#christian guay-poliquin
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crepuscule-pourpre · 1 year ago
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lemondeabicyclette · 2 years ago
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Écofiction contre écoanxiété
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Des coups de cœur québécois
De nombreux romans québécois récents, inspirés par l’actualité, mettent en scène des catastrophes environnementales ou imaginent de nouveaux rapports avec l’environnement. Et ils se démarquent par leur grande qualité.
Indice des feux, d'Antoine Desjardins Faunes, de Christiane Vadnais Le fil du vivant, d'Elsa Pépin Les ombres filantes, de Christian Guay-Poliquin L'avenir, de Catherine Leroux
Les éditeurs qui me font tourner la tête : Rue de l’échiquier et Dalva
La maison d’édition française Rue de l’échiquier est spécialisée dans le domaine de l’écologie. Chez Dalva, on porte une attention particulière à l’expérience des femmes et à leur rapport à la nature. Pas étonnant que chacune des nouvelles publications de cette maison éveille ma curiosité! De beaux livres que j’ajoute presque automatiquement à ma pile à lire.
Mousse, de Klaus Modick Triple zéro, de Madeleine Watts Le contraire d'une personne, de Lieke Marsman L'octopus et moi, d'Erin Hortle
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incantalibriblog · 6 years ago
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24 Gennaio - "IL PESO DELLA NEVE" di Christian Guay-Poliquin Link Amazon https://amzn.to/2T9N5vE Titolo: Il peso della neveAutore: Christian Guay-PoliquinGenere: Thriller PsicologicoCasa Editrice: MarsilioLunghezza: 247 pagine…
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danielemuzzarelli · 5 years ago
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La fantasia è una forma di coraggio
Christian Guay-Poliquin, Il peso della neve
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sonotonehits · 3 years ago
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alicecourtavecrene · 5 years ago
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Première session de cégep Les trois livres du dessus, ceux de ma boi Platon et celui de poésie, not fully read. La deuxième photo est semi plus accurate. Semi.
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la-princesse-de-cleves · 6 years ago
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La neige règne sans partage. Elle domine le paysage, elle écrase les montagnes. Les arbres s’inclinent, ploient vers le sol, courbent l’échine. Il n’y a que les grandes épinettes qui refusent de plier. Elles encaissent, droites et noires. Elles marquent la fin du village, le début de la forêt.
C’est l’hiver. Les journées sont brèves et glaciales. La neige montre les dents. Les grands espaces se recroquevillent.
La nuit, je dormais les yeux ouverts. Comme les morts.
Le plus souvent, je rêvais que je courais. Que je courais à toute allure dans les méandres d’un labyrinthe. Partout où j’allais, il y avait un fil rouge sur le sol et une bête était à mes trousses. Je ne la voyais pas, mais elle était là, derrière. J’entendais distinctement les halètements de son souffle et le bruit de ses sabots. Elle me talonnait. Ses crocs fendaient l’air pour m’arracher les jambes. Et moi, je continuais à courir. Je regardais sans regarder derrière.
Parfois, la tension montait entre eux et, lorsqu’ils changeaient de tour de garde, ils jetaient un œil méfiant sur leurs confrères. Malgré cela, ils savaient qu’ils ne pouvaient pas se passer les uns des autres. Pour survivre, ils devaient affronter ensemble le froid, la faim et l’ennui. Ainsi, ils avaient très vite compris que la tâche la plus importante était sans contredit celle de raconter des histoires.
Le soleil décline et le froid rend la neige d’hier éclatante. Quand je ferme les yeux, je vois des couleurs qui n’existent pas. Quand je les ouvre, il fait si clair que j’ai l’impression d’être atteint par la cécité des neiges.
Les histoires se répètent. Nous avons voulu fuir le sort qui nous était réservé et nous voila engloutis par le cours des choses. Avalés par une baleine. Et, très loin de la surface, nous espérons qu’elle nous recrache sur le rivage. Nous sommes dans le ventre de l’hiver, dans ses entrailles. Et, dans cette obscurité chaude, nous savons qu’on ne peut jamais fuir ce qui nous échoit.
Il doit être près de midi. Le froid semble avoir desserré son emprise sur le paysage, pour reprendre des forces. En attendant, la neige continue de tomber sans que rien puisse l’arrêter. Les flocons sont larges et délicats. On dirait qu’ils ont été découpés dans du papier.
Christian Guay-Poliquin Le poids de la neige
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fremmedsprak · 5 years ago
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saluut! est-ce que tu pourrais me recommander des livres québécois s'il te plaît ? ^-^
Allô! Désolée pour la réponse tardive, j’avais complètement oublié ton ask!
