point il est rejeté –presque trop, même, d'après moi. Mais allez percer la logique d'un ado trop gâté par la vie...
Le futur immédiat est clair : on peut supposer que, quelles que soient les paroles jetées en pâture aux gogos, la Gauche va reprendre ses habituelles magouilles sans foi ni loi : la seule chose qui compte, c'est de garder les sinécures et de nuire autant que possible à la France, au profit (?) d'idéologies plus perverses les unes que les autres... et la Droite va continuer à ''déconner un max'' en refusant toute démarche de rapprochement qui pourrait tout remettre sur pied et dans le bon sens. Et Macron risque fort de se retrouver avec une Assemblée encore plus ingouvernable que l'actuelle, sans aucun bricolage possible en vue d'une majorité... Ou alors (aujourd'hui, c'est le plus probable), une majorité pour le RN qui ne laisse qu'un seul ''choix'' : ''Jordan à Matignon'' (et Fabius, qui s'autorise à paralyser le choix du peuple français, au nom de sa démocratie partisane.).
Et là... la haine anti-Droite de Macron + la haine pathologique de l'extrême Gauche pour tout ce qui n'est pas elle... risquent d'ouvrir la porte aux pires excès, aux mouvements les plus destructeurs, à la phraséologie la plus génératrice de haines-à-venir qui soient. Une fois encore... notre ultime chance reste de demander à Dieu de sauver la France. On peut espérer un résultat, mais il n'est pas certain que ça marche en 2024 aussi bien qu'en 1428 avec Jehanne d'Arc ! On va donc attendre. Mais quoi ?
H-Cl.
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ltalaynareor · 6 months ago
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Le chemin de la voyageuse
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La brise chaude de Jérusalem caressait les murs des remparts de la cité, tandis que la silhouette élégante d'Alix se faufilait dans les ruelles étroites. Le crépuscule avait enveloppé la ville de sa lumière dorée, et elle savait qu'elle ne pouvait plus reculer. Son destin l'attendait au palais du roi Baudouin et elle était déterminée à accomplir son destin.
Alix avait réussi à gagner la confiance des serviteurs du roi et à se frayer un chemin jusqu'à sa chambre. Lorsqu'elle posa les yeux sur le jeune monarque affaibli par la maladie, elle ressentit une profonde tristesse et une compassion infinie. Sans hésiter, elle mit en œuvre ses connaissances médicales modernes pour soulager les symptômes de Baudouin et apporter un souffle de vie à son corps meurtri.
Les jours passèrent, et Alix fut étonnée de la rapidité avec laquelle Baudouin se rétablissait sous ses soins diligents. Le roi lui accordait son entière confiance, ignorant la véritable origine de la mystérieuse guérisseuse qui avait rejoint son entourage.
Pourtant, un matin, Alix disparut sans laisser de trace, laissant Baudouin désespéré et tourmenté par son absence soudaine. Il chercha partout, fit interroger les villageois, les commerçants, les voyageurs, mais aucun ne semblait avoir vu ou entendu parler de la jeune femme qui avait apporté un rayon de lumière dans sa vie sombre.
C'est alors qu'il découvrit une lettre soigneusement pliée sur son lit, ne contenant que quelques mots : "Sois un grand roi". Intrigué et ému par ce message énigmatique, Baudouin comprit que la disparition d'Alix était peut-être un signe du destin, sa maladie avait disparu et désormais il devait régner. Il pouvait régner.
Et tandis que le soleil se levait sur Jérusalem, Baudouin IV se tint debout, l'esprit rempli de détermination et de gratitude envers la mystérieuse femme du 21e siècle qui avait croisé son chemin et lui avait offert une lueur d'espoir dans l'obscurité de son existence.
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cafetplume · 5 months ago
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Extrait de la lettre de rupture de Jean-François Champollion pour Zelmire :
"Oui, la langue égyptienne n'était pas seule à être enveloppée de ténèbres. Vous êtes, Zelmire, le hiéroglyphe le plus douloureusement impénétrable auquel je n'ai jamais été confronté. Votre image est une composition inconnue à laquelle je n'ai su résister. Des signes. Vos gestes, votre regard, votre voix. Des idéogrammes, vos créations, votre talent, vos engagements politiques. Cet ensemble c'est immédiatement inscrit en moi au plus profond. Une inscription énigmatiquement imprégnée de mes plus anciennes, de mes plus intimes réminiscences qui m'a transporté dans une région de moi-même dont elle m'a révélé l'existence. Y aurait-il dans cette écriture quelques métaphores cachées, une clé secrète. Je n'ai malheureusement pas trouvé la pierre de rosette qui m'eut aidé à vous déchiffrer. Elle m’eut peut-être sauvé. Notre séparation, votre silence, je les récent comme une perte de ma propre substance. Des bribes de ma chair sont restées accrochées à cette écriture mystérieuse, inaccessible, l'être aimé. Vous. L'être aimé. Vous. Je sais, je tente de m'en convaincre que je ne vous ai pas été indifférent. Ce qui m'a été le plus pénible sans doute, je vous le confesse, c'est une singularité que je n'ai rencontré que chez vous dans vos lettres. Je veux parler de ces lignes soigneusement biffées, de ces phrases entièrement rendues illisibles par des ratures serrées. Comme si dans un impitoyable retrait vous aviez tout de suite voulu effacer des moments de confiance, d'abandon, qui peut-être m'eussent comblé. C'est en tout cas ce que j'imagine maintenant avec quelle amertume. Cette attente que vous m'imposez, je ne puis plus la supporter. Ceci est ma dernière lettre. Fasse le ciel que l'Égypte, ses monuments, ses pharaons, ses sarcophages me permettent de vous oublier. Il y va de ma survie. Adieu. "
Et oui... Certaines écritures restent indéchiffrables...
Ces lettres sont rassemblées dans un recueil. C'est ici pour plus de détails :
https://www.asiatheque.com/fr/livre/lettres-a-zelmire
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au-jardin-de-mon-coeur · 11 months ago
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Notre lumière...
Notre peur la plus profonde
N'est pas que nous ne soyons pas à la hauteur de la Vie.
Notre peur la plus profonde est d'arriver à comprendre l'ampleur de notre résilience.
C'est notre lumière et non notre obscurité qui nous effraient plus. Nous nous posons la question : qui suis-je, moi, pour devenir un être singulier ? En fait, qui êtes-vous pour ne pas le devenir ?
Vous êtes un enfant de la Vie ! Vous limiter, voir petit, vivre petit, ne rend pas le monde meilleur...nous sommes tous appelés à croire et espérer, tout comme les enfants !
Nous sommes nés afin de témoigner la Vie qui est en nous. Elle est en chacun de nous, et pas seulement chez quelques élus ! Et si nous donnons à voir notre propre lumière, les autres auront envie de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre confiance et notre espoir libèrent la vraie Vie. Chez les autres et chez nous !
Marianne williamson
Une réflexion profonde qui résonne avec l'éclat de la réalité. Il est essentiel de reconnaître notre propre lumière pour illuminer le chemin des autres.
#au-jardin-de-mon-coeur
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lisaalmeida · 1 year ago
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L’intimité affective implique une certaine ouverture à l’autre un « échange des cœurs » grâce auquel sont partagé les états d’âmes, les sentiments les plus profonds, les fragilités émotionnelles. Ce dévoilement, cette mise à nu émotionnelle est possible à le condition d’avoir confiance en l’autre, d’être profondément convaincu de l’authenticité des sentiments de l’autre. Dans l’état amoureux, on retrouve une disponibilité quasi total à l’autre, ce qui est propice d’embrasser les émotions. Il faut se connaître soi, mais aussi connaître l’autre...
