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locationvoitureeninde · 1 year ago

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Location de voiture en Inde

Content Source: https://locationvoitureeninde.medium.com/location-de-voiture-en-inde-b886ad937930

Nous proposons le location de voiture en Inde – Souhaitez-vousréserverune voiture enInde ? Dans de nombreux pays du monde, explorer avec votre propre voiture est un excellent moyen de connaître le pays et ses habitants.

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Diverses voitures telles que l'Indian Ambassador, la Tata Indica, la Cheverolet Tavera, la Toyota Crysta, Mercedese, BMW, Audi, la Tempo Traveler (9 places), le minibus (18 places) et même les autocars (28 à 35 places) sont à votre disposition via Location de Voiture en Inde. Sur demande et réservation à temps, nous serons égalementheureuxd'organiser des vélos, et motos pour l'itinéraire et la durée prévus.

Veuillezcomprendrequ'iln'est pas possible d'indiquerclairement les prix au kilomètreen raison des taxes sur les véhicules et du prix de l'essence qui fluctuentcontinuellement. Nous serons heureux de vous faire uneoffre sans engagement et vousverrez que ce service en Inde estmoinscher que prévu!!!

Si vousêtesintéressé par notre service de chauffeur, vouspouvez nous contacter à tout de moment enutilisant les coordonnéesfourniesici.

Toyta Etios

La nouvelle Toyota a étédéveloppée au Japon et la voiture reflète la qualité, la durabilité et la fiabilitéreconnues du constructeur automobile de renomméemondiale Toyota. Tout dans la voiture semblerobuste et le véhiculeoffred'excellentes performances.

Des boîtes à gantsréfrigéréessontproposées dans certains types de voitures, la suspension de cette voiture estsuperbe, l'audio avec Bluetooth, USB, AUX-In, etc. est disponible. Les siègessontconfortables, l'éclairage bleu estagréable dans l'obscurité. Avec un moteur diesel D-4D (1,4 L) et une carrosserie amortissante, cette voiture peutparcourir de longues distances très confortablement. Nous recommandonscette voiture milieu de gamme pour 2 à 3 passagers.

Toyota Innova et Toyota Crystal

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Grâce à la puissanteclimatisation, vous ne vousfatiguerez pas même pendant les mois les plus chauds, tandis que les grandesfenêtresoffrentunevueimprenable sur les rues et les paysages de passage.

Le Tempo Traveller

Le Tempo-Traveler est un van confortable pour un groupe de 6-10 personnes maximum et estutilisé par nous depuis des années pour de petits groupes et des voyages enfamille.

Grâce à son grand coffre, qui peutfacilementaccueillir 10 grandes valises, c'est le véhiculeidéal pour les touristes qui voyagent avec beaucoup de bagagesou qui prévoient de grandesvirées shopping en Inde. Comme il n'y a malheureusementpratiquement pas de voitures accessibles aux personneshandicapées, elleoffreégalement les meilleures conditions pour permettre aux personnesen fauteuil roulant de faire un voyage agréable. En supprimant les rangées de siègesarrière, l'espace de rangementpeutêtreagrandi à volonté.

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En Inde, de plus en plus de nouveaux modèles du constructeur automobile allemand Mercedes Benz sontactuellementproposés, maismême les types de véhiculeslégèrement plus anciensreprésententtoujours un luxe et uneclasseabsolus.

Les voitures sontgénéralementtoutes très modernes et de grandequalité et offrent un confort de voyage maximal. La location de cetteenseigneestdoncrelativementchère.

Si vous ne vouleztoujours pas renoncer au confortmentionné ci-dessus et êtes prêt à payer un prix élevé pour cela, nous vousrecommandons sans réserveune Mercedes Benz pour votre voyage à travers le Agra, Varanasi et Rajasthan ! En raison du petit nombre de modèlesen question, nous vousdemandons de ne pas soumettre de demandes à court terme. Réservez dès maintenant sur https://Locationvoitureeninde.com et embarquez pour une aventure unique en Inde avec Voyages Inde par Shankar. Vivez l'Inde comme vous ne l'avez jamais vue!

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anshikazenith · 9 months ago

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driverinbharat · 1 year ago

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elisabethdenis · 4 years ago

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l’exilée

L’exilée

m’a depuis longtemps

enlacée, percutée

habitée disproportionnellement

La pomme

tombée non loin de l’arbre

mes parents sauvages

s’évadaient

sous mes yeux de gamine

puis adolescente s’écriant adulte-presque

du West Island anglo à la rive-sud mégalomane

des richesses candiacoises au ghetto lachinois

des chauffeurs de bateau magogois aux nobles Saint-Lambertois

jadis inconscients

metteurs au(x) monde(s)

ont été courte-échelle

ailes posées sous mes souliers

père de lettres rhétoriques européennes

le ti doigt en l’air

mère aux chevaux de saint-bernard-de-lacolle

la famille oiselle erratique

chez moi

décamper est normaliser

le sillonnage

sans perdre haleine

♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥

je suis

l’héritage du pauvre québécois

s’enrayer de

ma propre patrie

clore mes oreilles

aux chants de la Mésangeai du Canada

qui une fois s’est posée

grignoté au creux de ma main bronzée d’une tournure à Cuba

me suis patentée

des bois de caribous majestueux

me protégeant

de ma neige et mon verglas

à 25 ans

entre valises depuis

7 ans

j’ignore la plénitude

des poèmes d’hivers imaginaires du Nord

Tanya Tagaq hante mon sommeil

je me réveille

criant « Ata mārie »

aliéné du mot « iktsuarpok »

farder du malaise

anglo-franco, blanc autochtone

je pleure à ces pieds inconnus

quelle aliénation catastrophique!

mon pays croupit

donc j’occulte ma langue

mon accent québécois

mon eldorado friable

susurrant «Sinto a tua falta » à mes intimes

j’exhale mon souffle

trempé de café costaricain

une île grecque

Ios

me charrie

dans mes moments

de catapsie émotionnelle

ce presque mariage

aux bras d’un cowboy-sauteur-de-train-Californien

me frôle l’esprit d’une syncope

comme ce baragouinage espagnol

me tique les oreilles

je connais mieux

le chant du Tui

que les hurlements des Canis lupus grégaires

j’offre « La Guaria Morada »

avant de trôner la fleur de lys au miroir de mon char

le premier juillet, dardé

le deux octobre, le front à Terre (Inde)

je sais commander une omelette en allemand « bitter »

je ne connais pas les paroles de l’hymne national canadien

je suis vacuité

de ma nation d’origine

j'emprunte

ce conglomérat de passages exotiques

je focalise sur

« Speak White »

en 2020 pour la première fois

en buvant du thé kawa-kawa

oh, pays du fond de moi

je suis la fugitive

en état d’errance constant

« la femme qui fuit »

ma belle tragédie

♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥

Décoder le verbiage :

Ata mārie (maori) : bon matin

Iktsuarpok (inuktitut) : anticiper l’arrivée de quelqu’un en regardant par la fenêtre

Sinto a tua falta (portugais) : tu me manques

Bitter (allemand) : s’il vous plaît

2 octobre : l’anniversaire de Gandhi

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sparkingmoon-blog1 · 8 years ago

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Day 2 - mardi 9 mai 2017

Premier réveil en Inde, youhouuuu ! Enfin si on peut parler de réveil car en réalité je viens de passer une nuit blanche sans être capable de fermer l'œil … du coup je ne me sens absolument pas reposée mais en tous cas bien plus sereine qu'hier ! C'est dingue comme tout devient beaucoup plus inquiétant la nuit ! Ma chambre étant située à côté même de la réception, j'ai eu le droit aux chants hindous et prières vers trois heures du matin, puis à des cris d'animaux (je ne saurais toutefois dire s'il s'agissait d'oiseaux, de chiens ou … de cafards géants qui sait) de manière continue jusqu'au petit matin. Vers 7h30 alors que je suis toujours emmitouflée dans mon sac à viande et que je n'ose pas sortir la tête de ma cachette, mon cher réceptionniste vient m'apporter le petit dej’ … ca c'est franchement chouette (même si je n'ai malheureusement pas pu me résoudre à faire honneur à son omelette aux herbes suspectes … je me suis rattrapée sur une bonne mangue achetée sur un petit marché ambulant). Ce matin j'ai l'impression de me réveiller dans un monde parallèle. Je prends l'excessive gentillesse de mon hôte avec beaucoup de méfiance, c'est dommage, je suis pourtant ouverte aux rencontres, surtout quand je voyage mais je préfère prendre mes marques et rester prudente, surtout après mon aventure d'hier soir. Et je pense avoir bien fait car après avoir pris une dizaine de photos de mon passeport, le réceptionniste me demande de le suivre pour qu'il m'emmène en personne à la station de bus … merci bien mais non merci, hop je file à pied. Si j'ai dû dormir avec un pull tellement la clime était forte cette nuit, le contraste avec la chaleur extérieure est flagrante. L'air de la ville, mélangé de poussière est étouffant et la chaleur écrasante. Je n'ose pas prendre de photos car je sens que le moindre de mes gestes est observé. Attention en traversant la route ! Oui non, ne pas traverser la route. Heu … quelle route enfaite ? C'est très déstabilisant mais je suis vraiment heureuse de pouvoir vivre cette expérience et me dire que ce n'est que le début ne fait qu'accentuer ma hâte d'en découvrir encore plus !!

