#chanteuse de metal
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› Evanescence | Trend Art
FR : Une trend artistique consistant à redessiner l'album d'Evanescence dans notre style, j'en suis pas mal fier-e. Elle sera disponible en print dans ma boutique insta ! 💙
⚠️ Description de l'Image : Dessin représentant l'album d'Evanescence (groupe de metal), celui de "Fallen". L'album représente la chanteuse du groupe, son visage très blanc et ses cheveux noir. Ses yeux bleu sont fixés vers nous, ses sourcils sont froncés et elle nous sourit. Elle possède un piercing à l'arcade (2 piques à coté du sourcil droit). Derrière elle le paysage est bleu et blanc accompagné de petites étoiles transparente. En haut du dessin on peut lire "Evanescence - Fallen" / Si tu as des questions n'hésite pas !
› NO REPOST ‼️❌
#digital art#digital artist#my art#nonbinary artist#queer artist#french artist#dessin#fanart#my fanart#redraw#goth art#gothic#goth girl#evanescence#bring me to life#metal#rock#illustration#artwork#digital painting#clip studio paint
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Eleine: We Shall Remain
Aujourd'hui sur Blog à part – Eleine: We Shall Remain Non, ce n’est pas le 1er novembre, mais le 32 octobre et, du coup, cette chronique du nouvel album d’Eleine, We Shall Remain, n’est pas en retard. #PowerMetal #SymphonicMetal
Non, aujourd’hui, ce n’est pas le 1er novembre, mais le 32 octobre et, du coup, cette chronique du nouvel album d’Eleine, We Shall Remain, n’est pas en retard. Si je veux, d’abord! Eleine est un groupe suédois, formé il y a dix ans autour de la chanteuse Madeleine Liljestam et du guitariste, chanteur et compositeur Rikard Ekberg. Souvent classé « metal symphonique » pour la raison principale que…
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ACHELOUS - Tower Of High Sorcery
Dans une grande opulence symphonique qui le caractérise le 3ème opus des grecs d’Achelous (Epic Heavy Metal) « Tower Of High Sorcery » via le label No Remorse Records éclaire tel un archange Luciférien.
Achelous est un projet solo lancé par Chris Achelous jusqu'à ce que le chanteur Chris Kappas monte à bord en 2013.
C’est à coups d'épée Athénienne et de hache triomphante que « Tower of High Sorcery » chevauche les steppes de riffs puissants avec un son grandiloquent. L’album est diversifié par la continuité naturelle de chaque titre, et échappe aux stéréotypes du power metOl. Le groupe se taille la part du lion à coup de galop mythologique à tempo moyen avec les titres « Isthar » , « Forest of Sorrow » , « Pagan Fire », « When the Angels Bleed » et les fans de Doomsword, Bathory, Primordial, Atlantean Kodex, Grand Magus, Argus, Smoulder seront ravis.
A noter le featuring d’Harry "The Tyrant" Conklin de Jag Panzer sur l’héroïque "Into the Shadows", et de son chant éthéré new-age une chanteuse apporte une beauté mystérieuse sur les chansons "Pagan Fire" et "Istar (Blood Red Sea)".
Cet excellent disque épique est rempli de chansons contagieuses pour un plaisir coupable car nostalgique de l’homérique musicalité méditerranéenne qui la compose.
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Au printemps 1989, la ballade rock Close My Eyes Forever est sortie, qu'Ozzy a interprétée en duo avec la chanteuse de rock américaine Lita Ford
La chanson a atteint le top dix de l'année aux États-Unis et est apparue dans tous les charts mondiaux, restant toujours l'une des meilleures ballades de l'histoire du heavy metal.
Les albums suivants n'ont pas pu répéter le succès des deux premières compilations d'Ozzy, jusqu'à la sortie de No More Tears en 1991, qui a reçu le statut de quadruple platine aux États-Unis. Les morceaux Hellraiser et Mama I'm Coming Home, écrits avec le leader de Motörhead, Lemmy Kilmister, ont été particulièrement populaires.
Un autre album quatre fois platine est sorti en 1995: le chanteur, avec la participation de l'ancien collègue de Black Sabbath Rick Wakeman et Zakk Wylde, a enregistré le disque Ozzmosis. Les musiciens ont fait une tournée internationale.
Le disque suivant, Down to Earth (2001), est encore plus populaire, notamment la composition Dreamer, qui ne quitte pas l'air des radios pop.
Ozzy et dans la vieillesse reste fidèle à sa dépendance aux spectacles spectaculaires. À la veille de l'éclipse solaire totale observée aux États-Unis le 21 août 2017, Osborne a organisé le festival de musique rock Moonstock dans l'Illinois. À la fin de l'événement, qui est tombé sur l'éclipse, John a interprété la chanson Barkat the Moon.
En 2020, le musicien sort le 12e album studio Ordinary Man, dans lequel il interprète la chanson titre du même nom en compagnie d'Elton John. Une autre collaboration incluse dans la collection est It's a Raid, qui mettait en vedette le rappeur américain Post Malone.
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Changement Étrange
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by MiaQc
Avec la récente censure de Skullgirls, je devais écrire cette parodie. Filia grimpe une longue, longue, LONGUE échelle pour rejoindre une mystérieuse chanteuse qui doit être en danger. Samson en profite pour jeter un coup d’œil sous sa jupe et quelque chose ne va pas.
Words: 266, Chapters: 1/1, Language: Français
Fandoms: Skullgirls (Video Game), Metal Gear, Real Person Fiction, Celine Dion (Musician), Pop Music RPF, Music RPF
Rating: Teen And Up Audiences
Warnings: No Archive Warnings Apply
Categories: Gen
Characters: Filia Medici, Samson (Skullgirls), Celine Dion
Relationships: Filia Medici & Samson
Additional Tags: Parody, Song: Snake Eater, Song Lyrics, ladder, Climbing, tower, singer - Freeform, RPF, Censorship, Panties, Black Panties, Colors, Mystery, Sharing a Body, Long Hair, Parasites, POV Third Person, Video & Computer Games, Wordcount: 100-500, One Shot, Dialogue Heavy, Crossover, Crossovers & Fandom Fusions
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Mes 32 albums préférés de 2022 classés selon leurs pochettes (2 sur 4)
23. Marie-Gold - Bienvenue à Baveuse City
(rap queb, hyperpop)
Définitivement un des albums que j'ai le plus écouté cette année. Excessivement l'fun, coloré et très catchy! ✨ Encore une fois, c'est assurément intentionnel que cette pochette soit laide. Ça se veut kitsch et cheapette, comme la star que personnifie Marie-Gold dans l'album, toutefois, le résultat n'est pas très attirant. Trop de trucs qui sont lancés mais pas grand chose qui collent...
Marie-Gold - La Presse (Baby Girl
22. Soul Glo - Diaspora Problems
(hip-hop, hardcore punk)
Difficile de trouver un album paru en 2022 qui aie attaqué la scène hardcore punk avec autant de mordant et de conviction que ''Diaspora Problems''. Cette pochette se marie bien à l'album, le visuel est trash et à priori pêle-mêle, à l'image de la musique chaotique de Soul Glo, mais étant donné que c'est difficile de repérer rapidement les éléments qui le compose, je pense qu'il manque de force et d'efficacité.
Soul Glo - Driponomics
21. Sloan Lucas - Oh shit sorry
(rap queb, féministe)
Pas loin de la découverte de l'année pour moi, Sloan Lucas offre un EP de hip-hop catchy sans faille. Elle livre des textes arrogants, intelligents et revendicateurs, mais elle le fait avec un style nonchalant et sarcastique, qui la rend immédiatement mémorable. La pochette de ''Oh shit sorry'' n'a rien d'extraordinaire, esthétiquement elle est même plutôt moche. Mais le collage de faces dégoutées complimente bien la vibe provocante-mais joueuse du projet.
Sloan Lucas - Party poop
20. Wet Leg - Wet Leg
(indie rock, post punk)
Solide première offrande de la part du duo indie rock anglais, cet album regorge de hits tout aussi catchy que quirky.
La pochette est assez simpliste, mais elle n'est pas mauvaise. Le simple fait que les filles soient de dos contribue à rendre le visuel plus intéressant, plus secret.
