#choc septique
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https://www.ouest-france.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin-50100/une-instruction-ouverte-pour-viol-avec-actes-de-barbarie-a-cherbourg-6cfd4912-3826-11ee-87b2-9bdf3606b1ab
"Alors que médias et institutions font la chasse aux flics, tout en se demandant si le terme "décivilisation" n'est pas trop fort, on apprend qu'un "jeune de 18 ans" s'est introduit chez une jeune femme à Cherbourg, pour la "frapper à de multiples reprises" et la violer "plusieurs fois, notamment avec un manche à balai".
"Perforation du colon, de l'intestin grêle, du péritoine et du diaphragme, pneumothorax, fractures aux côtes et risque élevé de choc septique. Conduite à l’hôpital, la jeune femme a été plongée dans un coma artificiel. Elle est actuellement entre la vie et la mort" (Le Figaro).
Interpellé, Oumar N. est "déjà connu des services de police".
Enfin, l'important c'est de ne pas "récupérer"."
Laurent Obertone
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Seybani SOUGOU, Expert Marchés Publics chez Mairie de Paris, passe en revue l'Assassinat de François MANCABOU, les déclarations grossières et mensongères du Procureur, Amadou DIOUF. Dernier alinéa de L’article 295 du code pénal : « L’ordre d’un supérieur ou d’une autorité publique ne pourra être invoqué pour justifier la torture ». Assassinat de François MANCABOU Autopsie de François Mancabou - la famille crie à la manipulation 0 De nombreux rapports émanant d’organisations de la société civile et du comité contre la torture des Nations Unies accablent la police nationale ainsi que les services pénitentiaires et confirment que la torture (sous toutes ses formes) est une pratique ancrée au sein des forces de sécurité, en violation totale du protocole relatif à la « Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants », signée par l’Etat du Sénégal en 2006. Dans le rapport d’activités de l’Observatoire National des Lieux de Privation qui porte sur les années 2018, 2019, 2020 et 2021, l’ONLP a listé de nombreuses recommandations qui n’ont jamais été suivies d’effet : ♦ Installer un système moderne de vidéo-surveillance dans les salles de garde à vue et d’interphonie ou un bouton d’alerte ;♦ Rendre la pratique des fouilles intégrales conforme aux normes et standards internationaux,♦ Délocaliser la Maison d’arrêt et de Correction (MAC) de Ziguinchor, inadaptée à son environnement actuel et fortement affectée par les remontées de la nappe phréatique ;♦ Réhabiliter, dans les meilleurs délais possibles, la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Kaolack qui menace de s’effondrer et dont l’état des bâtiments ne permet pas d’installer des brasseurs d’air pour atténuer la chaleur dans les chambres,♦ Organiser des opérations périodiques d’assainissement (lavage, désherbage, désinsectisation, curage des fosses septiques et désinfection), etc…. Les déclarations grossières et mensongères du Procureur, Amadou DIOUF Enquête Ouverte Après La Mort De François Mancabou (Procureur)-Justice-Photo La conférence publique du Procureur de la République, Amadou Diouf faisant état d’une vidéo de 13 minutes dans lequel le défunt se cognait la tête pour tenter de justifier l’injustifiable est une insulte à l’intelligence des sénégalais et la mémoire du disparu. En effet, les terribles sévices corporels et les traitements inhumains dont a été victime François MANCABOU ont été commis à un moment précis : à savoir lors de la période de sa garde à vue. Or, le dernier rapport de l’ONLP l’a clairement démontré ; il n’existe ni un système de vidéo-surveillance dans les salles de garde à vue, ni une procédure d’alerte (bouton d’alerte). Le refus de l’Etat du Sénégal de mettre en œuvre un système de vidéosurveillance s’explique aisément : il y a une volonté que les actes de torture se fassent dans l’opacité, le silence et dans une totale impunité. A lire aussi Top (05) cinq choses à savoir sur François Mancabou : Armée, Gadio, patriote… Pour le cas, de François MANCABOU, le seul élément qui puisse prouver qu’il n’a pas été torturé, c’est l’existence d’une vidéo prise au moment de la garde à vue (moment où la police a recours aux pratiques de la torture pour extorquer des aveux). A supposer qu’il y ait une vidéo de 13 minutes dans le « lieu de la détention », celle-ci n’apporte aucune information fiable et crédible quant aux circonstances de la mort de François MANCABOU, car elle vise uniquement à accréditer la thèse du suicide pour dédouaner les forces de police. Des experts le disent clairement : il est impossible qu’une personne puisse cogner continuellement un mur durant 13 minutes d’affilée (en cas de choc violent, au bout de 5 minutes, et même avant, le traumatisme crânien est irrémédiable). François MANCABOU a été torturé de manière cynique jusqu’à ce que mort s’en suive Autopsie de François Mancabou - la famille crie à la manipulation OK Dans sa conférence de
presse, le Procureur de la République, Amadou DIOUF a débité un tissu de mensonges et raconté des balivernes auxquelles aucune personne dotée d’un minimum de rationalité ne peut accorder le moindre crédit. La réalité, c’est que François MANCABOU a été torturé de manière cynique jusqu’à ce que mort s’en suive. L’état dans lequel sa femme l’a trouvé à l’hôpital en dit long sur les sévices et les actes barbares qui ont été commis contre lui. Une autre preuve du mensonge du procureur, Amadou DIOUF réside dans le fait qu’il a affirmé, avec une incroyable audace que François MANCABOU détenait une arme de type WALTER, calibre 22 en toute illégalité (l’autorisation serait caduque depuis 15 ans). A lire aussi Urgent ! L'État menace l'épouse de François Mancabou selon Me Patrick Mancabou, avocat de la famille Or, un document prouve totalement le contraire et démontre que François MANCABOU disposait d’une autorisation de port d’arme en bonne et due forme, enregistrée sous le numéro 0011668, délivrée par le Directeur de la surveillance du territoire, en date du 20 mai 2015. Si l’autorisation a été délivrée en 2015, sa caducité ne peut être de 15 ans puisque nous sommes en 2022 (2015 + 7 = 2022). N’importe quel élève peut faire le calcul et se rendre compte que le Procureur Amadou DIOUF raconte des « salades ». Cet énorme mensonge disqualifie définitivement le Procureur de la République qui n’est plus qualifié pour diriger les services du PARQUET. Un magistrat qui est capable d’inventer des faits et de porter à la connaissance du public des éléments d’information qui s’avèrent faux n’est pas digne d’occuper un tel poste et ne mérite aucun respect. Vague de répression inouïe s’est produite dans le contexte des élections législatives du 31 juillet 2022 Décès de François Mancabou la version de Ousmane Sonko Depuis les manifestations du mois de mars 2021 et la mort tragique de 14 sénégalais suite à une répression féroce, aveugle, et totalement disproportionnée des forces de sécurité, les détentions arbitraires ont considérablement augmenté au Sénégal. Une nouvelle vague de répression inouïe s’est produite dans le contexte des élections législatives du 31 juillet 2022, accompagnée de tortures à l’encontre des opposants ou militants politiques arrêtés souvent pour des motifs totalement fallacieux ou créés de toutes pièces. De nombreux détenus sont soumis à des mauvais traitements inhumains et dégradants, à l’isolement, au manque de soins médicaux adéquats, à l’absence des droits de la défense et à la violation des garanties d’une procédure régulière. Par ailleurs, les actes de torture sont encouragés par le fait que les auteurs de tels actes ignobles ne sont jamais poursuivis et que les aveux obtenus sous la torture sont utilisés à titre de preuves devant les tribunaux. L’assassinat de François MANCABOU est le énième d’une série de crimes d’état commis par les forces de sécurité. Des poursuites judiciaires doivent être engagées à l’encontre des autorités politiques et administratives (ministre de l’intérieur Antoine DIOM, Directeur Général de la police nationale) qui ont permis, autorisé, ordonné ou incité à la commission d’actes de barbarie et de torture ainsi que les policiers qui ont auditionné François MANCABOU lors de sa garde à vue et l’ont torturé à mort. "Ordre d’un supérieur ou d’une autorité publique ne pourra être invoqué pour justifier la torture" Décès de François Mancabou - douleur des Mancagnes L’article 295 du code pénal dispose que « Les personnes visées au premier alinéa coupables de torture ou de tentative seront punis d’un emprisonnement de cinq à dix ans et d’une amende de 100.000 à 500.000 F CFA ». Le dernier alinéa dudit article précise que « L’ordre d’un supérieur ou d’une autorité publique ne pourra être invoqué pour justifier la torture ». En conséquence, nul ne peut se prévaloir d’un quelconque ordre de la hiérarchie, pour torturer un citoyen. C’est un fait
: la police sénégalaise torture, assassine impunément, et agit sous les ordres d’un régime criminel et d’un procureur de la république complice, dont la crédibilité est nulle. La traque des criminels est un impératif pour mettre fin au sentiment d’impunité. Par Seybani SOUGOU Expert Marchés Publics chez Mairie de Paris – E-mail : [email protected]
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Une fille contracte une maladie cutanée rare à cause d’un « serpent invisible qui la l3che »
Une fille contracte une maladie cutanée rare à cause d’un « serpent invisible qui la l3che »
Une jeune fille zimbabwéenne de 17 ans de Rusape a développé une maladie cutanée rare qui, selon sa famille, est causée par un «serpent invisible» qui lui lèche le corps. H-Metro a rapporté que la maladie de Nomsa Mundende, qui était auparavant identifiée comme une poussée septique ou une maladie de la peau, lui a laissé une peau qui ne cesse de se décoller, au grand choc de ses…
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Depuis les années 1960, la communauté médicale est divisée sur la nécessité ou non d’introduire un traitement par corticoïdes dans les états infectieux sévères. Le choc septique reste un problème de santé publique compte tenu de sa gravité.