Après être enfin arrivée à la “bus station” (enfaite un simple panneau avec quelques gribouillis en hindou), j'arrête tous les bus pour demander la destination à qui voudra bien me répondre à l'intérieur. La communication n'est pas évidente, beaucoup ne parlent pas anglais et ceux qui le comprennent ont un accent tellement fort que je dois souvent m'y reprendre à plusieurs fois avant de finir par rendre le armes en remerciant le chauffeur et en me dépêchant de sauter du bus avant qu'il ne redémarre. Le troisième est le bon, un petit papy indien me prend sous son aile, on échange quelques brides de conversation et me voilà arrivée à l'aéroport. “Saute !” Me crie-y-il alors que le bus n'est même pas arrêté. Bienvenu en Inde, ici une chose est sûre il ne vaut mieux pas avoir le mal des transports, ca grouille dans tous les sens, c'est génial (enfin génialement dingue surtout). Si j'avais su … j'aurais dû me renseigner pour passer mon code de la route ici, ca ne doit pas être trop compliqué, c'est simple il n'y a pas de panneaux de circulation, et ce qui concerne les priorités ou limites de vitesse semble bien appartenir au domaine de l'hypothétique.

Mon avion pour Goa part à 15h25, je pars une petite semaine dans le sud pour m'acclimater à cet univers indien avant de partir à la conquête du Rahjastan, peut être la semaine prochaine. Si vous prévoyez de prendre l'avion à Bombay, surtout n'arrivez pas à la dernière minute mais prévoyez large, voire TRÈS large. L'aéroport est une véritable ville qui comporte deux terminaux, eux même divisés en deux zones bien distinctes : departures and arrivals. Dans tous les cas, impossible de franchir l'enceinte des bâtiments sans présenter son billet et son passeport, les contrôles sont très strictes et très nombreux, et le parcours pour atteindre la porte d'embarquement bien fastidieux. Toutefois l'aéroport est bien aménagé, il fait frais et les indications sont relativement claires, ce qui est agréable !! En attendant mon vol je savoure le meilleur café frappé de toute ma vie ! Passer des 10 petits degrés nantais aux 40 de Bombay c'est quelque chose !! Je passe donc une petite heure en compagnie de Kavin, un canadien backpacker qui arrive d'Afrique du Sud et qui semble tout aussi perdu que moi bien qu'il en soit à son troisième voyage en Inde. Il est vraiment chouette, et après m'avoir donné plein d'astuces et de bon plans sur Goa où il est resté un mois, on prévoit de peut être se retrouver au Rahjastan pour un bout de voyage ensemble dans une ou deux semaines.

Bon Heu ça cause ca cause mais … j'ai soif ! Eau non potable WARNING WARNING alors je vous laisse les pandas et pars à la chasse d'une bouteille d'eau avant d'embarquer. 🐼

Bien arrivée à Goa, encore trois heures de bus (avec moult changements) et j'arriverai enfin à Arambol. Mais alors le bus en Inde ... c'est un peu comme la foire aux chameaux, tu sais pas lequel prendre et ils se ressemblent tous ... ce qui est fabuleux en Inde qu'est qu'on te répond TOUJOURS oui, quelque soit la question ... bon alors c'est vrai que je viens juste de comprendre qu'un hochement de tête ne voulait pas dire oui mais était un signe de négation .... d'accord ça peut aider ...Résultat : tu montes dans un bus sans trop savoir où tu vas atterrir. Une fois à bord tout ce que tu as à faire c'est de prier pour que le chauffeur ait de bons réflexes et ne soit pas sorti la veille. C'est un peu comme les attractions 4D du Futuroscope, quand tu as l'impression de foncer dans une poubelle en feu avec ton bolide et que tu l'évites à la dernière seconde. Et Ben là c'est pareil, quand la mauvaise idée de regarder devant te traverse l'esprit, tu te rends compte que trois voitures à contre sens (enfin en sens inverse parce qu'il n'y a pas tellement de sens) se dirigent dangereusement vers toi. La seule différence c'est qu'ici les bruits de carcasses de voitures qui se heurtent ne sont pas rares. Et alors dans les embouteillages ... on change de jeu, ça devient les auto tamponneuses rythmées à coup de Klaxon, de cris et de sifflements, joyeux bordel ! Tout est bon pour arnaquer les touristes : 20rps le ticket au lieu de 10 (hehe on ne me la fait pas à moi), un petit mensonge sur La destination du bus pour avoir un passager de plus ... bref j'ai réussit à atteindre la station d'Arambol dans le nord de Goa vers 20h après 4 bus, une mangue écrasée dans ma poche et un dernier trajet en mode Tetris dans une camionnette où nous devions être une bonne cinquantaine (bus limités à 17 places ...). La porte est fermée avec une petite chaîne ou cordelette, s'ouvre à la volée pour laisser sauter les gens et récupérer d'éventuelles autres personnes avant de repartir aussi vite. Première conclusion : on a beau se plaindre de louper le bus ou de devoir marcher trois arrêts ... il fait bon vivre en France ! Bon j'arrive complètement pommée (pour changer), il fait nuit, les rues ne sont pas éclairées même si je suis dans un assez gros village et il n'est pas habituel pour une fille de se promener seule à cette heure ... je préfère demander mon chemin aux femmes que je croise, certaines sont très accueillantes, d'autres beaucoup plus froides et méfiantes. Au bout de trente minutes de marche un petit peu hasardeuse, je m'adresse à un marchant de bananes qui ne connaît pas ma destination. Je le remercie et repars avant qu'il ne m'interpelle quelques secondes plus tard : une mobylette venait de s'arrêter, l'homme me dit de monter, qu'il travaille dans l'auberge où je vais ... heuuu ... ouiiii .... nooooon .... je sais pas. Non, après ton aventure d'hier essaie d'éviter les galères un peu ... je refuse poliment et reprends la route. Il insiste, me dit qu'il a mes coordonnées et sait que je suis française, je finis pas le suivre et 5 min de moto plus tard ... nous voilà effectivement à l'auberge, à 100 mètres de la plage. Énorme soulagement. Musique et cocotiers en guise d'accueil. Ma chambre est super ! Je ne pouvais pas rêver mieux !!!! J'ai un petit robinet et un sceau qui me font office de douche, des toilettes, un ventilateur et une superbe vue. Première chose : me couvrir de spray anti moustique. Je n'ai pas prévu de traitement contre le paludisme (bon d'accord mauvaise organisation comme d'habitude) et le climat tropicale de goa est particulièrement propice à ces petites bêtes ... alors on va être prudente. Après une bonne douche (froide mais tellement agréable) et une panne d'électricité, je tombe comme une mouche emmitouflée dans mon sac à viande. Bonne nuit les pandas 🐼

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madeleineseperd · 8 years ago

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Retour sur mon périple en Inde du nord octobre-novembre 2016 // step 1 : Varanasi

Les clichés du photographe reporter Steve McCurry dans le Rajasthan m’avaient tellement impressionné, qu’un voyage dans le nord de l’Inde s’imposait.

