#ce mur qui nous sépare
Explore tagged Tumblr posts
cakemousse · 2 years ago
Text
Tumblr media
sad ladynoir hours because i watched a few episodes from earlier seasons and saw how chat noir declares his undying love for ladybug
and then to hear what he said in exaltation, it shattered my heart T^T granted i know he’s lying to himself but 😭😭😭
24 notes · View notes
Text
very patiently waiting for my Deezer year in review
2 notes · View notes
belovedcherie · 1 year ago
Text
JE NE COMPRENDS PAS CE JE VEUX JE NE PEUX PAS TOMBER AMOUREUX D'OÙ VIENT CE SENTIMENT MYSTÉRIEUUUX
1 note · View note
anna-scribbles · 2 years ago
Text
191 notes · View notes
into-september · 1 year ago
Text
60 notes · View notes
spill-that-anxietea · 30 days ago
Text
Okay, here’s my dirty little secret. I didn’t watch the miraculous movie when it came out because I wasn’t ready, but tonight I was so I finally did watch it. And I had forgotten all of the spoilers that I read when it came out, so imagine my surprise when I realize Ce Mur Qui Nous Sépare, the BEST SONG, wasn’t in the movie, but they managed to include fucking CARELESS WHISPER not once, but TWICE into the final cut. That’s very Miraculous™️ of them. I don’t know why I expected anything less. This series is so unserious I can’t.
6 notes · View notes
nightfurylover31 · 9 months ago
Video
youtube
Happy Valentine’s Day, everyone! Here’s a special something for these two cute hedgehogs! 💙💖
Song: Wall Between Us (Ce Mur Qui Nous Sépare English cover) 
Artist: Sky*Aurealis and Denise Joan
17 notes · View notes
asterthought · 1 year ago
Text
Ce mur qui nous sépare...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Toi et moi
Si nous pouvions nous voir
Au-delà du miroir
Bas les masques pour un soir
Brisons de part en part
Ce mur qui nous sépare
43 notes · View notes
details-beast · 6 months ago
Text
35 - Commencer une scène improvisée
"Qu'est-ce que je fous là..." - improvisateur X, le regard vide, au début d'une impro
Vous galérez en début de scène ? Vous ne savez pas quoi faire ? Vous pensez que vous vous en sortez, mais avez la sensation que vous les commencez toujours de la même manière ? Vous avez envie de poser des bases solides, lisibles et riches dans vos débuts d'histoires, ou cherchez simplement de nouvelles pistes ?
Formidable ! Parlons un peu de ces premières secondes, où nous passons d'un Espace vide à une scène, où se jouent des histoires, des situations ou des games.
Cette entrée en jeu sera souvent un teaser de l’improvisation à venir. Elle est fragile, il faut donc en prendre le plus grand soin. Il est essentiel d'y mettre les bonnes informations, claires, de ne pas se tromper, de bien comprendre qui sont les personnages, où on est, à quoi on joue, et d'avoir des super idées pour que cette rencontre avec l'autre soit géniale ! Si vous avez tout ça en tête avant de jouer ou pendant que vous jouez, félicitations ! Vous êtes en train de paver votre route vers... le mur !
Le syndrome du bon élève
L'improvisation n'est pas le territoire des "bons élèves". J'entends par là qu'il n'y a pas une liste exhaustive des choses à faire et à ne pas faire pour obtenir une bonne improvisation. Respecter les règles, poser le plateau / la plateforme (qui, quoi, où), en somme, établir un plan logique et structuré ne sera jamais suffisant pour créer une improvisation intéressante, ça sert surtout à poser une improvisation compréhensible. De plus, tous les débuts d'impro ne se construisent pas systématiquement suivant un schéma narratif. Attention, fuir les "règles" et la simplicité n'assure rien de bon non plus. Il ne s'agit pas de chercher l'originalité à tout prix, mais de rester ouvert à d'autres types d'écriture.
Nous connaissons énormément de mantras comme "oui et", "sois précis", "pose un plateau rapidement", "ne pose pas de question", "ne joue pas de négociations", "ne fais pas de scène d'enseignement" etc. Ces phrases chocs, ces "règles", semblent chargées de bon sens et pourtant, comme le dit très bien Mick Napier dans son ouvrage Improvise - Scenes from the inside out, non seulement elles ne font pas mieux jouer, mais elles peuvent également être destructrices. Oui, on peut observer certains comportements redondants dans les scènes qui ne fonctionnent pas, mais ils sont davantage une conséquence qu'une cause.