Wet Leg - Ur Mum
19. Zeal & Ardor - Zeal & Ardor
(black metal, blues)
Encore une fois, Zeal & Ardor arrive à habilement combiner black metal, blues et gospel afin de produire un album qui semble tout droit sortir d'un cauchemar western. Cependant, cette pochette laisse à désirer. Leurs autres covers étaient eux aussi minimalistes, mais soit ils utilisaient un symbolisme particulièrement clever et efficace, ou bien ils utilisaient une palette de couleur qui venait clasher avec les covers traditionnels du genre. Cette fois-ci, le cover manque d'impact.
Zeal & Ardor - Golden Liar
18. Brutus - Unison Life
(rock, post hardcore)
Le groupe belge livre ici un troisième opus aussi fort que les précédents. Évitant de tomber dans le piège de se ramollir avec le temps, le trio profite à nouveau des talents de Stefanie Mannaerts, leur drummeuse/chanteuse qui s’époumone sur chaque morceau, afin de livrer des tracks lourdes et énergiques. Le cover qui accompagne cet album fait bien sa job. Dynamique dans sa sobriété, il promet un projet habile et soigneusement composé. Toutefois, il ne passera sans doute pas à l'histoire.
Brutus - Dust
17. 070 Shake - You Can't Kill Me
(psychedelic hip-hop, r&b)
Comme l'album précédent de la chanteuse, ''You Can't Kill Me'' se traverse comme un voyage psychédélique, émotif et texturé.
Je ne crois pas que la pochette rende justice aux couleurs intergalactiques que la production suggère , toutefois, le rendu gâché de la peinture se prêtre bien au thème d'autodestruction abordé par l'artiste et le tout est assez efficace.
070 Shake- Cocoon
16. SeinsSucrer - Pushe le whipe
(rap queb)
J'étais réticent en écoutant ce projet là pour la première fois, je trouvais que la voix et les tics de langage de SeinsSucrer étaient un peu trop inspirés du rappeur américan Westside Gunn. Toutefois, SeinsSucrer a du charisme et ses textes crus et imagés ont finit par me charmer.
Du côté de la pochette, on est à mi-chemin de ma liste et on commence tranquillement à arriver à des œuvres qui me plaisent. Celle-ci ne présente pas de caractéristiques tant iconiques, mais le style illustratif aux proportions cartoonesques colle bien avec ce style de rap.
SeinsSucrer - Le finest piff
🥰 Lien vers la page suivante de la liste >>>>>>
#album cover#marie-gold#soul glo#sloan lucas#zeal & ardor#brutus#wet leg#070 shake#seinssucrer#rap queb
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Sound of Metal, Darius Marder, 2019
Un batteur et sa compagne chanteuse font une tournée de petites salles aux USA. Mais le jeune homme devient sourd d’un jour à l’autre. La mise en scène est imaginative en essayant de nous faire partager les problèmes d’audition. Il y a de bonnes idées comme cette communauté de sourds. Mais par contre j’ai trouvé que l’histoire d’amour ne marchait pas du tout.
A drummer and his singer girlfriend are doing small gigs around the USA. But the guy becomes suddenly deaf. There are great ideas to make us feel how it is to be deaf and some cool ideas like this deaf community at the countryside. But I thought the love story was a bit useless and didn’t work very well.
★★✰✰✰
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They saved the rock music and more : The Battle At Gardens Gate Review [French]
[Sorry for English people but my skills are awful and it was more easy for me to write this review in French. ]
Peut-on savoir qu'un groupe va écrire l'histoire du rock ? Probablement que non. Encore moins en 2021 où 70 ans d'histoires, de chansons et de mélodies semblent avoir déjà tout dit. Beaucoup d'artistes tentent, à leur manière, de se détacher du passé quitte à sombrer dans une relative insipidité de création. D'autres au contraire puisent leur inspiration dans ce qu'ont construit leurs aînés pour offrir au monde une autre destinée au rock : celle de son retour fracassant.
L'avantage d'avoir grandit avec les légendes du rock c'est que j'ai à mes côtés l'individu le plus à même de me raconter la glorieuse épopée de The Beatles, de à quel point des groupes comme Pink Floyd et Led Zeppelin ont crée un boulevard pour ceux qui allaient suivre et que jamais une génération comme la sienne connaîtra ce qu'il a vécu : l'avènement du rock et du hard rock et d'une époque où la musique a écrite ses plus belles heures.
Evidemment il est de cette génération qui juge sévèrement le rock d'aujourd'hui, qui peste devant ces nouveaux artistes tous plus insupportables les uns que les autres et que "décidément ça vaut pas un bon [insérer nom random d'album culte de groupe tout aussi culte]. Etant née dans les années 1990 j'ai connu à l'adolescence le punk rock de Green Day, le neo-metal de Linkin Park et l'avènement du rock mainstream à deux balles où il suffit qu'un mec sait un peu près bien jouer de la guitare pour faire crier les groupies ; option belle gueule en passant. Il est certain que pour mon papa, malgré une relative satisfaction de voir que je choisissais la musique rock, il était nettement plus préoccupé par la qualité médiocre de l'industrie.
Je lui en ai fait écouter des groupes, des musiciens, des chanteurs et chanteuses. AUCUN n'a réussi à approcher, même un peu son univers. Bien sûr, il va aimer des chansons récentes (dernièrement Glasgow du groupe anglais The Snuts) et jeter des coups d'oeil curieux à l'actualité musicale. Reste une constante : dans ses moments cools à la maison, c'est toujours un disque de The Who, Pink Floyd ou Led Zeppelin qui tourne sur la chaîne Hi-Fi.
Et puis il y a eu Greta Van Fleet.
La rencontre était à double-tranchant : soit il allait adhérer ou au contraire rejeter en bloc l'idée même qu'un groupe puisse toucher à sa jeunesse. Je m'attendais qu'il me rende les disques au bout d'une seule écoute, comme il le fait habituellement.
Des semaines plus tard, les disques ont fini par trouver leur place auprès de ses légendes. Ce moment dingue où je suis rentrée du boulot et que Safari Song résonnait à fond sur la chaîne Hi-Fi. Ce moment où il m'a demandé s'il pouvait garder les disques un peu plus longtemps. Ce moment où j'ai réalisé que Greta Van Fleet n'était pas un simple groupe de rock : ils avaient gagné le droit d'entrée dans l'univers musical de mon père.
The Battle At Garden's Gate est sorti aujourd'hui, en ce vendredi 16 avril 2021. Dire que j'attendais (je rectifie : on attendait) cet album est un euphémisme. J'avais été bouleversé par Heat Above (spoiler : je suis toujours) comme rarement une chanson avait pu le faire. Comment dire que je n'étais absolument pas prête pour les deux ballades de l'album Tears Of Rain et Light My Love. Qu'en réalité, je n'étais pas prête tout court pour cet album.
La première écoute est, selon les spécialistes la plus parlante. Les suivantes ne font que confirmer, nous permettent de décortiquer et comprendre chaque mécanique qui nous ont fait aimer une chanson. Pour autant, l'appréciation est une histoire d'émotion, de timing et d'histoire musicale. C'est probablement pour cela que j'ai autant de mal à mettre des mots sur l'émotion qui m'a galvanisé (et continue toujours) durant l'écoute de The Battle At Gardens Gate : comme si l'album n'était plus seulement leur histoire mais celle de milliers d'autres, dont la mienne.
Plus grandiose encore, c'est de mettre bout à bout From The Fires, Anthem Of The Peaceful Army and The Battle At Gardens Gate pour saisir la richesse, l'émotion, la force incroyable et surtout l'authenticité derrière chaque titre. Oui, on peut trouver Greta Van Fleet pompeux, exubérant, agaçant. Oui, on peut même être jaloux face à une telle maîtrise musicale atteinte seulement au second album (From The Fires est un EP), de leur capacité à réunir jeunes et anciens autour d'eux et tout simplement de brillamment à créer un univers bien à eux.
Alors parlons de The Battle At Gardens Gate.