Je vais te donner plusieurs livres, ceux avec un astérisque (*) sont des livres que je n’ai pas lu mais qui sont apparemment très bons et ceux en italique figurent parmi mes préférés!
Nikolski - Nicolas Dickner
Géolocaliser l’amour - Simon Boulerice
Six degrés de liberté* - Nicolas Dickner
Le bruit des os qui craquent - Suzanne Lebeau [théâtre]
Noms fictifs - Olivier Sylvestre
Le désert - Oliver Sylvestre
Royal - Jean-Philippe Baril Guérard
Le poids de la neige* - Christian Guay-Poliquin
Le plongeur* - Stéphane Larue
Je t’aime beaucoup cependant - Simon Boulerice
Bashir Lazhar - Évelyne de la Chenelière [théâtre]
Manuel de la vie sauvage - Jean-Philippe Baril Guérard
L’allégorie des truites arc-en-ciel - Marie-Christine Chartier
Et au pire, on se mariera - Sophie Bienvenu
L’orangeraie - Larry Tremblay
La bête (trilogie)* - David Gaudreault
Putain* - Nelly Arcan
Chercher Sam* - Sophie Bienvenu
La femme qui fuit* - Anaïs Barbeau-Lavalette
L’homme rapaillé* - Gaston Miron
Volkswagen blues* - Jacques Poulin
Voilà! J’espère que tu trouveras quelque chose qui te plait là dedans :)
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covertrook · 8 years ago
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She told me that her life had been so filled with the slow death of routine that she progressively developed a taste for catastrophe. Sometimes she'd dream about witnessing some serious accident. Other times, she would imagine herself able to cause chaos by intent, by simply looking at things. She'd stare at planes as they flew overhead, hoping they'd explode; gaze at the foundations of bridges, hoping they'd crack. She always saw storms in dark clouds. She hoped she would be in a great city when all the lights finally turned off so she might hear the shrieks and cries in the distance while, in the sky, the stars would finally regain their rightful place. She paused a moment before adding that all of it was a ridiculous fancy, really, and nothing ever happened.
Christian Guay-Poliquin
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karrraska · 6 years ago
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Book design
Christian Guay-Poliquin - The Weight of Snow
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skillstopallmedia · 2 years ago
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Montreal Book Fair | What do our columnists read?
Montreal Book Fair | What do our columnists read?
Our editorial writers tell you what they’re reading this fall. Posted at 11:00 a.m. The falling shadows What would our life be like without energy sources allowing society to function normally? Christian Guay-Poliquin takes us to this parallel universe where life in society is disrupted by a generalized blackout. In this world without the rule of law where it’s every man for himself, we follow…
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mhraymond · 3 years ago
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«Vernissage» fut une agréable surprise ❤️ Le titre m’interpellait bien sûr, mais la quatrième de couverture, un peu moins. Finalement, j’ai eu un gros coup de cœur et je confirme que le titre l’emporte (avec un dénouement inattendu à la Christian Guay-Poliquin avec «Le poids de la neige», que plusieurs ont lu et aimé) 😉 Il y a définitivement beaucoup plus dans ce livre que le résumé qu’on en fait. Il y a des dizaines d’histoires l’une dans l’autre et des dialogues colorés. Il y a des anecdotes, de nombreux sourires, mais aussi des émotions à foison. Les personnages, auxquels on s’attache rapidement, sont on ne peut plus authentiques. Formé en composition, Benoît Côté est docteur en musique et cela s’entend tout au long de la lecture 🎵 Son roman est une pure mélodie. Dès les premières pages, il faut apprivoiser la façon dont s’expriment les personnages, mais on s’y fait rapidement et on se laisse emporter par le rythme du langage vivant et brillamment imagé. Une lecture que je recommande fortement 👌🏻 Je vais absolument relire cet auteur, qui a d’ailleurs été finaliste aux Prix littéraires du Gouverneur général pour un essai publié en 2017.
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lesmotsdeslivres · 3 years ago
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J’ai l’impression de porter un masque de gestes et de disparaître peu à peu sous les tâches. Quelque chose m’échappe dans ce que nous sommes en train de devenir.
