#cendres la rouge
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philoursmars · 10 months ago
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L'année du Dragon arrive !
Une longue série de dragons arrive...
Lille, rue Faidherbe - Fabio Ricardo : "Ramblas Brésiliennes"
Langrune-sur-Mer (Normandie)
Louvre-Lens, expo "Animaux fantastiques" - atelier A2 d'après J.R.R.Tolkien - tapisserie, "Conversation with Smaug"
idem - Compagnie de théâtre "Cendres la Rouge" - Squelette de Chimère
Marseille, MuCEM - portes de ruche - Slovénie, fin XIXe s.
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chic-a-gigot · 3 months ago
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La Mode illustrée, no. 37, 10 septembre 1865, Paris. Toilettes de Mlles Rabouin, 67. Rue N.ve des P.ts Champs. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Jupe de cachemire bleu vif, bordée d'un volant tuyauté. Robe d'alpaga gris, cendre de rose, garnie avec un volant tuyauté, à tête, bordé de chaque côté avec un liséré bleu; chaque couture réunissant les lés est couverte par un liséré, et une rosette de même étoffe, bordée d'un liséré, relève la robe à chaque couture et fixe la robe sur la jupe. Paletot de gros grain noir garni de dentelle noire posée à mihauteur sur le paletot. Chapeau en tulle bleu vif orné de ruches en tulle; à l'intérieur, bandeau de velours bleu orné d'étoiles en nacre blanche.
Bright blue cashmere skirt, edged with a piped flounce. Grey alpaca dress, ash pink, trimmed with a piped flounce, with a head, edged on each side with a blue border; each seam joining the strips is covered by a border, and a rosette of the same fabric, edged with a border, raises the dress at each seam and fixes the dress on the skirt. Black grosgrain overcoat trimmed with black lace placed halfway up the overcoat. Bright blue tulle hat decorated with tulle ruffles; inside, blue velvet headband decorated with white mother-of-pearl stars.
Robe en foulard nankin, ornée d'un triple bordure grecque, faite en taffetas violet, cousue à points arrière avec de la soie blanche; la bande du milieu est du double plus large que les deux autres. Corsage montant à boutons violets, à ceinture violette, avec poignets et épaulettes assorties à la bordure de la robe.
Nankin foulard dress, decorated with a triple Greek border, made of purple taffeta, backstitched with white silk; the middle band is twice as wide as the other two. High bodice with purple buttons, purple belt, with cuffs and epaulettes matching the border of the dress.
Petite fille de six ans. Robe en alpaga blanc, garnie de pattes en taffetas rouge, recouvertes de guipure Cluny; ceinture pareille (c'est-à dire rouge); encolure et manches courtes, garnies comme la robe. Bottes en cuir rouge; collier de corail rouge.
Little girl, six years old. White alpaca dress, trimmed with red taffeta legs, covered with Cluny guipure; similar belt (i.e. red); short neckline and sleeves, trimmed like the dress. Red leather boots; red coral necklace.
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voluxpa · 4 months ago
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-- pub projet de @chimaeric-vixen
CITY SOMBRE SITUÉ EN ARIZONA, PHOENIX -- BIKERS, FLICAILLE. ((-18))
c'est un gévaudan qui calanche sous ses milles bêtes,
dune éphémère, versée d'ocre en cendres infernales; c'est que risée crache son souffle, moquée par les érosions rouges et ces chardons jaunis. naphte fume, comme braises à peine soufflées; sans éther, vallée se glousse par milles vautours. et quand mirages assaillissent l'assoiffé, sèchent les coques osseuses de ces, ô pionniers oubliés,  sur ruban de bitume, il aboie épouvantable. 
ou que milles bêtes calanchent sur gévaudan.
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je vous propose de rejoindre le discord tout juste créé pour le projet, qui restera ouvert jusqu'à l'ouverture. les membres sont comme une famille, alors que vous soyez orphelin de rpg ou que vous ayez envie de vous mélanger avec des plumes incroyables, des bons gros cerveaux, et des coeurs PLUS GROS ENCORE, join us 🔥 ((puis l'admin c la best des worst))
https://discord.gg/fTfcYvWMfM
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b-satela-star · 1 month ago
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Les sigils - Création de sceau magique
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(from : pinterest)
Qu'est ce qu'un sigil ?
C'est la manifestation des intentions de son créateur, dans un symbole à connotation magique (littéralement signature en latin).
Généralement on accompagne un rituel d'un symbole pouvant être un sigil puisqu'il cristallise la volonté de l'exécutant. Celui ci est donc strictement personnel, il vous est donc nécessaire de crée le votre au risque de voir votre rituel échouer. Pour cela plusieurs méthodes existe.
A La méthode "Alchimique"
Il convient ici d'assembler divers symboles alchimiques pour faire acte de vos désirs (pour rappel les éléments, les pierres, les planètes ont des symboles et significations associées).
Ainsi, de cette manière, pour un rituel lié à l'amour, l'érotisme ou le désir, vous pourrez assembler des symboles liés au feu (flamme de la passion), à l'eau (sentiments), Vénus (déesse de l'amour) ou encore la lune (symbolique amoureuse).
Pour davantage d'informations sur la méthode alchimique, je vous prie de vous référer à la symbolique des différentes figures.
Vous pouvez également y inclure des symboles non alchimique (géométrie sacrée, alphabet runique, ...), le plus simple étant le mieux :)
B La méthode Graphique
Plus simple selon moi.
