#changement de destination
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Contemporary Basement - Basement An illustration of a medium-sized modern basement with a medium-toned wood floor, black walls, and no fireplace.
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Lancer les dés pour choisir
Ce matin, impossible de me décider. L’homme dé Comment sera la journée ? Un peu morose, comment la sublimer et la décaler ? Un livre et quelques dés pourraient vous aider. C’est l’extraordinaire proposition de Rhineart. Continue reading Lancer les dés pour choisir
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#changer son destin#comment se décider#décider son destin#l’homme Dé Rhineart#technique de changement
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« Imaginez les remarques que pourrait faire un observateur. . . de notre espèce, . . . comment elle se transforme, comment elle se consume depuis un siècle environ. Il aurait grand sujet de se divertir à nos dépens en constatant le curieux retournement de nos efforts inventifs contre nous-mêmes. Tandis que nous croyons nous soumettre les forces et les choses, il n'est pas un seul de ces attentats savants contre la nature qui, par voie directe ou indirecte, ne nous soumette, au contraire, un peu plus à elle et ne fasse de nous des esclaves de notre puissance, des êtres d'autant plus incomplets qu'ils sont mieux équipés.
. . . Et ne parlons pas des odeurs, des bruits que vous endurez, des trépidations, des courants de toute fréquence, des nourritures synthétiques, que sais-je ! Et quant à l'intellect, mes amis, quant à la sensibilité. . . on vous soumet l'esprit à une merveilleuse quantité de nouvelles incohérentes par vingt-quatre heures ; vos sens doivent absorber, sans un jour de repos, autant de musique, de peinture, de drogues, de boissons bizarres, de spectacles, de déplacements, de brusques changements d'altitude, de température, d'anxiété politique et économique. . . que toute l'humanité ensemble, au cours de trois siècles, en pouvait absorber jadis !. . . Cependant que la politique aligne nos multitudes, leur fait donner la main ou dresser le poing, les fait marcher au pas, voter, haïr ou aimer ou mourir en cadence, indistinctement, statistiquement.
La machine économique est, au fond, une exagération, une amplification colossale de l'organisme. . . et nous pouvons suspecter. . . qu'il se produira, dans l'âge qui vient, une dépression des valeurs intellectuelles, un abaissement, une décadence comparables à ceux qui se sont produits à la fin de l'antiquité ; la culture à peu près abandonnée, les œuvres devenues incompréhensibles ou détruites. . . toutes choses malheureusement très possibles [si] les moyens de possession et de jouissance, l'incohérence imposée par la fréquence et la facilité des impressions, la vulgarisation immédiate et l'application aux productions, aux évaluations et à la consommation, des fruits de l'esprit, de méthodes industrielles, finissent par altérer les vertus intellectuelles les plus élevées et les plus importantes : l'attention, la puissance méditative et critique, et ce qu'on peut nommer la pensée de grand style. . .
Nous vivons sous le régime perpétuel de la perturbation de nos intelligences. L'intensité, la nouveauté, dans notre époque, sont devenues des qualités, ce qui est un symptôme assez remarquable. Je ne puis croire que ce système soit excellent pour la culture. Sa première conséquence sera de rendre ou inintelligibles ou insupportables toutes les oeuvres du passé qui ont été composées dans les conditions toutes contraires et qui exigent des esprits tout différemment formés. »
— Paul Valéry, "Notre destin et les lettres", conférence donnée le 17 février 1937
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Je t’aime, Je t’aime d’une manière inexplicable, De nature inavouable, De façon contradictoire.
Je t’aime… Avec mes états d’âmes qui sont nombreux, Et mes changements d’humeurs continuels Pour ce que tu sais déjà. Le temps, la vie, la mort.
Je t’aime… Avec ce monde que je ne comprends pas, Avec ces gens qui ne saisissent rien, Avec l’ambivalence de mon âme, Avec l’incohérence de mes actes, Avec la fatalité du destin, Avec la conspiration du désir, Avec l’ambiguïté des faits. Même quand je dis que je ne t’aime pas, je t’aime. Même si je triche, je ne triche pas, Dans le fond, j’exécute un plan, Pour t’aimer encore mieux.
Je t’aime… Sans réfléchir, inconsciemment, Déraisonnablement, spontanément, Involontairement, instinctivement, Par impulsion, irrationnellement. En effet, je n’ai pas d’arguments logiques, Même improvisés… Pour expliquer cet amour que je ressens pour toi, Qui a émergé mystérieusement de nulle part, Qui magiquement n’a pas été rien, Et qui miraculeusement, d’un peu, avec peu et rien a amélioré le pire qui était en moi.
Je t’aime… Je t’aime avec un corps qui ne pense pas, avec un cœur qui ne raisonne pas, avec une tête qui ne coordonne pas.
Je t’aime incompréhensiblement, Sans m’étonner de pourquoi je t’aime, Sans m’importer de pourquoi je t’aime, Sans me questionner de pourquoi je t’aime.
Je t’aime, tout simplement parce que je t’aime, Même moi je ne sais pourquoi Je t’aime…!!!
Pablo Neruda
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Bien débuter 2024
La nouvelle année est une période qui nous rappelle de ne pas perdre de vue nos objectifs et nos rêves. C’est une période pour nous rappeler que nous sommes responsables de notre destin et que nous pouvons réaliser nos ambitions
L’avenir appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Eleanor Roosevelt
Trouvez ce qui vous passionne et engagez-vous à le poursuivre. Steve Jobs
L’espoir est la foi qui mène à l’accomplissement. Helen Keller
Vous devez être le changement que vous souhaitez voir dans le monde. Mahatma Gandhi
Rien n’est impossible, l’impossible n’est que ce que vous ne tentez pas. Muhammad Ali
Le courage est la clé de votre succès. Nelson Mandela
Alors, que votre année 2024 soit remplie de courage et de rêves réalisables!
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je suis fatiguée, partout, tout le temps. Tout a tendance à me faire me sentir lasse et si vidée du peu d'énergie que j'ai. Mon entourage est restreint et, pourtant, jsuis fatiguée. Cette relation me fatigue. Ces cours et cette pression me fatigue. Les changements d'humeur, les conduites dépressives me fatiguent. Parler à mes parents ça me fatigue.
En fait, je passe mon temps à parler dans le vide. Mes mots se perdent avant d'arriver à destination. Et des fois, en plein milieu de mes phrases, je m'arrête et la perspective future de devoir répéter ce que je dis me fatigue. J'ai même plus envie de répondre, parler, expliquer parce qu'il faut souvent le refaire et je me demande ce que ça peut bien coûter aux gens de me signifier qu'ils en ont soit rien à foutre de ce que je raconte, soit de se concentrer 2 min.
Je sais pas si j'ai vraiment l'impression de perdre mon temps constamment mais ça y ressemble beaucoup en réalité. C'est complètement absurde. Je passe mon temps à refaire, redire en me mordant la lèvre tant ça m'agace.
Je suis même pas déçue d'agir dans le rien, que mes mots se noient dans l'air, qui'il faille toujours repasser derrière les autres, leur rappeler, je suis seulement fatiguée et agacée.
La plupart du temps, les gens ont une facilité qui me débecte à inverser les roles. Oh que non je suis pas parfaite. Je suis même cinglante et désagréable voire crue dans mes propos quand je suis indisposée par l'irrespect des gens. Mais alors quand il s'agit de se mettre en position de victime et retourner la situation, jdois bien reconnaître que je suis la limite admirative des autres tant on se fout de ma gueule ouvertement par moment.
Là pour de vrai, jsuis crevée et ça a pour unique résultante dans mes réactions de l'indifférence. Profonde et froide.
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« Grâce » au covid, j’ai eu le temps de dévorer goulûment ce copieux roman. A cause du covid, en partie, je me sens un peu défaillante pour écrire une chronique à la hauteur. Car c’est un livre incroyable selon moi, un livre que je ne suis pas près d’oublier.
