#chrysanthème des jardins
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philoursmars · 6 months ago
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Marseille, il y a maintenant au moins trois semaines....
Au Mont Rose, à l'entrée du Parc National des Calanques, un peu de botanique (en cas d'erreur, corrigez-moi !) :
le chemin
des Orobanches fuligineuses parasites sur des Cinéraires
des Aphyllanthes de Montpellier
un Iris (chamaeiris ??)
un Asphodèle
des Chrysanthèmes des jardins (j'ai un gros doute ... des Inules chrithmoïdes ???)
voir 2
des Mauves
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bernieshoot · 19 days ago
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moonchiesim · 1 year ago
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Voici Aube Centenaire, la fondatrice de mon Sims In Bloom, un défi par @a-sims-garden
Traits : Joyeuse - Maladroite - Adore la nature Aspiration : Botaniste indépendante Carrière : Jardinière
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Jardiner a toujours été la passion d'Aube. Toute sa vie, elle a rêvé de posséder un grand jardin florissant, et ce, malgré la terre sous les ongles et les multiples pots cassés. Elle imagine combien elle appréciera s'asseoir à l'ombre de ses arbres fruitiers, lorsqu'ils auront poussés, pour y méditer et contempler son travail accompli. Peut-être songera-t-elle parfois à la petite famille qu'elle aimerait y voir grandir, sur ces terres qu'elle cultive avec amour. Elle s'arrêtera à espérer que cette future famille s'épanouisse avec autant de charme que son jardin qu'elle chérit tant.
Les objectifs 🌼
Maximiser : Jardinage, pêche, méditation
Vivre sur un terrain avec le défi de "Vie Simple"
Avoir une Plante Vache et la maintenir en vie tout au long de sa vie (Si elle meurt, la remplacer immédiatement avec une nouvelle)
Faire pousser 5 plantes parfaites
Épouser un Sim qui a lui aussi le trait "Aime la nature"
*Obtenir le style de vie "Amateur de plein air"
*Planter une chrysanthème de la Mort
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jogallice · 5 months ago
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Aujourd’hui, mercredi 26/06/24, Journée internationale contre l'abus et le trafic illicite de drogues 👊 Journée internationale des Nations Unies pour le soutien aux victimes de la torture 🫶 et Journée internationale du dépistage de la scoliose 🙏⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠
Les soldes d'été débutent, dans la majorité des départements métropolitains, ce mercredi 26 juin 2024, à 8 heures du matin, a annoncé le ministère de l'Économie, le 19 juin dernier. Ils dureront au total quatre semaines. Et se termineront donc le mardi 23 juillet 2024 inclus 🛒
Qualité de l’air à Annecy (indice ATMO) : les conditions météorologiques devraient rester estivales et favorables à la formation d'ozone dont les concentrations seront en hausse par rapport à la veille 🌡 La qualité de l'air devrait être dégradée sur la quasi-totalité de la région 💨
L’indice de risque pollinique dans la cité lacustre reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 15 juin au vendredi 28/06/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : évitez les activités physiques intenses à l’extérieur (parcs, jardins, etc.) 😷
Trois dictons du jour pour le prix de deux : « À la saint Anthelme, fanent les hélianthèmes. » 🥀 « À la saint Anthelme, sème les derniers chrysanthèmes. » 🌱 « À la saint Anthelme trop de pluie, et le jardinier s'ennuie. » 👨‍🌾
Et deux autres dictons du jour pour la route : « Sème tes myosotis à la saint Anthelme, ils fleuriront pour la saint Anselme (le 21 avril). » 💐 « Saint Anthelme, tu le caresses, s'il se laisse faire, tu peux lui dire, je t'aime, mais attention s'il sème sa petite graine. » 🥰
Bonne fête aux Anthelme et demain aux Fernand·e 😘 
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🌲
📷 JamesO PhotO à Annecy le lundi 24/06/24 📸
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Le chrysanthème est pour tous, la fleur qui incarne la vie. Le symbole du plaisir et du bonheur, c’est pour cela qu’on l’utilise pour décorer les tombes des êtres chers.
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Il est originaire de Corée où il apparaît vers le XVe siècle avant Jésus Christ. Le chrysanthème jaune et blanc est alors utilisé pour en faire un breuvage aux propriétés médicinales le thé. Il est ensuite allé fleurir les jardins de Chine, puis ceux du japon au début de notre ère. Au pays du soleil levant, il est adopté par l’empereur et devient rapidement une fleur culte pour les japonais. On considère qu’il permet de prolonger la vie de plusieurs années. Il devient ensuite le symbole de trône impérial et on lui consacre même une fête pour célébrer sa floraison à l’automne. Aujourd’hui encore, il demeure l’une des fleurs préférées de l’île. Ce n’est qu’au XVIIe siècle que le chrysanthème est introduit en Europe. Carl Von Linné, illustre botaniste suédois qui a posé les bases de la nomenclature des plantes, décrira le genre Chrysanthemum au milieu au milieu du XVIIIe siècle. Introduit en France en 1789 par un marchand marseillais, le chrysanthème finit par être associé au culte des défunts, probablement à cause de sa floraison qui concorde avec la période de la Toussaint
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moulin-girault · 2 years ago
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Nous avons semé la prairie fleurie :
Calendula officinalis : souci
Callistephus chinensis, : aster de chine
Centaurea cyanus, : bleuet
Chrysanthemum segetum : chrysanthème des moissons
Convolvulus tricolor, belle de jour
Coreopsis tincotoria, coreopsis des teinturiers
Coriandrum sativum, coriandre
Cosmos bipinnatus, cosmos des jardins
Cosmos sulphureus, cosmos d’or
Dimorphotheca aurantiaca und sinuata, souvi glandulaire du Cap
Echium plantagineum, vipérine faux plantain
Eschscholzia californica, pavot de Californie
Fagopyrum esculentum, sarrasin commun
Gypsophila elegans, gypsophile élégant
Helianthus annuus, tournesol
Iberis amara, ibéris amer
Lavatera trimestris, mauve annuelle
Linum grandiflorum, lin à grandes fleurs
Linum usitatissimum, lin
Nigella damscena, nigelle de Damas
Onobrychis vicifolia, sainfoin
Papaver rhoeas, coquelicot
Phacelia tanacetifolia, phacélie
Reseda odorata, reseda odorante
Rudbeckia hirta, rudbeckia
Tagetes erecta, rose d’Inde
Trifolium incarnatum, trèfle rouge
Zinnia elegans, zinnia
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goudisbi · 1 month ago
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Avancer la distribution du courrier aura peut-être été un peu coûteuse pour Meredith mais celle-ci a été quasi-instantanée !
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Bulletin d'information de la Société de l'Ambroisie : Nouvelle semaine, nouveau bulletin d'information ! Cette semaine, ile st temps d'attraper le premier ingrédient : un scalaire ! L'ambroisie est un plat gastronomique, alors il est temps d'acquérir la compétence Cuisine gastronomique. Votre jardin fleurit ? L'ambroisie nécessite un Chrysanthème de la Mort, alors cette semaine, vous devrez également greffer une orchidée et une grenade.
