#collègue chérie
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Charles’s Angel(s)
Ch.16
Charles Leclerc x Reader
Author’s Note: Yes there are mentions of Kpop in here. Yes the next chapter will probably have a lot more. You know what? Deal with it. That said, feel free to send me requests, and I might write something for them in the future. Can’t really say if I have any specific criteria or people/groups, but feel free to shoot your shot!
Enjoy!
The first thing you do when you get back home isn’t even going and telling Marie about your recent developments. You race to your room, pull out your phone, and dial your mom’s number.
“Mummum! তুমি ভাবতে পারবে না আজকে কি হবে!(You’ll never guess what happened today!)”
“কি?(What?)”
“I got a boyfriend!”, you squeal through the phone.
She gasps. “তার নাম কি? ছবি পাঠাও! (What’s his name? Send me pictures!)”
You grin at her request. “Just search up Charles Leclerc”.
The line goes silent for a minute while she does this. All of the sudden, you hear her commenting on his looks and squealing at the photos. You hear her call your sister to show her, and you hear you sister talk animatedly, trying to explain to your mother that Charles Leclerc is a very famous F1 driver that drives for Ferrari.
…
When you return to the living room, Marie is there sitting patiently, waiting to hear the news from you. You tell her and she begins grabbing your arms and dancing around the room. “I told you, didn't I? I knew you would finally get to experience everything you missed out!”
You take a step back and exhale. Then you come forward and embrace her tightly. “Thank you, Marie. None of this would have happened without you.”
…
Just as you were about to call your managers at the studio, you get a message from JYP Entertainment.
Stray Kids have requested your presence. Please come by this Saturday.
You make a call to Charles instead. “Hé, chérie”.
“Hé Charles. I was going to book us a day at the studio, but appels du devoir(duty calls). Je dois me rendre en Corée avant samedi. Voulez-vous m'accompagner ? Il y a des génies de la musique qui vous aideront mieux là-bas, et vous pourrez rencontrer mes collègues…(I need to get to Korea by Saturday. Would you like to accompany me? There are musical geniuses that would be a better help to you there, and you can meet my colleagues…)”
There’s a pause. You hear a rustling of papers and him tapping at his phone. “Ok. Je viens de vérifier, je suis en congé ce mois-ci, donc je peux y aller (Ok. I just checked, I have this month off, so I can go)”.
You punch the air. “Yes!”, and you hear his chuckles on the other side of the phone. Oops. Oh well.
“On va bien s'amuser! (We’re gonna have so much fun!)”
“Avec toi comme guide, je suis sûr que nous y arriverons, ma chérie (With you as my guide, I’m sure we will sweetheart)”.
#charles leclerc#f1 x reader#charles leclerc x reader#fluff#smut#f1#formula 1#jyp entertainment#jypartists#jyp stray kids#skz#stray kids#kpop
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Hier en fin d’après midi je suis allée boire un verre au sunset avec une amie au MV à la baie des Citrons.
J’avais prévenu mon homme.
Il avait prévu d’aller faire quelques courses en sortant du boulot avant d’aller à la maison.
Pendant que j’étais avec mon amie, j’ai reçu un message de mon homme « il y a une surprise pour toi »
Quand je suis arrivée à la maison vers 19h, j’ai vu qu’il y avait une voiture en plus de celle de mon homme.
A peine la porte ouverte, j’ai vu mon homme en train de boire l’apéro avec un autre homme. Tous les deux étaient nus.
J’ai appris en fin de soirée qu’il s’agissait d’un nouveau collègue de mon homme. Il était d’origine de Poindimié.
Mon homme sait que j’ai un faible pour les hommes de couleurs. Les kanaks peuvent être très bien bâtis.
C’était le cas de Philippe.
Quand je me suis approchée du salon, Philippe s’est levé pour me saluer. La queue au repos. Elle était de belle taille.
Il ne savait pas trop si il devait me faire la bise ou me serrer la main.
Je l’ai devancé en lui faisant la bise et en lui serrant la queue.
Les deux hommes ont aimé mon initiative.
Je me suis approchée de mon homme pour lui dire bonjour. J’ai pris sa queue encore toute molle en bouche en guise de bonjour.
J’étais en train de sucer mon homme quand j’ai regardé Philippe qui s’était à nouveau assis sur le canapé en face.
Il avait commencé à se branler en nous regardant et était visiblement rapidement très excité.
« Ma chérie, tu n’aurais pas envie de gouter à sa belle queue de black ? »
Mon homme avait lu dans mes pensées.
Je suis passée d’une queue à l’autre en 2 secondes. Philippe m’ayant laissé sa queue et mon homme ayant entrepris de faire comme le faisait Philippe avant.
Mon homme adore se branler en me regardant.
La queue de Philippe était grosse et longue. Je me suis mise debout pour rapidement enlever ma culotte et me suis rapidement assise sur lui face à lui.
Je l’ai pris de suite tout en entier. Tout au fond.
Pendant que je commençais à faire de lents vas et viens, Philippe ouvra mon chemisier et commença à me sucer les seins qui pointaient.
A un moment, j’ai senti mon homme derrière moi, relevant ma robe et il a commencé à me lécher le cul.
Je sentais bien qu’il devait lécher la queue de Philippe en même temps qu’il passait des coups de langue entre mes fesses.
Connaissant mon homme, je savais bien aussi ce qu’il avait envie. Je me suis suffisamment relevée pour que la queue de Philippe sorte de ma chatte.
Mon homme l’a tout de suite prise en bouche avant de me la représentée à mon minou.
J’ai senti la queue de mon homme se présenter à mon petit trou. Je l’attendais.
Il est entré dans mon cul doucement puis a commencé des vas et viens.
J’étais prise de partout. J’adore ça.
Philippe était toujours occupé avec mes seins.
A un moment il m’a regardé dans les yeux et je l’ai senti décharger au fond de moi.
Lorsque mon homme a compris, il a accéléré ses vas et viens entre mes fesses et a éclaté également.
Philippe nous a remercié et est parti.
J’adore quand mon homme m’organise des surprises !
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Photos Du Lycée - Emily Prentiss
Drabble Masterlist
Résumé : Tu rencontres l'équipe d'Emily pour la premiere fois et Garcia a quelque chose d'important à te montrer.
Warnings : fluff.
Nombre de mots : 959
Version anglaise
En arrivant aux bureaux du BAU, tu essayes de voir si Emily, ta petite amie, est dans les parages à travers la porte vitrée. Tu restes là, à regarder sans bouger pendant quelques secondes jusqu’à ce que Derek Morgan vienne à ta rencontre. Tu arrives à le reconnaître en un coup d'œil, Emily t’ayant déjà montré des photos de l’équipe, même si tu ne les as encore jamais rencontrés.
-Bonjour, vous cherchez quelqu’un ? demande-t-il, te surprenant.
-Oh, bonjour, oui. Je dois retrouver SSA Emily Prentiss.
-Elle est actuellement en train de parler avec notre Chef. Elle devrait avoir fini dans quelques minutes. Vous pouvez l’attendre à son bureau, si vous voulez.
-Avec plaisir.
Derek t’ouvre la porte avant de te laisser passer. Il te conduit jusqu’au bureau d’Emily qui est proche du sien. Avec un air gêné, tu restes debout à côté du bureau de ta petite amie, ignorant si tu as le droit de t’installer sur sa chaise. Si son équipe te connaissait, tu serais sûrement déjà assise, mais comme ce n’est pas le cas, tu ne vas créer une situation embarrassante pour Emily. Tu préfères qu’elle soit celle qui fasse les présentations.
-C’est urgent ce dont vous devez parler avec l’agent Prentiss ? s’enquiert Derek après quelques minutes. Je peux peut-être l’appeler ou lui transférer le message.
