#catherine crachat
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I reread all the novels of Pierre Jean Jouve. There was a trilogy entirely devoted to an actress called Catherine Crachat. Why he gave her such a repulsive name ("crachat" means spit in French), I never knew. But Catherine suffered a cruel and broken love affair and accepted the invitation of one of her devoted admirers, an Austrian Baroness. I always remember Catherine's arrival at the castle, the giant bouquet of flowers, the Baroness's magnificent welcome, and in the heart of this magnificence, a woman suffering and in need of another woman's friendship.
-Anais Nin
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« Il n'y a rien à raconter de l'amour sinon qu'il dure, et d'abord qu'il est, que l'on sent qu'il est, alors qu'on avait juré qu'il ne serait jamais! Qu'il est avec une chaleur sous les yeux, un tremblement dans les mains, qu'il est comme une coloration de la vie et de tous les objets, une coloration si belle et si déchirante qu'elle n'a pas le droit de baisser d'un millième de degré car aussitôt on craint qu'elle ne meure. »
Pierre Jean Jouve - Aventure de Catherine Crachat, tome 1 : Hécate
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Festival des Musiques Innovatrices / Saint-Etienne, Andrézieux et Saint-Héand (1987-2014)
15ème édition du 10 au 18 Juin 2004 : Blast - Catherine Crachat - Sklarska Poreba - Anthony Pateras - Robin Fox - Mark Harwood - Pan Sonic - Le Petit Cirque - Zu - La Campagnie des Musiques à Ouïr - Jéranium - Alessandro Bosetti - Groundlift - Kaffe Matthews - Ash In The Rainbow - Kouhei Matsunaga / John Duncan / Rudolf EB ER / Zbigniew Karkowski
ToTo n’aime pas la soupe / les concerts à Saint-Etienne en 2004 : Will Guthrie - Jacques Di Donato / Isabelle Duthoit / Bruno Meillier
RIP Mika Vainio, Zbigniew Karkowski
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l’Évangile au Quotidien
l’Évangile au Quotidien
« Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle » Jn 6, 68
Mercredi 31 Mars
Livre d'Isaïe 50,4-9a.
Le Seigneur mon Dieu m’a donné le langage des disciples, pour que je puisse, d’une parole, soutenir celui qui est épuisé. Chaque matin, il éveille, il éveille mon oreille pour qu’en disciple, j’écoute.
Le Seigneur mon Dieu m’a ouvert l’oreille, et moi, je ne me suis pas révolté, je ne me suis pas dérobé.
J’ai présenté mon dos à ceux qui me frappaient, et mes joues à ceux qui m’arrachaient la barbe. Je n’ai pas caché ma face devant les outrages et les crachats.
Le Seigneur mon Dieu vient à mon secours ; c’est pourquoi je ne suis pas atteint par les outrages, c’est pourquoi j’ai rendu ma face dure comme pierre : je sais que je ne serai pas confondu.
Il est proche, Celui qui me justifie. Quelqu’un veut-il plaider contre moi ? Comparaissons ensemble ! Quelqu’un veut-il m’attaquer en justice ? Qu’il s’avance vers moi !
Voilà le Seigneur mon Dieu, il prend ma défense ; qui donc me condamnera ?
Psaume 69(68),8-10.21-22.31.33-34.
C'est pour toi que j'endure l'insulte,
que la honte me couvre le visage :
Je suis un étranger pour mes frères,
un inconnu pour les fils de ma mère.
L'amour de ta maison m'a perdu ;
on t'insulte, et l'insulte retombe sur moi.
L'insulte m'a broyé le cœur,
le mal est incurable ;
j'espérais un secours, mais en vain,
des consolateurs, je n'en ai pas trouvé.
À mon pain, ils ont mêlé du poison ;
quand j'avais soif, ils m'ont donné du vinaigre.
Et je louerai le nom de Dieu par un cantique,
je vais le magnifier, lui rendre grâce.
Les pauvres l'ont vu, ils sont en fête :
« Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »
Car le Seigneur écoute les humbles,
il n'oublie pas les siens emprisonnés.
Évangile de Jésus-Christ selon Matthieu 26,14-25.
En ce temps-là, l’un des Douze, nommé Judas Iscariote, se rendit chez les grands prêtres
et leur dit : « Que voulez-vous me donner, si je vous le livre ? » Ils lui remirent trente pièces d’argent.
Et depuis, Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer.