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codetrichesims · 8 months ago
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Chrysanthème de la mort Sims 4 : Comment l'obtenir et l'utiliser ?
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Saviez-vous qu'une plante rare, puissante et précieuse est disponible dans les Sims 4 ? Les joueurs ont appelé cette plante la fleur de la mort, une herbe salvatrice pour vos sims. Vous pouvez utiliser cette fleur pour faire revenir un personnage mort et recycler les vies des sims existants. Auparavant, dans les sims 3, cette fleur poussait à partir de graines spéciales ou de fleurs de mort inconnues. Les joueurs pouvaient également obtenir cette herbe en pêchant, en explorant les catacombes et par d'autres moyens. Mais maintenant, dans les Sims 4, cette herbe est rare et n'est pas facile à trouver pour les jeux experts. Le meilleur moyen est de maîtriser les compétences de jardinage et d'acquérir le processus de greffe. Donc, maintenant, la fleur morte ne peut pas être trouvée en pêchant ou en fouillant dans les poubelles. C'est pourquoi nous vous proposons un processus étape par étape pour obtenir une Chrysanthème de la mortSims 4.
Comment avoir un chrysanthème de la mort Sims 4 ?
Il est difficile de trouver cette fleur de mort unique et il faut un niveau de compétence particulier pour l'obtenir. Il y a 2 façons d'obtenir la fleur de mort dans les sims 4 : - Obtenir une Chrysanthème de mort par greffage - Obtenir une Chrysanthème de la mort par code triche Obtenir une Chrysanthème de mort par greffage Tout d'abord, vous devez maîtriser les techniques de jardinage et atteindre le niveau 5. Depuis, vous pouvez faire des boutures de plantes et créer des hybrides en les greffant sur d'autres plantes. Maintenant, vous devez suivre correctement les étapes ci-dessous. - Il faut d'abord cultiver des plantes hybrides appelées grenades (pomegranates). Tu peux greffer des pommes (apples) avec une cerise (cherry) pour préparer cette végétation (Pour les pommes, visite les arbres en sachet de graines de départ et va chercher la cerise sur les arbres près du terrain de Landgraab). - Il est maintenant temps de cultiver une orchidée (orchid). Pour cette plante hybride, greffez un lys (lily) et une fleur de muflier (snapdragon) (Visitez la maison de Goth et le quartier commercial de Willow Creek pour récupérer ces éléments). - Enfin, vous pouvez faire pousser une Chrysanthème de mort en greffant deux plantes, une grenade et une orchidée. Pour créer des plantes hybrides dans le jeu, placez d'abord deux plantes l'une contre l'autre et sélectionnez une plante. Cliquez sur l'option "greffe" et tapez sur une autre plante. Vous pouvez ensuite choisir la plante hybride à créer.
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Obtenir une Chrysanthème de la mort par code triche Le processus ci-dessus vous semble-t-il trop laborieux ou trop long ? Utilisez les codes de triche Sims 4. Cette étape rapide vous permet d'obtenir des chrysanthèmes de la mort en quantité limitée dans le jeu. Suivez donc les étapes décrites ci-dessous. - Tout d'abord, ouvrez la console du code de triche dans le jeu. Pour l'ouvrir, appuyez sur Ctrl + Shift + C pour PC, CMD + Shift + C pour mac et appuyez sur tous les boutons d'épaule pour PS4/PS5/Xbox. - Une fois la console ouverte, vous obtenez une boîte de soumission de code dans le coin supérieur gauche de l'écran. - Tapez "testingcheats true" et appuyez sur enter/X/A. Un message s'affiche indiquant que les triches sont activées. - Tapez alors "bb.showhiddenobjects" et entrez. Il s'agit d'un "acheter debug cheat code" utilisé pour faire des chrysanthèmes de la mort. Après avoir soumis les codes de triche, allez en mode construction et tapez chrysanthème de la mort. Vous pouvez maintenant obtenir une plante prête pour le jeu.
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Combien de chrysanthèmes de mort pouvez-vous produire et leur prix de vente ?
Dans les Sims 4, vous pouvez produire une chrysanthème de la mort à partir d'une seule plante par jour. Cela signifie qu'une production illimitée de chrysanthème de la mort est possible si vous récoltez plusieurs plantes dans le jardin. Cependant, il s'agit d'une possibilité théorique ; il y a certaines limitations dans le jeu. En fonction de l'espace disponible sur votre terrain sims, vous pouvez récolter des plants de chrysanthème de la mort. De plus, des compétences de jardinage de niveau 5 sont nécessaires pour faire pousser cette plante efficacement et rapidement. La croissance aléatoire des plantes est parfois possible, ce qui signifie que vous n'obtiendrez pas de chrysanthème de la mort tous les jours. En outre, vous devez améliorer les compétences d'autres sims et utiliser de l'engrais pour faire pousser les plantes. Cela signifie qu'il n'y a pas de réponse fixe quant au nombre de chrysanthèmes de la mort que vous pouvez produire dans le jeu. Vous pouvez vendre un chrysanthème de la mort entre 240 simoleons et 667 simoleons.
Comment utiliser une chrysanthème de mort dans les Sims 4 ?
Il y a trois façons d'utiliser les chrysanthèmes de la mort dans les Sims 4. Tout d'abord, vous pouvez sauver la vie de votre Sim préféré ou la prolonger. Deuxièmement, vous pouvez fabriquer de l'Ambroisie qui servait à ramener les personnages morts dans le jeu. Enfin, vous pouvez utiliser les chrysanthèmes de la mort pour fabriquer un puissant parfum. Voici donc toutes les utilisations de cette plante rare. Sauver une vie (Ressusciter un Sim) Oui, vous avez bien entendu. La chrysanthème de la mort a également été utilisée pour sauver la vie des sims (Ressusciter Sims 4). Lorsqu'un joueur est en train de mourir, la Faucheuse apparaît. Cliquez sur l'option et offrez au sims une chrysanthème de mort. Si la Faucheuse accepte votre demande, le sim sera ramené à la vie. Cependant, il s'agit d'un processus délicat qui ne devient plus facile que lorsque vous avez un grand nombre de membres dans la maison. Pour fabriquer de l'Ambroisie Si vous n'avez pas réussi le processus précédent, il existe une autre façon de ramener des simulateurs de mort dans le jeu. Préparez de l'Ambroisie en utilisant une chrysanthème de la mort et quelques autres matériaux. Tout d'abord, vous devez débloquer le niveau 10 en cuisine normale et gastronomique. Ensuite, vous devez atteindre le niveau 5 en jardinage. Ensuite, vous pouvez collecter les objets nécessaires comme des chrysanthèmes de la mort, des poissons-anges et une potion de jeunesse. Une fois que tous les objets sont disponibles dans votre inventaire, vous pouvez préparer l'Ambroisie et faire revenir les sims morts. Utilisation comme parfum Enfin, vous pouvez utiliser les chrysanthèmes de mort pour préparer un parfum. Cependant, vous devez d'abord atteindre le niveau 9 en composition florale. Après cela, vous pouvez fabriquer un "parfum de mort" ou arranger un bouquet de fleurs qui augmente instantanément l'âge des Sims lorsqu'ils le sentent.