-Oh, ne vous inquiétez pas. Je dois juste la retrouver ici, réponds-tu en tentant de rester vague.
Derek est sur le point d’ajouter quelque chose quand un cri aigüe l’interrompt. Vous vous retournez et découvrez Penelope Garcia, la bouche grande ouverte.
-Oh mon Dieu ! Est-ce que tu es Y/N Y/L/N ? La Y/N Y/L/N d’Emily ?
-Euh, oui, confirmes-tu, gênée.
-Je suis si contente de te rencontrer ! Emily m’a tant parlé de toi, s’exclame Garcia en te serrant fort contre elle.
-C’est toi la fameuse Y/N qui fait rougir notre Emily ? ajoute Derek avec un sourire.
-Il faut croire. Je ne savais pas que vous me connaissiez enfin, peut-être de nom, mais de face.
-Chérie, j’ai vérifié tes antécédents le jour où Emily a avoué pourquoi elle faisait la cachottière, avoue Penelope, te faisant froncer les sourcils.
-Je ne sais pas si je dois être touchée de voir que tu veux protéger Emily ou si je dois être inquiète de savoir que tu as contrôlé tout mon passé.
-Mon Dieu, ne bouge surtout pas, je dois aller chercher un dossier dans mon antre.
-Elle a vraiment autant d’énergie qu’Emily disait, rigoles-tu quand Pénélope n’est plus là.
-C’est pour ça qu’on l’aime notre petit cœur.
Deux nouvelles personnes vous rejoignent après avoir entendu l’enthousiasme de leur collègue.
-Je suis JJ et voici Reid, présente Jennifer en te tendant sa main.
-Enchantée, j’ai tellement entendu parler de vous.
Avant que vous puissiez étendre votre conversation, vous voyez Penelope courir vers vous en agitant un dossier dans ses mains. Elle t’ordonne de fermer les yeux, ce que tu fais sans demander d’explication. Quand le dossier est ouvert, elle t’informe que tu peux regarder. En posant les yeux sur la photo en face de toi, tu restes abasourdie. Devant toi se trouve un cliché d’Emily avec ses yeux maquillés de noir ainsi que ses lèvres. Sa chevelure habituellement lisse a été coiffée pour avoir un maximum de volume. Enfin, sa tenue sombre contraste fortement avec son teint extrêmement pâle. Plus tu détailles l’image du regard, plus ça devient compliqué de ne pas rire. Les membres du BAU rigolent en découvrant à nouveau la photo d’Emily, mais surtout en voyant ton expression choquée.
-Ne me dites pas que c’est…
-Oh, si ! te confirme Penelope. C’est bien ta Emily Prentiss au lycée.
-Par pitié, dis-moi que tu as trouvé d’autres photos.
Tu prends le cliché du dossier pour l’examiner un peu plus quand Emily arrive à votre rencontre. En te remarquant, un grand sourire prend place sur son visage. Elle va pour te prendre dans ses bras, mais s’arrête dans son mouvement quand elle voit ce que tu tiens. Elle t’arrache la photo des mains et la replace rapidement dans le dossier avant de le serrer contre elle.
-Garcia ! Je t’avais interdit de ressortir cette photo.
-Hé ! Je t’ai dit tout ce que tu devais savoir sur le passé de Y/N, il est normal que je fasse pareil pour elle. Et puis, cette photo était trop belle pour la lui cacher, s’esclaffe Garcia.
-Bon, on va partir avant qu’ils te racontent des choses embarrassantes. On se voit demain, salut, s’exclame Emily avant de prendre son sac et de te pousser vers la sortie.
-Encore ravie de vous avoir rencontré ! cries-tu.
-Je t’enverrai le reste par mail !
Emily continue de te guider jusqu’à ce que vous arriviez dans l’ascenseur. Quand les portes se referment, elle pousse un soupir de soulagement. Malgré toi, tu ne peux t’empêcher de rire à nouveau.
-Si ça peut te rassurer, ça n’a pas changé ma vision de toi.
-J’espère bien ! Ou alors, je serai le prochain UnSub qu’ils devront arrêter.
-Au moins, ça confirme ce que tu me demandais hier. Si on s’était rencontrées au lycée, on se serait jamais mises ensemble.
-Hey ! C’est pas parce que j’avais ce look que j’étais méchante, s’offusque Emily.
-J’ai pas dit ça ! Je dis juste qu’au lycée, j’allais vers les personnes avec un style… plus sobre. Mais le plus important c’est que, maintenant, on est ensemble, souris-tu, mais Emily continue de bouder.
-S’ils ont pas totalement tout ruiné !
-Si ça peut t’aider à te sentir mieux, je te montrerai aussi mes horribles photos du lycée.
Emily semble considérer la proposition pendant quelques secondes avant de prendre ta main et de t’embrasser la joue.
-Je veux bien, mais d’abord, on va au restaurant et ensuite, on se montre nos photos d’enfance.
Drabble Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
#marie swriting in french#criminal minds x y/n#criminal minds x reader#criminal minds imagine#criminal minds#criminal minds drabble#emily prentiss x you#emily prentiss x y/n#emily prentiss x reader#emily prentiss#emily prentiss x female reader#emily prentiss fanfic#emily prentiss fluff#emily prentiss fanfiction#emily prentiss fic#emily prentiss drabble#tumblr français
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a list of some my favorite quotes from 'L'histoire racontée par des chaussettes' bc i love them very much - not in order
"Vous n'êtes pas n'importe quel Aryen, mein Führer, vous êtes végét-Aryen."
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"LA FERME, DAS IST MEINE CHANSON."
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"La MOUCHE."
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"JE SUIS JEANNE D'ARC, LA PUCELLE D'ORLÉANS!"
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"La détermination de l'issue est-elle questionnable à juste titre?
- Notre empereur a voulu dire 'On les a défoncés', mais César est un grand orateur."
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"Mon inébranlable stature ne cristallise-t-elle pas l'instant sans nécessiter le verbe?
- Là, il a voulu dire 'Leur ravager la gueule ça suffit pas?'"
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"'J'ai déboulé, j'ai bien r'gardé s'qu'y s'passait, et j'les ai défoncés ces p'tits bâtards'!
- Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
---ces p'tits bâtards.
- Mais ça rime plus.
Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu leur p'tits culs!"
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"La Croquilex! Elle a trouvé la Croquilex! J'vais allé la voir, j'lui donne la Bretagne contre la Croquilex!"
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"Ah ouais? Depuis quand les scheuls ils fêtent Noël et tout ça!?
- Bah depuis l'arrivée du Christianisme en Allemagne.
Ah vous êtes soldat et historien c'est ça?
- Ja!
Ooooh..."
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"Soldat, c'est homophobe ça, même en 1915! Vous m'ferez 100 pompes dans la boue!
- Rooh..."
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"J'ai peur des oiseaux."
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"Mon... fils... est un... bâ... -tard... signé: GEORGES." - Charles IV
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"Le fils du roi de France se retrouve littéralement clodo."
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"Les relations de couples et les statistiques c'est les deux trucs qu'on comprend pas, nous, les dinosaures."
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"Bon bah la chanson du jugement: 🎶 On ne juge pas, il faut pas juger 🎶 On ne juge pas dans une société évoluée🎶"
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"Ernst, mon collègue! accro à la morphine!, que j'ai soigné! en lui faisant prendre de la cocaïne!"
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"Ah! Comme quand j'ai dit 'J'vais t'sandwicher la gueule', mais en fait c'est parce que j'avais faim! Et j'voulais pas te sandwicher la gueule, j'voulais te savater la gueule!"
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"Et c'est ainsi que Freud avait 'ein petit problème'.