Tout d'abord il est intéressant de voir le contexte de sortie de l'album : From The Fires, leur premier EP avait fait un boucan remarquable et pas vraiment anticipé par le groupe qui s'est retrouvé nominé aux Grammy Awards 2018 (oui quand même) avant de repartir avec la récompense du meilleur album rock. On parle bien du premier EP d'un groupe de rock. C'est lunaire, ça ne veut rien dire mais la hype autour de Greta Van Fleet a pris des proportions hallucinantes et il a fallu que Joe Satriani et Slash disent aux journalistes de laisser le groupe tranquille en voyant l'énorme bordel provoqué par juste quatre gars qui n'avaient rien demandé.
Un an après sortait Anthem Of the Peaceful Army et cette fois-ci l'accueil fut nettement plus tiède de la part des journalistes. Dans la lignée direct de l'EP, il est clair que l'album ne prenait aucun risque et c'est finalement sur scène que Greta Van Fleet a fini par conquérir le public. 2 ans et demi plus tard, l'album est pourtant de qualité avec des chansons qui mettent littéralement une tannée (Brave New World, You're The One, Mountain Of The Sun). La douche froide des critiques n'est pourtant pas étonnante : à nouveau, les médias s'étaient pris de folie face aux [attentions propos merdiques en approche] nouveaux Led Zeppelin et attendait que Greta Van Fleet soit exactement ça.
J'ai déjà expliqué plusieurs fois à quel point il était navrant de voir que chaque nouveau phénomène musical soit comparé à des légendes du rock puisque cela ne fait que générer plus d'espoirs qui forcément ont des risques assez grands de ne pas être atteints. Cela arrive bien trop souvent pour n'être qu'un hasard.
Greta Van Fleet aurait pu prendre la tangente en s'extirpant de cette pression écrasante. Même pas. The Battle At Gardens Gate est à l'image du groupe et bien plus encore : Entre anthems fédérateurs (Build By Nations, Stardust Chords, The Barbarians), ballades rock (Light My Love, Tears Of Rain) et expérimentations (Age Of Machine, The Weight Of Dreams), la solidité de l'album est incroyablement scandaleuse. Chaque écoute prend encore plus aux tripes et la maîtrise vocale de Josh impressionne par sa justesse autant au niveau de la performance que de l'émotion.
Loin de correspondre aux standards du rock mainstream, loin de correspondre à l'industrie musicale tout court, Greta Van Fleet trace sa propre route musicale sans regarder derrière lui. The Battle At Gardens Gate est plus cinématique, plus magistral, plus impressionnant. Surtout l'album reste authentique, magistralement orchestré par des choix d'enregistrements exceptionnels (à l'ancienne soit le groupe entier jouant les morceaux) sans effets supplémentaires. Greta Van Fleet livre un album sans filtre à une époque où les artistes ne cessent d'abuser des effets sur leurs compositions au risque de perdre en spontanéité. Ce choix de production, audacieux et que certains qualifieront d'austère est pourtant la marque de fabrique du groupe depuis From The Fires.
Greta Van Fleet a toujours été un groupe taillé pour la scène et qui s'est construit par l'expérience scénique, conduisant à des élans d'improvisation hallucinants loin des codes d'aujourd'hui où chaque chanson est millimétrée pour rentrer dans un cadre. Sur scène, en studio, Greta Van Fleet ne triche jamais.
On voit pourtant venir les critiques (celle du magazine Pop Matters est honteuse) arguant le manque criant d'originalité. Ces mêmes critiques qui, quatre années auparavant, encensait Greta Van Fleet. Comme si From The Fires avait été écrit juste pour le buzz. Absolument pas : ces 8 titres présentaient déjà ce qu'était le groupe. Simplement galvanisé par ces "enfants de Led Zeppelin", on oubliait un peu vite que Greta Van Fleet avait déjà sa propre identité, loin de tomber dans les travers de la Vague Revival 70.
Ou peut-être bien que les gens sont effrayés par ce talent indécent, cette facilité pour le groupe d'être aussi sincère dans leur démarche artistique, de ne pas avoir besoin de tricher, de gommer leurs imperfections. Dans une industrie musicale où les artistes doivent absolument être "parfaits" et ne rien laisser au hasard, il est certain que la direction prise par Greta Van Fleet effraie. Si à la vingtaine ces gars-là sont capables d'une telle maîtrise musicale, qu'en sera-t-il dans dix ans, vingt ans ?
En attendant profitons de ce que Greta Van Fleet nous offre. Un album incroyable, rempli d'émotions et d'espoirs mais également authentique et inspirant.
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#repost @florentcuratola ・・・ Aujourd’hui je vous partage une conversation avec Justine de @elyosemusic. Manageuse, chanteuse, compositrice, responsable marketing. Tu te demandes comment est la vie d’une entrepreneuse ou même chanteuse dans le monde de la musique rock/metal ? Ce podcast est pour toi. Encore merci a elle pour cette heure d’échange. [Lien en bio] https://www.instagram.com/p/CMczvP6gzER/?igshid=gz6zoye2zhuh
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Band name ask : Finntroll ou Nightwish, comme tu veux !
Je vais répondre pour les deux ^^ Voici pour Nightwish:
favourite song: C’est toujours difficile de n’en choisir qu’un seul, mais ce sera The Poet and the Pendulum, surtout la version live à Wembley.
least favourite song: Our Decades in the Sun
have i ever seen them live: Plusieurs fois oui, et en plus d’être le meilleur groupe sur album c’est surtout le meilleur groupe en live. Première fois à Lyon en 2012 pour la tournée Imaginaerum, en 2015 au Summer Breeze et à Lyon pour la tournée EFMB, puis en 2018 à Paris pour la tournée Decades. Si les dates ne sont pas reportées à nouveau, j’irai les voir pour les deux dates française à Paris et aux arènes de Nîmes.
favourite band member: Autre choix difficile.. Tuomas pour tout ce qu’il a créé et pour ce qu’il m’a inspiré personnellement. Emppu pour son jeu de guitare qui m’a beaucoup influencé, pour avoir défini ce son unique reconnaissable immédiatement, pour sa présence scénique, et pour faire partie de l’aventure depuis le tout début. Troy pour avoir considérablement enrichi les compos du groupe, pour son talent de multi-instrumentiste et son humour. Marco.. bah pour sa voix déjà. C’est la voix de Nightwish. Pour avoir composé The Islander, et pour son jeu à la guitare acoustique. Je ne vais pas développer sur les différentes chanteuses sinon ce post va devenir un article haha mais on peut en discuter en mp si tu veux.
least favourite band member: Sami Vänskä
how many of their albums you have: Tous les albums studio, lives et quelques singles.
favourite album: Oceanborn, mon album favoris de tous les temps. Il est parfait de la première à la dernière note. Les influences power metal (surtout dans le jeu de guitare) rendent cet album unique, tout s’enchaîne avec une énergie folle et je ne me lasse jamais de ce voyage de presque 50 minutes.
Finntroll:
favourite song: Under Varje Rot Och Sten
least favourite song: N’importe laquelle sur l’album Blodsvept, Je suis complètement passé à côté.
have i ever seen them live: Jamais
favourite band member: Trollhorn, ce génie de composition. Le gars a des projets dans tous les sens et c’est toujours une réussite (Moonsorrow en tête).
least favourite band member: auncun en particulier
how many of their albums you have: Malheureusement un seul, le dernier en date Vredesvävd.
favourite album: Ur Jordens Djup (et je triche un peu, j’ajoute l’EP Visor om slutet)
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Dust Volume 6, Number 12
The Flat Five
It’s November, and the culture is telling us to be thankful again, at least from a distance. We’re a prickly, argumentative bunch here at Dusted, but I think we can all agree on gratitude for our health, each other and the music, good and bad, that comes flooding in from all sides. So while we may not agree on whether the best genre is free jazz or acid folk or vintage punk or the most virulent form of death metal, we do concur that the world would be very dull without any of it. And thus, seasonably overstuffed, but with music, we opine on a number of the best of them once again. Contributors this time include Bill Meyer, Andrew Forell, Tim Clarke, Ray Garraty, Jennifer Kelly, Mason Jones, Patrick Masterson, Jonathan Shaw and Justin Cober-Lake. Happy thanksgiving.
