Tumgik
#ceci explique peut-être cela
girafeduvexin · 2 years
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Je regarde des interviews de Goldman des années 80/90 et franchement, on a changé, on demande plus aux chanteurs ce qu'ils pensent du fait "qu'aux dernières élections, il y a eu un vote contestataire, comment analysez-vous cette montée de l'extrême droite ?"
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daltoncity · 2 years
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Okay William
Jack peut être flatteur vis-à-vis de Joe mais William, c'est un tout autre level. Le pire c'est que c'est sincère. Et parfois même, un peu trop passionné.
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Néanmoins, au fur et à mesure des albums, il se modère un peu plus. Faut croire que leurs aventures lui a fait perdre quelques illusions sur le génie de son frère aîné.
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sh0esuke · 4 months
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" Journalist "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Vinsmoke Sanji
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Tandis que Sanji concocte le dîner des chapeau de paille, sa petite amie lui tient compagnie. Lui aux fourneaux, elle sur la table à manger, les deux amants discutent, passent du bon temps ensemble, tout en profitant du calme que leur apporte leur voyage maritime, sans nouveau défi à relever ni ennemi à vaincre. À s'y méprendre, l'instant est d'une perfection sans pareil.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : aucun.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟐𝟏.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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Sanji arrive près de moi, contournant la table et déposant dessus une assiette ainsi qu'une tasse fumante. Je relève la tête, abandonnant mon article.
« Et voilà pour toi ma douce, un chocolat chaud et une part de tarte à la pomme. Bon appétit. » il déclare dans un sourire.
Sa phrase me fait arquer un sourcil, je le questionne du regard. Je dépose mon stylo à plume près de mon papier et tâche de me souvenir si je lui ai demandé de me servir quoi que ce soit, cependant, rien ne me vient à l'esprit. Enfin, à vrai dire, j'ai été tellement occupée à travailler aujourd'hui, même me souvenir de ce que j'ai mangé à midi serait complexe. Il est vrai que j'ai un léger petit creux, par contre, il doit être assez tard dans l'après-midi, peut-être bientôt l'heure de dîner, voilà pourquoi mon estomac s'est soudain mis à grogner, et la vue alléchante de la dite tarde ainsi que l'odeur de ma boisson n'aident pas. Le sourire flamboyant de Sanji me fait face. Je lui souris en retour, qu'il est beau... Puis, sur un ton pensif je lui réponds :
« Je ne me souviens pas de t'avoir demandé de me faire quoi que ce soit. »
Sanji essuie ses mains humides sur son tablier, il attrape sa cigarette entre ses doigts.
« Je me suis dis que tu devais avoir faim à force de travailler. » explique-t-il en expirant de la fumée.
« Je vois, merci beaucoup alors. »
Ma réponse semble lui plaire, puisque je vois son sourire s'agrandir et ses yeux se plisser. Sanji se penche au dessus de moi et embrasse mon front, puis il se redresse et prend une taffe de sa cigarette.
« Tu me diras ce que tu en penses ? »
« Bien sûr. Laisse moi finir ma phrase et je suis toute à toi. »
Je rattrape mon stylo à plume et tire mon article au bord de la table. Pendant que Sanji retourne dans sa cuisine, moi, je conclue mon travail. Cela fait depuis hier que je suis dessus. Sur cette feuille de papier, j'y conte mes aventures avec Luffy et l'équipage, les gens que nous avons rencontrés à Wano, les ennemis que nous avons vaincus à Dressrosa et Punk Hazard. Ces dernières semaines ont été particulièrement agitées, je n'ai pas eu une seule minute à moi, pas une seule minute à écrire. Ça n'est pas vraiment une passion. J'ai le don de l'écriture, je m'en sers, mais ça n'est pas par plaisir, plutôt pour satisfaire la curiosité de mon père. Peut-être aussi mettre sur papier ces choses folles que j'ai vécu depuis mon arrivée sur le Sunny. Et qui sait... Peut-être que cet article finira publié.
En guise de bruit de fond, j'ai Sanji et le dîner qu'il nous prépare. C'est plaisant. Je l'entends trancher de la viande, mélanger des ingrédients, marmonner dans sa barbe et sortir des restes de son immense frigo fermé à double tour. Parfois, je l'entends goûter sa propre nourriture et faire des commentaires, affirmant qu'il manque ceci, que cela est parfait, ainsi de suite. J'aime cette atmosphère.
Sur le Sunny, je ne trouve rien de mieux que de me réfugier dans la cuisine lorsque Sanji y confectionne des plats. Le bruit des vagues et les mouvements du navire qui tangue est tout autant agréable, sachant que, puisque nous sommes en intérieur, le tout est atténué. Et puis, savoir Sanji proche de moi a quelque chose de réconfortant. Je me sais en sécurité. J'aurais pu rester avec Robin, elle lit souvent au calme, ou même Nami, pendant qu'elle est chargée d'observer les directions que le navire prends. Ou Zoro, lui qui a cette fâcheuse tendance à s'entraîner dans la tour de pie sans jamais vraiment dire ou faire quoi que ce soit. Mais, il n'y a pas à dire, je ne me sens bien qu'ici. La table, tous ces bruits autour de moi et l'idée que, dans quelques heures, je serai encore assise ici, cette fois mon travail terminée et auprès de mes amis à dîner. Nous serons tous présents, à nous chamailler, rire et boire, jusqu'à ce que la fatigue nous emporte.
Alors je reste là. Je reste là et je continue d'écrire mon article.
Les lignes et phrases s'enchaînent, je conte mes aventures sur Wano en attendant que Luffy nous revienne, je conte mes combats contre les hommes de Kaido aux Cents Bêtes et les révélations sur le pays de Wano que nous avons faites au cours de la bataille. Mon père en sera ravi, j'en suis persuadée, après tout, ça n'est pas tous les jours que les secrets de cette terre fermée au publique sont dévoilés.
Lorsque j'ai fini, quelques secondes plus tard, je dépose ma feuille dans une pochette rouge et mon stylo à plume dedans. Je repousse le tout et me saisis ensuite de mon assiette et tasse. La boisson est encore chaude, parfait.
« Alors dis moi, ton père, ce Morgans, pourquoi il s'intéresse autant à nous ? »
Sanji cuisine dos à moi, de sa poêle, il fait revenir du riz. J'esquisse un rictus tout en apportant mon chocolat chaud à mes lèvres.
« Je ne sais pas vraiment, je t'avouerai.. Il m'a juste demandé de le tenir au courant des décisions de Luffy et de citer le nom de tous nos ennemis. »
Mes mains sont un peu froides, elles commencent à se réchauffer.
« Je crois qu'il l'aime bien, c'est tout. »
« Je me souviens l'avoir vu sur le territoire de Big Mom. » affirme-t-il en attrapant sa cigarette de sa main libre. « Il n'a pas cherché à nous arrêter. Il me semble qu'il nous encourageait, à vrai dire.. »
Ma réponse s'accompagne d'un léger rire.
« Ça lui ressemble bien. »
Mon père est un personnage haut en couleur, toujours à la recherche du dernier scoop et à fouiner là où il ne devrait pas. D'aussi loin que je me souvienne, We News ⸺le ballon gonflable dans lequel il écrit, poste et imprime ses articles⸺ a toujours été ma maison. Mon terrain de jeu aussi. J'y ai écris mes premières histoires, j'en ai imaginé des centaines, et combien de fois me suis-je imaginée grande journaliste.. prenant le siège de mon père et tenant le monde dans la paume de ma main, reine des informations, cheffe de la vérité. Puis, un jour, Monkey D. Luffy est arrivé avec son équipage, et j'ai été forcée de prévenir mon père que non, je ne rentrerai pas à la maison, que j'étais à présent une ennemie du gouvernement. Je me souviens encore parfaitement de sa réaction, il avait ri et m'avait dit de m'amuser. Ce morceau du passé me met du baume au coeur. J'ai écouté son conseil, je n'ai jamais été aussi épanouie..
Pendant quelques semaines après mon départ, nous n'avons pas pu nous parler. Les communications entre pirates sont souvent détournées par la marine, c'est un fait, mon père était persuadé que ça aurait aussi été le cas avec nous. Il m'a affirmé que notre équipage détient des vérités et secrets que le gouvernement mondial convoite dans le but de les faire taire. Nous avec. Nous nous sommes donc résolus à nous envoyer des lettres via ses Martins Facteurs, une fois, deux fois tous les trois mois. Et cela me suffit amplement.
« Je lui ai parlé de Kinémon. »
Déposant ma tasse sur la table, je m'attaque à ma tarte aux pommes.
« Kinémon ? » s'étonne Sanji.
Il est toujours dos à moi, coupant quelque chose. Je le vois remuer sa lame et déplacer des morceaux de nourriture d'un bol jusqu'à sa planche en bois, pour cela, je me suis penchée en avant. Je me rassois ensuite.
« De lui et sa femme. » je précise. « Tu te rends compte qu'elle l'a attendu pendant vingt ans ? Elle n'était même pas sûre qu'il reviendrait un jour ! »
« Oh, ma douce.. Que tu es romantique ! »
Sanji fait volte-face dans ma direction, les yeux brillants. Je lui offre un clin d'oeil et lui fait mine d'être touché en plein coeur, poussant une plainte au passage. Nous échangeons un rire complice. Mon coeur s'est légèrement emballé, quant à ma main elle a raffermi sa prise sur la petite assiette. Je me pince mes lèvres. Ce jeu entre lui et moi ne me laisse pas indemne... Depuis que je le connais, je n'ai jamais pu vraiment résister aux charmes de Sanji.
Celui-ci reprend d'ailleurs la parole. Il est retourné à sa précédente tâche.
« Mais, tu es sûre que c'est le genre d'informations que ton père veut entendre ? »
« Je ne vais pas non plus lui dire que nous avons trouvé un ponéglyphe ou lui donner les coordonnées de la tombe de Kaido. » je me justifie. « Je le connais, il a beau dire qu'il ne postera rien, il voudra quand même titiller le commandant en chef de la marine. »
« Il a déjà fait fort avec nos affiches de recherche.. » il acquiesce.
