#ceux qui prennent aucune responsabilité
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2024 so far envie de clamser tous les jours et c’est 95% la responsabilité de mon taf
#j’adore ce que je fais#je deteste les incompetents qui me servent de collegues#vent#entre celui qui voit pas son alcoolisme#ceux qui bougent la prog sans le notifiee#ceux qui prennent aucune responsabilité#mon salaire qui bouge pas alors que je suis la seule personne referente pour tt et nimp#j’ai envie de mettre un arret maladie si fort#je chiale tous les jours#et le pire c’est que j’ai meme pas envie de ceder a mes pensees de la dep#pcq j’ai connu pire et que je refuse d’offrir ca au capitalisme
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"Ordure multipliée par merde" Céline.
L'affaire Crépol accumule tous les éléments de scénario rêvés par le pouvoir profond en France .
Des Français "font la fête" dans une salle polyvalente réservée pour l'occasion. En 2023 en pleine invasion on ne fait pas la fête. On ne vit pas sous occupation comme on vivait libre il y a 35 ans. "Faire la fête" c'est prendre le risque de voir rappliquer des intrus qui n'ont rien à perdre et tout à gagner. Les pires horreurs adviennent toujours parce que des cons font la fête, qu'ils ont avec eux des meufs et contre eux des prédateurs. Lire une page de faits divers de n'importe quel journal depuis les années 80.
Des intrus sont arrivés. Qui les a appelé ? Des meufs de la fête ? Si oui elles doivent en porter la responsabilité devant les parents des victimes et payer pour les conséquences ultérieures, elles en tout premier lieu, et les meurtriers en second. Celles qui ont de près ou de loin participé à légitimer les barbares se sont mises elles-même hors de la Civilisation et ne peuvent plus recevoir ni bienveillance ni protection.
Rieu et Bassem prennent des positions. Chacun a ses raisons mais chacun se garde bien de parler des intermédiaires qui se trouvent derrière. Rieu a Gilles-William et Bassem a David. Le jour où chacun congédiera son encombrant agent la vrai paix sur le terrain se fera entre les vrais gens de terrain. N'avez-vous pas étudié le processus libanais ? Ce sont les triangulations absurdes et les alliances contre-Nature qui ont détruit le Liban maronite et ismaëlite (pays jadis florissant), au bénéfice d'une troisième équipe. À E&R (dont la vocation profonde est d'empêcher la guerre civile) AS nous à toujours dit "surtout, n'appelez pas aux vengeances, et pour parler évitez les intermédiaires !"
Des natios organisent une contre-manif avec les pires slogans possibles. Qui a scandé ces mots le premier? Qui les ont fait reprendre ces slogans ? Pourquoi le seul terme qu'il fallait mentionner, et qui est "racaille", est-il absent des slogans?
La police manœuvre de manière curieuse sur le terrain. Rappel en actes pour ceux qui croient encore que la police protège les Blancs. Il est impossible que les services n'aient pu anticiper la venue de 80 jeunes natios sur les lieux. Voilà les méthodes du pouvoir et de ses préfets, commissaires-divisionnaires tous franc-maçons.
Les images tournent en boucle partout, avec leur effet désastreux, elles renforcent les médias, la troisième équipe, tous les prédateurs, tous les salopards. Tous les attentistes, tous les profiteurs se frottent leurs sales mains. On ne lutte pas contre la racaille en attaquant un château-fort à 1 contre 10 mais se retirant du terrain afin que le poids des racailles repose entièrement sur les bobos/FM/médias/canaille comme lors des émeutes de juin 23. La Libération du pays commence lorsque la canaille d'occupation supporte seule le poids de la racaille d'occupation sans aucune intervention des Français. Relisez Bagatelles pour un massacre.
Crépol est la contraction des termes crépu et créole, c'est là un signe qui nous rappelle la véritable menace qui pèse sur la civilisation: non pas l'ismaëlisme mais l'invasion crépue et la créolisation (métissage, abrutissement) au profit du sémitisme (ingénierie sociale de prédation sur les Blancs). Dans cette vraie lutte les femmes sont le vrai enjeu. Les hommes de bonne volonté qui connaissent l'Histoire savent ce qu'il convient de faire avec les femmes qui franchissent la ligne en période d'invasion aggravée. "Ils nous persécutent, ils nous tuent, tu leur ouvres ton cul? D'accord alors voilà ce qui va se passer..."
Il reste à attendre la prochaine "fête" d'imbéciles, les prochaines putes pour les livrer à la racaille, les prochaines racailles pour rafler les putes et poignarder les imbéciles, les prochains David et Gilles-William pour en tirer la sève dans les médias, tout le bordel de merde habituel puisque tout le monde aime cela et ne comprend jamais la leçon. En vrai tout le monde s'en fout et personne n'aime son frère. "May God help us all".
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Je continue le texte.
La bénédiction de l’Éternel, c’est elle qui enrichit, et il n’y ajoute aucune peine (Proverbes 10:22).
Ce verset est illustré par un inconnu. Je lis les passages :
David fit déposer le coffre de Dieu dans la maison d’Obed-Édom, un homme originaire de Gath. Le coffre y resta trois mois, et l’Éternel bénit la famille d’Obed-Édom et tous ses biens. Par tirage au sort, la porte sud du temple échut à Obed-Édom, et la responsabilité des entrepôts revint à ses fils (1Chroniques 13:13-14; 26:15).
⦁ Or comme par le plus grand des hasards, c’était par la porte sud que le roi entrait au Temple, donc la garder était un honneur exceptionnel. De plus, les fils d’Obed-Édom contrôlaient les biens du roi. Toute cette famille fut bénie uniquement parce que cet homme d’origine non israélite avait accepté de prendre le coffre de Dieu en pension chez lui ; excellent calcul.
⦁ L’objectif des gens, en général, est d’avoir du bon temps et de s’amuser un maximum, espérant ainsi trouver le bonheur. Mais tous ceux qui s’éclatent de cette manière se rendent compte qu’au fil du temps ils y prennent de moins en moins de plaisir. Ils ont fait un très mauvais calcul, surtout qu’à la fin de leur vie, il ne leur reste plus que les yeux pour pleurer. Ailleurs, Salomon écrit :
Tiens compte de ton Créateur au temps de ta jeunesse, avant que n’adviennent les jours mauvais et avant que n’arrivent les années dont tu diras : « Je n’y prends pas plaisir ! » (Ecclésiaste 12:1).
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Dans les méandres de la société, le peuple se retrouve souvent en quête de soutien, de protection et de direction. Pourtant, trop souvent, il se sent abandonné par ceux qui sont censés le représenter et le servir : l'État. Cette entité, chargée de veiller au bien-être de tous, semble parfois déconnectée des réalités et des besoins de ses citoyens.L'abandon de la population par l'État se manifeste de différentes manières. Tout d'abord, il peut se traduire par un manque d'investissement dans les services publics essentiels tels que l'éducation, la santé ou les infrastructures. Les écoles délabrées, les hôpitaux surchargés et les routes dangereuses deviennent alors le triste reflet de cette négligence.De plus, l'absence d'une politique sociale efficace peut laisser de nombreuses personnes dans le besoin sans aucune aide tangible. Les plus vulnérables se retrouvent ainsi livrés à eux-mêmes, sans filet de sécurité pour les protéger des aléas de la vie.En outre, l'État peut également faire preuve d'abandon en négligeant de représenter les intérêts de tous ses citoyens de manière équitable. Les inégalités sociales et économiques persistent, alimentant un sentiment d'injustice et de marginalisation chez ceux qui se sentent oubliés par les décideurs politiques.Face à cet abandon, le peuple peut réagir de différentes manières. Certains choisissent de se résigner, acceptant leur sort avec amertume. D'autres décident de se mobiliser, de faire entendre leur voix et de revendiquer leurs droits. Quelle que soit la réaction, une chose est certaine : l'abandon du peuple par l'État ne peut être ignoré ni accepté indéfiniment. Il est impératif que les gouvernants prennent conscience de leurs responsabilités et œuvrent véritablement pour le bien-être de tous leurs concitoyens.
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La Ville d'Audincourt vote une motion pour le maintien du BTS Métiers Service à l’Environnement au Lycée Nelson Mandela
Le Conseil municipal de la Ville d'Audincourt a voté une motion en séance du lundi 27 novembre 2023 au sujet du BTS Métiers Service à l'Environnement du Lycée Nelson Mandela d'Audincourt : "Publiée la semaine dernière, la carte des formations professionnelles révèle la suppression du BTS Métiers Service à l'Environnement au Lycée Nelson Mandela. Cette suppression est incompréhensible. Non seulement, elle vient rompre la continuité d'un cursus scolaire initié avec les CAP et les Bac pro Hygiène et Propreté proposés au Lycée Mandela, mais cette formation s'inscrit dans une réelle demande de notre société. Ces jeunes, qui suivent cette voie, se forment à des métiers d'avenir comme la gestion des déchets et de l'assainissement, la propreté et l'hygiène, la prévention des risques et à la préservation de l'environnement. De nombreux jeunes se sont illustrés dans la mise en œuvre de leur formation avec de nombreuses récompenses. Leur formation est en outre reconnue par les professionnels. La plupart des jeunes trouvent un emploi à la fin de leur BTS et prennent rapidement des responsabilités dans les entreprises dans lesquelles ils sont recrutés. Par expérience, nous savons que les jeunes recrutés en CAP ont rencontré des difficultés scolaires. Intégrer cette filière, leur permet souvent de prendre confiance, de s'épanouir et d'apprendre un métier porteur d'avenir. Supprimer ce BTS, qui n'existe dans aucun autre lycée franc-comtois, obligerait ceux qui veulent continuer leur cursus à partir en Saône-et-Loire, plus précisément à Montceau-les-Mines. Soyons lucides, les jeunes du Pays de Montbéliard n'iront pas aussi loin. La suppression de ce BTS est une perte pour notre territoire. Pour toutes ces raisons, le Conseil municipal d'Audincourt demande le maintien du BTS Métiers Service à l'Environnement au Lycée Nelson Mandela". Cette motion a été envoyée par courrier à Marie-Guite Dufay, Présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, et Nathalie Albert-Moretti, Rectrice de la Région académique Bourgogne-Franche-Comté. Read the full article
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CAR VIVRE DANS UNE MENTALITÉ DE VICTIME, EST LA RAISON POUR LAQUELLE LA PREMIÈRE GÉNÉRATION DU PEUPLE D'ISRAËL EST MORTE DANS LE DÉSERT, TOUT COMME MOÏSE D'AILLEURS, QUI N'EST PAS ENTRÉ DANS LA TERRE PROMISE.
DONC SUIVRE UN DIRIGEANT SPIRITUEL HUMAIN, N'EST PAS LA GARANTIE DU SALUT, MES CHERS AMIS.
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Donc toi qui a une mentalité de victime, toi qui aime mettre la faute sur autrui, toi qui n'aime pas assumer la responsabilité de ce qui se passe dans ta vie personnelle et qui te trouves toujours des excuses ou des circonstances atténuantes, à tes péchés ou tes fautes, alors que lorsqu'il s'agit de ton prochain, tu l'accuses et tu es sans pitié, ni miséricorde vis à vis de lui ou d'elle.
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COMPRENDS CHER AMI(E), QUE LA SOURCE DE LA VICTIMISATION EST LE FAIT QUE TU NE SAIS PAS DU PLUS PROFOND DE TOI-MÊME, QUE TU ES AIMÉ PAR TON CRÉATEUR.
SAIS-TU QUE TU ES PASSIONNÉMENT AIMÉ DE DIEU ?
TES RÉACTIONS DANS LE DÉTAIL DE TA VIE LE DÉMONTRE-T-IL ?
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Jésus est devenu le Christ ou le Messie, à cause du fait qu'il savait de tout son être que le Père céleste l'aimait.
De même, en suivant notre propre conscience, qui est en réalité, la manifestation de l'esprit de Dieu dans la vie de chaque être humain.
Alors l'Éternel dit : Mon esprit ne restera pas à toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. - Genèse 6:3 LSG
En effet, ton Créateur ne t'a pas laissé sans lumière ou sans direction en t'envoyant sur terre.
Il t'accompagne lui-même en réalité, si tu ne le savais pas.
Quand réaliserons-nous que notre conscience est notre lumière et est, en réalité, le chemin que le Seigneur Jésus a lui-même suivi en vivant sur terre.
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Jésus est le chemin, car il nous a montré par sa façon de vivre, comment on devrait fonctionner ou vivre, car Jésus est le Créateur, tout simplement.
Dieu nous a donné son Esprit individuellement, dès le commencement.
Et Jésus nous a montré qu'en suivant sa propre conscience, qu'il a appelé le Père céleste, il a accompli la volonté du Créateur qui est au ciel, tout simplement.
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Si tu ne me crois pas, pas de souci, cher ami(e).
Mais ma question pour toi est, en quoi ta vie personnelle montre que j'ai tort ?
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Beaucoup ne me croient pas, mais ils n'ont aucun argument à m'opposer véritablement.
Et le plus triste est que leur vie personnelle n'a aucune similitude à celle de Christ.
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Et d'ailleurs, Je ne te demande même pas de me croire.
Je te demande de suivre ton Créateur à travers ta conscience personnelle, ou de simplement suivre tes convictions intimes et profondes, si tu es arrivé toi-même à cette conclusion de vie-là.
Je ne sais pas comment faire preuve davantage de respect envers toi, qu'en te disant cela, cher ami(e).
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Car trop de pasteurs et de dirigeants spirituels humains, prennent en otage ceux qui les suivent, en ne les autorisant pas à découvrir par eux-même, ce que l'esprit de Dieu veut leur dire, ou ce que leur conscience leur indique de faire.