Cristián Alvear / Burkhard Stangl — Pequeños Fragmentos De Una Música Discreta (Insub)
Pequeños fragmentos de una música discreta by CRISTIÁN ALVEAR & BURKHARD STANGL
The acoustic guitar creates instant common ground. Put together two people with guitars in their hands together, and they can potentially communicate without knowing a word of each other’s language. They might trade blues licks, verses of “Redemption Song,” or differently dire remembrances of “Hotel California,” but they’re bound to find some sort of common language. This album documents another chapter in the eternal search. Cristián Alvear is a Chilean classical guitarist who has found a niche interpreting modern, and often experimental repertoire. Burkhard Stangl is an Austrian who has spent time playing jazz with Franz Koglmann, covering Prince with Christoph Kurzmann and realizing compositions that use the language of free improvisation with Polwechsel. This CD collects eight “Small Fragments Of Discreet Music” which they improvised in the course of figuring out what they could play together. Given their backgrounds, dissonance is part of the shared language, but thanks to the instrumentation, nothing gets too loud. Sometimes they explore shared material, such as the gentle drizzle of harmonics on “No5.” Other times, they find productive contrasts, such as the blurry slide vs. palindromic melody on “No6.” And just once, they flip on the radio and wax melancholic while the static sputters. Sometimes small, shared moments are all you need.
Bill Meyer
Badge Époque Ensemble — Self Help (Telephone Explosion Records)
Self Help by Badge Époque Ensemble
Toronto collective Badge Époque Ensemble display the tastefully virtuosic skill of a particular strain of soul-inflected jazz-fusion that politely nudged its way into the charts during the 1970s. Led by Max Turnbull (the erstwhile Slim Twig) on Fender Rhodes, clavinet and synthesizers with members of US Girls, Andy Shauf’s live band and a roster of guest vocalists, Badge Époque Ensemble faithfully resurrect the sophisticated sounds of Blue Nun fuelled fondue parties and stoned summer afternoons by the pool. Meg Remy and Dorothea Paas share vocals on “Sing A Silent Gospel” which is garlanded with Karen Ng’s alto saxophone and an airy solo from guitarist Chris Bezant; it’s a track that threatens to take off but never quite does. The strength of James Baley’s voice lifts the light as air psych-funk of “Unity (It’s Up To You)” and Jennifer Castle does the same for “Just Space For Light” during which Alia O’Brien makes the case for jazz flute — Mann rather than Dolphy — with an impressive solo. The most interesting track here is the 11 minute “Birds Fly Through Ancient Ruins” a broodingly introspective piece which allows Bezant, Ng and bassist Giosuè Rosati to shine. Self-Help is immaculately played and has some very good moments but can’t quite get loose enough to convince.
Andrew Forell
Better Person — Something to Lose (Arbutus)
Something to Lose by Better Person
Like any musical genre, synth-pop can go desperately awry in the wrong hands. The resurgence of all things 1980s has been such a prevalent musical trend in recent years that it takes a deft touch to create something that taps into the retro vibe without coming across as smug. Under his Better Person moniker, Berlin-based Polish artist Adam Byczyowski manages to summon the melancholy vibe of 1980s classics such as “Last Christmas” by Wham!, “Take My Breath Away” by Berlin, and “Drive” by The Cars, reimagined for the 21st century and set in a run-down karaoke bar. This succinct and elegant half-hour set pivots around atmospheric instrumental “Glendale Evening” and features three Polish-language tracks — “Na Zawsze” (“Forever”), “Dotknij Mnie” (“Touch Me”), and “Ostatni Raz” (“Last Time”) — that emphasize the feel of cruising solo through another country and tuning into a unfamiliar radio station. There’s roto-toms, glassy synth tones, suitably melodramatic song titles (including “Hearts on Fire,” “True Love,” and “Bring Me To Tears”), plus Byczyowski’s disaffected croon. It all creates something unexpectedly moving.
Tim Clarke
Big Eyes Family — The Disappointed Chair (Sonido Polifonico)
The Disappointed Chair by Big Eyes Family
Sheffield’s Big Eyes Family (formerly The Big Eyes Family Players) released the rather fine Oh! on Home Assembly Music in 2016. Its eerie blend of folk and psych-pop brought to mind early Broadcast, circa Work and Non Work, before Trish Keenan and James Cargill started to explore more experimental timbres and themes of the occult. Bar perhaps the haunted music box instrumental “Witch Pricker’s Dream,” Oh!’s songs cleaved along a similar grain: minor keys, chiming arpeggiated guitar, spooky organ, in-the-pocket rhythm section, plus Heather Ditch’s vocal weaving around the music like smoke. The Disappointed Chair is much the same, enlivened with a touch more light and shade, from succinct waltz “(Sing Me Your) Saddest Song,” to the elegant Mellotron and tom-toms of “For Grace.” “From the Corner of My Eye” is stripped right back, with an especially affecting guitar line, plus Ditch’s vocals doubled, with the same words spoken and sung, like a voice of conscience nagging at the edge of the frame. It’s a strong set of songs, only let down by the boxy snare sound on “Blue Light,” and on “The Conjurer,” Ditch’s lower register isn’t nearly as strident as her upper range.
Tim Clarke
Bounaly — Music For WhatsApp 10 (Sahel Sounds)
Music from Saharan WhatsApp 10 by Bounaly
The tenth installment in Sahel Sounds’ Music For WhatsApp series introduces another name worth remembering. In case your attention hasn’t been solely faced on the ephemeral charms of contemporary Northwest African music in 2020, here’s the scoop: Each month, Sahel sounds uploads a brief recording that a musician from that corner of the world recorded on their cell phone and delivered via the titular app, which is the current mode of music transmission in that neck of the woods. At the end of the month they take it down, and that’s that. This edition was posted on November 11, so set your watch accordingly. Bounaly is originally from Niafounké, which was the home of the late, great Ali Farka Touré. Since civil war and outside intervention have rendered the city unsafe for musicians of any speed, he now works in Mali’s capital city, Bamako, but his music is rooted in the bluesy guitar style that Touré championed. Accompanied solely by a calabash player and surrounded by street sounds, Bounaly’s singing closely shadows his picking, which is expressive without resorting to the amped-up shredding of contemporary guitarists like Mdou Moctar.
Bill Meyer
Cash Click Boog — Voice of the Struggle (CMC-CMC)
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Last year, Cash Click Boog made a few very noticeable appearances on other people albums (especially on Lonnie Bands’ “Shred 1.5” and Rockin Rolla’s First Quarter) but his own Extras was a minor effort. This Californian rapper was always a dilettante at music, but that was his main appeal and ineradicable feature: you always knew that he’s always caught up in some very dark street business, and he appears in a booth once every blue moon, almost by accident. He is that sort of a player who always on the bleachers, yet when they let him on the field he always does a triple double or a hat trick (depending on a kind of sport).
Voice of the Struggle was supposed to be his big break, the album in which he would expend his gift for rapping while remaining in strictly amateurish frame. Sadly, Boog has chosen another route, namely going pop. He discards his amateur garbs almost completely and auto-tunes every track. If earlier he was too dark even by street standards, now almost all the tracks could be safely played on a radio. The first eight songs are more or less pop-ish ballads about homies in prison, tough life and the ghetto. By the time we reach the last three tracks where Boog recovers his old persona, it’s already too late. The struggle remains but the voice is gone.
Ray Garraty
The Flat Five — Another World (Pravda)
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The Flat Five musters a great deal of Chicago musical fire power. Alt.country chanteuse Kelly Hogan, Andrew Bird collaborator Nora O’Connor and Casey McDonough sing in Andrews Sisters harmonies, while NRBQ mainstay Scott Ligon minds the store and Green Mill regular Alex Hall keeps the rhythm steady. The sound is retro —1930s radio retro — but the songs, written by Ligon’s older brother Chris, upend mid-century American pieties with sharp, insurgent wit. A variety of old-time-y styles are referenced — big band jazz, country, doo wop and pre-modern pop — in clean, winking style. Countrified, “The Great State of Texas” seems, at first, to be a fairly sentimental goodbye-to-all-that song, until it ends with the revelation that the narrator is on death row. “Girl of Virginia,” unspools a series of intricate, Cole Porter-ish rhymes, while waltzing carelessly across the floor. The writing is sharp, the playing uniformly excellent and the vocals extra special, layered in buzzing harmonies and counterpoints. No matter how complicated the vocal arrangements, no one is ever flat in Flat Five.
