#comment occuper son enfant pendant le confinement
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Nous sommes en confinement depuis quelques jours et pour une durée indéterminée, les enfants ne vont plus à l’école, pour les parents comme moi qui vive en appartement, les enfants faut bien les occuper…
J’ai donc cherché les cours, des activités pour eux et pour moi.
Sachant que je continue de travailler, je suis auxiliaire parentale, je me déplace chez les parents des enfants, je n’ai pas trop de temps pour moi, avec l’école à faire pour un grande section et une 6 ème, le tout, sans imprimante… je n’ai pas écrit autant depuis mes années de formation, jadis…
Note à moi-même à la prochaine pandémie, acheter une imprimante avant …
Ayant pas mal de questions pour savoir où trouver les cours, quoi faire … je me suis dit au lieu de faire au compte-gouttes, je vais tout vous mettre dans un article et vous partagez mes trouvailles.
Google et les réseaux sociaux ont été mes amis pour mes recherches, ainsi que les communiqué de presse et mail reçus.
Nous avons été aussi le samedi avant le confinement à la bibliothèque pour faire le plein de livres, BD, manga, DVD pour la famille.
Je mets dans ma liste des sites, de film, dessins animés, pas de polémique «pas d’écran »;) à situation compliquée, on peut employer diverses sources de support pour informer et instruire les enfants 😉 tant que le temps est cadré.
Après, c’est mon avis perso, mais pas besoin de faire 6 h de cours chaque jour aux enfants, comme à l ‘école, oui ils ont des devoirs à faire, c’est normal, faut continuer les apprentissages, mais faire un jeu de société permet de compter et lire, de la pâte à modeler permet de développer l’imagination et la motricité, pareil pour les Mécano et Playmobil, regarder un reportage sur les animaux permet de lancer une discussion sur la nature et l’écologie …
Profitons de ce confinement pour passer du temps avec nos enfants, pour ralentir un peu avec notre vie à 100 à l’heure, pas de stress et de pression sur les devoirs, on a déjà assez de stress avec ce qui ce passe en ce moment.
J’ai mis les activités par catégories et j’ai privilégié les activités plutôt que des cours, sachant que mes enfants reçoivent des devoirs de leurs professeurs et que j’ai un gros stock de cahier d’activités, j’en achète à chaque vacance (#bonplan : Noz en a très souvent à -50/-70 %).
Pour que ça soit plus pratique pour vous, j’ai tout prévu, vous avez juste à cliquer sur le nom du site pour aller dessus.
13 activités gratuites pour occuper les enfants :
Cours de langue :
Chinois : les petits Mandarins
Japonais : ici-Japon
Anglais : Kokoro, vidéo faite par des enfants pour apprendre aux enfants, 1 mois gratuit avec 4 vidéo.
Toutes : LOECSEN
Cours de classe :
Générale : CNED (ma classe à la maison), cours Griffon, Maxicours (gratuit de 9 h à 17 h du lundi au vendredi), pass-education.
Français : projet Voltaire, vidéo des Alphas.
Mathématique : math libre, ixl.m
histoire : soutien67
Géographie : momes
SVT : abc-apprendre, tu mourras moins bête.
Cahier de vacance gratuit : édition Rosace, Lululataupe, Hugo l’escargot.
Lire l’heure : je vous partage des horloges que j’ai réalisé pour mes enfants.
Cours de dessin : Apprendre-a-dessiner, Hello-kids.
Manuel scolaire : édition Hatier, Adistance manuel numérique.
Activités/graphisme pour les maternelles : Google, Pinterest, les groupes Facebook sont remplis de supers ressources.
Lecture : le petit Quotidien est gratuit avec le code promo LPQCO, contes du monde.
Les magazines de la science Les débrouillards, les Explorateurs et Curiumont mis 3 numéros en gratuit.
Ebookkids, jeunesse.short-edition.
Bibliothèque Nationale de France, beaucoup de e-book gratuit à trouver sur internet aussi.
Télévision/replay/Netflix/reportage :
Canal + est en mode gratuit, France 4 va se mettre en mode cours à partir de lundi 23 mars, Benshi, C’est pas sorcier, Il était une fois la vie, Le bus magique.
Netflix avec ses reportages « Notre planète » où comment apprendre aux enfants les problèmes climatiques et les répercussions sur les animaux et la flore, avec de magnifiques images.
Les films Yann Arthus-Bertrand sont parfait aussi pour un cours de SVT.
Idée bonus : mon fils est en école Diwan, on parle donc breton à la maison pour lui, il y a une Télé en breton qui existe brezhoweb bwb avec dessins animés et films en breton.
Culture : opéra et ballet de l’Opéra de Paris et culturebox
mussé en virtuel : Smithsonian Museum, National Gallery, château de Versailles, le Louvre, MET… et même la Nasa avec l’espace a porter de main.
Le Centres des Monuments Nationaux avec des châteaux, cités, abbayes, grottes…
Exposition sur Frida Kahlo.
-Musique :
Le confinement apporte de belles choses aussi comme les concerts improvisés de Aldebert, M, Rémi Comptines avec des comptines signés touts les matins.
-Podcasts : une histoire et …Oli, les Odyssées, calme et attentif comme une grenouille, Mythes et légendes, promenades imaginaires, maman j’ai raté l’actu, petits curieux …
-Coloriage : Zoli avec des coloriage de mamans porteuses, Korrig’Anne avec des coloriages rempli d’amour, d’allaitement, d’anges… , Minoé, Héloise Weiner elle a fait des draw face à faire en famille et a mit à disposition sur son blog de très beaux dessins, Tchika un magazine féministe, des Google image pour les personnages préférer de vos enfants.
Une soixantaine de personnes ce sont regroupés pour faire un super cahier d’activités dont Korrig’Anne, Fanny Vella, Héloise Weiner… rempli d’idées, de recettes(certaines vegan), activités, découpages, histoires, yoga, méditation, coloriages…
-Activités : Plume, Epopia,Canopé, Lunii (si vous en avez pas, meilleur achat de tous les temps), un jour un jeu (il faut imprimer beaucoup mais les activités sont super (coloriages, activités, jeux, recettes cuisine, travaux manuels, cartes de nomenclature…), Touk Touk magasine (bricolages coloriages, jeux…), Creative Stories pour crée des histoires, la marque de jeux Topla (jeux non stéréotypés) a crée une application, des recettes de fun food avec Beko , les éditions Dupuis à crée des fiches d’activités, jeux de société, jeux qui développe l’imagination.
Faire et imprimer des carte de nomenclature que vous trouverez sur les sites et groupes Facebook Montessori.
-Sport : yoga, méditation pleine conscience, calme et attentif comme une grenouille sur Youtube et Instagram.
Si vous connaissez d’autres sites, activités, podcasts, livres… gratuits, à disposition de tout le monde, n’hésitez à le dire en commentaires, je les rajouterais volontiers 😉
Et vous, vous fait quoi comme activité avec vos enfants.
*Hésiter pas nous suivre sur Instagram
*La page Facebook de Mam’termante
*Retrouvez-nous sur Twitter aussi ?
*Et à vous abonner au blog, si ce n’est pas déjà fait ?
Bonjour, Avec le confinement on est en recherches d'activités pour occuper nos enfants. Je vous ai listé celles que j'ai trouvé et que j'utilise avec mes enfants. N'hésitez pas à me dire les votre, je les mettrais dans l'article ;) Nous sommes en confinement depuis quelques jours et pour une durée indéterminée, les enfants ne vont plus à l'école, pour les parents comme moi qui vive en appartement, les enfants faut bien les occuper...
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Notre spectacle doit continuer !
[en anglais, le titre fait référence à une chanson de Queen]
Les co-acteurs de Good Omens – David Tennant et Michael Sheen – révèlent tout sur les défis du tournage à domicile de leur nouvelle comédie en confinement.
Un excellent scénario a été écrit et la crème de la crème des acteurices britanniques a été confirmée au casting, mais alors que les répétitions pour la nouvelle production de West End commencent, le confinement est décrété et tout le monde est placé en congé !