Fin de l'étude
Voici donc un guide détaillé sur la chrysanthème de la mort et son processus d'obtention et d'utilisation. Nous espérons que vous obtiendrez une réponse claire à ce sujet. N'oubliez pas que la chrysanthème de la mort est une herbe puissante, rare et la plus précieuse dans les Sims 4. Pour produire cette fleur, il est nécessaire de maîtriser les techniques de jardinage. Suivez les étapes correctes pour obtenir cette herbe et ramener des Sims morts dans le jeu. Read the full article
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spotjardin · 10 months ago
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Que faire au jardin du lundi 22 au dimanche 28 janvier 2024
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Une partie du jardin partagé de Cendras dans le département du Gard Vous y trouverez tous les renseignements nécessaires, et si besoin n’hésitez pas à poser vos questions en commentaire afin d’avoir des précisions supplémentaires. Jour racines
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Semez des carottes sous châssis ou bien sur couche chaude Au jardin potager Continuez les semis de carottes et de navets sur un emplacement de préférence bien exposé sur couche chaude ou bien sous châssis Semez également des poireaux d'été (à repiquer dans le courant du mois de mars). Lundi 22 janvier Jour racines / fleurs
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Rempotez les bruyères Au jardin potager avant 16h00 en jour racines Continuez les semis de carottes et de navets sur un emplacement de préférence bien exposé sur couche chaude ou bien sous châssis Semez également des poireaux d'été (à repiquer dans le courant du mois de mars). Au jardin d'agrément à partir de 16h00 passage en jour fleurs Hors période de gel, vous pouvez planter des arbres et des arbustes à fleurs sans oublier des rosiers vendus à racines nues. Rempotez les bruyères et les cyclamens que vous avez dû acheter à la saison automnale. Continuez à planter en pleine terre (hors période de gel) les potées de Chrysanthème. Taillez les rosier à une cinquantaine de centimètres environ. Taillez également la clématite ainsi que tous les arbustes qui fleurissent pendant la saison estivale. Toujours hors période de gel, repiquez des plantes vivaces à fleurs rustiques comme par exemple du giroflée, de la pensée et de la primevère. Je vous conseille d'effectuer ces plantations à l'abri du vent. mardi 23 janvier Jour fleurs
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Taillez la clématite Au jardin d'agrément Hors période de gel, vous pouvez planter des arbres et des arbustes à fleurs sans oublier des rosiers vendus à racines nues. Rempotez les bruyères et les cyclamens que vous avez dû acheter à la saison automnale. Continuez à planter en pleine terre (hors période de gel) les potées de Chrysanthème. Taillez les rosiers à une cinquantaine de centimètres environ. Taillez également la clématite ainsi que tous les arbustes qui fleurissent pendant la saison estivale. Toujours hors période de gel, repiquez des plantes vivaces à fleurs rustiques comme par exemple du giroflée, de la pensée et de la primevère. Je vous conseille d'effectuer ces plantation à l'abri du vent. mercredi 24 janvier Jour feuilles
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Commencez à repiquer des laitues Au jardin potager Vous pouvez commencer à repiquer des laitues que vous avez dû semer dans le courant du mois de décembre. Effectuez cette opération sous abri si votre région est plutôt froide. Au jardin d'agrément Hors période de gel, continuez l'élagage des arbres qui sont à feuillage caduc. D'autre part, avec une brosse qui ne soit pas trop dure, brossez les troncs des arbres qui sont recouverts de lichens et de mousse. Et terminez en les badigeonnant d'argile. Ramassez tous les déchets et brulez-les. jeudi 25 janvier Jour feuilles /fruits
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Élaguez lez arbres caducs Au jardin potager avant 18h00 en jour feuilles Vous pouvez commencer à repiquer des laitues que vous avez dû semer dans le courant du mois de décembre. Effectuez cette opération sous abri si votre région est plutôt froide. Au jardin d'agrément avant 18h00 en jour feuilles Hors période de gel, continuez l'élagage des arbres qui sont à feuillage caduc. D'autre part, avec une brosse qui ne soit pas trop dure, brossez les troncs des arbres qui sont recouverts de lichens et de mousse. Et terminez en les badigeonnant d'argile. Ramassez tous les déchets et brulez-les. Au verger à partir de 18h00 passage en jour fruits Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. vendredi 26 janvier Jour fruits
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Taillez le kiwi Au verger Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. samedi 27 JANVIER Jour fruits
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Plantez du cassissier Au verger Continuez la taille des arbres fruitiers tels la vigne et le kiwi ainsi que les arbustes à petits fruits (groseilliers, cassissiers.. Etc..). Continuez à planter des arbres fruitiers et des arbustes à petits fruits. dimanche 28 janvier Je rappelle que les jours prévus par le calendrier lunaire seront pour que vous ayez une idée des périodes de plantation ou de semis car vous devrez faire face aux variations climatiques (pluie, neige, Etc..). Ceci pour vous dire que vous serez obligé parfois de déroger au calendrier lunaire pour cause de mauvais temps.
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ochoislas · 3 years ago
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Mi lerdo corazón, tal bototo sellado estancaba por siglos el mosto de amor: en las manos tomasteis mi cabeza grave y posasteis un beso muy dulce en mi sien.
Y sentí por la gracia de un bautismo arcano mis ojos tormentosos serenarse al punto. Se apagaba el jardín, y sobre el crisantemo el reclamo de un ave un ósculo perló.
Como Madre celosa me amasteis, que el bálsamo puro conoce para mi mal enconado; mas vi asomarse en vuestras luces a la Esposa que al fondo del alinde sonríe insinuante.
Me acunó vuestro pecho como héroe sin honra y tras la hora celeste en que fuimos amantes un único deseo, blanco como un cisne, por mi curso interior embelesado flota.
*
Mon cœur stupide, étant bouché comme une gourde Où les vins de l’amour, des siècles, dormiront: Vous avez pris dans vos deux mains ma tête lourde Et vous m’avez baisé doucement sur le front.
Et j’ai senti, sous les délices d’un baptême Mystérieux, mes yeux orageux s’apaiser; Le jardin s’éteignait, et sur le chrysanthème Ce rappel d’un oiseau sonna comme un baiser!
Vous m’aimâtes, ainsi qu’une Mère jalouse, Portant le baume pur à mon mal remuant; Mais quand j’ai regardé vos yeux, j’ai vu l’Épouse Qui souriait, dans leur miroir insinuant.
Votre sein m’a bercé comme un héros indigne, Et depuis l’heure au ciel qui m’a fait vous aimant, Un Désir solitaire et pâle comme un cygne Sur un fleuve en moi nage avec enchantement.