C'est triste à dire, mais nos religions, nos églises ou nos assemblées de croyants, ne sont plus des institutions qui poussent les gens à trouver Dieu personnellement et individuellement, par nous-mêmes.
Ce sont aujourd'hui des institutions, qui sont devenu des petites dictatures humaines, ou si tu ne fais pas ce que le pasteur ou le dirigeant spirituel humain te commandes, tu subis des représailles en tout genre.
C'est mon témoignage personnel et je ne suis pas le seul à le constater.
Maintenant, ce que je constate est tout à fait normal, car il n'y a de bon que Dieu seul, signifie, que seul Dieu est fiable, juste et saint.
Aucun être humain, ni aucune organisation humaine n'est fiable, juste et saint, seul le Créateur l'est.
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Arrêtons donc de croire en la bonté humaine, la fiabilité humaine et la sainteté humaine, car cela n'existe pas, mes chers amis.
Certains disent "mon pasteur ou mon prophète ou mon dirigeant spirituel humain est formidable, car il ou elle m'a aidé".
Cher ami(e), je tiens à te rappeler, que c'est uniquement à notre jugement éternel devant Dieu Lui-même, après notre mort, que l'on saura véritablement qui est qui.
En attendant, nous ne savons pas réellement à qui nous avons affaire, car seul Dieu sait, qui est réellement chaque personne.
Nous ne nous connaissons même pas personnellement nous-même, d'ailleurs.
On ne cesse de se découvrir.
Non ?
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Mais ne nous détrompons pas, le témoignage divin au sujet de chaque être humain est irrévocable.
Si donc, méchants comme vous l'êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, ... - Matthieu 7:11 LSG
Et d'ailleurs, toute personne qui pèche est considéré méchante par Dieu.
Car nous péchons à cause de notre manque de douceur et d'humilité envers le Créateur, qui s'adresse à nous par notre conscience personnelle.
Donc pèches-tu cher ami(e) ?
Si tu pèches, personne ne peut te suivre ou dire que tu es une bonne personne.
En effet, doit-on imiter tes péchés si tu te considères pasteur, prophète ou un dirigeant spirituel humain ?
Tu es un méchant ou une méchante à cause de tes péchés personnels, comme chacun de nous.
Non ?
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Assumons notre nature pécheresse, et soyons sincère comme Jésus dans le Jardin de Gethsémané, en demandant l'aide divine jusqu'à la recevoir, si nous sommes conduit par Dieu à faire cela.
Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Éternel, - Jérémie 29:13-14 LSG
Car Jésus est le chemin, signifie qu'Il est la seule et unique personne digne d'être suivi, et toute autre personne ne l'est pas, tout simplement.
Et Jésus étant avec nous, tous les jours, jusqu'à la fin du monde, tu peux effectivement le suivre, si tu le veux de tout ton cœur, en marchant par la foi ou la confiance en lui seul et non en marchant par la vue, en suivant les êtres humains pécheurs et le monde visible.
Le savais-tu, cher ami(e) ?
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L'obéissance à Dieu seul, qui consiste à ne faire, que ce que tu crois au plus profond de toi-même, semble interdit ou n'est pas du tout encouragé, de nos jours, dans nos églises ou nos assemblées de croyants.
On demande une obéissance quasiment servile, envers nos pasteurs ou dirigeants spirituels humains, alors que Jésus ne nous a jamais donné cet exemple-là de soumission à l'être humain dans sa vie personnelle.
Jésus dit : "Je vous dis la vérité éternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative. Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père. - Jean 5:19 TPT
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Sais-tu qu'obéir à un être humain sans que Dieu ne te le confirme personnellement et individuellement à chaque fois, est la preuve que tu es sous une malédiction ou encore, c'est la preuve que tu ne fais pas la volonté du Père qui est au ciel, cher ami(e) ?
Voici ce que déclare l’Éternel : Maudit soit l’homme qui met sa confiance en l’homme et qui fait des moyens humains la source de sa force mais qui détourne son cœur de l’Eternel. - Jérémie 17:5 BDS
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Donc toi qui obéis aux êtres humains, sans que Dieu ne te le confirme personnellement et individuellement à chaque fois que ce présente une situation, où tu dois obéir à un être humain.
Tu démontres par-là, que tu ne fais pas partie de la famille de Christ, car tu vis sans suivre uniquement ce que le Père qui est au ciel, te dit personnellement et individuellement de faire.
Non ?
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Car rappelle-toi, les conditions pour faire partie de la famille de Christ, ou d'être considéré comme un disciple ou un ami de Jésus :
Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande. - Jean 15:14 LSG
Cela parle d'une relation individuelle et personnelle avec Jésus lui-même, où l'on doit obéir personnellement et individuellement uniquement à ce qu'Il nous dit.
Non ?
Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère. - Matthieu 12:50 LSG
Comment connaître la volonté du Père qui est au ciel à chaque instant, sans relation intime et profonde avec Dieu lui-même, cher ami(e) ?
Comment savoir dans le détail quoi faire pour Dieu à chaque instant ?
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Jésus nous a répondu à ces questions par sa vie personnelle, en nous disant :
Il répondit : "Les Écritures disent : Le pain seul ne rassasie pas, mais la vraie vie se trouve dans toute parole qui sort constamment de la bouche de Dieu." - Matthieu 4:4 TPT
La vie éternelle signifie te connaître et t'expérimenter comme le seul vrai Dieu, et connaître et expérimenter Jésus-Christ comme le Fils que tu as envoyé. - Jean 17:3 TPT
Jésus dit : "Je vous dis la vérité éternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative. Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père. - Jean 5:19 TPT
Jésus a répondu : "En m'aimant, vous pouvez obéir à ma parole. Et mon Père vous aimera si profondément que nous viendrons à vous et que nous ferons de vous notre demeure. - Jean 14:23 TPT
Mais quand il viendra, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité [vérité pleine et entière]. Car il ne parlera pas de son propre chef, mais il dira ce qu'il aura entendu [du Père - le message concernant le Fils], et il vous révélera ce qui doit arriver [dans l'avenir]. - Jean 16:13 AMP
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Mais je vous le dis en vérité, il est avantageux pour vous que je m'en aille ; car si je ne m'en vais pas, l'Aide (le Consolateur, l'Avocat, l'Intercesseur-Conseiller, le Renforçateur, le Soutien) ne viendra pas à vous ; mais si je m'en vais, je l'enverrai (le Saint-Esprit) vers vous [pour être en étroite communion avec vous]. Et lui, quand il viendra, convaincra le monde de la culpabilité du péché [et du besoin d'un Sauveur], de la justice et du jugement :
du péché [et de sa véritable nature], parce qu'ils ne croient pas en moi [et en mon message] ; de la justice [intégrité personnelle et caractère pieux], parce que je vais vers mon Père et que vous ne me verrez plus ; du jugement [de sa certitude], parce que le chef de ce monde (satan) a été jugé et condamné.
Jean 16:7-11 "AMP"
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DONC SI TU NE FAIS QU'OBÉIR À TON PASTEUR, À TON PROPHÈTE OU À TON DIRIGEANT SPIRITUEL HUMAIN, SANS ÊTRE TOTALEMENT CONVAINCU OU SANS QUE TA CONSCIENCE APPROUVE CHAQUE CHOSE QUE TU FAIS AU PRÉALABLE, SACHE QUE TU ES PERDU, CAR TU NE RESPECTES PAS L'ESPRIT DE DIEU QUI TE PARLE À TRAVERS TA CONSCIENCE PERSONNELLE.
NON ?
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CAR JÉSUS N'OBÉISSAIT QU'AU PÈRE CÉLESTE.
DONC SI TU NE PEUX DIRE QUE C'EST LE PÈRE CÉLESTE LUI-MÊME, QUI TE DIT DE FAIRE CHAQUE CHOSE QUE TU FAIS PERSONNELLEMENT, COMMENT PEUX-TU DIRE QUE TU SUIS LE CHEMIN DU CHRIST, CHER AMI(E) ?
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On dirait que nos pasteurs ou nos dirigeants spirituels humains se croit les remplaçants de Jésus, qui est Dieu lui-même, alors que le Seigneur est là, présent avec nous jusqu'à la fin du monde.
Expérimentes-tu le fait que le Seigneur Jésus soit là, tous les jours avec toi personnellement aujoud'hui, comme Jésus à expérimenter que son Père était avec lui sur terre ?
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ET POUR FINIR, TOI PASTEUR OU TOI DIRIGEANT SPIRITUEL HUMAIN OU ENCORE À TOUS CEUX QUI CROIENT QUE JÉSUS EST CELUI QUE L'ON DOIT SUIVRE.
JE TIENS À NOUS RAPPELER QUE NOTRE SEULE RESPONSABILITÉ EST DE SUIVRE DIEU PAR NOTRE PROPRE CONSCIENCE, ET NON DE NOUS OCCUPER DE LA VIE PERSONNELLE DE NOTRE PROCHAIN.
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EN EFFET, QUAND L'APÔTRE PIERRE VOULAIT SAVOIR CE QUI ALLAIT SE PASSER DANS LA VIE PERSONNELLE DE L'APÔTRE JEAN, JÉSUS LUI A RÉPONDU À PEU PRÈS DANS CES TERMES :
CELA NE TE REGARDE PAS CE QUE JE FAIS FAIRE DANS LA VIE DE TON PROCHAIN, CAR TA SEULE RESPONSABILITÉ EST DE ME SUIVRE ET DE NE FAIRE QUE CE QUE JE TE DIS PERSONNELLEMENT.
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DONC TOI PASTEUR ET TOI DIRIGEANT SPIRITUEL HUMAIN OU ENCORE, À TOUT INDIVIDU, QUI VEUT QU'ON LUI OBÉISSE ABSOLUMENT, COMME S'IL ÉTAIT LE SEIGNEUR LUI-MÊME.
JE TIENS À TE RAPPELER QUE LE SALUT EST PERSONNEL, ET QUE NOTRE SEULE RESPONSABILITÉ EST DE FAIRE CE QUE DIEU NOUS DIT PERSONNELLEMENT ET INDIVIDUELLEMENT.
DONC TOI CHER AMI(E) QUI TIENT À CE QUE L'ON FASSE ABSOLUMENT CE QUE TU DIS HUMAINEMENT, CELA N'A JAMAIS ÉTÉ CE QUE JÉSUS T'A DEMANDÉ DE FAIRE.
ON EST JUSTE DES FRÈRES ET SŒURS, QUI SOMMES LÀ POUR NE SUIVRE QUE LE SEIGNEUR JÉSUS À TRAVERS NOTRE PROPRE CONSCIENCE, ET À NOUS ENTRAIDER SIMPLEMENT À NE FAIRE QUE CE QUE L'AUTRE CROIT QUE DIEU LUI DIT PERSONNELLEMENT, EN RÉALITÉ.
Jésus seul est notre pasteur, notre berger et notre enseignant, nous a t-il dit clairement personnellement, d'ailleurs :
Ne vous faites pas appeler Rabbi ( enseignant ), car un seul est votre enseignant, et vous êtes tous [également] frères. N'appelez pas père celui qui est sur la terre [et qui vous guide spirituellement], car votre père est unique, celui qui est dans les cieux. Ne vous laissez pas appeler chefs ou enseignants ; car un seul est votre chef (enseignant), le Christ. Le plus grand d'entre vous sera votre serviteur. Quiconque s'élève sera abaissé, et quiconque s'abaisse sera élevé en dignité. - Matthieu 23:8-12 AMP
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Notre chef, notre pasteur et notre berger, est donc invisible d'où le fait que l'on doit vivre par la foi pour véritablement suivre Le Christ.
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Les disciples de Jésus ont de tout temps voulu prendre la place du Seigneur, on le voit, par le fait qu'il se demandait toujours, qui est le plus grand parmi eux, quand Jésus ne serait plus là, en réalité.
Parque que tant que le chef est là, la question ne se pose pas.
Non ?
Ce genre de pensée est non inspiré de l'amour divin, on n'est pas censé vouloir diriger son prochain, et encore moins nous comparer entre nous.
Compares-tu tes enfants entre eux ?
Ou compares-tu tes parents entre eux ?
Non, car tu les aimes de la même façon et ce serait méchant de le faire.
Non ?
Donc comparer des êtres uniques entre eux, c'est manquer d'intelligence et de sagesse, car qui connaît la fin de vie qu'aura chacun et surtout, connais-tu réellement l'opinion divine au sujet de chaque personne ?
L'amour ne cherche pas à diriger son prochain, mais uniquement à l'aider.
On ne cherche pas à diriger autrui, si ce n'est par orgueil, arrogance, égocentrisme et intérêt personnel et non par pur amour divin.
L'amour divin a chercher à nous aider en mourant à la croix à notre place.
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Il s'éleva parmi eux une contestation pour savoir lequel d'entre eux était le plus grand. Jésus leur dit : "Les rois des nations ont un pouvoir absolu et les dominent ; et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs. Mais il n'en sera pas ainsi pour vous ;
au contraire, le plus grand d'entre vous doit devenir comme le plus jeune [et le moins privilégié], et le [celui qui est le] chef comme le serviteur. Car qui est le plus grand, celui qui est à table ou celui qui sert ? N'est-ce pas celui qui est à table ? Moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.
Luc 22:24-27 AMP
Jésus se définit comme un serviteur et non comme un dirigeant, un chef.
Pourquoi donc cherchons-nous à diriger ?
Comprends que ton désir de diriger ton prochain, ne vient pas du Créateur, cher ami(e).
Car Jésus étant le chemin, lui seul représente la bonne image de la personne que tu dois devenir.
