#christian guay-poliquin
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나도 결국 똑같다. 자신이 죽을 수도 있다는 가능성을 인정하지 못한다.
(크리스티앙 게-폴리캥, 눈의 무게)
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Écofiction contre écoanxiété
Des coups de cœur québécois
De nombreux romans québécois récents, inspirés par l’actualité, mettent en scène des catastrophes environnementales ou imaginent de nouveaux rapports avec l’environnement. Et ils se démarquent par leur grande qualité.
Indice des feux, d'Antoine Desjardins Faunes, de Christiane Vadnais Le fil du vivant, d'Elsa Pépin Les ombres filantes, de Christian Guay-Poliquin L'avenir, de Catherine Leroux
Les éditeurs qui me font tourner la tête : Rue de l’échiquier et Dalva
La maison d’édition française Rue de l’échiquier est spécialisée dans le domaine de l’écologie. Chez Dalva, on porte une attention particulière à l’expérience des femmes et à leur rapport à la nature. Pas étonnant que chacune des nouvelles publications de cette maison éveille ma curiosité! De beaux livres que j’ajoute presque automatiquement à ma pile à lire.
Mousse, de Klaus Modick Triple zéro, de Madeleine Watts Le contraire d'une personne, de Lieke Marsman L'octopus et moi, d'Erin Hortle
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Montreal Book Fair | What do our columnists read?
Montreal Book Fair | What do our columnists read?
Our editorial writers tell you what they’re reading this fall. Posted at 11:00 a.m. The falling shadows What would our life be like without energy sources allowing society to function normally? Christian Guay-Poliquin takes us to this parallel universe where life in society is disrupted by a generalized blackout. In this world without the rule of law where it’s every man for himself, we follow…
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24 Gennaio - "IL PESO DELLA NEVE" di Christian Guay-Poliquin Link Amazon https://amzn.to/2T9N5vE Titolo: Il peso della neveAutore: Christian Guay-PoliquinGenere: Thriller PsicologicoCasa Editrice: MarsilioLunghezza: 247 pagine…
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La fantasia è una forma di coraggio
Christian Guay-Poliquin, Il peso della neve
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Première session de cégep Les trois livres du dessus, ceux de ma boi Platon et celui de poésie, not fully read. La deuxième photo est semi plus accurate. Semi.
#perrault#cendrillon#art#platon#manikanetish#pommes#natashakfontaine#deniellisbechard#edgar allan poe#la petite fille de monsieur linh#philippe claudel#joel pommerat#yasmina reza#le poids de la neige#christian guay poliquin#le silence des agneaux#thomas harris#station eleven#emily st john mandel#cormac mccarthy#101 famous poems#The Road#naomi fontaine#eric plamondon#aldous huxley#le meilleur des mondes
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La neige règne sans partage. Elle domine le paysage, elle écrase les montagnes. Les arbres s’inclinent, ploient vers le sol, courbent l’échine. Il n’y a que les grandes épinettes qui refusent de plier. Elles encaissent, droites et noires. Elles marquent la fin du village, le début de la forêt.
C’est l’hiver. Les journées sont brèves et glaciales. La neige montre les dents. Les grands espaces se recroquevillent.
La nuit, je dormais les yeux ouverts. Comme les morts.
Le plus souvent, je rêvais que je courais. Que je courais à toute allure dans les méandres d’un labyrinthe. Partout où j’allais, il y avait un fil rouge sur le sol et une bête était à mes trousses. Je ne la voyais pas, mais elle était là, derrière. J’entendais distinctement les halètements de son souffle et le bruit de ses sabots. Elle me talonnait. Ses crocs fendaient l’air pour m’arracher les jambes. Et moi, je continuais à courir. Je regardais sans regarder derrière.
Parfois, la tension montait entre eux et, lorsqu’ils changeaient de tour de garde, ils jetaient un œil méfiant sur leurs confrères. Malgré cela, ils savaient qu’ils ne pouvaient pas se passer les uns des autres. Pour survivre, ils devaient affronter ensemble le froid, la faim et l’ennui. Ainsi, ils avaient très vite compris que la tâche la plus importante était sans contredit celle de raconter des histoires.
Le soleil décline et le froid rend la neige d’hier éclatante. Quand je ferme les yeux, je vois des couleurs qui n’existent pas. Quand je les ouvre, il fait si clair que j’ai l’impression d’être atteint par la cécité des neiges.
Les histoires se répètent. Nous avons voulu fuir le sort qui nous était réservé et nous voila engloutis par le cours des choses. Avalés par une baleine. Et, très loin de la surface, nous espérons qu’elle nous recrache sur le rivage. Nous sommes dans le ventre de l’hiver, dans ses entrailles. Et, dans cette obscurité chaude, nous savons qu’on ne peut jamais fuir ce qui nous échoit.
Il doit être près de midi. Le froid semble avoir desserré son emprise sur le paysage, pour reprendre des forces. En attendant, la neige continue de tomber sans que rien puisse l’arrêter. Les flocons sont larges et délicats. On dirait qu’ils ont été découpés dans du papier.
Christian Guay-Poliquin Le poids de la neige
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saluut! est-ce que tu pourrais me recommander des livres québécois s'il te plaît ? ^-^
Allô! Désolée pour la réponse tardive, j’avais complètement oublié ton ask!