"Une bonne improvisation ne doit rien au respect des règles, mais penser aux règles (NB. sur scène) peut empêcher une bonne improvisation"
Nous apprenons à observer ce qui ne fonctionne pas, à y faire attention et à garder tout ça dans un coin de nos esprits. Or, entrer sur scène avec le cerveau chargé d'informations sur ce qu'on ne doit pas faire, c'est entrer sur scène dans un état de tension (cause). Et ça ne nous fera jamais mieux jouer, c'est assurément se priver d'un espace mental pour faire autre chose (conséquence). Pourtant, pour progresser et pour affiner nos qualités de jeu, il faut bien apprendre un sacré paquet de choses sur la narration, les styles littéraires, la mise en scène, l’interprétation et il faut comprendre les comportements de jeu qui nous font défaut. Mais au moment de jouer, il faut avant tout croire en ce qu’on a travaillé. Faciladir !
L'état et l'impro
L'ÉTAT (vous !) : Trop réfléchir à ce qu'il faut faire ou ne pas faire = tension, préparation et construction du mur qui vous sépare de votre partenaire. Bien entendu, puisque vous êtes en train de cogiter, vous n'êtes pas présents sur scène. Vous imaginez être à la base de l'histoire et que sans vous, rien ne se passera. Or... on se moque de vos connaissances et de votre technique si vous n'êtes pas en état de vous en servir, alors lâchez votre envie de bien faire et soyez "là".
Ça tombe bien, l'improvisation est l'art de l'instant présent avant tout autre chose : tout ce qui se passe ou ne se passe pas contribue à l'écriture de la scène. Si vous n'êtes pas attentif à ce qui se passe maintenant, vous allez davantage fabriquer, parfois avec brio, mais vous ne serez pas en train de jouer ce que la scène propose, vous serez en train de peindre ce que vous avez en tête et c'est tout. Ce n'est pas QUE ça l'improvisation... (mais c'est un peu ça quand même). Il s'agit également de dessiner les scènes avec nos sens, avec nos réactions, et avec nos sensations, pour éviter de rester en surface.
L’IMPROVISATION (l'enjeu !) : Notez que je ne parle pas d'objectif, qui peut contraindre notre esprit à une finalité et donc nous priver d'écoute et de perméabilité - on sait où on va... et il y a un risque qu'on écoute POUR aller dans notre vision plutôt que dans la dynamique de la scène. Et puis on sait très bien ce que notre cerveau veut faire : il veut nous rassurer, comprendre vite à quoi on joue et bien mettre les jalons pour rester en sécurité le long du trajet. Mais alors comment définir l'enjeu sans s’enfermer ? Je crois que c'est tout simplement donner de l'intérêt à la scène que vous jouez, que ce soit en lui donnant du sens, de l'émotion, de la forme, et même du fun ! Cela ne contraint pas à une narration ou à un style.
Au risque de passer pour Captain Obvious, si vous prenez uniquement soin de vos fesses, mais pas de la scène, elle a peu de chance d'avoir de l'intérêt.
Être plus qu'un individu
Je disais plus haut qu'il s'agit, un peu, de peindre ce qu'on a en tête, quoi que ce soit, et de se laisser affecter par les répercussion. Si c'est la même chose pour votre partenaire, vous êtes en train de créer une scène qui sera probablement unique.
On a peut-être trop entendu parler de "ping pong" pour les échanges en impro, comme si nous nous passions la responsabilité de la scène, comme si c'était chacun son tour. Et si nous voyions davantage les gens comme une onde, liée en toutes circonstances ? Nous serions, le temps de la scène, la somme de nos propositions, et de nos réactions. Moins effrayant, plus riche... tout bénef ?
Si on n’a pas grand chose en tête, il suffit de faire un choix, n'importe lequel, et d'avoir le courage de le défendre (et par là j'entends bien : ne te dis pas que c'est nul, assume ce que tu as entamé). Bien sûr, tout ça n'a d'intérêt que si tu n'oublies pas ton fkn partenaire ! C’est mieux quand les gens sont contents de jouer avec toi.