Germain Nouveau
di-versión©ochoislas
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philoursmars · 2 years ago
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Marseille, vers le Mont Rose.
Un Rouge-Queue, des iris et des coronilles arborescentes, des chrysanthèmes des jardins et dans les agaves, quelqu’un a déposé deux petits marins barbus !
Correction : il semblerait que les fleurs jaunes soient en fait des Anthémis des teinturiers... ?
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detournementsmineurs · 3 years ago
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Collier "Chrysanthèmes" de Van CLeef & Arpels (2016) présentés à la conférence “Les Quatre Saisons du Jardin Joaillier" par Paul Paradis - Historien de l’Art et Professeur - et Pascal Garbe - Spécialiste des Jardins et Auteur - de L’École des Arts Joailliers, octobre 2021.
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floatingbook · 4 years ago
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Female excellence - Paintings and other pieces of art
- Paintings and various pieces of art from oft forgotten or little known women which I’ve seen with my own two eyes or dearly wish I could.
Giverny, les clématites de Claude Monet, de Blanche Hoschedé-Monet
La Salle à manger de Monet à Giverny (Le thé), de Blanche Hoschedé-Monet
Nature morte (chrysanthèmes et marguerites), de Jeanne Selmersheim-Desgrange
‘Putting on my brave face’, Jess De Wahls, embroidery artist.
Tableau de la série “d’amour et d’eau fraîche“, Hélène Delmaire.
Jeune fille au jardin, de Mary Cassatt.
Le berceau, de Berthe Morisot.
Chasse aux papillons, de Berthe Morisot.
Jeune femme en toilette de bal, de Berthe Morisot.
Une loge aux Italiens, d’Eva Gonzalès.
Femme faisant du crochet, de Lucie Cousturier.
Rug orange, d’Anne Delfieu.
Réseau coeur rouge, d’Anne Delfieu.
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fleuromanie · 5 years ago
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Elles portent l'Ennui comme lourd diadème, / Et leurs bouches sans joie ont méprisé le fard... / L'Automne aux doigts trempés de cinabre et de nard / Agonise sous les funèbres chrysanthèmes...
Renée Vivien, "Jardin au gré des saisons”.
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alexar60 · 5 years ago
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Eglantine ou la passion
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Jean quitta sa Drôme natale et partit à Paris pour devenir chimiste en sucrerie. Un métier honorable, bien payé car le sucre devenait essentiel dans la gastronomie française. Il commençait à s’habituer à sa nouvelle vie quand il rencontra au cours d’un bal, une jeune femme brune au teint légèrement mat. Eglantine était fine, son regard était celui d’un enfant qui découvrait le monde. Elle dansait avec un inconnu comme si c’était sa première danse. Dès qu’ils furent face à face, ils surent qu’ils venaient de rencontrer l’Autre. Depuis ce jour ils se virent souvent prétextant des promenades dans les jardins du Luxembourg. Ils sortaient à l’opéra, au théâtre, dans les bals. Ils étaient toujours ensemble, jusqu’au jour où la petite brunisseuse de métaux resta dormir chez lui…puis vivre. Ils eurent deux filles avant de se marier. Leur vie était magnifique dans leur appartement rue de Branly. Elle tomba une troisième fois enceinte. Cette fois-ci, c’était un garçon, malheureusement il arriva mort-né, de plus l’accouchement fut compliqué affaiblissant sa santé physique. Elle mit du temps à retrouver ses forces, cependant sa faiblesse était telle, associé à son travail peu hygiénique à l’usine, qu’elle contracta la tuberculose. Jean avait de l’argent mais pas suffisamment pour payer une cure et guérir l’amour de sa vie. Elle décéda un soir d’hiver, peu après le repas.
Son corps fut exposé deux jours avant d’être enterré au Père Lachaise. Elle était habillée de sa plus belle robe, la même portée le jour de leur mariage. Ce jour, elle ne voulait pas de blanc, elle avait voulu une robe rose parce que c’était plus gai, plus vivant. Jean était effondré. Il se retrouvait seul à élever leurs deux filles. Les gens commencèrent à le plaindre.  Ils venaient rendre un dernier hommage à Eglantine et trouvaient qu’elle était toujours aussi belle à croire qu’elle n’était pas morte. Peu avant la mise en cercueil, Jean embrassa Eglantine une dernière fois. Il promit qu’il viendrait la voir chaque jour. Elle fut enterrée un après-midi de pluie car le soleil pleurait aussi sa disparition.
Le lendemain matin, leur fille ainée cria de peur. Jean accourut et fut stupéfait de découvrir Eglantine allongée sur le canapé. Elle semblait dormir, les mains posées sur le ventre, tenant trois roses entre leurs doigts. Jean restait abasourdi, son cœur palpitait, il l’aimait même morte, toutefois il se demanda qui pouvait être aussi cruel pour lui faire cette mauvaise blague.  La police constata la présence du cadavre ; les employés du cimetière signalèrent que ni le caveau ni le cercueil ne furent descellés. Dans son rapport, le commissaire de l’arrondissement écrivit qu’Eglantine apparaissait chaque matin sur le canapé avec trois roses entre les mains, et chaque midi, une équipe l’inhumait encore et encore. Cela pendant dix-huit mois.
Jean avait préparé un discours dans sa chambre, il ouvrit la porte et maintenant habitué, il vit sa bien-aimée allongée, toujours aussi belle et fraiche comme les roses posées sur son ventre. Ce matin-là, il l’embrassa une première fois puis il confessa avoir rencontré une autre femme. Il l’aimait bien entendu mais moins qu’elle. Elisabeth ressemblait beaucoup à Eglantine et acceptait de se marier avec Jean. Ce dernier expliqua qu’il agissait aussi pour l’éducation de leurs filles. Elles avaient besoin d’un repère féminin pour s’épanouir ajouta-il. Il finit ses mots par : « J’espère que tu comprends, pardonne-moi, je t’aimerai toujours. » Puis il l’embrassa une dernière fois avant que les fossoyeurs accoutumés ne viennent frapper à la porte. Ce fut sa dernière apparition à Paris.
Ayant obtenu une promotion, jean et sa famille quittèrent Paris pour Senlis, une petite ville agréable au centre de l’Oise. Ils vivaient dans un hôtel particulier en plein centre-ville. Sa fille cadette commençaient à jouer la réfractaire aux ordres et un après-midi, elle insulta sa belle-mère. Elisabeth outrée, exigea des excuses mais la petite refusa. Alors, elle attrapa la gamine par le bras, leva la main pour commencer une fessée quand la jeune fille menaça d’appeler sa vraie mère si elle la frappait. Elizabeth n’écouta rien et tapa à trois reprises le fondement de la pauvre fille qui partit dans sa chambre en sanglots. Le lendemain matin, toute la famille fut horrifiée de voir Eglantine allongée sur la table au milieu de la salle à manger. Elle était toujours aussi belle comme si elle n’avait jamais été morte ni même vieillie. Trois fleurs roses et un chrysanthème reposaient sur sa robe rose et toujours aussi propre. Jean, qui ne l’avait pas vue depuis cinq ans, l’embrassa une nouvelle fois. Il pleurait à la fois de joie et de tristesse et lui demanda pardon. Elle fut transportée à Paris au Père Lachaise.