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Le fait d’avoir conscience de nos vulnérabilités émotionnelles ne nous permet pas de les voir disparaître, mais en tout cas, avec une conception plus approfondie de ces dernières implique qu’à chaque fois qu’elles font irruption dans notre vie, on est capable de les identifier et de les contrôler, les empêchant ainsi de noyer nos connexions émotionnelles...
Notre héritage émotionnel, ou la clé pour se connecter :
Notre héritage émotionnel exerce un fort impact sur notre capacité à nous connecter émotionnellement aux autres, et à savoir à quelle occasion le faire...
Il n’est pas facile de s’exposer à nos souvenirs et à ces sensations pouvant nous être désagréables, mais bien souvent, ce n’est pas bien utile non plus.
Cependant, pour de nombreuses raisons, il est préférable d’ôter ses vêtements et de se mettre à nu :
Si on veut avoir des relations plus significatives, il est important de prendre le temps de se tourner vers le passé et de soigner les blessures émotionnelles de notre enfance.
Le conduit qui transporte nos messages émotionnels doit être découvert afin que nos réactions ne prennent pas le dessus sur nous. Par exemple, lorsque l’on dit que «mon frère me met hors de moi», on a en fait la sensation qu’il sait exactement quoi faire pour nous énerver.
Connaître ces règles de réaction émotionnelle et les communiquer, cela nous permet de régénérer nos pensées et notre état de bien-être général.
Ainsi, quand on mène un travail de connaissance de soi, notre dialogue interne peut réussir à transformer un «Ces personnes représentent un danger pour moi» en un «La façon dont elles m’ont traité m’a fait du mal, mais dorénavant j’en suis conscient, et je fais tout pour que cela n’ait pas d’influence sur moi».
Quand on accède à notre héritage émotionnel et que l’on comprend de quelle façon les sentiments du passé teintent les expériences du présent, on peut alors être plus habile au moment de tisser des liens solides et sains avec ceux qui nous entourent.
Etre conscient des filtres émotionnels et des carapaces qu’on se construit contribue à faire de nous un habile lecteur et interprète, aussi bien des tentatives de connexion des autres que des nôtres.
Il n’est pas facile de mettre à nu une personne blessée...
Mettre émotionnellement à nu les personnes très marquées par leur passé peut se révéler difficile, puisqu’il faut lutter contre les carapaces, les vêtements qui les rendent inaccessibles, les désillusions qui enveloppent la personne, les peurs du rejet, de l’abandon, de la solitude…
Pour ce faire, il faut être intelligent, aimer la personne et ouvrir ses oreilles, ses yeux et sa peau en en bannissant les préjugés et le jugement. Autrement dit, ce qu’il nous faut, c’est une écoute active émotionnelle au travers de tous nos sens sans «mais» ni virgules.
On doit alors savoir qu’une mise à nu émotionnelle ne se crée pas dans n’importe quel type d’environnement, mais que les conditions idéales doivent être réunies pour générer des émotions, les ressentir, les manipuler, les examiner et les utiliser...
Les scénarios émotionnels idéaux pour la mise à nu sont ceux où prime l’écoute depuis l’intérieur, l’empathie et l’intelligence émotionnelle ; les scénarios où sont favorisées la communication et la compréhension basées sur le respect et la tolérance.
Il n’y a qu’ainsi que l’on peut réussir à créer une ambiance émotionnellement décontractée pouvant nous permettre de nous adonner à la relation intime, à la mise à nu des peurs, des manques d’assurance et de la vérité émotionnelle. Il n’y a qu’ainsi que l’on peut atteindre ces câlins qui rompent les peurs, qui nous font fermer les yeux et qui livrent à 200% notre corps et notre âme à l’autre...
Via "nos pensées"
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petit-atelier-de-poesie · 1 year ago
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NOTE DE LECTURE : Lait et miel. Rupi Kaur. 2017
Voici un recueil de poésie dont j'avais tellement entendu parlé et qui mérite tellement le succès qu'il a reçu.  J'ai découvert la première partie : souffrir, comme un coup de poing dans le ventre, et je ne m'y attendais pas. C'est une blessure lointaine et profonde et l'autrice trouve les mots justes pour parler de violence et de silence. Elle ouvre sa douleur à la poésie.  La deuxième partie : aimer, m'a rappelé combien cette émotion peut être encore si proche de souffrir. C'est une sentiment espéré et impossible dont elle parle comme de fusion et de consolation, comme le sont les amours toxiques.  A partir de la troisième partie : rompre, pour se libérer et s'affirmer. Là c'est l'amour propre qui est évoqué, voire revendiqué avec l'acceptation de soi dans sa singularité.  Enfin, la dernière partie : guérir, prend un autre ton, lait et miel, pour aller vers la résilience et la confiance. La poésie est finalement sublime et salvatrice, pour la poétesse comme pour ses lectrices.  C'est donc un très beau recueil de poésie, et qui m'a beaucoup touchée, une poésie simple et accessible, contemporaine et universelle, féministe et libre, comme ses vers.
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jeanchrisosme · 11 months ago
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Je sais... Je sais comme à l'intérieur tu as mal. Je sais comme parfois tu pleures sans que personne ne le sache. Je sais que tu vis dans la peur d'être jugé. Je sais comme tu attends depuis longtemps des relations profondes et sincères. Je sais comme une parole peut t'impacter telle une balle qui vient trouer ton coeur. Je sais comme dans ce monde tu as déjà beaucoup souffert. Je sais que tu as toujours beaucoup donné, voir trop au point même de ne plus savoir qui tu es. Je sais comme certains, certaines ont cherchés à éteindre ta lumière. Je sais comme tu penses depuis si longtemps que tu seras seul ici toute ta vie. Je sais comme tu es émotionnellement épuisé. Je sais que parfois tu es fatigué de te battre. Je sais comme parfois tu tournes ton regard vers le ciel, implorant de l'aide, qu'on vienne te libérer. Je sais à quel point on a cherché à te changer. Je sais comme on t'a maltraité, comme chaque cellule et chaque parcelle de ton corps ont été fracassées. Je sais qu'il est difficile pour toi de trouver ta place et ta voix. Je sais que tu as peur de souffrir encore. Je sais que tu restes seul parce que tu as peur que personne ne te comprenne et ne t'accueille tel que tu es. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi toi tu fais tout avec le coeur et pourquoi les autres pas. Je sais cette profonde solitude qui vit en toi. Je sais comme tes émotions parfois t'étouffent et te donnent mal au ventre. Je sais comme tu étouffes quand il y a trop de monde dans la pièce ou là dehors. Je sais comme tu aimes aider parfois même au détriment de ton énergie. Je sais comme tu n'oses même plus parler par peur qu'on vienne casser tes rêves. Moi voilà ce que je vois en toi... Je vois ta force de faire face à tant de choses et pourtant être encore en vie ici. Je te vois reconnaître le bon chez les gens et crois moi ce n'est pas donné à tout le monde. Je vois ta lumière, ta capacité d'amour et de pardon. Je te vois inchangé, aligné dans ta bonté quand beaucoup d'autres aurait déjà basculé dans l'obscurité à faire souffrir pour se venger. Je te vois comme fédérant et incarnant ce dont ce monde à le plus besoin. Je vois ton coeur pur et loyal. Je te vois capable d'affronter tous les combats que la vie te donnera, je ne vois pas un seul mal dont tu ne te relèverais pas. Je vois ta foi inébranlable et pourquoi tu mènes tes combats. Je vois comme tu ressens la vérité derrière les mots et les émotions des autres qui te rendent solidaire. Je vois comme ta sensibilité révèle ta qualité d'être. Je vois comme tes pleurs transpirent de vérité. Je vois comme tu pétilles et rayonnes quand tu acceptes simplement qui tu es sans ne plus mener de combat avec toi même. Et quand parfois tu penseras marcher seul, remets en toi à moi et aie confiance en toi.