J'espère être on ne peut plus clair là-dessus : votre état détermine votre capacité à ÊTRE et à ÊTRE AVEC. Être, c'est devenir un personnage prêt à être traversé par des propositions, prêt à réagir, prêt à renvoyer ce qu'il traverse à un public. Si vous êtes coincés dans le besoin de démontrer ce que vous savez faire, vous parlerez aux cerveaux des gens et à leur analyse de ce qui est drôle, malin etc, mais le personnage devient juste quand le public croit en ce que nous jouons. Il ne peut pas exister si nous n'y croyons pas.
Être avec, parce que ce personnage ne devient concret que dans ses interactions avec l'autre, avec le contexte, avec ce qu'on va pouvoir révéler de lui. Encore une fois, si vous n'êtes pas sincèrement en train de jouer avec l'autre, vous resterez en surface. La précision et les qualités d'écriture que vous aurez vous permettront de mieux lire et de mieux développer les scènes que vous commencez.
Raconter quelque chose ensemble
Le plateau - QUI, QUOI, OÙ - est un outil pour préciser votre connexion à l'autre, mais la qualité des informations ne remplacera jamais la qualité de la connexion avec l'autre. Par contre, à partir du moment où jouer avec l’autre devient facile pour vous, vous avez tout intérêt à vous pencher sur cette notion : bien utilisée, ce n’est pas un mur qu’elle vous offrira, mais un tremplin ! Mettre des personnages dans un contexte inhabituel, jouer une scène a priori classique mais dans un lieu inapproprié, tout ça devient possible quand vous avez une lecture de ce qui se passe en début de scène. Vous l’aurez compris, ce n’est pas sur le plateau que je tape en début d’article, mais sur l’improvisateur bloqué dans sa tête.
Si vous êtes en train de commencer un game avec l'autre, c'est la même chose : il sera important d'être bien présent pour que le jeu se développe et évolue.
Coucou, c'est Nabla !
Tumblr media
Merci Eddy de me donner le clavier le temps d'un paragraphe ! :)
Pour celleux qui ne me connaissent pas, j'ai hâte de vous rencontrer et de commencer des scènes improvisées avec vous !
Je me permets de remettre une phrase marquée juste au-dessus, parce que je la trouve capitale : "Le plateau est un outil pour préciser votre connexion à l'autre". J'ai même envie d'aller plus loin :
La scène improvisée, pour moi, c'est un jeu.
L'espace scénique, c'est un plateau de jeu.
La plateforme / Le plateau, ce sont les règles du jeu auquel on veut jouer, ensemble !
Je m'explique avec un exemple :
- Si je commence par dire "Chérie, attention où tu mets tes mains !", je dis à ma partenaire que je veux jouer à un jeu où je m'inquiète pour elle.
- En me répondant ''Mais papa, je veux juste caresser le lion !", ma partenaire me dit qu'elle veut jouer à une enfant dans un zoo ! Et en plus, elle m'aide à jouer l'inquiétude, parce que c'est un lion quand même ! Elle est super ma partenaire.
- Si je termine en disant "Je préfère qu'on aille voir les oiseaux, ils ont des perroquets magnifiques. Tu aimes ça, les perroquets ma chérie ?", je continue à jouer le jeu que je veux jouer (l'inquiétude) tout en jouant le jeu de ma partenaire (une enfant dans un zoo).
Nous avons nos règles : maintenant, nous n'avons plus qu'à jouer avec engagement en attendant - de manière active - les imprévus qui rendront le jeu intéressant (pour mes partenaires, pour le public, pour la régie, pour le monde).
Plus haut, nous voyions que la plateforme sert surtout à poser une improvisation compréhensible : je préfère penser que la plateforme sert surtout à poser un jeu commun compréhensible.
Je rends le clavier maintenant, ma fille caresse les lions, bordel !
"ON A COMPRIS !"
Je suis dans le bon état, et maintenant ?
Et si nous parlions technique ! Pour pouvoir faire des choix en entrant, il faut avoir conscience de ce qui est possible dans ce fameux espace vide. Je préfère le dire tout de suite, si vous n'avez pas envie de charger votre cerveau au point de le voir fumer, il est inutile d'essayer de tout mettre d'un coup sur votre démarrage. Prenez UN élément, puis montez la dose à mesure que vous serez à l'aise. Si vous devez rester concentré pour tenir un personnage (ex : un tic) et que ça détériore votre écoute, vous en faites déjà trop.