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"Y'en a qui se sont plaintes... y'en a qui se sont mortes..."
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"Et tu vas espionner des chèvres.."
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"Apparement c'est de l'humour oppressif européen, ma chérie."
#ich liebe les pommes (pommes pommes)/ich liebe les poires (poires poires) ~#couldnt put everything because if i could id write the entire episodes#'soldat allemand!' '-Guten Tag!'#'Je suis triste et perdu!'#'héé! c'est d'l'ironie!' '-Nooonn..' 'Ah j'préfére parce que - [...] Hééé!'#'OURS!' '-OURS!' 'OURS!' '-OURS!' 'nan on va pas y arriver..'#'qu'est-ce qui m'dit qu'vous êtes pas un espion!?' '-bah j'aurais un chapeau et une fausse barbe' 'Bien vu..'#'ça a des cuisses un morse?'#'et il a dit quoi?' '-Il a rien dit il a tapé une grenouille'#'zéro zéro chèvres'#'Ne me lêche pas le cul Günter. D'ailleurs arrêtez tous de me lêcher le cul. Et arrêtez de m'apporter des pommes je suis pas votre maîtress#'
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Pour l'askgame, une ou plusieurs de ces questions : F, H, et S 👀
F: Share a snippet from one of your favorite dialogue scenes you’ve written and explain why you’re proud of it.
[Partage un extrait d'un de tes dialogues préférés écrit par toi et explique pourquoi tu en es fièr-e.]
Honnêtement, j'aime pas trop écrire les dialogues du coup j'ai du mal à me souvenir d'un truc qui m'a marqué...
Du coup j'ai choisi un extrait de CFFA
"« Ma chérie, si tu ne reviens pas, je crois…Je sais pas… Je comprends plus ce qui m’arrive. »
Il s’arrête une seconde, hésitant à continuer à voix haute. Fanny n’a toujours pas bougé, pas donné de signe de vie.
« J’ai un collègue - au comico, je suis redevenu flic, je crois que je t’ai déjà dit… J’oublie tout en ce moment… »
Il s’interrompt pour retenir un sanglot.
« Je sais que tu détesteras ça. Je démissionnerai quand tu reviendras. »"
Et c'est en fait un monologue. C'est la scène où Alain parle à Fanny à l'hôpital après accident de Franck. J'aime beaucoup cette scène parce que franchement je pensais pas que je réussirais à l'écrire, c'est déjà pas évident de faire parler deux personnages alors un personnage tout seul... Mais c'est aussi un point de pivot pour l'histoire c'est la première fois qu'Alain admet vraiment qu'il a des sentiments pour Franck et je trouve cette scène très émouvante...
H: How would you describe your style?
[Comment décrirais-tu ton style ?]
Funfact : tu m'as déjà envoyé une question similaire la dernière fois que j'ai partagé ce genre de ask... Ma réponse a pas vraiment changée donc je te renvoie vers ce post.
S: Any fandom tropes you can’t resist?
[Est-ce qu'il y a des tropes de fandoms auxquels tu ne peux pas résister ?]
Je ne suis qu'une simple femme j'ai beaucoup de mal à résister aux scénarios qui impliquent des histoires d'amours impossible et aux slow burns en fait...
Mais toutes les thématiques autours des déchirements internes, des dénis et des choses qu'on se dit pas et des difficultés à communiquer me fascinent profondément.
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Une p'tite liste des trucs sympas qui me sont arrivés cette année parce que je pique le concept à Sloubs, et qu'un moment donné il faut que je parle de trucs positifs sur ce blog
De façon générale, je chérie énormément le lien que j'ai construit avec Yona, ma prof d'alto, cette femme m'a donné le courage de tenter encore et encore des concours pour changer de conservatoire malgré mes échecs à répétition, m'a énormément épaulé jusqu'à réfléchir avec moi à une réorientation, et m'a montré que je pouvais réellement importer pour des gens
Mon changement de prénom a été accepté plus de trois ans après mon coming out
Ma famille a enfin accepté mon nouveau prénom et mes pronoms
J'ai pu enfin être capable de mettre des barrières à certaines relations toxiques
J'ai vu un grand nombre d'amis et de collègues etre heureux et fiers de me voir réussir et me voir épanoui
J'ai enfin été accepté dans un conservatoire en direction d'orchestre, avec un prof et des camarades géniaux
J'ai pu déménager loin de ma mère et sans avoir eu à couper les ponts, notre relation s'améliore très doucement
Je me suis rapproché de ma soeur et de ma meilleure amie
Je suis extrêmement bien intégré dans mon conservatoire, et le peu de personnes à savoir que je suis trans ne m'ont jamais fait une seule remarque désobligeante
J'ai intégré une chorale en tant que ténor malgré ma voix aiguë dans laquelle j'ai décroché un solo pour une des pièces du programme
J'ai pu revoir les deux femmes de ma vie (en tout bien tout honneur bien évidemment, tout est platonique entre elles et moi) en juillet
J'ai noué des liens auxquels je ne m'attendais pas avec un cousin
Je sympathise avec de nouvelles personnes chaque jour
Avec l'orchestre dans lequel je joue, j'ai pu vivre la meilleure représentation de toute ma vie dans une grande salle de Lille hier soir
J'ai acheté un beau costume :)
Et enfin, j'ai découvert un trouble qui correspond beaucoup à ce qui m'arrive, et ai trouvé un psychiatrique pour en parler, me faire suivre et éventuellement me faire diagnostiquer
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MAUVAIS GENRES
Épisode 19
- demain je verrai avec toi, je vais t'adjoindre plusieurs gars , tu me diras tes besoins, à demain vieux !
- à demain répondit son collègue, heureux d'avoir fait du bon boulot
Les longues mains fines et souples de Sophie agitaient fébrilement mais avec un rythme soutenu le sexe de Ray , elle s'allonge sur le lit , Ray en fait autant puis elle enfourne le sexe turgescent de Ray dans son vagin.
Celui-ci exité s'engage dans un va et vient frénétique qui se termine par deux grands cris rauques suivis par d'énormes expirations.
- c'était qui au téléphone ? demanda Sophie
- un des collègues qui s'occupe de l'enquête
- il t'as donné des nouvelles ?
- Oui, ils ont trouvé deux personnes sur la liste qui pourraient être suspects...
- Comment ça ?
- Ils n'existent pas légalement, ils vont approfondir les recherches
- tant mieux ! on va peut-être en finir murmura t-elle...
Il prit son ordinateur et s'exclama :
- tiens regarde !
C'était un dossier qui récapitulait l'enquête, il n'avait pas le droit de le montrer. Il espérait que cela la calmerait un peu .elle vit les comptes rendus de la presse ... les notes internes des collègues de Ray.
Les analyses d'enquête, les notes sur les pistes à explorer et les conclusions ...
- le tour des assassins
- la route infernale
- le tour de France du crime
C'était les titres de la presse nationale et régionale...
- ouah c'est terrible ! dit-elle interloquée
- comme tu dis ! ça promet murmura Ray
Il commençait à l'embrasser doucement, puis des petits coups de langue et des baisers humides sur la poitrine , elle gémissait, Ray descendait sur le ventre , il lui fit un cunilingus.
Sur la fente déjà humide , sa langue faisait des va et vient en lui mordillant le clitoris.
Ray pénétra Sophie avec vigueur , celle-ci poussa un petit cris....
Dans leur appartement haussmanien au long couloir désservant toutes les pièces , Leo consultait son ordinateur dans une petite pièce qui servait de bureau, il regardait les nouvelles et les articles de presse concernant les crimes , la totalité des crimes sur les derniers mois.