Christian Guay-Poliquin, Les ombres filantes
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gilda14 · 3 years ago
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Nager, bosser, récupérer (deux dossards), écouter (Christian Guay-Poliquin)
It's been quite a day. Je suis heureuse, mais vannée. La période intense des confinements faits que les salariés ont beaucoup de jours de récup. à poser. On les écluse peu à peu (moi, par exemple pour mes soins dentaires). Ce qui fait qu'aujourd'hui nous étions en sous-effectif et le boulot s'en ressent : appels sur appels et ça sonne tout le temps. Au gymnase où nous récupérions les dossards, il fallait sortir son pass sanitaire, à la librairie où avait lieu la rencontre avec Christian Guay-Poliquin aussi. Une de mes amies libraire pense que c'est mieux pour pouvoir avertir les présents si jamais quelqu'un ensuite est malade. Et que ça permet aussi de voir combien viennent aux rencontres, joli usage détourné (je veux dire : c'est pour la bonne cause). Comme souvent quand les tee-shirts offerts pour une course sont sexués, les tee-shirts hommes sont de meilleure qualité et d'apparence plus soignée que ceux pour les femmes. Ça a le don de prodigieusement m'agacer. Je préfère les modèles unisexe, au moins personne n'est lésé. Le ministre de l'intérieur a osé se féliciter de la baisse importante des cambriolages depuis l'an 2020. On lui dit pour les confinements ?
La nuit dernière je me suis carrément endormie les lunettes sur le nez. Et l'ordi où je tentais de regarder une vidéo, un documentaire, glissé sur le côté. Réveillée au milieu de la nuit, toute étonnée.
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miss-mesmerized · 4 years ago
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Christian Guay-Poliquin - Das Gewicht von Schnee
Sie finden ihn schwerverletzt unter seinem Auto liegend, die Beine eingeklemmt. Obwohl die Situation schwierig ist, will man dem Besucher helfen. Die Veterinärin kümmert sich um die Wunden und der alte Matthias, dem etwas abseits des Dorfes eine Hütte zugewiesen wurde, soll sich um seine Pflege kümmern. Schon länger haben sie keinen Strom mehr, der Winter naht und der Schnee steigt täglich höher. Es herrscht Endzeitstimmung, abgeschieden von der Außenwelt, mit langsam zur Neige gehenden Lebensmittelvorräten, sieht sich die kleine Gemeinschaft den Naturgewalten ausgeliefert. Die beiden ungleichen Männer ertragen derweil ihr Schicksal tapfer. Beide wortkarg beäugen sie sich zunächst stumm, bis sie langsam Vertrauen fassen auf den wenigen Quadratmetern, die sie miteinander teilen.
 Christian Guay-Poliquin schildert zwar ein gänzlich anders geartetes Szenario in der kanadischen Provinz, es könnte aber kaum besser in die Welt passen, die man im Jahr 2020 erlebt. Zwar sind die Menschen nicht von der Außenwelt abgeschnitten und haben auch Strom und zahlreiche Kommunikationsmittel, aber das gemeinsam ans Haus gefesselt sein, die Schwierigkeit, einander aushalten zu müssen und nicht zu wissen, wann und ob sich die Situation entspannen wird, teilt die Fiktion mit der Realität. Mit dem steigenden Gewicht des Schnees, der anfangs nur kniehoch liegt, dann aber dramatische und bedrohliche Dimensionen annimmt, steigt auch der Druck auf die Menschen, die einerseits in der Krise voneinander abhängig sind, gleichzeitig aber auch feindseliger und egoistischer werden.
 Dem Autor gelingt es mit einer einerseits sehr klaren und präzisen, andererseits aber auch hochpoetischen Sprache die Emotionen, die selten offenkundig gezeigt werden, einzufangen. Die Gleichförmigkeit der Tage, die Langsamkeit der Zeit, Langeweile durch das Eingesperrt sein und im Falle des Erzählers zudem der Immobilität werden immer wieder deutlich spürbar. Einzig das Feuer im Kamin versprüht bisweilen eine gewisse Wärme, ansonsten herrschen Kälte und unbarmherzige Natur. Aber auch die Menschen offenbaren ihre grausamen Seiten.
 Die Kapitel – zunächst irritierend, da der Roman mit „Neununddreissig“ beginnt, was sich aber rasch erklärt – werden von der Ikarus-Sage eingerahmt, die in sieben Teilen untergliedert ist. Es beginnt im Labyrinth und der Leser ist gewarnt, dass zu viel Übermut das Leben kosten kann.
 Eine sehr dichte Erzählung, deren reduzierte Handlung und Schauplatz beinahe zu erdrücken drohen, der jedoch zugleich wie eine Hommage an die Natur und den kanadischen Winter wirkt.
https://missmesmerized.wordpress.com/2020/10/10/christian-guay-poliquin-das-gewicht-von-schnee/
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jokin-izar · 5 years ago
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BALANCE OTOÑO 2019
Se acaba el año y toca hacer el balance del último trimestre. Parece que ha estado bastante animado.