Crédit image : Chris Hernandez - Bacteria, Blood and White Blood Cells - Acrylic on linen, 120cm x 100cm, 2015.
La rapidité d’introduction d’un traitement antibiotique adapté est le principal facteur pronostique de survie. Cependant, de nombreuses équipes s’intéressent à des traitements adjuvants pouvant avoir un impact en terme de morbidité mais aussi de mortalité.[...]
Lire la suite - MediaMed
Paul Desforges 29 06 2018
Sources
1. Kumar A, et al. Duration of hypotension before initiation of effective antimicrobial therapy is the critical determinant of survival in human septicshock. Crit Care Med. 2006 Jun;34(6):1589-96.
2. Annane D, et al. A 3-level prognostic classification in septicshock based on cortisol levels and cortisol response to corticotropin. JAMA. 2000 Feb 23;283(8):1038-45.
3. Venkatesh B, et al.; for the ADRENAL Trial Investigators and the Australian–New Zealand Intensive Care Society Clinical Trials Group. Adjunctive Glucocorticoid Therapy in Patients with Septic Shock. N Engl J Med. 2018 Mar 1;378(9):797-808. doi: 10.1056/NEJMoa1705835. Epub 2018 Jan 19.
4. Annane D, et al.; for the CRICS-TRIGGERSEP Network. Hydrocortisone plus Fludrocortisone for Adults with Septic Shock. N Engl J Med. 2018 Mar 1;378(9):809-818.
5. Ranieri VM, et al.; for the PROWESS-SHOCK Study Group. Drotrecogin alfa (activated) in adults with septic shock. N Engl J Med. 2012 May 31;366(22):2055-64.
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04.04.22
je lui ai enfin enlevé son pansement. oui, il a pleuré, c’est sur, et pourtant je l’ai fait si doucement... l’eau chaude coulait sur son bras et son dos, et petit à petit la bande gluante a révélé une croûte irrégulière, comme une petite île à la géographie accidentée et douloureuse.
j’avoue que j’étais curieuse de savoir ce qui se cachait sous ce pansement; qu’était-il devenu de la plaie ? cela faisait plus d’une semaine qu’il traînait son pansement au coude, grave et inquiet comme un adulte. je m’étais dit : le pansement va se coller à la plaie; devenir une infection; je m’étais dit: du pus, du pus!
il a eu une fièvre et j’ai pensé: voilà, ça y est. il va mourrir d’un choc septique à cause de la plaie la plus bête du monde.
mais aujourd’hui j’ai enfin enlevé le pansement, et il n’y avait qu’une petite île.
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https://e3o.org/e3o/faut-il-utiliser-la-vitamine-c-contre-le-coronavirus/
Faut-il utiliser la vitamine C contre le coronavirus ?
Chère amie, cher ami, Il y a quelques jours, le Dr Labrèze, m’a transmis une interview vidéo d’une heure qui présente dans, les grandes lignes, les différents usages thérapeutiques de la vitamine C (Annexe 1 – en bas de la lettre). Avec son autorisation et même sa contribution active, je vous restitue, dans la lettre du jour, la partie qui concerne plus particulièrement le coronavirus ou comme les scientifiques l’appellent, le SARS-Cov-2. La maladie qu’il provoque est le Covid-19. Le Dr Labrèze m’a également envoyé le courrier qu’il a adressé à Olivier Véran, Ministre de la santé et médecin lui-même, le 11 mars dernier (Annexe 2). Il rappelle dans ce pli, l’existence des traitements à haute dose de vitamine C, dont on sait depuis plus de 50 ans qu’ils sont très efficaces contre les virus. Le Ministre ne pourra pas dire qu’il ne savait pas. La vitamine C tue les virus D’après le Dr Labrèze, il existe de nombreuses études montrant que la vitamine C, est le meilleur virucide qui soit. In vivo, c’est à dire dans l’organisme, la vitamine C exerce très vraisemblablement une action virucide directe, mais l’on considère que c’est essentiellement par sa puissante action sur le système immunitaire qu’elle agit. Le Docteur Thomas LEVY, l’un des experts mondiaux sur la vitamine C, a écrit un livre très documenté dont le titre est La vitamine C, la panacée originelle. Cet ouvrage de référence a été traduit en français par le naturopathe Michel Dumestre. Une partie du livre est consacrée aux virus. L’auteur montre que la vitamine C peut éviter, mettre en rémission, voire guérir des infections virales suivantes : SIDA / HIV Ebola Encéphalite Hépatite Herpès Pneumonie Poliomyélite Zona Grippe porcine Parmi les grands scientifiques ayant travaillé sur la vitamine C on peut citer notamment : Aux Etats-Unis, le Dr Klenner, le Dr Cathart, Liinus Pauling, prix Nobel de Chimie, les médecins de la clinique Riordan, etc. Pour la France, citons les Dr Crussol et Corson. Ce sont aussi les travaux de toute l’école de médecine orthomoléculaire, dont les chercheurs tentent de trouver des remèdes utilisant la bonne molécule ou association de molécules pour un problème de santé donné. Sepsis et choc septique En 2016, le Pr Paul Marik publie, dans la revue “CHEST”, une étude (1) déterminante sur le sepsis. Cette pathologie est ce que l’on appelait autrefois la septicémie. La définition a évolué et le terme anglais “sepsis” s’est imposé dans le langage médical international. Il s’agit d’une réaction inflammatoire généralisée due à une infection bactérienne ou virale. L’infection apparaît souvent dans les poumons, parfois dans le système urinaire, ou un autre organe (2). Puis, les virus ou les bactéries migrent dans le sang avant de provoquer le dysfonctionnement d’un ou plusieurs organes vitaux (3). La tension artérielle baisse alors dramatiquement, c’est le choc septique (4). L’étude du Pr Marik Aux Etats-Unis le sepsis fait 250 000 morts tous les ans. Et pendant des années, les laboratoires pharmaceutiques ont investi des millions de dollars pour trouver une molécule efficace contre cette pathologie (5). L’étude de Pr Marik portait sur 94 patients. Tous présentaient un sepsis sévère, voire un état de choc septique, ayant nécessité leur prise en charge en service de réanimation. Il s’agissait d’une étude que l’on appelle « avant/après », dans laquelle il a étudié l’évolution de deux groupes de 47 patients, présentant des symptômes similaires. Les deux groupes ont été suivis durant 7 mois. Le premier a reçu le protocole habituel. C’est le traitement que les hôpitaux qui ne connaissent pas les travaux du Pr Marik continuent à utiliser. Le second a reçu le traitement associant vitamine C, B1 et hydrocortisone. Résultat : Dans le groupe 1, 19 patients sont morts, soit un taux de mortalité 40%. Dans le groupe 2, aucun patient n’est mort durant l’essai. En revanche, 4 patients sont décédés un peu plus tard en raison de la maladie qui avait conduit initialement à la dégradation de leur état de santé et les avait prédisposés à présenter une infection. Le taux de mortalité du deuxième groupe est donc soit de 0 si on s’arrête au temps de l’étude, ou moins de 10% si l’on prend en compte les semaines ayant suivi l’étude. Qui est Paul Marik ? Cette étude a eu un retentissement considérable chez les patients et les médecins, aux Etats-Unis et sur un plan international. De nombreuses équipes à travers le monde ont adopté ce protocole. En effet, Paul Marik est une grande figure du monde médical américain. En 2017, il a été distingué par ses pairs comme scientifique de l’année. Lorsqu’il publie son étude, la communauté scientifique sait que les données sont solides. Car Paul Marik, professeur de médecine interne, pneumologue et chef d’un service de réanimation en Virginie, est reconnu