C’est le point de départ de Staged, une nouvelle comédie de la BBC1 qui réunit les acteurs de Good Omens – David Tennant et Michael Sheen –, et suit les acteurs alors qu’ils tentent de garder le cap pendant la pandémie actuelle.
Filmé entièrement à leurs domiciles via une combinaison de prises de vue automatique et de vidéo-conférences, cette mini-série voit également jouer la femme de David – Georgia Tennant (vue dans In the Dark) – et la compagne de Michael – l’actrice suédoise Anna Lundberg. Il y aura aussi quelques caméos amusants en cours de route.
Dans cet article, David (49 ans) et Michael (51 ans) expliquent ce qu’implique de réaliser une série télé durant le confinement …
A quoi ressemble cette nouvelle série ?
Michael : C’est à propos de deux jeunes et courageux acteurs, David et Michael. Nous jouons nos propres rôles – nous sommes le meilleur choix pour les incarner ! Le point de départ est que nous étions sur le point de réaliser une pièce ensemble. Puis le confinement est arrivé et le directeur – Simon Evans, qui joue également son propre rôle – tente de maintenir la préparation de la pièce alors que nous sommes confinés en utilisant les appels vidéo.
Ainsi, quand tout sera fini, nous serons prêts avant tout le monde à jouer dans un théâtre. Cette idée rencontre plus de succès auprès de David que de moi !
David : Ça a une certaine actualité ! Chose amusante, David et Michael sont confinés dans leurs maisons avec leur partenaire respective – Georgia et Anna – qui ne sont pas si différentes de Georgia Tennant et Anna Lundberg !
Comment l’idée de la série a pris forme au départ ?
David : Nous répétions et filmions tout via des appels vidéo. C’était un mélange de répétitions et d’improvisation quand nous l’enregistrions. Ce n’était pas un processus de tournage classique donc nous avons trouvé notre propre manière de faire en cours de route.
Michael : Nous avons au départ décidé de faire le premier épisode et de simplement voir comment ça se passait. Puis, si nous aimions ce à quoi nous étions parvenus et pensions que ça valait la peine d’en faire plus, alors nous le ferions. Il y a eu très peu de répétitions. Nous avons juste reçu le scénario du premier épisode et en avons un peu parlé, avons changé quelques éléments ici et là et puis nous l’avons simplement fait.
Pouviez-vous improviser des scènes comme ça vous venait ?
David : Il y a un scénario que nous suivons parfois assez strictement et que parfois nous utilisons comme point de départ pour échanger des bêtises l’un avec l’autre. Il y a une certaine libération à jouer une version de soi-même.
Michael : Le scénario a été écrit et puis, quand nous avons commencé à enregistrer, nous avons discuté de petits passages où nous pourrions juste improviser un peu. Et, bien sûr, comme David et moi sommes amis et avons travaillé ensemble auparavant, nous pouvions ajouter des trucs basés sur notre relation et le travail que nous avions fait précédemment.
Vous jouez tous les deux dans le succès fantasy de Amazon Prime Video Good Omens de l’année passée – avez-vous apprécié de jouer à nouveau l’un avec l’autre ?
Michael : Absolument ! La principale raison pour laquelle nous avons voulu faire cette série en premier lieu était la possibilité de faire à nouveau quelque chose ensemble ! N’ayant jamais réellement travaillé ensemble avant Good Omens [David jouait le démon Rampa tandis que Michael était l’ange Aziraphale], c’était un plaisir de découvrir qu’il y avait une bonne alchimie entre nous et donc faire quelque d’autre ensemble en explorant différemment la dynamique nous liant a été génial.
David : La dernière fois que j’ai travaillé avec Michael, j’ai dû porter des pantalons étroits et des lentilles imitant des yeux de serpent ainsi que traverser la moitié du monde en avion ; cette fois-ci je dégringolais hors du lit, enfilais un survêtement et brossais à peine mes cheveux. C’était une joie complète du début à la fin.
Ce fut un plaisir particulier de créer ces versions un peu effroyables de nous-mêmes et légèrement préoccupant de se demander à quel point elles pouvaient être proches de la réalité.
Comment était-ce de travailler avec le reste de la distribution de Staged ?
Michael : Eh bien, nous travaillions tous les deux avec notre deuxième moitié, ce qui est intéressant. C’est intéressant que nous jouions tous notre propre rôle, ou des versions de nous-mêmes. C’est bizarre de jouer ces scènes avec ta compagne quand toi et ta compagne êtes une version différente de vous-mêmes.
Notre petit bébé – Lyra – a maintenant 8 mois. Elle n’apparait pas dans la série mais vous pouvez l’entendre en arrière-fond encore et encore, ce qui est génial. Nous avons aussi quelques invités-surprises. Je ne vais pas vous révéler qui iels sont mais nous sommes très très chanceux d’avoir certaines personnes extraordinaires qui se sont jointes à nous pour cette série.
David : L’avantage quand personne ne doit quitter son salon pour être impliqué est que tu peux composer avec certain-e-s intervenant-e-s très inattendu-e-s.
Comment était l’aspect technique de devoir filmer vous-mêmes ?
Michael : J’étais un peu nerveux à propos de l’aspect technique parce que je ne suis pas fort avec la technologie, mais nous avons gardé cela assez simple et c’est devenu plus facile en cours de route.
David : Oui, les scènes en appel vidéo étaient fort simples, mais celles sans ordinateur requéraient un peu plus de finesse et demandaient l’usage de technologies de capture-vidéo. Ma femme et moi y sommes parvenus ensemble. Je regrettais l’équipe technique cependant ! »
Deviez-vous également vous occuper de votre coiffure et de votre maquillage ?
Michael : Aucune coiffure et aucun maquillage cette fois-ci. Nos cheveux grandissaient alors que le tournage avançait !
David : Ha ! Eh bien, aucun de nous ne s’en est occupé ! J’ai une coiffure venant du rôle que j’étais en train de tourner avant que tout ne ferme. J’ai des extensions semi-permanentes dans mes cheveux qui commencent à tomber et je ne me suis plus vraiment rasé depuis des semaines. Je ressemble à Stick of the Dump [un livre anglais pour enfant] !
Article écrit en anglais par Sean Marland
Source : article du TVTimesMagasine trouvé sur le site http://www.david-tennant.co.uk
Traduction : Aikarainbow
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Parmi les Français qui manifestent depuis quinze jours, les ruraux et les périurbains sont majoritaires. Souvent des habitants de pavillons, éloignés des centres-villes, dépendants de leur voiture pour aller travailler et endettés. Enquête sur ces villages champignons qui broient du noir, s'estiment méprisés et sont bien décidés à le faire savoir.
«Quand les avions passent à basse altitude au-dessus du lotissement, on se dit: “Tiens, c'est les Parisiens qui, eux, peuvent partir en vacances. Et, en plus, ils nous lâchent du kérosène.”» Parole d'un propriétaire d'un pavillon de 250 mètres carrés et d'un vaste terrain, achetés dans les années 1980 comme une promesse de cadre idéal pour voir grandir sa famille. Trente ans plus tard, Bruno déchante: «Les trains en retard pour aller travailler à Paris, les deux voitures indispensables pour les allées et venues des trois enfants et un bien immobilier qui se déprécie. On est la classe moyenne qui décroche et les rancœurs s'accumulent. Moi aussi, jeune homme, j'ai été bobo en scooter à Paris. J'ai donc vécu des deux côtés de la barricade.» Le salarié d'une entreprise de communication est désormais dans le camp des «assignés à résidence».
«Tout ce qui était positif quand on est arrivé en 1995 a tourné court. La convivialité entre voisins a disparu»
Quatre-vingt kilomètres séparent les «Yvelines Sud», où vivent Bruno et sa famille, de Noisiel, en Seine-et-Marne, où habite Jean-Pierre, employé chez Veolia. «Il ne se passe rien ici. Les adolescents s'ennuient. Pour les occuper, on fait des kilomètres, on les traîne dans les centres commerciaux et on dépense de l'argent. Tout ce qui était positif quand on est arrivé en 1995 a tourné court. La convivialité entre voisins a disparu. On est devenus méfiants. Même le trafic de drogue fait maintenant des ravages. Ça fait trois ans que je cherche à vendre», confie celui qui affiche un gilet jaune sur son tableau de bord en signe d'appartenance au mouvement.