Nécessite d'écrire la phrase avec vos intentions en lettre capitales. Vous devrez ensuite supprimer les lettres doubles (lettres qui sont répétées dans la phrase) et/ou voyelles (vous êtes libres de faire comme bon vous semble). Décomposez ensuite les lettres en "traits et courbes" (La lettre G est par exemple composée d'une courbe et d'un trait) et assemblez les pour former votre sigil avec le bon nombre de traits et courbes, vous pouvez ici aussi inclure des petits symboles pour personnaliser vos intentions.
Voici par exemple mon sigil pour attirer l'amour :
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(from : me :) )
Il existe plein d'autres méthodes.
Charger son sigil
Un sigil nécessite d'être "activé" et chargé en énergie pour qu'il soit efficace lors d'un rituel, la méthode à utiliser peut dépendre de la nature du rituel :
La méditation : Nécessite de visualiser l'objet de vos désir tout en tenant votre sigil ou en le posant devant vous. Vous pouvez également réciter des formules que vous aurez préparé ou encore des prières à vos divinités.
La canalisation : Nécessite de charger vos mains d'énergie ampli d'intentions et d'insuffler celle ci en votre sigil.
La masturbation : Idéal pour les rituels rouges liés à l'amour, au sexe. Il est nécessaire de visualiser vos désirs au moment de l'acte ou encore de fixer votre sigil au moment de l'orgasme.
Recharge : Liée également à l'objet du rituel, nécessite faire brûler de l'encens, des plantes ou un parchemin avec vos désirs puis d'enduire légèrement avec les cendres votre sigil. Vous pouvez également ajouter des pierres (dont la nature dépend de ce que vous cherchez).
Le rituel : Reprend un peu la méthode de la recharge. Nécessite en plus des bougies (de couleurs changeantes selon vos souhaits) et une athamé qui vous permettra de mener une consécration et de charger votre sigil.
Encore une fois vous êtes libre de charger votre sigil comme vous le souhaitez, l'important est la sincérité et les intentions (vous pouvez modifier ces méthodes ou les combiner).
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eyestoheaven-rpg · 6 months ago
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Sur Nos Cendres se réinvente pour devenir Eyes to Heaven. Plutôt city sombre aux mille possibilités que forum gangs, le contexte lui aussi se réinvente légèrement pour accueillir chacune de vos idées, qu'elle soit plus light ou sombre. Le forum se base sur le destin mais aussi sur les rêves, trop de fois abandonnés. Vous trouverez le lien du discord plus bas si vous souhaitez nous rejoindre ! Sur ce dernier, vous pouvez d'ores et déjà réserver un avatar, parler de vos idées.
Entre les murs couleur rouge d’une ville qui n’ose plus fermer les paupières, rêves aux pouvoirs mystiques, sont encore capables de glisser brin d’espoir dans ruelles assombris de la douce Birmingham. Ils ont tant rêvé, un peu trop sans doute, avant de devenir prisonniers du néant, de ce vide qui n’appartient qu’à ceux qui ne songent plus. Adieu les rêves décimés, adieu l’envie fugace de construire quelque chose sur la durée. Alors que certains naissent sous une bonne étoile, d'autres luttent pour chaque once de chance qui pourrait changer le cours misérable existence. Le destin comme force implacable se joue des béats, trône de fer sur ces âmes égarées, presque piégées, entre ses bras, ils ne partiront pas. On ne quitte plus Birmingham, on y meurt, on y renaît, mais on y reste à jamais, marqués par l’emprise. Poignée de gamin s’épuisent à courir après ce soupçon d’adrénaline, cherchant à défier leur destinée en quête de ces fragments éperdus. D’autres l'acceptent avec triste résignation. Chanceux ou malchanceux, chacun est maître de son dessein aux mille enjeux. Mécréants, avares, insipides, le dessein n’est plus en leur faveur, il suffit de leur porter un regard : se meurent déjà les espoirs avant même de quitter les caboches. Ils ne peuvent échapper à ce qui leur est prédestiné, pas sans brin de chance, porteur d’un espoir mort-né. Pourtant, phénix renaissent, parent leurs pelages de plumes osées, reconstruisent leurs rêves à la force de quelques larmes. Ainsi s’épuisent les insomnies, les rêves ne sont jamais loin pour ceux qui laissent le sort décider de leurs destins.
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aurevoirmonty · 4 months ago
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"Jours de loups solitaires. De cœurs à la dérive, de soleils froids et de vents terrifiants. Jours d'obscurité, où les héros s'accrochent à la boue de la dévastation pour ne pas sombrer. Jours de fer, du matin au crépuscule, mais l'aube est à nous avec ses mystères. Jours de petites meutes, d'arbres brûlés par les cendres rouges des nouvelles batailles. Jour après jour, accrochés par les chevilles au sombre sentier de ce cycle final."
Juan Pablo Vitali
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yahalii · 19 days ago
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ô toi, main qui ne tremble pas
qui préfère mettre fin,
aux desseins des uns…
qu’as - tu perdu ?
quand l’as - tu perdue,
cette pitié ?
pour qu’il ne te reste plus que dans cette main tendue,
la mort en offrande.
de la nudité inexorable des corps déchus
ressurgissent, crues et virulentes,
les images répandues sous le regard de tous,
ravivant des tréfonds de l’âme humaine
cette inhumanité qui lui est propre,
originelle et viscérale.
sinistre est cette seconde d’inaction,
inconcevable la douleur des derniers instants,
irregardable, l’horreur primitive à laquelle ces colons s’adonnent,
aux dépens de ce peuple désigné par eux comme remplaçable.
la mêlée de sang rouge et noir devenant élixir dans la routine des oppresseurs.