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e642 · 9 months ago
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être irréprochable ou ne pas l'être
C'est un secret pour tout mon entourage mais je suis toujours en contact avec mon ex. Ça a longtemps été conflictuel, froid, ambigu. Aujourd'hui, je suis soignée de cette rupture, de ces mois d'attente et du deuil à son égard. Guérie au point d'avoir réussi à vider mon cœur de la rancœur, de la colère, de la frustration, de la désillusion qui l'ont rongé des années durant. Pour ne pas mentir, on se s'est jamais revus de manière platonique après notre rupture. Pourtant, plus le temps passe et plus je sens une profonde affection et compersion, mais plus aucune tension. Je serais de mauvaise foi si je disais que ce n'est pas quelqu'un d'exceptionnel, que je ne prendrais pas plaisir à le revoir, pour autant, il ne me manque pas. Je le remercie de toutes les leçons qu'il m'a apporté. Si je parle de ça, c'est qu'on discute de nous revoir sous peu. Ma conviction qui est aussi une condition, c'est une rencontre platonique. Je saurais m'y tenir mais je me sens mal. Mal parce qu'au fond, si je suis honnête et que je tente de me mettre à la place de mon copain actuel, cela représente une violation du contrat. Bien que je sache qu'il ne se passera rien et tant pis si nous n'avons pas les mêmes intentions, ça reste un acte secret, dans le dos et surtout un immense manque de respect. Je n'aurais plus de légitimité ni de crédibilité après ça concernant le mensonge et la confiance. Certes, je n'ai pas le copain idéal et ses comportements à mon égard ne sont et n'ont pas toujours été idéaux, mais je ne crois pas que ce soit une raison valable pour m'autoriser ça. Je ne sais pas si je l'aime ou si je l'aime beaucoup (le quantifieur faisant toute la différence) mais je sais que je n'aurais pas accepté qu'il fasse la même chose de son côté, peut-être que mes arguments tiendraient mieux la route que les siens, mais au final, ça reste la même chose. Je le respecte beaucoup mine de rien et j'ai envie d'être la version de moi qui ne faillit pas, qui reste intacte, qui ne cède pas à la facilité. Je ne sais pas si je pourrais toujours le regarder droit dans les yeux si je ne suis pas droite dans la conduite. Il ne mérite pas ça même si mes intérêts sont dépourvus d'ambiguïté. J'ai pas envie d'être comme j'ai pu l'être: à côté de la plaque, répréhensible, menteuse. Finalement, je ne sais pas si je pourrais bien vivre avec ce poids qui ne s'allègera jamais car je ne pourrai jamais en parler nulle part. C'est un cas de conscience qui se présente à moi, l'ignorer serait m'inscrire dans la continuité directe de qui je pense ne plus être.
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soitamespieds · 1 year ago
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La gardienne de la clé de votre cage possède votre plus grand secret
Au cœur des dynamiques les plus profondes de l'âme humaine se cachent des désirs et des secrets qui défient souvent les conventions établies. La cage de chasteté, loin d'être un simple accessoire, devient une extension de cette dynamique, un symbole puissant de soumission et de contrôle. Mais plus que la cage elle-même, c'est la gardienne de sa clé qui joue un rôle central. Elle détient le secret le plus insaisissable, celui qui est tu même dans les murmures les plus discrets.
La cage est bien plus qu'un objet. Elle est une déclaration, un engagement, un choix délibéré d'entraver une partie de soi. Pour celui ou celle qui la porte, elle devient un rappel constant, une épreuve continuelle de dévotion, de confiance et d'abandon. Elle représente une promesse faite non seulement à soi-même mais surtout à la gardienne.
La gardienne, avec cette clé entre ses mains, se voit confier un pouvoir immense. C'est une responsabilité qui va bien au-delà de la simple possession d'un objet. Elle détient un secret, un pacte silencieux scellé entre elle et le porteur de la cage. Chaque interaction, chaque regard échangé, est empreint d'une signification profonde, d'une tension palpable.
Cette relation, teintée d'une dynamique unique de pouvoir, est complexe et multifacette. Pour le porteur de la cage, confier la clé à la gardienne c'est se rendre vulnérable, c'est une soumission totale à une autre personne. Pour la gardienne, c'est assumer une position dominante avec toutes les responsabilités que cela comporte. Elle doit être à la fois stricte et bienveillante, toujours à l'écoute et consciente des limites.
Il faut aussi reconnaître le courage que cela implique pour les deux parties. Dans une société souvent prompte à juger, choisir de porter une cage de chasteté ou d'en être la gardienne est audacieux. C'est un acte de rébellion contre les normes, une déclaration d'indépendance face aux jugements.
En définitive, la gardienne de la clé et la cage de chasteté incarnent une relation profonde et complexe, une danse éternelle entre pouvoir et soumission. Derrière cette dynamique se cache un monde d'émotions, de désirs inavoués, et surtout, un secret insaisissable qui, bien que caché, donne une essence unique à leur relation.
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mrsines · 1 month ago
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Destinée Enchantée
Chapitre 9 : Un secret bien gardé
Ce chapitre contient une scène 🔞 elle resta en route pour que veux que ceux qui ne ce sente pas a l’aise puisse ne pas la lire
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Dans la pénombre du caveau de Regina, l'atmosphère était chargée de mystère et d'anticipation. Les murs en pierre, humides et froids, étaient ornés de vieux grimoires et de potions mystérieuses, créant un décor à la fois intimidant et fascinant. Lucillia, une jeune femme aux yeux pétillants d'enthousiasme, se tenait au centre de la pièce, entourée d'une lueur vacillante émanant de bougies disposées sur une table en bois ancien. 
Regina, avec une aura de puissance et de sagesse, observait Lucillia avec un mélange de fierté et de bienveillance. Elle s'approcha lentement, ses mouvements gracieux et sûrs, comme si chaque geste était empreint d'une intention profonde. La lumière dans la pièce dansait sur son visage, révélant des traits marqués par des années de luttes et de triomphes. 
Alors que Regina commençait à expliquer les bases de la magie, Lucillia l'écoutait avec une attention soutenue, ses yeux brillants d'admiration. La jeune fille se tenait droite, ses mains légèrement tremblantes, trahissant son excitation mêlée à une certaine appréhension. Regina, consciente de l'importance de ce moment, prenait soin de créer un environnement où Lucillia se sentirait à l'aise pour poser des questions et explorer ses capacités. 
Des notes de parfum d'herbes et de fleurs séchées flottaient dans l'air, ajoutant une dimension presque envoûtante à l'ambiance. Regina, avec un léger sourire, commençait à tracer des symboles dans l'air, des éclats de lumière scintillant autour d'eux, tandis que Lucillia, captivée, tentait de reproduire les gestes de sa mentor. Ce moment, empreint de magie et de connexion, marquait le début d'un apprentissage qui changerait à jamais le destin des deux femmes.