Itinéraire du voyage de 10 jours : 1) Bangalore - Varanasi en avion 2) Varanasi - Agra en prenant un avion pour Delhi puis un train pour Agra 3) Agra - Jaipur en train 4) Jaipur - Jodhpur en train 5) Jodhpur - Udaipur en bus Mon petit papa est venu me rendre visite pendant dix jours. Notre voyage commence à Varanasi. Située dans l’Uttar Pradesh, c’est LA ville sacrée de l’hindouisme. Varanasi est traversée par le Gange qui prend sa source dans la chevelure du dieu Shiva. C’est une ville à l’ambiance très particulière puisque tout tourne autour de la religion.

A peine arrivés dans la ville, son accueil nous laisse une petite idée de ce qui nous attend. Dans le taxi, on gigote sur nos sièges à force de regarder à droite à gauche ce qu’il se passe à l’extérieur. Une véritable fourmilière. Embouteillage mêlant rickshaws, motos, petits marchands poussant leurs roulottes, vaches, le tout au son des klaxons incessants.

Le chauffeur nous dit qu’il y a beaucoup plus de monde que d’habitude “Diwali sir! Many people!”. Fête des lumières, qui a lieu aux alentours de fin octobre début novembre, elle correspond au Noel hindou. Des chants rythmés au son des tambours attirent notre curiosité. Des hommes portant un corps dans un linceul sur un brancard essaient de se frayer un chemin. C’est étrange... On rejoint notre hôtel à pied car les ruelles deviennent de plus en plus étroites. Hotel simple mais avec une belle vue sur les gaths.

Même si le Gange est très pollué et regorge de bactéries, les croyants y prennent leur bain quotidien, censé “purifier” leur âme. Tout est une question de croyances...

Le long des gaths, les adorateurs de Shiva, passent leurs journées à méditer. Ils sont reconnaissables par leurs longs cheveux dont une partie est relevée en chignon (comme Shiva), une longue barbe, trois traits blancs horizontales sur le front et sont, disons, assez dévêtus.

Nous sommes une cible pour les petits marchands et autres attrapes touristes et nous ne manquons pas d’être harcelés... “boat sir ? 100 only. Please come come.” Assez pesant et fatiguant, surtout pour mon père qui découvre pour la première fois l’Inde à Varanasi!

Un “namaste” et quelques secondes plus tard, mon père se retrouve pris au piège d’un “masseur” indien et d’un autre racoleur qui lui marque le front d’une trace de pigments rouges (appelée bindi). “200 roupies sir.” Plutôt comique.

Il y a beaucoup de vaches à Varanasi alors faites bien attention où vous mettez les pieds !

Nous comprenons plus tard que les hommes qui transportaient un corps, croisés à notre arrivée, se dirigeaient vers la zone de crémation au bord du Gange. Mourir à Varanasi permet d’en finir avec le cycle des réincarnations et d’atteindre directement le “nirvana”. Les cendres (ou les corps à moitié brûlés faute d’argent pour acheter suffisamment de bois) sont versées dans le Gange qui purifie l’âme de la personne. Autrefois, les veuves se jetaient dans les flammes pour mourir avec leur mari (la femme ne représente rien sans mari). Désormais, la zone de crémation est interdite aux femmes.

Les photos dans la zone de crémation sont interdites donc je n’ai que quelques impressions. Des tours de fagots de bois sont disposées partout dans les alentours. Les mêmes feux allumés depuis des siècles brûlent continuellement les corps. Une ambiance assez indescriptible règne.

Le soir, des cérémonies religieuses sont menées par les brahmans (prêtres hindous). Tous les soirs des milliers de personnes se rassemblent pour assister à la cérémonie au bord du Gange. C’était tellement irréel que j’avais l’impression de faire un voyage dans le passé à l’époque de l’Antiquité.

On peut parfois rencontrer des touristes qui se sont “égarés” en Inde. Un soir, une cliente de l’hotel, une retraitée française, se joint à nous pour le dîner. Elle commence à nous faire part de son amour pour l'Inde qui se justifiait surtout par sa relation amoureuse entretenue avec un brahman qui mène et dirige les cérémonies religieuses à Varanasi...

La suite : Agra !

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trihapy · 4 years ago

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L’Inde est un pays d’Asie qui a toujours su fasciner, que ce soit en bien ou en mal ce pays fait parler de lui. L’Inde offre énormément, le pays est le 7ème mondial de par sa superficie, équivalente à six fois la taille de la France. Cependant, L’Inde regroupe 20 fois plus d’habitants, soit 1,353 milliards. Il est donc logique que ce pays soit aussi varié dans ses traditions, religion, cultures et paysages.

Le pays se constitue de 28 États, eux-mêmes divisés en districts, six territoires fédéraux et le territoire national de la capitale Delhi. Les Etats sont géré par des gouvernements élu localement, les territoires fédéraux et nationaux par un gouvernement fédéral. Est-ce dont si improbable que le pays ne compte pas moins de 1 652 langues ou dialectes locaux différents ? Néanmoins pas d’inquiétude, l’anglais et l’hindi sont les deux langues officielles du pays.

Ce pays est surtout reconnu comme étant hindouiste, nous savons tous la valeur qu’elle donne aux vaches contrairement aux pays occidentaux. Toutefois cette religion représente que 80% de la population, 11% est musulmane, et le reste des minorités sont Sikh, Chrétienne et Bouddhiste.

Ce pays a une histoire vieille de plus de 5000 ans, il regorge de site historique les plus incroyables les uns que les autres, je vous propose de découvrir deux d’entre eux.

Pour se faire je vous invite à aller dans l’Etat du Maharashtra, situé à l’Ouest du pays, connu notamment pour sa ville de Bombay. Cet état est moins prisé par le tourisme que l’ Uttar Pradesh par exemple, l’Etat du Taj Mahal. Cependant, il reste selon moi, incontournable.

Les Grottes d’Ajantâ

Découvertes lors d’une partie de chasse au tigre par des soldats britanniques en 1819 ce n’est pas moins de 29 grottes artificielles bouddhistes qui sont regroupées sur ce site. Creusées dans du basalte, dans un ravin en forme de fer à cheval, au-dessus du lit d’une rivière. Idéalement il faut consacrer une journée entière de visite, je vous conseille de visiter ce site en premier.

Le site a été formé entre le IIème siècle avant J.C. jusqu’au VIIème siècle après J.C. Classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, en plus de ses prouesses techniques et architecturales il est célèbre pour ses peintures.

Les murs des grottes étaient couverts de peinture à fresque, elles étaient en bon état de conservation lors de leur découverte. Cependant, avec le tourisme de masse elles se sont beaucoup dégradées. C’est pourquoi il est interdit dans la plupart des grottes d’utiliser le flash pour les photos, des surveillants y veillent, compter 5 roupies pour avoir de l’éclairage dans certaines grottes.

Les grottes avaient des fonctions différentes, cinq servaient de temples, les autres de monastères.

Ajantâ était un un centre monastique mais aussi universitaire. Il accueillait des moines, mais aussi des professeurs et des élèves. Selon les historiens le site pouvait héberger plusieurs centaines de personnes, le célèbre philosophe bouddhiste indien Dignâga auteur réformateur et fondateur de la nouvelle logique y aurait séjourné. Elles ont été délaissées en faveur des grottes d’Ellorâ au VIIème siècle, laissant trois grottes inachevées.

Chaque grotte est séparée de sa voisine par des escaliers ou pente, mon conseil serait de prévoir de bonnes chaussures ainsi qu’une bouteille d’eau. A l’entrée du site des guides attendent et proposent leur service, c’est toujours intéressant d’avoir des explications. Généralement ils ne parlent qu’anglais, si vous en souhaitez en français il faut voir directement avec votre hôtel ou des offices de tourismes et réserver en amont.

Le billet est à prendre à l’entrée du site, sauf en cas de réservation par un guide extérieur. La visite vous coutera environ 500 roupies en tout par personne (environ 9€). Comme dans tous les pays, le plus rentable reste de payer en monnaie locale. Il faudra payer un bus qui vous mènera de l’entrée avec les restaurants et magasins à la réelle entrée des grottes, prévoyez 60 roupies pour être large. Comme partout en Inde il y aura du racolage, ce n’est pas méchant mais culturelle, penser à rester calme. 😉

Les grottes sont situées à 108km d’Aurangabad, pour vous y rendre, vous avez plusieurs options. Vous pouvez y aller en voiture privée avec votre guide ou agence de tourisme. Le taxi est possible penser à négocier.