Il tomba sur les unes :
- le tour des assassins
- la route infernale
- le tour de France du crime
Les articles s'étalaient sur plusieurs colonnes pour ce qui concernaient les explications de cette enquête, les équipes, puis l'interview d'un haut gradé du ministère de l'intérieur qui disait que l'enquête avançait rapidement, que l'équipe s'était aperçue que deux personnes de l'auditoire de ce concert n'avaient pas d'existence légale. Il disait qu'il n'y avait aucune trace de ces individus dans les administrations leurs patronymes étaient faux, il soulignait que les services de police étaient à leur recherche.
A certaines questions du journaliste il répondait qu'il ne savait pas si c'était un couple ou des personnes distincts.
- Dana vient voir ! vite !
- qu'est-ce qui y'a ? hurla t-elle, j'arrive !
Léo lui montra les articles, notamment celui du haut fonctionnaire.
- merde ! s'exclama t-elle
- Eh oui !
- qu'est-ce qu'on fait Léo ?
- On vide le petit meuble et on met le tout au coffre !
- à la banque ? ça sera en sécurité ?
- Oui ! t'inquiètes pas ma chérie
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Je le sais chérie que ton amant et ses collègues aiment ton cul tu es tellement serviable avec eux qu'ils te sodomisent tous lors de vos grands week-ends et maintenant tu ne peux plus t'en passer.
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321 cadeaux : comment faire plaisir à une femme ?
Offrir un cadeau à une femme est sans nul doute le témoignage d’une attention particulière. Quel cadeau offrir ? Telle est la question inévitable que nous nous posons lorsque nous souhaitons faire plaisir à toutes les femmes exceptionnelles de notre vie. Ô Magazine a enquêté pour dénicher la meilleure liste d’idées cadeaux qui plaisent aux femmes ! Offrir un cadeau est une tradition pour marquer un événement. Il existe mille et une raisons d’offrir un cadeau : anniversaire, fête, remerciement, récompense, etc. L’origine du cadeau est un don qui célèbre la personne à qui il est dédié. Il représente avant tout une reconnaissance du lien social qui unit deux personnes. À ce titre, il reflète l’importance sentimentale que l’on accorde à l’autre. Partenaires de vie, famille, amis(es), collègues, nous sommes tous un jour amenés, au cours de notre vie, à témoigner nos sentiments pour l’autre. Le cadeau est la reconnaissance de ce que représente l’autre dans notre cœur, ou bien ce que nous souhaitons lui dire. Nul besoin d’attendre une occasion spéciale pour offrir un cadeau. En effet, les plus beaux cadeaux sont souvent ceux auxquels on ne s’attend pas ! Les femmes sont très sensibles aux attentions sans raison. En effet, épouse, sœur, amie, copine, fille, collègue, chacune d’elles doit être célébrée, chérie et honorée. Il est bon de se rappeler l’importance d’offrir des cadeaux aux femmes exceptionnelles qui peuplent nos vies. Le cadeau qui plaît aux femmes Moderne ou classique ? Féminine ou pratique ? Il est parfois difficile d’offrir un cadeau à une femme sans se questionner sur sa personnalité. Alors qui se cache derrière la femme à laquelle vous pensez ? Le célèbre adage se décline avec la question : Dis-moi qui tu es et je saurai quel cadeau t’offrir… Vous ne savez pas quoi offrir ? Les cadeaux de soins de beauté pour le corps et les cheveux sont des gages de succès ! Les soins corporels ont toujours tenu une place importante dans les préoccupations des femmes. Dès l'Antiquité, le bien-être féminin était associé à l’hygiène corporelle dans la routine beauté des femmes. Cette tradition s’est perpétuée jusqu’à nos jours. À ce titre, 321cadeaux.fr présente une sélection d’idées cadeaux beauté pour femme qui plairont à coup sûr ! Le site présente l’avantage d’une sélection fine de crèmes hydratantes, maquillages et parfums pour le corps, qui s’adaptent à tous les budgets et besoins. Découvrez également toute la gamme de sèche-cheveux ou lisseurs, épilateurs électriques, masseurs oculaires ou lampes UV sèche ongles utiles, que vous pouvez utiliser à tout moment de la journée et à volonté. Pourquoi ne pas organiser un salon esthétique à la maison ? Des cadeaux femme pour toutes les occasions Nous cherchons parfois des idées cadeaux à une femme pour toutes sortes d’occasions. Cependant, courir de boutiques en magasins s'avère énergivore. De plus, nous manquons tous cruellement de temps avec des emplois du temps surchargés. 321 cadeaux.fr est le site qui nous facilite la vie. En effet, il suffit d’indiquer un critère dans la barre de recherche, tel que l’âge ou le centre d'intérêt, et le site restitue une sélection appropriée de cadeaux accessibles à tous les budgets. Les mamans y trouveront également toutes sortes d’idées ingénieuses pour les enfants, les adolescents et les maris épris de nouveautés. Si vous êtes une femme moderne et connectée, 321 cadeaux présente également de très bonnes références de produits en termes de technologie féminine et intuitive. Montre connectée et appareils modernes sont proposés parmi les plus grandes marques dans une sélection qualité. Et si l’envie de faire du lèche-vitrine vous tente, laissez-vous tenter par une sélection de qualité à prix abordables. Read the full article
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Chapitre 64 : Réunion de fin d'année partie 1
Le directeur adjoint du FBI, Walter Skinner, et ses agents se trouvaient sur les lieux dans une grande salle de réception pour célébrer la fin de l’année. Ils portaient tous des tenues élégantes et des badges d’identification. Sur une estrade, un orchestre jouait de la musique jazz. Des tables rondes étaient disposées autour de la piste de danse, où des couples se balançaient au rythme de la musique. Sur les murs, des banderoles affichaient des messages de félicitations et de remerciements pour le travail accompli. Au fond de la salle, un buffet proposait des plats variés et des boissons. Walter Skinner se dirigea vers le micro pour prononcer un discours.
Je suis ravi de vous retrouver ici ce soir pour célébrer la fin de l’année. Nous avons accompli tant de choses ensemble cette année, et je suis fier de chacun d’entre vous pour votre travail acharné et votre dévouement. Nous sommes une équipe de professionnels dévoués qui travaillent sans relâche pour protéger notre pays et ses citoyens. Nous avons fait face à des défis difficiles cette année, mais nous avons toujours réussi à surmonter ces obstacles grâce à notre travail d’équipe et à notre engagement envers l’excellence. Je tiens à remercier chacun d’entre vous pour votre contribution à notre succès collectif. Je suis impatient de voir ce que nous accomplirons ensemble l’année prochaine. Mais pour l’instant, profitons de cette soirée pour célébrer nos réalisations et nous amuser ensemble. Merci d'être venu aussi nombreux ce soir. Je vous souhaite à tous une excellente soirée.
Tout le monde l'applaudir et le remercia pour ce discours. L'agent Scully tenta de se frayer un chemin parmi la foule qui était regroupé autour du banquet. Elle cherchait désespérément des yeux son équipier qui semblait ne pas être encore arrivé. Aussi, elle crut apercevoir un visage familier auprès de Skinner un peu plus loin.
Je vous remercie infiniment d'être finalement venu Parker. C'était important pour moi que vous soyez ici. Vous faites partie de la famille maintenant. Vous méritez votre place ici. Sincèrement. Dit il avec entrain.
Vous me flattez monsieur. C'est gentil à vous, merci. Répondit-elle avec un sourire nerveux.
Agent Scully ? Comment allez-vous ? Bon sang, vous êtes ravissante ! Dit Skinner sous un air surpris en la voyant arriver.
La jeune femme rousse eut un sourire gêné puis elle reprit :
Merci monsieur. Vous êtes très élégant également. Dites moi, vous n'auriez pas vu l'agent Mulder par hasard ?