« simple protection », fabulent les journaux,
comme si la répétition de ces mots caustiques
pouvait graver dans la pierre leur innocence factice.
des mots retranscrits à l’encre du sang d’enfants, de femmes, d’hommes
d’un peuple condamné à l’exil,
pour fuir ces mains —
commettant
meurtres,
viols,
réservant l’agonie,
à cette mère dont les poumons s’encrassent par les cris,
à cet enfant sous les décombres,
à ce corps, là, convulsant,
ou à d’autres, qui finissent dans les cendres.
tuerie de masse,
silence fracassant,
où pèse le poids de la mort,
et cette question en suspens -
qui traîne,
sans réponse :
comment cette humanité que l’on dresse avec orgueil a t- elle pu se détourner de son propre reflet ?
comment s’est- elle parée de ce synonyme de bonté tout en reniant sa propre essence ?
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enoramenguy · 1 year ago
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La Mère des Cendres
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« Tu vois que je ne suis pas morte. Il y avait un grand arbre ; il s’était battu contre le Feu, et il avait perdu. Il était couché par terre, et le Feu avait laissé des abeilles rouges qui le mangeaient. Je me suis approchée parce que c’était joli. À ton tour, ne t’approche pas de moi. Cela pourrait t’être fatal, et je pense que ces derniers mois t’ont en fait prendre conscience.
Tu vois que je ne suis pas morte. J’ai trop dépéri en ma couche ; l’appel du grand air et du Feu était plus fort. Six mois dans ce lit, entre ces quatre murs, avec pour seule compagnie une Bible, dont les pages me murmuraient, depuis la table de chevet, le souvenir de ma folie. Avec, pour seule conviction que le monde extérieur existait encore, la vue sur ce bel arbre, autrefois luxuriant, autrefois vert, maintenant noir.
Tu vois que je ne suis pas morte. Je sais que tout ce que tu voulais était mon bien. Qu’en m’attachant les poignets au montant du lit, à l’aide de lambeaux de tissus, tu pensais que tu pourrais me contrôler et épargner d’autres vies.
Tu vois que je ne suis pas morte. En m’abandonnant à mon sort tu pensais que je le serais enfin. Ce qui m’a tenue éveillée, ce sont ses cris. Ses pleurs me hurlant que je l’avais trahi, moi, dont le rôle premier était de le protéger. Parfois ses gémissements me réveillaient de ma torpeur, et ce moment entre le rêve et le réveil me faisait croire qu’il était toujours là, et qu’il avait besoin de mon sein. Ses cris résonnaient dans la pièce, comme si son berceau était toujours à sa place, près de la fenêtre aux rideaux rouges. Tout comme ce jour fastidieux où je l’ai pris dans mes bras. Tout comme ce jour où, lui aussi, a fondu dans les flammes. L’odeur n’était pas aussi enivrante que celle de l’arbre. Ce relent insupportable est témoin qu’un nouveau-né n’est pas censé prendre feu ; un arbre, parfois, si.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais je ne t’en veux pas de l’avoir souhaité. Je ne t’en veux pas d’avoir abandonné. Après tout, je n’ai pas emporté mon fils, j’ai emporté notre fils.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être devrais-je l’être ? Peut-être que Maman aurait-dû m’étouffer dès qu’elle m’eus mit au monde. Peut-être que, jetant un coup d’œil à la cicatrice rougeâtre qu’il lui restait sur le bras, dernier souvenir qu’elle avait de sa propre mère avant qu’elle ne s’immole, elle aurait sû que c’était la meilleure chose à faire. Peut-être espéra-t-elle que je n’avais pas hérité de ce fléau générationnel. Mais, quand à mes treize ans, la robe de ma camarade de classe pris soudainement feu, après qu’elle eut tiré sur mes nattes, j’imagine qu’elle comprit.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais peut-être, qu’intérieurement, je le suis déjà depuis longtemps. Fantôme pyromane, sorcière incontrôlable, fille des flammes de l’Enfer. Te rencontrer fût ce qui me ranima soudainement. A l’école déjà, tu étais le seul qui ne me fuyait pas. Tu m’avoua même que je te fascinais. Grâce à ta douceur, jamais je ne laissai une seule flamme sur ta peau, mais toi, tu en allumas une en mon cœur. Je me souviendrai toujours de nos exercices dans la forêt, où tu m’appris à contrôler ma colère, mes émotions, où je pu enflammer quelques brindilles, avec mon esprit, comme thérapie.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, même si tu m’avais ressuscitée, et avais fait de moi ta femme, et même si tu m’avais toujours défendue et cachée des regard suspicieux, et n’avais jamais eu peur de ma monstruosité, je mourus à nouveaux, en même temps que notre enfant.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais lui, si. Trop tôt. Nous fûmes peut-être naïfs de penser que mon pouvoir était enfin sous contrôle. Mais, essaies de me comprendre. L’accouchement fût difficile. J’aurais préféré mourir en couche. « Souviens-toi que tu es née cendre et que tu redeviendras cendre. ». Le bébé ne cessait de pleurer, je ne dormais plus. Je me souvenais de tout ce que tu m’avais appris et essayais de garder mon calme. Mais il attrapa une mauvaise grippe, et ses hurlements me scindaient le cœur en deux. Il y avait comme un joueur de tambour dans ma tête et je nageais dans ma sueur. Je sentais que l’infection revenait. Mais tu n’étais pas là, ce jour-là. Tu étais partis au village, espérant trouver de quoi soigner l’enfant. Je ne pouvais plus supporter de l’entendre crier. Sa gorge devait s’enflammer. Alors, je me levais du lit et le pris dans mes bras ; ce qui ne le calma pas. Prise de désespoir, la chair de ma chair pris feu sous mon joug. Ce fût, de nouveau, incontrôlable. Je ne pouvais le lâcher, et tu ne retrouvas qu’un petit corps calciné dans mes bras, à vif, recouverts de cloques.