Voici une liste non exhaustive de ce qu'on peut poser en début de scène:
style (plutôt burlesque, littéraire, naturel/dramatique)
relation (qualité, titre)
personnage (caractère, personnalité, physicalité, état, émotions)
météo (chaud, froid, pluie etc)
action (geste simple, répétitif ou évocateur)
couleur (j'entends le ton de la scène, l'ambiance)
mise en scène (!!!)
lieu (ouvert, fermé, identique au partenaire ou pas)
promesses (y-a-t-il des non-dits ? Un objet mystérieux ?)
catégories (si c'est un match)
titre/thème (on y reviendra)
(!!!) - La mise en scène kesako ? Et bien comment vous mettez en scène votre jeu : un solo centre scène qui raconte quelque chose, quatre au fond et un devant, une contée où le conteur raconte sa propre histoire et passe de conteur à personnage etc. Tout est possible, mais c’est à vous d’imaginer ce qui est possible !
Les meilleurs ennemis ! (bonjour à Zazie et à Pascal)
Quoi qu'il en soit, les premiers choix que vous ferez poseront la base de votre scène. Si vous êtes mal à l'aise, ou peu expérimenté, il y a de fortes chances que votre début de scène ressemble à :
A - (fait une action imprécise sans regarder son partenaire)
B - (traverse la scène, vient coller A) : "Tu n'as pas fait le nécessaire."
A - (arrête son action) : "De quoi tu parles ?"
B - "On avait dit qu'on invitait les voisins ce soir"
A et B - (passent la moitié de la scène à essayer d'avoir raison)
Et on obtient une de ces fameuses scènes de personnes face à face, dans un espace théâtral vide*, qui se renvoient la balle pour essayer d'avoir raison, comme si la réponse allait rendre la scène plus intéressante. Tout ce qu'on doit savoir est dit, parce que c'est le public qu'on essaye de convaincre (et de la pire manière puisqu'on lui explique). On est en train de le séduire, pas de lui raconter une histoire. Or, on se moque de savoir qui a raison, on veut savoir ce que ça implique pour les personnages et ce que ça révèle d'eux. On veut voir comment ça se traduit dans leurs attitudes, leurs respirations, leurs regards, leurs gestes et à la fin, peut-être, dans leurs paroles. Alors seulement, nous pourrons commencer à avoir des personnages nuancés et subtils.
Si vous voulez jouer un conflit, nourrissez-le physiquement (intérieurement hein, il ne s'agit pas d'envoyer des mandales), pensez à ce qu'une défaite impliquera pour vous et sachez perdre si c'est nécessaire parce qu'on veut voir de quel bois est fait votre personnage. Laissez le silence et l'espace nourrir votre personnage et votre relation.
"La distance offre de la tension, de la puissance et du potentiel" Joe Bill
Par espace théâtral, j'entends espace imaginaire, par opposition à l'espace scénique, qui est l'espace réel que vous voyez. L'espace théâtral peut être beaucoup plus grand ou petit que la réalité, la température peut être différente, la hauteur du plafond aussi etc.
Improviser sous contrainte
Enfin, il faut parler de ce qu'implique une improvisation avec un thème ou sans thème. Sans, il y a la peur de ne pas savoir quoi jouer pour commencer, et avec, il y a la peur de ne pas être inspiré ou enfermé dans le thème. La peur pousse à produire trop d’informations, trop vite : il y a toujours une bonne raison de fuir le vide et la peur qui va avec. Mais... il n'est pas nécessaire de résoudre le thème d'entrée de jeu ! Vous avez le temps de l'amener, toutes les improvisations ne sont pas dans l'obligation d'être une mise en image du thème évoqué. Prenez déjà le temps d'être quelqu'un, ensuite on verra ce qu'on fait de ce thème, idéalement avec le partenaire. Réaction après réaction, n'essayez pas de forcer la scène à devenir la matérialisation de vos idées. On a le temps, et on pourrait bien avoir des surprises si on avance par étape, plutôt que de vomir notre vision avec des logorrhées didactiques !
Si ça peut aider, je rappelle que : improvisation≠histoire. On aura rarement le temps de raconter une histoire complète en 3 ou 4 minutes, ce qui n’empêche pas de commencer la scène proche de la fin, et dans l’absolu de trouver une fin. On peut choisir de n'en raconter qu'une partie. Ça évite de faire des bascules sur des scènes de 20" où on ne raconte pas grand-chose, et de les enchaîner frénétiquement pour faire avancer "l'histoire". Keith Johnstone nous disait dans Impro qu'une histoire n'est pas qu'une succession d'évènements et d'actions. Avancer, pourquoi pas, mais on fait avancer QUOI ?