comme étant un scientifique intègre et compétent. Seule l’industrie pharmaceutique n’a pas applaudi lorsque son étude a été publiée. Un marché juteux lui échappait soudainement. Le protocole Marik Car dans l’Amérique entière, le protocole Marik est appliqué. Et c’est un traitement assez simple et peu coûteux. Il s’administre par voie veineuse. En 24 heures, on injecte au patient (5) : 1,5 gramme de vitamine C en intraveineuse toutes les 6 heures pendant 4 jours ; 50 mg d’hydrocortisone toutes les 6 heures pendant 7 jours ; 200 mg de thiamine ou vitamine B1 en intraveineuse toutes les 12 heures durant 4 jours. C’est d’une extraordinaire simplicité. Il n’y a guère besoin de machines sophistiquées, ni de traitements ultra-coûteux, ou d’une équipe pléthorique de spécialistes surdiplômés… Il suffit d’avoir de la vitamine C, de la vitamine B1, de l’hydrocortisone, un médecin prescripteur qui suit l’évolution du patient, un infirmier. Partout où il est appliqué, ce protocole sauve des vies. Son faible coût permettra également de l’utiliser dans tous les pays du monde, indépendamment de leur niveau socio-économique. Ce sont donc non seulement des considérations d’ordre médical qui devraient conduire immédiatement à sa large diffusion et utilisation, mais également des considérations d’ordre éthique et humanitaire ! Naturellement vôtre, Augustin de Livois PS 1 : Je vous donnerai davantage de précisions sur comment obtenir ce traitement en France, si vous êtes concerné, dans ma lettre de demain. PS 2 : Ci-dessous la vidéo et le courrier au Ministre de la Santé du Dr Labrèze. Annexe 1 Interview du Dr Labrèze : www.youtube.com/watch?v=L… Annexe 2 The post Faut-il utiliser la vitamine C contre le coronavirus ? appeared first on Institut pour la Protection de la Santé Naturelle. ARTICLE COMPLET SUR : www.ipsn.eu/faut-il-utili…
#Coronavirus, #Orthomoléculaire
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2017 - Shinning
L’opération s’est bien passée, après des mois paniqués, nous la croyions enfin tirée d’affaire. Il y a eu infection, rechute et retour à la case départ sur un brancard. Seuls dans une chambre, en attente d’un diagnostic, nous n’avons pas vu venir le choc septique. Prise dans les tremblements hallucinants, son regard effrayé réclamait de l’aide. Mais dans un couloir désert de cet immense hôpital, j'ai pu constater qu'ici aussi, nous étions entre midi et deux.
2017 - Shinning
The operation went well, after months of panicking, we thought she was finally out of trouble. There was an infection, relapse and a return to square one on a stretcher. Alone in a room, waiting for a diagnosis, we did not see the septic shock coming. Taken in the hallucinating tremors, her frightened gaze called for help. But in a deserted corridor of this huge hospital, I could see that here too, it was lunchtime.
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Henry Worsley est un explorateur polaire. Un de ses proches était Frank Worsley, membre de la dernière expédition polaire de Sir Ernest Shackleton. Dans le cadre des petites expéditions, Henry Worsley atteint le pôle Sud, passant le premier au monde sur les routes des deux expéditions de Royal Amundsen et Robert Scott. En 2015, Worsley, âgé de 55 ans, a décidé par le centenaire de l'expédition de Shackleton de traverser l'Antarctique seul, sans assistance, en s'appuyant uniquement sur ses propres forces: il n'y avait pas de cachettes avec de la nourriture le long du parcours, et il devrait traîner tout ce dont il avait besoin sur un traîneau. Pas de chiens et pas de voile. Personne n'avait fait une telle tentative avant lui. L'un des objectifs du voyage était d'attirer des dons importants au fonds pour aider les soldats blessés. La route Worsley a commencé sur l'île Berkner, sur la côte atlantique de l'Antarctique, au sud du Chili. De là, il a dû parcourir 1 000 kilomètres jusqu'au pôle Sud. Puis, allant dans la direction opposée, il a dû grimper le Titan Dome et descendre sur le plateau glacé de Ross depuis l'océan Pacifique. La longueur de cette route était de 600 kilomètres, et l'expédition entière devait prendre près de 80 jours. Le traîneau, qui au début du voyage pesait près de 150 kilogrammes, était attaché aux élingues de sa ceinture, et pour faciliter leur glissement sur la glace, il a fait du ski de fond en s'aidant de bâtons. Le chemin a commencé à partir du niveau de la mer, mais a progressivement augmenté. L'air s'amincissait et le nez de Worsley saignait, laissant des taches rouges le long de la piste. L'attention du monde entier était rivée aux voyages. Chaque jour, après plusieurs heures et s'installant pour des vacances dans une tente, Worsley par satellite a transmis un message au continent sur la façon dont le lendemain de l'expédition s'est déroulé. Une semaine après le début du voyage, Worsley est tombé dans un blizzard. Il a dû traverser une tempête de verglas, et la seule chose qu'il a vue était sa boussole et son nez de ski. Il était fatigué plus rapidement que lors des expéditions précédentes. Ce n'était pas seulement un traîneau - Worsley devait constamment ouvrir la voie et installer seul le camp. En deux mois, il a parcouru plus de 500 kilomètres et a estimé qu'il était sur le point de s'effondrer. Les mains et les pieds me faisaient mal. J'ai mal au dos. Des cors se sont formés sur les jambes et les ongles se sont décolorés. Les doigts du froid ont commencé à perdre en sensibilité. Dans son journal, il a écrit: "Je m'inquiète pour les doigts - le bout de l'auriculaire a pris fin, et les autres sont terriblement malades." En mordant la barre de protéines gelée, Worsley s'est cassé la dent de devant, et dès qu'il a ouvert la bouche, le vent a commencé à hurler dans l'espace. Ses jambes étaient couvertes de callosités et d'ecchymoses, et il a dû aligner la doublure de ses bottes avec un couteau afin de soulager la douleur d'une manière ou d'une autre. Soudain, une mystérieuse douleur à l'estomac est apparue, qui s'est intensifiée lorsque la fronde du traîneau a appuyé sur l'estomac. Le 2 janvier, juste un jour de retard, Worsley a atteint le pôle Sud. Il a été rencontré par un groupe de fans d'une station de recherche. Ce sont les premières personnes qu'il a rencontrées en 51 jours. Cependant, le voyage était encore loin - seule la première étape était derrière. Worsley marchait seul et ne pouvait donc pas profiter de l'hospitalité des scientifiques. Il a passé la nuit dans une tente. Worsley a supposé qu'il achèverait le voyage dans trois semaines et que le pire était déjà derrière. Cependant, en remontant vers le Dôme du Titan, il a noté que "ce n'est pas long à mourir". Il a perdu près de 20 kilos de poids, ses vêtements qui n'avaient pas été lavés depuis longtemps lui pendaient comme sur un cintre. "Je me sens très faible, mes jambes sont bouchées et mes mains sont comme du coton", écrit-il. Des cercles sont apparus sous les yeux. Les doigts étaient complètement engourdis. Le 7 janvier, il s'est réveillé d'une vive douleur à l'estomac. Le 19 janvier, après avoir traversé une autre tempête, Worsley était trop fatigué pour diffuser un autre message, mais a néanmoins écrit d'une main gelée quelques lignes illisibles dans son journal: "Je suis sur le point de ... perdre connaissance ... l'estomac ... a pris des analgésiques." Plusieurs fois, son estomac l'a forcé à courir et à s'accroupir pendant une longue période dans un froid glacial. Le 22 janvier, après 71 jours de voyage sur 1 500 kilomètres, Worsley, presque mourant, a appuyé sur le bouton du téléphone satellite et a appelé "le taxi le plus cher qu'il ait jamais conduit". "Bonjour à tous", résonna-t-il dans l'air. - Vous savez, quand mon héros d'enfance Ernest Shackleton n'a pas atteint le pôle Sud, il a dit qu'il avait fait tout ce qu'il pouvait. J'ai le regret de vous informer que je devrai suivre l'exemple de Shackleton. Le voyage a pris fin. C'était Henry Worsley. La fin de la communication. ” Il n'a pas atteint la fin de la route à seulement 30 km. L'avion est arrivé après lui en fin de journée. Worsley se leva de toute sa hauteur et atteignit la passerelle, même s'il avait besoin d'aide pour entrer dans le salon. À l'hôpital, les médecins ont déclaré que Henry avait une péritonite bactérienne - probablement causée par un ulcère perforé - et si l'infection pénétrait dans le sang, cela provoquerait un choc septique. Au début, Worsley avait une insuffisance hépatique, puis un rein. La nouvelle de sa mort a été un choc pour tout le monde, mais le montant des dons au fonds pour aider les soldats blessés a commencé à augmenter rapidement, atteignant 315 000 livres, soit le triple de la tâche initiale. Les funérailles ont eu lieu le 11 février 2016 à la cathédrale Saint-Paul de Knightsbridge. Des centaines de personnes sont venues voir Henry Worsley lors de leur dernier voyage. Ils ont décidé d'abandonner les fleurs noires dans les vêtements et étaient vêtus de cravates et de foulards brillants pour honorer la vie aventureuse de Worsley.
Worsley a été enterrées à côté de la tombe de Shackleton à South Geor
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L'avarice du Dragon
Fried avançait silencieusement sur le chemin, ses yeux s'attardant sur les arbres l'entourant sans pour autant les voir. Son esprit n'était pas à ça. Il était restait à la dispute de se matin, dans la maison qu'ils occupaient tous ensemble.
Il s'était disputait avec Luxus , une grosse dispute. Cela arrivait bien sur de temps en temps d'avoir un désaccord, mais ce matin cela avait été plus fort, plus violent. Fried repoussa ses pensées une nouvelle fois, ne souhaitant pas se rappelais des objets volants dans la pièce et des cries. Il s'était emporté, tout comme Luxus. Plusieurs verres avait étaient brisé et il était sur d'avoir cassé leur canapé comme le blond avait réussi à briser la fenêtre.
A la fin il était simplement partie en se téléportant, refusant de continuait de briser leur maison tandis que Luxus partait s'enfermé dans sa chambre en claquant la porte. Cela avait été pour le mieux. Il était arrivé la guilde quelque seconde plus tard, avec la chance de n'avoir presque personne.
Cela lui avait suffit, peu de monde pour savoir se qu'il faisait là. Le jeune homme n'avais pas hésitait et été partie voir Mirajane qui s'occupait justement des missions. Il avait besoin de partir, de remettre ses idées en forme. Les mots l'avaient blessé plus qu'il ne l'aurait souhaité. Si c'était se qu'on pensait de lui, il ferais sans doute mieux de maintenant travaillait seul et ne plus gêner ses amis.
" Bonjours Mira, j'aurai besoin d'une mission solo s'il te plaît." Simple et directe.
L'ainé des Strauss releva les yeux surprit avant de sourire comme à son habitude. " Bonjours, les autres ne sont pas là ? D'habitude tu demande toujours des missions de groupe."
Décidément elle connaît bien trop les habitudes des membres de la guilde. Freed n'avais pas l'esprit à ça néanmoins pour le moment. Il avait juste envie de partir quelque pars quelque jours pour juste être seul et réfléchir, pas félicité la barman pour ses bonnes attentions.
"Non, j'ai besoin de partir seul quelque temps. Tu n'aurais pas quelque chose pour moi ? "
Mirajane fut surprise, mais chercha tout de même parmi les nouvelles missions reçus se matin même.
" Je n'ai pas l'habitude de te voir partir seul, tu veux quelque chose en particulier Fried ?"
" Juste quelque chose de pas trop loin pour que je puisse y être dans la journée et qui m'occupe un peu."
La mage acquiesça et fouilla parmi la pile alors que de nouvelles personnes rentraient. Bientôt la guilde serais bondé, et pleine de vie comme à son habitude. Le regard de Fried se déposait sur les nombreuses missions, avant de remarquer une plus petite pile de missions sur le coté. Le jeune homme les prit, les feuilletant rapidement avant de s'arrêtait sur une qui semblais idéale. Elle demandait un mage capable de détruire un vieux sort de protection et d'en installer de nouvelle sur une propriété nouvelle acquis à quelque heur d'ici. Elle avait une paye convenable et demandais un savoir important que Fried savait avoir. Elle pourrait tout autant convenir à Levy et Fried voulu s'assurer qu'elle était bien disponible.
" Celle-ci est elle réserver Mira ?"
" Oh, non mais elle me paraissait peu suspecte. Je ne pense pas que cela soit une bonne idée de la prendre, surtout si tu es seul."
" Non, c'est bon. Je sais me défendre et elle n'est pas très loin en plus en cas de problème."
Mirajan paraissait septique, argumentant qu'il pouvait attendre quelques heurs le temps qu'elle vérifie que l'annonce soit vrais mais le jeune homme resta obstiné. Levy qui venais d'arriver avec Juvia se proposa même de l'accompagner pour rassurer la barman et veillé sur le mage mais Fried refusa toutes demandes. Il partait pour être seul et même si la compagnie de la petite mage était souvent agréable, le sujet de la dispute le revenait doucement.
"Je vous remercie mais ce n'est pas la peine. Je reviendrais dans quelques jours si tu se passe bien et j'ai vraiment envie de faire un travail en solitaire" Sourit 'il, laissant les deux femmes douteuses.
Maintenant Fried se trouvait un peu idiot d'être partit aussi rapidement et pour une mission qui se pouvais très bien être juste une perte de temps voir un piège. Néanmois marchait dans cette foret avait au moins des vertus apaisante. L'après midi était déjà présent et le jeune homme s'imagina quelque seconde si les autres avaient remarqué son absence. Non, ils devaient profité de ne pas avoir leur capitaine sur leurs dos pour une fois.
Les remuts de la disputes revenant lentement et Fried s'obligea à ne plus y songé. Il jetait un nouveau regard au chemin, laissait la pensé de son travail le détendre. Il reviendrait à Fairy Tail détendu après quelque jour à étudier un vieux sort de protection et en installer un nouveau. Il l'avait déjà fait pour leur maison, personne hors de la guilde ne peux rentrer chez eux et ceux même si il vienait à mourir. Il n'avait qu'à faire un autre modèle de se types, quoique un peu différent pour ne pas mettre en péril sa maison ou celle de ses clients. Cela ne lui prendrait qu'une journée ou deux. Le plus dur allait sans doute être de détruire l'ancien sort.
Fière de sa résolution, le jeune homme aux long cheveux continuait sa marche paisible jusqu'au croisement qui indiquer la direction de la maison de ses clients. Son regard s'attardait sur les vieux panneaux en bois abimer par le temps et presque entièrement couvert de mousse lorsqu'un qu'un bruit suspect résonna derrière lui.