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Jésus les appela à lui et dit : " Vous savez que les chefs des nations ont un pouvoir absolu et qu'ils les dominent, et que leurs grands hommes exercent leur autorité sur elles [en les tyrannisant]. Il n'en est pas ainsi parmi vous ;
mais celui qui veut devenir grand parmi vous, sera votre serviteur, et celui qui veut être le premier parmi vous, sera votre esclave [volontaire et humble], de même que le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup [en payant le prix pour les libérer de la peine du péché]."
Matthieu 20:25-28 AMP
Jésus dit en réalité que seul l'orgueilleux ou l'arrogant, veut être le plus grand dans sa famille, en réalité.
Car si dans la vie personnelle du Christ, il n'a jamais voulu être le plus grand.
Comprends que la vraie compréhension du message du Christ se trouve dans la vie qu'il a mené lui-même.
En opposant les termes grand et esclave, Jésus nous révèle qu'il n'y a pas de désir basé sur l'égocentrisme et l'arrogance dans son royaume.
Le diable en a fait l'expérience par sa chute.
Car, pourquoi veux-tu réellement diriger ton prochain, cher ami(e) ?
Pose-toi sincèrement la question, afin de te rendre compte par toi-même, de l'esprit qui t'anime.
Car si Jésus n'a jamais voulu pas diriger autrui, comprend l'esprit derrière ce désir d'avoir du pouvoir sur les êtres humains, que tu as.
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En ce temps-là, les disciples s'approchèrent de Jésus et lui demandèrent : "Qui est le plus grand dans le royaume des cieux ? Il appela un petit enfant, le plaça devant eux et leur dit : "Je vous l'assure et je vous le dis très solennellement : si vous ne vous repentez pas [c'est-à-dire si vous ne changez pas votre moi intérieur, votre ancienne façon de penser,
si vous ne changez pas de vie] et si vous ne devenez pas comme des enfants [confiants, humbles et indulgents], vous n'entrerez jamais dans le royaume des cieux. Par conséquent, quiconque s'humilie comme cet enfant est le plus grand dans le royaume des cieux.
Matthieu 18:1-4 AMP
D'ailleurs, un enfant cherche-t-il à diriger les autres, ou l'enfant cherche plutôt à être conduit par ses parents ?
Ce qui signifie que Jésus disait en réalité, qu'il n'y a pas de notion de direction humaine dans le royaume de Dieu, mais il n'y a que de la direction divine personnelle et individuelle dans son royaume, tout simplement.
D'ailleurs, comment diriger autrui, si tu es occupé à faire personnellement et individuellement, uniquement ce que Dieu te dit, cher ami(e) ?
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D'où vient la penser humaine de diriger autrui, quand tu sais que Dieu seul est le chef et notre Créateur, et que lui seul est digne de nous diriger ?
Comprends aussi que Dieu seul est capable de nous diriger.
En effet, la chute d'Adam et Eve, nos vies de péchés personnelles, devrait nous avoir ouvert les yeux à la bonne compréhension de ce sujet.
Non ?
Veux-tu toujours diriger autrui, alors que tu ne sauras que tu es sauvé qu'après ta mort, après ton jugement final devant ton Créateur ?
En effet, si ce n'est que celui qui persévérera jusqu'à la fin qui sera sauvé, comment peux-tu diriger de ton vivant ton prochain, sans savoir aujourd'hui, où tu passeras ton éternité.
Soyons honnête, authentique et sincère, afin d'arrêter de nous voir en tant que chef, pasteur, berger et dirigeant, mais plutôt en tant qu'esclave du Seigneur et enfant de Dieu.
Non ?
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ARRÊTONS DONC LA DICTATURE QUI RÈGNE ACTUELLEMENT DANS NOS ÉGLISES OU DANS NOS ASSEMBLÉES DE CROYANTS.
AIDONS-NOUS PLUTÔT LES UNS LES AUTRES À NE FAIRE QUE CE QUE NOUS CROYONS INDIVIDUELLEMENT ET PERSONNELLEMENT QUE L'ESPRIT DE DIEU NOUS DIT, PLUTÔT QUE DE NOUS IMPOSER NOS OPINIONS PERSONNELLES, LES UNS LES AUTRES.
CAR à LA FIN, SEUL DIEU LUI-MÊME SAIT CE QUE CHACUN DOIT FAIRE à CHAQUE INSTANT.
LE SAVAIS-TU ?
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Et toi cher ami(e) qui dépend de ton pasteur ou de ton dirigeant spirituel humain, comme s'ils étaient Dieu lui-même.
Un jour, tu comprendras peut-être, si tu es véritablement sincère, jusqu'à la fin de ta vie, que Jésus seul te suffit.
Et que le Seigneur est personnellement et individuellement avec toi, tous les jours, jusqu'à la fin du monde, et que tu n'as rien besoin de rien d'autre et de personne d'autre, cher ami(e).
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Force à chacun afin de grandir dans ta relation personnelle avec le Seigneur.
Et que tu reconnaisses de tout ton être, que Jésus est effectivement avec toi, à chaque instant de ta vie personnelle, jusqu'à la fin du monde.
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Voici les paroles de la sagesse des proverbes, la Sagesse est en réalité, Dieu lui-même :
"Écoutez donc, mes fils et mes filles, tout ce que je vous dirai, car rien ne vous apportera plus de joie que de suivre mes voies. Écoutez mes conseils, car mes instructions vous éclaireront. Vous ferez bien de ne pas l'ignorer. Si vous attendez à la porte de la sagesse, désireux d'entendre une parole pour chaque jour, la joie éclatera en vous lorsque vous écouterez ce que je dirai. Car la source de vie se déverse en toi chaque fois que tu me trouves, et c'est là le secret pour grandir dans les délices et la faveur du Seigneur. Mais ceux qui chancellent et me ratent le regretteront ! Car en ignorant ce que j'ai à dire, vous ferez du tort à votre propre âme. Ceux qui me haïssent flirtent avec la mort ! - Proverbes 8:32-36 TPT
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# 102- Vendredi 18 novembre 2005.
On rejoint Erella et Ehud au Kibboutz Shaval. Erella est la psychologue avec laquelle je suis allé l’autre jour dans le village de Salem. Elle fait partie d’un groupe d’israéliens qui aide et conseille les habitants du village de Cisjordanie.
De là nous allons dans les montagnes d’Hébron, situées dans le sud de la Cisjordanie. Magnifique paysage désolé de collines recouvertes de pierres.
Nous sommes pris en charge par Ezra qui nous emmène dans deux ou trois villages palestiniens soumis aux tracasseries des colons.
Ezra Nawi* est un plombier de 53 ans de Jérusalem. Il est devenu une institution à lui tout seul et passe tout son temps de libre à aider et essayer de protéger les palestiniens troglodytes des collines au sud de Hébron.
« Un millier de personnes vivaient en petites communautés au sud-ouest de la Cisjordanie. Dans les années 80 les israéliens ont voulu les repousser vers les villes pour faire la place aux colonies. Deux fois dans différentes zones, des personnes furent expulsées, vers la fin des années 90 et la plus importante expulsion à la mi-2001. Des organisations israéliennes ont fait appel à la cour suprême. Un ordre temporaire a été donné autorisant les habitants de ces lieux à retourner dans leur communauté. À Twene, un village au centre de la région, des caves où vivaient ces personnes ont été détruites. Maintenant les colons font des ranchs en intimidant les arabes ».
Dans les villages que nous visitons, Ezra explique que les colons empoisonnent les champs pour tuer leurs moutons et faire partir les villageois qui s’arc boutent à leur terre, que l’armée ne s’occupe pas des colons car ils sont citoyens israéliens et qu’ils dépendent de la police dont nombre de leurs membres sont eux-mêmes colons. Il y a deux systèmes de lois : la démocratie pour les colons, la loi militaire pour les palestiniens.
Près des villages que nous visitons il y a des colonies « légales » et une colonie illégale ** Avigaï, faite de quelques bâtiments préfabriqués et d’un vieux bus que deux hommes retapent. Nous nous y rendons, un peu par provocation, dit Ezra. Cette colonie a beau être « illégale », l’eau et l’électricité ont immédiatement été raccordées. Un jeune colon portant son enfant vient à notre rencontre. Il n’a aucune agressivité à l’égard de Ezra, qu’il semble connaître. En fait tous les colons et militaires de la région connaissent Ezra qui passe son temps à essayer de faire respecter les droits les plus élémentaires pour ces paysans palestiniens.
Dans le village de Khirbet Susya où nous nous rendons, les jeunes paysans labourent à l’ancienne de petits lopins de terre étriqués entre des roches. Ânes, charrues archaïques sous la supervision d’un grand père fier de léguer son savoir. Mais leur territoire se rétrécit au profit de ceux qui ont la force et qui chaque année trouvent des prétextes pour confisquer un peu plus de terre à leur profit.
S’il n’y avait pas de gens comme Ezra, ces paysans palestiniens seraient déjà loin. Ils vivent dans des caves naturelles qui, en hiver les protègent du vent très froid qui souffle sur la région. Certaines caves ont été détruites par l’armée pour les faire partir.
Près du village, qui n’a pas d’eau courante, passent les canalisations d’eau qui approvisionnent les colonies voisines.
Même chose pour l’électricité, le téléphone. « Nous sommes des réfugiés sur notre terre » clame un habitant du village, « chaque année, ils prennent un peu plus de notre terre et nous ne pouvons plus amener nos animaux où nous souhaitons. Nous sommes en prison ».
Plus tard, de retour au kibbutz, Erella me confie ses doutes sur son identité, sur le pays dans lequel elle vit. Pour avoir hébergé des militants pacifistes, elle s’est retrouvée sur une liste noire de la police secrète israélienne, la Shabak (Shin Beth). Le jour où j’ai compris que j’étais devenue une suspecte j’ai perdu ma patrie. À chaque voyage à l’étranger, c’est cinq-six heures avant le départ de l’avion qu’elle doit se rendre à l’aéroport où elle subit une « fouille politique » humiliante.
Elle s’emporte sur la situation politique et la compétition des victimes, autant du côté israélien que du côté palestinien. Dans l’histoire, les juifs ont toujours été les victimes, la Shoah, l’absence d’une terre pendant 2000 ans. Tout est incorporé dans l’éducation, dans les programmes scolaires de manière à perpétrer cette histoire. Les gens sont « addictés » aux commémorations. L’anormal devient le normal. (The abnormal turns to normal).
Les palestiniens sont des victimes, des victimes psychologiques, ce qui fait qu’ils n’ont plus de responsabilités. Il y a toujours quelque chose qui ne va pas, c’est toujours l’autre qui a tort.
Depuis la création de l’état d’Israël, les juifs n’ont pas abandonné le complexe de la victimisation rajoute Erella.
« They don’t let them live. Moving and eating, working is impossible by purpose. If there are two wounded, one israeli jew and one palestinian and one sit in an helicopter, the one to be taken must be the one with the most chances to survive and no other reason.
Since the first intifada, things have be done jews are not allowed to do.
«Ils ne les laissent pas vivre. Bouger et manger, travailler est impossible par dessein. S'il y a deux blessés, un juif israélien et un palestinien et une place dans un hélicoptère, celui à prendre doit être celui qui a le plus de chances de survivre et aucune autre raison.
Depuis la première Intifada, des choses ont été faites que les juifs ne sont pas autorisés à faire.
* Ezra Nawi est décédé d’un cancer le 9 janvier 2021.
Ezra, qui était plombier, mizrahi, et homosexuel, a consacré sa vie à la lutte contre l’occupation israélienne, contre la suprématie juive, et à la défense des Palestiniens. Il a été l’un des fondateurs de Ta’ayush (mot arabe pour « coexistence »), un groupe d’action directe contre l’occupation. Pendant des années, il a mis son corps en jeu – et le peu de biens qu’il possédait – dans la lutte aux côtés des personnes les plus vulnérables vivant sous le contrôle israélien, particulièrement les Palestiniens dans les collines du sud d’Hébron, en Cisjordanie occupée. Cela, il l’a fait avec grâce et rudesse, avec humour et rage. Il l’a fait avec une intégrité, une bravoure et un cœur absolus. + 972 magazine
** En droit international, toutes les colonies sont illégales. Quand je parle de colonies « légales », je me réfère au langage officiel du gouvernement israélien.
Je reprends une observation d’un ami et lecteur de ce journal, Laurent S., israélien et observateur critique de l’occupation dans les territoires palestiniens : « Toutes les colonies de peuplement visant à évincer la population palestinienne sont illégales en droit international qui n’autorise l’installation d’aucune population colonisatrice aux dépens de la population précédemment en place à l’intérieur de territoires occupés militairement, quels qu’ils soient.
Pourquoi reprends-tu les concepts du colonisateur israélien qui tend à distinguer les colonies prétendument légales de celles qui ne le sont pas en droit israélien ? C’est triste à dire mais Israël donne des permis à certaines colonies, pas à d’autres, puis finit par tout « régulariser » de façon parfaitement inique au bout d’un certain temps ».
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L’appel de Christian Perronne
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.
Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.
L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.
La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.
Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.
Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.
Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozo��des, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.
Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin Un comble. Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Christian PERRONNE
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2. Vivre et piloter (Le Tyrolien de la Formule 1)
Dans les paddocks des Grands Prix, Gerhard Berger n’interprète aucun rôle. Il n'a aucun goût à se disperser ou à jouer les vedettes. Il préfère s'exprimer au volant de sa monoplace. Peu importe si sa démarche solitaire fait de lui un marginal aux yeux de certains fanatiques, il y est totalement indifférent. Même ses plus grands détracteurs reconnaissent son talent pur et son don pour ses practical jokes. Son sourire et ses farces ne laissent que de bons souvenirs à ceux qui l'ont côtoyé. Il a une autre vérité en lui plus intime et secrète. Il se sent en état de chance depuis qu'il a affronté la mort et la paralysie générale ce dernier dimanche d'octobre 1984 sur une petite route autrichienne...