Non, je suis désolé. Il ne devrait plus tarder, je suppose. Pardonnez-moi, mais je dois vous laisser un moment. Profitez de cette soirée, mesdemoiselles. Dit il en repartant rejoindre ses collaborateurs.
Parker observa la tenue de sa coéquipière, impressionnée par la grâce qu'elle dégageait.
Eh bien, chérie, vous êtes resplendissante dans cette robe. Si j'étais un homme, je vous aurais draguée tout de suite. Dit-elle d'un air taquin, cherchant à alléger l’atmosphère.
Scully tiqua un instant, surprise par le compliment direct, puis reprit avec une légère pointe d’humour.
C'est une façon originale de voir les choses, mais merci. Je vous retourne le compliment, vous avez fait fort ce soir. Vous avez un rendez-vous galant ? Son ton était empreint d’un sarcasme piquant.
Parker laissa échapper un rire, appréciant l'audace de sa collègue.
Très amusant. Vous commencez à déteindre sur moi, ma belle. Je vois aussi que vous êtes seule. Votre cavalier aurait pu au moins faire l'effort de vous accompagner pour ce dîner. Qu'en dites-vous ?Demanda Parker, avec une note de reproche.
Scully haussa les épaules, partagée entre l'agacement et la réalité de ses paroles.
Scully continuait de scruter les environs, son regard cherchant Mulder avec une insistance presque involontaire. Elle finit par l’apercevoir entrant dans la salle, et son visage s’illumina. Elle partit le rejoindre, laissant Parker quelque peu hébétée par cette réaction inopinée.
Je t'ai cherché partout ! Où étais-tu ? Demanda Scully en se précipitant vers lui, son inquiétude mêlée d’un soulagement palpable.
Du calme, Scully. Je n'ai simplement pas vu l'heure passer. Désolé. Mais tu vois, je suis là devant toi en chair et en os. Dit Mulder avec entrain, essayant de la rassurer.
Tu es très élégante, Scully. Ajouta-t-il, admirant la manière dont la robe mettait en valeur sa partenaire.
Oh. Merci, Mulder. Pardon. Excuse-moi, je suis un peu nerveuse ce soir. Reconnut-elle, détournant les yeux, le cœur battant plus vite qu'elle ne l'aurait souhaité.
Vraiment ? Et pourquoi donc ? C'est un jour de fête. Nous sommes tous réunis, tu portes une magnifique robe et, pour une fois, il n'y a pas de phénomènes étranges ou de mystérieux cadavres qui nous guettent sur ces tables derrière nous. Renchérit-il avec cynisme, espérant la détendre.
Très drôle, Mulder. Je t'avoue que ça ne me manque pas d'ailleurs. Répondit-elle en roulant les yeux, bien qu’elle sente la tension s’estomper.
C'est juste de voir tout ce monde qui me rend nerveuse. Répéta-t-elle, essayant de se convaincre elle-même.
Scully continua de scruter la salle, réalisant qu'elle avait perdu Parker de vue. Un léger sentiment de déstabilisation l'envahit.
Tu cherches quelqu'un, on dirait. Tu es sûre que ça va, Scully ? Demanda-t-il, son regard trahissant une incompréhension sincère.
Mulder regardait autour de lui pour comprendre ce que sa partenaire semblait chercher. Son attention fut attirée par Parker, quelques mètres plus loin, avec un verre de champagne à la main, entourée de deux hommes qui semblaient captivés par son charisme. La robe noire de Parker accentuait sa silhouette avec une élégance indéniable. Mulder en resta bouche bée, pris par la beauté de la scène. Son regard s'attarda un instant de trop, trahissant un trouble qu’il peinait à dissimuler. Il tenta de se reprendre, mais Scully avait déjà remarqué son trouble. Elle reprit, piquée d’un sentiment qu’elle préférait ignorer :
Eh bien, Mulder, on dirait que tu as vu un fantôme. Si tu te voyais… Quand tu auras fini de te rincer l’œil, tu viendras peut-être me rejoindre, histoire de profiter un minimum de cet appétissant repas de fête. Son ton était vexé, et elle s’éloigna pour se diriger vers le buffet. Mulder réalisa que son regard avait trahi ses pensées, et la réaction de Scully le laissa troublé. Il pensait qu’ils avaient dépassé ce genre de malentendus, mais il comprit qu’il n’en était rien. Le jeune homme se sentait pris au piège, ne sachant comment gérer cette situation sans blesser Scully ou froisser Parker. Déterminé à régler ce problème, il prit son courage à deux mains et se dirigea vers l’agent Parker. Il devait clarifier la situation une bonne fois pour toutes.
Parker, de son côté, n'avait pas bougé. Elle riait, son rire résonnant dans l’air, et les deux hommes qui bavardaient avec elle semblaient captivés par son charisme et sa beauté déstabilisante. Elle jouait de son effet sur eux, consciente de l'attention qu’elle attirait, et cela l’amusait beaucoup. Elle se sentait revivre.
Mulder s’approcha, son cœur battant légèrement plus fort qu’à l’accoutumée. Il savait qu’il devait aborder le sujet avec tact, mais il espérait aussi que Parker comprendrait sa position et l’aiderait à apaiser la situation.
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THROUGH THE LOOKING GLASS
Paddington flat
Assise sur le canapé, ordinateur portable posé sur la table basse, Law consulte internet. Elle tente de recueillir un maximum d'informations concernant la famille de sa cliente. Felicia s’assoie à ses côtés et lui tend un mug de thé.
— Merci, ma belle.
— Qu'est-ce que tu cherches ?
— Des renseignements sur les Montgomery. Figure-toi que cette chose qui te sert de miroir appartenait à ces gens. Et notre cliente veut s'en emparer.
— Qu'elle le reprenne, je m'en fous. Toutes ces breloques appartenaient à mon père. Celui-là même qui m'a reniée. C'est ma tante qui s'est arrangée pour que j'en hérite. Vraiment, je m'en fous.
Beaumont-Montgomery... pas certaine de vouloir dire à ma féline vahiné qu'elle aurait peut-être un lien de parenté avec cette femme...
À ce moment-l��, un verre posé sur le meuble enfilade bascule dans le vide pour éclater en mille morceaux. Les deux colocataires se regardent, dubitatives.
— Tu ne m'avais pas dit que tu avais un don de télékinésie, lance Felicia, d'un air moqueur.
— Ah non. Je pense plutôt que l'habitant du miroir ne veut pas que tu te débarrasses de lui. Il t'aime bien, on dirait. T'es obligée de garder ce foutu machin sur le mur !
La coloc regarde Law, flattée, puis tourne la tête vers l'objet :
— D'accord, je te garde, mais arrête de jeter des verres par terre. J'en ai assez de me taper le ménage ! Je parle à un miroir, tout va bien.
— Tu n'es pas cinglée. Je pense être bien plus atteinte que toi. Le loufoque, j'en ai fait mon job.
— Sois sûre, ma chérie, que tu es la personne la plus normale que je connaisse en ce monde ! Je dirais même que ta profession tombe sous le sens. Si tu savais ce que je me coltine à Ste Mary's, finalement un quidam dans un miroir, c'est banal.
*
Paddington flat - Night
En entendant un bruit, Mortensen se réveille en sursaut, se redresse dans son lit, puis écoute attentivement. Rien. Le silence. Intriguée, elle va dans le salon et chuchote :
— Feli ? C'est toi qui fais tout ce boucan ?
Comme toujours, son amie dort à poings fermés. Personne dans l'appartement, à part les deux colocataires. Law ressent pourtant une troisième présence. Soudain, elle aperçoit quelqu'un dans le miroir, se retourne, scrute la pièce : néant. Elle se fige face à l’objet.