Regina s'approcha de la table, un grand vase en céramique dans les bras, décoré de motifs délicats et colorés qui captivaient le regard. Elle le déposa avec soin devant Lucillia, le bruit sourd du vase résonnant dans le silence de la pièce. Regina, avec un sourire encourageant, leva les yeux vers la jeune femme et déclara d'une voix ferme : 
« Vas-y, détruis-le. »
Lucillia, les yeux écarquillés, se figea un instant. La panique se lisait sur son visage alors qu'elle dévisageait le vase, son cœur battant la chamade
. « Je ne peux pas ! » s'exclama-t-elle, sa voix trahissant son anxiété. « Je vais tout faire exploser ! » 
Elle reculait légèrement, comme si l'idée même de briser l'objet lui semblait insurmontable.Regina, voyant l'effroi dans les yeux de Lucillia, s'approcha d'elle avec douceur. Elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, lui offrant un ancrage dans ce moment de tourmente. 
« Écoute-moi, Lucillia, » dit-elle d'une voix apaisante. « J'ai confiance en toi. Tu peux le faire. Tu as en toi la force nécessaire. » 
Ses mots, empreints de conviction, résonnaient dans l'air, créant une bulle de soutien autour d'elles. Lucillia, inspirant profondément, commença à ressentir un mélange de détermination et d'appréhension. Elle plongea son regard dans celui de Regina, cherchant du réconfort dans la confiance que sa mentor lui témoignait un sourire d'encouragement sur les lèvres.
Lilia savais que  Lucillia  avait un rendez-vous avec Regina pour sa magie. La pensée lui provoqua un frisson d'irritation. Elle détestait ces séances,. Le visage de Regina, avec son sourire confiant et ses yeux pétillants d'excitation, lui revenait en mémoire, et cela ne faisait qu'accroître son agacement.
Décidée à ne pas laissez Lucillia avec Regina , Lilia se dirigea vers la cave de Regina. Les murs de la maison semblaient se resserrer autour d'elle alors qu'elle descendait les marches étroites, chaque pas résonnant dans le silence. L'air devenait plus frais, chargé d'une odeur terreuse et de mystère. Les ombres dans la cave dansaient autour d'elle, créant une atmosphère à la fois inquiétante et fascinante.
Arrivée au bas des marches, elle observa les étagères encombrées d'objets étranges, de fioles scintillantes et de livres anciens, témoins d'un savoir ancien. Lilia se sentait à la fois attirée et repoussée par cet endroit, un sanctuaire de magie qui lui était étranger.
Lilia observait la scène avec un mélange de frustration et d'inquiétude. Elle se tenait à l'écart, cachée derrière une porte entrouverte, les bras croisés et le visage légèrement plissé. Regina était là, derrière Lucillia, leurs corps trop proches à son goût. Les mains de Regina reposaient sur les épaules de Lucillia, une proximité qui lui semblait inappropriée. 
Lucillia, dans un élan de confiance, fit exploser la vase, la céramique se brisant en mille morceaux qui scintillaient dans l'air. Un silence stupéfait suivit l'explosion, avant que Regina ne laisse échapper un éclat de rire.
« Oui ! C'est incroyable ! » s'exclama Regina, en serrant Lucillia dans ses bras. 
Lilia sentit une vague de jalousie l'envahir en voyant la fierté sur le visage de Regina, son regard brillant comme si elle venait de découvrir un trésor.  À cet instant précis, Lilia décida qu'elle ne pouvait plus rester silencieuse. Elle s'avança, le ton de sa voix tranchant à travers l'euphorie ambiante. 
« Je vois que les cours se passent bien. » 
Ses mots résonnèrent dans la pièce, interrompant le moment tendre entre les deux filles. Regina se tourna vers elle, surprise, tandis que Lucillia se dégageait doucement de l'étreinte de sa mentor, son visage affichant une expression de surprise.
Regina, les bras croisés et un sourire provocateur sur le visage, lança à Lilia : « Je ne me souviens pas vous avoir invitée dans mon caveau. » Son ton était à la fois sarcastique et défiant, comme si elle cherchait à provoquer une réaction.
Lilia, imperturbable, répondit d'un air calme : « Vous devriez fermer la porte alors. » Ses mots étaient simples mais pleins de sous-entendus, une manière de rappeler à Regina qu'elle n'était pas la seule à avoir son mot à dire.
Regina ouvrit la bouche pour répliquer, mais Lucillia, toujours attentive à l'ambiance, posa doucement sa main sur le bras de Regina. « Attends, Regina, » dit-elle d'une voix douce, « Toi, ça va, Lilia ? » Son regard était sincère, cherchant à apaiser les tensions.
Lilia, touchée par l'inquiétude de Lucillia, répondit : « Oui, je voulais voir comment tu t'en sortais. » Elle se força à sourire, tentant de masquer la tension qui l'habitait.
Regina, ne pouvant s'empêcher de s'immiscer dans la conversation, ajouta avec un ton un peu trop enjoué : « Elle s'en sort très bien. » Son regard était plein de malice, comme si elle voulait faire passer un message à Lilia.
Ignorant délibérément Regina, Lilia se tourna vers Lucillia avec un sourire chaleureux. « Je me disais que, maintenant que tu as fini avec Regina, on pourrait aller faire un tour en ville ? » proposa-t-elle, espérant changer l'atmosphère et offrir à Lucillia une échappatoire loin des tensions présentes. 
Lucillia, les yeux brillants d'excitation à l'idée d'une sortie, acquiesça avec enthousiasme, tandis que Regina, observait la scène, les bras toujours croisés, consciente que son emprise sur Lucillia était en train de s'effriter.
☆○o。  。o○☆
Ivana était assise à une petite table en bois, la chaleur du chocolat chaud réchauffant ses mains, mais son esprit était ailleurs. Les murs du Ganny's, décorés de vieilles photos et de souvenirs, semblaient vibrer autour d'elle, mais elle ne les remarquait même pas. Ses pensées tourbillonnaient comme la crème qui flottait sur sa boisson, et un silence pesant s'était installé entre elle et Emma.
Emma, les yeux pétillants de curiosité, observa son amie avec une inquiétude croissante. Elle ne pouvait pas ignorer le fait qu'Ivana n'avait pas prononcé un mot depuis qu'elles étaient arrivées. 
« Ivana, qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais directe, brisant le silence. 
Ivana leva lentement les yeux, surprise par la question. Elle cligna des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. « Je... je ne sais pas, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Elle jouait avec la cuillère dans sa tasse, ses pensées encore embrouillées.
Emma pencha la tête, l'inquiétude se lisant sur son visage. « Tu sembles vraiment préoccupée. Tu fais la même temps que Henry quand il ne veux pas le dire ce qui se passe. » Elle s'approcha un peu plus, cherchant à créer un espace sûr pour que son amie puisse s'ouvrir.
Ivana lâcha un rire franc, le son résonnant joyeusement dans le petit café, attirant quelques regards curieux des autres clients. Elle leva sa tasse de chocolat chaud à ses lèvres, savourant la chaleur qui se répandait dans son corps, avant de poser son regard sur Emma. Leurs yeux se croisèrent, et un moment de silence s'installa, chargé d'anticipation.
« Je suis sûr que tu vas te moquer de moi ou même que ça ne va pas t'intéresser, » dit-elle finalement, sa voix teintée d'une légère nervosité.
Emma, les sourcils froncés dans un mélange de surprise et de détermination, secoua la tête vigoureusement. « Détrompe-toi, ça m'intéresse vraiment, » répondit-elle, sa voix douce mais ferme, comme pour rassurer son amie.
Ivana, un sourire timide se dessinant sur ses lèvres, se pencha un peu plus près de la table, comme si elle allait partager un secret. « Même si ça concerne Agatha ? » demanda-t-elle, l'excitation et l'appréhension se mêlant dans sa voix.
Emma, les sourcils froncés, observa Ivana avec une inquiétude grandissante. Elle pouvait sentir que quelque chose pesait lourd sur le cœur de son amie. 