Gerhard Berger reçoit un appel d'Italie à son bureau de Kundl. Le manager italien Pino Trivellato lui demande de venir le lendemain matin à Misano pour des essais. Berger, désœuvré, accepte. Mais il doit passer par son domicile pour prendre sa combinaison. Entre le bureau de sa succursale et son studio moderne de Wörgl, il parcourt quotidiennement les six kilomètres d'une route qu'il connaît par cœur. Il monte dans sa BMW personnelle, mais n'attache pas sa ceinture pour ce petit trajet. Soudain, au détour d'un virage, une voiture déboule d'un chemin de traverse et le percute sur le côté. Il ne peut esquisser aucune manœuvre de secours. La BMW du pilote autrichien part en tonneaux. Berger, éjecté à travers le pare-brise arrière, gît dans la neige. Une douleur lui cisaille le cou. Il ne bouge pas. “J'entendais seulement le bruit du réservoir qui fuyait abondamment".
Signe du destin, la voiture qui le suit à cent mètres est occupée par deux médecins allemands spécialisés en traumatologie. Ces deux docteurs ont tout vu de la collision et prennent immédiatement soin de Berger qui est soigné sur place à même le sol. Le pilote ne remue pas. Peu après, une ambulance surgit. Il est hissé avec mille précautions sur le brancard. Le soir même, Gerhard est en observation à l'hôpital d'Innsbrück. Les premières radiographies révèlent que les vertèbres cervicales sont touchées. Le lendemain, il subit une intervention chirurgicale de plus de trois heures. Deux éminents spécialistes, les docteurs Jörg Oberhammer et Hervik Darniaux, se relaient autour de la table d'opération. Quand il émerge de son long sommeil artificiel, le cou encore complètement bloqué, il apprend enfin la sale vérité. “A un millimètre près, j'avais une lésion de l'épine dorsale. Le verdict était écrit d'avance : j'étais paralysé pour le reste de mes jours. Dans ce cas là d'ailleurs j'aurais même pu mourir” commentera Gerhard Berger d'une voix neutre.
Commence alors un autre combat contre le corps médical. “Ils ne m'avaient pas demandé mon avis. Ils m'avaient impérativement fixé six mois de minerve plastique et ensuite trois mois de rééducation pour les muscles du cou... C'était impensable” s'insurge l'Autrichien. Dès qu'un pilote est rescapé d'un accident, il devient pressé de vivre de nouveau sa passion pour la vitesse. Plusieurs médecins se succèdent à son chevet pour lui prodiguer des conseils de prudence. En vain. Berger effraie les siens par sa détermination à vouloir s'en aller au plus vite. Un seul de ses amis le comprend, Nigel Mansell, son meilleur copain en Formule 1 de l'époque, qui lui rend visite. “Nous avions parlé de course...” dira Gerhard. Sa petite amie lui demande de suivre le conseil des docteurs, mais une semaine après son opération, il sort de l'hôpital. “J'avais signé une décharge de responsabilité. Ils me prenaient tous pour un fou. Je suis même reparti au volant d'une voiture et le soir de ma sortie, je fêtais l'événement avec des proches dans une discothèque” racontera-t-il, assez fier d'avoir gagné ce combat contre la fatalité.
Gerhard Berger est né le 27 août 1959 à Wörgl, petit bourg perdu au fin fond du Tyrol, à cinquante neuf kilomètres à l'Est d'Innsbrück. Son père, Johann Berger, possède une importante société de transports, « Berger Johann Transport ». Ses camions sillonnent l'Autriche, l'Allemagne, le Luxembourg, l'Italie et la Suisse. Johann Berger, plus connu sous le pseudonyme de Hans, s'occupe également de la vente de véhicules BMW. A six ans, Gerhard Berger conduit sa première voiture en profitant du parc automobile florissant du domaine familial. Comme tous les jeunes tyroliens, il poursuit son parcours scolaire avec dans la tête des rêves de ski alpin. Gerhard fréquente alors l'école de Schwaz, près d'Innsbruck. A dix ans, il conduit déjà un camion de l'entreprise familiale mais reste encore partagé entre devenir champion de ski alpin ou pilote automobile.
Le véritable déclic arrive en 1973 quand son père lui offre un kart. Le jeune s'y consacre totalement et demande à ses parents de l'aider à obtenir une machine encore plus rapide. Le refus de monsieur Johann et de madame Olga Berger est catégorique. Si leur fille Claudia, née en 1962, ne leur pose aucun problème, leur fils ne se sent pas du tout concerné par ses études. Il se spécialise dans la mécanique, au grand regret de ses parents qui lui auraient préféré une carrière dans la vente.
Arrive alors une fameuse proposition de Berger sr qui confie à Gerhard la gestion d'une succursale de son entreprise ; Europatrans à Kundl, non loin de Wörgl. Le but de Johann Berger est de réfréner les ambitions de son fils pour la course automobile en l'impliquant dans ses affaires. Avant même l'âge de 20 ans, Gerhard Berger doit faire face à de lourdes responsabilités. Cela va lui offrir une vision différente du sport automobile par rapport aux pilotes qui ne connaissent aucune autre activité. Plus tard, quand il expose sa véritable passion pour la compétition automobile à sa famille, son père reste sceptique. Hans trouve le prix du billet d'entrée en Formule 3 trop élevé et considère la Formule 1 trop dangereuse : "Regarde ce qui est arrivé à Lauda". Un pacte l'unissant à son père va alors naître. Gerhard pourra courir à la seule condition de ne pas renoncer à ses activités professionnelles et de ne plus jamais chevaucher sa moto Kawasaki. Le troc est conclu : le deux roues plus l'Alfasud du jeune homme contre sa première course en Formule 3 allemande.
L'Autrichien a toujours mis un point d'honneur à ne pas se couper de ses racines familiales. Comme beaucoup de pilotes, il possède depuis 1988 un luxueux appartement dans la Principauté de Monaco. “Beaucoup de sportifs se sont installés ici pour payer moins d'impôts précise-t-il, mais pas uniquement pour cette raison. Personnellement j’y ai beaucoup d’amis et l’été sur la Côte est merveilleux”. Berger est également fier de sa propriété autrichienne basée à Söll, près de Wörgl, où il aime skier entre amis et imposer ses 185 centimètres et ses 73 kilos sur les patinoires de hockey sur glace.
1979 est une année unique pour le jeune autrichien. Agé de 20, il court sur sa première voiture de course ; une Ford Escort Groupe 5 confiée gratuitement par un autre habitant de Wörgl - le pilote Frank Convalexius. Lors de sa première compétition devant le public de Zeltweg, il gagne sa première course. C'est ainsi que Hans Berger découvre avec stupeur en parcourant la presse locale, que son fils a participé à une compétition automobile en cachette. Cette même année naît Christina, la première fille de Gerhard Berger.
Dotées de carburateurs Weber, de freins Lockheed et d'un quatre cylindres développant 1489 cc pour une vitesse maximale de 250 km/h, les Alfasud Groupe 2 réunissent un plateau de talentueux jeunes pilotes (surtout italiens) qui s'affrontent sur les circuits européens. Chacun dort sous des tentes ou dans des camions ateliers et tout le monde se retrouve comme une grande famille autour de barbecues organisés les veilles de courses. En participant à ce trophée en 1980, Berger emmène souvent dans sa voiture un très jeune voisin de Kufstein qui désire assister aux courses de son père, Karl Wendlinger sr.
En 1981 Berger est un pilote disponible et polyvalent. Son apprentissage se termine et une nouvelle ambition monte en lui : se frotter aux meilleurs de la discipline. Sa première place au trophée Alfa Sprint allemand en 1981 ne lui ouvre pas les portes des grandes équipes de Formule 3. Catégorie où Gerhard effectue ses premiers tours dans le Championnat allemand sur une pauvre Martini Alfa, puis sur une Martini Toyota. Alors qu'il se classe troisième de ce Championnat pour sa première saison en 1982, Helmut Marko - un ancien pilote autrichien réputé - le découvre sur le circuit d’Hockenheim. Il réalise, avec l'appui de Burkhardt Hummel (un autre autrichien), le montage financier qui aidera Berger à courir dans le Championnat d'Europe de Formule 3, sur l'ancienne Ralt RT3 Toyota d'Enrique Mansilla. Helmut Marko se souvient d’une des premières discussions avec Berger, au City Pub de Wörgl : "Il est arrivé en Porsche Carrera, toutes les filles l'admiraient, il dirigeait déjà sa société de transport et je me demandais vraiment pourquoi ce beau gosse passionné les party était attiré par le sport automobile". Très vite Marko s’aperçoit que la motivation du jeune autrichien est sincère.
La première confrontation au niveau européen se solde par une médiocre huitième place. En 1983 le Trivellato Racing n'a pas su développer un châssis devenu obsolète. La saison suivante, la Ralt est équipée d'un moteur Alfa Roméo qui permet à Berger de se mesurer aux meilleurs du Championnat. Ses principaux rivaux ont pour nom Johnny Dumfries, Ivan Capelli et John Nielsen. Le jeune autrichien termine à la troisième place du classement final d'une saison marquée par l'affaire des boîtes à aire non conformes de la Coloni de Capelli.
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Quel scénario prévoir en cas d’accident nucléaire majeur en France?
Petit état des lieux
Le sol français compte 58 réacteurs nucléaires.
En tant qu’habitant.es de ce territoire, nous sommes constamment en danger de mort et/ou de contamination radioactive. Il y a des centaines d’incidents mineurs dans les centrales françaises chaque année, dont la plupart sont dissimulés par Orano (anciennement Areva, Orano est un groupe multinational français spécialisé dans l'énergie nucléaire et les énergies renouvelables).
Nous faire croire que ce danger relève de la probabilité est un mensonge cuisant. La quantification au service de L’État nucléaire nous berne et tente de nous faire croire avec ses chiffres que cette probabilité est lointaine, imaginaire et surtout, contrôlable.
Mais l’accident majeur nucléaire n’est pas un risque, comme nous poussent à croire les experts de l’atome, mais bel et bien un danger. Creusons un peu plus pourquoi.
1. Que nous disent les experts sur la probabilité d’accident nucléaire majeur ?
En 1975, le rapport Rasmussen avait conclu qu’il existait une chance d’accident majeur sur 17 000 par réacteur et par an, autrement dit, qu’on pouvait théoriquement s’attendre à un accident tous les 170 ans pour un parc de 100 réacteurs identiques.
Que s’est-il passé depuis ?
· Trois fusions cœurs à Fukushima, Japon, 2011
· 1 à Tchernobyl, Ukraine, 1986
· 1 à Three Mile Island, Etat Unis, 1979
Et que s’est-il passé avant ?
· Deux fusions à Saint-Laurent-des-Eaux, France, 1969/1980
· 1 à Lucens, Suisse, 1969
· 1 Chapelcross, Ecosse, 1967
· 1 dans le Michigan, Etat Unis, 1966
Et d’autres recensées sur les sites d’essais, sous-marins nucléaires et centrales expérimentales.
Donc les cœurs fondent apparemment plus rapidement que tous les 17 000 ans.
2. Quels sont les seuils d’exposition aux radiations à ne pas dépasser ?
Qu’est-ce que ça veut dire, en fait, ces normes que l’on ne doit pas dépasser ? Est-ce les mêmes d’un pays à l’autre ? Notre exposition aux ondes radioactives se mesurent en millisievert.
Grace à son probabilisme bien travaillé, l’INRS (Institut national de recherche et de sécurité) arrive à nous tenir très peu informé.es des dangers que nous encourrons sur le sol français ainsi que sur les seuils à ne pas dépasser en termes d’impact de rayonnement ionisant sur le corps humain.
Selon l’INRS : « Pour un niveau inférieur à 100 mSv (millisievert), aucun effet à long terme sur la santé n’a été démontré » et « Au-delà de 100 mSv, des effets à long terme des rayonnements ionisants ont été démontrés par des études épidémiologiques (études des populations de Hiroshima et Nagasaki) ».
Autrement dit, l’Institut ne nous dit pas du tout qu’en dessous de 100 mSv, il n’y a pas de danger. En dessous de 100, on est sûr.es de rien, mais au-dessus de 100, on est sûr.es que c’est dangereux. L’utilisation des statistiques permet à l’INRS de se dédouaner de toutes responsabilités liées aux problèmes de santé pouvant advenir en dessous du seuil donné. Ce chiffre, en somme, ne nous concerne pas. Il permet simplement à l’industrie du nucléaire d’avancer en se disant qu’en dessous de ce chiffre, il n’est pas clairement démontré qu’elle est responsable de nos morts.
Les normes de danger concernant les taux de radiation sont arbitrairement décidées par les états. La limite de « risque acceptable » n’est pas neutre et changeante en fonction des pays et de leur rapport aux ondes. A ce titre, à la suite de la catastrophe nucléaire de 2011, le Japon a arbitrairement portée de 1 à 20 mSv la dose maximale admissible pour sa population. La dose reçue par un enfant japonais est dorénavant la même que pour un.e travailleur.euse du nucléaire en France, à savoir 20 mSv.
Pendant qu’en France, les travailleureuses ayant dépassé.es cette fameuse dose se retrouvent sur le carreau, interdits d’activité et souvent privé.es de ressources pendant une importante période de l’année, des millions de gens ont « droit » à la même dose qu’eux, simplement en habitant là où ils vivent.