« Exactement ! Tu sais qu'il m'a dit que celle de Luffy les terrifie ? Ils lui ont demandé de la retirer, mais c'était trop tard quand il a reçu l'appel. Je doute d'ailleurs qu'il aurait accepté de le faire. »
« L'affiche de Luffy ? » s'exclame Sanji. « Pourquoi ça ? »
J'hausse les épaules. J'apporte ensuite une partie de ma tarte entre mes lèvres et la goûte, je reprends donc une fois ma bouchée finie :
« Peut-être que c'est l'éveil de son fruit qui a fait paniquer la marine ? Après tout, ça doit être spectaculaire si c'est grâce à ça qu'il a vaincu Kaido. »
« Peut-être, ça me paraît pas faux. »
Sanji m'a l'air surpris par mon hypothèse, pendant ce temps là, je finis de trancher ma troisième part et l'enfourne dans ma bouche. Sa tarte est succulente, finement fraîche, sucrée à souhait, elle fond sur la langue. Je suis à deux doigts de pousser une plainte liée à l'extase. Sanji a vraiment des doigts d'or..
« Quoi qu'il en soit, mon père n'en saura rien. C'est un secret ! Je garde nos informations les plus importantes dans un coffre fort, je le lui donnerai lorsque Luffy sera devenu le roi des pirates; et qui sait, il me laissera enfin une place en tant que journaliste indépendante. »
« Qu'elle merveilleuse idée ! »
Sanji fait volte-face, une carotte à la main qu'il épluche.
« Je t'imagine déjà écrire des articles sur nous et notre mariage ! Tu serais si mignonne avec un clapet et un trench-coat ! La plus belle des journalistes ! »
Son enthousiasme me m'arrache un gloussement. Je me cache derrière mon poing, l'expression hilare avec mes yeux plissés. Sanji continue son monologue et, l'espace d'une seconde, je crois même apercevoir des coeurs à la place de ses yeux, de gros coeurs palpitant et d'un rose pétillant. Mes doigts se retrouvent et, nerveusement, je me mets à les triturer. Sanji abandonne sa carotte épluchée, il s'en saisit d'une autre sans pour autant arrêter de me sourire.
« Je n'en suis pas encore à là, mais un jour, oui, sûrement... » je murmure.
Sanji me sourit grandement.
« Tu es si talentueuse, ça ne fait aucun doute, ma douce ! »
Je termine de boire le fond de mon chocolat chaud et dépose la tasse au coeur de mon assiette vide. Mon goûter conclut, je me dépêche donc de rendre la vaisselle à Sanji. L'assiette et la tasse assemblées en cette jolie sculpture, je me lève de la table à manger du Sunny et marche en direction de la cuisine pour les lui rendre.
« Merci beaucoup Sanji, c'était délicieux. »
Il me regarde d'un œil curieux.
Sanji se dépêche de poser la pomme de terre qu'il épluche et de me vider les mains. Surprise, je le laisse faire.
« Laisse moi m'occuper de ça, c'est mon travail. »
« Oh⸺ mais je peux m'en charger, tu sais ? Ça ne me dérange pas. »
« Je sais. » il répond, un petit rictus au coin des lèvres. « Mais c'est mon plaisir. »
« Mhh, d'accord alors. »
Me voyant approcher, Sanji se penche sur moi, il tourne légèrement la tête sur le côté et accueillit mon baiser à bras ouvert. Ce sont les mains dans le dos, posée sur la pointe de mes pieds que j'embrasse sa joue. Toutefois, cela ne me suffit pas. C'est soudain; j'en désire plus. Un simple baiser me paraît bien trop maigre pour remercier Sanji de tout ce qu'il fait au sein du Sunny, pas seulement auprès de moi, lorsque mes après-midis s'écoulent à ses côtés et qu'il prend le temps de discuter avec moi et de me donner à manger, non, il y a tout le reste. Sa position sur le navire, sa détermination et force. Alors qu'il se tient devant moi, aussi aimant, aussi attentif, je ne peux m'empêcher de l'aimer davantage. Pire encore, j'ai l'impression de retomber amoureuse de lui. J'attrape donc son visage en coupe, et embrasse ses lèvres.
Nos bouches se rencontrent dans un délicat baiser. Il est bref, ne voit le jour que pendant à peine deux petites secondes, c'est apparemment le temps qu'il faut à Sanji pour commencer à trembler. La vaisselle entre ses mains se met à frétiller bruyamment. Depuis la paume de mes mains, je sentais sa peau chauffer.
Je me recule une fois satisfaite.
Mes lèvres pincées en une fine ligne, je rejoins mes mains devant mon corps et m'incline légèrement en avant.
« Encore merci, Sanji. Ça m'a fait plaisir. »
Soudain, il m'apparaît en 2D. Sanji tombe en arrière telle une feuille de papier, balancée de droite à gauche guidée par le vent ⸺alors que nous sommes en intérieur ?⸺, avant d'atterrir au sol. J'arque un sourcil. Ses yeux palpitent, tels de cœurs enragés et un sourire béat frôlant l'idiotie s'est incrusté sur ses lèvres. Je le regarde faire, tenant toujours ma vaisselle dans ses mains, il me paraît ailleurs, dans un autre monde. Je l'entends murmurer mon prénom, à l'instar d'une incantation, suivit de "ma jolie", "ma douce" et mon propre cœur s'emballe. Il ne bouge vraiment pas. Sanji est figé sur place.
« Euh, tout va bien..? »
Je me risque à le questionner, ne sachant pas si ce sont ses sottises habituelles, ou si il est temps que j'aille chercher Chopper. C'est une première toutefois : il ne saigne pas du nez. Mais ça, c'est peut-être parce que je ne lui avais pas montré mon décolleté..
Tout de même préoccupée, je refuse de l'abandonner, je me rapproche donc de lui. Cela se déroule en silence. Je contourne sa silhouette élancée pour m'accroupir à côté de son visage et le toucher, Sanji ne répond toujours pas. Le débarrassant de l'assiette de tasse, que je dépose au sol, je me mets à titiller sa joue. Plantant le bout de mon ongle dans l'onctuosité de cette dernière, je répète l'opération, murmurant son prénom au passage, jusqu'à le voir finalement cligner des yeux.
« Tu as besoin que j'appelle Chopper ? »
Sanji a l'air hébété. Un sourire presque immédiat prend place sur son visage lorsque son regard encontre le mien.
« Pourquoi donc ? Je ne me suis jamais sentis aussi bien de ma vie. »
Peu satisfaite de sa réponse, je fais la moue. Pendant ce temps, il apporte ses doigts à ses lèvres. Il semble pensif, il est plongé dans ses pensées.
« Tu n'es vraiment pas croyable quand tu t'y mets... »
« Tu t'es inquiétée pour moi, ma douce ? Comme c'est gentil ! Je⸺ »
« Pas croyable, j'ai dit. » je peste.
Je lui donne un petit coup de pied aux côtes, plutôt une bousculade, de manière à le faire taire. Sanji cligne des yeux, cela fait fait son effet.
« Je t'embrasse tout le temps, tu devrais t'y habituer... »
« Quoi ? Jamais ! » il s'offusque.
Sa main se saisit brusquement de la mienne, cela m'arrache un hoquet de surprise.
« Tes lèvres sont le nectar le plus délicieux qu'il m'ait été donné de goûter. Si il m'arrive un jour de m'en lasser, alors je suis devenu fou, j'ai perdu ma raison de vivre. Car pour rien au monde je ne voudrais m'en séparer, si ça ne tenait qu'à moi je⸺ »
Furieusement gênée, je m'éloigne.
« J'ai compris ! »
Je cache ensuite mon visage derrière mes mains, espérant qu'en faisant ceci, il comprenne mon embarras et cesse son numéro. Qu'est-ce qu'il peut être charmeur quand il s'y met, je peine à y croire ! Mon corps se redresse de lui-même, j'entends Sanji m'imiter. La vaisselle et le dîner sont depuis longtemps abandonnés.
« Ne sois pas embarrassée, je t'en prie, ma douce. Je ne fais que dire la vérité. »
Il se saisit de mes avants-bras et les abaisse de manière à faire tomber mon masque. Face au sérieux de son expression, je suis incapable de tourner la tête, c'est à mon tour de me retrouver figée sur place. Sanji me sourit timidement et se rapproche de moi.
« Puis-je en avoir un autre ? »
« Un⸺ Un quoi ? »
Il pointe ses lèvres de son index.
« Oh⸺ »
Mon cœur bat si vite désormais... J'ai l'impression que des tambours palpitent en mon sein. Rythmés et puissants, ils s'en vont jusqu'à faire trembler mes tympans, et faire tressaillir ma jugulaire.
« Je⸺ Je suppose. »
« Tu pourras travailler sereinement après, je te laisserai tranquille. »
« D'accord... »
Je me pose sur la pointe des pieds, et tandis que abaisse son visage dans ma direction.
Sanji m'embrasse.
Mes yeux se ferment et nos lèvres se touchent de nouveau, encore une fois dans un baiser si tendre et amoureux... Il s'est approché de moi, consciencieux, puis s'est emparé de ma bouche, sans avoir cessé de me contempler. Ça n'a rien à voir avec un baiser sensuel, plein de vie voire empestants la luxure. Ici, non, c'est totalement différent. La manière dont Sanji tient mes poignets entre ses mains, celle dont il se colle à moi, sans pour autant se frotter. Il est entièrement focalisé sur notre échange. Sûrement a-t-il lui aussi fermé les yeux. Mes doigts se referment jusqu'à former des poings et mes sourcils se froncent. Malgré moi, je gémis contre lui, Sanji me répond dans un grognement et, à cela, nos langues se frôlent.
Il m'emporte ailleurs. Des portes s'ouvrent sur une toute autre dimension. Je sens le vent me caresser les cheveux, une chaleur me dévorer l'estomac et mes pieds se faire léger. Ce... C'est indescriptible. Je m'accroche à ce sentiment jusqu'à en redemander plus.
Sanji m'a fiévreusement embrassée. Lorsque je le force à se séparer de moi, il me laisse bouche bée. Je suis sans mot; haletante, le visage couvert de gêne.
J'ai les yeux grands ouverts.