Bien bien bien... et si on s'entrainait un peu à faire ça ?
Exercices solo
Non verbal et lieu; nb joueurs: 1, durée 2 min+
Vous entrez dans un espace imaginaire et jouez une scène sans parole. Votre but est de travailler votre attitude dans ce lieu mais également de chercher comment le rendre clair pour un public (même si vous êtes seul chez vous, essayez de vous rendre compte si ce que vous faites évoque un lieu précis, car un geste réaliste n'est pas toujours facile à interpréter). L'occasion de voir si votre personnage est à l'aise dans ce lieu, comment il regarde l'espace ou d'autres personnages imaginaires. Dans un second temps, essayez avec la parole.
Description de lieu à la chaîne; nb joueurs: 1, durée 5 min+
Vous pouvez le faire assis dans un premier temps. Mettez un minuteur qui sonne toute les 30" (à défaut celui là); à chaque nouveau top décrivez un lieu dans lequel vous pourriez jouer, essayez d'être précis, mais que cette précision soit jouable (la couleur est plus difficile à jouer que la texture par exemple). Aussi, faites l'effort de rester factuels - n'entrez pas dans une narration, vous ne faites que poser un lieu. Faites quelques rounds, puis si un lieu vous a inspiré, faites une mini scène dans cet espace, et voyez ce que vous trouvez à jouer. Ce n'est qu'un lieu, n'enfermez pas votre histoire dans les objets et les détails posés, car il n'y a que vous qui seriez visibles d'un éventuel public, servez-vous-en pour affecter votre personnage et son attitude. (NB : testez la notion de météo, de température, et de comment les jouer. Par exemple si vous avez froid, vous n'allez pas passer votre scène les bras croisés à vous taper sur les coudes en murmurant "brr").
Exercices duo
La rencontre; nb joueurs: 2, durée 2 min max
Joueur A commence une scène solo, son premier objectif est de poser un lieu clair, car il sera rejoint par le joueur B dans cet espace dès que celui-ci aura compris le lieu. Laisser B prendre le temps de comprendre, puis imposer des entrées plus rapides au fil de la séance. B n'interagit pas d'entrée de jeu avec A - il peut donc se permettre de rentrer tôt et de s'assurer du lieu un peu après. TRÈS IMPORTANT : A et B ne se calculent pas du tout d'entrée de jeu, ils existent simplement dans le même lieu. On s'exerce ici à poser son personnage avant de sauter sur l'autre pour du bavardage. C'est le moment de la rencontre et les échanges verbaux et non-verbaux qui vont suivre qui nous intéressent.
Plusieurs étapes à pratiquer :
A et B ne se connaissent pas du tout
A connaît B, mais pas l'inverse (et NON ce n'est pas un oubli de B)
A et B se connaissent vaguement
A et B se connaissent bien
A et B se connaissent bien mais ne se sont pas vus depuis longtemps
La rencontre est fortuite, ce n'est pas un RDV. L'idée est de travailler les différentes attitudes lors de ces rencontres - l'état dans lequel je me trouve après la rencontre, ce que ça provoque chez moi, et comment je donne du détail et de la précision dans ces premiers échanges, que je connaisse bien la personne ou pas. Oui, ce sont toujours des débuts de scène, mais on n’a pas de temps à perdre pour autant, on s'entraine à donner de la matière aux personnages rapidement. Il faut essayer chaque étape pour s’entraîner à trouver des nuances et des rythmes de connexions avec l’autre qui soient justes. Le jeu non verbal varie énormément en fonction des étapes !
Voilà, la liste d'exercices n'est pas exhaustive bien entendu, vu qu'il y a déjà un article consacré à ça. Comme d'habitude rien n'est gravé dans le marbre et on peut discuter de ces sujets quand vous voulez !
3 notes · View notes
lady-de-mon-coeur · 1 year ago
Text
I've just listened to Ce Mur Qui Nous Sépare again, and there were these words "un jour tu verras qu'auprès de moi tu deviendras toi" ("one day you'll see that with me you'll be yourself") sung by the girl.
Tumblr media
6 notes · View notes
fabseg-creator · 1 year ago
Text
A minicomic about Marinette and Lila Cerise.