Dès le début j’ai été frappée par une foule de similitudes entre le destin des deux protagonistes et le mien. Je suppose que c’est parce que j’ai bientôt 50 ans, et que leur histoire, vu de loin est banale, ordinaire, comme la mienne. C’est un peu une auscultation du couple. Alors, à quelques années près, ils sont plus jeunes que moi/nous mais le roman s’arrête en 2014, et leur histoire démarre en 1992 ; grosso modo, on est raccord.
Même si c’est à Chicago.
Mais le livre ne parle pas que des mutations du couple, de l’érosion des sentiments, des mythologies qui sous-tendent les amours, loin de là. Même si c’est le point de départ et le point d’arrivée. La construction du roman d’ailleurs est assez incroyable, totalement maîtrisée, complexe mais fluide, astucieuse (elle donne envie de tourner les pages car un suspense psychologique s’installe). Le romancier a expliqué qu’ayant vécu jeune à Chicago puis y étant revenu plus tard, il avait constaté une gentrification de la ville, notamment des quartiers si excitants, bohèmes et anticonformistes, ceux où nos deux héros, Jack et Elizabeth, vont se rencontrer et s’aimer, jeunes, naïfs et pleins d’espoirs. L’auteur raconte que ce qui arrive à ces grosses villes arrive parfois aussi aux gens. Parce qu’on change. Obligatoirement. Le temps passe. L’amour mute ou s’émousse, c’est bien la question, en tous cas une des questions posées par la vie et ce récit. En plus, ils font un enfant, petit être complexe et pas facile, et se mettent à vivre en banlieue… ils deviennent ce qu’ils ont moqué en leur âge d’or. Leur/Notre temps en plus leur/nous a lancé dans les jambes internet et ses vertiges. Le monde a changé, ses habitants occidentaux aussi.
Il mêle alors à l’observation psychologique très très fine de ses personnages, l’observation des autres changements : le rapport à l’art, peinture et photographie, le rapport au roman comparé aux liens hypertextes offerts par internet, la théorie puissante de l’effet placebo qui fonctionne au point d’interroger l’importance de la croyance, l’avènement de Facebook, son fonctionnement par algorithmes qui transforme les liens sociaux (surtout pour les gens seuls), l’accès à l’information et à la désinformation et peut aussi donc mener aux théories du complot, au désir de trouver des voies autres pour tenir debout (médecine parallèle, croyances, ésotérisme flou), l’éducation, nourrie de préceptes aussi précis qu’angoissants. Il est autant romancier qu’ethnologue, sociologue, psychologue, vulgarisateur numérique. Son livre est volontiers historique et extrêmement documenté (dans le chapitre « Craquage », les références ostensibles ont un effet comique imparable). A cela, il ajoute le désir humain d’accéder au bien-être qui parait si proche dans nos sociétés occidentales pourvu qu’on ne soit pas dans la misère (Jack et Elizabeth se débrouillent correctement sur le plan financier), et qui pourtant semble inaccessible (elle fait le constat de n’être jamais détendue, libre, confiante), ce qui s’explique par des problèmes non résolus venant de son enfance tout autant que par le bombardement d’informations stressantes que nous apporte la technologie, ainsi que les contraintes modernes.
J’ai appris énormément de choses sur tous les domaines cités ci-dessus et j’ai été éblouie par l’intelligence qui les analysait, les liait, les confrontait, avec humour et parfois cruauté. Je me suis retrouvée un nombre incalculable de fois dans toutes ces problématiques, jusqu’à des détails troublants, bref.
C’est impossible de résumer l’intrigue, les enjeux. Il faut lire ce livre, faire l’expérience de la lecture de ce livre. C’est un vrai voyage intime, stimulant et drôle, bouleversant par moments, qui en plus permet de mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Je suis époustouflée par le talent de ce gars. (Je n’avais pas lu son premier roman apparemment très remarqué pourtant.)
A mes yeux c’est un grand livre, qui va compter. En tous cas, pour moi, c’est un choc.
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Truisme; une vérité
Dissimuler, masquer une identité est une force de survie.
Dans cette image on voit une femme qui se mue, puisqu'elle enleve une masque de coeur. C'est une image de perfection froissé comme une poupéé russe. La métamorphose de la femme peut se voir dans notre histoire du narratrice. Bien qu'elle est toujours incapablede décrire clairement et efficacement sa propre experience de l'image de soi, le miroir masculin de cette image, ses propres mots ou ceux des autres.
Pour etre plus precis, cette photo représente la douleur cru d'etre une femme dans une environement hypersexuelles. Per exemple, notre narratrice révèle que la nuit, elle regarde la lune et rêve vaguement d'un destin différent. Cependant, la prise de conscience qu'elle devient une truie vient lentement et se fait à travers le regard d'étrangers et de connaissances. Même comme truie, la narratrice se voix comme une femme comme prevue, elle pense comme une femme humaine, mais elle transforme activement en cochon. C'est un événement inexplicable qui ne peut etre rationalisé, tout à fait comme une image d'une femme qui perde une forme de peau.
Les thèmes impliquant que le métamorphose ne concerent pas des changements radicaux dans les formes corporelles avec les changements extraordinaires des recommandations de changements de cultures et les préjugés de la société. Donc, en concernant la narratrice, la métamorphose en animal est la manifestation visuelle de son statut social.
<<L'important [est] d'être belle et soignée à tout moment>>...Directeur du perfumerie. C'est à dire que la narratrice comme une représentation de notre société, favorise les regards des autres, lors même qu'on veut de l'individualité et une space d'honneteté. Est-ce que nous avons touts des identité pareil, comme la narratrice? Ou est qu'on a tous des identités instable comme celles des personnages du roman? Metez-vous des masques actuellement dans notre société.
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Je t'aime d'une manière inexplicable, de nature inavouable de façon contradictoire . Je t'aime avec mes états d’âmes qui sont nombreux, et mes changements d'humeurs continuels pour ce que tu sais déjà, Le temps, la vie, la mort ... Je t'aime ... Avec ce monde que je ne comprends pas , Avec ces gens qui ne saisissent rien, Avec l'ambivalence de mon âme , Avec l'incohérence de mes actes , Avec la fatalité du destin , Avec la conspiration du désir , Avec l'ambiguïté des faits Même quand je dis que je ne t’aime pas , Je t'aime , Même si je triche, je ne triche pas , Dans le fond , j'exécute un plan, Pour t'aimer encore mieux Je t'aime ... Sans réfléchir , inconsciemment, irresponsablement, spontanément involontairement, instinctivement, par impulsion, irrationnellement . En effet, je n'ai pas d' arguments logiques , même improvisés…pour expliquer cet amour que je ressens pour toi, qui a émergé mystérieusement de nulle part , qui magiquement n'a pas été rien, et qui miraculeusement, d'un peu, avec peu et rien a amélioré le pire qui était en moi. Je t'aime , Je t'aime avec un corps qui ne pense pas , avec un cœur qui ne raisonne pas , avec une tête qui ne se coordonne pas . Je t'aime incompréhensiblement Sans m'étonner de pourquoi Je t'aime , Sans m'importer de pourquoi Je t'aime , Sans me questionner de pourquoi je t'aime. Je t'aime, tout simplement parce que Je t'aime , Même moi je ne sais pourquoi Je t'aime…!!! Je t'aime.
Pablo Neruda.
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Je t’aime, :Je t’aime d’une manière inexplicable, de nature inavouable de façon contradictoire .
Je t’aime avec mes états d’âmes qui sont nombreux, et mes changements d’humeurs continuels pour ce que tu sais déjà,
Le temps, la vie, la mort …
Je t’aime …
Avec ce monde que je ne comprends pas ,
Avec ces gens qui ne saisissent rien,
Avec l’ambivalence de mon âme ,
Avec l’incohérence de mes actes ,
Avec la fatalité du destin ,
Avec la conspiration du désir ,
Avec l’ambiguïté des faits .
Même quand je dis que je ne t’aime pas , Je t’aime ,
Même si je triche, je ne triche pas ,
Dans le fond , j’exécute un plan,
Pour t’aimer encore mieux.
Je t’aime …
Sans réfléchir , inconsciemment, irresponsablement, spontanément involontairement, instinctivement , par impulsion, irrationnellement .