Vous pouvez également y aller en bus depuis la gare centrale, compter 2h00 de trajet pour environ 100 roupies soit 1,20 €, privilégiez la compagnie gouvernemental MTDC. Les bus partent régulièrement dans la journée. Il ne sera pas forcément bien indiqué, n’hésitez pas à demander votre chemin aux différents conducteurs de bus, ils vous orienteront avec plaisir ! Et évidemment, demandez confirmation que vous êtes dans le bon bus.

Les Grottes d’Ellorâ

Les grottes d’Ellorâ sont également un témoignage des prouesses artistiques et techniques de l’Inde à travers l’histoire. Dans une falaise de basalte ont été creusées trente-quatre grottes sur plus de 2km de long. Ce site archéologique fait également partie du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Ces grottes son un message de tolérance, contrairement à celles d’Ajanta ce site accueille des sanctuaires de trois religions différentes : le bouddhisme, l’hindouisme et le jaïnisme.

Les premières (grotte 1 à 12) ont été construites entre le Vème et le VIIème siècle après J.C. elles sont bouddhistes et comme à Ajantâ, sont divisées entre temples, monastères et même réfectoire.

La plus célèbre est la grotte numéro 10, nommée Vishvakarma (“grotte de celui qui accomplit tout” ou “l’architecte des dieux”), on peut y admirer bouddha de 4,5m sur un trône. Le plafond semble être soutenu par des poutres de pierre faisant penser à une chapelle, elle est surnommée la grotte du menuisier.

La seconde vague de construction a été hindouiste, du VIème au Xème siècle. Contrairement aux grottes d’Ajantâ, célèbres pour leurs peintures, celles d’Ellorâ sont remarquables par leurs sculptures. Ces temples sont creusés sur une hauteur impressionnante. Des hindouiste viennent même y prier. En plus d’admirer la beauté technique vous pouvez donc admirer des évènements de la religion hindouiste à travers de magnifiques œuvres d’art.

La plus connue des grottes d’Ellorâ est hindouiste, la numéro 16, le temple de Kailâsanâtha. Elle est considérée comme le joyau de ce site. Le temple monolithique est complétement excavé de la falaise, il couvre une superficie deux fois plus grande que le Parthénon. C’est ici un magnifique hommage aux Dieux Shiva et Vishnu. Savoir qu’il fut construit d’un bloc en seulement trente ans (725-755) le rend encore plus magique, on estime que les artistes ont dû enlever 200 000 tonnes de pierre lors de la construction. Vous ne pourrez être qu’ébahi devant la finesse de ses sculptures.

Enfin, les dernières grottes ont été pour la religion jaïniste, construites entre les VIIème et XIIIème siècle. Elles sont excentrées des autres, à l’extrémité Nord. Elles ont été construites au même moment que les dernières grottes hindouistes, elles partagent des idées architecturales bien que celles-ci soient les plus petites du site. Certains disent que les cinq grottes étaient en réalité 23 excavations différentes qui ont fini par être unies. Nous pouvons y admirer des sculptures représentant des scènes religieuses et leurs divinités.

Pour entrer dans certaines grottes il vous sera demandé de retirer vos chaussures, ceci est monnaie courante en Inde pas d’inquiétude concernant les vols. Au contraire, le fait de visiter pieds nus permet une immersion incroyable, nous ressentons énormément par le biais de ce contact peu orthodoxe pour nous occidentaux. Mon conseil pour cette visite serait de commencer dans l’ordre, vous serez quasi seul dans les premières grottes (la plupart des visiteurs se ruant sur la 16). Mais aussi de visiter le plus possible pieds nus et de ne pas oublier votre bouteille d’eau ! Compter une journée pour la visite.

Le site se situe à 30km de la ville d’Aurangabad, il est possible de vous y rendre en taxi ou tuc-tuc, pour celui-ci compter environ 750 INR (9€) + 20 INR (0.30€) pour le parking, le chauffeur vous attendra.

Evidemment il est également possible de vous y avec un guide privé ou un bus touristique en réservant auprès de votre hôtel ou d’agence de tourisme.

Si vous souhaitez plus d’aventure et d’immersion dans la vie indienne, le bus public est très simple à prendre ! Il vous suffit de vous rendre à la station de bus centrale au Nord des jardins Siddarth et du zoo. Compter environ 35 INR soit 0,40 € par personne et par trajet.�� N’hésitez pas à confirmer que vous êtes dans le bon bus auprès du chauffeur. Vous serez déposé en face de l’entrée du site, pour le retour il faudra attendre le bus devant le site et évidemment confirmer la destination auprès du chauffeur.

A l’entrée du site vous pourrez trouver des restaurants, boutiques et guides.

Comment s’y rendre

Pour vous rendre à Aurangabad plusieurs possibilité s’offre à vous :

L’avion, les compagnies INDIGO et AIR INDIA vous proposent quelques vols par jours depuis l’aéroport de Mumbai (BOM) jusqu’à celui d’Aurangabad (IXU) pour environ 50€ vous en aurez pour 1h/1h30 de trajet. C’est le mode de transport le plus rapide, si vous manquez de temps sur place ou que vous avez besoin de confort je vous conseille de le privilégier.

Depuis New Delhi il faudra compter environ 2h de trajet pour

En train, la compagnie Indian Railways propose régulièrement des trains s’arrêtant à Aurangābād. C’est le moyen le plus économique, il faut compter 2-3 €. Ce type de transport vous permet une meilleure immersion dans la culture indienne mais aussi de pouvoir admirer les paysages. Depuis Mumbai le trajet prend entre 6h30 et 7h00. Mon conseil serait de prévoir à boire et à manger, le train est très lent en Inde, il y a de nombreux arrêts et il peut y faire très chaud en fonction de la saison. Mais un trajet en train reste une aventure incroyable.

Depuis New-Delhi le trajet est également possible mais beaucoup plus long, il faut compter plus de 22h00 pour 7/8€. Il en part un par jour donc il ne faut pas le rater ! Cependant, il passe par Agra, de quoi faire un arrêt pour admirer le Taj’ Mahal ! Et grâce à ce long trajet vous pourriez découvrir de superbes paysages voir faire de belles rencontres.

En bus, cette option peut être intéressante pour voir un peu le pays tout en voyageant. Les économies peuvent être faite en prenant des bus de nuit. Pour le trajet de Mumbai à Aurangabad il faut compter entre 8h et 11h00. Il y a des départs très réguliers, les bus sont dits “sleepers” vous pouvez donc vous allonger (attention les indiens sont plus petits que les français, si vous êtes grands votre box pourrait être petit). Ils disposent également de la climatisation, prévoyez de vous habiller chaudement, les indiens raffolent de la clim ! Les prix s’étalent entre 10 et 20 € par trajet et par personne, c’est donc un mode de trajet rentable s’il vous fait économiser une nuit d’hôtel.

Pour rejoindre Aurangabad en bus depuis New-Delhi il faudra le faire en deux étapes. La première de 5h00 jusqu’à Jaipur. Si vous avez le temps je vous conseille d’y rester quelques jours, cette ville est superbe ! Ensuite une deuxième étape jusqu’à Aurangabad, environ 8h00 de trajet. Compter entre 15 et 25 € le trajet en fonction des horaires, équipement et compagnies choisies.

Pour vous aider dans la planification de vos trajets je vous conseille le site Rom2rio, il vous propose beaucoup d’alternative pour un même trajet : https://www.rome2rio.com/fr/

Il est difficilement possible de réserver ses billets de trains et de bus par internet, tous les sites demandent une adresse indienne. Cependant un petit aller-retour à la gare ne coûte pas grand-chose et vous permet de repérer les lieux.

Aurangābād n’offre pas grand attrait mise à part son mini Taj ’Mahal qui est très beau. Cependant vous trouverez facilement de quoi manger et vous loger.