Fried se retourna rapidement mais il ne vit rien d'autre que les arbres et le chemin de terre. Fried secouait la tête, pensant avoir réver quand le bruit de pas se fit plus fort et juste derrière lui. Le mage runique entendit le coup de feu alors qu'il sautait sur le coté, l'épée sortie et des sorts sur le bout de doigt. Une douleur le fit plisser les yeux, son œil visible s'attardant une seconde sur l'épaule saignante qui laissait une tache sombre sur son manteau.
Quand Fried relevaient les yeux, personne n'était là. Le bois était de nouveau silencieux et si il n'avait pas cette blessure il aurait put jurer avoir entendu ses bruits de pas. Les sens en alerte et prenant soin de placé son dos contre un arbre Fried sentie que trop tard le canon d'une arme dans son dos. Le coup fut douloureux, mais soigneusement placé pour ne toucher aucun organe important.
Deux mains le jetaient sur le sol, renvoyant un choc douloureux dans les deux plais de Fried qui remarqua que trop tard l'absence de son épée. Brisé et jeté plus loin sur le chemin, Le mage runique remarqua que son agresseur ne prit pas la peine d'attacher ses mains. Il avait juste brisé son épée, menace directement et ne cherchait pas à l'empêchait d'utilisé sa magie. Il pouvais sentir le sang se répandre sur son manteau et sa chemise autrefois blanche , mais cela ne l'empêchait pas de bouger malgré la douleur.
Serrant les dents, Fried profitait de voir l'homme lui tournée le dos pour se relevais malgré la douleur provoquer entre ses cotes par le mouvement soudain. Son ennemie avais fait l'erreur de le laissait libre d'agir, et Fried n'allait pas attendre pour l'attaquer.
Le sort s'incrusta sur le dos du long manteau en cuire usé, et l'homme vola loin de Fried dans un surprise évidente. Le jeune homme ne put pas envisager une nouvelle action qu'une forte main ne le saisie. Une poignée de fer se renfermait sur ses mains, un craquement douloureux résonnant avec le cri de douleur de Fried quand son nouvel agresseur fit plier ses bras dans un angle peu naturel lui laissant ses poignées brisé.
Fried vit la personne qui le tenais sortir de l'arbre contre le quel il s'était réfugier, sa magie étant visiblement la raison pour laquelle il n'avait pas remarquait plus tôt la présence de la femme à la musculature impressionnante. Forcé d'être mis à genoux sur le sol, Fried sentit un coup de pied sur sa plais qui le fit chuter sur le sol mais le laissa loin des mains adverse. Repliant ses bras aux poignées brisées contre son torse dans une tentative d'apaisé la douleur et le protéger, Fried reprenait son souffle difficilement en s'attendant à un nouveau coup qui n'arriva pas.
" C'est suffisant Danaé. Il doit être vivant pour la suite." La voix était calme quoique marquer par le choc de l'attaque surprise de Fried.
" Bien. Laissez-moi juste le rendre plus facile à transporté."
Sa tête fut saisie sans grande délicatesse, la grande main ne laissant aucune chance d'échappatoire qu'en un tissu imbibé d'une forte odeur fut placé sur son nez et sa bouche. Fried se débâtit maladroitement, épuisé et son corps lui renvoyant en permanence des vagues de douleurs avant d'être juste laissait sur le sol peinant à garder les yeux ouverts.
Luxus ...
Cette journée avais si mal commençait pensa t'il. Il avait était idiot et maintenant il était en train de perdre connaissance sur chemin de terre, la douleur de son corps s'endormant alors qu'il perdait lentement connaissance.
Ses yeux se refermaient définitivement, le peu de force qui lui restait partant sous l'effet de la drogue alors qu'il laisser une dernière pensée a ses compagnons. Finalement il se pourrait bien que cette dispute soit son dernier moment avec eux. Il aurait juste voulut un peu plus de temps pour les revoir , s'excusé d'avoir était un si mauvais capitaine.
C'est grognant que Luxus sortie, Evergreen ayant fini par le convaincre de sortir pour aller à la guilde. Le blond refusait toujours d'expliquer aux autres le sujet de la dispute avec Fried , alors Bixrow et Ever attendais des réponses de leur capitaine.
Il devait s'être réfugié à la guilde, parlant sans doute à Mirajane ou d'autre membre en attendant ses amis avec une mission prête pour eux comme toujours. Le blond pardonné et déjà de quoi remplacé les objets cassés.
Cela les surprit de ne pas trouver la tête verte assis quelque part, attendant souriant qu'ils partent ensemble en mission.
" Fried est déjà partie si c'est lui que vous cherchiez." La douce voix de la barman les surprit, mais Mirajane les saluait juste poliment en nettoyant plusieurs verres.
" Comment ça partie ?" Questionna Ever , prenant place au bar pour pourvoir mieux discuter avec Mirajane.
" Il est venue tôt se matin, se téléportant directement dans la guilde et m'a demandé une mission solo. Il avait l'air troublé mais il a insisté pour prendre une mission et il est repartie aussitôt il y a maintenant bien cinq heurs."
Evergreen jetait un regard noir à Luxus qui grogna, détournant la tête en se sentant maintenant un peu coupable. Maintenant il allait être aussi en froid avec la seule femme de leurs groupe pensa t'il. Bien qu'elle est une bonne raison de lui en vouloir mais tout va se résoudre comme toujours non ? Fried ne laissait jamais le temps au blond qu'il s'excuse qu'il était pardonné.
"Et il a pris quel genre de mission ? On peux surement le rejoindre !" S'exclama Bixrow optimiste mais Mirajane secoua là tête. "Il a demandé à être seul et à refuser Levy qui voulais bien partir avec lui. Il ne voulais pas être accompagné." Elle soupira avant de reprendre. "Je ne sais pas comment il a put être mit dans un telle état. Mais normalement il devra être de retours d'ici la fin de semaine." Fini la mage, tentant de terminait sur une note plus joyeuse.
Luxus grogna avant de se dirigeait vers la porte. Pas la peine de resté si Fried ne serais pas de retours plusieurs jours.
" Luxus ? "
" Il en aura vite fini de cette mission. On l'attend juste avant de prendre une mission ensemble." Sans plus de mot le blond partie, laissant les trois mages s'échangeait un regard.
" Ils se sont disputaient n'est pas ?" Demanda Mira , finissant de laver la pile de verre sale de se midi.
Ever se contenta de soupirer, fatiguer du comporte contradictoire du chasseur du dragon qui n'arrivait pas à communiqué même avec son équipe depuis quelque jours.
" Tu ne sais pas ou je pourrais trouver Elfman plutôt que de remarquait l'évidence? " Fini par demandais la jeune femme à lunette en ignorant le petit sourire qui se formait sur les lèvres de l'ainée.
Les yeux de Fried s'ouvrait lentement, le sommeille disparaissant pour laisser place à la confusion. Son corps se réveillait lentement avec lui dans l'obscurité flou que ses yeux lui apporté. La première chose qu'il remarqua était ses bras attaché au-dessus de sa tête, de lourd bracelet qui compressait ses poignées et tirait sur tout son corps. Une chaine semblais avoir était accrocher sur chaque menottes et descendait du plafond. A part ses bras rien ne semblais l'empêchait de bouger.
Son épaule et ses cotes était douloureuse, mais il avait était soigné. Ses poignées bougeaient sans douleurs mais rien ne se passait quand il traça une rune. Il devait portait des menottes anti-magies pensa t'il.
Quelque chose se tenait sur sa gorge, un lourd collier que Fried reconnu être comme ses menottes anti-magie. Il n'avait pas fait la même erreur que lors de son embuscade. Le jeune homme devais d'abord trouver le moyen de retirait les lourd fers qui le tenais avant de tentait une fuite.
Sa vision s'adapter au peu de luminosité, le flou disparaissant maintenant qu'il était bien réveillé. Le sol était froid contre ses pied nues, comme le reste de se qui ressemblais à une prison. Le mur humide sur le quel il était attachait, les chaines au mur et les pierres recouverts de mousses. Il devait être sous terre en vue de l'humidité ambiante et le manque de fenêtre.