Tu vois que je ne suis pas morte. Cela grâce à ton amour et ta compréhension sans faille. Je t’en veux de ne pas m’avoir jamais blâmée, je t’en veux d’être tombée amoureux d’un danger vagabond. Je t’en veux de m’avoir donné l’espoir que je pouvais briser la tradition et vivre une vie normale, loin de toute émotion négative, sous contrôle de moi-même. Je t’en veux d’avoir essayé de ne jamais penser que cela n’était pas de ma faute, puisque je ne l’avais pas souhaité. Mais je comprends que tu ne pu jouer le jeu du déni plus longtemps.
Tu vois que je ne suis pas morte. Mais, maintenant que nous n’avons plus de progéniture, laisse moi briser la chaîne ; laisse moi être le Feu. Laisse le Feu m’emporter. Et ne laisse plus jamais le Feu t’atteindre. J’espère juste que, quand tu te réchaufferas près de l’âtre, avec tes futurs enfants et ta future femme, tu penseras à moi. Je te dois la vie, mais maintenant je me dois la mort. C’est en regardant l’arbre par la fenêtre que je compris quel était mon destin. Je cru entendre ses feuilles gazouiller comme un nourrisson, et alors que des larmes recouvraient mes joues, l’arbre s’enflamma. Il se battu longtemps, mais il n’avait aucune chance de gagner. Comme mon bébé. Mes liens prirent feu également, et je pu m’évader vers l’arbre vaincu. Non, ne pleure pas, ne t’excuse pas. Dès lors, quand tu admireras les flammes dansantes, tu verras que je ne suis pas morte. »
Enora Menguy
Suite inventée à partir de l'incipit de Le premier amour (1974) de Marcel Pagnol
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de-gueules-au-lion-d-or · 7 months ago
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Je serai le dieu de la guerre !
Le Mongol enlève son cheval d’un coup de talon. Le Russe surpris, serre les dents, fouette sa monture et rattrape son compagnon. Ils galopent comme s’ils cherchaient à rejoindre le soleil qui illumine les ruines de Karakoroum, la fabuleuse cité de Gengis Khân. Au crépuscule, ils arrivent dans une yourte isolée dans un décor de sable et de pierre. Une femme semble les attendre de toute éternité. C’est la fille d’un berger mongol et d’une tzigane sibérienne. Sans âge, sans race, elle appartient au seul monde du vent. Sans demeure sans le lait aigre , l’urine et l’encens.
Elle gratte soigneusement les lambeaux de viande qui s’attachent encore à une omoplate de mouton. Elle place l’os blanc comme un quartier de lune, dans les charbons ardents du foyer en murmurant des incantations. Une odeur ignoble se répand et une fumée noire se dégage du foyer.
-« Je vais t’annoncer ton avenir »
L’étranger ne dit rien. Le jeu des flammes vertes et rouges semble le fasciner. Il sourit. Maintenant l’os semble à demi calciné, la femme le retire et souffle les cendre qui collent à la surface noircie. Elle regarde à travers l’os déchiqueté comme s’il avait reçu à bout portant une décharge de petits plombs. Son visage exprime la surprise puis la terreur. Elle parle d’une voie tranquille, mais ses yeux conservent une fixité étrange.
-« Je vois le Dieu de la Guerre. Sur un cheval gris , il chevauche à travers nos steppes et nos montagnes. Tu domineras un grand pays Dieu blanc de la Guerre. Et je vois du sang, beaucoup de sang,du sang rouge… »
Ainsi, un soir d’automne 1911, au coucher du soleil , près de la cité sacré de Karakoroum , un garçon qui n’a pas encore vingt-six ans apprend quel sera son destin.
Quant les deux hommes repartent, le soleil a disparu derrière les montagnes. Tout deviens noir autour de la yourte solitaire. Le jeune cavalier reste silencieux. Son compagnon le regarde à la dérobée, comme pour graver dans sa mémoire ce visage : il a un grand front , très bombé , que le vent de la course dégage de ses mèches de cheveux blonds, un nez fin et pointu , des l��vres minces ourlées d’une moustaches claire qui attriste un peu le bas de son visage, où un menton carré apporte une touche rugueuse
Il éclate d’un grand rire et lance vers les étoiles :
-« Je serai le dieu de la guerre ! »
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philoursmars · 1 year ago
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Il y a une petite quinzaine, je suis allé avec Julien et Katie, au Louvre-Lens pour une expo temporaire : "Animaux Fantastiques". Une très belle expo !
La Compagnie de théâtre Cendres la Rouge a créé ce "Squelette de Chimère".
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chic-a-gigot · 2 months ago
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Le Petit écho de la mode, no. 39, vol. 23, 29 septembre 1901, Paris. 3. Vêtements et costumes tailleur. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
I. Robe en drap parchemin et taffetas blanc, composée d’une jupe cerclée de plusieurs rangs de piq��res et d’un corsage-veste avec dos à couture, petit côté de dos et de devant et d’un devant ajusté par une pince, fermé par des petits nœuds de velours et légèrement ouvert du haut, laissant voir un plastron de taffetas encadré de revers garnis de piqûres. Col rabattu avec piqûres ainsi que le bas de la veste qui forme ceinture-corselet. Manches à deux coutures terminées par un revers piqué.