« Je crois⸺ »
« Je vais⸺ »
Nos regards se croisent, puis, à l'unisson nous parlons :
« Toi d'abord ! »
Nous rions.
« Je.. je t'en prie ma douce. » déclare Sanji en relâchant mes poignets. « À toi l'honneur. »
« Je⸺ Je disais... Je vais⸺ Je vais retourner travailler ? » je balbutie, tant bien que mal.v« Enfin⸺ Poster ma lettre ? Mon père doit attendre. Enfin non ! Le Martin facteur, je.. je veux dire. »
« Oui et, quant à moi je⸺ j'ai le dîner à finir de préparer. Alors⸺ »
« Oui ! »
« Oui, oui ! »
Sanji et moi échangeons un coup d'œil. Un petit rire s'échappe de mes lèvres, il m'imite et cela me fait sourire, malgré le fait qu'il a l'air totalement paniqué. Sanji est tout rouge. Ses joues sont rosies au possible, c'en est stupéfiant. Plus je le regarde, et plus j'ai envie de⸺
Un grand fracas nous arrête.
Surpris, nous faisons volte-face en direction de l'entrée de la cuisine, là où la porte a violemment été ouverte. Celle-ci claque contre le mur. Une seconde plus tard, les silhouettes de notre capitaine et du canonnier y font leur apparition.
« Sanji ! » se lamente Luffy. « J'ai faim ! »
C'est mon signal. Jetant un dernier coup d'œil à Sanji, je presse le pas jusqu'à atteindre ma pochette sur la table. Il est à présent bien trop occupé pour me remarquer, c'est dommage... Ma pochette n'a pas bougé depuis que je l'ai refermée. Elle y est abandonnée. Je la visse donc contre ma poitrine, évitant le regard lourd de suspicions de Usopp au passage et profite des plaintes poussées par notre capitaine pour prendre la poudre d'escampette. J'entends Sanji élever la voix et Luffy s'écrier ⸺plutôt le supplier⸺, les deux ne tardent pas à se chamailler. Apprendre que Luffy s'est jeté sur le frigo ne me surprendrait pas, il a toujours été un énergumène sacrément gourmand..
Je referme la porte de la cuisine derrière moi et me dépêche de descendre les escaliers menant au pont principal du Sunny. Ensuite, je fuis jusqu'à rejoindre ma chambre à coucher. C'est le cœur battant à mille à l'heure et l'esprit embrumé que je marche. La sensation des lèvres du joli blond imprimée dans ma tête, et la chaleur de ses doigts enroulés autour de mes poignets hantant mes souvenirs, je commencé à sourire.
Il me tarde d'écrire mon prochain article. Qui sait.. Peut-être que celui-ci lui sera dédié..?
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lilias42 · 2 months
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De nouveau merci à @ladyniniane pour le tag !
Pourquoi avoir choisi ton url ? J'ai toujours utilisé ce pseudo "Lilias42" où que je sois depuis toute petite alors, j'ai continué. ça vient du pokémon Lilia car je trouvais son nom joli mais, ça devait être déjà pris alors, j'ai rajouté un "S"
Des blogs annexes ? Aucun. J'avais pensé à un moment de m'en créer un pour poster les fiches que j'avais faites pour mon master, ça aurait centralisé toutes les informations en français mais, étant donné que j'ai des photos sous licence, ce serait limite-limite niveau légalité et droit d'auteur et je n'ai plus vraiment l'énergie pour le faire. Un jour peut-être alors.
Depuis combien de temps es-tu sur Tumblr ? D'après mes archives, juillet 2021... nom d'une aile que le temps passe vite !
Avez-vous une balise de file d'attente / queue tag ? J'ai pas mal de brouillons mais, pas de fil d'attente en cours ou de tag spécifique pour ça. Sinon, je note toujours mon travail avec un tag "écriture de curieuse" / "dessin de curieuse" / "[insérer type de sujet de billet possible] de curieuse" ... histoire de retrouver ce que j'ai fait auparavant
Pourquoi as-tu commencé ton blog ? Je crois que je voulais accéder à certains blogs bloquant les anonymes et pour rebloguer des billets que j'aimais bien
Pourquoi as-tu choisi ton icône / pfp ? Il s'agit d'Aura, mon plus vieil OC que j'utilise aussi souvent pour me représenter. Avant, c'était Castti Florenz, mon personnage préféré d'Octopath Traveler II. C'était une image officielle que je trouvais joli, et ça m'évitait d'avoir de potentiels ennuis en reprenant un fanart, hors de question de voler quelqu'un.
Pourquoi avoir choisi ton en-tête ? C'est une image officielle de Sothis dans Fire Emblem Three House. Son personnage a un TAS de problème mais, je trouvais cette image cool, elle est officielle en accès libre et comme mon blog parle surtout de ce jeu et de mes fanfics autour, ceci explique cela !
Quel est ton article avec le plus de notes ? Alors là... aucune maudite idée... peut-être mon billet sur l'origine de Pan vu qu'il a été reblogué par le compte officiel de la semaine spécial OC. Mes dessins semblent plus intéressé que mes écrits en tout cas mais, c'est surement parce que c'est plus facile à comprendre que des billets de plus de 50 pages de Word écrit en français, les dessins sont plus universels...
Combien de mutuelles avez-vous ? Les mutuels, c'est les gens qui sont abonnés à nous et où on est nous-mêmes abonnés à eux , c'est ça ? Alors... tatata... on est 6 !
Combien d'abonné as-tu ? On est 18 à bord ! Aucune idée de comment on a pu être aussi nombreux sur un blog avec surtout du texte, des dessins de personnes tordues et écrit en français mais, je trouve ça déjà énorme ! Merci beaucoup tout le monde !
Combien de personnes suivez-vous ? 88 abonnement en tout ! J'essaye de ne pas suivre trop de monde afin de ne pas encombré mon fil d'actualité et pouvoir en lire un maximum, d'où le fait que je ne m'abonne pas souvent à ceux qui me suivent.
Avez-vous déjà écrit un shitpost ? Des billets critiques assez énervées au sujet d'une scène ou d'un élément de 3nopes d'une histoire que je trouvais mal fait, oui, c'est déjà arrivé, même si j'argumente toujours et je ne crache pas sans raison sur un truc. Mais écrire quelque chose d'énerver, pour troller gratuitement des gens qui n'ont rien demandé ou juste cracher sur quelque chose sans argument ? Non, et je n'ai pas envie d'en faire, je trouverais ça profondément crétin de juste cracher sur quelque chose sans justifier pourquoi je pense que c'est mauvais, encore plus si c'est juste pour énerver les gens, pour ensuite retomber dessus et me dire que j'ai craché ma haine stupidement juste pour cracher. Je préfère garder mes billets et mon énergie pour des trucs que j'aime ou que je trouve drôle. Quitte à m'énerver, je m'énerve dans mon coin et ça en reste-là, ça reste pas gravé dans les méandres d'internet.
A quelle fréquence utilisez-vous Tumblr chaque jour ? Plusieurs fois par jour, surtout que c'est le seul "réseau social" que j'utilise et où je poste.
Vous êtes-vous déjà disputé avec un autre blogueur ? Non, et je n'espère pas que ça arrivera. De toute façon, dès que je voie certains utilisateurs qui ont l'air d'être nerveux ou juste là pour se battre avec tout le monde, je les bloque à vue histoire de rester tranquille. En plus, la plupart des temps, c'est des anglophones que je bloque alors, se disputer dans deux langues différentes en devant traduire un drama, ce qui apporte toooouuus les risques de mal interprété les choses car, certains mots n'ont pas la même portée en français qu'en anglais... c'est bon, ce serait une pure perte de temps et j'ai des choses plus intéressantes à faire de mon temps que me battre sur internet avec des gens à l'autre bout de la planète que je ne connais même pas, tout en sachant que de toute façon, ça finira avec personne qui ne bouge sur ses positions.
Que pensez-vous des messages du type "tu dois rebloguer ceci" ? Quand c'est des gens que je ne connais pas, c'est de l'eau sur les plumes d'un canard, ça ne me fait ni chaud ni froid et de toute façon, soit j'aurais la flemme d'encombrer mon blog avec, soit j'oublierai. Déjà que je reblogue rarement...
Aimez-vous les jeux de tags ? Oui !
Aimez-vous les jeux de questions ? Evidemment ! Aucune idée où les trouver directement sur Tumblr à part au petit bonheur la chance et quand j'en trouve un, j'oublie souvent de le rebloguer en le mettant dans mes favoris ou en brouillon mais, j'aime bien ça !
Lequel de vos mutuels est célèbre sur Tumblr ? Vu qu'on ne peut pas voir le nombre d'abonné des gens, aucune idée. J'aurais bien ma petite idée sur qui pourrait l'être mais bon, c'est un peu le cadet de mes soucis. En plus, est-ce que c'est si important que ça ? On est là pour s'amuser et parler de fandom, ce n'est pas une course à la popularité.
Vous avez le béguin pour un mutuel ? Non.
Des tags ? Alors... voyons... allez @mwezina , @fuckingferalhawks , @sinniel ! C'est déjà pas mal ! Et évidemment, tout ceux qui ont envie de faire le test, n'hésitez pas !
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les-cris-des-fendues · 6 months
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Ph. la bouquiniste - Dans le jardin de l'hôtel Pams à Perpignan
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Ô-O Punaise... Qu'est ce qu'il s'est passé depuis le XIIIème siècle??
Et pourtant Jean de Meung fut attaqué de tous côtés, notamment par Christine de Pisan entre autres à propos de son "Roman de la Rose" où Jean soulignerait de façon fort peu chevaleresque tous les soit-dits défauts des femmes. Il "passait" pour un être fort peu respectueux des us et coutumes de son temps, ceci expliquant peut-être cela... Je vais lire ce fameux roman de la Rose, ne serait-ce que pour ne pas parler moi aussi, dans le vent...
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claudehenrion · 8 months
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La mondialisation heureuse ou la fin d'un mythe...