« Qu'est-ce qui se passe ? » demanda-t-elle, sa voix douce mais empreinte de préoccupation.
Ivana, évitant le regard d'Emma, baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade autour de son visage. Elle chuchota, presque inaudible, « Agatha a failli m'embrasser. »
Emma, n'ayant pas bien entendu, pencha légèrement la tête, ses yeux s'agrandissant. « Quoi ? Répète, s'il te plaît. »
Après un moment d'hésitation, Ivana prit une profonde inspiration et, d'une voix plus claire mais tremblante, répondit, « Agatha a failli m'embrasser hier soir, mais ne l'a pas fait. Je ne comprends pas son comportement. »
Les mots d'Ivana flottaient dans l'air, et Emma sentit son cœur se serrer. Elle s'approcha un peu plus, cherchant à saisir toute l'ampleur de la situation. 
« Qu'est-ce que tu veux dire par 'a failli' ? » demanda-t-elle, son ton encourageant, comme pour inciter Ivana à s'ouvrir davantage.
Ivana leva enfin les yeux, une lueur d'incertitude dans son regard. « C'était tellement inattendu... Je ne sais pas si elle ressent quelque chose pour moi ou si c'était juste un moment. »
Emma, touchée par la vulnérabilité de son amie, posa une main réconfortante sur le bras d'Ivana. « Peut-être qu'il faut lui en parler. Ça pourrait t'aider à comprendre ce qu'elle ressent vraiment. »
Ivana soupira, son regard se perdant dans le vide. « Oui, mais j'ai peur de ce qu'elle pourrait dire... et de ce que cela pourrait changer entre nous. C'était la meilleure amie de ma mère et .. fin c'est très compliqué. » 
Le café, avec ses bruits de tasses et de conversations, semblait s'éclipser autour d'elles, laissant place à une bulle de tension et d'espoir, où chaque mot échangé pesait lourd de sens.
Emma, avec un sourire délicat qui illuminait son visage, prit une profonde inspiration avant de s'adresser à Ivana. « Rien n'est jamais facile, mais je sais que si vous continuez à fuir, ça ne va pas s'arranger. »
Ivana, touchée par les mots d'Emma, esquissa un sourire en retour. « Tu peux parler, madame. Je ne fais pas de premiers pas avec Crochet. »
Emma fronça les sourcils, un mélange de surprise et de désaccord dans son regard. « Non, ne nie pas ! » insista-t-elle, sa voix prenant un ton plus sérieux. « Vous vous regardez avec amour et tu ne bouges pas tes fesses ! »
Emma éclata de rire, la tension s'estompant légèrement. « Oh vraiment ? Tu crois que je suis la seule à ne pas agir ? Et toi, qu'est-ce que tu attends ? »
Ivana, amusée, secoua la tête. « Tu es incorrigible. » 
Leurs rires résonnèrent dans l'air, créant une bulle de camaraderie et d'encouragement, alors qu'elles savaient toutes les deux que parfois, il fallait simplement oser pour avancer.
☆○o。  。o○☆
C'était le début de l'après-midi, le soleil brillait haut dans le ciel, projetant des ombres dansantes sur le sol du dojo. Ivana se tenait au centre, son cœur battant d'excitation et de nervosité. Il avait toujours rêvé de maîtriser l'art du combat à l'épée, et aujourd'hui, il avait enfin l'occasion de le faire. David,se tenait à quelques pas d'elle , une épée en main, son regard concentré et encourageant.
« Prête ? » demanda David, un sourire confiant sur le visage. « Souviens-toi, la clé est dans la posture. Tiens-toi droit et garde les yeux sur moi. »
Ivana hocha la tête, essayant de calmer les battements de son cœur. « Oui, je suis prête. Je vais essayer de ne pas te décevoir. »
« Tu ne peux pas me décevoir si tu donnes le meilleur de toi-même, » répondit David, se déplaçant lentement pour montrer le mouvement. « Regarde bien. »
David exécuta une série de mouvements fluides, l'épée dansant dans l'air avec grâce. Ivan observa attentivement, notant chaque détail, chaque geste. Il ressentait l'énergie et la passion que David mettait dans chaque coup. 
« Maintenant, à ton tour ! » lança David, un éclat d'enthousiasme dans les yeux. « Essaie de reproduire ce que je viens de faire. »
Ivana prit une profonde inspiration, leva son épée et tenta de reproduire les mouvements. Au début, il était hésitant, ses gestes manquant de confiance. David l'encouragea avec des mots réconfortants. 
« C'est bien, continue ! N'oublie pas de respirer et de te concentrer. »
Après plusieurs tentatives, Ivan commença à se sentir plus à l'aise. « Regarde, je pense que je commence à comprendre ! » s'exclama-t-il, un sourire éclatant sur son visage.
« Exactement ! » s'enthousiasma David. « Tu progresses rapidement. Je savais que tu avais du potentiel. »
Les deux continuèrent à s'entraîner, leurs rires et leurs encouragements résonnant dans l'air chaud de l'après-midi. David était ravi de partager ce moment avec Ivana, sachant que chaque coup d'épée rapprochait forgeait des souvenirs inoubliables.
Alors qu'Ivana et David continuaient leur entraînement, le soleil commençait à descendre lentement à l'horizon, projetant des teintes dorées sur le dojo. Les bruits des épées s'entrechoquant résonnaient dans l'air, accompagnés de rires et de cris d'encouragement. Ivana, concentrée sur ses mouvements, se tenait près de David, leurs corps se frôlant parfois dans l'excitation du combat. 
Mary-Margarette, adossée à un mur, observait la scène avec une expression de mécontentement croissante. Son regard se posait sur David, admirant son aisance avec l'épée, mais une pointe de jalousie s'insinuait dans son cœur. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qui se passait entre lui et Ivana. 
Lilia, perchée sur un banc à proximité, remarqua le changement d'expression sur le visage de Mary-Margarette. Elle s'approcha d'elle, prenant un ton apaisant. 
« Mary-Margarette, pourquoi es-tu si tendue ? » demanda-t-elle doucement.
Mary-Margarette croisa les bras, son regard toujours fixé sur le duo. « Tu ne vois pas comment ils se regardent ? C'est... c'est trop proche, » répondit-elle, la frustration dans sa voix.
Lilia soupira, comprenant la jalousie qui rongeait son amie. « Écoute, peux-tu s'il te plaît arrêter d'être si jalouse pendant une seconde ? » dit-elle, posant une main sur l'épaule de Mary-Margarette. « Il n'y a rien entre eux. Ils s'entraînent juste. »
Mary-Margarette tourna la tête vers Lilia, ses yeux cherchant une assurance. « Mais... » commença-t-elle, mais Lilia l'interrompit.
« Regarde-les, » insista Lilia, désignant Ivana et David qui riaient ensemble après une série de mouvements. « David est là pour aider Ivana rien de plus. Tu dois leur faire confiance. »
Mary-Margarette soupira, son regard se radoucissant alors qu'elle observait à nouveau la scène. « Peut-être que tu as raison, » admit-elle, bien que des doutes subsistent dans son esprit.
« Bien sûr que j'ai raison, » répondit Lilia avec un sourire encourageant.
Avec un léger sourire, Mary-Margarette acquiesça mais n'en n'était pas certaine.
Mary-Margarette se tenait à l'écart, son cœur battant à tout rompre alors qu'elle observait la scène qui se déroulait devant elle. Les rayons du soleil couchant filtraient à travers les arbres, créant des ombres dansantes sur le sol, mais pour elle, tout cela semblait flou et lointain. Son regard était fixé sur David, qui riait avec Ivana, son sourire illuminant son visage. Elle pouvait presque sentir la chaleur de leur complicité, comme une flamme qui la brûlait de l'intérieur.