Jennifer Kelly
Sam Gendel — DRM (Nonesuch)
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Normally, Sam Gendel plays saxophone in a classic jazz style. You might have caught him blowing dreamy, airy accompaniments on Sam Amidon’s last record, for instance, or putting his own spin on jazz standards in the solo Satin Doll. But for this album, Gendel experimented with ancient high tech — an Electro Harmonix DRM32 drum machine, some synthesizers, a 60-year-old nylon-string guitar —t o create hallucinatory fragments of beat-box-y, jazz-y sound, pitched somewhere between arty hip hop and KOMPAKT-style experimental electronics. “Dollars,” for instance, laces melancholy, Latin-flavored guitar and crooning with vintage video-game blips and bleeps, like a bossa nova heard dimly in a gaming arcade. “SOTD” dances uneasily in a syncopated way, staccato guitar runs paced by hand-claps, stuttered a-verbal mouth sounds and bright melodic bursts of synthesizer. “Times Like This” poses the difficult question of exactly what time we’re in—it has the moody smoulder of old soul, the antic ping and pop of lush early 00s electronics, the disembodied alien suavity of pitch-shifted R&B right now. The ringer in the collection is a cover of L’il Nas’ “Old Town Road,” interpreted in soft Teutonic electro tones, like Cluster at the rodeo. It’s odd and lovely and hard to get a bead on, which is pretty much the verdict for DRM as a whole.
Jennifer Kelly
Kraig Grady — Monument of Diamonds (Another Timbre)
MONUMENT OF DIAMONDS by Kraig Grady
The painting adorning the sleeve of Monument of Diamonds is entitled Doppler Effect in Blue, and rarely has the cover art’s name so accurately described the sound of the music paired with it. The album-length composition, which is scored for brass, saxophones and organs, consists almost entirely of long tones that Doppler in slow motion, with one starting up just before another peters out. The composer, Kraig Grady, is an Australian-based American who used to release albums that purported to be the folk music of a mythical land called Anaphoria. Nowadays he has no need for such subterfuge, since this lovely album holds up quite well on its own merits. Inspired by Harry Partch and non-Western classical music systems, Grady uses invented instruments and strategically selected pitch intervals to create microtonal music that sounds subtly alien, but never harsh on the ears. As the sounds glide by, they instigate a state of relaxed alertness that’ll do your blood pressure some good without exposing you to unnecessary sweetener.
Bill Meyer
MJ Guider — Sour Cherry Bell (Kranky)
Sour Cherry Bell by MJ Guider
MJ Guider’s second full length is diaphanous and monolithic, its monster beats sheathed in transparent washes of hiss and roar. “The Steelyard” shakes the floor with its pummelling industrial rhythms, yet shrouds Guider’s spoken word chants with surprising delicacy. “Body Optics” growls and simmers in woozy synth-driven discontent, while the singer lofts dreamy melodic phrases over the roar. There’s heft in the low-end of these roiling songs, in the churn of bass-like synthetics, the stomp of computer driven percussion, yet a disembodied lightness in the vocals, which float in pristine purity over the roar. Late in the disc, Guider ventures a surprisingly unconfrontational bit of dream pop in “Perfect Interference,” sounding poised and controlled and rather lovely at the center of chiming, enveloping synthetic riffs. Yet the murk and roar makes her work even more captivating, a glimpse of the spiritual in the midst of very physical wreck and tumult.
Jennifer Kelly
Hisato Higuchi — キ、Que、消えん? - Ki, Que, Kien? (Ghost Disc)
キ、Que、消えん? - Ki, Que, Kien? by Hisato Higuchi
Since 2003, Tokyo-based guitarist Hisato Higuchi has quietly released a series of equally-quiet albums, many on his own Ghost Disc label, which is appropriately named. Higuchi's work on this and the previous two albums of his "Disappearing Trilogy" is a sort of shimmering, melancholy guitar-and-vocal atmosphere — downer psych-folk in a drifting haze. His lyrics are more imagery than story, touching on overflowing light, winter cities, the quiet world, and the transience of memories. As the guitar floats slowly into the distance, Higuchi's voice, imbued with reverb, is calmly narcotic, like someone quietly sympathizing with a friend's troubles. These songs, while melancholy, convey a peacefulness that's a welcome counterbalance to the chaotic year in which we've been living. Like a cool wind on a warm summer evening, you can close your eyes and let Higuchi's music improve your mood.
Mason Jones
Internazionale — Wide Sea Prancer (At the Blue Parade) (Janushoved)
Wide Sea Prancer (At The Blue Parade) by Internazionale
It’s been nearly half a decade since Copenhagen’s Janushoved first appeared in these annals, and in that time, a little more information — and a lot more material — has cropped up to lend some context to the mystery. The focus, however, steadfastly remains with the music — perhaps my favorite of which among the regular projects featured is label head Mikkel Valentin’s own swirling solo synth vehicle Internazionale. In addition to a reissue of 2017’s The Pale and the Colourful (originally out on Posh Isolation), November saw the release of all-new songs with Wide Sea Prancer (At the Blue Parade), 14 tracks of gently abrasive headphone ambient that carry out this type of sound very well. Occasionally there is a piano (“Callista”) or what sounds like vocals (“El Topo”), but as it’s been from the start, this is primarily about tones and moods. Notes for the release say it’s a “continuation and completion of the narrative set by the release Sillage of the Blue Summer,” but it’s less the narrative you should be worried about missing out on than the warmth of your insides after an uninterrupted listen.
Patrick Masterson
Iress — Flaw (Iress)
Flaw by Iress
Sweeping, epic post-metal from this LA four piece makes a place for melodic beauty amid the heaviness. Like Pelican and Red Sparrows, Iress blares a wall of overwhelming guitar sound. Together Michelle Malley and Alex Moreno roust up waves and walls of pummeling tone as in opener “Shame.” But Iress is also pretty good at pulling back and revealing the acoustic basis for these songs. “Hand Tremor” is downright tranquil, with wreathes of languid guitar strumming and Malley’s strong, gutsy soprano navigating the full dynamic range from whisper to scream. “Wolves” lumbers like a violent beast, even in its muscular surge, there’s a slow, anthemic chorus. Likewise, “Underneath” pounds and hammers (that’s Glenn Chu on drums), but leaves space for introspection and doubt. It’s rare that the vocals on music this heavy are so good or so female, but if you’ve liked Chelsea Wolfe’s recent forays into ritual metal, you should check out Iress as well.
Jennifer Kelly
Junta Cadre — Vietnam Forever (No Rent Records)
"Vietnam Forever" (NRR141) by Junta Cadre
Junta Cadre is one of several noise and power electronics projects created by Jackson Abdul-Salaam, musician and curator of the long-running Svn Okklt blog. As the project’s name implies, Junta Cadre has an agenda: the production of sound that seeks to thematize the ambiguities of 20th-century radical, revolutionary politics. The project’s initial releases investigated the Maoist revolution in China, and the subsequent Cultural Revolution of the late 1960s and 1970s. Vietnam Forever shifts topics, to the American War in Vietnam, and tactics, including contributions from other prominent harsh noise acts and artists: the Rita, Samuel Torres of Terror Cell Unit, Leo Brucho of Controlled Opposition and others. Given those names, Vietnam Forever is as challenging and rigorous as you might expect. Waves of dissonant, electronic hum and fuzz accumulate and oscillate, crunching and chopping into textured aural assaults; wince-inducing warbles and needling feedback occasionally assert themselves. Abdul-Salaam’s harsh shout cuts in and out of the mix. The tape (also available as a name-yo’-price DL on Bandcamp) presents as two side-long slabs of sound, both over seventeen minutes long, both completely exhausting. At one point, on Side A, Abdul-Salaam repeatedly shouts, “Beautiful Vietnam forever!” It’s hard to say what he means. An affirmation that Vietnam survived the war? That its people and culture endure? Or that the U.S. can’t seem to shake the war’s haunting presence? Or even a more worryingly nihilistic delight in the war’s carnage, so frequently aestheticized in films like Apocalypse Now (1979), Full Metal Jacket (1987) and Da Five Bloods (2020)? The noise provides no closure. Maybe necessarily so.