Quand s’y rendre

L’Inde a trois périodes dans l’année. Pour profiter au mieux des sites il faut privilégier la mousson de juin à octobre. Les pluies sont modérées mais offre au paysage plus de végétation et de superbes cascades. D’octobre à mars les pluies sont rares et la température supportable, comme un beau printemps chez nous. Enfin d’avril à juin il s’agit de la période chaude, il y a moins de touriste mais la chaleur est plus difficile à supporter, il faut bien se protéger et prendre beaucoup d’eau.

L’Inde : Les Grottes d’Ajantâ et d’Ellorâ L’Inde est un pays d’Asie qui a toujours su fasciner, que ce soit en bien ou en mal ce pays fait parler de lui.

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poonamvoyage · 5 years ago

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Voyage en Inde - Vacances et circuits sur mesure en inde | Agence de Voyage Locale en inde | Poonam voyage

“Poonam Voyage Inde” – est une agence locale basée en Inde (New Delhi) spécialisée dans les voyages sur mesure au Rajasthan avec Chauffeur et Guide Privés. Notre Agence de voyage Spécialiste de voyages en Inde du nord, dans le Rajasthan,vous accompagnera également jusqu’à Agra et Bénarès

Cette agence est née en 2017, riche de culture orientale et indienne, elle s’est inspirée aussi de la culture française pour répondre à l’attente des touristes français quant à l’organisation et la réalisation des circuits proposés.

Dans des circuits privés, Partez à la rencontre d’une culture riche et complexe, accompagné d’un guide privé qui vous fera découvrir les grands secrets et les plus beaux endroits de la planète.et votre chauffeur anglophone dans votre véhicule privé, vous découvrirez les multiples visages de ce pays fait de contrastes, de couleurs, de plateaux désertiques et sanctuaires, d oasis et apprécierez les majestueuses citadelles, palais du Rajasthan. Vous irez au contact de populations diverses.

La principale caractéristique de notre agence est d organiser avec le client, des circuits sur mesure pour des couples ou des petits groupes de personnes, en leur proposant des destinations, des lieux, des hébergements (de différentes catégories) et des expériences inoubliables au travers du monde citadin et rural de l Inde du nord au Rajasthan.

Vous serez accompagné d’un guide francophone pendant tout votre voyage au coeur des traditions et au travers de nos’échanges vous apprendrez la vie et la culture indienne. Vous pourrez aussi créer votre Voyage avec l’aide d’un guide local de l’agence POONAM VOYAGE INDE ” ,

#Agence de voyage Locale en indeagence de voyage francophone en indevoyage sur mesure en indeCircuit individuel au Rajasthan avec chauffeur e

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artvoyagseo-blog · 5 years ago

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Tour Opérateur En Inde

L’Art Voyage India , Le Meilleur Tour opérateur en Inde , basé à New Delhi, je prepose le voyage dans tout l’inde . l’inde est pays immenses et très varié tres varies . il y a beaucoup des circuit organises’ comme l’inde du Nord et l’inde du sud et centre de l’inde et Himalaya et L’est de l’inde . il n’ y a plus Tour opérateur en Inde qui prepose partout des circuits en inde . L’agence a été créée par un guide francophone Mr , Narendra Singh . J'étais spécialiste du voyage . Donc je voyagait partout en inde.

Après avoir découvert mon pays . J'ai décidé de lancer ma agence privée pour que j’offre des meilleurs circuits en inde et moins chères voyages et des qualités d'hôtels et des comforts et des transports comforts , des meilleurs Chauffeurs , des meilleurs guides francophones. j’ecoute bien des clients , Selons le gout des clients que je planifie l’itineraire du voyage . Mes itineraires ont uniquement un theme particulier comme les endroits particuliers et la vie quatidienne et les fetes et les festivals et la culture et le marriage et voyage romantique et les rencontres avec des habitents locaux et la repas authentiques et religion et histoire interssant . je mets tout les types d'hôtels . Selon les demandes des clients soient luxe et Heritage et chez des habitents et guest house . les hotels sont comports et propres et bonne services et lits comports . Transport et chauffeur , les veicule sont nouvelles et propres et les chauffeurs sont professionels et punctuels , gentils .

meme que je suis guide Donc je connais bien l’importences de guide . le voyage depend de guide Si vous trouve un bon guide qui est très serviable et intelligent et professionel , le voyage sera surement la reusite et incontournable et inoubliable , alors que si vous allez reserver un voyage avec moi . cet voyage sera inoubliable .J’ofrres cet itineraire 12 jours du Rajasthan pendent le foire des chameaux de pushkar , cet voyage commence de delhi et après vous allez decouvrir la plus puissante ville de médiévale de l’inde . Agra etais le capital de moghole . Avec ses nombreux monuments historiques, le Taj Mahal est un symbole d'amour pour Shah Jahan Khan et son épouse Mumtaj Mahal. il est classé par l'unesco, le Taj Mahal est la 7ème merveille du monde. après agra vous aller ville rouge jaipur . finalement vous allez assiter le foire des chameaux . la ville pushkar est plus ville sainte au Rajasthan , Selon le mythologies c’est la ville de createur du monde Brahama , il n y a seul un temple dans la monde entire . il y a plus que 500 temple dans pushkar . la foire de chameaux se deroule chaque annee en mois de novembre . Ce dure 7 jours , Le jour de pleine lune, les fidèles se baignent dans le lac sacré de la ville. Selon la légende, c'est le dieu Brahma qui aurait créé le lac pour que les fidèles puissent laver leurs péchés et se libérer du fameux cycle de renaissances. et vous aller traverser de La region de shakhawati , les haveli sont magnifiques ces demeures de commercants de l’époque, les havelis sont encore magnifique . resumezque cet itineraire prepose des visite de Taj Mahal et fort rouge et ville rouge et temple et marche local et vous pouvez aussi profiter le trains indien pendent cet voyage .

Source : Click Here

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artvoyageindia · 5 years ago

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Voyage sur mesure en inde

Site Web : https://artvoyageindia.com/Decouverte-De-La-Vie-Sauvage

Contactez - nous pour faire Circuit Individuel avec Chauffeur Privé en Inde . Notre équipe des chauffeurs qui ont une expérience de 25 ans dans le tourisme. Nous preposeons également des Circuit individuel avec chauffeur privé en Inde du Nord et Inde du Sud et au cœur de l’Inde . Nos chauffeurs sont très professionnels, punctuels et serviables. Nous vous invitons pour faire un circuit au Rajasthan et en Coeur de l’inde. Ce dure 15 jours ,l’etat Madhya Pradesh est surnommé la Province du Tigre . plein de visites des Monuments Histoiques et d’excursions passionnantes aux reserves de tigre de l’inde Ranthabhore et Bandhavgarh et Kanha et Pench . Découverte une plus riches faune et flore pendant cet circuit . à la demande Un naturaliste va vous accompanger pendent cet circuit qui va vous faire connaissences l’histoire et la culture et les fête et la nature et la géographie de l’inde et faune et flore et biodiversites de l’inde. Le chauffeur va vous accueiller avec joie d’inde à l'aéroport.. Visite la mosquée Jama et Hamayun Tombe et Qutub Minaret. Le matinal trains pour Ranthanbhore , Ranthambhore est situé au rajasthan . Le Parc National est très célèbre pour abondantes population de tigres et sa riche biodiversité .

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noemierv · 6 years ago

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Le 26 juillet, à 2h du matin, nous posions enfin le pied sur le sol balinais. Nous avions hâte d’arriver sur cette « île des Dieux » qui nous faisait tant rêver depuis les prémices du voyage. Initialement, nous avions prévu de traverser l’île de Java, depuis Jakarta, avant de rejoindre Bali, mais nous avons changé nos plans pour nous consacrer entièrement à Bali et à Gili Air (petit îlot paradisiaque située à l’est de Bali, très prisé pour les lunes de miel).

Nous avons donc prévu l’itinéraire suivant :

Kuta → Ubud → Gili Air → Amed

Grandes étapes du voyage à Bali

Pour notre première semaine à Bali, nous avons donc posé nos sacs à dos à Kuta, au nord de la péninsule de Bukit. Il s’agit d’une station balnéaire très souvent décriée et mal aimée. La ville a la réputation d’accueillir une population de touristes australiens, venus principalement pour y faire la fête. Ce tourisme de masse, sans les infrastructures adéquates, a quelque peu dévisagé cette partie de l’île, qui ressemble par endroit aux ruelles de Katmandou : centaines de deux-roues, embouteillages, rues congestionnées, pollution … Le seul avantage de Kuta : une plage de sable blanc de plusieurs kilomètres et des logements très peu chers ! En ce qui nous concerne, ça sera notre point de départ pour découvrir l’île. On vous raconte tout, mais avant … un petit focus sur l’histoire de Bali.