This happens in an alternate universe:
Marinette knows the place where Lila/Cerise is living (the Rossi's apartment at proxy of the Square)
She already knows her secret about the wig (spoilers from "Confrontation"; personal opinion: Lila's tomboy hairstyle is better than the wig)
She has both some agreements and issues with her
In this alternate scenario (between "Volpina" and "Chameleon"), Marinette has turned her interest on Lila, skipping Adrien (she later discovers her real appearance (wig, multiple identities, research of attention, etc.))
These two characters has similarities despote their personalities and methods/actions (the good and the evil are attracted each other)
The story:
Tumblr media
The happening after, I don't have any idea for an eventual ending.
Musics:
I let you choose what music Marinette is playing (according to your opinion)
translation: Je te déteste -> I hate you
For the Pride month, to every reader. 🏳️‍🌈
10 notes · View notes
dewshakes · 1 year ago
Text
So you’re telling me I got super obsessed with ces mur qui nous sépare and have been waiting for an English version and it’s not even in the movie???
8 notes · View notes
emsylcatac · 1 year ago
Note
clown anon here hiiii :0)
i love ce mur qui nous sépare and i can't wait to listen the rest of the songs of the miraculous movie, i've seen the rehearsals that Lou and Lenni Kim did a few years (!) ago (i guess they did the singing voices of marinette and adrien)
and now there's a new song that lou sings with somebody else and then i saw that the soundtrack is available in spotify but there's no lenni !!!!
i don't know if he decided to cut relations with miraculous and zag chose another male singer, that's just my guess but i loved him as the voice of chat noir :/
this may sound silly but bah, i was really excited for the movie because of his voice and he may not be at all in the end
i'll still want to watch the movie of course, but that little detail made me feel a bit disappointed...? i'll put on my clown shoes
Hiii clown anon!! ♥️
Yes I saw recently that he had been replaced by Eliott! He participated in The Voice a while ago and I thought he gave really nice vibes, so I think if Lenni had to be replaced, Elliott's a good choice. He was also a part of a YouTube band that did covers a few years ago (they've stopped now) called Cover Garden and they just looked like a nice & chill group of friends having fun so I honestly have a good image of him in my mind if that helps 😊
I don't know the reasons why Lenni left. But I've been watching a french tv talk show recently (they upload the episodes on YouTube so I've watched it here - it's "Ça commence aujourd'hui" for those who speak French & know about it) where basically they have a theme and guests come to talk about their experience regarding this theme - it's very enlightening, and usually their guests are random people from everyday life, and sometimes celebrities but it's very rare. Anyway a couple of months ago they released an episode that featured Lenni Kim and it was about depression. And he talked about his own depression which seemed rough (and got worse with covid of course) so my guess would be that it's one of the main reasons he quitted because he had to take care of himself.
But of course I don't know if it's the real reason, it's just me speculating, and I don't really follow what's going on in his life apart from that talk show I saw, so who knows!
I hope you'll still enjoy the movie and the songs though 🥺 but yeah if it can reassure you I think Elliott is sweet from what I remember of him and sang pretty well too, so I'm sure he's a good replacement even if it's sad Lenni left
7 notes · View notes
sofia-ps25-blog · 1 year ago
Text
To wait 6 fricking years for the movie to come up and for this song to appear and at the end it doesn't even make it into the final cut.... Just kill me already
Ce mur qui nous sépare (Este Muro que nos Separa) | [FR/ESP LETRA] | Mir...
youtube
3 notes · View notes
leethefirelord · 1 year ago
Text
The movie was just so beautiful 🥹 I have so many thoughts about it, but I have to say that there are so many things that they did better than the show, I can't wait for the next one. The one thing that bothers me is that they didn't use Ce mur qui nous sépare 🥲 but hopefully in the future 🤞?