— Il y a vraiment quelqu'un de l'autre côté de cette chose ?! La vache, c'est quoi ce truc ?
L'ex-flic a toujours été d’une nature incrédule. C'est sans doute pour cela qu'elle est douée dans ce métier. Si enquêter sur des phénomènes étranges peut être vraiment considéré comme un métier. Pour elle, la règle est simple : cause égal conséquence. L'étrange n'est qu'une illusion, un enrobage. Tout s'explique. Mais à cet instant, la jeune femme se sent peu fière. Son foyer commence à prendre de faux airs de La Chambre 1408. À tout moment, elle appréhende de voir Samuel L. Jackson apparaître à côté de son reflet, whisky à la main et sourire narquois. Peu rassurant. C'est difficile de ne pas basculer dans le délire, lorsque l'on côtoie constamment l'irrationnel.
Bon, à dire vrai, je m'en sort bien, malgré quelques courts épisodes d'égarement.
*
Bethlem Royal Hospital
Law n'a jamais aimé ce genre d'endroit et ce Royal Hospital la faisait doucement rire.
Royal, pour une place comme Bethlam, c'est du foutage de gueule ! Mais, oui, je sais, tout appartient à la reine d’Angleterre ! Même la folie, tiens... beaucoup cachent leur pathologie, de peur d'être enfermés dans cet asile de la mort.
Ce monde où des fous enchaînent d'autres fous. La jeune femme se rend bien compte qu'elle représente l'une des facettes de cet univers insensé, enquêtant dans cette bulle étrange, dégénérée, incohérente. En ce jour de fin d'été pluvieux, Mortensen a rendez-vous avec un ancien collègue de Felicia, qui y travaille depuis peu. « Facile à corrompre, si on peut dire », lui avait précisé sa colocataire.
— Louise Montgomery était une véritable sociopathe, mais c'est la mère qui fut internée. Après la disparition de son mari et la mort de son beau-frère, Suzanne Montgomery avait sombré dans la démence. Elle se suicidait deux mois après son internement. Dieu seul sait ce que Louise lui avait fait subir...
Cette information, Law s'en doutait déjà, mais elle avait besoin d'une confirmation pour valider une de ses théories. Il manquait cependant un élément afin de tout relier, ce qui avait le don d'irriter considérablement l'ex-inspectrice. Maison, thé, dodo et demain j'y verrai plus clair, se dit-elle en sortant de cet endroit lugubre.
*
Louise monte les escaliers avec un plateau repas. Elle entre dans la chambre de sa mère, encore dans son lit à une heure si tardive de la matinée. La jeune fille pose l’accessoire sur la table de chevet, puis avance vers la fenêtre afin de tirer les rideaux.
— Il vous faut de la lumière, chère mère, dit-elle d'une voix mielleuse, dissimulant à peine l'ironie.
La brunette ressort de la chambre pour se rendre dans le jardin. Les graines qu'elle a plantées avec son oncle se sont transformées en superbes gerbes florales aux multiples couleurs. Louise les regarde un instant, puis se dirige vers un lopin de fleurs de pavot ayant perdu leurs pétales, s'arrête devant et sort de sa poche une petite boîte contenant des petits ciseaux ainsi qu'une lame de rasoir.
*
Paddington - 4 AM
Law ne dort pas. Elle guette, assise sur le sofa comme un chat attendant la souris cachée dans son trou. Le miroir qui était accroché à la verticale, sur la gauche du buffet enfilade, est maintenant accroché à l'horizontale, à hauteur du regard. Juste en face des étagères à livres au-dessus du canapé. Soudain, un ouvrage tombe à côté de la jeune femme. Elle se lève pour observer l’intérieur de l’objet infernal, qui semble la fixer à l'affût de la moindre de ses réactions.
— Je sais que tu es là, murmure-t-elle.
Aussitôt, Mortensen y voit apparaître une silhouette. L'enquêtrice se fige instantanément, appréhendant la suite des événements. L'ombre prend un roman sur l'étagère, puis le laisse tomber. La rousse se retourne et constate qu'il y a deux bouquins sur le sofa.
— Tant que tu ne me les jettes pas à la gueule...
Ce petit jeu dure depuis trois nuits, déjà. Mais l'ex-flic n'a pas encore trouvé le moyen de communiquer avec l'hôte de ce reflet d'un autre monde.
*
Hyde Park
Law et Ren prennent leur petit déjeuner à la terrasse du Serpentine Bar & Kitchen. Le soleil fait son timide, caché derrière de gros nuages duveteux. Cependant la température ambiante est douce et la brise fraîche donne un petit coup de fouet à la cervelle pétrie de multiples pensées qui se bousculent dans la tête de nos deux fouineuses.
— Y'a quelqu'un enfermé dans le miroir de Felicia.
— Le miroir de Madame Montgomery, tu veux dire.
— Il est à Felicia, en attendant. On ne va pas le donner de suite à notre cliente. Pour peu que madame Montgomery et Louise soient une seule et même personne...
— Louise ?
— Oui, je te raconterai, pour le moment je n'ai aucune certitude, lance Mortensen, l'air sombre.
— Quelle histoire... Mais on fait quoi avec le fantôme enfermé dedans. Si c'est réel, je n'ose imaginer l'enfer de vivre bloqué comme ça ! Et depuis combien de temps ?...
— Près de huit décennies. On va se ridiculiser, si on va à la police avec cette théorie ! Il faut régler ça soi-même.
— Oui ! Nous devons sortir cette personne de sa prison de verre !
Law regarde Ren, puis acquiesce en prenant une gorgée de thé refroidi par le vent. Pour ce qui est du comment, la question reste ouverte. La brise fraîche du début d'automne caresse leur peau. Assises à la terrasse de l'établissement au style contemporain planté sur les rives du Serpentine, les deux jeunes femmes s'enfoncent dans leurs pensées, le nez dans leur tasse, sans prêter attention à la beauté environnante. Il est surprenant de constater que, dans une ville aussi tentaculaire et hyperactive que Londres, subsiste encore un fragment de verdure empreint de quiétude.
*
Louise, debout près du bureau de son oncle, observe le miroir sur le mur d'en face. L'homme s'y reflète. Il se relève, lançant un regard horrifié en direction de sa nièce. La jeune fille sourit en caressant de son pouce un objet qu’elle porte autour du cou : un hibou entourant un crâne de ses ailes.
*
Paddington - 3 AM
Endormie sur le canapé, Mortensen se réveille en sursaut. Prise d'une révélation, elle se jette sur son ordinateur portable.
— Ah Puch !
Passionnée depuis l'enfance par les légendes et les contes amérindiens, l'ex-inspectrice est fière de sa trouvaille. La jeune femme saisit précipitamment son cellulaire pour appeler Ren, qui lui répond, somnolente :
— Mais t'es sérieuse...
— Le dieu des morts ! Chez les Mayas, représenté par un hibou ou une tête décharnée. Ça ne te rappelle rien ?
— À cette heure-ci, pas grand chose...
— Madame Montgomery portait un pendentif de ce style : un hibou dont les ailes entouraient une tête de mort.
— Si tu le dis...
Mortensen raccroche brusquement. Sa collègue regarde son mobile, l'air de dire : « Elle est barge », avant de se recoucher. L'ex-flic entre en trombe dans la chambre de Felicia et fond sur elle pour la réveiller :
— Feli ! T'as des origines africaines, tu dois connaître un peu les machins vaudou...
La colocataire sort mollement sa tête de sous la couette. Tout aussi mollement elle se tourne vers l'enquêtrice en lui lançant sur un ton engourdi par le sommeil :
— C'est quoi ce cliché de merde ? Bon sang, Law, la moitié de ma famille...