* Au cœur de l’histoire Balinaise *

L’histoire de Bali est complexe et sa culture unique au monde. Selon la légende, Bali fut créée par le Dieu des enfers, Kala, et ses habitants par Brahma, le Dieu créateur. Dès le IVème siècle, des voyageurs en provenance de l’Inde débarquèrent en Indonésie, implantant l’hindouisme sur l’île de Bali. De nombreux aspects de la culture indienne se retrouvent donc à Bali, et notamment le système de castes.

Aux alentours de 1400, un prince javanais musulman fonda l’Etat de Malacca (en Malaisie), et répandit l’influence musulmane jusqu’à Java. Bali devient alors un refuge de l’hindouisme dans la région.

Au XVIème siècle, les Européens ont débarqué en Indonésie, dans le but notamment de faire commerce des épices. En 1710, un conflit éclata entre les hollandais et les princes Rajahs (princes balinais), ces derniers souhaitant préserver l’indépendance de Bali. En 1906, la marine néerlandaise lança l’assaut final pour asseoir son autorité sur Bali. Les rois Rajah, pensant la défaite inévitable, ont refusé la réédition et l’exil et ont pratiqué le « puputan » (acte militaire qui consiste à se suicider de façon collective). Les néerlandais, ont alors pris le pouvoir sur l’intégralité de l’île et l’ont intégrée aux indes néerlandaises.

En 1942, pendant la seconde guerre mondiale, les japonais ont envahi Bali. Le 17 août 1945, l’Indonésie est déclarée indépendante, mais les occupants néerlandais mettront près de 4 ans à quitter le pays, au prix de batailles sanglantes au cours desquelles de nombreux balinais perdirent la vie.

En 1970, les touristes commencent à affluer sur Bali, générant des revenus bénéfiques aux populations (aménagement de routes, amélioration du système de santé), pourtant l’impact environnemental était d’ores et déjà critiquable. En 2002, deux bombes ont explosées simultanément à Kuta faisant plus de 200 morts et 300 blessés. Trois ans plus tard, un nouvel attendant à Bali tua 20 personnes et fit des centaines de blessés. Depuis, Bali est redevenue une destination sûre et accueille chaque année des milliers de tourismes venus du monde entier.

Arrivée à Bali et découverte de Kuta

Nous avons pris deux vols pour arriver à Bali : Singapour – Jakarta, puis Jakarta – Denpasar, avec une escale (beaucoup trop) longue entre les deux.

Il est à noter que, pour la première fois depuis le début de notre voyage, on exige que nous puissions prouver notre sortie du territoire indonésien dans les 30 jours qui suivent notre entrée. Autrement dit, sans billet de continuation, nous n’aurions pas pu embarquer dans l’avion qui nous a emmenés en Indonésie. Ce n’est donc pas une légende ! Heureusement, nous avions déjà acheté notre billet Denpasar – Auckland, ce qui nous a permis d’éviter les ennuis. Beaucoup d’étrangers jouent avec le feu en Indonésie et restent au-delà de la durée maximale du visa, ce qui entraine de lourdes pénalités financières et des placements en rétention. L’immigration est donc vigilante, surtout avec ceux qui ont plein de tampons sur leurs passeports, et qui semblent ne pas être rentrés à la maison depuis un moment ! En ce qui nous concerne, on est en règle … on reste 29 jours sur les 30 autorisés.

En arrivant à 2 heures du matin, on a joué la sécurité et organisé un pick up directement à l’aéroport (sincèrement, on n’avait pas envie de négocier sur le parking à cette heure tardive, sachant que Bali est le royaume des arnaques en tout genre concernant les taxis). A noter que les GRAB (uber) et drivers privés ne sont pas « autorisés » à rentrer dans l’aéroport, et qu’ils subissent régulièrement des pressions, menaces et parfois intimidations physiques, de la part des chauffeurs de taxi. Ça ne nous empêchera pas de prendre des GO-JEK (Grab) et un driver privé pour nous déplacer, car c’est vraiment beaucoup moins cher et beaucoup plus pratique. Il faut juste être discret.

L’arrivée à Kuta nous fait rire, parce que la ville nous rappelle Katmandou : on se sent chez nous. C’est le bazar partout, les risques de se faire renverser par un scooter sont surélevés, les temples côtoient les fils électriques et les statues hindouistes nous rappellent des figures familières : on retrouve Ganesh à tous les coins de rue, les paniers d’offrandes et les colliers de fleurs !

La plage de Kuta est belle, avec des vagues idéales pour commercer le surf. Elle n’est pas du tout recouverte de resorts, et tout est à la sauce locale. Avec trois chaises en plastique et une glacière usée rempliée de Bintang (bière locale), les balinais vous créent un bar de plage. L’ambiance est cheap, désuète et un peu loin du standing de luxe que l’on imagine à Bali. Au final, ça nous va plutôt bien (nous qui avons tant râlé à Langkawi car les plages étaient réservées aux transats 4 étoiles des hôtels de luxe).

La nuit tombée, les boites de nuit de Kuta se mettent en branle et l’alcool coule à flot. Mieux vaut éviter de s’attarder trop tard le soir. Il y a plein d’histoires glauques qui circulent, notamment sur des filles qui se font piéger leurs verres en club. Bref, comme partout, il faut faire un peu attention.

Notre avis sur Kuta : Dites à un Balinais que vous n’êtes allés qu’à Kuta, et il vous dira que vous n’êtes pas allé à Bali. L’ambiance est très loin de la culture balinaise et le tourisme de masse a vraiment un impact très négatif sur l’environnement, l’urbanisation et l’engorgement de cette partie de Bali. Les prix étant attractif, tout le monde s’y presse, mais dans un sens, peut-être vaut-il mieux que la masse de touristes soit contenue dans un espace restreint, plutôt qu’elle abîme la totalité de l’île. C’est vraiment l’occasion de s’interroger sur les impacts négatifs du tourisme. En effet, dans les pays pauvres, les infrastructures sont insuffisantes pour cacher les conséquences environnementales des agissements individuels. L’exemple le plus criant : les déchets. On espère juste que ça aidera certains à prendre conscience des conséquences de leurs actes.

Bref, mieux vaut globalement éviter Kuta et rechercher des coins plus calmes et authentiques. La péninsule de Bukit jouit de paysages magnifiques, et le nord est encore sauvage.

Entrée de la plage de Kuta

Au détour d’une balade à Kuta

Offrandes matinales

Une balade à Kuta

Cérémonie sur la plage

Au détour d’une rue à Kuta

La jolie plage de Kuta

Plage de Kuta

Encombrement des rues à Kuta

Centre du capitalisme à Kuta

Bronzette sur la plage

Sortie en amoureux

Coeur sur le sable

Bateau traditionnel

Plage de Kuta

Piscine grand pudjawan

Plat traditionnel indonésien

Sate et gâteau de riz, sauce cacahouete

Beignet sauce arachides

En ce qui nous concerne, nous avons été jusqu’à Seminyak, située au nord de Kuta. Il s’agit d’une station balnéaire beaucoup plus jolie et calme, mais aussi beaucoup plus luxueuse. C’est le prolongement de la plage de Kuta, mais tout est relativement bien préservé. Ça vaut le coup d’en profiter, en espérant qu’elle sera préservée encore quelques années.

Coucher du soleil à Seminyak

Soirée au Mano, Seminyak

La grande vadrouille part en road trip

Bon, Kuta c’est bien sympa, mais au bout de 5 jours il était temps de voir du pays. On a regardé les prix des taxis, et on a failli s’évanouir, idem pour ceux des GO-JEK dès lors qu’il s’agit de faire plus de 5 km… La location de scooter quant à elle est très bon marché, mais on se rappelle d’un vol plané dans une voie d’irrigation alors, on abandonne l’idée (d’autant plus qu’ici, les gens roulent comme des fous !). On opte donc pour l’option location de voiture avec chauffeur, à 500 000 rupiahs la journée (30 euros). On voulait absolument visiter Tanah Lot et Uluwatu, deux temples mythiques, et nous devions nous rendre à Ubud pour une semaine. Pour le prix de ces trois trajets, nous avons pu faire 2 jours de road trip, avec en prime un drop of à Ubud… On a sauté sur l’occasion.