6 notes · View notes
songedunmatindhiver-iii · 2 years ago
Text
Dionysos est le dieu frénétique. Pour l'amour de lui délirent les Ménades. Ce qui fait question n'est donc pas la raison de leur égarement, mais bien plutôt la signification de la démence divine... Un dieu à l'essence duquel appartient la démence ! Qu'ont vu les hommes, qu'ont-ils senti, que la monstruosité de cette représentation est chargée d'exprimer? La figure de tout vrai dieu est la figure d'un monde. Un dieu dément ne peut exister que s'il y a un monde dément qui s'ouvre à travers lui. Où est ce monde? Pouvons-nous encore le trouver et le reconnaître? À cette tâche personne ne peut nous aider que le dieu lui-même. Nous le connaissons comme l'esprit sauvage de l'antithèse et de la contradiction : de la présence immédiate et de l'absolue distance, de l'extase et de l'horreur, de la vitalité illimitée et de la destruction la plus cruelle. L'élément de joie dans sa nature, le créatif, le bienfaiteur, l'extatique ont part aussi à sa sauvagerie et à sa folie. Ceux-ci également ne sont-ils pas déments parce qu'ils portent déjà en eux-mêmes une dualité, parce qu'ils se tiennent sur le seuil au-delà duquel un pas conduit au démembrement et aux ténèbres? Nous touchons ici une énigme cosmique : le mystère de la vie qui s'engendre elle-même à nouveau. L'amour qui vole à la rencontre du miracle de la procréation est touché par la folie. Ainsi est l'esprit qui est ébranlé par l'impulsion créatrice. [... ]
Qui crée quelque chose de vivant doit s'enfoncer dans les profondeurs primordiales où résident les forces de la vie. Et quand il émerge, une lueur de folie brille dans ses yeux parce que dans ces profondeurs la mort vit ensemble avec la vie. Le mystère originel est lui-même dément — foyer de la dualité, unité du discord. Il n'est pas nécessaire ici de faire appel aux philosophes ; nous pourrions cependant citer beaucoup de passages de Schelling. Tous les peuples et les âges attestent cela par leurs expériences vitales et leurs rituels.
L'expérience des peuples leur dit : partout où il y a des signes de la vie, la mort, elle aussi est proche. Plus vivante devient cette vie, plus proche la proximité de la mort, jusqu'au suprême moment, le moment enchanté où quelque chose de neuf est créé, où la mort et la vie se touchent dans une joie démente. Le tourbillon et le frisson de la vie doivent leur profondeur à l'ivresse de la mort. Chaque fois que la vie s'engendre à nouveau, le mur qui la sépare de la mort s'écroule momentanément. La mort vient aux vieux et aux malades de l'extérieur, apportant crainte ou réconfort. Ils y pensent parce qu'ils sentent que la vie s'évanouit, mais pour les jeunes l'intimation de la mort se lève à partir de la pleine maturité de leur propre vie et les enivre au point que leur extase devient illimitée. La vie devenue stérile s'avance en chancelant à la rencontre de sa fin ; mais depuis toujours, dans l'enthousiasme, l'amour et la mort se sont salués et captivés.
Ce lien d'essence éternel est la raison du fait remarquable que les peuples, depuis un temps immémorial, ont su que les morts et les puissances du monde souterrain sont présents aux événements centraux et aux fêtes de la vie, nommément à la naissance et à la puberté. La recherche récente, qui a rarement le courage de s'enfoncer dans la profondeur, préfère chercher la signification des cultes et des mythes dans le monde conceptuel d'une croyance populaire devenue pusillanime plutôt que dans le sérieux de l'existence elle-même. Elle a donc référé ces usages et ces vues à la peur humaine des démons nuisibles et des fantômes. Mais aucun progrès ne sera fait si nous voulons jouer partout les esprits supérieurs et pensons seulement à convaincre les auteurs de vénérables institutions d'erreur et de superstition. Ils en savaient plus sur la vie que nous.
Aux grands moments où la vie avance, ils ont su voir la mort en face parce qu'elle est réellement là. À chaque naissance, la vie est ébranlée dans ses ultimes fondements, non par la maladie ni par quelque menace extérieure, mais par sa plus importante fonction. C'est précisément dans cette circonstance que son lien avec la mort devient le plus clair. Les peuples qui célèbrent des fêtes comme celles-ci ne se bornent pas à penser aux périls. Ils croient fermement que la présence du monde souterrain est absolument indispensable au grand événement qui s'accomplit avec la naissance. Est-ce une illusion? Chacun de nous n'a-t-il pas le visage d'un mort? Chacun ne vit-il pas la mort de ceux qui sont venus avant lui? Ne reproduit-il pas leurs traits, leurs mouvements, leurs pensées et émotions? N'est-il pas l'expression de tout le monde antérieur? Dans l'enfant nouveau-né, l'aïeul émerge des ténèbres de la mort. C'est pourquoi les divinités de la naissance et de la fertilité se tiennent si proches des divinités de la mort, c'est pourquoi elles se confondent souvent complètement.
Dionysos, Walter F. Otto
5 notes · View notes