La déprime, cette «France périphérique» du géographe Christophe Guilluy «qui attend d'être intégrée économiquement et respectée culturellement» sert aussi de trame au dernier prix Goncourt (1): «Leur vie durant, les parents d'Anthony avaient eu cette ambition: construire (une maison). Il ne restait plus que vingt ans de traites pour la posséder vraiment. Les murs étaient en placo […]. L'hiver, le chauffage électrique produisait un peu de chaleur et des factures phénoménales. À part cela, deux chambres, une cuisine intégrée, un canapé cuir et un vaisselier avec du Lunéville.»
Dans l'engrenage
Le roman se situe dans les années 1990 mais, jusqu'ici, cette France était restée silencieuse. Elle a relevé la tête lors des grèves SNCF du printemps dernier. Privés de train, les banlieusards, se sentant définitivement exclus des métropoles, ont commencé à donner de la voix sur les réseaux sociaux. Et ce ne sont sans doute pas les annonces du gouvernement qui vont aujourd'hui les faire taire. «Ils nous parlent de fin du monde mais, nous, on n'arrive pas à boucler nos fins de mois», martèlent-ils dans leurs slogans.
» LIRE AUSSI - Gilets jaunes: «Le peuple n'a ni raison ni tort, il décide»
«Ils nous parlent de fin du monde mais, nous, on n'arrive pas à boucler nos fins de mois»
Le «rêve pavillonnaire» a longtemps fait briller les yeux de millions de Français. Encouragé dès les années Giscard par l'accession à la propriété, censée favoriser un électorat de droite. Séduisant aussi pour une classe moyenne qui croyait en l'ascenseur social et voulait s'éloigner des grands ensembles. Entre 1968 et 2011, la population périurbaine est passée de 9,4 millions à 15,3 millions (2). Et ce «périurbain» est à 90 % de l'habitat individuel, dont la moitié organisée en lotissements. Autre donnée, fournie par le sociologue Jean Viard: 80 % des Français vont travailler chaque jour en voiture, dont 40 % n'ont pas d'alternative. La distance moyenne parcourue pour aller travailler est de 50 km par jour. Dans le seul département de Seine-et-Marne, 14.000 nouveaux habitants s'installent chaque année dans des lotissements. «Quand ils résident dans des villes comme Nangis, Montereau ou Provins et travaillent à Paris, ces “commuters” ont quatre heures de trajet par jour. Ils sont épuisés. Leurs enfants sont livrés à eux-mêmes à la sortie de l'école. Les plats sont décongelés à la va-vite au micro-ondes. Le coût social et le gâchis humain sont immenses», décrit Jean-Louis Thiériot, maire de Beauvoir (200 habitants), aux confins de la Brie, ancien président du conseil général et député LR. Qui regrette que ces questions «passent largement au-dessus de la tête» de ses collègues LaREM, «primo-entrants à l'Assemblée, jeunes et urbains».
Mais pourquoi les élus continuent-ils depuis des décennies à multiplier cet habitat horizontal, très gourmand en carbone et sans âme? En réalité, les maires sont, eux aussi, «contraints». Pour garder une école, une gendarmerie ou la Poste, il faut se battre. Et toujours accroître sa population afin d'obtenir des subventions. «Comment faire? En créant des lotissements abordables, on y parvient, mais c'est un système sans fin. Un engrenage et un accélérateur de nos problèmes quotidiens», poursuit l'élu de Seine-et-Marne.
Un «rêve amer»
Outre les déconvenues financières - une maison qui vaut moins qu'à l'achat, des crédits qui plombent les fins de mois et, évidemment, la hausse des carburants -, c'est le sentiment de déclassement qui nourrit la grogne. «Cette impression d'avoir tout faux, on l'a en nous. Et les politiques enfoncent le clou en nous faisant comprendre qu'on a un mode de vie nul», soupire Bruno. Un fossé que le communicant Nicolas Corato, fondateur du think-tank Place de la République, a vu se creuser: «Les valeurs prônées aujourd'hui sont à l'opposé du mode de vie dans ces zones pavillonnaires.»
La charge supposée de Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement, sur «ces Français qui fument des clopes et roulent au diesel» a laissé des traces. Tout comme la sortie d'Emmanuel Macron lors d'un déplacement en Corrèze devant les salariés de GM&S - «Il y en a certains, au lieu de foutre le bordel, ils feraient mieux d'aller regarder s'ils ne peuvent pas avoir des postes là-bas» -, en référence à une fonderie située à 30 km qui cherchait en vain à recruter.
Samedi dernier, au soir même de la manifestation qui avait mal tourné sur les Champs-Élysées, Patrick, «gilet jaune» de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis), pestait contre ces gouvernants qui «nous disent qu'on est nazes. Qu'ils fassent attention. Jusqu'ici, on était désespérés tout seuls, maintenant, on l'est tous ensemble! On est des gens de peu dans ces lotissements et, aujourd'hui, on est prêts à tout. Le rêve est amer».
«La fracture numérique s'ajoute à la dépendance vis-à-vis de la voiture»
«La France amère», c'est justement le titre d'une étude menée par Yves-Marie Cann, qui, en 2014, était directeur en charge de l'opinion à l'institut CSA. Parmi les catégories de Français étudiées, celle de cette «classe moyenne moyenne» montrait une rancœur accumulée pendant des années. Une population qui avait un vote protestataire supérieur aux autres catégories sociales mais qui glissait néanmoins un bulletin dans l'urne. Une population qui a pu également voter Macron en 2017 et qui s'estime «trahie». Des hommes et des femmes qui se lamentent, se décrivant «trop riches pour bénéficier d'aides, mais pas suffisamment pour bien vivre». Une composante de ce «peuple central» sur lequel Marine Le Pen mise désormais. Le Rassemblement national est très présent parmi les «gilets jaunes». «Le vote RN est plus élevé qu'ailleurs, dans ces lotissements. On l'appelle “le vote des haies de thuyas”, allusion à un mode de vie renfermé qui engendre un comportement électoral. Marine Le Pen a fait son pic de 26 % au premier tour à 30 km du cœur des grandes villes. Le vote frontiste suit le développement de cet étalement urbain. En 2002, pour Jean-Marie Le Pen, c'était à 20 km», explique Jérôme Fourquet, directeur du département opinion et stratégies d'entreprise de l'Ifop. En effet, plus les années passent, plus les lotissements s'éloignent des centres-villes, des axes routiers et des transports publics. Des pavillons poussent désormais à la place de champs de betteraves ou de maïs, sans aucun relais avec le monde extérieur. «La fracture numérique s'ajoute à la dépendance vis-à-vis de la voiture», note Jean-Louis Thiériot, qui déplore encore le départ d'un designer industriel installé sur sa commune. L'entrepreneur voulait créer des emplois, mais se heurtait à l'absence de connexion haut débit, indispensable pour travailler avec ses clients et ses fournisseurs.
» LIRE AUSSI - Jérôme Sainte-Marie: «Les «gilets jaunes» font converger des électorats populaires jusqu'ici opposés»
Aux ronds-points et sur les parkings des centres commerciaux, des artisans, des employés, des retraités, des fonctionnaires et beaucoup de femmes parmi les gilets fluo. Une France moyenne blanche. La France de Johnny. La France qui se lève tôt. Qui, sur les barrages, parle beaucoup des fins de mois difficiles, râle contre les 80 km/h et la multiplication des radars, ne supporte plus le «matraquage fiscal». Mais qui travaille. Pas une France de la misère, loin de là. «Ces habitants de lotissements se sont placés dans une situation de vulnérabilité. Ils voulaient du foncier pas cher. Ils voulaient les services de la ville dans un décor de campagne. Ils aspiraient à une vie rassurante entre semblables. Mais ils ont sous-estimé le poste “carburant” de leur budget. Ils n'ont pas réalisé qu'une hausse de quelques centimes du prix de l'essence mettrait à mal leur modèle économique», souligne Jean-Nicolas Fauchille, urbaniste, qui enseigne à l'École polytechnique fédérale de Lausanne.