La rousse lui coupe la parole :
— On s'en fout ça. T'as bien une grand-mère qui te racontait des histoires ?
— Ma grand-mère était blanche, elle me lisait Alice aux pays des merveilles... et l'autre là...
— De l'autre côté du miroir.
— C'est ça. Bon tu veux savoir quoi, que je puisse dormir ?
— Si une personne est enfermée dans un miroir, on fait comment pour l'en sortir ?
La coloc se relève lentement dans son lit, allume la lampe de chevet, puis se lance dans une longue tirade explicative en gesticulant tel un chef d'orchestre.
— Je ne sais pas pour le vaudou, mais en science fiction on mettrait deux miroirs - même taille, même poids - l'un en face de l'autre et la personne devrait se matérialiser au centre... enfin, entre les deux, tu vois... basé sur le principe d'équivalence « Lavoisier », en gros pour deux masses à chaque extrémité d'une balance, afin de rééquilibrer il faudrait extirper la masse de trop, et la placer au centre, mais ça c'est en théorie.
Ce que son amie venait d'énoncer n'aurait pas vraiment le moindre sens pour un néophyte, mais Law et le bizarre, c'était un mariage de longue durée. Pour ainsi dire, une seconde nature.
— C'est pas mal comme théorie. Merci !
L'ex-flic se rue hors de la chambre de son amie.
— À ton service M'dame. Vaudou. Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre...
Felicia se recouche. Quand sa colocataire est dans cet état, inutile d'insister pour comprendre. Il faut répondre à ses questions le plus simplement possible et ne rien demander en retour. Surtout pas d'explications.
Même si en temps normal elle déteste ça, pour réfléchir, Law a besoin de courir. Se vider la tête. Dans ce cas, rien de mieux qu'une bonne nuit fraîche aux rues vides et paisibles.
*
W. Agency - Victoria - 5 PM
Mortensen entre avec un miroir relativement semblable - pour ce qui est du poids et de la taille - à celui de Felicia, le pose contre le mur à côté de la table, court préparer du thé, puis s'installe dans le canapé de la pièce à côté du bureau - le salon où elle fait parfois la sieste après une nuit blanche - pour attendre l'heure du diable. Londres passe progressivement à la vie nocturne. L’enquêtrice se lève brusquement pour sortir de l'agence. Après quelques mètres parcourus dans une rue parallèle à son lieu de travail, elle entre dans un petit pub cosy, s'installe au fond, dans un chesterfield usé par le temps, puis commande une bière qu'elle ne boit pas. Le patron lui apporte le breuvage en personne et s'assoit à sa table, silencieux. Il la regarde dans les yeux. Law esquisse un sourire en coin. Ce petit rituel dure depuis quelques années déjà : cette bière, c'est pour leur ancien collègue, décédé en service. Neil a miraculeusement survécu, mais non sans séquelles. Aujourd'hui, il gère cet établissement acheté avec de l'argent mis de côté, sa pension d'invalidité, la tirelire des collègues et un petit crédit contracté au nom de sa femme. Cet homme est l'une des rares choses que l'ex-inspectrice n'a pas oubliée de son passé ombrageux.
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Seule et entourée
Célestine se voyait dans cet état chaque année. Mais depuis le décès de son père, c’était plus prégnant. A la nostalgie et à la mélancolie était maintenant venue s’ajouter cette solitude existentielle que les fêtes de fin d’année attisent et rendent plus cruelles que le reste du temps.
C’est dans une sorte de grand écart qu’elle traverse cette période. A la fois, se sachant aimée par ses proches, ses ami·es, ses collègues, enveloppée de cet amour, et en même temps douloureusement seule en elle-même et de plus en plus à mesure que Noël approche.
Cette année pour la première fois, elle devait traverser cette période en partie seule. Ses enfants ne rentreront de chez leur père que le 24. Ils y retourneront le 25 dans l’après-midi et jusqu’au 26.
Elle reste dans son lit et tente d’écrire comme une vaine catharsis. Elle écrit parce qu’elle ne parvient pas à entrer aussi profondément qu’elle le voudrait dans ses affres de décembre sans poser ses mots. Elle voudrait en extirper une fois pour toute cette douleur, pleurer tout ce qu’il y a pleurer. Mais, chaque année, il lui faudra recommencer, s’y confronter, écrire, triturer la blessure sans peut-être ne jamais réussir à la soigner. Chaque année, tenter d’entrer plus loin dans sa nostalgie, dans sa mélancolie, dans sa solitude existentielle. Chaque année, pleurer, faire le deuil des Noël qu’elle n’a pas eu et de ceux qu’elle a eu, chaque année traverser à nouveau la souffrance, s’y frotter, se faire un peu mal pour tenter d’aller un peu mieux.
Dans sa chambre, elle baigne dans une atmosphère chaleureuse, avec des draps rouge, du bois, des bougies, de la tisane à la cannelle et à la badiane. Et ce cocon qu’elle aménage pour cette traversée lui fait paradoxalement mal. Célestine fuit son salon où elle aime pourtant s’installer pour lire et écrire habituellement. Elle ne s'y sent pas chez elle aujourd’hui. Il y a trop de luminosité et le sapin qui trône dans l’attente de recevoir les paquets que ses enfants déballeront tôt le 25 la chamboule un peu.
Elle ne se sent bien nulle part, étrangère partout. Etrangère à la fête surtout. Ça commence dès début décembre quand autour d’elle, ses proches parlent de Noël, de leur préparatifs, du choix des cadeaux pour la tante Gertrude, de leurs dates de départ et de retour, de leurs retrouvailles à venir avec leurs parents, leurs frères et soeurs. Elle donne le change avec sincérité, participe aux conversations de bon coeur mais une partie d'elle est affligée. Elle dit aussi aux oreilles bienveillantes que c’est une période douloureuse pour elle. Et elle reçoit en retour de la tendresse, des mots doux, des attentions parfaitement choisies qui l’émeuvent profondément. Oui elle est entourée et chérie, et seule aussi.
Elle pense à tout ces gens qui s’activent à ce moment précis, faisant leurs derniers achats de cadeaux, choisissant avec soin les mets de Noël au supermarché ou chez leur petit producteur local, chez leurs parents papotant autour d’une tisane ou d’un apéritif, dans un train rejoignant leur famille. Elle pense à tout ces gens en mouvement, tendus vers leurs retrouvailles et elle statique, figée dans le silence de sa chambre. Elle pourrait se réjouir de retrouver ses enfants, elle pourrait s’activer en emballant les cadeaux qui attendent encore dans leurs cartons ou en allant faire les courses mais elle n’y arrive pas.
Elle se réjouit du bonheur des autres bien sûr. Elle ne souhaite à personne autre chose que cette joie de Noël. Mais elle se sent honteuse aussi car elle les envie. Elle envie leur Noël, leurs retrouvailles, leur grande tablée festive, leur plaisir partagé d’être ensemble.
Des souvenirs remontent. Aujourd’hui elle comprend pourquoi sa mère vivait cette période de l’année dans un spleen non dissimulé. Ça lui gâchait un peu son plaisir à elle quand elle était gamine. Elle lui en voulait secrètement. Mais sa mère, comme elle, n’avait plus de parents, pas de frères et soeurs et pas de famille élargie.