En effet, je n’ai pas d’ arguments logiques ,
même improvisés…pour expliquer cet amour que je ressens pour toi, qui a émergé mystérieusement de nulle part , qui magiquement n’a pas été rien, et qui miraculeusement, d’un peu, avec peu et rien a amélioré le pire qui était en moi.
Je t’aime ,
Je t’aime avec un corps qui ne pense pas ,
avec un cœur qui ne raisonne pas ,
avec une tête qui ne se coordonne pas .
Je t’aime
incompréhensiblement
Sans m’étonner de pourquoi Je t’aime ,
Sans m’importer de pourquoi Je t’aime ,
Sans me questionner de pourquoi je t’aime.
Je t’aime,
tout simplement parce que Je t’aime ,
Même moi je ne sais pourquoi Je t’aime…!!!
Je t’aime ...
Pablo Neruda
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❀ Fleurs d'Hyrule ❀
fandom : BOTW 🌿
ship : ZeLink 💚💙
rating 👓 : G
tags 🏷️ : first love, first kiss, fluff without plot
summary 📖
Link, épéiste talentueux de dix-sept ans, n’a que trop conscience des responsabilités qui lui incombent. En tant que Héros, futur adversaire du Fléau Ganon, il se voue entièrement à ses missions martiales. Cependant, en compagnie de la Princesse Zelda, ce chevalier servant comprend que son cœur désespérément humain n’a que faire de ses objectifs. Et qu’il suffit parfois de quelques fleurs pour venir à bout des résolutions les plus sévères.
oneshot (1.5k words) ✏️
« Les fleurs d’Hyrule ne se contentent pas d’être belles. »
La voix mélodieuse de la Princesse renforçait la douceur de ses mots : s’y dévoilait l’amour sincère qu’elle portait à ces terres, ainsi qu’aux trésors qu’elles abritaient depuis leur création.
Hyrule était l’une de ces merveilles auxquelles on s’habituait malheureusement à force de les voir. Pourtant, parée de vastes étendues aux mille couleurs, elle rayonnait littéralement d’une magie bienveillante que les divinités lui accordaient sans réserve.
Link, récemment promu chevalier servant de l’héritière, avait bien vite oublié l’admiration qu’il vouait à son lieu de naissance – ce, dès l’enfance. À ses yeux, seul l’entraînement alors dispensé par son père comptait.
Son destin de Héros. Ses innombrables responsabilités et les attentes démesurées que l’on avait posées sur ses épaules sitôt ses compétences hors norme avérées.
Il en avait renoncé à la parole, gorge nouée par l’appréhension. Il craignait tant de nuire à sa réputation en exprimant sa maladresse intérieure, qu’il avait accepté comme une évidence de cadenasser ce qui s’agitait en lui. Car, après tout, le blondinet n’en restait pas moins un adolescent perdu de dix-sept ans…
Bien sûr, il était conscient que seule sa mission importait réellement. Rien n’aurait dû surpasser l’image victorieuse qu’on avait peinte à sa place, exposée au centre de ses pensées, de chacun de ses songes. Il le savait, on le lui avait assez répété.
Dès lors, que faire des sentiments malvenus qui écrouaient petit à petit son cœur? Il ne l’aurait admis pour rien au monde, mais il se doutait que la future couronnée auprès de laquelle il évoluait n’y était pas étrangère.
Ces dernières semaines n’avaient pas été faciles, certes. Elle lui avait maintes fois fait comprendre à quel point sa présence la gênait, lui jetant à chacune de leurs rencontres des regards incendiaires, assortis à des paroles blessantes. Leur communication avait mis du temps à trouver son équilibre, et Link ne pouvait que se réjouir de la relation apaisée dont ils profitaient désormais.
D’une part, le changement d’attitude de sa protégée à son égard allégeait considérablement ses tâches quotidiennes. Il n’était plus question de lui courir après à travers le royaume, d'ainsi pousser sa fidèle monture à en parcourir la moindre parcelle afin de la retrouver…
Rongée par la déception profonde qu’elle éprouvait envers elle-même, sans surprise.
Néanmoins, une autre facette de sa personnalité que le chevalier ignorait détenir lui soufflait que la commodité avec laquelle il exerçait à présent était loin d’être la seule raison de son bonheur.
Non, il refusait de se l’avouer – même dans le secret de ses réflexions muettes.
Devant lui, Zelda babillait sans interruption tout en usant abondamment de l’appareil photo que renfermait sa tablette sheikah. Les clics à peine audibles résonnaient pourtant en Link avec force, tentant vainement de l’ancrer dans le moment présent. C’était à croire que la Déesse Hylia le forçait à ouvrir les yeux, à profiter de ces instants précieux, si rares, où la belle chercheuse s’autorisait à sourire.
Brusquement, le flot de son bavardage se tarit, suspendu par une découverte que l’épéiste s’empressa de contempler à son tour.
« Celle-ci… C’est une Princesse de la Sérénité. »
Plus bas, se balançant tranquillement sous la brise printanière, une fleur magnifique teintée d’un blanc pur et d’un bleu aussi vif que celui du ciel, tendait ses gracieux pétales vers les nuages légers. Ses feuilles, d’une égale délicatesse, préservaient sa beauté d’éventuels importuns venus du sol.
Afin de mieux la voir, les deux Hyliens se mirent à genoux dans les herbes hautes.
« Son espèce est menacée, malheureusement. Depuis quelque temps, nous les cultivons intensivement pour tenter de les sauver, mais… Leur nombre ne semble pas augmenter. »
Link osa se rapprocher un peu plus, quittant sa position de garde pour adopter celle de… camarade d’observation? Il n’avait aucune intention particulière, il souhaitait simplement écouter…
Était-ce la seule vision de ce végétal qui suscitait une nouvelle forme d’audace? Malgré ses réticences, qui s’éveillaient presque par automatisme, il se sentait comme… guidé. Vers elle.
Vers Zelda.
« Après tout, la Princesse est peut-être vouée à disparaître… »
La mélancolie reprenait sa place sur ses traits. Ses iris vert malachite se voilèrent tandis qu’elle les levait vers ceux, céruléens, de son compagnon. Ses lèvres pleines tremblèrent confusément, retenant la détresse qu’elle avait tant besoin d’exprimer.
Aussi, soucieux de préserver sa bonne humeur jusqu’alors solaire, Link esquissa un sourire. Si discret, si rapide, qu’il crut une seconde que la destinataire n’ait eu le temps de l’apercevoir. Heureusement, elle le lui rendit sans attendre, flattée par l’effort fourni – juste pour elle.
Aucun autre mot ne s’échappa. Au contraire, Zelda autorisa un silence agréable à les border, à peine troublé par les bruits de la faune et de la flore alentour. Les paumes sagement posées sur ses cuisses, elle se contenta de détailler le visage d’habitude impassible du blondinet.
Celui-ci entendit son palpitant s’emballer. Il déglutit avec difficulté, cruellement conscient de la couleur rosée qui s’épanouissait sur ses pommettes. L’Épée de Légende dans son dos parut soudain peser des tonnes. Son corps protestait contre la tornade qui tordait ses côtes et compressait ses poumons…
Était-il autorisé à ressentir de telles choses? À espérer qu’elles persistent un peu plus, juste pour profiter encore des traits de sa protégée?
Il ne voulait pas qu’elle disparaisse. Elle aurait beau prétendre qu’elle ne parlait que de l’espèce florale bicolore, elle ne pouvait tromper l’esprit de déduction de Link. Ses soi-disant échecs quant à l’éveil du Pouvoir du Sceau ne valaient rien face aux avancées titanesques qu’elle avait rendues possibles. Elle était autant précieuse pour son peuple qu’elle l’était pour…
Lui.
Il n’avait pas le droit de formuler un tel constat, surtout pas dans le refuge sacré de ses pensées! Il était le Héros, le maître de la Lame Purificatrice – celui qui combattrait le Fléau Ganon une fois le travail des autres Prodiges accompli…
Mais là, sous l’astre du jour qui les baignait de ses rayons, au sein d’une nature à la fois splendide et sauvage, une étincelle les traversa tous deux. Link, du haut de ses dix-sept ans, n’avait jamais eu d’amoureuse… ou d’amoureux. Il ignorait tout de ces émotions-là, des fameux papillons qu’on décrivait sans cesse.