«On se sent piégés»
Une désillusion que vit chaque jour Marc, employé de mairie à Montpellier et logé à Lodève, à 54 km de là: «Cette maison proprette qu'on a bichonnée tous les week-ends, ce grand terrain et cette piscine, on les a parfois en horreur. Avec nos deux voitures diesel, on se sent piégés.» Bruno, l'habitant des Yvelines, confirme: «Pour remplir les réservoirs de nos deux voitures, cela nous coûte 200 à 250 euros par mois.» Un notaire de la Sarthe ironise sur ces couples qu'il voit deux fois en cinq ans. La première pour signer l'achat du pavillon. La seconde où, à force de se disputer dans les magasins de bricolage, ils divorcent.
Le «tout-voiture» incite les urbanistes à penser différemment le développement urbain
À l'heure de la transition écologique, ce «tout-voiture» incite les urbanistes à penser différemment le développement urbain. «Après des années de gâchis, certains élus commencent à comprendre que ce maillage de voies rapides et de rocades sur lequel viennent se plugger des lotissements n'a pas d'avenir et veulent changer de modèle. C'est peut-être la fin du credo “No parking, no business”, imposé par les hypermarchés. Pour éviter l'éloignement, on cherche à densifier l'habitat proche des centres-villes en construisant des maisons jumelées, des maisons superposées, voire des logements sur d'anciens parkings, détaille David Mangin, architecte urbaniste, auteur de La Ville franchisée (3). C'est une autre façon de faire de la maison individuelle mais, bien sûr, ce n'est plus le “petit château avec sa voiture à côté”.»
Bruno, l'habitant des «Yvelines sud», ne rêvait pas d'un château, juste d'une maison agréable. Il n'avait pas imaginé que son éloignement lui attirerait des sarcasmes: «Quand je sors à Paris le samedi soir, je suis obligé de quitter la table à 22 heures pour attraper le dernier train à Montparnasse. Quand mes amis ironisent: “Tu te couches avec les poules”,ça m'achève.»
(1) «Leurs enfants après eux» de Nicolas Mathieu, Actes Sud.
(2) «La Question périurbaine: enquête sur la croissance et la diversité des espaces périphériques» dans la Revue française de sociologie, 2016.
(3) Les éditions de la Villette, 2010.
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La connaissance et la mémoire. Mettons.
Je m’appelle Desmond. Mettons. L’Écossais dont nous faisons la connaissance dans le premier épisode de la deuxième saison de la série *Lost*. Desmond vit dans un appartement un peu sombre, meublé façon années 70, qui n’est pas sans m’évoquer les vacances d’hiver de ma jeunesse à Superdévoluy (les vrais savent). Depuis trois ans, il a peaufiné sa *morning routine* : réveil après 108 minutes au plus, saisie des chiffres 4, 8, 15, 16, 23, 42 sur le clavier de son Amstrad pour éviter la fin du monde et les projections de consciences dans l’espace-temps (je crois), choix d’un bon vinyle à poser sur la platine (Desmond entame souvent sa journée avec Abba), vaisselle de la veille, séance de sport indoor (vélo, tractions, abdos) avant de prendre sa douche. Son petit-déjeuner (livraison des ingrédients par parachutage sans contact) laisse un peu à désirer dans la mesure où il se concocte au mixer un power-smoothie peu ragoûtant et qu’il s’injecte une espèce de sérum antitout chaque matin dans le bras. Il s’habille d’une combinaison floquée d’un cygne, plus pratique, mais tout aussi confortable qu’un survêt et, s’il doit absolument sortir de son bunker souterrain, c’est en tenue anti-bactériologique et matières dangereuses Hazmat complète, parce qu’il règne dehors une saloperie indéterminée et contagieuse. Du moins le croit-il, puisqu’on le lui a dit et répété. Desmond est conditionné, manipulé et, en fin de compte, floué.
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Je m’appelle Neil. Mettons. Comme Neil Gaiman qui publie un message d’espoir, sur Twitter, en anglais, dans lequel il s’interroge. Existe-t-il un mot pour ce laps de temps entre deux respirations, cette pause entre l’inspiration et l’expiration ? Pour Neil, c’est précisément là où nous nous trouvons en ce moment. Dans un monde empli de gens qui attendent de pouvoir à nouveau respirer.
Dès le premier commentaire sur Instagram, j’apprends que le mot existe en sanskrit (évidemment…) : Bahya Kumbhaka. Je pensais à « apnée », mais c’est sans doute pour cela que je ne serais jamais écrivain.
"We are tougher than we seem. We are tougher than we think. Our stories will outlive us. Let's make them good." A reflection from Neil Gaiman (@neilhimself) on the fragile but powerful resilience of humans: pic.twitter.com/2hnwSXathS
Je m’appelle Corto. Mettons. Je n’ai pas le confinement serein. Je n’ai rien contre le port du masque, même si je préfère ceux du carnaval de Venise, quand on ne sait plus qui est quelle et que les visages dissimulés s’accordent aux torses nus. Je redoute de ne plus pouvoir côtoyer mes semblables, de ne plus pouvoir embrasser, pas trop, pour dire bonjour, de ne plus pouvoir bien étreindre pour en dire davantage. Je veux bien m’y plier si cela sauve des vies. Par-dessus tout, je crains de ne plus pouvoir vivre d’aventures qui ne soient étriquées, de ne connaître que des horizons aux distances imposées par les autorités préfectorales quand mon désir insatiable demeure d’aller toujours un peu plus loin.
Je m’appelle Kevin O. Expert Über Alles. Mettons. Je commente beaucoup sur LinkedIn et je soupçonne que Ceux-Qui-Nous-Gouvernent cherchent à nous occuper les esprits pour nous faire avaler que tout est sous contrôle quand, depuis le début de cette histoire, les avis changent en permanence. L’utilité du port du masque. Les enfants sont vecteurs de contagion. Ou pas. Telle ou telle molécule sera un remède miracle. La probabilité d’un vaccin peut-être inefficace… Je suis docteur es virologie depuis hier et épidémiologue confirmé à partir de lundi. La politique, je m’y connais pas mal, et croyez-moi, c’est exactement comme l’art de manœuvrer pour mettre en stationnement un véhicule motorisé par combustion. Il y a les critères techniques, bien sûr, les créneaux c’est mon truc, mais il y a aussi l’esthétique, la beauté du geste. Il ne s’agit pas seulement de garer la chiotte sans qu’elle dépasse de la cuvette, encore faut-il s’abstenir d’emboutir les pare-chocs de la grosse berline allemande devant. Rien ne sera oublié, je vous le dis, et quand le jury populaire donnera ses notes, les cocus auront une joyeuse occasion de se compter.
Je m’appelle Rieux. Mettons. Je partage l’opinion d’Henri Michel : malgré tout, malgré la peur et la douleur, malgré les frustrations, dans quelques années, nous éprouverons une nostalgie de cette période de confinement. De cette flaque de soleil sur le parquet, vers 11 h 11, dont on ignorait l’existence, des enfants passant en bourrasque pendant une énième visioconférence, du plaisir de voir se transformer le jardin au printemps ou de celui de cuisiner, à midi, en semaine. Les escapades en vélo pour retrouver un ami, de nuit, dans une ville en veille. Les promenades du chien en bonne compagnie.
Je m’efforce de ne pas succomber à l’angoisse du confinement réussi, de ne pas subir le culte de la performance loué sur les réseaux sociaux : l’apprentissage d’une langue rare, la relecture d’une intégrale, une nouvelle hygiène de vie, un magistère en yoga. Je préférerais que nous ne soyons pas jugés sur nos succès ou nos échecs pendant notre huis clos. Qu’on nous laisse au moins cette intimité. Tout n’est pas destiné à être exposé. Ce n’est pas un putain de concours.
Se rappeler Camus :
« Il avait seulement gagné d’avoir connu la peste et de s’en souvenir, d’avoir connu l’amitié et de s’en souvenir, de connaître la tendresse et de devoir un jour s’en souvenir. Tout ce que l’homme pouvait gagner au jeu de la peste et de la vie, c’était la connaissance et la mémoire. »
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La solidarité en action, même si ce n’est pas au lycée !