I. Dress in parchment cloth and white taffeta, composed of a skirt circled with several rows of stitching and a bodice-jacket with a seam back, small side of the back and front and a front fitted with a dart, closed with small velvet bows and slightly open at the top, revealing a taffeta plastron framed by lapels trimmed with stitching. Turned-down collar with stitching as well as the bottom of the jacket which forms a belt-corselet. Sleeves with two seams finished with a stitched lapel.
Mat.: 6 mèt. de drap, 0 m. 25 de taffetas.
II. Vêtement en drap gris cendre de forme sac orné d’une jolie broderie faite à même. Dos sans couture et devant sans pince fermé au milieu par une sous-patte. Manches à deux coutures ouvertes sur un bouffant de drap brodé. Chapeau en feutre orné d’une draperie de taffetas et d’une plume fantaisie.
II. Garment in ash gray cloth in the shape of a bag decorated with pretty embroidery made on the same. Seamless back and front without a dart closed in the middle by a flap. Sleeves with two seams open on a bouffant of embroidered cloth. Felt hat decorated with a taffeta drapery and a fancy feather.
Mat.: 4 mèt. de drap.
III. Robe en drap mousseline rouge indien. La jupe est plissée à petits plis lingerie cerclée de trois biais, garnie de plusieurs piqûres. Le boléro est fait d’un dos d’une seule pièce et d’un devant croisé traversé par un entre-deux de guipure encadré de biais piqués; même garniture encadrant le décolleté. Petit plastron de mousseline de soie légèrement mouvementé et surmonté d’un col drapé. Manches à deux coutures garnies de trois biais piqués.
III. Dress in Indian red muslin cloth. The skirt is pleated with small lingerie pleats circled with three biases, trimmed with several stitches. The bolero is made of a single-piece back and a crossed front crossed by a guipure inset framed with stitched biases; same trim framing the neckline. Small slightly turbulent silk muslin plastron topped with a draped collar. Two-seam sleeves trimmed with three stitched biases.
Mat. 7 mèt. de drap, 0 m. 50 de mousseline de soie.
IV. Vêtement de forme sac en drap havane. Dos et devant plissés à gros plis ronds sur un empiècement plat. Le pli du milieu remonte à l’encolure et dissimule la fermeture. L’empiècement est recouvert de trois collets passant sous le pli. Manches d’une seule pièce, de forme blouse serrées dans un poignet garni d’applications de velours; même garniture sur les plis. Chapeau en feutre orné d’une draperie en louisine retenant une palme fantaisie.
IV. Bag-shaped garment in Havana cloth. Back and front pleated with large round pleats on a flat yoke. The middle pleat rises to the neckline and conceals the closure. The yoke is covered with three collars passing under the pleat. One-piece sleeves, blouse-shaped, tightened in a cuff trimmed with velvet applications; same trim on the pleats. Felt hat decorated with louisine drapery holding a fancy palm.
Mat.: 5 mèt. de drap.
V. Vêtement genre collet de forme ample, en drap noir recouvert de soutache gracieusement disposée et bordé d’une frange-boule. Col rabattu. Ce vêtement, ajusté aux épaules par des pinces, est doublé de soie fantaisie. Toquet drapé en mousseline de soie, orné d’une plume pailletée.
V. Loose-fitting collar-type garment in black cloth covered with gracefully arranged soutache and edged with a ball fringe. Turned-down collar. This garment, fitted at the shoulders with darts, is lined with fancy silk. Draped silk muslin cap, decorated with a sequined feather.
Mat.: 2 m. 50 de drap.
VI. Robe en drap rouge pivoine, taffetas noir et taffetas â damiers rouge et noir. La jupe doublée est bordée d’un biais de taffetas noir; deux autres biais, encadrant le tablier, s’entrecroisent pour encadrer une application de taffetas à damiers. Le boléro, ayant la même garniture que la jupe, se compose d’un dos d’une seule pièce et d’un devant croisé découpé à créneaux bordés d’un biais. Col rabattu et bouffant de manche en taffetas.
VI. Dress in peony red cloth, black taffeta and red and black checkered taffeta. The lined skirt is edged with a bias of black taffeta; two other biases, framing the apron, intersect to frame an application of checkered taffeta. The bolero, having the same trim as the skirt, is composed of a single-piece back and a crossed front cut with crenellations edged with a bias. Turn-down collar and puffed sleeve in taffeta.
Mat.: 6 mèt. de drap, 3 mèt. de taffetas noir, 0 m. 75 de taffetas fantaisie.
(I). Fourrure en vison et loutre, formant petit collet avec étole. Col Médicis. — (II). Cravate en vison et martre. — (III). Cravate en martre agrémentée de plusieurs queues et de petites têtes.
(I). Mink and otter fur, forming a small collar with stole. Medici collar. — (II). Mink and marten tie. — (III). Marten tie decorated with several tails and small heads.