Ce qui faisait battre son cœur était-il comparable à la passion que vouait Daruk à la nourriture du Village Goron? Son ami aurait peut-être été en mesure de l’aiguiller à ce sujet…
Il était seul face à elle, cependant. Il ne pouvait compter que sur lui-même et ses maigres connaissances en matière de sentiments.
« Tu sembles ailleurs. » constata alors Zelda en penchant la tête, intriguée.
Il retint sa respiration.
« Peut-être puis-je t’aider? »
Il expira, épuisé par la torture mentale qu’il s’infligeait. Ses responsabilités devenaient de plus en plus complexes à maintenir au premier plan de ses préoccupations…
« C’est laborieux de deviner ce à quoi tu penses, parfois. » reprit la jeune femme en passant une main incertaine dans sa longue crinière dorée. « J’aimerais tellement… »
Elle s’arrêta, ses propres joues habillées de rose.
« Tu sais, Link… Je… »
Dès que son prénom franchit la barrière de sa bouche, le concerné frissonna.
« Je t’apprécie beaucoup. Et je te suis sincèrement reconnaissante de ne pas m’avoir tenu rigueur de mon comportement déplorable. »
Il ne lui en avait pas voulu. Pas vraiment.
« J’aime passer du temps en ta compagnie. Ce n’est pas sérieux, je le sais, mais les après-midis que nous nous octroyons, tels que celui-ci, me font très plaisir. »
Elle avança timidement sa main droite. C’était un appel, un essai. Un aveu muet de son désir de se rapprocher de lui – peut-être plus que ce qui leur était permis.
« Merci d’être là. »
Link se jeta à l’eau, ignorant volontairement l’alarme qui lui vrillait le crâne : il s’empara des doigts offerts, son sang pulsant bien trop fort dans ses tempes. Il y entremêla les siens en tremblant.
Le pouls de l’héritière s’accorda au sien – il le sentit en caressant son poignet. Il regarda le sol, honteux.
C’était plus puissant que lui, que sa raison et son vécu.
Il tombait amoureux. Un peu plus à chaque seconde qu’il passait en sa compagnie.
« Link… » murmura-t-elle.
Il l’observa à nouveau.
« Ne meurs pas. Je t’en supplie. »
Il réfuta d’emblée en secouant la tête.
« J’ai besoin de toi. Ne me quitte pas, surtout pas. »
Leurs visages se rapprochèrent, lentement d’abord. Leurs cœurs faillirent s’échapper quand leurs lèvres s’entrouvrirent, prêtes à enfin se trouver au-delà de banals échanges verbaux. Leur mission disparut de leurs esprits à l’instant où elles se réunirent, concrétisant ainsi, et sans le savoir, la volonté tacite d’Hylia.
Leur premier baiser fut doux, chaleureux… hésitant. Mais il était tellement, tellement sincère, que les végétaux veillant sur eux parurent devenir plus ravissants encore. C’était le décor d’un conte de fées, de ceux que la mère de Zelda racontait à sa petite dame de son vivant.
La respiration de Link était si irrégulière que seule sa Princesse l’entendit lorsqu’il prononça les trois mots qu’elle espérait tant.
Ce jour-là, les fleurs d’Hyrule ne s’étaient assurément pas contentées d’être belles.
Elles étaient devenues les chevalières préservant un amour naissant, aussi curieux qu’évident.
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Bigoudi Bouclebrunes et les Deux Cours, Partie 4 (La Route Vers Isentorche)
Résumé des épisodes précédents : Grandoulf avait trouvé l’Anneau de pouvoir du Seigneur GrosCon et l’avait remis au gentil hobbit Bigoudi Bouclebrunes pour qu’il le détruise dans la Montagne du Destin. Avec l’aide de Laurentgorn Duvernay-Tardif, Broromir, Legrandslack, Kimchi, ainsi que le jardinier hobbit Samsauge et de leurs confrères Pépin et Méridien, ils étaient devenus la Communauté de l’Auto, aidant Bigoudi et Grandoulf dans leurs aventures. Après avoir perdu Grandoulf aux mains d’un France-Hélaine Duranceaurog et avoir perdu Broromir tombé devant les hordes d’orcs et goblins des zinternet en protégeant les hobbits Pépin et Méridien, ces derniers furent hobbitnappés et la Communauté de l’Auto fut bel et bien dissoute. Bigoudi et Samsauge prirent la route vers le Nord, prenant en pouce Conspiragollum, tandis que Laurentgorn, Legrandslack et Kimchi prirent la route du Brohan, croisant ainsi Éomec et ses Brohirrims. Poursuivant leur route sous l’œil bienveillant des Brohirrims, Laurentgorn, Legrandslack et Kimchi entrèrent dans la forêt de Fandom où retrouvèrent Grandoulf sous sa dernière forme, Grandoulf Juste-Leblanc. Ils purent aussi bannir Sognia Languedeserpent du Brohan et le Roi Théodentiste retrouva alors toute son assurance dentaire. Pépin et Méridien, eux, avaient pu fuir leurs assaillants et trouver un allié en la personne de Barbàboisbois, un immense homme-arbre qui leur promit son aide pour défendre les intérêts de la Terre du Milieu.
Bigoudi Bouclebrunes et les Deux Cours, Partie 4 (La Route Vers Isentorche)
« Je ne comprends pas. Je ne comprends pas pourquoi il est offensant que la réalisatrice et l’actrice principale d’un film qui a été un blockbuster plus intéressant qu’Avatar, la voie de l’eau et qui parle justement de l’invisibilisation de la réalité des femmes ne soient pas nominées dans une des plus célèbres cérémonies de remise de prix du monde du cinéma américain! Franchement, j’avoue qu’on s’en fout pas mal, du sexe, de l’orientation sexuelle et de la couleur de peau des personnes en nomination! On a bien assez de réalisateurs blancs cis et hétérosexuels pour pallier au manque de nomination de réalisatrices et réalisateurs femmes, trans, queers, de couleurs ou même… d’hélicoptères apache (huhuhu)! Je veux dire… c’est pas en chiâlant que ça va changer les choses. C’est en les gardant telles quelles qu’on va enfin rendre visible les minorités en tout genre. C’est en ne faisant rien, comme toutes les années précédentes, que nous arriverons à ne pas transformer une cérémonie douteuse dont les nominations sont aussi impressionnantes qu’une porte en plywood. C’est en ne faisant rien qu’on ne change rien! D’ailleurs, pourquoi changer? Cette cérémonie récompense les grands hommes et quelques grandes femmes, en grande majorité blanche et américaine. Ça a toujours été et ça ne changera jamais. Le changement, c’est toujours mal, arke, caca.»