La crise sanitaire actuelle a fait que notre lycée Georges Brassens est comme tous les établissements de France, fermé jusqu'à nouvel ordre. Si nos diverses actions devaient se tenir en mars et durant le printemps, nous ne manqueront pas de les réaliser l'année scolaire prochaine !
Mais si les solidarités ne se manifestent pas au lycée, elles sont à l’œuvre partout en France pour faire face à la crise sanitaire actuelle ! Chacun à son échelle peut faire quelque chose et nous vous proposons ci-après les idées et préconisations données sur le site de la mairie du 10e arrondissement de Paris :
Nous sommes nombreuses et nombreux à nous demander comment occuper positivement cette période chez soi, et prendre un peu de distance avec la situation actuelle, qui soulève une inquiétude certaine.
Nous avons besoin de nouvelles solidarités. Le moment que nous vivons doit nous inciter à échanger, et nous ouvrir aux autres : prendre des nouvelles de nos proches comme de nos voisins, leur apporter de l'aide si nous en avons la possibilité, tout en respectant les gestes barrière, et partager de la bonne humeur avec notre prochain... Nous en avons tous besoin.
Faire preuve de solidarité, c’est :
- Faire du bénévolat pour une association qui en a besoin : La Fabrique de la Solidarité, lieu de mobilisation citoyenne de la Ville de Paris dans le domaine de la grande exclusion, accompagne les associations qui recherchent des volontaires pour assurer leurs missions. Vous êtes majeur, en bonne santé, ne présentez aucun symptôme et ne faites pas partie d'une population à risque (seniors, personne ayant des antécédents médicaux) ? Complétez ce formulaire pour recevoir des propositions de missions bénévoles près de chez vous.
- Aller donner votre sang ou vos plaquettes : les collectes continuent pendant le confinement, vous êtes donc autorisé à vous déplacer dans le site de collecte de l'Établissement Français du Sang le plus proche de chez vous.
- Proposer à vos voisins âgés ou fragiles de les aider, par exemple en faisant leurs courses. Vous pouvez pour cela placer une affichette dans votre hall d’immeuble, ou distribuer des petits mots sous les portes de vos voisins avec vos coordonnées, pour leur proposer votre aide. Attention, tous les gestes de solidarité doivent être effectué dans le respect des gestes barrière : veillez bien à déposer les courses sur leur palier, et à rester à distance de plus d'un mètre.
- Proposer du soutien scolaire en ligne aux enfants dont les parents le souhaitent : à distance et sans contact, c’est une très bonne manière d’occuper intelligemment les enfants, si vous avez des compétences dans les matières scolaires. Vous pouvez proposer votre aide sur les réseaux sociaux, ou dans votre immeuble.
- Prendre régulièrement des nouvelles de ses proches et de ses voisins isolés, en les appelant, ou en visioconférence. Se parler à travers la porte ou à la fenêtre n’est pas interdit !
- Applaudir les soignants tous les soirs à 20h à votre fenêtre, pour les encourager et les soutenir. N’hésitez pas à vous filmer et à partager la vidéo sur vos réseaux sociaux, pour encourager vos connaissances à faire de même. Le personnel médical est en première ligne de cette épidémie, et a besoin de tout le soutien nécessaire.
- Organiser un moment convivial ou un dîner via une application de visioconférence. Pourquoi ne pas jouer au Time’s up avec d’autres personnes, en particulier si elles sont confinées seules ? Un peu de baume au cœur fera du bien à tout le monde.
- Faire de la musique à votre fenêtre : si vous êtes musiciens, n’hésitez pas à faire profiter vos voisins de vos talents, pour leur apporter un peu de joie !
- Profiter de cette période pour penser à la planète, en faisant du tri dans vos mails. En effet, les serveurs sur lesquels sont stockés les mails consomment énormément d’énergie. Vous pouvez par exemple utiliser l’application Cleanfox (utilisez ce lien avant de vous inscrire : un arbre planté par compte créé)
- Toujours dans l’idée d’économiser les ressources, et d’éviter de consommer du neuf : recoudre ses boutons, repriser ses chaussettes et les vêtements qu’on aime tant mais qui dorment au placard.
- Faire le tri dans ses affaires (livres, jouets, vaisselle..), et en particulier ses vêtements : cela vous permettra d'en faire don à des associations une fois la période de confinement terminée.
À vous de jouer, soyez solidaires, restez chez vous et portez vous bien !
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Lettre pour Emmanuel Macron
Lettre ouverte à l’intention d’Emmanuel de la famille Macron,
L’être humain qui possède la personnalité juridique nommée EMMANUEL MACRON, occupant actuellement la fonction de Président de la République Française (SIREN 100000017)
Je m’adresse bien ici à l’homme, de chair et de sang, à mon semblable terrestre par bien des aspects. Au nom de cette égalité entre chaque représentant de l’espèce humaine, au nom du principe de fraternité qui me fais considérer chaque humain comme un frère ou une soeur, malgré un gouffre de différences notoires, je vais employer le tutoiement… C’est avec tout mon respect et ma considération que je t’écris cette lettre.
Les mots seront peut-être acerbes, le ton peu caressant, mais c’est que le temps de trancher est venu, Emmanuel, et tu le sais.
Tu sens le vent qui tourne, la fin qui approche. Autour de toi, les murs s’effritent, le sol se dérobe. Même si beaucoup encore ne le voient pas ou refusent d’y croire, toi et moi le savons bien : ce Jeu est fini, tu as perdu la partie. Game Over Manu !
Fini, ce Grand Jeu de Monopoly dans lequel tous les êtres vivants sont embarqués malgré eux depuis des millénaires.
Finie cette partie de Risk mondiale VIP que tu as bien tenté de perpétuer en servant les Puissants.
Tu as misé sur le mauvais cheval. Tu as préféré soutenir une poignée d’hommes prêts à tout pour assouvir leur besoin irrépressible de pouvoir. Comme tous les autres avant toi, au nom de l’argent qui asservit, tu as participé à la destruction de la Terre, tu as consenti à la contamination du vivant, tu as fermé les yeux sur la souffrance des peuples, tu as encouragé la violence et la peur. Tu as bien travaillé pour tes Maîtres pendant toutes ces longues années, bien avant ta présidence.
Mais tu sais comme moi que nous méritons mieux que ça, mieux que toi. Parce que l’Histoire a pipé les dés. Comme tant d’autres avant toi, tu as triché. Tu as succombé aux promesses faciles qu’offraient le mensonge. Tu as joué un double Jeu. Quand tu t’engageais auprès du peuple sur notre plateau de Monopoly, tu répondais en fait sur le plateau de Risk aux demandes de tes Maîtres.
C’était un Jeu dangereux, ce mépris, cette haine de l’humain dans ce qu’il est de plus naïf, de plus enfant, de plus pur.
Je ne te blâme pas. Je ne peux qu’imaginer la fierté du domestique accompli qui espère sa récompense. Je compatis devant cette vie par procuration, dans l’attente de la reconnaissance des plus grands que toi. Inutile de chercher bien loin pour identifier le manque d’amour-propre, le manque d’amour tout court.
Et comment aimer l’autre lorsque tu ne t’aimes pas toi-même, Emmanuel ?
Donc comment gouverner ?
Parce que pour accompagner chaque jour des millions d’âmes, il en faut de l’Amour !
Un bon chef est celui qui comprend son peuple, qui vit à son rythme, proche de lui. Il cherche à offrir à l’autre ce qu’il vise pour lui-même.
Tu m’accorderas facilement qu’on ne peut célébrer la fin de la monarchie tout en vivant perché en haut de la pyramide. Le sage qui gouverne doit se rendre digne de sa position, de la confiance que lui accordent toutes ces voix le temps d’un quinquennat.
Un bon berger aime son troupeau. D’Amour ! Sans quoi ce n’est pas de l’élevage, mais de l’usinage, de l’esclavage, du travail à la chaîne.
Mais voilà, Emmanuel, les chaînes se détachent ! Un à un, les maillons qui enserraient notre liberté, étranglaient nos voix, asphyxiaient nos idées tombent ou vont tomber. Partout autour de toi, les certitudes s’écroulent, tes références disparaissent. Bientôt tu n’auras plus rien pour te raccrocher, pas même les ficelles qui actionnaient ta marionnette, encore moins les mains qui te faisaient danser et chanter.