Chaque éclat de rire de David résonnait comme un coup de poignard dans son cœur, et elle ne pouvait s'empêcher de se demander ce qu'ils partageaient, ce qui lui échappait. Les yeux de David brillaient d'une admiration sincère pour Ivana, et Mary-Margarette se sentait comme une spectatrice d'une pièce de théâtre où elle n'avait pas de rôle. La jalousie s'insinuait en elle, comme une ombre sournoise, la rendant de plus en plus mal à l'aise.
Elle se mordait la lèvre inférieure, réfléchissant à une solution, à quelque chose qui pourrait attirer l'attention de David loin d'Ivana. Ses pensées tourbillonnaient, passant d'une idée à l'autre, mais aucune ne semblait assez bonne. Elle savait qu'elle devait agir, mais comment pouvait-elle rivaliser avec la lumière que semblait dégager Ivana ? 
Mary-Margarette se leva, ses jambes tremblantes sous l'effet de l'anxiété. Elle devait trouver un moyen de briser cette connexion, de rétablir l'équilibre dans leur dynamique. Peut-être un petit commentaire, une blague, quelque chose qui pourrait faire rire David et le ramener vers elle. Alors qu'elle avançait, son esprit était en ébullition, mais son cœur savait qu'elle devait faire face à cette situation, coûte que coûte.
Mary-Margarette se tenait près du terrain d'entraînement, le soleil commençant à descendre à l'horizon, projetant une lumière dorée sur tout ce qui l'entourait. Elle regarda David, qui était en train de donner des instructions à Ivana, son visage illuminé par l'enthousiasme. Les rires résonnaient dans l'air, mais une inquiétude sourde grandissait en elle.
« Il se fait tard et nous devons préparer le repas pour Henry, » dit-elle d'une voix qui trahissait une légère nervosité, espérant attirer l'attention de David.
David se tourna vers elle, son sourire s'élargissant. « Oui, c'est vrai, tu as raison, Mary-Margarette. » Il jeta un dernier regard à Ivana, ses yeux pétillants de complicité. « Mais je dois dire qu'Ivana a vraiment bien progressé aujourd'hui. »
Mary-Margarette sentit une petite boule de jalousie se former dans son ventre, mais elle garda son calme. « Oui, elle est très douée, » répondit-elle en essayant de garder un ton neutre.
« Merci, David, » sourit Ivana, visiblement flattée par le compliment. « J'apprécie vraiment ton aide. »
David se tourna à nouveau vers Mary-Margarette, son expression devenant plus sérieuse. « Alors, qu'est-ce qu'on prépare pour Henry ce soir ? »
« Je pensais à quelque chose de simple, peut-être des pâtes avec une sauce tomate, » proposa-t-elle, cherchant à s'ancrer dans la réalité de leur tâche.
« Parfait, j'adore les pâtes, » répondit David en lui adressant un clin d'œil, avant de se tourner vers Ivana. « Et toi, tu devrais venir manger avec nous un soir. »
Mary-Margarette sentit une vague de frustration, mais elle se força à sourire. « Oui, ce serait sympa, » ajouta-t-elle rapidement.
Alors que David et Mary-Margarette s'éloignaient, elle ne pouvait s'empêcher de jeter un dernier coup d'œil à Ivana, qui semblait rayonnante sous les compliments de David. 
« Allez, on y va, » dit-elle, déterminée à ne pas laisser ses émotions prendre le dessus.
☆○o。  。o○☆
Ivana venait de rentrer chez elle, le cœur encore lourd des tensions de la soirée passée avec David et Mary-Margarette. Le dîner avait été un véritable tableau de malaises, où les conversations forcées et les sourires crispés avaient dominé l'atmosphère. Heureusement, Henry avait été là, apportant une lueur de réconfort au milieu de cette ambiance pesante. 
Une fois dans sa chambre, Ivana se laissa tomber sur le seuil, un soupir profond s'échappant de ses lèvres. Elle jeta sa veste sur la chaise près de la porte, le tissu tombant avec un bruit sourd, comme si même la veste ressentait le poids de la soirée. Ses épaules s'affaissèrent sous le fardeau des émotions accumulées, et elle ferma les yeux un instant, espérant que le silence de sa chambre apaiserait son esprit tourmenté. 
Ivana avait une seule envie : se plonger sous les draps, loin des souvenirs de cette soirée désagréable.
Ivana commença à s'approcher de la salle de bains, ses pensées encore embrouillées par les événements de la soirée. Elle était à peine en train de poser sa main sur le poignet de la porte lorsque celle de sa chambre s'ouvrit brusquement. C'était Agatha, son regard perçant la pénombre de la pièce.
« C'est à cette heure-ci que tu rentres ? » demanda Agatha, sa voix teintée d'une pointe de jalousie. Elle se tenait là, les bras croisés, une expression mêlant inquiétude et reproche sur le visage.
Ivana regardait Agatha avec surprise, mais aussi colère. Comment osait-elle ? Ses yeux s'écarquillèrent, et un soupir s'échappa de ses lèvres, trahissant son agacement. 
« Non mais je rêve ! Déjà, tu rentres sans autorisation et ensuite tu me fais des reproches ? » s'exclama-t-elle, la voix tremblante d'indignation.
Agatha, imperturbable, croisa les bras et haussait les épaules avec désinvolture. « Je me demandais juste où tu étais. Tu ne donnais aucune nouvelle, » répondit-elle, comme si cela justifiait son intrusion.
Ivana lâcha un rire nerveux, perplexe face à l'attitude d'Agatha. Elle se demandait ce qui se passait dans sa tête. « La bonne blague ! C'est toi qui m'embrasses presque pour au final repartir sans me donner aucune nouvelle, et là tu veux faire style que tu t'inquiètes ? » sa voix s'élevait, chaque mot chargé d'un mélange de frustration et de sarcasme. 
« Je mangeais chez David et Mary-Margarette, si tu veux tout savoir. J'ai même passé la journée avec eux. Une objection ? » ajouta-t-elle, défiant Agatha du regard, attendant une réaction. 
Le silence s'installa un instant, lourd de tension, alors qu'Agatha semblait chercher ses mots, réalisant peut-être l'absurdité de la situation.
Bien sûr qu'Agatha avait une objection. Elle n'aimait pas que David soit proche d'Ivana. Cette amitié la dérangeait profondément, et chaque fois qu'elle voyait Ivana rire avec lui, une jalousie sourde montait en elle. Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, ses yeux étincelants de détermination et d'une pointe de possessivité. 
« Écoute, » commença-t-elle, sa voix se faisant plus ferme. « Je n'aime pas David. Je ne le sens pas. » Elle marqua une pause, cherchant à peser ses mots. 
Elle s'avança légèrement, son ton devenant plus intense. « Je ne veux pas que quelqu'un s'approche de toi, pas comme ça. »
Ivana, piquée au vif, croisa les bras, défiant Agatha du regard. « Et pourquoi ça t'importe tant ? »
Ivana était blessée par le comportement d'Agatha. Chaque mot, chaque regard de cette femme  lui faisait ressentir un vide immense, comme si elle était une fois de plus abandonnée. Son cœur s'était brisé, et la douleur se mêlait à une colère sourde. Elle s'approcha d'Agatha, son visage marqué par l'intensité de ses émotions.