Jonathan Shaw
Bastien Keb — The Killing of Eugene Peeps (Gearbox)
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The Killing of Eugene Peeps is a soundtrack to a movie that never was, a noir-ish flick which winds restlessly through urban landscapes and musical styles, from the orchestra tremors of its opening through the folky group-sing of “Lucky the Oldest Grave.” “Rabbit Hole” wafts by like an Elephant Six outtake, its woozy chorus lit by glockenspiel notes, while “God Bless Your Gutters” conjures jazzy desolation in piano and mordant spoken word. “All the Love in Your Heart” shimmers like a movie flashback, a mirage of blowsy back-up singing, guitar and muttered memories. “Street Clams” bristles with funk and swagger, an Ethio-jazz sortee through rain slicked streets. What’s it about? Musically or narratively? No idea. But it’s worth visiting these evocative soundscapes just for the atmosphere. It’s a film I’d like to see.
Jennifer Kelly
Jesse Kivel — Infinite Jess (New Feelings)
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Nostalgia haunts the new solo album from Kisses guitarist/singer Jesse Kivel. Infinite Jess is full of that knowing melancholy of The Blue Nile, Prefab Sprout and The Pale Fountains that was so magnetic to a certain brand of sensitive young thing seeking to articulate their inchoate visions of a future steeped in romance and adventure. Think wistful mid-tempo songs wrapped in cocoons of strummed guitars, shuffling percussion and wurlitzer piano fashioned into a catalogue of adolescent radio memories. These tunes are topped by the understated sincerity of Kivel’s voice and lyrics which effectively evoke the place, time and emotion of his vignettes. The production suffers occasionally from a distracting reliance on too perfectly rendered tropes — overly polite drum programming, thumbed bass, blandly smooth electric piano — but the overall effect is oddly beguiling. Infinite Jess closes with a charmingly wobbly instrumental cover of Don McLean’s “Vincent” played on the wurlitzer that captures the poignancy of the melody and serves as a fitting epilog to the record.
Andrew Forell
Kyrios — Saturnal Chambers (Caligari Records)
Saturnal Chambers by KYRIOS
The corpsepaint-and-spiked-codpiece crowd are still making tons of records, but fewer and fewer of them are interesting or compelling. The retrograde theatrics and cheap pessimism can be irritating enough (I’d rather be reading Schopenhauer, thanks); it’s even more problematic when the songs can muster only the vividness and savor of stiff leftovers from the deep-freezer’s darkest and dankest corners. Still, every now and then a kvlty band that follows the frigid dictates of black metal’s orthodoxy creates a set of songs worth listening to. This new EP from Kyrios is super short, comprising three tracks in just under 10 minutes that pull off that neat trick: when it’s over, you want to hear more. Sure, the dudes in the band call themselves silly things like Satan’s Sword and Vornag, but the tunes are really good. Check out the churning strangeness of “The Utterance of Foul Truths.” Kyrios claims Immortal, Enslaved and Dissection as primary influences, and the band recognizes the stylistic debt they owe to Deathspell Omega (let’s hope Kyrios digs the twisted guitars and weird-ass time signatures, but passes on the National Socialism declaimed by that French band’s vocalist). Stuff gets even more engaging when bleeping and blooping keyboards vibrate at the edges of the mix, giving the songs a spaced-out vibe. “Saturnal Chambers”? Maybe Kyrios has met the astral spirit of Sun Ra somewhere along their galactic journeys into the heavenly void. He liked bleeping, blooping noises and gaudy costumes, too.
Jonathan Shaw
Matt Lajoie — Light Emerging (Trouble In Mind)
Light Emerging by Matt Lajoie
The second volume of Trouble In Mind Records’ Explorers series is, like its predecessor a cassette that comes concealed within a brown slipcase. Like many other discretely wrapped products, the fun is on the inside. This time, it’s a tape by guitarist who understands that toes aren’t just for tapping. At any rate, I think he’s managing his pedals with his feet. Most likely Lajoie has spent some quality time listening to mid-1990s Roy Montgomery. But since a quarter century has passed, he doesn’t just stack up the echoes. Sped-up tones streak across the surface of this music like swallows zooming close to that sheet you hung on the side of your barn the last time you had everyone over for a socially distanced gathering to watch Aguirre, The Wrath of God. Wait, did that really happen? Maybe not, but if someone were to make a fake documentary about the hanging of the projective surface, this music is suitably epic to provide the soundtrack.
Bill Meyer
Lisa/Liza — Shelter of a Song (Orindal)
Shelter of a Song by Lisa/Liza
Lisa/Liza makes a quietly harrowing sort of guitar folk, singing in a high, ghostly clear soprano against delicate traceries of picking. The artist, real name Liza Victoria, inhabits songs that are unadorned but still chilling. She sings with childlike sincerity in an ominous landscape of dark alleys and chilly autumnal vistas. She wrote this album while chronically ill, according to the notes, and you can hear the struggle against the body in the way her voice sometimes wavers, her breath comes in sudden intakes. But, as sometimes happens after long sickness, she sometimes strikes clear of the physical, achieving an unearthly purity as in “From this Shelter.” A touch of plain spoken magic lurks in this one, in the whispery vocals, the translucent curtains of guitar notes, though not much warmth. “Red Leaves” is earthier and more fluid, guitar flickers striking out from a resonant center, and the artist murmuring dreamily about the beauty of the world and its transience.
Jennifer Kelly
Keith Morris & The Crooked Numbers — American Reckoning (Mista Boo)
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It's easy to imagine Keith Morris as perpetually frustrated. His last album, after all, took on psychopaths and sycophants, and the title of his new release American Reckoning doesn't suggest happy thoughts. There's plenty of bile on these five tracks, of course, but Morris approaches the album like a scholar. The opening verse describes the US as “Machiavellian: the mean just never ends” before referencing Othello and Yo-Yo Ma (the latter for a “yo mama” joke). If Morris and the Crooked Numbers just raged, they might be justified, but they'd be less interesting. Instead, they use a wide swath of American musical styles to thoughtfully consider racial (and racist) issues in our contemporary society. “Half Crow Jim” turns a Southern piano tune into a surprising tale about the fallout from slavery. It's a sharp moment, and it highlights that the only disappointing part of this release lies in its brevity. Morris has said he has more music on the way, and if he continues to mix styles, wordplay, and cultural analysis, it'll be worth a study.
Justin Cober-Lake
Tatsuya Nakatani and Rob McGill — Valley Movements (Weird Cry)
Valley Movements by Tatsuya Nakatani / Rob Magill
In most percussion ensembles, the gong-ist is a utility player, charged with banging out a note once or twice per composition for drama and ideally not screwing it up. Tatsuya Nakatani works on a wholly different level, transcending the possibilities of this ancient, archetypical instrument with vision and an unholy technique. More specifically, his set-up includes at least two standing gongs, each about as tall as he is himself. He plays them with mallets, standing between, in blur speed rolls that range all over the surface of the instrument. The sound he evokes is distinctly unpercussive, more resembling string instrument glissandos than any form of drums, a full-on high-register wail of sound that he sculpts and roils and coaxes into compositions of incredible force and complexity. He also plays a bunch of other percussion instruments, little drums and cymbals which he layers on top of each other so that when he strikes one, the others resonate. It is quite an experience to see him at it, and if you ever get a chance, you should go. Here, he works with the saxophonist Rob McGill unfurling a single 40-minute improvisation at a studio in the appealingly named Truth or Consequences, New Mexico. McGill is an agile player, laying alternately lyrical and agitated counterpoints onto Nakatani’s rhythms, carrying the tune and threading a logical through line through this extended set. He finds frequencies that complement Nakatani’s antic, nearly demonic drum sounds and knows when to let loose and when to let his partner through the mix. The result is a very high energy, engaging adventure in sound that evokes a rare response: you wish you could hear the drums better.
Jennifer Kelly
Overmono — The Cover Mix (Mixmag)
Mixmag · The Cover Mix: Overmono
It’s a really weird time to be advocating for club music of any kind, but Overmono’s Everything U Need EP out recently on XL again showcases what the fraternal duo known better as Tessela and Truss do best: melding thoughtful percussion patterns with these airy, gliding synth melodies that work at home just as well as in the club (theoretically, anyway). It’s not just original material they do well, though; whether it was the Dekmantel podcast a few years back or their live cassette from Japan or this mix for Mixmag, Ed and Tom Russell also have a knack for pacing in their sets. This one features stuff from the new EP as well as three unreleased tracks (not counting the Rosalía remix, which remains one of the year’s most addicting) and names both old and new — listen for DJ Crystl’s 1993 jungle jam “Deep Space” sidled up next to Smerz’s new skyscraper “I Don’t Talk About That Much.” If that sounds like everything you need, lock in and let Overmono do the hard work. Truly, they do not miss.