Ah non, point de compassion chez les puissants !
Cette sensiblerie est bonne pour les humains de bas étage, si loin de toi dans leurs émotions et leurs sentiments, dont tu sembles tout à fait dépourvu.
Ce petit feu intérieur qui t’es inconnu et que tu redoutes, parce que tu ne le comprends pas, parce que tu y décèles une force silencieuse qui jamais ne s’éteint. Et tu as raison !
C’est l’étincelle de l’Amour qui se transmet de générations en générations depuis la nuit des temps. Malgré l’oppression, à travers les barreaux, par-delà les frontières, à travers les mots et l’intention. L’Amour de soi, l’Amour de la Vie, l’Amour de cette Terre qui nous abrite et nous accueille patiemment. Tout ce qui t’est tellement étranger ! Ce vide en toi qui sera ta perte, votre perte ! À toi et tous les êtres de ton espèce qui ont délibérément choisi de piétiner la Vie. Vous n’avez jamais réussi à mater tout à fait cette étincelle, et nous nous repassons le flambeau. À chaque coeur, la flamme grandit ! Et pendant que vos chaînes rouillent et se délitent, nous nous unissons bras-dessus bras-dessous dans une grande farandole de solidarité.
Toi qui as vécu une vie de calculs, de placements, d’investissementS, tu ne peux pas comprendre. L’acte spontané, l’élan créatif pour la beauté du geste, le cadeau inconditionnel par respect, empathie, justesse. Autant de mot pour décrire l’Amour qui nous unit en tant qu’espèce humaine, fière d’être là, reconnaissante du chemin accompli, curieuse de la suite, plus joyeuse et rayonnante que jamais parce que… la Lumière a déjà gagné. Même s’il reste quelques nuages, même si ton froid sourire glace encore nos écrans, même si nous sommes au coeur de la Tempête, les prévisions sont radieuses !
Et en attendant que le ciel se dégage tout à fait, inutile de compter sur nous plus longtemps ! Tu vas probablement choisir de t’accrocher jusqu’au bout, tu vas nier l’évidence. Dans une dernière bataille de cette Guerre que tu mènes depuis si longtemps, tu vas sûrement sortir tes dernières cartes les plus douloureuses, l’artillerie lourde en dernier ressort. Mais nous ne serons pas dupes et te regarderons te débattre avec toute la patience que nous a enseignée notre Terre Mère.
Quelle désolation, quel désert en toi pour choisir de vivre dans une telle destruction !
Serais-tu aveugle face à tant de beauté ? Serais-tu insensible à notre Art, à la magie de la Nature ? Serais-tu comme ces monstres des contes réduits en poussière dans un rayon de Lumière ?
Alors protège-toi parce que je ne suis pas seule ! Et je sais qu’ils se reconnaîtront. Les Guerriers Pacifiques, debout, intègres, courageux. Nous sommes nombreuses et nombreux ! Tu as misé sur la force de la Peur, nous savons la puissance de l’Amour ! Et nous allons grouiller d’Amour. Imprévisibles, inventifs, créatifs, nous serons partout ! Essaie d’en arrêter un et trois d’entre nous se réveilleront. D’autant que nous ne sommes pas seuls. Tu sais combien nous sommes aidés ! L’heure du rayonnement a sonné et aucun obstacle ne pourra plus nous arrêter.
Si l’humanité a bien été une enfant, elle est en train de sortir de sa crise d’adolescence accélérée pour s’émanciper ! Tes punitions, tes chantages infantilisants, tes menaces resteront sans effet. Je prendrai grand soin d’en protéger autant de frères et soeurs possibles, et nous serons tellement à faire passer le message ! Tu pourras continuer de vociférer, de gesticuler, de susurrer tes messages mielleux et condescendants dans les décors les plus intimidants, ton masque est tombé, tes intentions révélées.
Je ne consens plus à jouer mon rôle dans ce théâtre d’ombre. Je quitte la pièce, je change de partie, pour un autre Jeu. Je rejoins la Nation des Êtres humains qui veulent vivre en Paix sur cette Terre, dans l’Amour de Tout ce qui Est. Tu ne comprends probablement rien de tout ça, mais je sais que tu en perçois la portée, tu ressens la force de mon « Non, plus jamais ça, plus jamais toi, ni un de tes semblables ! ».
En sortant de chez moi, après ce confinement, lorsque le Grand Ménage aura eu lieu, et je sais que là tu me comprends, je me promènerai librement avec une autre identité, dans une réalité parallèle, une Nation dans la Nation, UNE Nation sur UNE Terre.
Une Nation en transition. Le temps que nous puissions tous vivre libres et égaux, entre frères et soeurs, en harmonie avec tout le Vivant,
Une Vie d’Amour, par Amour, pour l’Amour.
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Samedi 21 mars 2020
Jour six.
Ce matin, les garçons m’ont apporté mon petit-déjeuner au lit. Comme ils étaient mignons, avec leurs boucles blondes toutes décoiffées, leur narines humides, leurs bouilles rosies par l’air marin, et leurs petites pieds qui pit-pattaient tout autour de ceux de leur jeune fille au pair qui, elle transportait maladroitement le plateau.
Œuf à la coque, pain perdu, physalis et oranges pressées : Henri a décidé du menu lui-même, Édouard l’a calligraphié sur du beau papier, et s’est occupé de la gestion de projet. Sous son management efficace, Dolores, commis de cuisine, ne pouvait qu’accomplir ce travail brillamment. Malgré la redondance regrettable de l’œuf à la coque et du pain perdu, j’ai ressenti beaucoup de gratitude.
Le temps passe différemment, en période de confinement. Il est comme élastique. Je pense honnêtement m’être forgé une idée assez précise de ce qu’est l’emprisonnement.
Les heures passent. Tic, tac. La grisaille normande nous contraint à rester entre nos quatre murs. Tout tourne au ralenti. Et rien de tout cela ne ressemble à un samedi.
Édouard et Henri me semblent commencer, petit à petit, à apprécier l’ennui. Je m’en réjouis et m’en inquiète tout à la fois. Est-ce qu’apprécier l’ennui, ce n’est pas, en quelque sorte, renoncer à aimer la vie ?
Grande question. Hautement philosophique.
D’ailleurs, elle ne vient pas de nulle part, cette magna quaestio.
Je le confesse sans pudeur : il m’arrive, parfois, d’avoir le sentiment de ne pas aimer la vie.
J’ai eu mon lot de blessures, comme tout un chacun, et j’ai toujours fait preuve d’une résilience incroyable face aux épreuves que le destin a posées sur mon chemin. Mais peut-être qu’un jour, passée une certaine dose de malheurs, l’humain n’en peut plus, et cesse d’apprécier la vie à chaque instant, ses joies, ses farandoles et ses voyages.
Et peut-être que l’amour de l’ennui est un symptôme de ce basculement.
J’aime plus que tout les moments où l’on somnole, à mi-chemin entre le sommeil et l’éveil. Ces moments de rêverie dont, trop souvent, les obligations de la vie moderne nous privent. Il y a des gens qui ne prennent jamais le temps de se poser pour rêvasser. J'ignore comment ils font pour vivre ainsi.
Dolores, par exemple.
J’écrivais hier qu’elle ne lit pas, mais je me rends compte qu’elle ne s’ennuie jamais non plus. Elle a choisi ce métier qui la maintient dans un affairement permanent. Parfois, j’aurais envie d’être à sa place. J’aurais envie d’être moins cérébrale, d’être une personne moins profonde. Heureux les pauvres d’esprit, car le royaume des cieux est à eux.
Pour ma part, cœur pur devant l’Éternel, je me contenterai de voir Dieu, si j’en crois Saint Matthieu.
La journée a été épuisante d’inaction. Je n’ai même pas eu la force de lire une histoire aux garçons. J’ai laissé Dolores s’en occuper, après m’être assuré qu’elle leur avait fait un bon nettoyage de nez. Je sens que ça la met mal à l’aise, alors je la rassure : tous les enfants ont le nez qui coule ! Il ne faudrait pas que toute cette hystérie autour du coronavirus devienne pour elle un prétexte pour tirer au flanc.