Jean mourut d’une crise cardiaque  à l’âge de cinquante-cinq ans. Cela s’est passé tellement vite qu’il n’a pas pensé à écrire son testament. Contrairement à sa volonté, il fut enterré à Senlis dans le caveau des parents de sa seconde épouse. Le jour suivant son inhumation, des employés du cimetière du Père Lachaise découvrirent le corps de Jean, allongé sur la pierre tombale du caveau où reposait Eglantine. Il semblait dormir si bien que les gardiens ont pensé rencontrer un fêtard perdu et trop ivre pour rentrer chez lui. Il portait une rose entre ses mains.
Alex@r60 – juin 2019
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traitor-for-hire · 5 years ago
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Le jeune Laurence
« Jo ! Jo ! Où es-tu ? » cria Meg devant l'escalier qui menait au grenier.
« Ici ! » répondit une voix rauque venue d'en haut. Une fois montée, Meg trouva sa sœur en train de manger des pommes tout en pleurant sur L'Héritier de Redclyffe, drapée dans une couverture sur un sofa à trois pieds près de la fenêtre ensoleillée. C'était le refuge favori de Jo, et elle aimait à s'y retirer avec une demi-douzaine de pommes reinettes et un bon livre pour profiter du calme et de la compagnie d'un rat qui vivait dans le coin et que sa présence ne dérangeait pas le moins du monde. Quand Meg apparut, Scrabble se précipita dans son trou. Jo secoua la tête pour sécher les larmes sur ses joues et attendit d'entendre la nouvelle.
« Quelle joie ! Regarde ! Une invitation en règle de Mrs. Gardiner pour demain soir ! » s'exclama Meg en agitant le précieux papier, qu'elle se mit ensuite à lire avec excitation.
« "Mrs. Gardiner prie Miss March et Miss Joséphine de bien vouloir assister à la soirée dansante qu'elle donnera la veille du Jour de l'An." Marmee veut bien que nous y allions, alors qu'allons nous porter ?
— Quel besoin y a-t-il de poser la question quand tu sais que nous devrons porter nos robes de popeline, puisque nous n'avons rien d'autre ? répondit Jo la bouche pleine.
— Si seulement j'avais une robe de soie ! soupira Meg. Mère dit que je pourrais peut-être en avoir une quand j'aurais dix-huit ans, mais deux années, c'est une éternité à attendre.
— Je suis sûre que nos popelines ont l'air de soie, et elles sont assez bien pour nous. La tienne pourrait être neuve, mais j'ai oublié la brûlure et l'accroc dans la mienne. Que faire ? La brûlure se voit beaucoup, et je ne peux pas l'enlever.
— Tu devras rester assise autant que possible et garder ton dos hors de la vue. Le devant est très bien. J'aurai un nouveau ruban pour mes cheveux, et Marmee me prêtera sa petite broche de perles, et mes nouvelles chaussures sont adorables, et mes gants feront l'affaire, bien qu'ils ne soient pas aussi jolis que je le voudrais.
— Les miens sont tachés de limonade et je ne peux pas en avoir de neufs, alors je devrai faire sans, » dit Jo, qui ne se souciait jamais beaucoup de ses tenues.
« Il te faut des gants ou je n'irai pas, s'exclama Meg avec détermination. Les gants sont plus importants que tout le reste. Tu ne peux pas danser sans gants, et si tu ne danses pas j'en serai mortifiée.
—  Eh bien je ne danserai pas. Les danses en société ne me disent rien, ce n'est pas amusant de tourner en rond. J'aime mieux gambader en tous sens et cabrioler.
—  Tu ne peux pas en demander de neufs à Mère, ils sont si chers, et tu es si peu soigneuse. Elle a dit quand tu as taché les autres que tu n'en aurais pas de nouveaux cet hiver. Ne peux-tu les arranger ?
—  Je peux les tenir à la main, et personne ne verra qu'ils sont tachés. C'est tout ce que je peux faire. Non ! Je vais te dire ce que nous pouvons faire - en porter chacune un de bon et en tenir un sale. Tu vois ?
—  Tes mains sont plus grandes que les miennes, et tu vas terriblement étirer mon gant, » commença Meg, qui tenait beaucoup à ses gants.
« Alors j'irai sans gants. Je me moque de ce que les gens disent ! » s'écria Jo en reprenant son livre.
« Je te le prêterai, je te le prêterai ! Mais ne le tache pas, et conduis-toi bien. Ne garde pas tes mains derrière ton dos, ne fixe pas les gens, et ne dis pas, "par Cristophe Colomb !", d'accord ?
—  Ne te fais pas de soucis. Je serais aussi guindée que possible et je ne ferai pas de bêtises, si je peux m'en empêcher. Maintenant va répondre à ta note, et laisse-moi finir cette superbe histoire. »
Aussi Meg s'en alla pour « accepter avec ses remerciements », examiner sa robe et chanter comme un oiseau en arrangeant son unique volant de dentelle, tandis que Jo finissait son histoire, ses quatres pommes, et jouait avec Scrabble.
La veille du Nouvel An le parloir était désert, car les deux plus jeunes filles jouaient les femmes de chambre et les deux aînées étaient absorbées par l'importante tâche qu'était la « préparation pour la fête ». Aussi simples que fussent les toilettes, il y avait beaucoup d'allées et venues, de rires et de discussions, et à un moment une forte odeur de brûlé envahit la maison. Meg voulait quelques boucles pour encadrer son visage, et Jo se chargeait de pincer les mèches empapillotées avec un fer chaud.
« Est-ce que cela doit fumer comme cela ? demanda Beth depuis son perchoir sur le lit.
—  C'est l'humidité qui sèche, répondit Jo.
—  Quelle étrange odeur ! On dirait des plumes brûlées, » observa Amy, qui lissait ses propres boucles avec un air supérieur.
« Voilà, maintenant je vais enlever les papiers et vous allez voir un nuage de petites boucles, » dit Jo en posant le fer.
Elle ôta les papillotes, mais aucune boucle n'apparut, car les cheveux vinrent avec le papier, et la coiffeuse horrifiée déposa une rangée de petits paquets brûlés sur le bureau devant sa victime.
« Oh, oh, oh ! Qu'as-tu fait ? Je suis défigurée ! Je ne peux pas y aller ! Mes cheveux, oh, mes cheveux ! » gémit Meg en regardant avec désespoir les frisottis inégaux sur son front.
«  C'est bien ma veine ! Tu n'aurais pas dû me demander de le faire. Je gâche toujours tout. Je suis vraiment désolée, mais le fer était trop chaud, et j'ai tout ruiné, » grogna la pauvre Jo, qui regardait les petits tas noirs avec des larmes de regret.