LIBROS
     “Antisolar”, de Emilio Bueso.
     “Condición artificial”, de Martha Wells.
     “El buen hijo”, de You-Jeong Jeong.
     “El hambre”, de Alma Katsu.      “El peso de la nieve”, de Christian Guay-Poliquin.
     “El tribunal de los pájaros”, de Agenes Ravatn.    
     “Elevación”, de Stephen King .
     “En la hierba alta”, de Stephen King y Joe Hill.      “Fundación”, de Carlos Sisí.
     “Herencias colaterales”, de Llort.
     “La misión Encélado”, de Brandon Q. Morris.
     “Pesadilla”, de Jon Hernández Quintana.     “Rosalera”, de Tade Thompson.      “Sed”, de Neal Shusterman      “Sábado, domingo”, de Ray Loriga.      “Tony Takitani”, de Haruki Murakami.     “Sistemas críticos”, de Martha Wells.     “Seis maneras de morir en Texas”, de Marina Perezagua.                   
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       SERIES
“Batwoman” "Beforeigners" “Carnival Row”
“Castle Rock” T2
“Continuum” T2-T3-T4
“Cristal oscuro” "Doom Patrol" "Estoy vivo" T3 "Harrow" T2
“Into The Dark” "Killjoys" T5    “La forense"
“La Guerra de los Mundos”  T3
“Nos4a2”  "The InBetween" “The Walkin Dead” T10 “V Wars” “War of the Worlds” “Years and Years”
                                           PELÍCULAS
                             “Ad Astra”
                             “Asterix. El secreto de la poción mágica”
                             “Boda sangrienta”
                             “In The Shadow Of The Moon”
                             “En la hierba alta”
                             “Freaks”
                             “Historias de miedo”
                             “I Am Mather”
                             “It 2”
                             “Joker”
                             “Legado en los huesos"                              “Los hambrientos”
                             “Midsommar”
                             “Star Wars. El despertar de la Fuerza"
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                                                                - - - - - MÚSICA - - - - - 
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Octubre 2019
ALTER BRIDGE - "In The Deep"  EP (2019)
AZRAEL - "Azrael"  (2019)
LACUNA COIL - "Black Anima"  (2019)
PASSCODE - "Clarity"  (2019)
STURGILL SIMPSON - "Sound & Fury"  (2019)
ARKEN - "Chronicles Of The Fall" (2019)
HIDEAWAY - "Hideaway"  (2019)
GALEA - "Haziak" (2019)
ALOGON - "Chrysalis"  (2019)
BABY METAL - "Metal Galaxy"  (2019)
NEIL YOUNG & Crazy Horse - "Colorado"  (2019) 
ROB HALFORD - "Celestial"  (2019)
FRIPP & ENO - "The Equatorial Stars" (2019)
PASAJERO - "Puntos de tangencia"  (2018)
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Noviembre 2019
BAD WOLVES - "N.A.T.I.O.N"  (2019)
FOALS - "Everything Not Saved Will Be Lost, Part 2" (2019)
LEPROUS - "Pitfalls"  (2019)
SAINT ASONIA - "Flawed Design"  (2019)
LAURA COX - "Burning Bright"  (2019)
ASTRAL EXPERIENCE - "Inflexión"  (2019)
FIRE FROM THE GODS - "American Sun"  (2019)
ALTER BRIDGE - "Walk The Sky" (2019)
THE RAVEN AGE - "Conspiracy"  (2019)
LINDEMANN - "F & M"  (2019)
EAGER PLATYPUS - "States of Mind"  (2019)
DIE KRUPPS - "Vision 2020 Vision"  (2019)
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Diciembre 2019
THE SILVERBLACK - "Prototype 6:17"  (2019) 
THE HU - "The Gereg"  (2019)
METAL DE FACTO - "Imperium Romanum"  (2019)
LEONARD COHEN - "Thanks for the Dance"  (2019)
HELA - "Vegvisir"  (2019)
KAMCHATKA - "Hoodoo Lightning"  (2019)
TYGERS OF PAN TANG - "Ritual"  (2019)
LEVIATÁN - "Katharsis" (2019)
STARK - "Communion"  (2019)
MASCHINIST - "Schönheit"  (2019)
SOLARYS - "Endless Clockworks"  (2019)
AMERICAN GRIM - "Ultra Black"  (2019)
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