Bigoudi replia le Journal du Mordor Sud. Sophisme Durocher frappait encore à grands coups de non pertinence en sortant encore une fois un article conservateur sur une discussion nécessaire qui se transforme en polémique ridicule. Bigoudi savait qu’il lisait un journal idiot qui lui servirait mieux en tant qu’aide pour partir un feu ou en tant que papier absorbant dans le fond de son sac pour protéger ses effets personnels. Mais il était tellement en manque de bonnes nouvelles qu’il lisait tout et n’importe quoi. La chronique lui servirait, cependant… il n’avait qu’à brandir la feuille de chou sous le nez de Conspiragollum pour faire avancer celui-ci lorsqu’il s’entêtait à rester sur place pour chigner, ce qui arrivait vraiment souvent sur la route de la Montagne du Destin. D’ailleurs, ce dernier avait encore décidé de s’arrêter pour sortir les vieilles rengaines. Il avait décidé de mettre un halte à leur marche en criant des inepties de « Mersi Kémions! » et « Libârté! » encore une fois. Samsauge et Bigoudi en avaient profité pour faire un peu de cuisine sur le pouce… Samsauge avait réussi à faire des tartines fraîches avec du fromage fouetté et petits fruits frais, des petits pots de yogourts vanillé avec un peu de morceaux de biscuits, de flocons d’avoines et de morceaux de pommes, des petites croquettes de pommes de terre au fromage avec des petits pots de crème sûre avec ciboulette, des petites bouchées de pain de viande à la sauce chili et au cheddar fort, un plat de macaroni au fromage fort, chanterelles, pleurottes et pancetta, un minuscule plat de vol-au-vent aux poulet ainsi qu’un autre à la bisque de homard accompagnés de brocolis, carottes et panais dans un coulis de vinaigre balsamique, une salade de panais en crème, une autre de carottes et raisins de corinthe et une autre aux pommes, raisins verts et copeaux de gruyère, une gamelle de crème de courge aux épices et quelques pavés de saumon en croûte d’épice avec un peu de yogourt à l’aneth et herbes fines. Le tout était suivi de crêpes aux pommes et coulis de caramel à l’érable, ainsi que des crêpes avec des poires et coulis au chocolat noir semi-amer. Enfin, il y avait un petit quelque chose que Samsauge avait réussi à cuire en chemin : une galette des rois. Il avait servi tout le monde avant de s’en prendre une part. Bigoudi avait été très surpris du goût très réussi pour un gâteau fait sur le pouce. Il avait cependant été déçu de ne point y trouver de fève. Conspiragollum, lui, avait crié à l’injustice et à l’omniprésence de la 5G pour expliquer sa déception. C’était Samsauge qui avait réussi à trouver la fève. Enfin… « fève » était un grand mot. C’était une petite fève de céramique d’un brun louche qui se voulait être à l’effigie d’un bœuf… mais qui, à première vue, ressembait plus à une crotte qu’autre chose. Dans tous les cas, Samsauge était ravi. Il faisait collection de ces choses et avait même jubilé en voyant la crotte… il avait dit que cela irait avec la thématique « Mon Sauveur Justin Trudeau ». Il avait déjà eu le bébé Justin, le père Pierre-Éliott et la mère, la vierge Margaret. Il avait aussi l’âne et les trois rois mages. Il ne lui manquait que la crotte.
Pendant que nos trois comparses mangeaient leur part du gâteau royal, des sons et des grognements se firent entendre. « Qu’est-ce que cela? » chuchota alors Samsauge, effrayé.
« Sûrement Big Pharma, ça… TADROSS! TADROSS!» dit alors Conspiragollum.
« Quelqu’un a dit TADROS? » répondit une voix étrangement paternaliste.
« Cachez-vous, vite! » dit alors rapidement Bigoudi, en ramassant ses cliques et ses claques et allant se cacher dans des buissons épineux derrière lui, éraflant au passage ses pauvres pantalons.
Conspiragollum, surpris et paniqué, se cacha héroïquement derrière Bigoudi. Samsauge, le dernier à se cacher, eu à peine le temps de prendre ses derniers effets, d’éteindre le feu et de prendre les assiettes et couverts de tout le monde (ainsi que sa crotte brune) avant d’aller se cacher derrière une roche avant que les créatures arrivent vers le campement de fortune.
C’était deux immenses trolls.
Le premier se retourna vers l’autre et lui dit : « J’pense qu’ils sont partis, héhéhé. En tout cas, je les aurais inviter à se joindre à nous. Ils auraient sûrement voter pour moi à la tête du Parti Libéral du Canada! Euh, de la Mairie de Montréal! Euh… le Parti Libéral du Québec! Entéka, un parti libéral, là! »
« Denis Trollderre, répondit l’autre, combien de fois je t’ai dit que la mairie de Montréal, c’était moi qui devait l’avoir! Ou pas. C’est pas parce que tu es le « Nouveau Denis » que tu dois avoir la nouvelle Mairie.» « Ah, Frantroll Lambert, tu m’épuises! Va don’ vendre ton popcorn à l’érable ailleurs.»
Bigoudi regarda les deux trolls d’un regard apeuré. Ils étaient grands et massifs… l’un avait l’air légèrement plus neuf que l’autre, mais c’était un leurre… Bigoudi savait bien qu’en réalité, c’était un arrangement de vieux restants.
Les deux trolls fouillaient le campement. Bigoudi ne savait pas du tout ce qu’ils cherchaient, peut-être de la pertinence, peut-être du temps d’antenne… chose certaine, ils n’allaient pas trouver de quoi satisfaire tout à fait leur envie.
« Ah, maudite Valérie Plante, j’prendrais une douche froide drette là pour trouver les campeurs et qu’on puisse manger à notre faim à moins de 75$ par semaine. Tu sais, Denis, j’ai un poulailler, chez moi. J’intime tout le monde à aller s’acheter des poules. Et à présenter son plan financier devant les Dragons de la finance. Tsé, là? Des dragons qui sont reconnus pour garder la richesse pour eux pis mentir au monde que le « trickle down theory », c’est de quoi qui marche, là. Juste pour calmer les masses. Ça marche assez bin, là.»
C’était logiquement trop pour Bigoudi. Sophisme Durocher, le retour de Denis Trollderre et de Frantroll Lambert… il fouilla alors dans son sac.
« Ah, Frantroll, franchement, les campeurs doivent avoir pris peur et être aller voter pour un moins bon candidat que moi, haha! Quoiqu’il en soit, je prouverai aux gens que je suis meilleur qu’avant! Que je suis beaucoup plus qu’un troll… je suis beaucoup plus qu’un politicien. Je peux, moi aussi, être un bon père de famille! Je peux aussi insuffler de l’espoir! De l’espoir en l’avenir! L’avenir des cônes jaune orange, l’avenir de la politique indécrottable, l’avenir de ceux qui sont des never-was! Je suis capable de grandeur. Je suis capable de changement. Je suis… capable. » dit alors Denis Trollderre, comme s’il répétait ce monologue à chaque matin et soir devant son miroir.
C’est alors qu’une enveloppe brune les dépassa et alla s’écraser au loin dans la forêt. « Oh, j’pense que c’est mon call, ça, mon Frantroll! » dit Denis Trollderre en partant à la recherche du précieux butin. « Nenon, c’est à moé, ça! C’pour payer la montre qu’on m’a volé chez nous! » répondit Frantroll Lambert avant de s’élancer lui aussi à la poursuite de l’enveloppe.
Bigoudi prit Conspiragollum par le bras en l’intimant de se taire et alla chercher Samsauge.
« Vite, fuyons d’ici », déclara Bigoudi.
« Vous avez eu une tellement bonne idée, mon cher. Qui aurait cru que ces trolls soient corrompus? » déclara Samsauge avant de déguerpir.
Nos trois comparses prirent la route vers le Nord.
***
Alors que Bigoudi et sa petite troupe s’échappait, Laurentgorn Duvernay-Tardif, Kimchi, Legrandslack et Grandoulf menaient une offensive auprès du roi Théodentiste. Ils savaient que les forces obscures se préparaient à frapper. Ils avaient aider à mobiliser plusieurs personnes, notamment l’ordre des infirmières ainsi que les enseignantes et enseignants et les professeurs et aides professorales en tout genre. La mobilisation était belle, puissante, rassembleuse. Le roi Théodentiste avait, lui, une crainte grandissante : et si le Gondor ne répondait pas à leurs appels? Et si la lutte était vaine? Mais il ne pouvait montrer quelconque signe de faiblesse. Pas devant ses sujets. Pas avant que le vote en assemblée soit passée. Il galvaniserait les troupes. Pour les patients, pour les enfants… pour le futur. C’était un jeu de consolidation de pouvoir et tous le savaient très bien. La lutte ne faisait que commencer.
***
Pendant ce temps, Méridien et Pépin se déplaçaient sur le dos de Barbàboibois.
Ils allaient confronter ensemble les dires du méchant sorcier Nantelroumane… peut-être arriveraient-ils à arrêter la déforestation de Northvolt et prêter main forte aux chevaliers cuivrés?
Quoiqu’il en soit, ils devraient affronter un ennemi de taille… l’apathie rampante.