« Tout n'est pas perdu. Frise-les, et noue ton ruban de sorte que les extrémités reviennent un peu sur ton front, et ça aura l'air de la dernière mode. J'ai vu beaucoup de filles coiffées ainsi, dit Amy pour consoler sa sœur.
—  Voilà qui m'apprendra à vouloir être belle. J'aurais mieux fait de laisser mes cheveux comme ils étaient, s'exclama Meg avec amertume.
—  Cela aurait mieux valu, ils étaient si lisses et si jolis. Mais ils repousseront bientôt, » dit Beth, venue embrasser et réconforter le pauvre agneau tondu.
Après d'autres mésaventures de moindre importance, Meg fut enfin prête, et grâce aux efforts de toute la famille les cheveux de Jo furent coiffés et sa robe passée. Elles avaient fort bon air dans leurs robes simples - Meg en gris argent, avec un ruban de velours bleu dans les cheveux, des volants de dentelle, et la broche de perles. Jo en marron, avec un col de lin raide à l'air masculin, et quelques chrysanthèmes blancs pour seuls ornements. Chacune enfila l'un des jolis gants, et tint un gant sale à la main, et toutes affirmèrent que l'effet était « très plaisant ». Les souliers à talons hauts de Meg étaient très étroits et lui faisaient mal, quoiqu'elle refuse d'en convenir, et les dix-neuf épingles à cheveux de Jo semblaient toutes lui être plantées dans la tête, ce qui n'était vraiment pas agréable, mais, après tout, il faut souffrir pour être belle.
« Amusez-vous bien, mes chéries ! » dit Mrs. March aux deux sœurs qui descendaient gracieusement l'allée. « Ne mangez pas trop au souper, et rentrez à onze heures, quand j'enverrai Hannah vous chercher. » Comme le portail se refermait derrière elles, une voix cria depuis la fenêtre…
« Les filles, les filles ! Avez-vous pris de jolis mouchoirs de poche ?
—  Oui, oui, très jolis, et Meg a mis de l'eau de Cologne sur le sien, »᠎ cria Jo, qui ajouta en riant, « je crois vraiment que Marmee nous poserait cette question même au milieu d'un tremblement de terre.
—  C'est un de ses penchants aristocratiques, et fort convenable, car on reconnaît une vraie lady à la netteté de ses chaussures, de ses gants et de son mouchoir, » répondit Meg, qui avait elle-même un certain nombre de ces « penchants aristocratiques ».
« N'oublie pas de dissimuler la partie abîmée de ta robe, Jo. Ma ceinture est-elle droite ? Et est-ce que mes cheveux sont affreux ? » demanda Meg en se détournant de la glace du vestiaire des Gardiner après s'être longuement pomponnée.
« Je sais que je vais oublier. Si tu me vois faire quelque chose d'incorrect, rappelle-moi à l'ordre par un clin d'œil, tu veux bien ? » répondit Jo, en ajustant son col d'une chiquenaude et en passant hâtivement la main sur ses cheveux.
« Non, ce n'est pas distingué. Je hausserai les sourcils si quelque chose ne va pas, et je hocherai la tête si tout va bien. Maintenant redresse tes épaules, fais de petits pas, et ne serre pas la main des personnes que l'on te présente. Cela ne se fait pas.
—  Comment retiens-tu tout ce qui est convenable ? Je n'y arrive jamais. Ne trouves-tu pas que cette musique est gaie ? »
Elles descendirent, légèrement intimidées, car elles sortaient rarement et cette fête, aussi simple qu'elle fut, leur semblait un événement. Mrs. Gardiner, une imposante vieille dame, les accueillit gentiment et les confia à l'aînée de ses six filles. Meg connaissait Sally et fut très vite à son aise, mais Jo, qui se souciait fort peu des filles et de leurs potins, resta à l'écart, le dos soigneusement collé au mur, en se sentant aussi peu à sa place qu'un poulain dans un jardin de fleurs. Une demi-douzaine de joyeux jeunes gens discutaient de patinage dans une autre partie de la pièce, et elle aurait vraiment aimé les rejoindre, car le patinage était l'une des joies de sa vie. Elle télégraphia son souhait à Meg, mais les sourcils se soulevèrent à une hauteur si alarmante qu'elle n'osa pas bouger d'un cheveu. Personne ne vint lui parler, et petit à petit le groupe se sépara, jusqu'à ce qu'elle reste seule. Elle ne pouvait pas vagabonder à son aise et s'amuser, car on verrait la brûlure de sa robe, alors elle regarda plutôt tristement les autres personnes de l'assistance jusqu'à ce que vienne l'heure de danser. Meg fut aussitôt invitée, et les étroits souliers glissaient si allègrement sur le parquet que nul n'aurait deviné la peine qu'elle endurait, le sourire aux lèvres. Jo vit un grand jeune homme roux s'approcher de son coin, et craignant qu'il ne vienne l'aborder, elle se glissa dans une alcôve close par des rideaux, pensant pouvoir observer et s'amuser en paix. Malheureusement, un autre timide avait choisi le même refuge, car à l'instant où les rideaux se refermèrent derrière elle, elle se trouva face à face avec « le jeune Laurence ». 
« Pauvre de moi, je ne savais pas qu'il y avait quelqu'un ici ! » bafouilla Jo en se préparant à repartir aussi vite qu'elle était venue. 
Mais le garçon rit et, bien qu'il ait l'air un peu surpris, dit aimablement, « Ne vous souciez pas de moi, restez si vous le voulez.
—  Ne vais-je pas vous déranger ?
—  Pas du tout. Je ne suis venu ici que parce que je ne connais pas grand monde et que je me sentais un peu mal à l'aise, vous voyez.
—  Il en est de même pour moi. Ne vous en allez pas, s'il vous plaît, sauf si vous en avez envie. »
Le garçon se rassit et regarda ses chaussures, jusqu'à ce que Jo, voulant être polie et entamer la discussion, dise « Je pense que j'ai eu le plaisir de vous rencontrer auparavant. Vous vivez près de chez nous, n'est-ce pas ?
—  Dans la maison d'à côté. » Et il leva les yeux et rit tout de bon, car les manières guindées de Jo étaient plutôt amusantes quand il se rappelait comment ils avaient bavardé à propos de cricket la fois où il avait ramené le chat.
Cela mit Jo à son aise et elle rit aussi, en disant de son ton le plus chaleureux, « Nous avons passé un si bon moment avec vos cadeaux de Noël.
—  C'est Grand-père qui les a envoyés.
—  Mais c'est vous qui le lui avez mis en tête, n'est-ce pas ?
—  Comment va votre chat, Miss March ? » demanda le garçon, tentant de garder l'air sérieux alors que ses yeux pétillaient d'amusement.
—  Très bien, merci, Mr. Laurence. Mais je ne suis pas Miss March, je ne suis que Jo, répliqua la jeune demoiselle.
—  Je ne suis pas Mr. Laurence, je ne suis que Laurie.
—  Laurie Laurence - quel nom étrange ?