Patrick Masterson
Pole — Fading (Mute)
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As Pole, Stefan Betke’s work has always been both comforting and disconcerting. The amiotic swells and heartbeat bass frequencies generate a warm human feel in his music despite their origins in serendipitously damaged equipment. Fading, his first album in five years explores Betke’s reactions to his mother’s dementia and reflects on the nature of personality, memory and soul. Building on his trademark glitchy beats and oceanic bass tones, the eight tracks echo a consciousness unmoored by the fog of unfamiliarity that smothers and distorts but never completely submerges awareness. “Tölpel” (slang for klutz) evokes impatient fingers tapping out the guilty resentment of the forgotten and the frustration of the forgetful. The title track closes with a woozy waltz punctuated by recurrent sparks. Fading is a deeply felt work; somber, reflective, stumbling towards understanding and acceptance, alive to the nuances and petty nettles of grief and above all beautiful in its ambivalence.
Andrew Forell
Quakers — II: The Next Wave (Stones Throw)
II - The Next Wave by Quakers
After eight years of silence following 2012’s self-titled debut, Stones Throw production trio Quakers (Portishead’s Geoff Barrow as Fuzzface, 7-Stu-7 and Katalyst) dropped the 50-track beat tape Supa K: Heavy Tremors out of nowhere in September and now, just two months later, are back with another 33-track behemoth that allows a litany of emcees to shine. Calling this The Next Wave is a bit of a stretch when you consider many of the voices on here are from guys who’ve been in the game for years or even decades (Jeru the Damaja, Detroit’s Phat Kat and Guilty Simpson, Chicagoan Jeremiah Jae, etc.), but even so, the dusty grooves and Dilla loops prove perfect foils for many of those who hit the mic. My favorite might be Sageinfinite slotting in with the organ grinder “A Myth,” but even if you don’t like it, everyone’s in and out quick. If you’re burned out on Griselda, give this a go for 1990s vibes of a different kind.
Patrick Masterson
Rival Consoles — Articulation (Erased Tapes)
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There are deep pockets of silence in “Articulation,” ink black stops between the thump and clack of dance beat, sudden intervals of nothingness amidst limber synthetic melodies. London-based producer Ryan West, who records as Rival Consoles, layers sound on sound in some tracks, letting the foundations slip like tectonic plates on top of one another, but he is also very much aware of the power of quiet, whether dark or luminously light. Consider, for instance, his closer, “Sudden Awareness of Now,” whose buoyant melody skitters across factory-sized fan blasts of whooshing sound. The rhythm is light footed and agile, pieced together from staccato elements that hold the air and light. Like Jon Hopkins, West uses the glitch and twitch to insinuate the infinite, chiming overtones and hovering backdrops to represent a gnostic, communal state of existence. “Vibrations on a String” may jump to the steady thump, thump, thump of dance, but as its gleaming plasticine tones blow out into horn blast dissonance, the cut is more about becoming than being.
Jennifer Kelly
Sweeping Promises — Hunger for a Way Out (Feel It)
Hunger for a Way Out by Sweeping Promises
The title track bounds headlong on a rubbery bassline, picking up a Messthetick-y blare of junk shop keyboards. All the sudden, there’s Lira Mondal unleashing a giddy screed of angular pop punk tunefulness, her partner in Sweeping Promises, Caulfield, stabbing and stuttering on guitar. In some ways, this band is straight out of late 1980s London, jitter-flirting with offkilter hooks a la Delta Five or Girls at Our Best. In others, they are utterly modern, lacing austere pogo beats with lush, elaborate vocal counterpoints. “Falling Forward” is a continuous rush of clamped in guitar scramble and agile, bouncing bass, anthemic trills breaking for robotic chants; it’s a mesh of sounds that always seems ready to collapse in a heap, but instead finds its antic balance just in time.
Jennifer Kelly
Martin Taxt — First Room (SOFA)
First Room by Martin Taxt
Sometimes a room is more than a room. In the matter at hand, it is a space that proposes a state of mind and a consequent set of experiences. It is also the score for a piece of music that extrapolate that state into the realm of sound. The cover of First Room depicts a pattern of tatami mats that you might find in a Japanese tea room. Martin Taxt is a microtonal tubaist and also the holder of an advanced degree in music and architecture (next time someone tells you that some good thing can’t happen, remember that in Norway you can not only get such a degree; you can then go ahead and present a CD that shows your work. The fault, dear Brutus, is not in the stars, but in our society.). This music takes inspiration from the integrated aesthetic of the tea ceremony, using carefully placed and deliberately sustained sounds to create an environment in which subtle changes count for a lot. The album’s contents were created by mixing together two performances, one with and another without an audience. Taxt and accompanist Vilde Marghrete Aas layer long tones from a tuba, double bass, viola da gamba and sine waves. Their precise juxtapositions create a sense of focus, somewhat like a concentrated version of Ellen Fullman’s long string music, and if that statement means something to you, so will this music.
Bill Meyer
Ulaan Janthina — Ulaan Janthina II (Worstward)
Ulaan Janthina (Part II) by Ulaan Janthina
Part two of Steven R. Smith’s latest recording project echoes the first volume in several key aspects. It is a tape made in small numbers and packaged like a present from your favorite cottage industry; in this case, the custom-printed box comes with an old playing card, a hand-printed image of jellyfish, an old skeleton key and a nut. And Smith, who most often plays guitars and home-made stringed instruments, once more plays keyboards, which enable him to etch finer lines of melody. The chief difference between this tape and its predecessor is the melodies themselves, which have begun to attain the evocative simplicity of mid-1970s Cluster.
Bill Meyer
Various Artists — Joyous Sounds! (Chicago Research)
Joyous Sounds! by Various Artists
It’s been less than two years, but Blake Karlson’s Chicago Research imprint has already made its presence known both in the Windy City and beyond as fine purveyors of all things industrial, EBM, post-punk and experimental electronics. There were two compilations released within days of one another toward the beginning of October, and while Preliminaries of Silence veers more toward soothing ambient textures, Joyous Sounds! is more upbeat and rhythmic (Bravias Lattice’s “Liquid Vistas” is a beautiful exception). My favorite track is Club Music’s “Musclebound” (not a Spandau Ballet cover, as it turns out), but the underlying menace of Civic Center’s “Filigree” and Rottweiler’s pummeling “Ancient Baths” sit alongside merely unsettling fare like Lily the Fields’ “Porcelain” well. If you’re not already aboard or just have a Wax Trax-sized hole in your heart, you have a lot of work ahead of you with this label’s consistently superlative output.
Patrick Masterson
Kurt Vile — Speed, Sound, Lonely KV (Matador)
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Given John Prine's passing from COVID-19 this year, the new Kurt Vile EP might be received as a tribute to the late artist, with extra significance coming from Prine's appearance here. Four years in the works, Speed, Sound, Lonely KV offers more than just tribute, though. Prine's guest spot (if you could call it that) on his own “How Lucky” certainly makes for a moving highlight, the two singers fitting together nicely as Prine's gruff tone balance's his partner's smoother voice. Vile also covers Prine on “Speed of the Sound of Loneliness,” and he adds “Gone Girl” by Cowboy Jack Clement as he takes further cosmic steps.
His two originals here complete the record, and, mixed in with the covers, draw out the lesson. Vile's entire EP blends the country influences with his more typical dreamy sound, the guitar work bridging the gap between a songwriter's backing and something more ethereal. Nashville, it seems, has always suited Vile just fine, and hearing him embrace that tradition more immediately adds an extra layer to his work. Putting a cowboy hat on his previous aesthetic puts him opens up new but related paths for him, and the five tracks here could play on either a Kris Kristofferson mix or a laid-back indie-rocker playlist. Either way, they'd be highlights on an endless loop.