Aris et nous devant, devant Tanah Lot temple

Jour 1

Kuta → Tanah Lot → Padang Padang beach → Uluwatu et danse du feu au coucher du soleil

Itinéraire Jour 1

Le premier jour était consacré aux deux temples mythiques : Tanah lot et Uluwatu, avec un arrêt à Padang Padang beach, réputée comme l’une des plus belles criques de la péninsule de Bukit. Peu de kilomètres à faire, mais pourtant des temps de trajets incroyables. En effet, le sud est caractérisé par les embouteillages, car l’accès à la péninsule se réalise via un entonnoir.

Le temple de Tanah Lot est décrit par le guide du routard comme « Fascinant et magnifique, drapé d’une aura intrigante », qui offre « un spectacle éloquent lorsque les vagues viennent s’effondrer contre les parois du temple, bénéficiant, de plus, de l’un des couchers de soleil les plus splendides de l’île ». Il s’agit de l’un des sept temples dédiés à la mer construits sur l’île de Bali. La légende raconte que le Saint prêtre Danghyang Nirarta se serait reposé une nuit sur ce rocher, et que les balinais auraient décidé de construire un temple pour lui rendre hommage. Il existe sous le temple une grotte abritant une source d’eau « magique ». En effet, alors que le temple est situé sur la mer, l’eau de la source est douce ! A noter que seuls les hindouistes sont autorisés à rentrer dans le temple, et qu’on ne peut l’apercevoir que de loin.

Tanah lot

Non loin de Tanah Lot, on trouve un second temple Pura Batu Bolong, tout aussi mystérieux. Le nom de ce temple signifie « rocher percé » en raison de la cavité naturelle qui s’ouvre dans la roche.

Pura Batu Bolong

Après avoir profité de la vue imprenable sur Tanah Lot et Pura Batu Bolong, nous avons pris la direction du sud afin d’atteindre la péninsule de Bukit. Après un repas typiquement indonésien, nous avons pris le temps de nous baigner dans les eaux turquoise de la plage de Padang Padang. Il s’agit d’une jolie crique au bord des falaises de Pecatu. L’accès se fait à travers des escaliers qui passent au milieu des falaises, sur lesquelles de nombreux singes sauvages ont élu domicile.

Padang padang beach

Enfin, nous avons fini la soirée au célèbre temple d’Uluwatu, situé à l’extrémité sud de Bali, et faisant lui aussi partie des 7 temples de la mer. Le temple est construit au bord d’une immense falaise (70 mètres), et est habité par quelques singes espiègles et voleurs (on assistera en direct au vol d’une jolie paires de lunettes de soleil Ray ban). Certains disent que les singes sont dressés pour voler les biens de valeurs des touristes, que ceux-ci peuvent récupérer contre une somme d’argent auprès du dresseur… !). Il est très populaire en raison de la danse Kecak Fire (danse du feu) à laquelle on assiste au moment du coucher du soleil, devant un panorama à couper le souffle. Cette danse s’apparente davantage à du théâtre, mettant en scène les divinités hindouiste, sur fond de musique de gorge chantée par 70 hommes. Moment magnifique, malgré la foule. L’ambiance est mystique, les danses sont exceptionnelles, la performance vocale est incroyable !

Uluwatu

Danse du feu (uluwatu)

Jour 2

Kuta → Temple Taman Ayun → Jatiluwih rice terrasse → Lac Bratan → Brajan hot spring → Munduk waterfall

Itinéraire Jour 2

Cette deuxième journée nous fait prendre la direction du nord de Bali, avec la traversée de paysages extraordinaires. Coup de cœur assuré pour quiconque prend la direction du Munduk !

Le premier arrêt de la journée nous permettra de visiter le fameux temple Taman Ayun, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Il s’agit du second plus grand temple balinais, après celui de Beskih. Il s’agit d’un temple familial (on vous parlera plus en détail de la religion à Bali dans notre prochain article), où les ancêtres divinisés de la famille royale de la dynastique Raja de Mengwi sont honorés.

Taman Ayun

Nous avons ensuite poursuivi notre route vers les rizières de Jatiluwih, connues pour faire partie des plus belles de l’île, et dont le système d’irrigation (le « subak ») est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le riz est cultivé à Bali depuis plus de 1000 ans. La légende raconte que le roi Petru aurait reçu des graines de riz en cadeau d’un Dieu. La déesse Sri (femme de Vishnu), a du se cacher dans les graines pour les protéger d’une femme géante qui essayait de les voler au roi. Depuis, Sri est devenue la déesse du riz, et les nombreux petits temples qui jonchent les rizières lui sont dédiés. Le riz à Bali est donc un aliment sacré.

Jatiluwih

Le système d’irrigation des champs n’a pas évolué et la culture du riz est toujours réalisée selon les techniques ancestrales. Les communautés paysannes s’organisent pour inonder les champs et commencer les récoltes. La rizière la plus élevée est inondée en premier, puis l’eau s’écoule, grâce à un ingénieux système de canalisations, dans les terrasses situées en dessous. Le riz est ensuite repiqué à la main, et lorsqu’il est à maturité, il est récolté. Il s’agit d’un travail pénible. Les épouvantails qui jonchent les rizières ne sont pas là pour amuser les touristes, ils servent à effrayer les oiseaux qui cherchent à se nourrir dans les champs !

Jatiluwih

Nous déjeunerons sur la terrasse d’un restaurant disposant d’une vue à couper le souffle sur les rizières, avant de prendre la direction de la région de Munduk. Il s’agit d’une route paradisiaque, entre montagnes et lacs, offrant des panoramas à couper le souffle. Les routes sont escarpées, raides, et les virages en épingle, il faut avoir le cœur accroché, mais deux yeux ne suffisent pas pour se délecter du paysage. Nous ne nous arrêterons pas au célèbre temple ulun batur, plongé dans la brume, afin de continuer notre chemin vers le nord en direction des sources d’eau chaude de Brajan.

Vue sur le lac bratan

Temple ulun batur (photo @pixabay)

L’arrivée aux sources d’eau chaude de Brajan est paradisiaque. Un petit chemin donne l’impression de s’enfoncer dans la jungle, au milieu d’une végétation luxuriante, pour aboutir sur deux bassins aux couleurs d’un vert irréel. Les sources sont reliées à un monastère bouddhiste, et sont réputées soigner les maladies. L’eau chargée en souffre est d’origine volcanique et arrive à une température de 37 degrés dans les bassins, où elle se déverse à travers la bouche de statues.

Nous prenons un plaisir non dissimulé à flotter dans les bassins, et sortons absolument détendus des sources. Une expérience incroyable, d’autant plus que l’eau avait très peu d’odeur (le souffre sent l’œuf pourri).

Brajan sprin water

Enfin, pour finir la journée en beauté, nous prenons la direction de l’une des cascades de Munduk (car il est déjà tard et la luminosité décline). Pas le temps de se baigner, juste celui de regarder la puissance de l’eau, avant d’attaquer la remontée pour rejoindre la voiture. Il est déjà temps de prendre la route pour Ubud !

Munduk waterfall

Cette première semaine sera passée à la vitesse de l’éclair ! Nos premières impressions sont que Bali à bien plus à offrir que de jolies plages : une culture et une pratique religieuse restées figées dans le temps, une gastronomie absolument divine, et des paysages paradisiaques. Autant vous dire que nous avons hâte de découvrir la suite !

35 – [Bali] Arrivée sur l’île des Dieux et premières découvertes Le 26 juillet, à 2h du matin, nous posions enfin le pied sur le sol balinais. Nous avions hâte d’arriver sur cette « île des Dieux » qui nous faisait tant rêver depuis les prémices du voyage.

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its-emmaeli-blog · 7 years ago

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Retour sur les places de marché après la visite d’un pays communiste.