—  Mon prénom est Théodore, mais je ne l'aime pas, car mes camarades m'appelaient Dora. Alors je les ai forcés à m'appeler Laurie.
—  Je déteste mon nom, moi aussi, il est si sentimental ! J'aimerais que tout le monde m'appelle Jo au lieu de Joséphine. Comment avez-vous fait en sorte qu'ils cessent de vous appeler Dora ?
—  Je les ai battus.
—  Je ne peux pas battre Tante March, aussi je suppose que je vais devoir le supporter. » Et Jo se résigna avec un soupir.
« Aimez-vous danser, Miss Jo ? » demanda Laurie, qui avait l'air de penser que le nom lui seyait bien.
« J'aime assez ça, quand il y a beaucoup de place et que tout le monde est plein d'entrain. Dans un endroit comme celui-ci je suis sûre de renverser quelque chose, d'écraser les orteils des gens, ou de faire quelque chose de terrible, aussi j'évite les ennuis et laisse Meg danser tout son content. Ne dansez-vous pas ?
—  Parfois. Voyez-vous, je suis resté quelques années en Europe, et je ne suis pas encore très au fait de ce qui se fait ici.
—  L'Europe ! s'écria Jo. Oh, parlez-m'en ! J'aime entendre les gens raconter leurs voyages. »
Laurie semblait ne pas savoir par où commencer, mais aidé par les questions empressées de Jo il se lança bien vite, et il lui raconta comment il avait été à l'école à Vevey, où les garçons ne portaient jamais de chapeaux et avaient une flotte de bateaux sur le lac, et où, pendant leurs vacances, ils partaient en excursion avec leurs maîtres à travers la Suisse.
« Comme j'aurais aimé y être ! s'écria Jo. Êtes-vous allé à Paris ?
—  Nous y avons passé l'hiver dernier.
—  Savez-vous parler français ?
—  À Vevey, nous n'étions pas autorisés à parler une autre langue.
—  Dites-moi quelque chose en français ! Je peux le lire, mais pas le prononcer.
—  Quel nom a cette jeune demoiselle en les pantoufles jolis ?*
—  Comme vous le parlez bien ! Attendez - vous avez dit, "Qui est la jeune demoiselle aux jolis souliers ?" n'est-ce pas ?
—  Oui, mademoiselle.*
—  C'est ma sœur Margaret, et vous le saviez ! La trouvez-vous jolie ?
—  Oui, elle me rappelle les jeunes allemandes. Elle est fraîche et calme et danse comme une vraie dame. »
Jo rayonna de plaisir à ce compliment juvénile, qu'elle retint pour le répéter à Meg. Tous deux observèrent et critiquèrent les danseurs et discutèrent jusqu'à avoir l'impression d'être de vieilles connaissances. La timidité de Laurie s'évanouit bientôt, car les manières de gentleman de Jo l'amusaient et le mettaient à l'aise ; et Jo avait retrouvé sa gaieté habituelle, car elle avait oublié sa robe et personne ne haussait les sourcils à son attention. Elle appréciait plus que jamais le « jeune Laurence », et elle l'observa attentivement à plusieurs reprises pour pouvoir le décrire à ses sœurs, car elles n'avaient pas de frère et très peu de cousins, et les garçons étaient pour elles des créatures presque inconnues.
« Des cheveux noirs bouclés, le teint brun, de grands yeux noirs, un beau nez, de jolies dents, des mains fines et de petits pieds, plus grand que moi, très poli pour un garçon, et assez jovial en fin de compte. Je me demande quel âge il a ? »
Jo brûlait de le lui demander, mais elle se contint à temps et, avec un tact inhabituel, essaya de le découvrir par des moyens détournés.
« Je suppose que vous irez bientôt à l'université ? Je vous vois toujours piocher - non, je veux dire, étudier. » Et Jo rougit à ce terrible « piocher » qui lui avait échappé.
Laurie sourit mais ne sembla pas choqué, et répondit en haussant les épaules. « Pas avant un an ou deux. Je n'irai pas avant mes dix-sept ans, de toute façon.
—  Vous n'avez donc que quinze ans ? » demanda Jo en regardant ce grand garçon, qu'elle avait imaginé avoir déjà dix-sept ans.
—  Seize ans, le mois prochain.
—  Comme j'aimerais pouvoir aller à l'université ! Cela n'a pas l'air de vous enchanter.
—  Je déteste ça ! On n'y fait que bûcher ou chahuter. Et je n'aime pas la façon dont mes camarades s'adonnent à l'un comme à l'autre, dans ce pays.
—  Qu'aimeriez-vous ?
—  Vivre en Italie, et m'amuser comme je l'entends. »
Jo avait très envie de lui demander ce qu'il entendait par s'amuser, mais il fronçait ses sourcils noirs de manière plutôt menaçante, aussi elle changea de sujet et dit tout en battant la mesure du pied, « C'est une superbe polka ! Pourquoi n'allez-vous pas danser ?
—  Si vous venez avec moi, » répondit-il, en s'inclinant avec galanterie.
« Je ne peux pas, j'ai dit à Meg que je ne danserais pas, parce que - » Ici Jo s'interrompit, avec l'air de ne pas savoir si elle devait continuer ou rire.
« Parce que, quoi ?
—  Vous ne le répéterez pas ?
—  Jamais !
—  Eh bien, j'ai la fâcheuse habitude de me tenir devant le feu, et de brûler mes robes, et j'ai roussi celle-ci, et même si c'est joliment raccommodé cela se voit, et Meg m'a dit de me tenir tranquille pour que personne ne le voie. Vous pouvez rire si vous le voulez. Je sais bien que c'est drôle. »
Mais Laurie ne rit pas. Il baissa seulement les yeux pendant une minute, et l'expression de son visage intrigua Jo quand il dit très gentiment, « Peu importe. Je vais vous dire comment nous pouvons faire. Il y a un grand vestibule juste là, et nous pouvons y danser superbement, et personne ne nous verra. Venez, s'il vous plaît. »
Jo le remercia et vint avec joie, regrettant seulement, à la vue des beaux gants couleur de perle de son partenaire, de ne pas en avoir une paire propre. Le couloir était désert et ils dansèrent une merveilleuse polka, car Laurie dansait fort bien, et il lui apprit le pas allemand, qui ravit Jo par ses nombreux sauts et virevoltes. Quand la musique cessa, ils s'assirent sur les escaliers pour reprendre leur souffle ; et Laurie était au milieu du récit d'un festival d'étudiants à Heidelberg quand Meg fit son apparition, à la recherche de sa sœur. Elle lui fit signe, et Jo la suivit à contrecœur dans une pièce attenante où elle la trouva assise sur un sofa, l'air pâle et se tenant le pied.
« Je me suis foulé la cheville. Ces stupides talons ont tourné, et j'ai une vilaine entorse. J'ai si mal que je peux à peine tenir debout, et je ne sais pas comment je vais pouvoir rentrer à la maison, » dit Meg, qui se balançait d'avant en arrière sous l'effet de la douleur.