Justin Cober-Lake
WhoMadeWho — Synchronicity (Kompakt)
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Danish trio WhoMadeWho — drummer Tomas Barfod, guitarist Jeppe Kjellberg and bassist/singer Tomas Høffding — make enjoyable indie dance music that suffers somewhat from lack of personality and a tendency toward a middle ground. That may be due to an effort to accommodate a roster of Kompakt-related collaborators including Michael Mayer, Echonomist and Robag Wruhme. While there’s nothing bad and some pretty good here, the individual songs flit by, pausing briefly to set one’s head nodding and feet tapping, before evaporating from the mind. “Shadow of Doubt” featuring Hamburg’s Adana Twins has the kind of driving bass that anchored New Order hits but also, unfortunately, the unconvincing vocals only Bernard Sumner could get away with. More successful moments like the eerie piano riff and jazz inflections of “Dream Hoarding” with Frank Wiedemann, the arpeggiated house of “Der Abend birgt keine Ruh” featuring Perel and miserablist Pet Shop Boys inflected closer “If You Leave” do stick. Synchronicity might work well on the dance floor, but it doesn’t quite sustain at home.
Andrew Forell
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Julie Christmas: Ridiculous and Full of Blood
Aujourd'hui sur Blog à part – Julie Christmas: Ridiculous and Full of Blood Je vais reprendre sans vergogne un artifice utilisé par de multiples chroniqueurs: Ridiculous and Full of Blood, de Julie Christmas, est fidèle à son titre. #PostMetal
Pour cette chronique, je vais reprendre sans vergogne un artifice déjà utilisé par de multiples chroniqueurs: le nouvel album de Julie Christmas, Ridiculous and Full of Blood, est plutôt fidèle à son titre: très sanguin et un peu ridicule, aussi. Julie Christmas est une chanteuse américaine, qui a participé à plusieurs groupes de post-rock et post-metal et a également une solide carrière solo.…
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ANTAGONIST - Imminence
Antagonist est un groupe de Death Metal russe formé début 2017, ayant conçu une discographie avec les albums « Вечность Смерти » (2019, « Spawn of Evil » (2022) avec le chanteur suédois Joon Svedelius Lindstrom (Butcher of Sodom), les singles « Destruction » (2019) et « Création » (2022) et désormais en trio composé de Tatiana Markova (guitare, basse), Andrey Primachenko (guitare,basse, batterie) et Yury Kuznetsov (basse)pour l'opus expérimental« Imminence »(2024), en collaboration internationale avec des compositions ont été élaborées entre 2017 et 2020 avec les musiciens ayant participé à l'enregistrement de cet album : Tatyana Markova (guitare/basse/paroles), Andrey Primachenko (guitare/batterie/basse), Yuri Kuznetsov (basse), chanteurs invités : Sverd Sotiris (chanteur/bassiste AmongRuins - Grèce), Niklas Göransson (chanteur Shattered Hope; Ocean of Grief; Föhn - Grèce), Joon Svedelius Lindström (chanteur Vomination; Gurgel; The Funeral of Billy the Kid; Butcher of Sodom; Auslöschung - Suède, également chanteur ANTAGONIST(RUS) depuis 2022, co -auteur des paroles)), Garrett Campbell (chanteur/tous les instruments Frigid Spell; Garrett Campbell - États-Unis), Ed Corpse 555 M (guitare/batterie/chant BrainDead; Goatsmoke; Wretched Dominion; Debauched Beauty; Tortured Existence - États-Unis) , Ray Smith (chanteur Dyasphere - États-Unis), Sol Pearson (chanteur Align the Tide - Malte), Ksenia Alekseeva (chanteuse Sixteen Cell - Russie), Alex Markov (chanteur Deathemption - Russie), Sasha Stetsenko (ex-chanteuse Rampant Decomposition, batteur Deathemption - Russie ).
La diversité des intervenants au chant accouplent des variations très prévenantes, véritable pont jeté par l’entremise de pénétration deathalique liée à la magie mais aussi « imprégnés » par un death/grind impérieux. Le bol d'air se trouvent dans les solos, véritables soupapes volatiles pour atteindre telle une comète des enfers aux cieux.
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Au printemps 1989, la ballade rock Close My Eyes Forever est sortie, qu'Ozzy a interprétée en duo avec la chanteuse de rock américaine Lita Ford
La chanson a atteint le top dix de l'année aux États-Unis et est apparue dans tous les charts mondiaux, restant toujours l'une des meilleures ballades de l'histoire du heavy metal.
Les albums suivants n'ont pas pu répéter le succès des deux premières compilations d'Ozzy, jusqu'à la sortie de No More Tears en 1991, qui a reçu le statut de quadruple platine aux États-Unis. Les morceaux Hellraiser et Mama I'm Coming Home, écrits avec le leader de Motörhead, Lemmy Kilmister, ont été particulièrement populaires.
Un autre album quatre fois platine est sorti en 1995: le chanteur, avec la participation de l'ancien collègue de Black Sabbath Rick Wakeman et Zakk Wylde, a enregistré le disque Ozzmosis. Les musiciens ont fait une tournée internationale.
Le disque suivant, Down to Earth (2001), est encore plus populaire, notamment la composition Dreamer, qui ne quitte pas l'air des radios pop.
Ozzy et dans la vieillesse reste fidèle à sa dépendance aux spectacles spectaculaires. À la veille de l'éclipse solaire totale observée aux États-Unis le 21 août 2017, Osborne a organisé le festival de musique rock Moonstock dans l'Illinois. À la fin de l'événement, qui est tombé sur l'éclipse, John a interprété la chanson Barkat the Moon.
En 2020, le musicien sort le 12e album studio Ordinary Man, dans lequel il interprète la chanson titre du même nom en compagnie d'Elton John. Une autre collaboration incluse dans la collection est It's a Raid, qui mettait en vedette le rappeur américain Post Malone.
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L'année dernière, pour le 8 mars, j'avais publié un texte que j'avais écrit, critiquant le sexisme et la culture du viol dans le metal. Ce texte était accompagné d'une illustration représentant 3 personnages féminins que je voulais rendre plus récurrents dans mes histoires. Prenant conscience à l'époque de l'influence et donc de la responsabilité que j'avais, je m'étais attelé à féminiser mon casting. L'idée n'était pas de faire de la représentation creuse et forcée, mais de créer de vrais personnages, réalistes. J'ai réfléchi à leurs histoires, à leurs goûts, à leur sexualité et leur identité de genre.
L'illustration affichait également le slogan : “Pour que toutes les femmes aient leur place dans notre scène”. Par “TOUTES les femmes”, je voulais parler des femmes blanches hétéros cisgenres, mais aussi, entre autres, noires, lesbiennes, transgenres. C'était clair dans mon esprit, mais je ne l'avais pas explicité à l'époque, parce que parler féminisme me paraissait déjà être un gros morceau. Je savais que ça allait titiller les noyaux de certains et j'appréhendais la déferlante de Ouin Ouin dans mes commentaires. L'idée était là, mais je n'avais pas insisté dessus. Je profite donc du #PrideMonth pour corriger ou plutôt compléter et élargir mon propos.
Drapé dans son anticonformisme et son mépris des religions, de la bigoterie et des traditions, le metal s'engouffre pourtant dans les mêmes travers. La représentation du genre et de la sexualité étant très codifié, gare à celleux qui en sortent. Je me plaignais alors du terme “metal à chanteuse” ou “metal de gonzesse” mais que dire des fameux groupe “trop GAY” jouant de la musique “de PD” qui fusent dès lors qu'un artiste arbore un style vestimentaire ou musical pas assez viril aux yeux de certains ?
Évidement qu'il y a des personnes queer dans la communauté metal et comme partout ailleurs elles subissent des discriminations, des insultes, des agressions. Autant de violences, physiques, verbales, insidieuses ou non qui découragent les personnes queer de faire leur coming out, de se montrer telles qu'elles sont vraiment, de créer leur propre groupe, de fréquenter les festivals et les salles de concerts, voir même, de se revendiquer de notre scène.
Il s'agirait d'assumer : le metal n’est pas l’enclave de tolérance et de solidarité qu’on nous a souvent vendu. Il ne vaut pas mieux que le reste du monde donc, quand est-ce que l'on commence à le changer ?
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