« Tu n'as pas le droit de jouer avec mon cœur ! » s'écria-t-elle, sa voix tremblante de rage. « Tu n'as pas le droit d'être jalouse de David, qui, au passage, est marié ! » Elle marqua une pause, le souffle court, avant de continuer, « Et je m'en fous de lui ! Tu n'as d'ailleurs pas le droit d'être jalouse tout court ! »
Agatha, surprise par la force des mots d'Ivana, recula légèrement, mais son regard restait défiant. Ivana, ne pouvant plus supporter cette tension, ajouta d'une voix ferme : 
« Sors de ma chambre ! »
Mais Agatha ne bougea pas, ses yeux se fixant sur Ivana avec une intensité qui trahissait son propre tourment. Voyant que sa demande n'avait pas d'effet, Ivana, hors d'elle, cria avec toute la force de son désespoir : 
« Dégage de ma chambre, Harkness ! »
Agatha lâcha un grognement frustré, ses poings serrés à ses côtés. « Bon sens, ce que j'aimerais pouvoir te détester, » lâcha-t-elle, sa voix tremblante d'émotion.
Ivana, les yeux brillants de colère, répliqua avec un défi dans le regard : « Bas va y, fais-le ! Déteste-toi, de toute façon tu ne peux pas m'aimer, tu n'aimes personne sauf toi. »
 Ses mots étaient tranchants, mais au fond, elle savait qu'elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait. Elle était blessée, et cette douleur la poussait à blesser Agatha en retour.
Agatha, ne se laissant pas abattre, s'écria avec une intensité surprenante :
 « Ba non, désolée, je ne peux pas te détester ! Détrompe-toi, je peux aimer, et toi, tu vois, je ne sais pas pourquoi, mais je t'aime. » 
Ses yeux brillaient d'une passion ardente, et elle s'approcha d'Ivana, réduisant la distance entre elles.
« Je t'aime, et je déteste l'idée qu'une autre personne le fasse, » continua-t-elle, sa voix se brisant presque sous le poids de ses sentiments. « Je déteste quand Alice est près de toi, car elle est intéressée par toi. Je déteste quand David est près de toi, car je vois son regard qu'il pose sur ton magnifique corps. » Chaque mot était chargé d'une jalousie palpable, une vulnérabilité qu'Agatha ne pouvait plus cacher.
« Je déteste que tu puisses aimer une personne. Je déteste l'idée que tu sois loin de moi, et je détestais que tu sois la fille de Wanda ! » Elle marqua une pause, son souffle court, avant de conclure avec une intensité déchirante : « Je déteste tout ça parce que je t'aime. »
Agatha se tenait maintenant si près d'Ivana, leurs regards se croisant, une tension électrique flottant dans l'air. Les émotions tourbillonnaient autour d'elles, un mélange de colère, d'amour et de désir, alors qu'elles se faisaient face, prêtes à affronter la complexité de leurs sentiments.
Ivana se tenait là, paralysée par la surprise, ses pensées tourbillonnant dans son esprit. Les mots d'Agatha résonnaient encore en elle, comme une mélodie douce et troublante. Elle pouvait voir les yeux d'Agatha, brillants d'émotion, et elle savait que cette confession avait changé quelque chose entre elles. L'atmosphère était chargée de tension, chaque seconde s'étirant comme un élastique prêt à se rompre.
Agatha, figée dans l'instant, attendait avec une impatience palpable. Son cœur battait la chamade, chaque pulsation résonnant dans le silence qui les enveloppait. Elle avait mis son âme à nu, et maintenant, elle se tenait là, vulnérable, espérant que les sentiments qu'elle avait révélés seraient réciproques.
Ivana, quant à elle, était dans un tourbillon d'émotions. Elle avait envie de répondre, de dire quelque chose, mais les mots lui échappaient. La peur de briser ce moment parfait, de détruire l'intimité qu'elles partageaient, l'empêchait de parler. Elle se sentait comme si elle flottait entre deux mondes, celui de l'angoisse et celui de l'amour.
Finalement, poussée par une force irrésistible, elle se dirigea vers Agatha. Ses mains trouvèrent la nuque de la femme, une douceur et une tendresse dans son geste. Elle pouvait sentir la chaleur de la peau d'Agatha sous ses doigts, et avec un mélange de détermination et de douceur, elle l'attira vers elle. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser chargé de toutes les émotions qu'elles n'avaient pas pu exprimer. C'était un moment suspendu, où le monde extérieur s'évanouit, ne laissant que la connexion profonde entre elles, un lien qui promettait d'être aussi complexe que beau.
Les deux femmes s'embrassèrent avec une intensité palpable, une passion qui semblait transcender le temps et l'espace. Leurs lèvres se rencontrèrent avec une telle force qu'il était évident que rien d'autre n'importait à cet instant. Agatha, emportée par l'ardeur de ses sentiments, passa une main dans les cheveux d'Ivana, les agrippant avec une telle ferveur qu'on aurait cru que sa vie en dépendait. Ce geste était à la fois possessif et tendre, révélant l'urgence de ses émotions.
Dans cette danse de leurs baisers, Agatha plongea plus profondément, mordant doucement la lèvre inférieure d'Ivana, un geste à la fois joueur et désireux. Ce petit acte ne fit qu'intensifier l'étreinte, comme si chacune cherchait à se rapprocher encore plus, à fusionner dans une seule entité. Aucune d'elles ne voulait mettre fin à ce moment, et le baiser devint langoureux, se prolongeant dans une exploration douce et insatiable.
Agatha en profita pour rapprocher le corps d'Ivana au sien, leurs silhouettes se mêlant dans une étreinte chaleureuse. La chaleur de leurs corps se combinait, créant une atmosphère électrique, chargée de désir et de promesses non dites. Les battements de leur cœur résonnaient à l'unisson, et dans ce cocon d'intimité, elles se laissèrent emporter par leurs émotions, oubliant tout le reste. Le monde autour d'elles s'effaçait, ne laissant que l'intensité de leur connexion, une union de passion, d'amour et d'envie.
Agatha s'approcha lentement d'Ivana, un sourire espiègle sur les lèvres, ses yeux pétillants de désir. Elle glissa ses lèvres sur le cou d'Ivana, frôlant sa peau d'une douceur exquise. Le contact de ses lèvres chaudes sur la peau délicate d'Ivana provoqua un soupir de plaisir qui s'échappa des lèvres de cette dernière.
« Oh, Agatha... » murmura Ivana, sa voix tremblante d'anticipation.
Ivana pencha la tête en arrière, offrant son cou à Agatha, savourant chaque caresse. Le souffle chaud d'Agatha sur sa peau la faisait frémir, et elle ferma les yeux un instant, se laissant emporter par la sensation. 
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? » chuchota Agatha, sa voix douce comme un velours, tandis qu'elle léchait délicatement la peau d'Ivana, accentuant chaque mouvement avec une tendresse ardente.
« Oui... ne t'arrête pas, » répondit Ivana, sa respiration s'accélérant alors qu'elle profitait de ce moment intime.
Soudain, Ivana, emportée par l'élan de la passion, commença à enlever les vêtements d'Agatha, ses doigts effleurant la peau douce et chaude.
Chaque fois qu'Ivana enlevait une épaisseur de vêtement à Agatha, ses doigts effleuraient délicatement la peau de la femme, créant une atmosphère chargée de tension. Les mouvements d'Ivana étaient lents, presque cérémonieux, révélant un corps aux courbes douces, tandis qu'Agatha la regardait avec une intensité admirative. 
Soudain, Agatha, avec un sourire espiègle, poussa Ivana sur le lit, la surprise dans ses yeux. Elle commença alors à enlever les vêtements d'Ivana, ses mains glissant avec soin sur sa peau, chaque contact laissant une traînée de chaleur. 