Cela nous prouve que les normes, les seuils, les chiffres supposées nous tenir à l’abris de la radiation et du danger nucléaire sont en réalité mis en place pour la sécurité du nucléaire et de l’Etat, et non de sa population.
« Le probabilisme présente l’immense avantage de permettre à ceux qui l’exploitent de fixer eux même les seuils, que ce soit sur l’axe de la probabilité ou celui de la gravité, celui de la fréquence ou celui du nombre de mort. »
Le nucléaire, c'est fini, La Parisienne Libérée
3. Que se passerait-il en cas d’accident nucléaire majeur en France ?
Les experts de l’IRSN estiment qu’un accident majeur « de base » aurait pour conséquence la contamination forte du territoire sur un rayon de 92 kilomètres, nécessitant théoriquement l’évacuation d’environ 2,5 millions de personnes et impliquant la contamination de 9% du territoire national, avec des cas de cancer se comptant par des dizaines de milliers.
Mais l’Institut précise bien que ces analyses, qui se situent dans une perspective « optimale » du point de vue de la radioprotection, seraient impossibles à mettre en œuvre concrètement dans les délais impartis, si une telle situation accidentelle se présentait vraiment.
Que se passerait-il alors ?
Un scénario plus réaliste, dans lequel on évacuerait dans un rayon réduit de 10 km. Les experts reconnaissent qu’ils faudraient théoriquement évacuer au-delà de ce rayon, mais ils considèrent aussi que pour des raisons matérielles, cela sera très certainement impossible à organiser : « Des mesures d’une telle ampleur sont irréalisables, d’autant plus que les rejets surviennent brutalement et sont entièrement effectués en 2h »
Cela entrainerait un surcout sanitaire de 10 000 cas de cancer, pour les zones infectées non évacuées en façon « optimale ». Sachant que des conditions météorologiques lourdes pourraient entrainer des conséquences plus graves.
Il faut ajouter à cela que le rapport de l’INRS, censé apporter un éclairage d’intérêt public sur différents scénarii d’accidents, a fait l’hypothèse globale que le nuage radioactif ne toucherait aucune zone urbaine. Sachant que la plupart des grandes métropoles françaises se trouvent à proximité de nombreux réacteurs, comme la centrale du Bugey pour Lyon, la centrale de Nogent-sur-Seine pour Paris, et le centre de Cadarache et de Marcoule pour Marseille, c’est tout de même assez culoté.
La centrale du Bugey se trouve à 25 kilomètres à l'est de Lyon, à 72 kilomètres au nord-ouest de Grenoble et à 75 km au sud-ouest de Genève. Aucune de ces villes ne sera évacuées en cas d’accident nucléaire majeur.
La centrale de Noget-sur-Seine se situe à 70 km de la région parisienne. L’Ile de France ne sera pas évacuée en cas d’accident nucléaire majeur.
Il est stipulé p.48 de ce rapport que « les coûts qui précèdent sont immenses. Mais ils ne prennent en compte que les zones rurales. Si, par malheur le panache radioactif venait à frapper durement une zone urbaine, les surfaces ne serait pas modifiées mais le nombre de victimes affectées serait beaucoup plus grands. »
Les experts ajoutent à ce constat une intéressante précision, preuve qu’ils ont bel et bien travaillé sur des scénarii touchant des zones urbaines : « Dans l’une des 144 séquences calculées par le code (et tirée au hasard pour en faire une carte), toute la région parisienne est contaminée au-delà de 40Ci/km 2 … »
A titre informatif, les territoires contaminés au-delà de 40 curies par kilomètre carré à Tchernobyl correspondent à la zone « confisquée » ou « fermée ». On comprend donc bien que ce n’est en aucun cas souhaitable pour les habitant.es des villes françaises.
Grosso modo, ce rapport nous apprend que le « code » (logiciel Cosyma servant à calculer des conséquences radiologiques) a calculé 144 scénarios de catastrophe nucléaire, dont les experts ont comme par hasard sélectionné un résultat ne touchant aucune zone urbaine. Cependant, ils précisent bien avoir vu un scénarii dans lequel la zone parisienne serait éradiquée.
Sans nous préciser quelle installation nucléaire serait à l’origine d’un scénario de contamination aussi étendu, on peut supposer qu’il s’agit de la centrale de Nogent sur Seine, située à 70 km de Melun, zone 5 des transports en commun d’Ile de France, ou bien les centrales de Saint Laurent de Eaux et Dampierre étant également situées non loin de la région, les causes sont multiples.
En somme, ce rapport nous permet de voir que le danger nucléaire est très, très proche.
Nous sommes mené.es en bateau, et constamment exposé.es au risque du nucléaire. Il est alarmant de savoir que compte tenu des budgets et de la non faisabilité des opérations d’évacuation, les villes françaises ne seront pas évacuées en cas d’accident nucléaire majeur.
L’industrie de l’atome étend son territoire morbide à coté de nos villes, de nos campagnes, là où habitent nos familles et nos ami.es, sachant pertinemment qu’elle n’est pas en mesure de nous mettre à l’abris en cas de crise.
L’industrie de l’atome, main dans la main avec l’Etat nucléaire français, parie sur nos vies et sur celle du vivant. Elle continue coute de coute son expansion au nom du progrès et de calculs savants statistiques et autres probabilités au péril de nos vies et de celles de tous les êtres vivants peuplant cette planète.
Non le nucléaire n’est pas une option. Non le nucléaire n’est pas une alternative.
Non le nucléaire n’est pas un risque, il est un DANGER, OMNIPRESENT.
L’État ne nous protège pas et ne nous protègera pas en cas de non contrôle de son invention favorite.
Quand on a en tête que chaque seconde passée sur le sol français peut être synonyme d’accident nucléaire, et donc de millions de mort.es, de sols détruits pour des milliers d’années, d’écosystèmes tués, d’animaux assassinés, il est assez difficile de ne pas réaliser à quel point la supercherie est immense.
Il faut lutter contre l’Etat nucléaire, et ce coute que coute.
SOURCES
· La nucléaire, c'est fini
La Parisienne Libérée
· Le sens du vent : Notes sur la nucléarisation de la France au temps des illusions renouvelables
Arnaud Michon
· Les rapports de l'INRS de 2007 et le rapport de la Cour des comptes de 2012
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Le diable avance masqué… avait prévenu Lacan.
Depuis quelques jours, on rencontre sur tous les réseaux sociaux et sur le web une véritable “bronca” contre le port du masque. Et il ne s'agit plus, cette fois, de parler de confort, de mal-être ou même de l’utilité ou non devant les prétendus méfaits du Covid (qui n'a jamais eu, il faut le rappeler, le moindre point commun, même de très loin, avec n'importe laquelle des “pandémies” qui ont endeuillé l'humanité). Cette fois, il est question des dégâts que cause le port exagéré du masque sur toute population, en sachant que le “trop” est très très vite atteint, dans ce cas-là ! Dans cette bataille entre l'affolement et le réalisme (certains disent : entre le mensonge et la vérité), une analyse calme des enjeux s'impose.
Evacuons tout de suite le cas dramatique des enfants : il ne fait de doute pour personne que leur imposer, à tout âge, le port obligatoire d'un objet de torture –assorti de tas d'autres mesures tout aussi improductives, comme les “récrés” sans jeux, sans ballons, sans courses… sans vie et donc sans récré– est inhumain. J'essaye de m'imaginer, vers 8 ou 10 ans, ainsi bridé, castré, puni, déshumanisé, brisé… et je n'y arrive pas. Les gens qui prennent de telles décisions soit n'ont jamais été vraiment “enfants” (ce qui pour un futur technocrate ravagé, polarisé et déconnecté de tout, n'est pas inenvisageable), soit n'ont aucune mémoire affective (seuls les chiffres, surtout pipés, ont un sens pour eux), soit sont de ‘’sacrés’’ tortionnaires qui ont décidé de faire payer aux plus jeunes d'avoir encore la jeunesse que eux ont perdue ou n'ont jamais eue… Nous parlerons une autre fois des ravages faits sur des enfants qui grandissent dans un univers sans visages…
Au delà de cette évidence qui ne peut échapper qu'à des cerveaux indifférents aux réalités du monde (et quand on sait que les enfants ne sont pratiquement pas concernés, que le “covid” est à peine plus qu'une bonne grippe, que la majorité des décès de la “première vague” étaient dus à des erreurs de traitement (les mortifères “intubations”) ou d'autres pathologies déjà présentes, et que la “seconde vague” est un mensonge caractérisé –dont personne ne peut comprendre pourquoi on en parle)… je vais essayer de résumer à votre intention les arguments qui circulent, avec une forte tendance à la hausse… et sans le moindre “contre feu”, à ce jour.
Le premier des arguments qui sont brandis par les “lanceurs d'alerte” attire donc l'attention sur une véritable maltraitance des enfants dans les écoles, directement liée au port permanent du masque (on demande une pensée particulièrement émue pour les internes, qui n'ont même pas la possibilité de se libérer de ce carcan quand ils arrivent chez eux –sous réserve que leurs parents n'aient pas l'âme de tortionnaires). Cette mesure inhumaine entraînerait une forte augmentation des pathologies d'origine pulmonaire et respiratoire dans les cabinets des généralistes, et 25 % de ces cas seraient une conséquence directe du port du masque.
Ces pathologies sont très variées, et on trouve, dans les listes que j'ai consultées --outre les allergies cutanées dues au frottement du masque, les irritations aux oreilles dues aux élastiques et des cas de grande fatigue inexplicables autrement, des bronchites sévères-- des conjonctivites graves (à cause d’expirs rejetés vers le haut), des furonculoses, des herpès labiaux, de l'impétigo, des staphylococcies sur les lèvres et les joues et des streptococcies… ce qui n'est pas rien, si c'est avéré.
Mais les “lanceurs d'alerte” ajoutent à cette liste déjà insupportable que le port du masque prive de 20 % d’oxygène, ce qui abaisse le rendement du cerveau (c'est sympa pour des étudiants, qui font leur rentrée aujourd'hui !) et les défenses immunitaires… qu'il augmente de 25 à 30% la concentration du CO² dans l’organisme, créant une intoxication générale qui donne de violents maux de tête (sympa pour qui a besoin de se concentrer !)… et que le masque réinjecte en circuit fermé des charges virales et bactériologiques, ce qui oblige les organismes à un gros travail immunitaire qui risque d'entraîner des infections ORL et pulmonaires graves -d’autant plus que, par la vapeur d’eau rejetée à chaque expir, on entretient derrière le masque une mini atmosphère chaude très humide, analogue à celle de ces pays chauds et humides où les maladies infectieuses… se portent bien.
Un des sites les plus consultés, qui est celui de Michel Dogna, Heilpraktiker de l’Université de Saarbrück et directeur de “Nouveaux Horizons Santé”, va jusqu'à mettre nos édiles (maires, préfets, chefs d'établissement, profs et, dit-il, “tous ceux qui ne cherchent pas à s’informer autrement que par la télé-mensonges”) devant cette responsabilité, et il interpelle notre Gouvernement qui “met des policiers en armes de guerre pour contrôler le port du masques par des bambins de 6 ans”, ce qui est effectivement choquant, pour ne pas dire honteux. Mais nous ne sommes plus à ça près, après quelque 6 mois de folie furieuse ininterrompue. Michel Dogna va jusqu'à préciser : “Les bactéries (il y en a dans les 3000/cm²) qui se collent sur les masques se transforment en champignons, et porter un masque rend donc malade. En quelques semaines, vous allez faire de l’hyperventilation, vous allez tousser et avoir mal à la gorge, vous allez avoir des problèmes de bronches par la faute d'un champignon interne, produit de la respiration et de la moisissure”.
Au delà de ces annonces, dont certaines semblent évidentes et d'autres plus difficiles à admettre sans restriction, on se prend à douter de tout… et à se demander si le bourrage de crâne dont nous sommes victimes (ça, en revanche, ça ne fait pas de doute !) serait un moyen détourné pour créer la “deuxième vague” promise : on nous racontera que c’est une nouvelle épidémie respiratoire, et… “passez, muscade”. Remarquez qu'il serait logique, si tout le monde porte un masque, qu'une nouvelle vague finisse par se pointer… Elle ne sera pas due à un virus grippal mais elle viendra d’une infection bactériologique des bronches, due à une respiration constante dans un cloaque aux performances de “cuvette de WC”.
Tout le monde sait que les trous d’un masque font 3 microns, c'est-à-dire 3.000 nanomètres, alors qu’un virus ne fait que 15 à 20 nanomètres. Il ne faut pas sortir de l'ENA pour comprendre qu’on se paye notre tête. Tous les médecins dignes de ce nom savent qu’il n’existe aucun masque antivirus et que même les masques chirurgicaux pour les salles d’opération ne protègent que des bactéries, des levures et des champignons, et doivent être changés toutes les 3 ou 4 heures. Vous êtes-vous demandé pourquoi il est écrit sur les étiquettes de tous les paquets de 50 de ces maques achetés en pharmacie mais qui nous étouffent : “Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses’‘ ? Moi, oui… Je n'ai trouvé qu'une seule réponse : on nous prend pour des cons !
Mais pourquoi donc continuent-ils à nous menacer de cette ’'seconde vague de Covid”, qui était annoncée en juin… puis en juillet… puis en août… ? Nous voilà mi- septembre, et l’on ne voit rien venir, les urgences sont vides, même si des esprits inventifs ou sous tension les voient pleines… en ne disant pas que c'est “un peu pleines de malades non-covid”, et alors que tous les virologues sont d’accord pour dire qu’il n’y a jamais de second pic dans les épidémies, que le Covid est maintenant dégonflé (ça “mute”, ces petites bêtes-là !) et ne peut normalement donner lieu qu’à un simple gros rhume… ce qu'il fait, comme prévu. Faudrait-il en déduire que la dernière chance de Bill Gates and Co pour provoquer cette foutue deuxième vague et pouvoir imposer son faux vaccin inutile, c’est de maintenir l’obligation du port du masque afin de déclencher les dégâts conséquents cités plus haut, qui n’ont plus rien à voir avec le Covid mais qu’on arrivera à faire passer pour tels ? N'étant pas plus “complotiste” qu'il est sain de l'être, j'ai du mal à le croire...