Pour bien comprendre le sens de l'évolution du monde actuel, que certains qualifient de ''moderne'' (en perdant de vue que la modernité, dit Larousse, est un concept désignant l’idée d'agir en conformité avec son temps et non plus en fonction de valeurs, considérées de facto comme ''dépassées''), il faut remonter à Napoléon Ier. Même si cela peut paraître étrange à certains, cet immense génie, aujourd'hui décrié, vilipendé et ostracisé par une Gauche qui a entre temps perdu son âme, toute justification, et sa raison d'être (ceci expliquant sans doute cela !), fut en son temps assimilé au libérateur de toute humanité...
Un vent de liberté avait alors soufflé de France, et le monde entier allait en profiter –naissance de dangereux thème du ''paradis sur terre'', laïcisé par les Lumières : à la seule annonce de la bonne nouvelle, les armées s'effondreraient, les rois s'enfuiraient, les sociétés se déliteraient, les vieux interdits sauteraient à la grande satisfaction des opprimés, les religions disparaîtraient.. Hegel, reflet de son temps, dira que ''devant l'entreprise napoléonienne, il savait qu'il assistait à la fin de l'Histoire'', raconte Alexandre Kojève, spécialiste de ce philosophe : il voyait là l'unification des peuples et 'entrée du monde dans une paix perpétuelle... Et lorsqu'il a entendu les sabots du cheval de l'Empereur en route pour Iéna (où la Prusse allait être écrasée) frapper le sol devant sa maison, il a écrit ''la Phénoménologie de l'esprit'' (1807) : le monde, l'humanité, l'esprit et l'Histoire prenaient enfin un sens, leur sens. Cette idée du ''sens de l'histoire'' va ruiner les 250 ans suivants.
Dans cet ouvrage qui l'a rendu célèbre, il développe une théorie de l'histoire universelle qui trouve sa réalisation objective dans l'État, qu'il voit comme une organisation juridique capable de réaliser la liberté qui est son essence, c'est-à-dire : dans ce qu'elle était déjà, en germe. ''Ce qui est rationnel est réel, et ce qui est réel est rationnel'', explique Hegel dans ''Principes de la philosophie du droit'', 1820), formule qui condense l'audace philosophique de cet homme dont l'ambition aura été de surmonter la déchirure entre l'esprit et le monde et de réconcilier définitivement la raison et le réel. En ce sens, on peut voir en lui un père historique de toute ''mondialisation''.Le vecteur indirect qu'était le triomphe napoléonien de la Révolution française, outre rendre leur sens à l'Histoire et à la Liberté, allait tout rendre clair et possible : c'était la fin des conflits, la fin de la dialectique, Napoléon était ''l'âme du monde'' qui allait enfin se réaliser, sous les drapeaux de sa victoire... (NDLR - On retrouve là des intonations du début de l'Ouverture ''1812'' de Tchaïkowski, avant l'effondrement final). Après la fin catastrophique de l'aventure napoléonienne, Hegel admit s'être trompé mais n'abandonna pas pour autant sa foi dans une Raison qui gouvernerait l'Histoire (les majuscules sont de lui).
Dans les années 1970, il aurait fini par déchanter devant l'échec incompréhensible (et retentissant) de l'Occident cultivé à faire advenir le règne de la raison, la fin de la barbarie et le temps de la paix... alors que De Gaulle, Schuman, Adenauer, Spaak et de Gasperi tentaient de démontrer le contraire, grâce à une paix et une harmonie qui durent depuis bientôt 80 ans, mais uniquement à cause de la menace nucléaire qui établit une ligne rouge à ce jour infranchissable, même dans l'imbroglio russo-ukrainien.
D'ailleurs, souvenez-vous : lorsque le mur de Berlin est tombé, entraînant l'enfer communiste dans sa géhenne, le monde s'est remis à croire aux chimères, et Francis Fukuyama a écrit en 1992, à l'antipode des analyses marxistes, un des livres marquants du XXème siècle, ''La fin de l'Histoire'' : le communisme mort, plus rien ne ralentirait la marche du monde vers la paix, et tous les peuples ''sous développés'', Chine en tête, allaient enfin devenir ''des américains comme les autres'', des démocrates, des capitalistes... et que sais-je, encore ! Tiens : des mondialistes heureux, peut-être ? 
C'était trop beau ! Dès 1996, un autre livre marquant du XX ème siècle, ''Le Choc des Civilisations'', de Samuel Huntington, remettait à nouveau en question le mythe mortifère de la ''Mondialisation heureuse'', et le 11 septembre 2001 ouvrait grands les yeux des derniers rêveurs : ''Le choc des civilisations'' était la seule réalité palpable ! Le monde se réveille trop lentement de ce long cauchemar : la soi-disant ''mondialisation heureuse'' --qui sert encore de drogue à toute la génération qui s'est installée aux commandes pour notre malheur, dont notre Président, ce ''progressiste-rétrograde'' bon teint--, était une vue de l'esprit et, pire encore, vraiment pas souhaitable : les faux ''artisans de la Paix'' n'étaient que des esprits pervers, des faiseurs de mythes, des prêcheurs de vent, des prophètes de malheur... et de piètres ''leaders''.
Aujourd'hui, l'Occident déchante : il s'est trompé sur à peu près tout –ou... on l'a trompé : les ''valeurs'' qu'on lui a imposées n'en étaient pas, et il n'était ''un modèle'' pour personne ! Comme chaque année, avant la réunion des puissants de la planète à Davos pour fabriquer d'autres non-solutions épouvantables, le World Economic Forum vient de publier son Global Risk Report 2024, et la conclusion des 1 500 experts (?) internationaux interrogés est inquiétante : "Les perspectives mondiales se dégradent", et 30% du panel s’attend à "une catastrophe mondiale" dans les 2 ans --53% dans les 10 ans. Ambiance ! Et nos paysans qui, histoire d'enfoncer encore plus le clou, confirment que nos ''intelligences'' stupides avaient tout faux !
Parallèlement, le baromètre annuel d’Ipsos : "Prédictions dans 33 pays de l’OCDE'' nous apprend que ''les français (restent) plus pessimistes que les autres''. Il faut dire que nos dirigeants, confits dans leur absurde dévotion pour une Europe qui n'existera jamais telle qu'ils la fantasment (et c'est tant mieux) se propulsent systématiquement aux avant-postes de... tout ce qu'il ne faut surtout pas faire... Depuis le temps qu'on l'annonçait, le monde des fous est parmi nous !
Nous avons laissé être construit ou plutôt dé-construit autour de nous un enfer qui ressemble plus à une dystopie inventée par des ''cavaliers de l'apocalypse'' mandatés par les puissances infernales, qu'à un pas de plus vers le Paradis, quel qu'il soit. On doit le regretter... mais on ne peut pas rester ''les deux pieds dans le même sabot'', car il est temps, encore, de sortir de ce piège diabolique dans lequel nos gouvernants et une ''l'intelligentzia'' bête à en pleurer et indignes de leurs missions, voulaient nous enfermer, dans un grand plongeon dans le néant qu'ils nous ont préparé... sans voir que c'est devant eux, qu'ils l'ouvraient, ces cons !
Le résultat est là : la coupe est pleine, partout, pour tous, dans tous les pays, et il va falloir ''replier la voilure'' dans l'improvisation... car dans leur certitude d'avoir raison à quelques uns contre le monde entier... ils n'ont pas de ''Plan B''. Tant pis : mieux vaut une improvisation que le cul-de-sac mortel auquel la poursuite des errements actuels nous condamnait... L'immense majorité des européens se réveille ? Juste avant les élections, c'est bon signe : ''la mondialisation heureuse'' était un mensonge. Comme tout le reste. Nous le répétons presque chaque jour depuis 10 ans !
H-Cl.
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swedesinstockholm · 3 months
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24 juin
j'arrive à me faire pleurer from scratch rien qu'en pensant à lui maintenant. ce matin quand j'ai dit à la kiné que j'avais décidé d'aller à berlin elle m'a dit qu'elle pensait que c'était la bonne décision, que c'était une excellente décision, il était TEMPS lara. je me suis dit que si même la kiné qui m'a vue trois fois dans sa vie avait deviné à quel point j'avais besoin de partir d'ici, c'était la seule décision à prendre. et puis cet après-midi je l'ai dit à la secrétaire du dentiste et elle avait l'air nettement moins enthousiaste, elle a dit et tu vas déménager toutes tes affaires là-bas? comme si c'était une idée totalement saugrenue de partir vivre si loin. et puis le dentiste a mentionné la pharmacie hildegarde à bruxelles et j'ai été prise d'un horrible doute qui avait le même goût amer chimique dégueulasse que la substance que j'avais dans la bouche une fois qu'il a eu fini de recoudre le trou dans ma gencive avec du fil. alors je me dis que je peux y rester un an par exemple, le temps de sortir du trou. j'aurai pris de l'élan, je serai prête pour bruxelles. un an ça passe vite. un an c'est le temps qui s'est écoulé entre la première fois que j'ai vu r. et dimanche dernier quand il est venu à la maison. hier soir o. a mentionné une amie à lui qui est interprète au parlement européen et qui gagne beaucoup beaucoup d'argent et je me suis dit que je pourrais profiter de ma relocalisation à berlin pour devenir parfaitement germanophone et tenter de devenir traductrice ou interprète aux communautés européennes à bx. c'était déjà mon plan b au lycée (je me rappelle plus de mon plan a par contre, je crois que j'ai jamais eu de plan a, ceci explique cela) mais il n'est jamais trop tard pour le mettre en oeuvre.