Contrairement, à sa mère, elle a toujours tenté de mettre des étoiles dans les yeux de ses enfants pendant la période de l’Avent : calendrier de l’Avent confectionné par ses soins, couronne dont on allume une bougie les quatre dimanches précédant Noël, balade contée, sapin choisi et décoré ensemble, chants de Noël qui résonnent dans la maisonnée, Saint Nicolas avec sa belle-famille et puis son père qui venait célébrer un Noël anticipé début décembre. Mais depuis qu’elle a repris une activité professionnelle et qui plus est depuis le décès de son père, elle n’a plus l’énergie de faire tout ça, elle ne parvient plus à se plonger dans l’ambiance de Noël. Elle s’en veut d’ailleurs parce que sa plus jeune fille aura peu goûté à cette magie de l’Avent contrairement à ses frères et soeur. Reste à étoiler ses yeux lors du réveillon, réunis tous les cinq. Ce sera bougies partout, sapin illuminé, jus de pomme chaud aux épices, chants de Noël, repas choisi ensemble. Elle tentera de cacher sa tristesse. Comme chaque année, elle regardera sans doute par la fenêtre en pensant à celles et ceux qui festoient en famille élargie et à celles et ceux qui sont seul·es, plus seul·es qu'elle encore. Son vide elle le remplira avec un peu de magie et l’amour qu’il y a entre elle et ses enfants.
Et puis la traversée sera faite pour cette année encore.
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Collègue chérie : Tu fais quoi ?
Moi : Je teste l’œuf de yoni pour mon livre.
Collègue chérie : Cool ! Je suis en train d’essayer mes nouvelles bottes, je t’envoie une photo.
Moi : Euh... De mon côté je ne vais pas t’envoyer de photo de mon essayage einh...
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story time
ptdrrrr aujourd'hui j'ai eu une gamine giga impolie à la boutique qui touchait à TOUT et qui commençait à me taper sérieusement sur le système
son père est arrivé à la caisse avec son panier sauf qu'il s'est rendu compte qu'il avait oublié un truc, alors j'ai commencé à biper les articles en attendant
il faut savoir qu'au niveau de ma caisse on a laissé un petit bocal de caramels en dégustation, pour que les gens puissent se servir, sauf QU'EN GÉNÉRAL, QUAND ON EST UN MINIMUM POLI, on DEMANDE avant de se servir
je voyais la gamine au loin continuer à toucher à tout en mode "papA reGarDE oN PeuT AcHEtEr Ça" puis là elle s'est mise à loucher sur le bocal. moi je continuais à biper mes trucs, jusqu'à ce que je tombe sur un article où j'avais besoin d'aller voir la référence en rayon
j'ai à peine commencé à me tourner qu'elle s'est approché pour plonger sa grosse main dans le bocal (évidemment non-désinfectée au préalable ���) et en revenant du rayon, je vois sa sœur s'approcher d'elle et lui demander si elle avait le droit de se servir, la gamine a HAUSSÉ LES ÉPAULES EN MODE "JSP J'M'EN TAPE" ET A BAISSÉ SON MASQUE POUR GOBER SON CARAMEL DE MORT LÀ
évidemment mon sang n'a fait qu'un tour
je suis revenue à ma caisse mine de rien et alors qu'elle me tournait le dos je lui dis paniquée "OH MON DIEU MAIS C'EST DE LA DÉCO ÇA, ÇA SE MANGE PAS???!"
elle s'est retournée vers moi avec des yeux énormes, a rougit comme jamais, sa SOEUR A IMMÉDIATEMENT REPOSÉ LE BONBON MDRRRRR et j'me suis mise à rire nerveusement genre "non mais j'rigole hein"
la petite a repioché son caramel en hésitant un peu et elles se sont barrées voir leur mère dehors noyées dans la honte kdjflssk i just love to see it
#éduquez vos gosses bordel c'est quoi ça#déjà ma collègue avait dû la voir une première fois pour lui dire d'arrêter de toucher à la déco pcq c'était fragile#j'ai pas la patience chérie#job stuff#alithinks
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SANS REGRET
SANS ESPOIR
Extrait 21
Tu exagères Ray , Madge confirme en tous les cas qu'il est bien le digne descendant de ces grands virtuoses du siècle dernier surtout quand il execute les adaptations pour piano de Businni.
- Ah ! gloussa Ray.
- Les organistes vont certainement regarder de travers la continuité d'un tel phénomène. Je peux te dire que l'exercice de transcriptions comme celui de son exécution est remarquable dit Sophie.
- Oui ! tu as raison ma chérie....
- Arrêtes ! tu m'énerves ! tu n'écoutes rien ! c'est sur le piano qui possède les attaques étrangères au son de l'orgue mais Madge use de la pédale et du taccato, ce qui permet de faire sonner l'instrument, tu comprends Ray ? reproduire la résonance de l'église.
- Oui je vois Sophie !
- Tu ne vois rien du tout ! surtout pas l'intensité restitué dans le taccato en do dont la mise en œuvre passe obligatoirement par une maîtrise du clavier, remarquable ! ce n'est pas en continu puisque l'adagio, la fugue ainsi que les chorals qui suivent sont plus clairs, plus purs , plus posés.
- Super ! je les écouteraient.
- J'espère bien ! on arrivent dans cinq minutes.....
- Raconte moi encore des choses Sophie !
- Arrête de faire l'idiot ! lui dit-elle.
- J'ai envie de toi ! lui murmura Ray à l'oreille.
- J'y compte bien ! je suis en manque...dit-elle en riant.
Sophie continua :
D'après la femme de ménage, le frigo est plein de bonnes choses à manger et tes boissons préférées, comme monsieur aime ! m'a t-elle dit ! Le chauffage est branché légèrement, elle te gâte ma femme de ménage.
- Elle m'aime ! elle s'y connaît en homme ! on ne la trompe plus sur la marchandise .
- Tu parles ! prétentieux ! pouffe t-elle
- Si je t'assure !
- Il va falloir que tu prouves ta fidélité à mon égard Ray ! dit-elle en riant de plus en plus.
- J'attend que cela !
- Baratineur !
- Je t'assure ! si tu savais comme j'ai besoin de ces quelques heures d'évasion en ta compagnie.
- A ce point ! demanda Sophie.
- Oui , m'évader avec toi , puis l'endroit me plaît.
- Le calme ?
- Le calme aussi...
-Que t'arrives t-il Ray ?
- Un coup de fatigue, j'ai trop travaillé ces derniers jours , rien de grave , rassure toi ...tu sais c'est la fameuse enquête...
- Tu m'inquiètes Ray ! il faut que tu dormes c'est vital...
- Oui mais pas avant de t'avoir fait l'amour...
- Ce n'est pas une obligation !
- C'est une nécessité ! tu comprends Sophie ?
- Tu m'expliquera cela en détail ! mon cher ami !
- Bien chef Sophie ! à vos ordres !
- Tu es blanc comme un linge !
- la fatigue ! je n'arrête de te le dire ...
- Tu vois beaucoup de monde ces temps ci ? demande Sophie...
- Personne ! sauf mes collègues, mes voisins, ma concierge et son fils .
- Tu te renfermes Ray !
-J'ai toujours été solitaire.
- Oh que non !
Elle ajouta toujours en riant :
- Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !
Ils passèrent cette soirée en vivant l'instant, tranquillement, amours , repos , le feu de cheminée, ballade dans le jardin, Ray était tout à fait détendu.
Sophie s'était mis au piano, il était aux anges.
Malgré les apparences Ray était fou de piano.
Il était complètement partit ailleurs, le boulot lui était sortit de la tête, il aurait voulu rester comme cela , dans cet état de bien être, jusqu'à la fin de ces jours .
Il aurait voulu avoir le pouvoir pour arrêter définitivement le temps .
La cantate 127 était une véritable apothéose de sons et d'imaginaire.
- Grâce à toi je vais devenir mélomane ! chère Sophie.
Sophie sourit et Ray en profita pour lui demander ce que Simone lui racontait sur lui.
- Ah ! c'est donc ça qui te tracasses ?
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