Il semblait qu’il fallait être actif sur tous les fronts avec le règne sombre du Seigneur GrosCon.
« Oui, pensa Méridien… La route d’Isentorche est longue et pleine de dangers. »
Fin de la partie 4.
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Changement, ou progrès ?
Oouuppss ! un ''machin-truc'' inconnu de moi a bloqué la parution de l'édotorial de ce jour. Une lectrice avisée, qui vit en Catalogne, me le signale, bientôt suivie d'autres... . Merci à elle et à eux tous..
Ces deux vocables ont ceci de bien pratique qu'on y met ce qu'on veut. Tout ''distinguo'' entre eux échappe à la plupart des gens, et c'est sur ce flou recherché que sont nés la plupart des malentendus qui expliquent le désenchantement du monde, notre désarroi actuel, et la violence par laquelle s'exprime le mal-être contemporain. Et, en plus, les français sont si désabusés que personne ne va avoir le courage de dire : ''Mais c'est tout faux, ce que tu racontes !''. Un més-usage de concepts indéfinis nous a mis dans notre situation actuelle, celle des ''Grenouilles qui voulaient un roi'' de la fable de la Fontaine...
Le refus de faire l'amalgame entre deux vocables si mal utilisés peut seul nous faire entrevoir la vérité --à l'opposé, souvent, de tout le discours ambiant, qui n'est que mensonges, lui. Pour montrer combien un concept peut en cacher un autre (ou plusieurs), et fausser des pans entiers de l'histoire du monde, un seul exemple suffira : le devenir écologique de la planète. Montesquieu, déjà, avait eu l’intuition que le climat avait une influence sur l’histoire, mais on sait maintenant, comme Jared Diamond l’a démontré dans son célèbre essai Effondrements, que plusieurs civilisations ont disparu à la suite de catastrophes écologiques : les Khmers d’Angkor, les Vikings, les Mayas… et bientôt, disent certains, nous-mêmes et la nôtre... si on a la faiblesse de croire le GIEC, l'affreuse Greta, et Macron... ce qu'il est sage et prudent de ne jamais faire...
Car chaque jour, des éruptions, des raz-de-marée, des tremblements de terre ou des incendies immenses nous font frôler un risque de chamboulement ''XXL''. Chaque jour, des espèces animales disparaissent, épuisées ou étouffées, et des forêts entières meurent, brûlées ou transformées en échangeurs auto-routiers, en ZAC ou en ZAD… Dans tous ces cas, ce sont des ''changements'' dont aucun n'est un ''progrès'', et notre intervention éventuelle se résume à la prière, à des discours incantatoires du genre ''plus jamais ça'', et à des ''marches blanches'', depuis peu. A ma connaissance, notre ''science'' (qui, dans ce cas, ne sait pas grand chose), ne peut pas prévoir avec certitude certaines catégories d’événements, ni dans leurs dates, ni dans leur dimension, ni dans les dévastations qu’ils sont susceptibles d’entraîner, hélas ! Il est arrivé, sans explication, que certains de ces changements révèlent ''progrès'', mais ce cas est loin d'être le plus fréquent..
Un exemple, d'actualité, hélas, de la relation ''trouble'' qui réunit ou sépare le changement du progrès : la guerre dépendit, plus qu’on ne le croit généralement, des progrès de la technologie aux différentes époques de l’histoire : le remplacement du bois par le cuivre, puis par le bronze, puis par le fer, puis par l’acier dans les armements a été la cause majeure du sort des batailles entre, suivant les époques, les sumériens, les égyptiens, les macédoniens, les perses, les grecs ou les romains, ce qui a dessiné la carte du monde antique et, au-delà, du nôtre… Cette remarque a continué à se vérifier, pour notre malheur, dans les temps modernes, où les piqués des ''Stukas'' de Goering et les ruées des chars Panthers II de Guderian ont vite écrabouillé l’Armée française, moins bien préparée, technologiquement, et dépendant, elle, des ''40 heures'' et des ''congés payés''.
La même constatation s'est appliquée, à la fin de la seconde guerre mondiale, à la rupture que fut la première bombe ''atomique'' larguée par la Forteresse Volante B-29 ''Enola Gay'' sur Hiroshima : par une immense ironie du destin, une violence technologique absolue s’avérait être le chemin le plus rapide vers la Paix, ce qui pose la question : ces changements techniques furent-ils autant de progrès ? En tout cas, il est indéniable que la géographie politique du monde actuel est bel et bien un reflet de ces divers ''changements'' dont certains devinrent des ''progrès'' : bien des crises actuelles trouvent là leur origine (cf. le respect convenu –sans raison réelle-- des frontières de '45).
Le changement, qu’on le veuille ou non, s’est donc imposé comme un facteur fondamental de l’évolution de la société, et par conséquent, des rapports de l’Homme avec son environnement, avec son présent et, donc son devenir dont il est à la fois le signe –la vie et la mort n’ont d’autre facteur séparateur que le changement, et non le progrès !– et la preuve, une évolution n’existant que s’il y a présence de changements ! Un changement est perceptible dès lors qu’il se manifeste, alors qu’un progrès peut mettre des années à devenir simplement perceptible (au hasard : la boussole -plusieurs siècles, les principes de Babbage -un siècle, ou l'intelligence artificielle -25 ans et plus).
Un ''changement'' se définit comme le passage d’un état A à un état B, sans autre conséquence que la création d’une différence perceptible, qu’elle soit positive, négative ou nulle quant à ses résultats et à ses conséquences, ou, plus simplement, comme le passage à quelque chose de différent… Au contraire, un progrès est un changement qui marque une amélioration mesurable par rapport à une situation précédente. Un changement n’engage à rien, alors qu’un progrès, comme son nom l’indique, (du latin pro-gressio = pas vers l’avant) constitue une amélioration identifiable, quel que soit le domaine dans lequel il s’est exercé.
Un exemple concret ? La perte d’un organe sensoriel spécifique (suite à un accident ou au simple vieillissement) est un changement, et non des plus drôles, annonciateur d'autres problèmes à venir... On ne peut dire en aucun cas que cela puisse être catalogué comme ''progrès''. En revanche, l’acquisition d’une orthèse –une paire de lunettes dans le cas de la vision– représente indéniablement un progrès dans le processus de vision. Si une prothèse est possible –une main artificielle, par exemple– le progrès est encore plus visible.
Une remarque connexe sur cette opposition entre Changement et Progrès, qui n’a peut-être pas directement sa place ici, mais que je ne peux m’empêcher de faire : sans doute est-ce pour cette raison que c’est devenu une habitude uniformément monomaniaque chez la plupart des hommes politiques de tous les pays que de proposer ''le changement'' comme seul programme… laissant, un peu plus tard, tous leurs électeurs profondément déçus – à tort, car s’ils attendaient des ''progrès'' là où on ne leur avait promis que le ''changement'', ils ne doivent s’en prendre qu’à eux seuls ! Cette erreur de langage permet d'expliquer le gouffre qui sépare tout discours politique (qui propose des changements) des besoins réels des populations (qui ne veulent que des progrès).
Ce mauvais usage systématique – je n’ose pas écrire ''volontaire'' – de deux concepts que l’on fait croire synonymes alors qu’ils sont antagonistes, est certainement largement responsable du désamour que nous constatons depuis quelques années pour la politique et les politiciens, la démocratie et, plus généralement, la res publica. Depuis Giscard, qui a vu (sic !) dans les yeux de la France ''un désir de changement'' (il était fortiche, le gars ! il disait, d'ailleurs, ''la Fronche'' et ''un déjir de chongemont'', ce qui est nettement mieux !), tous les candidats à l'élection présidentielle nous ont promis ''le'' (pas ''des'', ce qui serait ''moins pire'') changement. Même Obama, qui n'était pas à ça près, l'a fait ! Mais pour un ''politique'', le sens exclusif du mot changement est : ''Ote-toi de là que je m'y mette'' … et cela aide à comprendre leurs gros mensonges, devenus chez certains une seconde nature..