à part ça pendant que le dentiste faisait des trous dans ma gencive j'avais de nouveau envie qu'il me touche le plus possible, je me concentrais sur sa main qui me tenait fermement mais délicatement la mâchoire, sur ses doigts dans ma bouche et ses autres doigts qui me frôlaient la joue, je sentais son ventre contre mon côté droit quand il a forcé pour extraire les racines et je disais plus près, plus près. j'étais presque déçue quand il a dit ça y est c'est terminé. ce matin la kiné m'a massé le ventre avec ses mains chaudes et c'était agréable aussi mais ça m'a pas fait le même effet de TOUCHE-MOI.
j'arrête pas de pleurer et c'est même plus juste à cause de r. je pleure parce que m. est montée au lit me laissant seule devant c ce soir et je sais pas quand je vais la revoir. je veux pas être loin d'elle et je veux pas être loin de r. même si j'ai vu r. que cinq fois en un an alors qu'on habite à trois heures de train, je veux pas faire baisser ce chiffre en partant encore plus loin. et je sais que m. m'aime, mais quand elle est montée au lit on aurait dit qu'elle en avait un peu rien à foutre. j'ai toujours l'impression que je suis beaucoup moins importante pour elle qu'elle ne l'est pour moi. j'espère qu'à berlin j'apprendrai à pas rester seule dans mon coin avec mon chagrin, que les soirs où j'irai mal j'arriverai à le faire savoir et qu'on regardera schitt's creek dans le lit de n. en mangeant de la glace au chocolat florida eis comme l'été dernier suite aux messages de r. peut être qu'emménager dans une coloc est la meilleure chose que je puisse faire en fait. j'aime pas être seule. et si j'arrête pas de pleurer c'est parce qu'un rien me chamboule et qu'aujourd'hui m. a eu son permis et demain elle aura probablement un travail et moi j'habiterai plus à la maison et l'ordre des choses sera chamboulé alors évidemment que je pleure. quand je suis rentrée du dentiste et qu'elle est rentrée de son examen de conduite on a descendu tout un pot de glace au chocolat dans la cuisine.
26 juin
at 33 she moved to berlin to get over a heartbreak. à une période la page wikipedia de sophie calle disait: elle s’est installée à new york pour sublimer sa douleur. moi je veux pas la sublimer ma douleur, je veux juste l'oublier. l'enterrer. faire une petite cérémonie pour lui dire au revoir, comme la fois où je m'étais coupé les cheveux très courts à berlin et le coiffeur hippie m'avait dit d'aller enterrer mes vieux cheveux au görlitzer park. adieu le sous-sol et le coeur brisé, bienvenue à la nouvelle moi fonctionnelle et sophistiquée. je connais pas l'étymologie de ce mot mais sophia = sagesse et j'aime bien lui donner ce sens-là. je veux être sage avec style. plus j'y pense et plus je me dis que j'ai envie de faire quelque chose de mon déménagement à berlin. she moved to berlin to get over her broken heart. ok, et après? m'inspirer de sophie calle et miranda july dans leur façon de jouer avec leur vie dans leur art et de tout entremêler.
dans all fours miranda july classe les gens dans deux catégories: les parkers et les drivers. la narratrice est une parker, c'est-à-dire quelqu'un qui ne sait pas se contenter d'une vie tranquille qui va tout droit, mais quelqu'un qui a besoin de Faire des choses parce qu'elle a besoin de reconnaissance. elle a besoin d'accomplir parce qu'elle a besoin d'être admirée. elle a besoin de se sentir comme le special snowflake. moi je crois que je suis une parker contrariée. quand j'étais en islande en 2015 j'avais écrit en grand i wanna live the spectacular way. je veux une vie spectaculaire ou rien du tout. finalement j'ai choisi rien du tout, mais d'une certaine manière ça peut aussi être considéré comme spectaculaire. tout ça pour dire que je veux me trouver un projet pour berlin. préférablement un projet qui me fera rencontrer des gens. je sais pas, devenir quelqu'un d'autre, suivre quelqu'un, m'investir à fond dans le petit boulot que je trouverai, trouver un sujet d'enquête, refaire un special show mais dehors, ou un essay film comme heart of a dog de laurie anderson. je l'ai revu hier soir parce qu'on en avait parlé avec r. quand il était là, je lui envoyais des petites vidéos de mes moments préférés et il m'a répondu merci, c'est tout, alors que je voyais qu'il était en ligne, donc en train d'écrire à quelqu'un d'autre. j'avais envie de vomir de jalousie et puis j'avais envie de vomir de honte de ma jalousie. j'ai passé la soirée à checker mon téléphone et à chaque fois que je voyais qu'il était toujours en ligne j'avais l'impression d'avoir un taille-crayon dans le ventre qui me taillait mon estomac en le faisant tourner sur lui-même.
she moved to berlin to have sex with a girl. she moved to berlin to escape her past. quand r. était là je me suis rendu compte à quel point je vivais imbibée dans le passé ici. il s'est moqué de moi parce que je faisais que dire que c'était mieux avant, avant y avait pas tous ces immeubles immondes sur la place et là-bas y avait une rue et le bar où on sortait quand j'étais au lycée et au fond de ma rue y avait une clairière et un petit bois où j'avais ma cabane et ils ont tout rasé pour faire des immeubles moches comme partout et avant la cuisine était noire et vert sapin et c'était la maison de mes grands-parents mais ils sont morts et puis je l'ai emmené au cimetière for god's sake. sans oublier ma spectaculaire collection de journaux exposés sur mon étagère pour toujours avoir le passé à portée de main. je les aurai pas avec moi à berlin.
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sporcafaccenda · 1 year
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Simon ARBELLOT "Les hallucinés des Gobelins" Le Masque 554, LCE 1956
》》(….)Allons, allons, il n'était tout de même plus un enfant et une ou deux lampes allumées ne signifiaient pas la fin du monde. Et en mettant les choses au pire, le cambrioleur était sûrement parti. Y avait-il même un cambrioleur ? Il allait en avoir le cœur net, que diable! Et bravement, la canne à la main, il traversa le vestibule, arriva au salon et, d'un geste décidé, ouvrit la porte vitrée. Il recula, effrayé : là, au milieu de la pièce, un homme immobile était assis dans un fauteuil, le regard dur fixé sur lui. C'était un être sinistre: vêtu, coiffé, ganté de noir, le visage glabre et maigre avec deux yeux brillants de fièvre et qui s'était levé d'un bond au moment où la porte s'ouvrait, sa haute silhouette sembla vaciller et, tout d'une pièce, le corps raidi,la face en avant, sans proférer le moindre son , il tomba sur le tapis. Tout ceci se passa en moins d'une seconde, avant même que M.Barfleur ait pu ouvrir la bouche pour lui crier: "Qui êtes-vous ? Que faites-vous chez moi?" Les mots s'étaient arrêtés dans sa gorge. Il se tenait là maintenant, stupide et sans voix, devant ce long corps noir étendu sur le tapis d'Aubusson. En rentrant, au matin, dans l'appartement, les domestiques trouvèrent leur maître prostré et hagard dans un coin du salon, les yeux fixés sur le visiteur nocturne. L'émotion avait été trop forte. Deux jours après, M.Barfleur mourait de trouble nerveux, à la maison de Santé où il avait été transporté d'urgence, sans avoir pu expliquer aux enquêteurs la présence chez lui, en cette nuit de janvier, de l'Homme en Noir.》》
Brrrr. Quelle frousse dès le début….😱 Une enquête où nous retrouvons Picot, passé commissaire, et Jacques Boivin, son ami des Beaux-Arts; les enquêteurs du "Mystère du Dragon d'Or" sont à nouveau à pied d'oeuvre.
Une bien étrange affaire, en vérité, où plusieurs victimes de chantage ou d'extorsion finissent par se suicider ou décéder de curieuse façon. Toujours, un personnage différent, insaisissable, inconnu de la Justice, semble avoir été mêlé aux événements, peut-être guidé par une main invisible, hypnotisé ? Mesmerisé?😬 Les victimes, quant à elles, semblent avoir un passé qui n'a pas toujours été exempt de tous reproches. Seraient-elles les cibles d'une vengeance? Picot et Boivin prennent la piste d'une oeuvre de Charité et de Bienfaisance - "Les Amis de la Vérité " - installée aux Gobelins. Que se passe-t-il derrière la façade de cette organisation marrainée par la richissime et alcoolique Lady Graham? Etc…
Comme dans "Le Mystère du Dragon d'Or", l'action est censée se passer en 1950, mais tout fleure bon les années 1920/30 - les conceptions, les protagonistes, les descriptions… En ce qui me concerne, cela redouble plutôt l'intérêt du roman.
Art: La façade occidentale des Gobelins Aquarelle anonyme, 1823
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#Simon Arbellot #Le Masque #Mystery
#romans policiers
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J19▪️ Hohenroda - Hünfeld
29,0 km [422,5]▫️+695 m [+8 955]▫️19 °C
Ce qui était chouette aujourd’hui, en plus des gros nuages gris et des gouttes qui tombaient du ciel, c’était le vent à décorner les bœufs qui soufflait par épisode. S’arc-bouter, s’accrocher à son chapeau, marcher sur un parterre de feuilles et de branches cassées, enjamber un arbre fraîchement tombé avant notre passage (le « avant » est important pour la poursuite du blog) sont des activités ludiques qui agrémentent aimablement une longue journée de marche.
Nous avons aussi changé de baliseurs. Au lieu de croix blanches peintes sur les arbres, nous avons de beaux carrés imprimés 6x6 avec pour nous, le drapeau européen entourant un “E6” (le nom de code de notre chemin), mais aussi une belle coquille de Saint-Jacques, et quelques autres symboles de circuits que nous ignorons. C’est peut-être un détail pour vous… mais, pour nous sur les chemins des heures durant, c’est un grand changement. Nous entrons aussi dans le massif de la Rhön, qui abrite une réserve de biosphère reconnue par l'UNESCO. Ceci explique peut-être cela.
Une dernière bourrasque nous pousse jusqu’à Hünfeld. Petite bière à la terrasse de l’hôtel à la faveur d’une éclaircie, puis check-in. En général, la déco des hôtels est très orientée folklore régional, « Heimat » comme on dit ici. Mais là non. Deux énormes motos trônent dans le hall, des casques et des blousons sont à la vente… Quand nous prenons l’ascenseur, au lieu de monter au 1, il descend au K. La porte s’ouvre sur un parking plein de grosses cylindrées et nous nous retrouvons en face de trois vieux bikers tatoués de la plus belle espèce. En fait, à part nous, ridicules usagers de la bipédie, tout l’hôtel est plein de bikers et de bikeuses. Leurs T-shirt route 66 et leurs gilets de cuir Harley-Davidson ne laissent aucun doute. Le tourisme local a bien compris le potentiel économique de ces vieux motards attirés par les routes sinueuses de la Rhön et leur ont concocté des circuits et des points d’étapes adaptés. M’est avis qu’on aura l’occasion d’entendre passer ces hordes sauvages de vieux papis dans les jours prochains.