Agatha déposa des baisers tendres sur la poitrine d'Ivana, ses lèvres douces et chaudes suscitant des frissons. Elle descendit lentement vers son ventre, chaque baiser étant une promesse de passion. Ivana, perdue dans l'instant, se laissa aller à la sensation, son corps réagissant à chaque caresse, créant un lien intime entre elles.
Agatha laissa alors sa langue glisser lentement sur le ventre d'Ivana, savourant la douceur de sa peau. Un frisson parcourut le corps d'Ivana, tandis qu'Agatha remontait, ses lèvres effleurant délicatement le chemin vers son cou.
« Tu es si belle, » murmura Agatha, sa voix chaude et sensuelle, tandis qu'elle embrassait tendrement la clavicule d'Ivana. 
Cette dernière frissonna à ce contact, un sourire complice se dessinant sur ses lèvres. Ivana, envoûtée par cette intimité, passa ses doigts sur le dos d'Agatha, traçant des motifs délicats. 
Soudain, Ivana se retrouva au-dessus d'Agatha, plongeant son regard dans le sien. Elle commença à passer ses mains sur la poitrine d'Agatha, jouant avec douceur, ses doigts explorant chaque courbe.
Agatha laissa échapper un soupir de plaisir, ses yeux se fermant sous l'effet de la sensation. « Oui, continue... » murmura-t-elle, invitant Ivana à approfondir ce moment partagé. 
Les deux femmes étaient enveloppées dans une bulle de chaleur et de désir, chaque geste renforçant le lien qui les unissait, tandis que le monde extérieur s'effaçait lentement, ne laissant place qu'à leur passion.
Ivana, avec une douceur infinie, laissa sa main glisser lentement vers l'intimité d'Agatha. Chaque mouvement était mesuré, empreint d'une tendresse qui faisait palpiter le cœur d'Agatha. Lorsqu'elle commença à caresser délicatement, une vague de sensations parcourut le corps d'Agatha, la faisant se mordre la lèvre inférieure, tentant de réprimer un soupir de plaisir qui menaçait d'échapper à ses lèvres.
Le regard d'Ivana était illuminé d'un grand sourire, un mélange de malice et de tendresse. Elle se pencha alors pour déposer des baisers doux et délicats sur la poitrine d'Agatha, chaque contact de ses lèvres envoyant des frissons le long de son corps. Agatha se laissa aller à ce moment, ses yeux se fermant sous l'effet de la chaleur et du plaisir, savourant chaque caresse et chaque baiser.
« Tu es incroyable, » murmura Ivana entre deux baisers, sa voix douce résonnant comme une mélodie
Agatha, perdue dans cette intimité, ne pouvait que sourire en retour, se laissant emporter par l'instant, par la magie de leur connexion.
Décris cette scène avec des beaucoup de détail et des dialogue : Plus ivana caresser l'intimité de Agatha plus Agatha  gémisse. Ivana commença alors à jouer avec le clitoris de Agatha pour son plus grand plaisir. Agatha ferma les yeux profitant de ce moment  pendant un long moment avant de venir chuchoter à l'oreille de Ivana 
« Tu ne vas pas t'en sortir comme ça » 
Agatha viens alors échanger les places. Elle viens alors mordiller l'oreille de Ivana tout en lui caressant délicatement le ventre. Agatha viens alors reprendre le dessus et monta sur Ivana, elle déposa des baiser sur son bas ventre tout en faisant frissonnais la jeune femme. Agatha viens alors déposer des baiser sur la cuisse de Ivana elle voulais la taquiner la rendre folle et sa fonctionner. 
Les deux femmes se trouvèrent enveloppées dans une atmosphère de sérénité, la lumière tamisée de la chambre créant une ambiance chaleureuse. Leurs rires légers résonnaient dans l'air, comme une douce mélodie, tandis qu'elles se rapprochaient l'une de l'autre. Les draps en satin glissaient sur leur peau, ajoutant une touche de luxe à cette nuit tant attendue.
Le moment  passa  sans qu'elles s'en rendent compte, chaque geste, chaque regard renforçant leur connexion. Les murmures  de leurs envies, enfin libérés, créaient une symphonie de plaisir et de complicité. Cette nuit parfaite, loin des attentes du monde extérieur, leur offrait un refuge où elles pouvaient s'abandonner à leurs sentiments, savourant chaque seconde de ce doux moment d'intimité.
☆○o。  。o○☆
Lucillia se tenait devant la boutique de Monsieur Gold, une petite échoppe nichée au cœur d'une rue pavée, entourée de bâtiments aux façades colorées. La lumière du soleil filtrée par les nuages créait des ombres dansantes sur le sol, et l'air était chargé de l'odeur des vieux livres et du bois poli. Elle observa la vitrine, où des objets anciens brillaient faiblement, attirant son regard curieux.
En poussant la porte, un léger carillon retentit, annonçant son arrivée. À l'intérieur, l'atmosphère était empreinte de mystère. Les murs étaient tapissés d'étagères en bois sombre, remplies de trésors oubliés : des horloges aux mécanismes complexes, des globes terrestres jaunis par le temps, et des cadres ornés de portraits d'antan. Chaque objet semblait raconter une histoire, et Lucillia se laissa emporter par cette ambiance envoûtante.
Elle déambula lentement entre les allées, ses doigts effleurant les surfaces rugueuses des antiquités. Son cœur battait à l'idée de trouver le cadeau parfait pour Lilia, celle qui avait toujours été là pour elle, la guide et la confidente. Au fond de la boutique, un éclat attira son attention. Un bracelet en argent délicatement travaillé, orné de petites pierres colorées, scintillait sous la lumière tamisée. Lucillia s'approcha, fascinée, imaginant déjà Lilia le portant, son sourire illuminant son visage. Ce geste serait une façon de lui montrer à quel point elle comptait pour elle, et elle savait que cet objet, chargé de sens, serait le parfait symbole.
Lucillia se dirigea vers le comptoir, le cœur battant d'excitation. Elle posa le bracelet délicat devant Monsieur Gold, un homme à la stature imposante, aux cheveux argentés et à la barbe bien taillée. 
« Bonjour, Monsieur Gold, je voudrais payer ceci, s'il vous plaît, » dit-elle avec un sourire chaleureux.
Gold leva les yeux de son travail, son regard se posant sur le bijou. À cet instant, il sembla figé, ses yeux s'écarquillant en reconnaissant le collier que Lucillia portait autour de son cou. 
« Ce collier... je le connais, » murmura-t-il, la voix tremblante d'émotion. 
Lucillia, surprise par sa réaction, inclina légèrement la tête. « Vous le connaissez ? C'est un héritage de ma famille, je l'ai toujours eu. »
Gold, toujours sous le choc, hocha la tête et se mit à encaisser le paiement. Il lui rendit la monnaie, mais son regard restait rivé sur le collier. 
« Tout va bien, Monsieur Gold ? » demanda Lucillia, un brin inquiet.
« Oui, oui, tout va bien, » répondit-il rapidement, mais Belle, qui observait la scène depuis l'arrière-boutique, avait remarqué l'étrange comportement de Gold.
Lorsque Lucillia quitta la boutique, Belle s'approcha de Gold, le regard interrogateur. « Qu'est-ce qui se passe ? Tu sembles... troublé. »
Gold soupira, son regard se perdant dans le vide. « Ce collier, je l'ai fait pour ma défunte fille, » avoua-t-il enfin, une tristesse palpable dans sa voix.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.J'espère qu'il vous à plut
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