Fried frissonna quand une porte à sa droite d'ouvrit, laissant la lumière du couloir se rependre dans sa cellule. L'air frais le fit réaliser qu'il n'avait plus de manteau, juste sa chemise sale de son sang et son pantalon. Deux hommes entraient, refermant la lourde porte de fer et de bois derrière eux. Une chaude lumière continuait de se reprendre de la torche que portait l'homme en retrais , réchauffant un peu les pierres froides et les muscles engourdies du mage de fairy tail.
" Je ne pensais pas que se serais un mage de Fairy tail qui viendrait." Dit soudainement l'homme en avant que Fried reconnu être son agresseur. Il était grand, dans la moyenne et portait des habits usés mais pratique. Un long manteau de cuire qui descendais jusqu'à ses cuisses, recouvrant une partie d'une chemise lâche bleu nuit et un pantalon noir.
Deux yeux rouges rouilles l'observais, un sourire se formant sur les trais de l'homme aux cheveux argentés cours lissé à la vas vite. Fried se contenta de lui renvoyait un regard noir.
" Aucun mage capable de maitriser des runes ne travails seul dans cette guilde mais j'imagine que nous avons eu de la chance." Conclut l'homme.
" Que voulez vous ?!"
Le sourire de l'homme se fit un peu plus grand. " Nous n'avons pas le temps à ça c'est vrais. Maintenant que nous avons notre mage il ne manque plus que de vous convaincre."
" Je ne ferais rien pour vous." Déclara simplement le mage runique. Il n'allait certainement pas travailler pour une guilde noire. Il devait juste attendre de trouver un moyen pour s'échapper.
" Nous avons besoin de quelqu'un pour tracé quelque runes pour nous. Voyez vous nous avons mis la main sur un livre fort intéressant pour convoquer notre propre démon." La voix de l'homme était plus calme et douce de se à quoi il était habituer quand il combattait des guildes noirs. Si Fried l'avait croisé dans une autre occasion, il ne l'aurait pas suspecté d'être dans une guilde illégale.
" Tracez simplement le cercle d'invocation pour nous, ou nous trouverons le moyen de vous faire céder."
La menace était à peine cachée, et Fried douté que leurs moyens de dissuasion soit une simple discutions.
Pourtant Fried garda le silence, ignorant les deux hommes qui s'échanger un regard entendu.
" Je n'attendais pas moins. Va me chercher Danaé , et dit lui d'importer quelques jeux avec elle."
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L'avarice du Dragon AO3
L'avarice du Dragon Wattapad
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Réservoirs d’égout Vetus avec filtre anti-odeurs http://bit.ly/2OU4Y0a
Cet outil, mentionné ci-dessous, est un réservoir d’eaux usées à filtre d’odeur Vetus que trouverez-vous dans SYSTÈMES D’ÉCHAPPEMENT MARINE, également appelé filtre à eaux usées.
Ce produit a pour fonction d’être installé directement dans le tuyau de ventilation du réservoir, situé dans le position la plus haute. La boîte à filtre a une odeur très particulière, une odeur différente et spéciale à la fois, fabriquée avec le même matériau absorbant.
Filtre Odour Vetus Sewage Tanks, ce produit n’a pas une longue durée de vie et doit donc être entretenu une fois par an pour éviter tout problème inutile, comme une maladie, grave. Il est hautement équipé d’un tube connecteur de 16 mm de long. Dimensions.107 x 111x 111mm. Cet outil est très essentiel dans tout type de sorties nautiques.
Comme vous pouvez le mentionner, les réservoirs d’eaux usées à filtre d’odeur Vetus ont l’incroyable capacité de maintenir l’eau en excellent état. Cet outil est déjà disponible dans les magasins nautiques, ce qui est recommandé pour ses qualités et sa grande fonctionnalité dans tout voyage en mer. C’est un produit résistant aux chocs, résistant aux températures élevées et particulièrement à l’humidité intense.
Ce produit est fabriqué spécifiquement en Europe, contient la meilleure qualité de matériel que l’on puisse voir et est également disponible au meilleur prix. Les réservoirs d’eaux usées avec filtre anti-odeur de Vetus sont un produit qui a été conçu, conçu pour les sorties nautiques. type de bateaux, principalement pour bateaux et voiliers de toutes sortes.
Ce produit, le réservoir anti-odeur Vetus avec filtre anti-odeur, maintient l’eau en bon état, construit du meilleur matériau, ne dure pas longtemps
Il convient de noter que l’acquisition de cet outil, les fosses septiques à filtre odeur ou aussi filtre à eaux usées, constituerait un bon investissement, car l’eau sera maintenue plus propre et en parfait état tout au long du voyage, c’est pour cela. raison pour laquelle c’est le bon produit pour n’importe quel voyage nautique, voyage en bateau et surtout les voiliers.
Enfin, le filtre anti-odeur Vetus Depósitos Aguas Negras, également appelé filtre à eaux usées, est totalement recommandé par les experts du thème nautique comme le plus novateur du marché.
Et si vous souhaitez créer une entreprise d’accastillage en ligne, vous devez vous rendre au programme Dropshipping proposé par Nova Argonautica.
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Choc septique : quand dialyser ?
L’insuffisance rénale aiguë est l’une des complications les plus fréquentes mais aussi les plus graves des patients hospitalisés dans un service de réanimation pour prise en charge d’un choc septique.
Crédit image : Piron Guillaume
[...] Dans le cadre de cet essai français multicentrique, contrôlé, avec répartition au hasard, 488 patients ont été distribués dans deux groupes. Une stratégie précoce : instauration d’une épuration extra-rénale (EER) dans les douze heures après la mise en évidence d’une dégradation de la fonction rénale, a été mise en œuvre dans le premier groupe (n = 246). La stratégie utilisée dans le second groupe (n = 242) a été plus tardive : instauration de l'EER après quarante-huit heures d’altération de la fonction rénale [...] Le critère de jugement principal a été la mortalité au 90e jour [...]
Lire l’article - MediaMed
Paul Desforges 24 03 2019
Barbar SD, et al.; IDEAL-ICU Trial Investigators and the CRICS TRIGGERSEP Network. Timing of Renal-Replacement Therapy in Patients with Acute Kidney Injury and Sepsis. N Engl J Med. 2018 Oct 11;379(15):1431-1442. doi: 10.1056/NEJMoa1803213.
Voir aussi : Répétition du qSOFA : une arme contre le sepsis ? Corticoïdes et choc septique : le débat continue (ADRENAL, APPROCHSS)
#anesthésie#réanimation#infectiologie#choc septique#épuration extra-rénale#insuffisance rénale aiguë
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Démission du ministre de la Santé tunisien après le décès de 11 bébés
Les nourrissons sont morts dans une grande maternité de Tunis entre le 7 et le 8 mars, "probablement" à cause d’un "choc septique", selon le... source https://www.allodocteurs.fr/grossesse-enfant/enfant/nourrisson/demission-du-ministre-de-la-sante-tunisien-apres-le-deces-de-11-bebes_26651.html
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Inotrem annonce l’extension aux maladies cardiovasculaires de son accord d’exclusivité commerciale au niveau mondial pour le biomarqueur soluble TREM-1 PARIS--(BUSINESS WIRE)--Inotrem S.A., une société de biotechnologie spécialisée dans le contrôle de la réponse immunitaire lors de maladies inflammatoires aigües, telles que le choc septique, annonce aujourd’hui la signature d’un accord de licence avec quatre organismes de recherche majeurs, selon les termes duquel Inotrem obtient les droits mondiaux exclusifs pour le biomarqueur soluble TREM-1 (sTREM-1) pour les maladies cardiovasculaires, et en particulier pour l’infarctus du myocarde.