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christophe76460 · 29 days
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Délivre-nous de la bénédiction ! CJP
Je sais vous êtes interpellé par ce titre. C’est l’idée ! Et vous vous demandez ce que je peux bien vouloir dire par « Délivre-nous de la bénédiction ! »
Expliquons d’abord, qu’un serviteur n’est pas là pour se servir lui-même, mais pour servir Son maître.
Ce qui signifie qu’il n’est pas là pour rechercher sa volonté, avant tout, mais celle de Son maître.
Le problème de beaucoup de chrétiens est qu’ils veulent vivre pour eux avant de vivre pour christ !
Et l’Evangile n’est pas supposé marcher selon ces règles.
Mais vous allez me dire : le Seigneur ne veut-il pas nous faire prospérer à tous égard, ne veut-il pas nous donner ce que notre cœur désire, etc. ?
Bien sûr ! Mais Il veut nous le donner en conséquence de rechercher à le servir en priorité et non de SE servir.
C’est ce que veut dire le verset, cité plusieurs fois déjà dans mes post : « Cherchez premièrement le royaume de Dieu (on pourrait dire les intérêts de Dieu au dépend de vos propres intérêts) et toutes choses vous seront donnés par dessus ».
Chercher en priorité d’obtenir toutes choses, c’est essayer de faire fonctionner ce principe à l’envers.
C’est ce dans quoi tombent beaucoup de gens avec la prospérité et toutes les bénédictions dont ils ont besoins : ils sont obsédés par être bénis et plus ils le sont moins ils sont bénis.
Cela devient même de la convoitise et une recherche charnelle de la bénédiction, quand ce n’est pas qu’on menace de Dieu de le bouder ou de le quitter s’il ne nous bénit pas...
Comme je l’explique dans mon message : « La joie du Seigneur est ma force », le sens de l’hébreux n’est pas que c’est avant tout le fait que j’ai de la joie qui est ma force, mais que c’est la joie qu’a le Seigneur qui est ma force ?
C’est sa joie à lui d’abord !
C’est à dire que quand je fais en sorte que papa Dieu soit dans la joie, car je recherche ce qui lui est agréable, Sa joie devient ma force.
Le fait qu’Il soit dans la joie ouvre une porte pour qu’Il me bénisse. Comme un père qui cherche ce qu’Il peut faire pour bénir son fils qui fait tout pour lui être agréable.
Il déverse alors cette joie dans mon cœur, certes, mais c’est seulement dans ce sens que la joie que je ressens est ma force.
Ça ne commence pas par MA joie !
Si je cherche à être égoïstement dans la joie sans me soucier que mon père céleste soit dans la joie, j’ai tout à l’envers.
Il y a tout un côté chez les charismatiques qui appuie beaucoup dans ce sens : « Priez pour moi pour que JE ressente ceci ou cela », « l’onction, l’onction, l’onction, plus sur MOI, encore », etc., etc.
À petite dose c’est ok, mais quand c’est une obsession, ça a dérapé. C’est l’esprit de se siècle que de chercher continuellement les sensations et à « s’éclater ».
Transposé sur l’église ça donne que rechercher la présence du Saint-Esprit (oh combien légitime) devient le prétexte à cela.
Il y a certaines grandes bénédictions que j’ai reçues dans ma vie, dont je sais qu’elles sont la conséquence d’avoir servi Dieu pendant tant d’années, mais je sais aussi que si je veux les garder je ne dois pas m’attacher à elles plus que de normale.
Beaucoup de gens perdent la bénédiction car ils s’y attachent et elle devient alors une occasion de chute. Et Dieu doit nous en délivrer !
Oui on peut avoir, selon les cas, besoin d’être délivré de la bénédiction !
Des commentaires talmudiques expliquent que si Dieu a demandé à Abraham d’offrir Isaac sur l’autel ce n’était pas juste pour l’éprouver « gratuitement », mais parce que Abraham, après avoir été sans enfant si longtemps ne voyait plus que par Isaac.
Tout tournait autour d’Isaac. Dieu a du le libérer de cet attachement trop marqué en le ramenant a redéfinir ses priorités.
Quand il a redéfini ses priorités : que servir Dieu passait avant se servir lui-même, il a été encore plus béni !
La bénédiction s’est remise à couler avec force !!!!
Avez-vous besoin de redéfinir vos priorités ?
Courez-vous après la bénédiction avec obsession sans jamais réussir à l’attraper ?
Etes-vous un serviteur ?
Avez-vous l’état d’esprit du serviteur ou vous avez le sentiment de surtout vous servir, d’utiliser Dieu plutôt que de chercher à être utilisé pour les intérêts de Son Royaume, et finalement de tourner en rond ?
Reconcentrez-vous sur les intérêts de Dieu, au détriment des vôtres s’il le faut !
Demandez au Seigneur : « Qu’est-ce qui te ferait plaisir ? »
Parfois Dieu va vous dire : « C’est que tu pardonnes à telle personne qui t’a fait du mal ».
« Heu Seigneur je pensais attendre encore un peu pour ça ».
« C’est que tu utilise cet argent pour faire telle chose ».
« Heu Seigneur je pensais faire telle autre avec ».
« C’est que tu me serves dans tel domaine pour l’instant ».
« Heu, Seigneur je pensais le faire dans tel autre qui me mettait plus en valeur quand même », etc., etc.
Esther, une fois bénie, a du se rappeler, le temps venu, pourquoi elle l’avait été. Son oncle la met en garde de tout perdre si elle n’agissait pas pour intercéder auprès du Roi à l’égard de Son peuple menacé.
Si, comme Abraham, Esther et tant d’enfants, de Dieu la bénédiction a pris trop de place dans votre cœur, la meilleure chose est… que vous en soyez délivré !!!
Si vous avez perdu de vue que vous êtes un serviteur et que la bénédiction n’est pas le but en soi, repositionner-vous devant Dieu.
Oubliez-vous un moment et dites-lui : « Parles Seigneur, ton serviteur écoute ! Conduis-moi et je ferai ta volonté quoi qu’il m’en coûte ! »
CJP / Claude
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grompf3 · 2 months
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Covid en Belgique et journalistes propagandistes de la peur...
Ça faisait un moment que je n'avais pas pris de nouvelles du réalisateur de "Malaria Business" et de "Ceci n'est pas un complot"...
Du coup, je jette un œil sur Facebook et je tombe sur ça :
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Un post repartagé de Christophe de Brouwer.
Ça date d'aujourd'hui, 22 juillet 2024.
Je vous laisse lire l'intégralité du message et je me concentre sur l'intro :
Sur le front du covid et autres en Belgique. Certains de nos journaleux-propagandistes de la peur parlent d'une nouvelle vague ... À part les jolies vagues de la mer, profitez, profitez, le reste ne sont que des vaguelettes, et encore, pour faire vendre du canard plus que faisandé, pourri.
Oulala. "Journaleux-propagandistes de la peur".
C'est terrible ça. Encore une fois les médias qui nous manipulent à coups de publications anxiogènes.
Heureusement que Christophe de Brouwer, professeur honoraire à l'Université Libre de Bruxelle, est là pour dénoncer ces manigances (et que Bernard Crutzen, connu pour ses enquêtes journalistiques de haute volée est là pour donner de la visibilité au message d'origine).
Du coup, j'ai fouillé dans les médias belges pour chercher ce que ces journalistes propagandistes de la peur racontaient pour effrayer le public.
Attention, âmes sensibles s'abstenir.
Vous êtes prévenues les âmes sensibles.
C'est bon ?
Les enfants sont couchés ?
Je peux y aller avec la propagande de la peur ?
Voici donc ce que j'ai trouvé de plus récent sur le sujet, en date du 17 juillet 2024, sur le site de la RTBF :
Coronavirus en Belgique : la circulation est en train de diminuer, selon les derniers chiffres, rassurants, publiés par Sciensano
Prenez le soin de lire l'article dans sa globalité, hein.
J'ai rien trouvé de plus récent. 17 juillet. Et le post Facebook sur les propagandistes de la peur est daté du 22 juillet.
Et sinon ?
Ben on trouve des articles un peu plus anciens qui relatent une hausse des cas de Covid (précision : oui, les cas de Covid étaient à la hausse en Belgique en juin et en début juillet, comme dans d'autres coins en Europe). J'ai pas trouvé sur les site de la RTBF cependant. Alors j'ai regardé sur d'autres gros médias belges.
Alors je trouve des trucs du genre :
Un article de L'Avenir du 19 juin, dans lequel on cite un virologue qui explique :
"Il (le nouveau variant) échappe donc un peu mieux à notre immunité, et c'est probablement à cause de cela que nous connaissons une évolution à la hausse même s'il n'est pas considéré comme une urgence et qu'il n'est pas forcément plus agressif que ses prédécesseurs" (...)
"On peut s'attendre à ce qu'il y ait une vague continue mais modérée durant la période estivale. Ce qui montre que ce virus déjoue les pronostics et ne peut pas être considéré comme endémique ou plus stable comme la grippe, il évolue en effet toujours un peu plus rapidement et se déclare souvent en dehors de l'hiver"
Et on conclut en évoquant une campagne de vaccination pour l'automne qui "concerne principalement les plus de 65 ans, les malades chroniques et les personnes immunodéprimées".
Le 3 juillet, Sud Info titre : "Le nombre d’infections au coronavirus en forte hausse en Belgique : « Il est encore plus facile pour le virus d’échapper à notre immunité »"
On cite le même virologue :
Le scientifique ne se montre toutefois pas excessivement inquiet. Le temps estival devrait normalement permettre de dissiper cette vague d’infections et d’éviter aux hôpitaux d’être submergés. La prudence reste malgré tout de mise. « Toute personne malade doit ainsi rester à la maison ou porter un masque », rappelle ainsi Steven Van Gucht.
Et on trouve d'autres articles du genre, dans les premiers jours de juillet, qui tous se réfèrent à ce même virologue, avec toujours la même conclusion : les chiffres devraient redescendre avec l'arrivée du beau temps.