Résumons : d'un côté, des professionnels du flou, de l'à-peu-près et du mensonge, qui promettent ''le changement'' (dont, au fond des choses, personne ne veut : il vient déjà tout seul, plus que nécessaire !). En face, des électeurs qui croient entendre des promesses de ''progrès'' (cette sorte de Graal espéré par tous) et qui se révoltent, bonne foi contre mauvaise foi, lorsqu'ils se rendent compte qu'il a eu plein de changements (par exemple, toutes les lois ''sociétales'', perverses à en mourir, ou la sanctification d'un soi-disant ''droit à l'avortement'' qui est une redéfinition des ''principes'' relatifs à la vie et à la mort) qui sont terribles dans leurs conséquences (NDLR : c'est la dernière fois que je le dis sans courir de risques disproportionnés),. Et certains s'étonnent de cet état de fait ! N'allons pas chercher plus loin : avec le diptyque ''changement-progrès'', nous tenons une des causes majeures de nos dérives actuelles, immenses. Et de notre malheur profond...
H–Cl.
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Changement de cap aujourd’hui
Hier soir, le capitaine a fait une annonce importante. En raison des vents violents et des vagues fortes prévues, notre prochaine destination a été annulée. Nous trouvions cela très étrange, car au moment où il a fait cette annonce, il faisait grand soleil!
Au cours de la nuit, ça s’est gâté. Le lit bougeait tout seul. Ce matin, oh là là!!! Grosses grosses vagues. Il fallait avoir le pied marin pour marcher sans tomber.
Nous avons donc passé la journée de lundi en mer, au lieu de nous rendre à Punta del Este. Nous arriverons une journée plus tôt que prévu à Puerto Madryn en Argentine. Nous y resterons aussi plus longtemps.
J’en ai profité pour aller m’entraîner au gym. Mes deux amis, Susan et Daniel, y étaient déjà. Robert en a profité pour se reposer sur une chaise longue au soleil.
Ce soir, c’est la soirée du capitaine. On ne joue plus le jeu comme avant. Je n’ai apporté qu’une seule robe un peu chic. Ce sera la seule et unique de toute la croisière.
Robert qui se reposait sur notre balcon ce matin.
Assiette de hors d’œuvres servie dans notre chambre tous les jours à 15 h.
Grosses vagues aujourd’hui.
Piscine intérieure pour adultes seulement. Elle était fermée, de même que toutes les autres piscines, en raison des vagues fortes.
Spectacle de ce soir. Camilla Andrade, brésilienne.
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Produits terminés 🧺
🌟🧺 On ne m'a rien demandé mais ... Prêts à plonger dans mes produits terminés ? Dans cette revue, je vous emmène à travers les hauts et les bas de mes aventures avec ces produits, des découvertes inattendues aux incontournables de ma routine. Préparez-vous à découvrir mes impressions honnêtes et mes sentiments sincères sur ces compagnons de beauté vidés jusqu'à la dernière goutte !. 🧺🌟
Day one moisturiser - Beauty Bay
8/10
C'était un gel-creme hydratant ultra confortable, on a une petite sensation de frais et un effet repullpé Il a une légère odeur, du au squalane j’imagine, que j'aime pas trop... Ca fait un peu crème médicale mais elle s'estompe vite. Je n'ai jamais eu de sensation de tiraillement dans la journée et il est censé convenir à tout type de peau. Je l'ai surtout utilisé en crème de nuit ces 3 derniers mois car j'ai essayé un changement dans ma routine (je vous en parlerai dans un prochain post 😉). Il a été repackager depuis, je ne sais pas si la formule est la meme (j'imagine que non 🤔) Un format bien généreux comme on aime de 120ml ! j'ai mis un temps fou à le finir (au moins 6 mois!!) mais déçue à la fin du flacon, il va un peu me manquer ! je le rachèterai surement (si je trouve pas mieux une fois que j'ai fini ses remplaçants 😉)
Hydrance boost mini - Avène
5/10
C'était un mini sérum à l'acide hyaluronique reçu dans la box blissim d'octobre 2023. Il n'a aucune odeur et a une texture un peu gélifiée et une application très confortable. Il pénètre rapidement dans la peau mais si on applique rien rapidement après on a une sensation de tiraillement un peu désagréable... 🙃 Appliqué "dans les règles", il a vraiment hydratée ma peau comme il faut ! Je l’utilisais par intermittence (2 fois par semaines max) et m’a duré un peu moins de 3 mois. Il a fini par me piquer sévèrement à la fin du flacon, je n'ai pas la peau sensible donc j'imagine que la formule a "tourné"... C'était une miniature de 10ml, en full size il coute entre 25 et 30€. Envie de le racheter ? Pas spécialement à la base... et si le petit format a commencé à me piquer après avoir utiliser 10 ml, un full size ça va être compliqué ... 😶
SkinHit Prebiotic+Postbiotic - Beauty Bay
1/10
Alors lui ... un sérum qui ne pas pas marqué du tout, mais alors DU TOUT. Je l'ai terminé mais il n'a pas été plus hydratant que ça, je n'ai pas spécialement la peau plus lisse, pas plus matte non plus, mes pores n'ont pas bougés... vraiment un sérum histoire de dire "je mets un sérum" ... il a une texture assez classique, pas d'odeur particulière.. 🤷♀️ je ne peux pas vous dire de fuir, il ne fais rien de mal, en tout cas sur moi c'était inexistant et j'au du me forcer le finir ...
Sébo vegetal gel creme 0 défaut - Yves rocher
6/10
J'ai mis beaucoup de temps à finir le pot de 50ml, plus d'1 an... il s'agissait de ma creme "dépannage" chez mon copain avant qu'on emménage ensemble. Ouverte en décembre 2022 (déjà???), je l'ai temriné fin janvier et espérant ne pas avoir de réaction (je culpabilisais un peu du gachi potentiel). Elle a une douce odeur et est à destination des peaux mixtes à grasses, elle avait un effet légèrement matifiant. Coté compo, je regarde check de temps en temps mes produits sur l'application SkinBliss et elle contient de l'alcool donc elle est censée asséchée la peau. Je n'ai pas observé d'asséchement particulier, je la touve même plutot confortable pour la journée ! Elle a été repackagée en 2023 aussi mais je n'ai pas vu de communication de la marque sur un changement de formule (je suppose donc que c'est la même 🤔) Je l'ai de nouveau en stock mais ce pot là attendra un peu !
Citrus brightening cream - Frudia
10/10 (juste pour l'odeur)
Très petit pot, mais vraiment très petit, une miniature trop mignonne en fait ! ... (je me suis faite avoir sur Amazon je n'ai pas regardé la contenance : 10ml 🙄) Je l'ai finit très vite forcément (2 semaines en l'aplliquant uniquement le matin et en jonglant avec la Yves Rocher..) 😂 Très agréable à appliquer, on a une sensation de frais légère, mais SURTOUT une odeur de tarte au citron, de lemon curd INCROYABLE ! Vu la taille du pot, j'ai pas assez d'utilisation pour voir des effets. En tout cas rien de négatif et c'est déjà bien !
Masque hydratant oxygénant Pure Algue - Yves Rocher
5/10
Je l'utilisais surtout avant et après le rasage de mon visage, il a une texture gel un peu laiteuse je trouve, qui laissait ma lame glissée toute seule ! Il laisse un effet de peau repulpée juste après vraiment sympa. Il faut bien retirer l'excédent après l'avoir fait posé par contre, sinon il peluche/pèle c'est vraiment pas agréable donc si vous vouliez l'essayer en masque de nuit, vous aller avoir des petites peluches partout sur la taie ! Après, ça reste un masque hydratant assez basique qui fait son taff dans l'ensemble 🤷♀️
Bas à paupières Proof it - NYX
10/10
Je suis triste et démunie !! ma base préférée (qui a été discontinuée en plus) est finie ! Je vous prépare une revue sur les base à paupières que j'ai pu tester 🤭 Elle est un peu collante, mais une fois poudrée, mes fards tenaient jusqu'au bout de la journée, elle était sweatproof ET waterproof, pourtant j'ai les paupières grasses mais c'est la meilleure !