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Aujourd’hui, j’ai renoncé
Aujourd’hui, j’ai renoncé. Pour la première depuis que j’ai commencé dans ce milieu, j’ai renoncé. J’ai baissé les bras. Et ça, ça ne me ressemble pas. C’est pas mon style de baisser les bras. C’est pour ça que la mentalité militaire me plaît autant. On nous pousse toujours à faire plus. A faire mieux. Et j’aime ça. J’aime ces défis. J’ai eu l’opportunité d’être affecté en Réanimation. Le service qui nécessite de s’adapter rapidement, de maîtriser beaucoup de choses, d’être au point sur tous les organes et les spécialités cliniques.
Être infirmier en Réanimation, ça signifie avoir un nombre de patients limités. C'est la loi qui veut ça. Le quota est fixé à 5 patients pour 2 infirmiers (vous noterez que cela représente 2,5 patient par tête d'infirmier et que ça, c'est un peu compliqué). Évidemment quand on compare aux services de soins, ça paraît peu. Et parfois, c'est vrai. Je n'ai pas entre 10 et 25, voir 30 malades comme cela m'est arrivé du temps de certaines missions d'intérim (foireuses). C'est pour cela que je voue un respect immense à mes collègues des autres services, et aux différentes structures parce que d'une part, repasser en service piquerait beaucoup. Mais genre vraiment beaucoup. Et d'autre part, je sais pas si j'en aurais envie... C'est aussi une raison pour laquelle j'ai parfois du mal avec la mentalité de certains de mes collègues infirmiers qui, se prenant pour un mix entre le Dr Ross, le Dr House, Nurse Jackie et Dr Mamour semblent prendre un malin plaisir à leur casser du sucre sur le dos... Peut-être qu'en allant y faire un tour, vous vous rappelleriez de ce que c'est que d'être seul en service...
Quand on y réfléchit, on se dit qu'en Réa, ils doivent quand même bien se toucher la pantoufle avec aussi peu de patients… Mais le peu de patients que l'on peut avoir nécessitent parfois une telle débauche d'énergie et de mains affairées à réaliser tout plein de choses en même temps et surtout dans un laps de temps très très très réduit que des fois, c'est très chaud et que l'on est bien content d'avoir des collègues qui tiennent la route. Des fois, ça va bien, et des fois, ça merde. C’est ce qui est bon. Bon pour nous. Ce qui nous motive. C’est pas que la détresse respi’ ne m’intéresse pas, c’est juste que je prend plus mon pied sur un bon gros choc septique bien instable ou sur des AVP, ou même mieux chocs hémorragiques consécutifs à des traumas balistiques.
Tout ça pour dire quoi ?
On a un patient très très obèse, qui se chronicise chez nous. Il est en Réa depuis plus de 8 mois. Ne faites pas le calcul de ce que ses séjours ont coûté à la Sécurité sociale, c'est un coup à vouloir débuter une révolution.
Et là, ce WE, j'ai craqué, et j'ai baissé les bras. Depuis que je fais ce métier, c'est la première fois que ça m'arrive. Avec ce patient, j'ai tout essayé. Être sympa. Pas sympa. Le gérer comme un biffin. Rien n'y fait... Et comme le chantait Brassens (j'ai pas trouvé plus récent et mon père est fan) :
Le temps ne fait rien à l'affaire Quand on est con, on est con
Je l'ai sur mon secteur depuis un mois. En tout, je crois que je dois en être à plus de 3 mois de prise en charge effective et après le reste, c'est de l'aide. Donc on le voit quotidiennement.
C'est un enfant. Ou pas. Mais avec la mentalité d'un enfant. Il ne veut pas aller au fauteuil, alors il boude. Il se laisse glisser malgré les contentions. Ne signale pas quand il veut aller à la selle. Simule des malaises.
Il a envoyé 5 de mes collègues en arrêt maladie.
Je me suis blessé deux fois au dos à cause de lui. Et là, j'ai saturé. La fatigue et l'inversion de mon rythme de sommeil aidant. Mais j'en ai eu marre. J'en ai marre de me battre pour un patient qui n'en a pas envie et qui est là pour profiter du système. Marre de ce patient dans sa zone de confort et qui ne veut pas en sortir. Marre de son irrespect. Marre de son poids.
Bref, un ras le bol complet. Je l'ai signalé au médecin. Dimanche, je ne l'ai pas levé. Hors de question que je me refasse mal. Il s'est volontairement laissé glisser au sol deux jours consécutifs. Et lever la masse qu'il représente du sol sur son fauteuil, même avec un lève-malade adapté, c'est du sport.
Donc pour la première fois, je me suis montré sec. Incisif et j'ai baissé les bras.
Heureusement, à côté de lui, j'avais deux patients plus âgés qui m'ont redonné le sourire (un peu) et surtout des collègues avec lesquelles nous avons pu épancher notre fatigue (beaucoup).
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Chimiothérapie par docétaxel : enquête après 7 décès brutaux
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Aux mois d’août et septembre 2016, puis février 2017, cinq patientes traitées pour un cancer du sein sont décédées d’une entérocolite sur terrain neutropénique sous traitement par docétaxel, le générique du taxotère, d’après l’ANSM. Selon les informations de nos confrères du Figaro, il y aurait à ce jour au moins sept morts imputables à la prise de ce médicament en France. Ces issues fatales dues à un effet indésirable de la chimiothérapie sont actuellement en cours d’investigation. Les résultats de l’enquête menée par l’ANSM seront disponibles le 28 mars prochain. En attendant, les oncologues ont reçu un courrier d’information de l’agence du médicament.
« En août 2016, trois cas d’issue fatale d’entérocolite sur terrain neutropénique sous traitement par docétaxel dans le cadre du traitement du cancer du sein ont été rapportés », détaille l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans un courrier adressé aux oncologues daté du 15 février 2017. « Deux autres cas fatals ont été signalés par la suite, en novembre 2016 et en février 2017. » D’après les informations du Figaro, deux cas supplémentaires seraient à déplorer.
« Tous ces cas concernaient des femmes, âgées de 46 à 73 ans, traitées par docétaxel, en monothérapie ou en association, en situation adjuvante ou néo-adjuvante de cancer du sein », précise l’agence. L’effet indésirable connu sous traitement chimiothérapeutique a provoqué le décès brutal par choc septique de toutes ces patientes.
Effet indésirable le plus fréquent
L’ANSM a ouvert une enquête de pharmacovigilance le 13 septembre 2016, concernant l’ensemble des spécialités à base de docétaxel. La présentation des résultats de l’enquête est programmée le 28 mars 2017. Mais pourquoi l’Agence a-t-elle attendu 6 mois avant d’informer les oncologues. Le Pr Jean-François Morère, chef du département de cancérologie-hématologie des Hôpitaux universitaires Paris Sud indique que « la question a été discutée ce (...) Lire la suite de l'article sur DestinationSante.com
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🔴CORONAVIRUS & EUTHANASIE
Des statistiques trompeusement orchestrées
Pour des raisons évidentes, le nom du médecin en question n'apparaît pas.
Témoignage d’un Médecin mobilisé dans les soins de patients Covid19 :
"Nos politiques sont donc en train d’orchestrer des décès à la pelle dans les hôpitaux, et utilisent ces morts pour créer une psychose générale dans un but que je n’arrive pas encore à visualiser"
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😲😨😤
« En tant que médecin réquisitionné pour aider à faire passer cette crise épidémique, j’aimerais partager avec vous ce qui se passe dans les hôpitaux qui répondent tous aux ordres de la république.