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lesillusionsterrestres · 5 months ago
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Avec le feu, tout le monde est noir
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Le feu a tout détruit. Il a tout emporté. Les femmes, les hommes, les assiettes, les couverts, les couvertures, les portes, les meubles, les murs, les odeurs de lys et de jasmin, les joies, les peines, tout, tout. Il ne reste plus rien. Que la cendre, blanche et grise. Les pompiers sont arrivés trop tard, avec leurs uniformes rouges. Le feu n’est plus rouge. Le feu a même emporté le rouge du feu. Si je n’étais pas partie, le feu m’aurait emportée aussi. Il m’aurait brulé la chair, comme il l’a fait avec celles de mes amies. On ne reconnait plus personne, ont dit les pompiers tout en rouge. Les corps sont carbonisés. Ils sont noirs. Avec le feu, tout le monde est noir. Tout le monde est noir et tout le monde est mort. Les femmes, les hommes, les assiettes, les couverts, les couvertures, les portes, les meubles, les murs, les odeurs de lys et de jasmin, les joies, les peines, tout, tout. C’est la fin. Plus d’amies, plus de lit, plus de toit. Il ne reste que nous : Cécile et moi. Et moi je suis morte avec mes sœurs. Une morte vivante. Vivante. Pourquoi moi ? Qu’on me brûle et qu’on mêle mes cendres aux leurs ! Cécile pleure. Elle a tellement de peine que ses larmes sont une mer capable d’éteindre tous les feux. Je lui tends le sachet que l’on vient d’acheter. Et au milieu des larmes, Cécile a souri.   Au milieu des larmes, elle a dit : « Merci les cacahuètes. » Cécile a raison : il faut sourire au milieu des larmes. Il faut dire merci aux cacahuètes. Il faut leur dire merci, parce que c’est grâce à elles que nous sommes encore en vie. // Dédé ANYOH //
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b-satela-star · 1 month ago
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Mes premiers rituels
I Le sort d'amour et d'attraction
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(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un vendredi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
Stylo rouge-rose
Papier vierge de type parchemin
Quelques plantes relatives au désir (rose, jasmin, cannelle, basilic)/des encens naturels
Des bougies rouges ou roses
Un chaudron (ou récipient pour une combustion)
Charbon à encens
Une divinité à honorer (relative à l'amour, la sexualité, le désir, le succès, ...)
Une formule* (exemple ci dessous)
D'espoir :)
Pour ma part j'honorerai ici Lilith en guise d'exemple, mais vous pouvez adapter la divinité à vos croyances, l'important est la sincérité de vos actes.
Comment procéder :
Allumer la bougie et inscrire le nom et prénom de la personne aimée sur la feuille. Puis inscrire son propre nom et prénom et entourer les tout 3 fois.
Plier le papier 3 fois puis inscrire un symbole lié à l'amour dessus.
Une fois le charbon allumé, faire brûler les plantes/encens et réciter la formule*, papier en mains et faire brûler intégralement. Il vous est possible de faire tomber quelques gouttes de cire de bougie pour sceller le sort.
Après que les cendres aient refroidi, vous devez les déposer au pied d'une rosier.
Pour ce qui est de la formule voici un exemple :
"Je vous invoque Lilith, ô déesse de la passion, de la liberté et du courage, faîte que ma labeur et mes efforts permettent à {ses noms} de venir à moi. Ouvrez pour moi le chemin de son coeur, de l'amour et du bonheur. Très sincèrement, prochainement et pour toujours, merci."
Gardez en tête que la démarche doit être personnelle et sincère :)
II Le sort pour appeler la chance
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(from : pinterest)
Pour ce rituel, il est conseillé de le faire un jeudi de pleine lune ou de lune ascendante.
Vous aurez besoin :
1 pochon en tissu naturel
2 bougies vertes (ou une verte et l'autre liée à l'aspect (rouge-amour, jaune-famille, ...))
1 encens fait maison (pissenlit ou trèfle)
Du sel (de même, la couleur/variété représente un aspect)
Une feuille de laurier où il faudra inscrire d'un côté ses nom et prénom et de l'autre ses initiales (+éventuellement un chiffre lié à ce qu'on recherche (7 pour en général, 9 pour la famille)
Une pierre précieuse pour mettre dans le pochon (pyrite, ambre, agate, émeraude, béryl)
1 objet marquant (une pièce, un trèfle à 4 feuilles, un bijou)
1 papier avec un sigil/symbole/sceau de chance
Une ou plusieurs runes ou symboles de chance à inscrire sur ses mains avant le rituel.
Une formule* (+éventuellement une divinité à honorer)
Exemple de formule : "Uolo felicitatem in uita habere"
Pour ma part j'honore Fortuna, déesse de la chance et du destin.
Procédé :
Installation : Jambes non croisées dans une pièce suffisamment sombre.
Allumez les bougies et brûler les plantes/encens en récitant la formule (jusqu'à la fin du rituel).
Mettre dans le pochon dans l'ordre : sel puis laurier puis plantes (au moins 3 différentes) et enfin le minerais.
Ajoutez l'objet et le papier en même temps dans le pochon et le nouer 3 fois avec une corde naturelle.
Garder le pochon en mains et se concentrer (rien ne doit rester, seules les intentions et l'incantation) charger d'énergie grâce aux mains et déposer sur un symbole de géométrie sacrée (pentagramme, Métatron, Merkaba ... ).
Laisser charger 3 jours et 3 nuits puis vous pouvez garder le pochon sur vous ou dans un endroit comme votre chambre.
Bonne chance ;)
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deviance-nocturnale · 6 months ago
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6. Terracotta
L'évocation d'une pierre rouge, de la céramique de jardinage, d'une plage à l'autre bout du cadran solaire, un vol pour les terres du sud, on peut monter vers les étoiles, la cendre de Mars, un parfum d'ambre et de sang, planisphère où s'hasarde un doigt fébrile pour trouver une destination pionnière. La roche rouge, son dépôt de craie poudrée sur les paumes tendues vers les cieux. Fouler la terre qui n'a rencontré aucun pied, aucune balise humaine, aucun flambeau olympique. Vierge désert comme dans ma tête vide parée pour quelque voyage sans retour ni détour à la Into the wild.