101 ointment multi-balm Coconut - Lanolips 9/10
Un baume multi usage que j'utilisais uniquement sur mes lèvres, il a une texture riche assez grasse que je ne me voyais pas mettre sur mes cuticules, mains ou autres. En plus avec son petit format, je l'aurais vidé en 2 utilisations 🤣 Pour sa fonction de baume à lèvre par contre, c'est une pépite et j'aime VRAIMENT beaucoup l'odeur de noix de coco, très estivale, très cocktail sucré sous les palmier🌴🥥 J'avais les lèvres nourries pendant au moins 3/4 heures (difficile de faire plus pour moi, je finis par le retirer à un moment sans forcement m'en rendre compte 😐 Ce petit format, je l'ai terminé en 1 mois en l'utilisant tout les soirs
Lotion à l'acide glycolic 7% - The Ordinary
8/10
Un très grand format qui m'a duré 7 mois ! L'embout initial fourni avec est très pratique pour l'appliction sur le cuir chevelu mais pour le visage pas vraiment.. J'ai donc récupérer un spray d'une brume terminée et c'est tellement mieux !! C'est une des lotion les plus concentrée en acide glycolic que j'ai et j'ai vraiment vu un effet lissant sur mon grain de peau. Je l'ai aussi utilisé sur le corps et je n'ai plus de tâche sous les aisselles et mes coudes sont moins rugueux. Il n'a pas d'odeur particulière, une légère sensation de picotement quand je l'applique sur boutons à vifs mais clairement rien de méchant (je n'ai pas une peau sensible de base aussi). Je racheterai surement cette lotion ... une fois que j'aurais terminé la Pixi 😉
🌸🧼 Et voilà, c'est la fin de ma revue des produits terminés ! J'espère que cette exploration de mes expériences avec ces produits vous a été aussi divertissante qu'à moi. Restez à l'affût pour de nouvelles aventures dans le beauty universe ! 🧼🌸
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Ils parlent de la mode
Yves Saint-Laurent par Jeanloup Sieff, 1971
1. « La mode passe, le style reste » - Yves Saint-Laurent
2. « Etre un pas en avance sur la tendance de la mode n’est pas si important pour moi. Ce qui compte, c’est toujours aller de l’avant » - Sonia Rykiel
3. « Si tu ne peux pas être mieux que la concurrence, il suffit de t’habiller mieux » - Anna Wintour
4. « Ce n’est pas la robe que vous portez qui compte, mais la vie que vous menez en la portant » - Diana Vreelan
5. « La plus grande élégance, c’est la vérité » - Thierry Mugler
Giorgio Armani
6. « L’élégance ce n’est pas se démarquer, mais être mémorable » - Giorgio Armani
7. « Les femmes nulles suivent la mode, les prétentieuses l’exagèrent, mais les femmes de goût pactisent agréablement avec elle » - Marquise du Châtelet
8. « Les vêtements que je préfère sont ceux que j’invente pour une vie qui n’existe pas encore, le monde de demain » - Pierre Cardin
9. « Vaines bagatelles qu’ils semblent être, les vêtements ont, disent-ils, un destin plus important que de nous tenir chaud. Ils changent notre vision du monde et le point de vue du monde sur nous » - Virginia Woolf
10. « La mode me dépasse. Mon imaginaire dépasse les limites normales et m’entraîne où je ne voudrais pas aller » - Yves Saint-Laurent
Jane Birkin
11. « Mon style est comme un cocktail. Je ne suis pas aussi apprêtée qu’une française mais je m’en fiche comme une anglaise » - Jane Birkin
12. « La mode est avant tout un art du changement » - John Galliano
13. « La chose la plus difficile dans la mode n’est pas d’être connu pour un logo, mais d’être connu pour une silhouette » - Giambattista Valli
14. « Donne à une fille les bonnes chaussures et elle peut conquérir le monde » - Marylin Monroe
15. « Pour être irremplaçable, il faut être différente » - Coco Chanel
Coco Chanel
16. « On est jamais trop, ni pas assez habillé avec une Petite Robe Noire» - Karl Lagerfeld
17. « La mode n’est pas quelque chose qui existe uniquement dans les vêtements. La mode est dans l’air, portée par le vent. On la devine. La mode est dans le ciel, dans la rue. » - Coco Chanel
18. « L’élégance est la seule beauté qui ne se fane jamais » - Audrey Hepburn
19. « J’aime être une femme, même dans un monde d’hommes. Après tout, les hommes ne peuvent pas porter de robes, mais nous pouvons porter des pantalons » - Whitney Houston
20. « J’aime mon argent quand il est là où je peux le voir : sur des cintres, dans mon armoire » - Carrie Bradshaw
Carrie Bradshaw dans Sex & The City
21. « La femme à la mode porte le vêtement. Ce n’est pas le vêtement qui la porte » - Mary Quant
22. « Les femmes s'habillent pour elles-mêmes. Si elles s'habillaient pour les hommes, elles seraient tout le temps nues » - Betsey Johnson
23. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez » - Lauren Hutton
24. « La différence entre le style et la mode est la qualité » - Giorgio Armani
25. « Ne soyez pas dans les tendances. Ne laissez pas la mode s’emparer de vous, mais décidez de ce que vous êtes, de ce que voulez exprimer par ce que vous portez et de la façon dont vous vivez » - Gianni Versace
Gianni et Donatella Versace
26. « La mode doit être une forme d’échappatoire, et non une forme d’emprisonnement » - Alexander McQueen
27. « La moitié de mes créations sont de la fantaisie contrôlée, 15 % de la folie pure, et le reste du terre-à-terre » - Manolo Blahnik
28. « La seule vraie élégance est dans l’esprit; si vous avez ça, le reste vient vraiment de ça » -Diana Vreeland
29. « Je ne crée par des vêtements, je crée des rêves » - Ralph Lauren
30. « Au fil des années j’ai appris que ce qui est important dans une robe, c’est la femme qui la porte » - Yves Saint Laurent
31. « Les hommes me disent que j’ai sauvé leur mariage. Cela leur coûte une fortune en chaussures, mais moins cher qu’un divorce » - Manolo Blahnik
32. « Les vêtements ne vont pas changer le monde, les femmes qui les portent, si » - Anne Klein
33. « Quand vous doutez, portez du rouge » - Bill Blass
34. « La mode est un langage de l’instant » - Miuccia Prada
35. « J’adore et j’admire tous ceux qui sont différents. J’aime ça. Le jet set est banal. Le bon goût est banal. L’excentricité est chic. Le bon goût paralyse. Mais la mode du punk ou de la rue ou un corps couvert de tatouage c’est intéressant pour moi et j’adore » - Jean-Paul Gaultier
36. « Ne jamais dire jamais – dans la mode et dans la vie » - Ashley Olsen
37. « La seule raison pour laquelle je suis dans la mode est de détruire le mot conformité » - Vivienne Westwood
38. « Il n’y a pas de mode si elle ne descend pas dans la rue » - Coco Chanel
39. «L’élégance est une question de personnalité plus que de vêtements » - Jean-Paul Gaultier
40. «Une belle robe, c’est une comédienne qui parle juste » - Sonia Rykiel
41. « La mode se démode, l’allure est intemporelle » - Coco Chanel
42. « Les gens de la mode n’aiment que ce qu’ils ne comprennent pas. Alors il suffit de faire un truc incompréhensible et ils t’adorent » - Loïc Prigent
43. « La mode est ce que l'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que portent les autres » - Oscar Wilde
44. « Le style est une manière de dire qui vous êtes sans parler » - Rachel Zoe
45. « Le style sait qui vous êtes, ce que vous voulez dire, et ce dont vous vous fichez » - Orson Wells
46. « Effacez le négatif, accentuez le positif. » - Donna Karan
47. « C’est l’attitude qui fait tout. » - Diane von Furstenberg
48. « Une femme doit être deux choses : classe et fabuleuse. » - Coco Chanel
49. « La mode est ce que vous offrent les créateurs quatre fois par an. Le style est ce que vous choisissez. » - Lauren Hutton
50. « La simplicité est l’ultime sophistication » - Léonard de Vinci
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