H-Cl.
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Qui cache sa haine a des lèvres menteuses, et celui qui répand des calomnies est insensé. Celui qui parle beaucoup ne saurait éviter de pécher, mais l’homme avisé met un frein à ses lèvres. La langue du juste est un argent de choix ; ce que pensent les méchants n’a pas grande valeur. Les paroles du juste restaurent beaucoup de gens, mais les insensés périssent faute de bon sens (Proverbes 10:18-21).
Ce passage traite du bien et du mal qui est au pouvoir de la langue. Les méchants dissimulent leur haine par le mensonge ou la répandent par la calomnie. Par contre, l’homme droit qui s’exprime vaut la peine d’être écouté, car ce qu’il dit est certainement utile.
En dehors de ces émissions, je ne parle pas beaucoup, mais c’est encore trop parce qu’il n’est pas rare que je m’attire des ennuis. Il faudrait que j’aie toujours une sentinelle sur mes lèvres. Le moins on dit, le mieux on se porte. L’apôtre Paul écrit :
Qu’il ne sorte de votre bouche aucune parole mauvaise, mais, s’il y a lieu, quelque bonne parole, qui serve à l’édification et communique une grâce à ceux qui l’entendent (Ephésiens 4:29).
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La bénédiction de l’Éternel, c’est elle qui enrichit, et il n’y ajoute aucune peine (Proverbes 10:22).
Ce verset est illustré par un inconnu. Je lis les passages :
David fit déposer le coffre de Dieu dans la maison d’Obed-Édom, un homme originaire de Gath. Le coffre y resta trois mois, et l’Éternel bénit la famille d’Obed-Édom et tous ses biens. Par tirage au sort, la porte sud du temple échut à Obed-Édom, et la responsabilité des entrepôts revint à ses fils (1Chroniques 13:13-14; 26:15).
Or comme par le plus grand des hasards, c’était par la porte sud que le roi entrait au Temple, donc la garder était un honneur exceptionnel. De plus, les fils d’Obed-Édom contrôlaient les biens du roi. Toute cette famille fut bénie uniquement parce que cet homme d’origine non israélite avait accepté de prendre le coffre de Dieu en pension chez lui ; excellent calcul.
L’objectif des gens, en général, est d’avoir du bon temps et de s’amuser un maximum, espérant ainsi trouver le bonheur. Mais tous ceux qui s’éclatent de cette manière se rendent compte qu’au fil du temps ils y prennent de moins en moins de plaisir. Ils ont fait un très mauvais calcul, surtout qu’à la fin de leur vie, il ne leur reste plus que les yeux pour pleurer. Ailleurs, Salomon écrit :
Tiens compte de ton Créateur au temps de ta jeunesse, avant que n’adviennent les jours mauvais et avant que n’arrivent les années dont tu diras : « Je n’y prends pas plaisir ! » (Ecclésiaste 12:1).
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Le jour d'après
Qu'est-ce qui peut pousser une association juive environnementaliste à émettre un avis sur une crise sanitaire due à un virus ? Disons-le clairement : nous n'avons aucune expertise médicale ou sanitaire, les deux domaines spécifiques de JudaïQual-Réparons Le Monde étant l'environnement et le judaïsme. Et sur ces sujets, ce que nous avons à exprimer est en rapport direct avec la crise du Covid-19.
Les causes sont-elles en rapport avec l'état de la planète ?
De plus en plus d'experts s'accordent sur le fait que la multiplication des zoonoses, ces maladies transmises à l'homme par des animaux, est en partie provoquée par la destruction des habitats naturels telle que la déforestation, qui provoque la rencontre entre des animaux porteurs de virus et l'homme. La thèse de la chauve-souris et du pangolin comme source de ce coronavirus n'a pas été réfutée. Dans un article de Sciences et Vie du 28 mars 2020, intitulé "Covid 19, la pandémie d'une biodiversité maltraitée" Philippe Grandcolas, du CNRS, Directeur de l'Institut "Systématique, Evolution, Biodiversité" et Jean-Lou Justine, Professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle montrent que ce phénomène est exacerbé par le trafic des animaux sauvages à des fins de consommation. Laurence Tubiana, Ambassadrice de la Cop21 et Directrice de la Fondation Européenne du Climat, ne rappelait-elle pas le 19 mars dernier à Ouest-France que : "En 2016, le Programme des Nations-Unies pour l'Environnement a conclu à une forte augmentation des zoonoses" et les liaient à la déforestation.
Cet article n'est pas une thèse et je ne citerai pas ici toutes les sources qui corroborent les analyses ci-dessus. Bien sûr les acteurs majeurs (responsables politiques, médecins, chercheurs, etc.) qui luttent pour endiguer cette pandémie mènent un combat immédiat et essentiel et ne peuvent s'en détourner pour de la prospective à moyen ou à long terme Il faudrait des lieux de prospective capables de gérer les questions cruciales sur des temps longs à l'abri du politique et du médiatique. Pourquoi le CESE ne deviendrait-il pas Conseil Economique Social Environnemental et Sanitaire, tant cette dernière dimension a été négligée et n'a jamais été confrontée à celle de l'Environnement ? Nous nous devons de méditer sur cette phrase de Churchill : "Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre." Aujourd'hui, on serait tenté de dire au niveau planétaire : "Vous avez sacrifié le social, le sanitaire, l'environnement au profit de l'économie. Vous avez la crise sanitaire, sociale, environnementale et vous aurez la crise économique."
Vous avez sacrifié le sanitaire…
En France, quand il fallait équiper les hôpitaux, la marchandisation de la santé a poussé les dirigeants plus préoccupés par les cours de la Bourse que par le bien-être de leurs administrés, à abandonner les praticiens à leur mal-être. Les véritables appels au secours du monde médical sur l'absence d'effectifs, les rythmes effrénés, le manque de moyens, la désertification médicale dans de nombreux territoires n'ont pas été entendus en temps de relative tranquillité. Lors de l'épidémie de bronchiolite de l'automne 2019, Sciences et Avenir soulignait le 13 décembre 2019 "une saturation des services d'urgence en Ile de France". On imagine aisément les affres des soignants quand ils ont vu déferler les patients affectés par la nouvelle pandémie et les semaines à venir, comme l'a reconnu le Premier ministre, Edouard Philippe, seront plus difficiles encore.
Le jour d'après, les femmes et les hommes de bonne volonté, les consciences de ce monde, loin de vaines polémiques et de théories complotistes, ne demanderont pas des comptes à ceux qui sont aux commandes depuis ces 10 ou 15 dernières années, mais exigeront des dirigeants présents et à venir qu'ils donnent de véritables moyens à notre système de santé, à nos soignants, revalorisent leur rôle, leur statut social, leurs salaires, se remettent à favoriser la formation de toutes le professions de santé…
Vous avez sacrifié l'environnement...
Le 11 avril 2018, le groupe de travail sur "la lutte contre la pollution de l'air" du Sénat rendait sa copie et les premières lignes de son avant-propos méritent qu'on s'y arrête : "La pollution de l'air constitue la principale cause environnementale de mortalité en France. Elle est responsable, chaque année, de 48 000 décès prématurés, et contribue au développement et à l'aggravation de plusieurs pathologies comme des maladies respiratoires, des maladies cardiovasculaires ou des cancers de l'appareil respiratoire. À cette urgence sanitaire, s'ajoute un coût socio-économique important, que la commission d'enquête du Sénat sur le coût économique et financier de la pollution de l'air a, dans son rapport de juillet 2015, évalué entre 70 et 100 milliards d'euros. Si les actions entreprises ces dernières années pour réduire la pollution de l'air ont permis une baisse effective et continue des émissions et des concentrations de polluants, de nombreuses agglomérations restent marquées par des dépassements des normes européennes de qualité de l'air. Cette situation a conduit la Commission européenne à engager deux procédures précontentieuses contre la France pour non-respect des valeurs limites relatives au dioxyde d'azote et aux PM10, qui pourraient aboutir à terme à un contentieux devant la Cour de justice de l'Union européenne…"
Si l'on confronte cette conclusion purement nationale aux refus de certains Etats de mettre en œuvre les décisions de l'Accord de Paris lors de la COP 21 en décembre 2015 et aux analyses actuelles sur le rapport entre déforestation et multiplication des zoonoses, on peut imaginer comment notre système respiratoire et encore plus, celui des jeunes générations, est affecté !
A l’instar du coût de “non-qualité”, a-ton mesuré le coût de “non-santé” dans la différence entre production d’énergies fossiles polluantes et d’énergies propres et renouvelables ?
Avec le Covid-19, nous voyons plusieurs milliards de personnes confinées sur toute la planète. Sans exiger de telles mesures, qui ne s'appliquent pas dans le cas de la lutte contre le dérèglement climatique, contre la pollution, contre la déforestation, pour la sauvegarde de la biodiversité, nous imaginons ce qu'une telle mobilisation pourrait apporter à l'humanité, à la planète…
Le jour d'après, les femmes et les hommes de bonne volonté, les consciences de ce monde, loin de vaines polémiques et de théories complotistes, ne demanderont pas des comptes à ceux qui sont aux commandes depuis ces 10 ou 15 dernières années, mais exigeront des dirigeants présents et à venir qu'ils prennent à bras le corps les questions environnementales. Sinon à la prochaine pandémie, les dirigeants du monde seront collectivement responsables de la mise en danger de la vie de leurs populations.
Vous avez sacrifié le social...
Pour des raisons purement économiques, aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, en Australie, etc., on a massivement délocalisé la production mondiale en Asie où les coûts de production sont moindres, mais aussi où les conditions sociales de la main d'œuvre sont précaires, les droits des salariés, inexistants. La crise du Covid 19 a fait éclater au grand jour notre totale dépendance envers la Chine et d'autres pays producteurs pour les masques, les gants et autres protections de nos personnels soignants, de nos malades et qui auraient favorisé la distanciation sociale. La norme du commerce équitable s'applique à quelques produits tels que le chocolat et le café et, à côté de cela, massivement on consomme des biens produits hors de la norme sociale la plus élémentaire. A l’instar du coût de “non-qualité” n’a-t-on jamais mesuré le coût social et économique du “non-emploi”, le paiement des prestations chômage, la perte d’estime de soi de ces salariés socialement relégués ?
Le jour d'après, les femmes et les hommes de bonne volonté, les consciences de ce monde, loin de vaines polémiques et de théories complotistes, ne demanderont pas des comptes à ceux qui sont aux commandes depuis ces 10 ou 15 dernières années, mais exigeront des dirigeants présents et à venir qu'ils rapatrient au moins partiellement la production en Europe et seront prêts à payer plus chers ces produits avec des exigences de qualité et de moindre dépendance diplomatique et commerciale.
Oui le jour d'après, nous exigerons que nos dirigeants changent leur vision du monde, qu'ils fondent l'action publique sur de nouveaux paradigmes. La parole ne suffira plus : il faudra des actes et la transparence absolue deviendra une exigence universelle.
Judaïsme et responsabilité
Comment oublier que l'épidémie du coronavirus en France est partie d'un rassemblement de 2300 évangélistes de la "Porte ouverte chrétienne" du 17 au 21 février 2020 à Mulhouse. Repartant dans leurs régions respectives, ils y ont véhiculé le virus et ont ainsi permis que de nombreux foyers apparaissent simultanément dans ce que l'on a appelé alors des "clusters".
Cela n'a pas servi d'alerte à certaines communautés juives qui ont célébré les fêtes de Pourim (9 et 10 mars 2020) sans précautions particulières. Hélas, mille fois hélas, en pleine crise du Covid-19, des dirigeants religieux se sont comportés en parfaits irresponsables, n'hésitant pas à mettre en péril la vie de nos coreligionnaires, violant à la fois des principes intangibles de nos valeurs, au nom d'une parole et d'une pensée magiques, mais violant aussi les Lois de pays dont les juifs sont citoyens.
Le Pikouah Néfech, principe qui est issu de Lévitique 18,5 et TB Yoma (85b) autorise à suspendre le respect du Shabbat dans le cas où une vie serait en danger est un principe universellement reconnu dans le judaïsme et ne souffre aucune exception. Un autre principe, celui de Dinah de Malkhouta dinah, "La Loi du Royaume est La Loi" est cité quatre fois dans le Talmud (Nedarim 28a, Guittin 10b, Babba Kamma 113a et Babba Batra 54b-55a). Il donne donc préséance aux Lois du pays dont les juifs sont citoyens. Alors que des ordonnances claires et sans appel du gouvernement français fixaient des règles de distanciation sociale et de confinement, des appels irresponsables à continuer les offices, à célébrer les fêtes, à se déplacer et à mettre sa vie en danger pour des actes qui cessaient d'être essentiels dès lors qu'ils contrevenaient aux deux principes invoqués plus haut, tels que l'incitation aux femmes à se rendre dans les Mikvaot.
Les mêmes actes et pire encore se sont produits en Israël dans des quartiers ultraorthodoxes à Méa Shéarim (Jérusalem), à Bné Braq, en violation des décisions du gouvernement israélien.
Hélas, le nombre des morts, des patients en détresse respiratoire dans les services de réanimation, ou simplement atteints, est bien plus important chez les membres de Communautés juives en France et les membres des Communautés ultraorthodoxes en Israël, ainsi que vraisemblablement dans d'autres pays.