« Je savais que tu te ferais mal avec ces stupides chaussures. Je suis désolée. Mais je ne vois pas ce que tu peux faire, à part prendre une voiture, ou passer la nuit ici, » répondit Jo, tout en massant doucement la cheville meurtrie.
« Je ne peux pas prendre un fiacre, cela coûterait trop cher. D'ailleurs je ne pourrais pas en trouver un, car la plupart des gens sont venus dans leurs propres voitures, et la station est loin d'ici et nous n'avons personne à envoyer.
—  J'irai.
—  Non, certainement pas ! Il est neuf heures passées, et il fait noir comme dans un four. Je ne peux pas rester ici, la maison est pleine ; Sallie a invité quelques amies à rester. Je vais me reposer jusqu'à ce que Hannah vienne, puis faire du mieux que je peux.
—  Je vais demander à Laurie, il ira, dit Jo, l'air soulagée à cette idée.
—  Seigneur, non ! Ne demande rien à personne. Va me chercher mes caoutchoucs, et range ces souliers avec nos affaires. Je ne peux plus danser, mais dès que le souper sera terminé, guette Hannah et préviens-moi à l'instant où elle arrive.
—  Tout le monde va souper maintenant. Je vais rester avec toi. Je préfère ça.
—  Non, ma chérie, va avec les autres, et rapporte moi un peu de café. Je suis si fatiguée que je ne peux plus bouger. »
Alors Meg s'étendit, ses bottes soigneusement dissimulées, et Jo partit en quête de la salle à manger, qu'elle trouva après être entrée dans un cabinet de porcelaines et dans une chambre où le vieux Mr. Gardiner prenait une collation en privé. Filant tout droit vers le buffet, elle se procura le café qu'elle renversa immédiatement, rendant le devant de sa robe aussi peu présentable que le dos.
« Oh, non, quel manche je suis ! » s'exclama Jo, achevant d'abîmer le gant de Meg en l'utilisant pour frotter sa robe.
« Puis-je vous aider ? » demanda une voix amicale. Et Laurie la rejoignit, avec une tasse pleine dans une main et une assiette de crème glacée dans l'autre. 
« J'essayais de ramener quelque chose à Meg, qui est très fatiguée, et quelqu'un m'a bousculée, et me voilà dans un bel état, » répondit Jo, avec un regard noir sur sa jupe tachée et le gant couleur café.
« Quel dommage ! Je cherchais quelqu'un à qui donner ceci. Puis-je le porter à votre sœur ?
—  Oh, merci ! Je vais vous mener à elle. Je ne vous propose pas de m'en charger moi-même, je risquerais de commettre une autre gaffe. »
Jo ouvrit la marche, et, comme s'il était habitué à servir les dames, Laurie alla chercher une seconde table, un second service de café et de glace pour Jo, et fut si obligeant que même la pointilleuse Meg déclara qu'il était « un gentil garçon ». Ils passèrent un moment agréable avec les papillotes et leurs maximes, et étaient en train de jouer tranquillement à un jeu de société avec deux ou trois autres jeunes gens qui s'étaient aventurés par là, quand Hannah apparut. Meg oublia son pied et se leva si rapidement qu'elle fut forcée de se tenir à Jo, avec un cri de douleur. « Chut ! Ne dis rien, » lui chuchota-t-elle, puis elle ajouta à voix haute, « Ce n'est rien. Je me suis tordue la cheville, c'est tout, » et elle claudiqua jusqu'à l'étage pour mettre son manteau. 
Hannah gronda, Meg pleura, et Jo, frustrée, décida de prendre la situation en mains. Elle s'esquiva, descendit au rez-de-chaussée et, croisant un  domestique, lui demanda s'il pouvait lui trouver une voiture. Il se trouva que c'était un extra qui ne connaissait pas le voisinage, et Jo cherchait de l'aide quand Laurie qui l'avait entendue lui proposa de prendre la voiture de son grand-père, qui venait juste d'arriver, dit-il.
« Il est si tôt ! Vous ne pouvez pas déjà vouloir partir ? » commença Jo, soulagée mais hésitant à accepter cette offre.
« Je rentre toujours tôt - vraiment ! S'il vous plaît, laissez-moi vous ramener. C'est sur mon chemin, vous le savez, et il paraît qu'il pleut. »
Cela régla la question, et en lui racontant la mésaventure de Meg, Jo accepta avec gratitude et se précipita pour aller chercher Meg et Hannah. Celle-ci, comme les chats, détestait la pluie, aussi ne fit-elle aucune objection, et elles partirent gaiement dans la luxueuse calèche. Laurie grimpa sur le siège pour que Meg puisse garder son pied surélevé, et les filles discutèrent de la fête en toute tranquillité.
« J'ai passé une soirée formidable. Et toi ? » demanda Jo en se ébouriffant ses cheveux et en se mettant à l'aise.
« Oui, jusqu'à ce que je me fasse mal. L'amie de Sallie, Annie Moffat, s'est prise d'amitié pour moi et m'a demandé de venir passer une semaine chez elle en même temps que Sallie. Ce sera au printemps, à la saison de l'opéra, et ce sera absolument splendide, si Mère veut bien me laisser y aller, » répondit Meg, toute réjouie à cette idée.
« Je t'ai vue danser avec cet homme roux que j'ai fui. Était-il gentil ?
—  Oh, oui ! Ses cheveux sont auburn et non roux, et il était très poli, et j'ai dansé une délicieuse redowa avec lui.
—  Il avait l'air d'une sauterelle surexcitée quand il a fait ce nouveau pas. Laurie et moi n'avons pas pu nous empêcher de rire. Nous as-tu entendus ?
—  Non, mais c'était très impoli. Qu'as-tu fait pendant tout ce temps, cachée dans ton coin ? »
Jo lui raconta ses aventures, et finit juste au moment où elles arrivaient à la maison. Avec de nombreux remerciements, elles firent leurs adieux et se glissèrent à l'intérieur, espérant ne réveiller personne, mais dès l'instant où la porte grinça, deux petits bonnets de nuit se redressèrent, et deux voix ensommeillées mais impatientes s'exclamèrent…
« Racontez-nous la fête ! Racontez-nous la fête ! »
Jo avait mis de côté des bonbons pour les petites, ce que Meg qualifia de « réel manque de savoir-vivre », et elles se calmèrent rapidement après avoir entendu le récit des événements les plus excitants de la soirée.
« Je dois dire que j'ai vraiment l'impression d'être une grande dame, assise en peignoir avec une femme de chambre pour m'assister, après être rentrée en voiture de la fête, » déclara Meg tandis que Jo lui bandait le pied avec de l'arnica et lui brossait les cheveux.
« Je ne crois pas que les grandes dames s'amusent plus que nous, en dépit de nos cheveux brûlés, de nos vieilles robes, de nos gants dépareillés et de nos souliers trop étroits qui nous tordent les chevilles quand nous sommes assez bêtes pour les porter. » Et je pense que Jo avait tout à fait raison.
(* en français dans le texte)
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