Premièrement, il faut savoir que la totalité des hôpitaux publics et privés du territoire sont vides. Dans cette grande guerre menée contre le coronavirus, toutes les autres pathologies sont reléguées au second, voire troisième plan. Ce que ceci veut dire, c’est que toutes les hospitalisations programmées et les chirurgies programmées de personnes qui ont réellement besoin de soins sont annulées. Les gens ayant pour consigne de rester chez eux pour ne pas attraper un rhume, finissent par mourir chez eux d’une insuffisance cardiaque, par exemple, pour laquelle ils n’auront pas eu la prise en charge nécessaire dans un délai donné. Car il faut savoir que cette panique généralisée ayant poussé au confinement, dans le but d’enrayer la propagation d’un virus « qui est déjà là » fait que la totalité des médecins libéraux, aussi bien généralistes que spécialistes, ferment leur cabinet. Les patients ne voient donc plus de médecin, et personne ne peut donc évaluer une éventuelle dégradation de leur pathologie chronique et ainsi les orienter vers un service hospitalier. Cela fait donc plus de 2 semaines en France occupée que la quasi-totalité des médecins et chirurgiens sont au chômage technique. Actuellement, aucun de nous ne comprend ce qu’il se passe. Nous nous demandons tous : « Où sont passés ces patients qui remplissent nos services toute l’année ? »Les patients ressentant des symptômes inhabituels ont donc pour consigne de d’abord appeler le 15 afin qu’on leur dise quoi faire : « restez chez vous » ou bien « allez aux urgences ». Voici un exemple pour vous montrer l’absurdité de cette consigne : un patient ressentant une légère douleur thoracique en base droite avec une légère toux et un peu de fièvre, le Centre 15 lui dira que ce sont des signes fréquents de l’infection Covid-19 et qu’il doit rester chez lui, ça passera dans quelques jours. Pas de chance, c’est en fait une embolie pulmonaire et le patient peut se retrouver en état de choc hypovolémique à tout moment, en plus de nécroser ses poumons. On ne fait pas de diagnostic par téléphone. Sauf en cette période, visiblementParlons maintenant des seuls services hospitaliers qui continuent de tourner à plein régime : les Urgences et les Unités Covid.MLes Urgences servent à filtrer les patients les plus suspects d’infection Covid, ou bien les patients qui peuvent avoir de vraies urgences vitales que l’on doit prendre en charge très rapidement, comme à leur habitude.Il faut savoir qu’un patient Covid+ que l’on considère comme « individu fragile » (soit moins de 70 ans avec des antécédents importants, soit plus de 70 ans) sera hospitalisé dans ces unités Covid.
J’ai été réquisitionné il y a un moment pour travailler dans une de ces Unités. A quoi ressemblent-elles ? Les services hospitaliers totalement vides, dont je vous ai parlé, sont réquisitionnés pour y entreposer des patients Covid+. Avant d’être transférés des Urgences vers ces Unités, ces patients sont étiquetés : soit ils ont moins de 70 ans et on les étiquette comme « réanimables » (s’ils se dégradent, nous ferons tout ce qu’on peut pour essayer de les sauver), soit ils ont plus de 70 ans et sont étiquetés LATA qui veut dire Limitation et Arrêt des Thérapeutiques Actives.Je vais tenter d’expliquer brièvement ce que l’on fait pour un patient réanimable, et ce que l’on fait pour un patient en LATA dans ce genre de situation. Je rappelle que le tableau clinique d’une infection sévère au « coronavirus » correspond à une pneumonie, une infection des poumons qui s’attaque aux alvéoles pulmonaires. La phase terminale de ce type d’infection correspond en général à ce que l’on appelle un choc septique à point de départ pulmonaire : Le germe initialement présent dans les poumons et les voies respiratoires passe dans le sang et s’attaque à tous les organes vitaux : cœur, cerveau, foie, reins. Tout ceci entraîne un coma qui gêne davantage la respiration, une hypotension artérielle car le cœur ne peut plus fonctionner correctement, une augmentation de la toxicité dans l’organisme (soit à cause des médicaments, soit à cause de déchets produits par notre corps en permanence) car le foie et les reins ne fonctionnent plus. Un patient réanimable dans notre service : Il arrive avec de l’oxygène pur aux lunettes ou au masque pour l’aider à respirer, nous adaptons le débit d’oxygène en fonction de ses besoins (estimés par la Saturation en Oxygène) et dans la majorité des cas : nous ne touchons absolument pas à son traitement ! Nous rajoutons des antibiotiques en comprimé dans certains cas, ils ne sont pas du tout prescrits de manière systématique. Les médicaments qu’il prend à la maison, nous les lui donnons, et nous ne faisons rien d’autre. Ces services que l’on nous présente comme des zones de guerre, totalement débordés, sont en fait des unités de surveillance où nous ne faisons presque rien. Je n’ai jamais eu de journées aussi tranquilles que depuis le début de cette crise. Si un de ces patients se met à décompenser, à passer dans un état de Détresse Respiratoire Aiguë avec une hypotension artérielle, un pseudo-coma, etc. le protocole nous dit de l’intuber, de perfuser ce patient avec 2 à 3L de solution salée sur 3 heures pour faire monter la pression artérielle et ainsi irriguer les organes vitaux, de balancer des antibiotiques en intraveineuse, de balancer de la noradrénaline en intraveineuse si le remplissage par la solution salée n’a pas fonctionné comme prévu. Tout ceci afin de stabiliser les fonctions vitales pour laisser le temps aux antibiotiques de faire leur travailJe suis passé plusieurs fois dans des services d’urgences et de réanimation, je sais donc que l’âge n’est pas toujours le facteur déterminant quand nous décidons de réanimer un patient ou non. J’ai déjà vu des tentatives de réanimation chez des patients de 80 ans passés, car il y a une maxime que nous aimons répéter pour nous donner bonne conscience : Nous avons une obligation de moyens, mais pas de résultat. Ce qui veut dire que n’importe quel patient qui arrive entre nos mains, nous nous devons de faire tout notre possible pour le sauver, même s’il s’avère que c’est mal parti dès le début.
Parlons maintenant des patients LATA en Unité Covid :ceux-là ont donc souvent plus de 70 ans. Comme les jeunes, ils arrivent dans nos services avec de l’Oxygène sur le nez, le plus souvent avec un débit de 2 à 3 L/min. Si jamais ces vieux patients commencent à nécessiter un débit plus important d’oxygène, de 6 à 7 L/min (ce qui peut être expliqué par le fait que ces vieillards traînent leur pneumonie depuis environ 7 jours le plus souvent, vu qu’on leur ordonne de rester chez eux), on considère qu’ils ne survivront pas à leur infection. 6 ou 7 L/min d’oxygène, c’est la limite entre la vie et la mort dans ces Unités. Une fois ce stade atteint, l’étiquette LATA entre en jeu. Considérant que ces vieilles personnes vont de toute façon mourir (vu qu’on ne les réanimera pas, coucou l’obligation de moyens), nous leur injectons un cocktail de Morphine et d’Hypnovel en intraveineuse. Ces deux molécules, nous les utilisons par ailleurs en Soins Palliatifs : elles induisent un coma artificiel, effet bien connu, et elles ont également un effet dépressif respiratoire. Elles ont en fait un effet décontractant musculaire, particulièrement au niveau des muscles respiratoires (diaphragme, muscles intercostaux, muscles du pharynx, etc.) et entraînent donc une asphyxie médicamenteuse. Les médecins, si attachés à l’éthique, appellent ça une « mort douce ». Dans ces unités, nous tuons donc artificiellement des patients que l’on condamne dès leur sortie des Urgences. A aucun moment nous ne cherchons à faire de la médecine avec eux.Ces décès sont ensuite comptabilisés comme victimes du coronavirus, alors qu’ils sont en fait les victimes des médecins français.Les familles de ces victimes ne peuvent même pas se rendre compte de quoi que ce soit. Avec ce confinement, les jeunes patients n’ont droit à aucune visite. Les patients en fin de vie (ceux qui ont bénéficié du cocktail LATA), ont droit à une seule visite par jour. Les proches doivent donc se mettre d’accord pour décider qui ira voir le futur mort. Et ce visiteur n’aura pas le droit de visiter à nouveau dans la semaine en cours. Ils n’ont donc aucun moyen d’apprécier l’évolution clinique de leur proche, car nous tenons rarement plus d’une semaine sous Morphine et Hypnovel.
Nos politiques sont donc en train d’orchestrer des décès à la pelle dans les hôpitaux, et utilisent ces morts pour créer une psychose générale dans un but que je n’arrive pas encore à visualiser ».
https://profidecatholica.com/2020/04/08/un-docteur-dune-unite-covid19-explique-a-democratie-participative-comment-letat-orchestre-les-deces-du-coronavirus/
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