Pendant que Victor surveillait les cours de la bourse sur son iPad, j’ai vu à l’instant sur le mien des images d’animaux reprenant leurs droits là où nos corps et nos industries ont déserté. Comme j’aimerais voir cela de mes propres yeux ! Comme j’aimerais être à Venise à cet instant !
Toute cette beauté ! Cette beauté – ô, désespoir – dont seuls quelques marchands de souvenirs et souffleurs de verre profitent actuellement. Savent-ils seulement l’apprécier ?
Un profond sentiment d’injustice me gagne soudain. Je pose mon écran, me lève et fais quelques pas dans le salon afin de le chasser.
Une idée étrangement mystique m’envahit alors.
Et si ces animaux qui reprennent leurs droits dans les canaux de Venise et ailleurs étaient des messagers ? Peut-être qu’ils essayent de nous révéler que le coronavirus est en fait un cadeau. Un cadeau de la Terre qui s’essouffle à cause de nous et décide enfin de se défendre, en nous essoufflant à notre tour.
La Terre qui se soigne.
La Terre qui élimine ses toxines.
Ces individus que parfois nous nous surprenons à aimer et qui parfois nous sont précieux, elle nous en débarrasse peut-être pour notre bien, pour faire un peu de place, pour respirer un peu mieux. Peut-être qu’elle s’octroie enfin une cure de détox (qu’elle mérite tant !), et qu’au lieu de nous plaindre de ce virus, nous devrions plutôt l’accueillir avec humilité et le laisser faire son œuvre.
Comme seuls les plus forts et les mieux portants d’entre nous y survivront, c’est peut-être un cadeau qu’elle fait à la race humaine. Comme une mère louve tue le plus faible de ses louveteaux, car il risquerait de ralentir la meute et de mettre le groupe en danger.
Ou peut-être simplement que la Terre a franchi la limite des malheurs qu’elle pouvait supporter, et qu’un basculement s’est opéré en elle.
Peut-être que c’est sa façon à elle de nous montrer que désormais, elle aime l’ennui.
En nous y contraignant.
En essayant en vain de distinguer la mer par la fenêtre et la valse des oiseaux marins, je m’émerveille des fulgurances que ce confinement dans la résidence familiale fait naître en moi.
Je prends conscience que je n’ai jamais aussi bien écrit ni aussi puissamment pensé, de toute ma vie.
Le potentiel a toujours été là, bien sûr. Mais il aura fallu que je sois presque contrainte, par cette facétie de la Terre, de travailler à mon art, pour que ce potentiel sorte de l’œuf et que ses ailes se déploient, telles celles du prince des nuées si cher à Baudelaire.
Baudelaire.
Je me plais à le croire là-haut avec son albatros, en train de contempler tout ce potentiel qui s’épanouit dans les foyers élus, la belle littérature qui s’écrit en ce moment même sous son parrainage bienveillant.
Baudelaire.
Comme tu me manques.
—Ludivine de Saint Léger
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La Shoah en France : le tournant de 1942 (extrait du documentaire de RMC Découvertes)
En France, entre le printemps 1941 et l'été 1942, plus de 75 000 juifs ont été déportés vers des camps nazis. Une majorité ne reviendra pas. Les premières rafles ont lieu discrètement, sous couvert de simples convocations, mais rapidement les déportations massives s'organisent, avec des convois de milliers d'hommes. Des opérations menées avec le concours de la police et de la gendarmerie françaises. Les 16-17 juillet 1942, pendant la rafle du Vél' d'hiv', plus de 13 000 personnes sont arrêtées visant indifféremment des hommes et des femmes, des vieillards et de jeunes enfants.
Documentaire entier : Ici
[Avez-vous remarqué l’évolution du langage des médias ? : occupation, résistance, guerre, etc... Ces mots sont de plus en plus employés.]
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Point de réflexion
La majorité des juifs déportés ont été dénoncés par des proches, des voisins, ou des inconnus.
Que penser de l’attitude de certains français durant le confinement alors que nous ne sommes pas en période de guerre ? Confinement : la délation représente jusqu'à 70% des appels dans certaines grandes agglomérations, selon le syndicat Alternative Police Avec le confinement, la délation s’étend Quand le confinement réveille le vieux démon de la délation
Plus récemment dans cette triste histoire : Douze verbalisations lors de l’enterrement d’un maraîcher qui s’était suicidé
Ou encore lorsqu’on rend la dénonciation “utile” : Signalement des points de deal : le stupéfiant succès de la plateforme "Moncommissariat.fr"
L’histoire ne fait que se répéter : les non-masqués, non-confinés, non-vaccinés, etc... d’abord, puis les juifs et les chrétiens ensuite.
Nous sommes la cible finale de Satan et des lois iniques seront petit à petit votées que nous ne pourrons pas accepter car ils enfreindront les principes bibliques, notamment le dimanche comme étant le jour du repos, nous obligeant à travailler le samedi.
“ Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant; les enfants se soulèveront contre leurs parents, et les feront mourir. Vous serez haïs de tous, à cause de mon nom; MAIS celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé. Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. “ (Matthieu 10:21-22)
Hélas, il faut le dire les chrétiens entre eux (peuple, Serviteurs de Dieu) vont se dénoncer. Tout le monde ne va pas évoluer de la même manière dans cette re-création du monde voulue par le diable où la méchanceté, l’immoralité, la perversion, l’idolâtrie seront normalisés.
“ Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? “ (Jérémie 17:9)
“ Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil. S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés. On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard. “ (Ecclésiaste 1:9-11)
Yahshua nous a prévenu que des temps difficiles arrivaient :
“ Car alors, la détresse sera si grande qu'il n'y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu'à présent, et qu'il n'y en aura jamais. “ (Matthieu 24:21)
Pourtant :
“ Qui nous séparera de l'amour de Yahshua ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ? Selon qu'il est écrit: C'est à cause de toi qu'on nous met à mort tout le jour, Qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés, car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour d’Elohim manifesté en Yahshua notre Seigneur. “ (Romains 8:35-39)
“ Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience. “ (Jacques 1:2-3)
Les persécutions qui arrivent vont permettre de relâcher des onctions, des talents cachés.
C’est dans l’eau bouillante que le thé diffuse ses arômes.
L’objectif étant de continuer à avancer comme un sous-marin malgré la pression, les attaques, les ennemis, etc...
“ Nous sommes : . PRESSES de toute manière, mais NON-REDUITS A L’EXTREMITE; . dans la DETRESSE, mais non dans le DESESPOIR; . PERSECUTES, mais NON-ABANDONNES; . ABATTUS, mais NON-PERDUS; portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Yahshua, afin que la vie de Yahshua soit aussi manifestée dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Yahshua, afin que la vie de Yahshua soit aussi manifestée dans notre chair mortelle. Ainsi la mort agit en nous, et la vie agit en vous. Et, comme nous avons le même esprit de foi qui est exprimé dans cette parole de l'Ecriture: J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé ! nous aussi nous croyons, et c'est pour cela que nous parlons sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Yahshua nous ressuscitera aussi avec Yahshua, et nous fera paraître avec vous en sa présence Car tout cela arrive à cause de vous, afin que la grâce en se multipliant, fasse abonder, à la gloire de Dieu, les actions de grâces d'un plus grand nombre C'est pourquoi nous ne perdons pas courage. “ (2 Corinthiens 4:9-16)
Il y a quelques années, j’ai fait des recherches sur “ces gens ordinaires” pendant les précédentes guerres, celles et ceux dont le destin a basculé pendant l’occupation en cachant des juifs, des enfants ou des personnes recherchées.
J’ai lu les récits de leurs exploits qui ont permis de soustraire des hommes, des femmes, des enfants aux plans d’extermination mis en place par les nazis. Qui étaient-ils ? Pourquoi avaient-ils été choisis ? Comment ont-ils fait ? Quelles sont les difficultés qu’ils ont rencontrés ? Quelles sont les aides dont ils ont bénéficié ? Comment aurais-je réagi à leur place ?
Avaient-ils la foi ?
Etait-ce une mission donnée par Elohim ou un élan du cœur de la part de gens honnêtes, sensibles et laïcs ? Car il y a de bonnes personnes non-croyantes, qui ont même parfois davantage de valeurs que des convertis, car pas nés de nouveau.