Ou ça :
Je cite :
Mais en attendant la prochaine phase et face à cette nouvelle recrudescence, devons-nous remettre en place les gestes barrières tels que le port du masque ? "Non, les gens n'ont pas à s'inquiéter, sauf si vous avez une santé fragile ou êtes très sensible aux infections. Si vous êtes malade, il vaut mieux rester à la maison ou porter un masque, et bien sûr, nous encourageons à penser à une bonne ventilation des espaces intérieurs", explique Steven Van Gucht. Son optimisme est également dû au nombre d'hospitalisation qui reste faible malgré l'augmentation des cas. "Les hôpitaux notent une légère augmentation et il y a encore des gens qui doivent être admis, mais ces chiffres restent globalement raisonnables."
Et là, cet article du Soir, je peux pas le lire, il est réservé aux abonnés : "Les chiffres du Covid-19 repartent à la hausse"...
...Mais le chapeau semble assez clair : "12 % de cas en plus mais pas encore de quoi s’alarmer. Évitons cependant de prendre des risques inutiles."
Et on peut consulter le premier paragraphe :
L’Institut de santé publique Sciensano, chargé de la surveillance des virus, confirmait il y a quelques jours l’augmentation du taux de positivité du Covid-19 en Belgique. Le variant circulant actuellement est, depuis décembre dernier, le « JN1 ». Les résultats pour le nouveau variant – celui en provenance des États-Unis, qui est plus facilement transmissible mais moins grave – sont quant à eux toujours en cours d’analyse. « Certes, nous assistons à une augmentation de 12 % du nombre de cas de “JN1” en Belgique (15 % dans le monde), mais il convient de la relativiser », nous explique le Dr Yves Van Laethem, infectiologue, président du Conseil de la Santé. « Il s’agit d’une hausse de 12 % par rapport à… peu de cas.
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Je vous avais prévenu : propagande de la peur, âmes sensibles s'abstenir.
Et sur le site de la RTBF, je vous l'ai dit, je n'ai rien trouvé ces dernières semaines sur cette hausse des cas de Covid en Belgique, à part l'article cité plus haut, "Coronavirus en Belgique : la circulation est en train de diminuer, selon les derniers chiffres, rassurants, publiés par Sciensano"...
Article que la RTBF a d'ailleurs repris dans sa rubrique "Le top des bonnes nouvelles de la semaine, du 15 au 21 juillet : 5 infos qui font du bien" !
Je vous laisse fouiller dans leur site, mais franchement, je pense qu'il n'y a rien d'autre :
Donc voilà pour ces journalistes belges, propagandistes de la peur dénoncés par M le Professeur Honoraire Christophe de Brouwer.
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas ce monsieur, jetez donc un œil à cet article, ça vous donnera une idée de ses méthodes : "Les chiffres de l'Institut de santé publique belge ne démontrent pas une "efficacité négative" des vaccins contre le Covid-19"
Et puis sinon, le profil Facebook vous donnera déjà une bonne idée du personnage (en guise de références : Kairos Presse, Réseau Internationnal, etc.)
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Revenons donc à nos à nos "nos journaleux-propagandistes de la peur."
Le mécanisme ici est un grand classique. Balancer des affirmations sur ce que les médias ont dit... En visant un public qui de toutes manières ne s'intéresse pas à ces fameux médias. On peut donc jouer à "les médias disent ceci" à volonté.
Le public cible n'ira pas vérifier.
Remarquons qu'il y a un autre grand classique dans le genre, encore plus fréquent peut-être. c'est de jouer à "ça les médias n'en parlent pas" pour un sujet qui a pourtant bel et bien été traité dans divers grands médias.
Je vais conclure avec un paradoxe.
La rhétorique de la "manipulation par la peur", qui connaît diverses formulations ("communication anxiogène", etc.)
Vous l'aurez souvent vu passer depuis le début de la pandémie.
On vous manipule. On vous ment. On cherche à vous faire peur.
Mais si vous y réfléchissez, ce "on", regroupe pas mal de monde. Les gouvernements, les médias, les toubibs, les chercheurs, etc.
Tout ce beau monde conspirant contre vous, pour vous imposer des mesures liberticides sans aucune utilité, pour vous priver de traitements efficaces, pour vous injecter une thérapie génique expérimentale sous prétexte de vaccination, etc.
Et ça, si vous y croyez, ça vous fout pas la trouille ?
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daltoncity · 1 year
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Ils manquaient de femmes, au Far West...
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C'est moi ou le cow-boy à l'air particulièrement enthousiaste?
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yes-bernie-stuff · 3 months
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◀ 10 JUIN ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Il leur répondit : « Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. ». Luc 13.2-3
Revenir au message de la croix
Le 7 janvier 2015, la France était secouée et profondément émue par un attentat qui faisait douze victimes. Le commando punitif du mouvement fondamentaliste islamique visait la rédaction du journal « Charlie Hebdo » en répression de son humour satirique envers le prophète Mahomet. À l’époque, nous avions été à contre-courant en expliquant pourquoi nous ne voulions pas nous définir comme : « Je suis Charlie ». Les commentaires qui ont suivi cette pensée nous laissaient croire que nos lecteurs pensaient que nous disions que c’était un jugement de Dieu. Nous n’avions jamais voulu dire cela, d’ailleurs nous avions écrit : « Nous ne disons pas qu’il y a une cause à effet ». Ce n’était pas à nous de « juger » ce genre de chose, mais nous voulions attirer l’attention sur le fait que sans repentance, tout homme devra rendre compte devant Dieu de ses actions et que cela, c’est terrible parce que nous ne savons ni le jour ni l’heure. Il semble qu’il y ait un problème évident dans la chrétienté à parler du jugement de Dieu et ceci probablement, parce que nous sommes sous la grâce. L’Éternel Dieu, dont nous parle l’Ancien Testament, est-Il changé ? Non, Dieu est immuable et Il ne change jamais. La colère de Dieu n’existe-t-elle plus ? Non, mais elle a trouvé « son apaisement » dans le sacrifice terrible de Jésus. La bonne nouvelle que Dieu nous fait grâce est pour ceux qui croient en Lui et qui se repentent, comme Jésus nous l’a enseigné. « Jésus nous délivre de la colère à venir » nous dit 1 Thessaloniciens 1.10. Jean-Baptiste, Jésus, Pierre, Paul... tous ont prêché avec ferveur la repentance, c’était l’essence même de leur message. Tous les revivalistes sont revenus à ce message simple mais combien puissant de la repentance. Pour parler de repentance, il faut parler ouvertement du péché et du remède que Dieu propose. Nous ne pouvons d’ailleurs en parler efficacement que quand nous avons pris nous-mêmes conscience de l’immensité du pardon de Dieu à notre égard et c’est notre expérience. Mes bien-aimés, « Ézéchiel 37 » encourage vivement à revenir au message de la croix et dans ce message, il y a le jugement de Dieu mais aussi la possibilité de pardon que Dieu donne. Si nous désirons voir de véritables conversions, c’est le seul moyen. Nous aurons probablement moins de sympathisants et le monde nous haïra, cependant, je vous invite à analyser la teneur du message de Pierre à la Pentecôte et peut-être que nous comprendrons pourquoi il y a eu 3 000 conversions. "365 jours pour ranimer la flamme" est un recueil de méditations bibliques écrites par David Houstin et Ezechiel 37 Ministères. À PROPOS DE NOUS "L'Observateur Chrétien" est un magazine et journal en ligne proposant des informations chrétiennes. Retrouvez quotidiennement une actualité ciblée ayant pour but d'encourager le chrétien, de démontrer que le retour de Jésus Christ est proche, mais également de fournir des sujets de prière. L'essentiel de l'info chrétienne, c'est ici que ça se passe ! SUIVEZ-NOUS Application Bible en ligne Newsletter A propos Proposer un article Faire un don Contact © 2017 - L'Observateur Chrétien - Lire plus ici :
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deepthinker-society · 5 months
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Utilité. Ce matin, le titre d'une nouvelle annonçait : "Voici pourquoi l'astéroïde Apophis ne tombera sur Terre en 2029." Sur le coup, j'avoue que ça m'a fait rire. Je sais qu'Apophis est une source d'étude depuis de nombreuses années mais le titre, lui, m'a juste fait penser à toutes les choses qui pourraient arriver, mais qui n'arrive pas. Je me suis alors demandée le temps que ça pourrait prendre de justifier non plus seulement tous les évènements, mais aussi tous ceux qui ne sont pas arrivés. "Voici pourquoi les arbres ne peuvent pas produire de paillettes.", "Voici pourquoi le ciel ne peut pas chanter." Alors bien sûr, on peut reprocher que mes exemples sont un peu trop farfelus et totalement impensables dans notre monde. Au mieux, imaginer ce genre de curiosités peut servir dans l'imaginaire pour écrire de la fantasy ou du fantastique. Mais que penser de ceci : "Voici pourquoi l'équipe XXX n'a pas gagné son match ?". Ah... Oui. Là, pourquoi pas. On sent qu'il y a quelque chose à creuser. Pourtant, ça reste de l'analyse d'un non évènement. Mais comme on souhaite que l'évènement se produise par la suite, on trouve ça légitime de regarder ce qu'il s'est passé ou plutôt pas passé. Un dernier exemple : "Voici pourquoi je n'ai pas fait mon lit". La frontière est plus floue. Cela dépendra pas mal des arguments proposés et de l'intérêt de la cause. Si la réponse est "flemme", on sent qu'il n'y a pas grand chose à en tirer. Mais si je vous donne une raison en termes de santé publique, vous serez plus susceptible de tendre l'oreille. C'est que ça pourrait vous être utile dans ce cas. Et notre astéroïde alors ? Si on devait analyser et faire un article sur tous les astéroïdes qui ne tombent pas sur Terre, on ne s'en sortirait clairement pas. Mais pour l'astéroïde Apophis, c'est différent. Il y avait un risque qu'il puisse toucher la Terre. Au final, ce ne sera pas le cas et c'est tant mieux. Mais ça donne des articles nous donnant les raisons pouvant expliquer non pas simplement pourquoi un astéroïde ne tombera pas, mais nous donner toutes les bonnes raisons de ne pas nous inquiéter. Ce qui a le mérite de pouvoir nous rassurer. #nonevenement #raison #explication