Bien sûr d'autres voix, celles d'importants décisionnaires, se sont élevées pour rappeler les principes, le respect de la Vie, le respect de la Loi, l'appel à la responsabilité. Mais chez certains fidèles, ces voix n'ont pas été ou pas suffisamment été entendues ou encore entendues trop tard.
Le jour d'après, les femmes et les hommes de bonne volonté, les consciences de ce monde, loin de vaines polémiques, parce qu'il y a eu mise en danger de la vie d'autrui et parce qu'il y a eu morts d'hommes, demanderont des comptes à ceux qui ont adopté ces attitudes irresponsables. Ceux-là n'auront plus leur place à la tête d'institutions juives. Un judaïsme nouveau verra le jour qui s'appuiera sur les principes intangibles cités plus haut, ces principes qui, malgré les catastrophes qu'il a traversés dans son Histoire, ont permis au peuple juif de perdurer.
Jean-François Strouf, Président
et l'équipe de JudaïQual – Réparons Le Monde
#Covid-19#environnement#social#sanitaire#économique#responsabilité#biodiversité#déforestation#pollution#DéréglementClimatique#pandémie#zoonose#judaïsme
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La Haine.
Depuis hier soir 20h, une étrange douleur s’est installée dans ma poitrine. Comme une boule importune qui se loge de temps en temps les dimanches soirs. Mais cette fois plus forte, plus douloureuse.
Au début, je ne voulais pas écrire à propos de cela, aucune envie de faire de ce moment un drame, ni d’y donner plus d’importance qu’il ne le mérite. J’aurai voulu le vivre avec plus de légèreté. Mais le sommeil ne venait pas et mon cœur n’en finissait plus de saigner, je n’avais donc pas d’autre choix que d’écrire. Il me semble d’ailleurs que je ne publierai pas ce texte. Internet me terrifie, et je n’ai pas les épaules pour supporter les commentaires d’âmes en peine qui n’ont pas d’autres armes que la haine. Haine bien basse que celle qui se cache derrière un ordinateur. Oh et puis, vous me direz, est-ce véritablement plus bas que celle de celui qui pose un colis piégé dans les rues de la magnifique ville de Lyon. Ou encore celle de celui qui haïra à son tour l’homme qui l’a posé cette bombe, suivant la logique implacable de ce cercle décidément très vicieux...
J’écris cela alors que ma vérité est la suivante : je ne supporte plus ce flot de désamour qui nourrit les âmes des uns et des autres. Ce manque de compassion constant pour notre prochain, nos paires et nos pères. Est-il vraiment si difficile de voir avec ce prisme là? Celui de l’amour et de la compassion ? Est-ce vraiment devenu bête et ennuyant que de vouloir voir le monde avec toute la positivité du monde ?
Alors que les questions se bousculent dans ma tête, il m’est alors apparu impossible de ne pas me demander : et à qui la faute ?
Comment en sommes-nous arrivés à ce moment de notre histoire où la liberté gagne du terrain d’un côté, et le fascisme de l’autre ?
Il est évident que la faute en revient à chacun. Et remonte à bien plus loin qu’il n’est imaginable. Il faut prendre en considération l’histoire, seule témoin et détentrice des réponses à nos questions.
Je ne peux parler que de ce qui me concerne et que je connais, de ma culture en somme (sans en exclure les autres, qui, je pense, partage les mêmes maux/mots que la nôtre, mais différemment).
Il faut lire la bible avec un œil différent, sans entendre l’écho de ce que le catéchisme a bien voulut vous enseigner, pour se rendre compte d’à quel point l’église est la plus grande supercherie du monde. On veut nous faire penser que Dieu est vengeur. Mais Jésus ne parle que de compassion et d’amour, dans toute situation. On veut nous faire croire que la femme est un être inférieur à l’homme, mais Jésus n’en dit pas un mot, il parle même ouvertement des femmes comme des égales des hommes. Ce ne sont qu’aux hommes, seuls à être autorisé à commenter et à traduire les textes, qu’il revient la responsabilité de la misogynie au nom de Dieu.
Mais je ne veux pas m’attarder sur ce sujet, sans avoir pour projet de publier ce texte, mon mental et mon égo ont peur d’être taxés de noms qui ne me conviennent pas. Car non, je ne suis pas chrétien. J’ai une aversion pour la chrétienté. Mais un amour plutôt pour les grands philosophes (de toute culture) et considère Jésus comme l’un d’entre eux.
Je parle de religion parce qu’il me semble que tout le mal qui nous touche, vient de là. Que ces hommes, qui manient la peur comme personne et qui prennent le pouvoir, tirent leur idéaux et agissent au nom de leur Dieu.
Alors faut-il blâmer la religion ? Non, je ne pense pas. Faut-il blâmer les religieux ? Oui, définitivement.
Mais voilà, je veux en revenir à l’essentiel de mon texte. Les idées se mélangent, et à mesure que j’écris mon cœur se serre et se desserre. J’ai tantôt peur, tantôt espoir, puis la tristesse me gagne et la peur revient.
Hier soir, en France, un certain parti politique a remporté le plus de voix. Oui, mais si ça n’était que cela.
Dans le monde aujourd’hui, la peine de mort est envisagée pour des femmes qui souhaiteraient faire de leur corps ce qu’elles souhaitent. On leur retire le semblant de liberté qui leur avaient été accordé un instant. Au nom de qui ? De Dieu encore et toujours.
Dans le monde aujourd’hui, des homosexuels sont tabassés partout. Dans certain pays, il leur est interdit d’aimer. « Interdit d’aimer »? Voilà quelque chose que Dieu doit trouver intéressant quand on lit ce qui l’anime véritablement.
Dans le monde aujourd’hui, des homosexuels sont enfermés dans des camps et assassinés pour aucun autre motif que d’être qui ils sont. Au nom de quoi? Dieu. Mais ne dit-il pas votre Dieu, qu’il faut aimer son prochain en toute circonstance et que son amour est sans limite ? Visiblement sans limite jusqu’à ce que celles-ci dépassent celles des hommes.
Dans le monde aujourd’hui, des hommes et des femmes qui ne se sentent pas homme ou femme sont assassinés et harcelés tous les jours. Il est à la portée de chacun de se mettre à leur place et de ressentir juste un instant la douleur qu’ils ressentent pour comprendre la Transexualité.
Dans le monde aujourd’hui, l’on tue chaque jour des millions d’animaux pour nourrir hystériquement des bouches de toute la merde qu’on peut leur servir, juste dans le simple but de faire du profit.
Dans le monde aujourd’hui, des millions d’enfants, de mères, de sœurs, de pères, de frères meurent de faim et pourtant certain d’entre nous arrivent encore à dormir paisiblement. La leçon n’est ici que pour ceux qui voudront bien l’apprendre. Loin de moi l’idée de vouloir moraliser qui que ce soit. Il m’arrive à moi aussi de dormir sur mes deux oreilles. Mais ce soir mon cœur saigne et je crois que le monde et l’humain me sont devenus insupportable.
Et du monde aujourd’hui... Un bien trop grand nombre de personne, s’en foutent royalement. Ils le détruisent pour pouvoir assoir au mieux leur autorité. Au détriment de nous tous, qui n’avons rien demandé.
Quelque chose me crit que la haine est facile. Qu’elle est la solution du feignant et du lâche. Et il me semble, dans mon fort intérieur qu’ici se cache la vérité. Il est tellement plus difficile de s’armer de son libre arbitre et d’arrêter de vivre en fonction des dictates d’une société que plus aucun d’entre nous ne supporte. Et s’il y a bien un endroit où nous nous rejoignons tous, il me semble que c’est celui là : nous n’en pouvons plus de cette époque, de cette société, de ces personnes qui nous gouvernent, d’être pris pour les plus gros idiots de la terre par des Hommes en costards cravates qui n’ont que faire de notre bien-être physique ou mental, et que seul l’égo et le pouvoir motive.
Ce que nous avons fait des « couilles » , de la « force », du « courage » et du « pourvoir » au détriment de la sensibilité, des émotions, de la philosophie et de l’amour, est un fléau dont nous payons chaque jour les conséquences.
« Il n’y pas de méchants (de cons, ou de gens mauvais,je ne sais plus exactement la citation, ni son auteur), il n’y a que des gens qui souffrent ». Et peut-on dire quelque chose de plus vrai encore que cela ? Je ne crois pas. Car oui, avec compassion et amour, il est impossible de ne pas voir derrière les pires horreurs, une souffrance plus grande encore qui les anime.
Dans l’horreur ressort souvent l’amour, je pense ici à l’histoire de la grande Malala Yousoufzai. Ou encore à ce texte poignant d’Antoine Leiris « Vous n’aurez pas ma haine ».
Et non, vous n’aurez pas ma haine non plus. Car la votre me pousse à me nourrir et à vous nourrir que de mon amour et de ma compassion. Vous me faites peur, que dis-je, vous me terrifiez. Mais je vous aime parce que je vous comprends. Je sais où se place votre peine et votre douleur. Et j’espère de tout mon cœur, qu’un jour votre peine s’atténuera.
Tout comme j’espère de tout mon cœur qu’un jour les femmes et les hommes seront vraiment égaux.
Qu’un jour, on laissera les gens s’aimer en paix, pour pouvoir aimer à notre tour.
Qu’un jour on laissera chacun faire ce qu’il veut de son corps.
Qu’un jour, le sexe ne sera plus le terrible tabou de notre société.
Qu’un jour, chaque crime et chaque criminel sera traité avec amour et compassion, afin que petit à petit plus aucun crime, ni aucun criminel n’existent.
Qu’un jour, plus une seule âme et plus un seul corps ne souffrira de la faim.
Qu’un jour aucune couleur de peau ne soit considérée comme inférieure à une autre.
Qu’un jour, aucune culture ne souffre d’un quelconque racisme.
Et qu’un jour, vous laisserez enfin Dieu tranquille. Car il ne vous a rien demandé, Dieu.
Mes idéaux sont des idéaux oui, mais quel idéal, vous ne trouvez pas ?
Je ne crois pas avoir dit ou écrit tout ce que je voulais dire ou écrire. Mon texte est bancal et incomplet car il est 4 heures du matin et qu’enfin cette boule me quitte un peu pour laisser place à la fatigue, mais il vient du plus profond de mon cœur et de mon mal-être.
Je vous en supplie, juste un instant, une seconde, une minute, une heure, un jour, une semaine, un mois, une année : traitez chaque personne que vous rencontrerez, chaque situation qui vient à vous, avec amour et avec compassion. Efforcez de supprimer ce prisme qui vous aveugle, juste un instant, une seconde...
Efforcez vous d’aimer, de tout votre cœur.
Oui, je sais, pour cela vous aurez à vous regarder en face, et c’est sans conteste l’une des choses les plus difficiles qu’il soit, mais ça en vaut tellement la peine.
Pierre.
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Étape 37 : Macau
Lundi 27 mai.
Le bac qui nous fait traverser l’estuaire de la Gironde est à 16h30 (en fait, c’est 15h, mais on ne le sait pas encore), et Blaye est à 12 kms d’ici. On décide donc de faire un peu la grasse matinée. On part de Cartelègue vers 9h, sous la pluie. Une espèce de crachin très fin, qui semble presque inexistant, mais continu, qui transperce tout, et vous mouille sans que vous ne vous en rendiez compte. En fait, ça fait penser aux brumisateurs Evian, qui font exactement la même chose pour 10 balles la bombe de flotte.
Comme quoi le Camino est « multifonctions » ...
Je marche donc avec Valentino. Nous avons à peu près le même rythme, donc c’est plutôt bien.
Nous aurons fait au total 20 kms. Le GPS indique 32, mais il a compté le trajet en bac (où nous n’avons tout compte fait, pas vraiment marché, et le trajet Margaux - Macau, ou Brigitte, notre hôte de ce soir est venue nous chercher en voiture. Donc ça compte pas.
Quelques photos du chemin, puisque vous insistez :
Restons dans l’ambiance :
Il y a pas que chez nous qu’on chasse à la hutte ! Sauf que là, il n’y a pas de hutte !
On pêche « au filet ». Crevettes grises, aloses, anguilles ... (pour aloses, voir Gogole !)
Sur le chemin, on cause, on cause ... De tout et de rien. Bon, il cause beaucoup, Valentino. Il m’explique les réseaux sociaux, les jeux vidéo, me parle un peu de sa vie ... On passe le temps comme on peut. C’est curieux, il est plutôt intelligent, comme garçon. Ce qu’il raconte est intéressant, mais j’aime mille fois mieux marcher tout seul. J’ai pas besoin de « passer le temps », et, tout seul, j’ai l’impression de ne pas avoir une minute à moi.
On arrive (toujours sous la pluie, plus ou moins active) à Blaye. J’imaginais une grande ville, rien du tout ! Il n’y a rien que l’embarcadère, des restaurants et des bistrots. À grand peine, on trouve une boulangerie, mais pas d’épicerie. C’est pas grave, il nous reste de quoi nous débrouiller.
Plein de « street art » dans les rues. Militant, plutôt, parfois joli. En tout cas, surprenant :
J’aime bien celui-là :
On s’installe au bord de l’estuaire, assis sur la quai, et on commence le repas. Un pêcheur arrive avec quatre cannes à pêche. Il nous demande poliment de lui laisser la place, ce que nous faisons de bonne grâce.
Voilà l’estuaire de la Gironde (sous la pluie). Il est immense. Pour ce qui ont oublié, c’est l’endroit où la Dordogne et la Garonne se rejoignent. 80 kms environ plus loin, c’est la mer.