Si je n’exclus pas une censure dans les témoignages, je n’ai toutefois pas trouvé ce que je cherchais.
C’est pour cela qu’il faut revenir aux 7 Fêtes de YHWH du Lévitique 23 car nous devons tous - Juda et Ephraïm - célébrer les mêmes Saintes Convocations.
Nous aimons le même “Dieu”, mais nous ne le célébrons pas de la même manière et sans ce point commun, le corps de Yahshua ne peut pas se constituer, c’est impossible.
On parle de réveil dans les nations, mais peut-être faut-il auparavant déjà nous accorder entre nous !
Et si notre mission divine, celle pour laquelle nous sommes sur terre, celle pour laquelle Elohim nous a créé était de cacher, aider des frères et sœurs qu’ils soient chrétiens ou juifs. Le ferons-nous ?
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15 choix de lecture pour amuser les enfants en période de confinement
Voici quelques suggestions de livres, de cahiers à colorier et de cahiers d’activités pour occuper les enfants pendant cette longue période de confinement. C’est l’occasion de garder les craies et les crayons à colorier à portée de la main, de découvrir de nouveaux talents artistiques et de trouver un peu d’évasion dans les belles histoires des albums illustrés.
Bon voyage, Monsieur Rodriguez
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Christiane Duchesne et François Thisdale Éditions Scholastic 32 pages
Tous les enfants du village observent attentivement monsieur Rodriguez, qui marche dans les rues chaque après-midi, à seize heures. Où va le vieux monsieur à la moustache blanche? Que fait-il? Pourquoi marche-t-il toujours à la même heure? Toutes sortes de rumeurs circulent : on dit qu’il joue du piano sans toucher les notes et qu’il flotte au lieu de marcher. Qui est-il donc?
Adèle et compagnie, tome 1 : Portrait de famille
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Sophie Rondeau Éditions Hurtubise 224 pages
Adèle Faucher, une fille de 6e année, est stupéfaite lorsqu’une copine de sa classe lui montre la photo d’une jeune fille qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Adèle, orpheline, vit avec sa tante Audréa depuis que ses parents sont décédés et se pose bien des questions sur cette fille qui est son véritable sosie. Elle découvrira que des tensions ont séparé sa famille et qu’elle a trois sœurs.
Un chien à temps plein
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Maryse Robillard Éditions Pierre Tisseyre 116 pages
Mika a le plus beau des chiens : un labrador qui s’appelle Bretzel. Elle a deux maisons et une famille recomposée. Bretzel ne peut pas suivre Mika chez sa demi-sœur, Ophélie, qui a peur de lui. Mika est bien déçue… et cherche une façon d’avoir son chien, à temps plein.
Sixtine, tome 3 : Le salut du pirate
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Frédéric Maupomé et Aude Soleilhac Éditions de la Gouttière 76 pages
Sixtine vit seule avec sa mère… et trois pirates fantômes depuis que son père a disparu. Dans la pièce secrète de son père, elle découvre le monde des ombres, en compagnie de Martin et Sophie. En poursuivant sa quête, elle découvre que les pirates lui ont caché beaucoup de choses.
Mia et Noah au service de garde : La chasse aux microbes
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Jo-Ann Benoît et Isabelle Gagné Editions Graziella Pettinati
Jusqu’à la réouverture des CPE et des garderies, les parents peuvent télécharger gratuitement l’édition familiale de cet album à colorier. Mia et Noah découvrent ce que sont les microbes et comment les déjouer pour rester en santé. Ils apprennent les étapes de lavage des mains et où il faut tousser lorsqu’ils n’ont pas de mouchoir. Ils deviennent ainsi de bons chasseurs de microbes.
Gouache!
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Sylvain et Philémon Bouton Éditions Les 400 coups, 26 pages
Ce super projet est issu d’un duo inhabituel : un papa illustrateur et son fils de deux ans, qui s’est lancé avec joie dans les pots de gouache. Sylvain Bouton a interprété ses motifs et inventé l’histoire de deux lapins à partir de trois pots de peinture renversés, un rouge, un bleu et un jaune. Avec trois couleurs, ils sont partis pour une grande aventure!
Créatifs et complices
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Tristan Demers Éditions La Semaine 128 pages
Le bédéiste propose 52 activités destinées aux jeunes de 8 à 12 ans et à leurs parents pour qu’ils passent de bons moments ensemble et stimulent différentes sphères de développement. Il présente des bricolages faciles, des jeux et des défis dessin.
Où est la licorne de mer?
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Ingela P. Arrhenius Éditions Gründ 12 pages
Pour les tout-petits, voici un album tout en douceur créé par une illustratrice à succès. Le livre cartonné comprend des volets en feutrine et un miroir. Destiné aux très jeunes lecteurs, il est conçu pour les inviter à soulever des volets et jouer à cache-cache dans l’océan, à la recherche du poulpe et de la tortue.
Le monde de Nedarra
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Katherine Applegate Éditions Seuil 377 pages
Ce roman fantasy met en vedette Byx, qui pensait être la dernière dairne de Nedarra depuis la disparition de sa meute. Mais elle a cru apercevoir l’un de ses semblables se diriger vers le royaume voisin de la Dreylie. Byx est-elle sur la piste d’une colonie dont parlent les légendes? Accompagnée de sa nouvelle famille, Byx se remet en route.
Voir l’or dans l’ordinaire
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Raphaëlle Vidaling Éditions Tana 237 pages
Raphaëlle Vidaling propose une sélection d’activités écolo (récup, pas de plastique, pas de paillettes, pas de vernis) pour mettre de l’or dans l’ordinaire des enfants de 5 à 9 ans avec des matériaux de base. Elle propose des déguisements, des origamis, des acti-vités culinaires et des recettes ludiques pour manger des légumes.
Les Cromz
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Jannick Lachapelle et Jean-Paul Eid Éditions Petit Homme 152 pages
Arrivés directement de la préhistoire, Lola et Titos Cromz poursuivent leur découverte du monde moderne dans le deuxième tome de cette nouvelle série, En chair et en os. Après une sieste de 30 000 ans, ils profitent des vacances avec leurs amis. Arriveront-ils à maîtriser leurs instincts de chasseurs lors de leur visite au zoo? La bande d’amis parviendra-t-elle à sauver le boisé de Lapiskau?
Comment ça va?
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Élise Gravel Éditions Scholastic 96 pages
Élise Gravel a créé un livre d’activités qui permet aux jeunes de prendre conscience de leurs émotions et des réactions qu’elles entraînent, en les exprimant par le dessin. Le livre explore trois concepts à partir des idées suivantes : ce que tu ressens, nomme ton émotion, et comment te sens-tu quand…? Un outil pour travailler sur le bien-être émotionnel.
Dicodrôle chat
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Jack Domon Casa Éditions 48 pages
Vous pensez tout connaître sur les chats… et comprendre votre chat mieux que n’importe qui au monde? Est-ce vraiment le cas? Jack Domon, un auteur «charcastique», a écrit et dessiné cet album et vous propose des définitions humoristiques des chats, de A à Z. Race, âge, comportement et habitudes fantaisistes : l’auteur fait le tour de la question, à sa façon.
Toto ninja chat et l’évasion du cobra royal
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Dermot O’Leary et Nick East Éditions Gallimard Jeunesse 208 pages
Toto n’est pas une chatte ordinaire. Elle est presque aveugle… mais elle est aussi un chat ninja. Avec son frère Silver, un froussard expert en grignotage et en gaffes, elle devra accomplir une nouvelle mission : sauver son quartier d’une menace terrible. En effet, Brian, le cobra royal, s’est échappé du zoo. Toute une aventure les attend.
Pet et Répète, la véritable histoire
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Katia Canciani et Guillaume Perreault Éditions Fonfon 32 pages
Katia Canciani, auteure jeunesse au très grand sens de l’humour, propose la vraie histoire de deux personnages célèbres dans le répertoire des histoires drôles, Pet et Répète. Tout le monde connaît le début… «Pet et Répète sont dans un bateau. Pet tombe à l’eau…» Mais qu’est-il arrivé pour vrai?
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