Le business ou le triangle d’or de la grande banlieue de Delhi : airport city / greater noida/ Gurgeon

Airport --> Greater Noida

Arrivée à l’aéroport de Delhi après un vol de nuit (sud ouest de Delhi ) - 2 /3 heures de sommeill- On prend le taxi pour « Greater Noida « , Nord-Est de Delhi , zone « en construction » où se trouve le hall d’exposition de Delhi - à 2h30 de taxi - retrouvailles avec mr Lal, notre agent , dans le cab - Dépôt des bagages au Formule One qui est devenu Caspia hôtel , une chaîne indienne -

Question : est ce que Formule one revend sa camelote lorsqu’elle vieillit pour ne pas avoir à investir dans les travaux de rénovation? Beurk- Ou bien Formule One quitte l’india tout court?

We go to the fair- all the day- difficile de scanner les stands à la recherche du bon fournisseur ou de la masterpiece qui sera notre nouveauté . Regard entraîné, on s’avère assez efficaces malgré la fatigue ou bien la fatigue nous oblige à être efficace.

Le soir on retrouve le restaurant Swagat et j’abuse un peu sur les retrouvailles . Je mange beaucoup et hyper épicé . Délice.

Le Formule one/ Caspia vieux fait pitié : mal entretenu, des traces de café dégoulinent sur les mots inscrits sur le mur en tête de lit « Paris / London / petit déjeuner ». Le miroir de la salle de bain a bruni, les hublots qui ne s’ouvrent pas sont sales , les murs étriqués cabossés par les chocs des valises, on ne peut pas aérer, odeur de cigarette dans le couloir , mégots écrasés par terre dans l’escalier , le couloir est un champ de mines , jonché d'assiettes sales devant les portes des chambres qui restent par terre du matin jusqu’au soir .

Caspia est vraiment Cradoc malgré une base « look standard » qui maintient le truc à peu près en place. L’hôtel reste sympa car il est toujours peuplé par les exposants indiens du salon. Ambiance . Nous sommes 3 européens seulement. Les autres doivent opter pour plus de luxe. Ici avec Swagat, nous ça nous va.

Ça doit être grâce à la chaleur humaine qui l’emporte dans ce bazar.

L’immeuble qui était en construction à côté la dernière fois est devenu un Décathlon. Décidément on est bien dépaysé . Et les filles de la boutique qui me demandent de mettre des photos d’Inde sur Instagram! Elles s’imaginent quoi?

Greater Noida --> Gurgeon

Après le deuxième jour de salon, on prend un UBER car, comme Formule One, c’est décidément la façon la plus économique de bouger . Les taxis et les ricksahws sont morts, ici toutes les voitures sont des Uber ou des Ola. 2 fois moins cher qu’un taxi normal.

On va dormir chez Mr La qui habite près d'une gare- 2h30 encore de taxi pour accéder à la zone résidentielle au sud de Delhi : Gurgeon.

Traffic insensé . Le chauffeur discute a bâton rompu avec Mr Lal de sa mère, ses enfants , de politique sans s’arrêter . Kim et moi tombons dans un sommeil profond jusqu’à l’arrêt au magasin de surgelés. Alors que Kim et Mr Lal choisissent notre repas, je demande au chauffeur de quoi ils parlent avec autant d’entrain. Et il me dit en montrant le siège de Mr Lal, « this man is a good man ». On le savait. Ursula qui nous l’a présenté 10 ans auparavant est aussi une femme bonne et exceptionnelle.

Mr Lal nous dit qu’il n’a jamais aimé Modi qui divise les communautés ( Sikh, Hindous, musulmans ,…), c’est ce que j’avais lu et je suis contente que Lal me le confirme. D’ailleurs le bilan n’a pas l’air très bon. Il a beaucoup parlé pendant les Elections mais les résultats ne sont pas là.

L’appartement de Mr Lal est grand , même si les couleurs dominantes jaune et marron sont moyennement agréables , il y règne une belle harmonie d’ensemble et les tableaux sont jolis . Prix de l’appart = 240 000 euros . On boit du whisky, je fais cuire les surgelés , on discute de pollution, de poulets aux antibiotiques , on se couche tard et j’ai du mal à dormir .

La climatisation des 16 heures d’avion ont eu raison de mon bronzage qui s’est effrité . La fatigue réinstalle de belles cernes sous mes yeux , je pense par ailleurs qu’on a importé quelques petites bêtes du Maroc dans notre valise car on est couverts de petites piqûres . Arghhh.

On bouclera le dernier jour : Gurgeon --> Greater Noida.

Train pour aller voir les fournisseurs de Jaipur :

Je ne supporte plus la clim de ces hôtels standards . Pourtant comme à Bangkok, rien à redire de l’Ibis Jaipur : agréable, jolie piscine, fond sonore Hindi très tendance, buffet indien excellent, prix plus que raisonnable... certificat d’excellence de notre ami Advisor. Il y a une majorité d’Indiens ici. Notre agent adore ce genre de lieu qui lui rappelle la France où il a vécu avec sa famille 10 ans en tant que responsable du développement de l’artisanat indien pour son gouvernement.

Je n’arrive pas à cacher ma contrariété mais ça va passer. C’est juste la fatigue car objectivement, étant donné que mon hôtel favori,l’Arya Niwas, était complet, l’alternative est quand même bien. Mais je n’en peux plus des standards marketés jusqu’au bout des ongles .

Y’a des fois j’ai envie de gueuler FUCK le MARKETING ! Travaille avec ton cœur ! Voilà c’est ça le truc qui manque , c’est le cœur , à la place on sent le fric. ( Cf les conditions des femmes de chambre du groupe ACCOR malgré 14 millions de bénéfice last year). C’est pour ça qu’on aime tant les Gabelous à Saint Véran, même si Jojo a ses humeurs et ses têtes, c’est pour ça qu’on aime l’Arya Niwas à Jaipur, même si tu peux pas y trouver l’ombre d’une bière ou d’un bout de viande, c’est pour ça qu’on a créé Sensitive et Fils tel qu’il est. Et ces lieux ont une grande valeur . Des lieux qui résistent au cash flow, au flot du marketing , tout puissant, gluant englobant tout sur son passage tel un sable mouvant . Il ne s’agit pas de ne pas faire de marketing, bien sûr il faut connaître son client, et s’adresser à lui de la bonne manière ( « ciblée » , paf, un shoot! ) , au bon moment, avec la bonne offre mais le plus important est de maintenir son cap et ses convictions au delà des désirs du client.

J’explore un peu INSTA ( en milieu pro) et je vois a quel point on s’englue volontairement dans cette usine à pubs, sans fond, qui fatigue l’esprit par son zapping permanent et par son aliénation volontaire.

Et pourtant comme l’iPhone,et les réseaux , l’ibis ou Décathlon , ça m’attire car c’est bien fait !

J’écris car on prend beaucoup de taxi, alors soit je dors, soit je pense afin de m’extraire du trafic chaotique et bruyant. Ici à Jaipur nous avons un chauffeur Sikh, un gars super , toujours le même depuis 8 ans quand il est libre, toujours souriant, heureux de faire son travail, qu’il fait parfaitement, une perle de bonhomme.

ON nous aime bien ici , d’abord parce qu’on est fidèle et qu’on paye . Et puis aussi parce qu’on apporte toujours des nouveaux modèles et des nouveaux motifs. Samy aime les gens qui « expérimentent », entendre qui « investissent » comme nous dans la création. Parce que pour eux c’est une sacré ouverture d’avoir des nouvelles « coupes » et des imprimés typés européens qui vont plaire à d’autres clients et on largue un paquet de business dans notre sillage.

Malgré sa loyauté , nous avons trouvé dans son showroom deux françaises et un couple d’Allemands qui vérifiaient leur commande et il y avait des tuniques estampillées avec leur marque utilisant nos tissus . Choc. ON investit du temps et de l’argent en France pour créer des motifs, on achète le cadre (pour faire le « screen » qui sert à imprimer le tissu ) et d’autres n’ont qu’à se servir.

On reste calme, car en Inde, on ne s’énerve pas et on discute. Bien sûr il s’agit d’utiliser le reste de tissu imprimé en plus et pas utilisé, bien sûr il s’agit de petites quantités …

Et lorsqu’on s’en va , on demande à récupérer tous les prototypes des vêtements de la collection, impossible à retrouver.

Il va falloir sérieusement penser à l’INPI.

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