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claudehenrion · 6 months ago
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Gog et Magog, ou le combat final entre le Bien et le Mal...
En même temps que de la rue, la folie s'est emparée du pouvoir : les autorités ne reculent devant rien et mentent sur tout ce qui ne va pas dans leur bon sens si mauvais... Par exemple pour continuer à nous persuader que le Covid aurait été un dragon qui renaîtrait de ses cendres, ils ont déjà inventé la grippe aviaire et la variole du singe. A quand la la phtisie du poisson rouge, la coqueluche du chihuahua ou la fièvre violette du gnou ? Notre seul espoir : une bonne grippe des politicards—que nous avons déjà pris en grippe...
Tout se met en place (et... ''en douce''!) pour que nous soyons prêts à nous soumettre à toutes leurs folies pour, soi-disant, ''nous protéger'' de fausses pandémies ou de fausses menaces inexistantes (dont l'envahissement de l'Europe par Poutine ! Un sommet, dans la créativité !)... Il faut dire que ''ça'' a tellement bien marché avec leur satané covid, qu'ils auraient tort de se gêner! Préparons-nous à un ou des ''remake(s)'' de la grande peur de l'an Mil, inspirée par l'Apocalypse selon Saint Jean –ce qui peut paraître étrange, venant de ces chantres (ou chancres ?) de l'anti-christianisme le plus enragé.
Mais ils ne sont pas à ça près : le ridicule ne tue plus, de nos jours ! La preuve ? Leur manque de panache et d'élégance : ''notre'' Apocalypse avait une autre gueule et une autre ''classe'' que ''le Great Reset'' de Klaus Schwab (dit ''le Sars-Cov II de Davos''). Quant à notre président, son ''il n'est pas possible que Poutine gagne'' alors qu'il est en train de gagner –sauf à établir contre lui de nouvelles règles-- peut nous mener à la vitrification ! Il est dangereux !
Petit rappel historique  : de l'an Mil à l'année 1033 (soit ''mille ans après la naissance et la mort du Christ''), les peuples d'Occident ont tremblé : il était écrit que ''Les mille ans accomplis, Satan sortira de sa prison pour séduire les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre : leur nombre est comme le sable de la mer...''. (Apo 2-27). Il m'arrive (et je ne dois pas être le seul !) de me demander si nous ne vivons pas des jours aussi remplis de monstres, de démons, de dragons (revus à une sauce dite ARN mensonger), de guerres qui n'en sont pas, qui pourraient éclater ou pas, quoique, etc... et de disparition des populations : notre temps ayant inventé l'infanticide légal in utero et s'apprêtant à légaliser l'euthanasie... plus de bébés, en France ni en Europe et, partant, plus aucun français, à terme, hors de pseudo-français ''administratifs'', sur le papier. Le processus est très largement engagé : l'Europe ne se reproduit plus, déjà. Mais tout le monde s'en fout : on regarde ailleurs, en disant ''c'est pas grave'' !
Un retour sur image s'impose ici : une étrange prophétie d'Ezéchiel (Ez. XXXVIII) montre un prince du nom de Gog, au pays de Magog, se mettant à la tête d'une coalition des peuples du Nord (serait-ce le premier nom de l'Europe ?) contre Dieu. Les noms Gog et Magog apparaissent plusieurs fois dans la Bible et dans le Coran, toujours en lien avec une grande bataille qui annoncera le retour du Messie. Côté ''civilisation judéo-chrétienne'', on cite le livre d'Ezechiel (où les peuplades païennes de Magog représentent métaphoriquement les forces du Mal), et l'Apocalypse de Saint Jean, qui parle du combat final (dit : la bataille d'Armageddon) entre le Bien et le Mal, à la fin des temps, lors de la parousie de Jesus-Christ. Ces symboles forts mais troubles, sont souvent confondus avec les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', symboles du combat eschatologique entre le Bien et le Mal.
Du côté ''monde islamique'', on parle de ''la mère des batailles'' (Oum al-Harb), qui verra la victoire et l'avènement d'al-Mahdi, ''le douzième Imam'' qui engagera une lutte terrible, avec son armée de partisans fidèles prêts au sacrifice, en un temps où ''le monde sera plongé dans l'injustice et la tyrannie''. Pour l'islam en effet, l'histoire est une lutte constante entre, d'une part, les forces du bien, de la vertu et de l'amour d'Allah, de la justice, de la foi, de l'égalité, du sacrifice, de la pensée correcte, de la pureté et de la vérité, et d'autre part, celles du faux et du mal, de l'égoïsme, du matérialisme, de l'injustice, de l'incroyance, de la discrimination, de la corruption, de la violation des droits des autres.
La bataille finale, qu'annonce une prophétie confortée par un Hadith, aura lieu près de la ville actuellement syrienne de Dabiq où, menacée par une horde d'infidèles, l'armée des musulmans, commandée par le Christ ressuscité (Je n'y peux rien : je raconte ce qui est écrit), est décimée mais finit par triompher. Le polythéisme, les mythes, l'injustice et la corruption s'effondreront alors, et la croyance en Allah, la Vérité et la Justice triompheront. Une société islamique (?) idéale (?) sera établie sur la terre, sous l'égide d'un gouvernement idéal (re- ?) : ''Un gouvernement mondial caractérisé par la justice et la droiture sera instauré. Il s'étendra de l'Est à l'Ouest. Tous les hommes vivront sous ce gouvernement dans un climat de paix, de justice et de prospérité. Le Gouvernement Divin établi après la chute des autres systèmes, réalisera les objectifs désirés. Bien qu'il soit d'une durée limitée, il sera le dernier mot dans la justice et la droiture. Il sera la fin de l'histoire''.