Je vais te donner plusieurs livres, ceux avec un astérisque (*) sont des livres que je n’ai pas lu mais qui sont apparemment très bons et ceux en italique figurent parmi mes préférés!
Nikolski - Nicolas Dickner
Géolocaliser l’amour - Simon Boulerice
Six degrés de liberté* - Nicolas Dickner
Le bruit des os qui craquent - Suzanne Lebeau [théâtre]
Noms fictifs - Olivier Sylvestre
Le désert - Oliver Sylvestre
Royal - Jean-Philippe Baril Guérard
Le poids de la neige* - Christian Guay-Poliquin
Le plongeur* - Stéphane Larue
Je t’aime beaucoup cependant - Simon Boulerice
Bashir Lazhar - Évelyne de la Chenelière [théâtre]
Manuel de la vie sauvage - Jean-Philippe Baril Guérard
L’allégorie des truites arc-en-ciel - Marie-Christine Chartier
Et au pire, on se mariera - Sophie Bienvenu
L’orangeraie - Larry Tremblay
La bête (trilogie)* - David Gaudreault
Putain* - Nelly Arcan
Chercher Sam* - Sophie Bienvenu
La femme qui fuit* - Anaïs Barbeau-Lavalette
L’homme rapaillé* - Gaston Miron
Volkswagen blues* - Jacques Poulin
Voilà! J’espère que tu trouveras quelque chose qui te plait là dedans :)
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She told me that her life had been so filled with the slow death of routine that she progressively developed a taste for catastrophe. Sometimes she'd dream about witnessing some serious accident. Other times, she would imagine herself able to cause chaos by intent, by simply looking at things. She'd stare at planes as they flew overhead, hoping they'd explode; gaze at the foundations of bridges, hoping they'd crack. She always saw storms in dark clouds. She hoped she would be in a great city when all the lights finally turned off so she might hear the shrieks and cries in the distance while, in the sky, the stars would finally regain their rightful place. She paused a moment before adding that all of it was a ridiculous fancy, really, and nothing ever happened.
Christian Guay-Poliquin
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어쨌거나 한 걸음 전진한 느낌이다. 두 걸음 후퇴했지만.
(크리스티앙 게-폴리캥, 눈의 무게)
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Book design
Christian Guay-Poliquin - The Weight of Snow
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«Vernissage» fut une agréable surprise ❤️ Le titre m’interpellait bien sûr, mais la quatrième de couverture, un peu moins. Finalement, j’ai eu un gros coup de cœur et je confirme que le titre l’emporte (avec un dénouement inattendu à la Christian Guay-Poliquin avec «Le poids de la neige», que plusieurs ont lu et aimé) 😉 Il y a définitivement beaucoup plus dans ce livre que le résumé qu’on en fait. Il y a des dizaines d’histoires l’une dans l’autre et des dialogues colorés. Il y a des anecdotes, de nombreux sourires, mais aussi des émotions à foison. Les personnages, auxquels on s’attache rapidement, sont on ne peut plus authentiques. Formé en composition, Benoît Côté est docteur en musique et cela s’entend tout au long de la lecture 🎵 Son roman est une pure mélodie. Dès les premières pages, il faut apprivoiser la façon dont s’expriment les personnages, mais on s’y fait rapidement et on se laisse emporter par le rythme du langage vivant et brillamment imagé. Une lecture que je recommande fortement 👌🏻 Je vais absolument relire cet auteur, qui a d’ailleurs été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général pour un essai publié en 2017.
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J’ai l’impression de porter un masque de gestes et de disparaître peu à peu sous les tâches. Quelque chose m’échappe dans ce que nous sommes en train de devenir.
Christian Guay-Poliquin, Les ombres filantes
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Nager, bosser, récupérer (deux dossards), écouter (Christian Guay-Poliquin)
It's been quite a day. Je suis heureuse, mais vannée. La période intense des confinements faits que les salariés ont beaucoup de jours de récup. à poser. On les écluse peu à peu (moi, par exemple pour mes soins dentaires). Ce qui fait qu'aujourd'hui nous étions en sous-effectif et le boulot s'en ressent : appels sur appels et ça sonne tout le temps. Au gymnase où nous récupérions les dossards, il fallait sortir son pass sanitaire, à la librairie où avait lieu la rencontre avec Christian Guay-Poliquin aussi. Une de mes amies libraire pense que c'est mieux pour pouvoir avertir les présents si jamais quelqu'un ensuite est malade. Et que ça permet aussi de voir combien viennent aux rencontres, joli usage détourné (je veux dire : c'est pour la bonne cause). Comme souvent quand les tee-shirts offerts pour une course sont sexués, les tee-shirts hommes sont de meilleure qualité et d'apparence plus soignée que ceux pour les femmes. Ça a le don de prodigieusement m'agacer. Je préfère les modèles unisexe, au moins personne n'est lésé. Le ministre de l'intérieur a osé se féliciter de la baisse importante des cambriolages depuis l'an 2020. On lui dit pour les confinements ?
La nuit dernière je me suis carrément endormie les lunettes sur le nez. Et l'ordi où je tentais de regarder une vidéo, un documentaire, glissé sur le côté. Réveillée au milieu de la nuit, toute étonnée.
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