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dimensionsvelo · 6 months
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Démonter et remonter une cassette Sram XDR
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Avec les groupes Sram AXS 12 vitesses est arrivé un nouveau standard de corps : l'XDR. Le démontage et le montage de la cassette s'en trouve légèrement modifié. Explications... Sommaire mécanique Les outils Pour effectuer le démontage et le remontage d'une cassette Sram AXS sur un corps XDR il faudra un fouet à chaîne, un démonte-cassette de type Shimano ou Sram avec une empreinte assez profonde, un chiffon, du dégraissant éventuellement et de la graisse. Rien de plus que les autres marques en fait. Mais la façon de procéder est quelque peu différente. Crédit photos : Frédéric Iehl Un fouet à chaîne et un démonte-cassette. De la graisse. Un chiffon. Du dégraissant. Crédit Zefal Temps et difficulté En 10 minutes maximum c'est fait, nettoyage compris. Il n'y a rien de difficile pour démonter ou monter une cassette Sram AXS sur un corps XDR (groupes Red, Force et Rival, mais pas l'Apex). Une fois qu'on en maitrise la subtilité bien sûr. Mais cela reste salissant prévoyez de quoi poser votre cassette sale et nettoyer un peu vos mains ! Étape 1 On va placer le fouet à chaîne sur le plus grand pignon ou l'avant dernier. On place ensuite le démonte cassette dans la boussole de la cassette. Et on appuie vers le bas sur les deux outils en même temps. Quand on sent que la cassette est débloquée, on maintient toujours le fouet et on dévisse la boussole jusqu'à ce que la cassette bouge. Étape 2 Particularité de ce système, la boussole reste solidaire de la cassette, ce n'est donc pas la boussole qui "s'extraie" mais la cassette. Là elle est dévissée, il n'y a plus qu'à l'enlever. Étape 3 Quand on retourne la cassette XDR, on comprend mieux la manipulation à effectuer. Le kit de pignon est monobloc. Il y a au niveau du plus grand pignon une cannelure qui vient se ficher sur le corps de cassette. Une douille interne comportant la boussole intègre un filetage à proximité des cannelures. Ceci explique que pour démonter la cassette XDR, il faut conserver l'outil de dévissage jusqu'au bout. On ne peut pas terminer à la main. Étape 4 Un coup de chiffon et de dégraissant permet d'ôter toute poussière et tout corps étranger. Étape 5 On voit bien les cannelures et le filetage qui font que la cassette XDR est un peu en porte à faux par rapport à une cassette traditionnelle. Étape 6 On place de la graisse sur le filetage , le corps et la cannelure. Cela évitera les craquements. Étape 7 On replace la cassette dans les empreintes. C'est facile toutes sont identiques. Étape 8 On replace ensuite le démonte cassette dans la boussole et on visse. On ne peut pas amorcer le serrage à la main... On peut aussi maintenir la cassette avec l'autre main si on sent qu'elle "flotte" un peu. Le vissage ne doit jamais être dur, si c'est cas on ne va pas plus loin. il faut alors démonter la cassette XDR et la replacer. C'est la seule difficulté en fait. Sommaire mécanique Read the full article
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claudehenrion · 8 months
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La vérité sur Gabriel Attal... et notre futur proche.
Si l'on en croit la totalité des gazetiers lévogyres de toute couleur rose foncée qui polluent le microcosme germanopratin (NDLR : c'est étrange comme tout change, dans le monde, sauf la teinte politique des journaleux : ils ont ''tout faux'', et sur tout... mais ils refusent de le reconnaître !), notre ''young leader'' et premier ministre, n'aurait qu'une seule qualité et qu'une caractéristique : il est jeune... comme si la jeunesse était une excuse et pouvait ternir lieu de ''projet'', et comme si l'inexpérience absolue pouvait être une qualité...
L'avantage, chers amis-lecteurs, qu'il peut y avoir à être abonné à un ''Blog'' comme celui-ci, c'est que vous avez la quasi-certitude de recevoir, ''en avant-première'', des informations ''de derrière les fagots'' qui vous permettront parfois de briller dans les emm.. nuyeux ''dîners-en-ville'' où il est bien vu de sortir une information que les autres n'ont pas.. Et ce matin, comme cela m'arrive de temps en temps, je vais servir une rafale de bottes secrètes passionnantes : je les tiens du cousin berrichon (par son père.. parce que, du côté de sa mère, ce serait plutôt moitié breizh, moitié auvergnat et moitié ariégeois) de mon amie Madame Michu –un ''gens généralement bien informés'' dont les exploits, narrés par Coluche, ont enchanté nos ''années 80''.
Gabriel Attal est, incontestablement, djeunz... au point que certains émettent souvent des doutes sur sa capacité à régner sur ''un pays où il existe 258 variétés de fromages'', pour reprendre cette jolie définition que donnait le Général. Comme on pouvait s'y attendre, la presse s'est ruée sur cette chance formidable : pouvoir répéter, sans en changer un mot, ce que vos chers con frères (que je préfère écrits en deux mots, vous savez ça !) ont déjà recopié sur ceux qui l'avaient lu ailleurs et rapporté. Nous croulons donc littéralement sous le même récit colporté cent et bientôt mille fois, de la vie de ce petit garçon moqué et harcelé qui a été déclaré ''Djeunz'' avant même d'avoir eu le temps d'être ''jeune''. Tout ce qu'il connaît de la vie, c'est qu'il ne sait rien de la vie... Et, nous explique-t-on avec l'air componctueux, c'est ça le mieux, pour diriger un pays. Moi, je veux bien (façon alambiquée de dire : je n'y crois pas une seconde !).
Il n'a manqué à personne qu'il manque à cette analyse... le principal : le thème astrologique de ce fort en thème... Fort heureusement pour vous, votre blogueur personnel est là pour pallier cette lacune, avec l'aide inévaluable de la célèbre Natacha S., astrologue-conseil à Ciboure (c'est ''dans le soixante-quatre'' !) qui se présente, sur le site ''Planète point fr'' comme ''astrologue chevronnée ayant plus de trente ans d'expérience''. (NDLR : on n'est jamais assez prudent, par les temps qui courent, avec tous ces migrants qui courent aussi... mais plus vite que les flics qui voudraient bien les rattraper pour que des juges –inscrits au syndicat rouge dit de la magistrature isochrome-- les relâchent sans relâche...). Comme d'autres, cette experte digne de con courir avec Mc Kinsey pour ponctionner nos budgets déjà défaillants –et même défaillis !-- est formelle : il est né le 16 mars 1989 à 13 h 35 à Clamart (c'est dans le département quatre-vingt-douze, béni, depuis), et il a donc le Soleil en Cancer (à 28°17') et la Lune en Bélier (à 5°33), ce qui change tout...
Mais tout ceci n'est rien : ses Dominantes sont Cancer, Poissons, Capricorne, Lune, Saturne, Soleil et ses Maisons 9, 12, 6 / Eau, Terre / Cardinal, ce qui devrait retenir votre attention. Car ''se trouver en poisson avec un ascendant Cancer... fait éclater une personnalité d'eau, marquée par l'intuition et la douceur... ce qui force l'attention''. (je n'invente rien). Et en plus de toutes ces merveilles, il a une Lune puissante –mais non, voyons ! Ce n'est pas ce que vous croyez : cet édito s'interdit de parler de ce qui n'est pas astral chez Attal et vice-versa-- ''ce qui lui permet de capter l'air du temps avec aisance''. En lisant ça, j'ai été rassuré : imaginez qu'au lieu de capter l'air avec sa Lune et avec aisance, il ait, par exemple, bu la tasse ou craché le morceau ! Ouf ! Dans notre manque de pot, on a du pot ! On doit avoir Saturne... là où vous pensez !
Mais avançons, s'il vous plaît : j'ai été vraiment heureux de constater que la conjonction (en un seul mot, s'il vous plaît : c'est notre PM !) du Soleil et de Vénus en Poissons souligne son habileté à nager dans l'eau au milieu de projets complexes ! Mais je ne vais pas vous faire mariner davantage : ''Il a trois planètes dans sa Maison neuf (et non pas ''neuve'' comme on l'aurait écrit normalement). Cette maison-là est celle de l'humanisme, qui ''élève l'être humain au dessus de sa condition de bête '' --sic ! (NB : je me disais bien, aussi : pour être premier ministre à 34 ans, faut pas être bête !). Mais tout n'est pas rose, malgré ses origines socialistes : la conjonction de Mars et Jupiter (pas Macron... l'autre, si j'ai bien compris !) souligne une forme d'hyper activité (ça, comme dit l'autre, on l'avait remarqué !).
Une conclusion ? Comme il se répète, partout dans Landerneau et à la Lanterne qu'on le jugera sur ses succès (dont le système et le club Bildenberg ont déjà la liste impressionnante, prête depuis bien avant sa nomination officielle), on ne doit tirer de cette magnifique analyse astrale attale... qu'il ne faut pas conclure ! Flaubert, d'ailleurs, ne disait-il pas que ''seuls les imbéciles veulent conclure'' ? Une remarque, tout de même : le patron de notre nouvelle star astrologique aurait pu faire l'économie d'une conférence (en un mot, ici : c'est le président !) de presse pour nous faire découvrir ex nihilo ''SES'' projets pour ''NOTRE'' futur... lui qui a été élu sans le moindre programme et qui nous un impose un, soudain, concocté tout seul dans son coin, à la manière de ces autocrates qu'il feint de critiquer mais dont il imite servilement le comportement.
Le message qu'il va nous emboquer (il y en a pour 2 heures et demi... ) va sans doute tourner autour de ''tout va mieux, on progresse, on a déjà fait 60 ou 70 % du chemin'', et de ''unis, nous vaincrons'' (Question : ''pourquoi plus il nous impose de ses faux progrès, plus les gens sont malheureux ?). Ensuite, je parie qu'il va énumérer les centaines d'actions ponctuelles qui vont (ou pas !) nous tomber sur la cafetière dans les jours qui viennent. Que d'indigestions en perspective ! Mais on est ''rodés'', et personne n'y croit plus. Après ''un premier ministre pour la galerie'', une ''conférence de presse pour rien''... C'est quand, ''la quille'' ? 
H-Cl.
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