La situation dans laquelle nous sommes, à cet instant ''T'', est tellement grave (dans absolument tous les domaines) que le temps serait peut-être venu de se demander si nous ne revivrions pas --mutatis mutandis-- un moment iso-apocalyptique : en cinq ou six toutes petites très longues années, tout est renversé, saccagé, cul par dessus tête : les ''Quatre cavaliers de l'Apocalypse'', qui symbolisent la guerre, la famine, la maladie et la mort (et pas Lemaire, Mélenchon, Darmanin et Macron, comme certains le prétendent), rôdent autour de nous, encouragés et soutenus par les instances officielles. Ce ne ne sont certes pas les seuls dangers qui guettent l'humanité, nous le répétons souvent (au grand dam de ceux qui n'aiment pas qu'on appelle ''chat'', un chat), mais peut-on honnêtement échapper à l'idée générale que ''rien n'est plus comme avant'', que ''tout est chamboulé'' ou que ''on ne sait plus où on va'' ?
N'oublions pas que l'immense ''bataille d'Armageddon'', cet ''épisode final de la guerre entre Dieu et les gouvernements humains'', est annoncée depuis la plus haute antiquité : le Prophète Daniel (VIIè siècle av. JC) avait eu l'intuition d'une rivalité (que nous croyons moderne et récente et que nous attribuons, un peu vite, aux ''Lumières'') entre Dieu et les plus orgueilleuses de ses créatures. Et le Psaume 2:2 ( VI è siècle av. JC) racontait déjà que les gouvernements et tous leurs partisans s’opposent à Dieu, à qui ils refusent de se soumettre...
Or dans un livre récent, ''Bio Essay'', deux chercheurs de l’Université de technologie de Singapour, Kang Hao Cheong et Michael Jones, voient aujourd'hui, quatre conditions facilement observables qui poussent notre civilisation vers une autodestruction maso-pathologique possible. Ces néo- ''cavaliers de l'Apocalypse'' qui menacent l’humanité seraient, disent ces chercheurs : la surpopulation, la mondialisation, l’hyperconnectivité, et l'attrition du nombre de chaînes d'approvisionnement (''qui faciliterait la transmission de maladies contagieuses, donc des crises sanitaires majeures'').La tragi-comédie du covid, ''qui a dévoilé de graves failles dans la dynamique mondiale, la gouvernance et la santé publique'' serait, selon ces chercheurs, un exemple des catastrophes qui pourraient frapper l’humanité, comme une ''Apocalypse 2.0''.
Car franchement, qui aurait pu penser que les rodomontades, dites ''sanctions'', déchaînées (contre nous, bien plus que contre la Russie !) par les Rambos de nos Palais nationaux allaient si vite foutre par terre nos économies, nos structures, nos systèmes et nos sauvegardes ? Ah ! les cons ! Un an plus tard... nous sommes coincés dans des engrenages de catastrophes imprévues... sans possibilité d'interruption ni ''de passer notre tour''.... et ayant perdu tout espoir de gagner cette guerre, malgré les torrents d'éloquence vide de toute raison de notre personnel –très nul !
La crise actuelle aurait, selon toute logique, dû amener une prise de conscience collective et une remise en question du système, afin d’empêcher que des catastrophes encore plus graves ne se produisent.... question qui nous ramène à notre sujet du jour : Que pourraient représenter de nos jours les symboles portés par Gog et Magog ? Devant l'urgence dramatique de ces questions angoissées, je reviens, comme rituellement, à ma vieille idée : ''La folie est sortie des asiles''... Et la réponse se précise, avec le temps qui passe : c'est ''Oui'' !
H-Cl.
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likielandco · 2 years ago
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Hello hello, tout le monde 😊❤️👋🏽
En anticipation du nouveau chapitre (OS 11 - 1er partie) des Pétales de Guenièvre, je me suis finalement hypé à mettre quelques ressources en ligne, rien d’extraordinaire, juste les timeline de LPDG et les fameuses doctrines de Guenièvre (celles qui ont déjà été révélées).
Comme ça, en plus du partage et du fin, j’ai des liens pour imbriquer ça sur archives 🙌🏽😅
Les documents sont spoiler free et je compte les mettre à jour, au fur et mesure que l’histoire avance! #committed 😂
Je peux les mettre en fin de chapitre si besoin.
• Les chronologies:
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⏳Il y’a celle des 10 ans à la tour, de la première année chez les saltimbanques jusqu’à la libération de Guenièvre et Nessa.
⌛️ Il y’a celle de LPDG, c’est à dire tout ce qui se passe après cette libération.
• Les doctrines de Guenièvre:
Normalement c’est un format PDF mais on peut pas poster ça ici 😭
Du coup voila les pages. La version gif était pas folle. Pour la petite description: Les numéros en rouge sont les doctrines non dévoilées et la photo à côté de chaque doctrine indique à qui Guenièvre pensait en la créant. Attention c’est pas tout à fait correct 😅 elle a pouvait penser à plusieurs personnes. Disons que c’est en majorité à qui elle a pensé. Le design est un mood qui reflète le contenu destructeur du document…. du noir, du bleu, du mauve: couleurs des ecchymoses… des cendres, des pétales, une tâche de sang… et la forêt sombre, ça représente son année en fuite qui a un quand même un impact massif sur elle. Bref, c’est les doctrines. Ok c’est tout pour l’instant! ☺️
À toutes mes reines et mes chevaliers J’espère que vous allez aimer cette suite et passez un bon moment ❤️
Bises,
Lily
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