Je vais voir l’embarcadère, juste à côté. Bien m’en a pris, le bateau ne part pas à 16h30, comme indiqué sur les prospectus de Cartelègue, mais à 15 heures. Ca nous laisse juste le temps d’aller boire un demi au bistrot et revenir.
À Blaye, il y a aussi la « Citadelle ». C’est une forteresse immense. Je l’ai prise en photo, mais la photo est nulle. Je vous invite donc à aller vous cultiver un peu sur Gogole.
Voilà le bateau qui nous emmène pour la traversée de l’estuaire (4 kms environ)
De l’autre côté de l’estuaire, c’est Lamarque. Nous débarquons et marchons les 8 kms qui restent jusqu’à Margaux. C’est pas des petits pauvres, pour le coup ! Et comme les 8 kms se sont faits au milieu des vignes, on comprend ... Restaurant de riches, maisons magnifiques, châteaux ...
Je suis tombé là dessus. Moi le Champenois, ça m’a quand même fait bondir. J’ai failli aller jusqu’à la Mairie coller une petite claque au Maire :
Alors que chacun sait que le vignoble le plus célèbre au monde, c’est le vignoble Champenois !
Mais bon, grand seigneur, j’ai décidé de les abandonner à leurs illusions ...
Nous allons à l’église, je téléphone à Brigitte qui vient nous chercher en voiture pour nous emmener à Macau, chez elle. Théoriquement, elle devrait nous ramener à Margaux pour nous laisser continuer le chemin. Pour ne pas la déranger demain matin, nous décidons que nous partirons de Macau. La distance est la même, le paysage, similaire. Donc, c’est acté, demain matin, on se débrouille.
La maison donne sur la rue. j’aime bien la décoration. Un peu rustique, les murs enduits à la chaux, les portes d’origine ou similaire ... En entrant dans la maison, un couloir, et sur la gauche, un bureau. Dans ce bureau, un bureau. On le pousse contre le mur et on déplie un clic-clac. Valentino sort son matelas gonflable et le pose au seul endroit encore libre. C’était nul. D’abord, parce que son matelas n’est pas épais et il à quasiment dormi sur le sol, ensuite, parce qu’il est très étroit et que par terre, il y a du carrelage. Et le carrelage, c’est froid. Surtout la nuit. Moi, j’ai très bien dormi, dans mon duvet sur le clic-clac, c’était royal. Sauf que si on avait su, on aurait partagé le clic-clac, chacun dans son duvet, je ne pense pas qu’on se serait dérangés.
Il paraît que je ronfle. Un peu, dit Valentino. Les ronflements des autres me hérissent tellement le poil que me dire que je ronfle aussi me fait honte. Mais bon, comme je n’y peux rien, hors me moucher soigneusement avant de dormir, je me dis : “Boules Quiès is your friend”, et voilà !
Nous sommes chez Brigitte et Régis. Elle est Espagnole (prof au collège de Parempuyre, le village d’à côté), et lui est Breton. Je le soupçonne d’être un peu bretonnant, mais je n’en sais rien. Lui est ingénieur systèmes dans une SSII (on dit “essessedeuzi”). Une SSII est une entreprise constituée principalement d’ingénieurs ou techniciens, qui sont loués pour une période donnée à de grosses boîtes pour mettre au point des systèmes compliqués, généralement informatiques. Quand la mission est finie, on leur en donne une autre, ailleurs. La mission peut durer quelques jours à plusieurs années. Il est resté 8 ans dans la même entreprise, et actuellement, il est dans une autre depuis plusieurs années.
Brigitte est prof d’Espagnol, je l’ai déjà dit. On a parlé d’éducation. Ca m’a rappelé quelques souvenirs, trente ans en arrière. Je ne comprends pas bien l’état d’esprit des profs d’aujourd’hui, dont elle m’a semblé particulièrement représentative. Elle a du mal avec la hiérarchie (”Je ne veux pas que les élèves prennent ce que je dis pour parole d’évangile”). Elle n’impose pas à ses élèves, elle propose. Elle leur demande leur avis sur le contenu des cours. Elle trouve qu’il doit s’instaurer un climat de confiance entre l’enseignant et l’enseigné, qui rend inutile la notion de hiérarchie.
Moi, je dis que tout ne se vaut pas, le jeune et le vieux, le maître et le disciple, le chef et le subordonné, le père et le fils. Je trouve qu’il est lâche, démagogique et surtout illusoire de ne pas prendre ses responsabilités et impliquer les autres dans la décision. Lâche, parce que ça permet de rejeter la faute de l’échec sur les autres, et que ça donne une bonne excuse pour ne pas se regarder en face, démagogique parce que ça préfère se faire bien voir de ses subordonnés que de les diriger, et que c’est parfois dur de dire “non, parce que c’est comme ça”, et illusoire, parce que ça ne donne aucun résultat tangible.
En plus, dans le cas d’un prof, ça tend à installer un contact privilégié avec les grandes gueules de la classe, quitte à laisser de côté les élèves plus effacés ou timides, ou encore simplement ceux qui trouvent que ce n’est pas à eux de commenter la qualité du cours.
Mais enfin, je suis d’un autre temps, et peut-être un peu facho sur les bords, qui sait ?
Brigitte et Régis ne sont pas cathos pour deux sous (tout se vaut, pourvu qu’il y ait le respect ...), mis ils sont très militants. J’ai cru comprendre qu’ils étaient à l’origine d’une AMAP. Et pour être partie prenante d’une AMAP, pour le coup, il faut être militant. Parce que quand pour la quatrième semaine, il y a quatre choux dans le panier, on a beau s’intéresser aux mille et une façons d’accommoder le chou, au bout d’un moment, il y en a marre !
Ils ont deux enfants; de 16 et 12 ans (je crois, mais ce n’est que l’ordre de grandeur !) qui s’appellent Elouan pour l’aîné, Ruben pour le second. Un prénom breton, un prénom espagnol. Je sais pas trop comment ils vont appeler le troisième, si troisième il ya ...
Le lendemain matin, à 8h30, nous sommes dehors, Valentino et moi, direction Le Bouscat. Evidemment, on marche 20 minutes et un coup de fil ... C’est Brigitte qui appelle pour me dire que j’ai oublié mes lunettes. On a bien fait de partir de bonne heure, sinon on n’aurait pas pus se permettre de perdre notre temps ...
Allez, avant d’aller au lit, une petite image qu’on m’a envoyée et que je trouve drôle et jolie :
Bonne nuit à tout le monde
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Polluer est devenu un crime contre l’humanité
Le degré de pollution que l’on constate aujourd’hui est si important qu’il affecte plus de 100 millions de personnes sur la planète, si important qu’il est visible à l’oeil nu dans l’air, sur terre, dans les océans et même de l’espace. Le Japon vient de lancer un satellite pour monitorer les GES à partir de l’espace. La pollution est devenue si visible qu’on se demande pourquoi il n’y a pas de mouvement politique mondial pour lancer une campagne de nettoyage à la grandeur du globe. En 1975, l’Académie Nationale des Sciences estimait que les navires cargo et les bateaux de croisière avaient déversé 14 milliards de lbs de déchets dans les océans. Ce genre de pollution détruit la faune marine et 50% des récifs de corails des océans.
Chaque année 9 millions de personnes dont 600,000 enfants décèdent à cause de la pollution, plus de 1 million d’oiseaux marins sont tués ainsi que 100,000 mammifères marins. Si dans tous les pays de la terre tuer est un crime, alors on se demande pourquoi personne n’a été inculpé à ce jour et traduit en justice.
Deux journalistes de CNN, Brandon Miller et Jay Croft citent des experts qui donnent jusqu’à 2030 pour contrer les effets des changements climatiques. En résumé, si on ne fait pas un virage à 180 degré à partir de maintenant, les conséquences sont la montée des eaux qui va engloutir des îles du Pacifique et des villes de la planète incluant Londres, Manhattan et 14 autres villes côtières américaines. À ce jour, 4 millions de citoyens américains ont les deux pieds dans l’eau à l’année. En plus, la montée des eaux va contribuer à la désallination des océans et détruire l’habitat naturel de certaines espèces marines. Le plus important désastre humanitaire que la planète ait connu sera l’exode des populations qui se traduira par des tragédies humaines. Un migrant sur 18 décède lors de son périple vers une terre promise. Selon OIM 17,000 migrants sont morts ou disparus en Méditerranée depuis 2014. En 2015, 1 décès sur 6 dans le monde est lié à la pollution. La Banque mondiale estime à plus de 140 millions le nombre de migrants à partir de 2050.
Qui, sur la planète, s’engage a contrer les effets des changements climatiques, actuellement ?
Selon Michael Bloomberg la Chine et l’Union Européenne font des progrès en ce sens mais pas les États-Unis. Les gros pollueurs industriels exercent un contrôle évident sur la Maison Blanche et le Congrès par le biais de leurs contributions lors des campagnes électorales. Actuellement, ce sont des citoyens qui prennent l’initiative dans le combat contre les changements climatiques tel Michael Bloomberg qui regroupe des centaines de villes américaines, des universités et dirigeants d’entreprises, Boyan Slat, un Hollandais de 24 ans a développé une technique pour se débarrasser d’une île de plastique de la superficie du Texas dans l’océan Pacifique. Ce jeune homme âgé de 24 ans seulement a réussit a lever $35 millions et est en train de prouver au monde entier qu’il est possible de développer une nouvelle forme d’économie vouée uniquement a contrer les effets des changements climatiques et au nettoyage de la planète.
Il n’y a pas que la planète qui soit victime de la pollution industrielle, il faut y ajouter la contamination alimentaire.
Les personnes obèses et en surplus de poids représentent de 30 à 50% de la population mondiale soit qu’ils sont adolescents ou adultes. Les pourcentages sont moins élevés en Europe. Ces personnes n’ingurgitent pas plus de nourriture que le reste de la population, le problème est qu’ils mangent de la nourriture non-conforme et de la nourriture contaminée. Plus de 70% de la nourriture que nous trouvons dans les grandes surfaces, surtout dans les allées centrales, est non conforme sans nutriments ou contaminée par des agents de conservation qui sont des produits chimiques. Un médecin américain a répertorié 29 sortes de pesticides dans le corps de ses patients. 80% des aliments que nous consommons contiennent du sucre et coûte $7 Milliards en soins de santé au Canada seulement.
Le pourcentage des personnes qui consomment des médicaments augmente avec l’âge passant de 12% chez les 6 à 14 ans à 83% chez les 65 à 79 ans. Le Parkinson n’est pas une maladie héréditaire, la responsabilité en revient aux pesticides (Annie Prégent, Le Figaro). Il semble que les maladies contractées par les produits chimiques utilisés surtout dans l’agriculture et les aliments sont traitées par l’industrie pharmaceutique avec d’autres produits chimiques qu’on appelle MÉDICAMENTS. Rares sont ceux qui ont le privilège de vivre vieux et en bonne santé après avoir bouffé ces cocktails chimiques toute leur vie.
C’est sûr qu’il y a des solutions pour éviter les désastres annoncés par les scientifiques de la planète
Nous nous dirigeons lentement mais sûrement vers un scénario de fin du monde que nous avons nous-même créé qui va affecter non seulement l’humanité mais aussi notre planète. 65% des émissions de gas effets de serre (GES) proviennent des industries et du transport. Si les gouvernements ont légiféré sur l’essence au plomb, la cigarette et dernièrement les gras-trans, ils peuvent faire de même en obligeant les voituriers a produire uniquement des autos électriques ou hybrides. La cheminée industrielle est une technologie du 19e siècle et 200 ans plus tard, nous avons la technologie et les équipements pour les modifier dans le but d’émettre 0 émission. Polluer est un moyen efficace pour les industries de réduire leurs coûts de production car ce sont les États et la population qui en assument les conséquences et ultiment les coûts.
Les produits chimiques sont omniprésents dans nos vies et sont la cause de la dégénérescence du genre humain et nous avons des systèmes de santé qui n’interviennent que lorsque la maladie frappe. Les projets de recherche sont orientés en grande partie sur les remèdes et non sur la prévention de la maladie ce qui est plus profitable pour l’industrie pharmaceutique.
Les vrais ennemis de la planète ne sont pas la Russie, la Chine ou la Corée du Nord, c’est plutôt les puissants lobbys de l’industrie, de l’agro-alimentaire, des pharmaceutiques, du transport et aussi des contracteurs de la defense qui siphonnent des $Milliards des gouvernements en prévision de conflits qui n’auront pas lieu. Si 200 nations se réunissent sans problème à Katowice en Pologne pour pour les deux prochaines semaines en pour discuter des changements climatiques, ils ne vont pas se déclarer la guerre à la fin du congrès.
Alors que les 22 dernières années comptent le 20 années les plus chaudes jamais enregistrées, les 4 dernières années sont en tête de liste selon l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM).
Il devient impératif de créer un organisme mondial voué exclusivement aux changements climatiques en incluant les militaires qui ont le personnel et les équipements et aussi les budgets pour combattre un ennemi bien réel qui existe depuis des décennies.
La population n’a aucun contrôle sur leur gouvernement, les politiciens sont manipulables mais pas par le citoyen mais plutôt par les puissants lobbys qui ont un accès privilégié aux ministres et fonctionnaires. Le Québec compte 3600 lobbyistes et Ottawa environ 8600 et les USA plus de 12,000..
Nous sommes à un tournant sur la santé de la planète et du genre humain et animal et si rien de positif ne ressort du COP 24 en Pologne il faudra que les citoyens à l’échelle mondiale viennent grossir le mouvement de Michael Bloomberg et exercer des pressions sur leur propre gouvernement pour passer d’un mode planification à un mode action.
P Laberge. Canada
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