Le premier jour de la fête des pains sans levain, les disciples s’approchèrent et dirent à Jésus : « Où veux-tu que nous te fassions les préparatifs pour manger la Pâque ? »
Il leur dit : « Allez à la ville, chez un tel, et dites-lui : “Le Maître te fait dire : Mon temps est proche ; c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque avec mes disciples.” »
Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque.
Le soir venu, Jésus se trouvait à table avec les Douze.
Pendant le repas, il déclara : « Amen, je vous le dis : l’un de vous va me livrer. »
Profondément attristés, ils se mirent à lui demander, chacun son tour : « Serait-ce moi, Seigneur ? »
Prenant la parole, il dit : « Celui qui s’est servi au plat en même temps que moi, celui-là va me livrer.
Le Fils de l’homme s’en va, comme il est écrit à son sujet ; mais malheureux celui par qui le Fils de l’homme est livré ! Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne soit pas né, cet homme-là ! »
Judas, celui qui le livrait, prit la parole : « Rabbi, serait-ce moi ? » Jésus lui répond : « C’est toi-même qui l’as dit ! »
- © AELF, Paris
Le désespoir de Judas
[« Judas fut pris de remords (...) ; il rapporta les trente pièces d'argent aux chefs des prêtres et aux anciens, en disant : ‘J'ai péché en livrant à la mort un innocent.’ Ils répliquèrent : ‘Qu'est-ce que cela nous fait ? Cela te regarde.’ Jetant alors les pièces d'argent, il se retira et alla se pendre. » (Mt 27,3-5)
Sainte Catherine a entendu Dieu lui dire :] Le péché impardonnable, dans ce monde et dans l'autre, c'est celui de l'homme qui, en méprisant ma miséricorde, n'a pas voulu être pardonné. C'est pourquoi je le tiens pour le plus grave, et c'est pourquoi le désespoir de Judas m'a attristé plus moi-même et a été plus pénible à mon Fils que sa trahison. Les hommes donc seront condamnés pour ce faux jugement qui leur fait croire que leur péché est plus grand que ma miséricorde. (...) Ils sont condamnés pour leur injustice quand ils se lamentent sur leur sort plus que sur l'offense qu'ils m'ont faite.
Car c'est alors qu'ils sont injustes : ils ne me rendent pas ce qui m'appartient à moi-même, et ils ne rendent pas à eux-mêmes ce qui leur appartient. À moi on doit l'amour, le regret de sa faute et la contrition ; ils doivent me les offrir à cause de leurs offenses, mais c'est le contraire qu'ils font. Ils n'ont d'amour et de compassion que pour eux-mêmes puisqu'ils ne savent que se lamenter sur les châtiments qui les attendent. Tu vois donc qu'ils commettent une injustice, et c'est pourquoi ils se découvrent doublement punis pour avoir méprisé ma miséricorde.
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Oily trip day 1-2-3
Jaipur est découpée en tribu-commerces. (On loge dans le quartier des pharmacies, ça tombe bien). Je me concentre sur ma cicatrice et mes pieds : leur éviter les vaches et leurs bouses, les jets de crachats, les projections d’huile bouillante, les roues des charettes, les scooters, motos, rickshaws, humains. City palace, mouaif, ok le palais du musée est beau, décoré de guirlandes de pigeons, entouré de grappes d’enfants pouilleux et craquants. Wind palace (on n’arrivait pas à croire que c’était ce truc ) mouiafffff. Tu parles d’une ville rose. Quelques jolies maisons résistent au vacarme architectural, mais Jaipur ressemble à toutes les villes indiennes. Je me lamente (intérieurement car Eudes en a déjà ras le cul). Plus loin, Amber Fort est beau, labyrinthique, posé sur sa colline. Des hordes de touristes indiens ravis, très peu de foreigners.. ça c’est bien. Coincés dans les embouteillages, des pots d’échappement dans le nez et des klaxonnes dans chaque partie de notre corps, Eudes convient que c’est bien pire que ce qu’il n’a jamais vecu en asie. Il a passé 1h à acheter des clous, 1h à essayer des baskets-copies ( pour se barrer sous l’œil dépité du pauvre tout petit vendeur), 2s pour acheter un sac turquoise à 2€. On va diner au LMB, conseil de Manue, Eudes prend un thali, soupe for me ( ça caille le soir). Il n’aime pas les thali, je compatis, au bout de 2 jours jen ai deja marre du cumin. Diner errance dans les gargottes de la fête foraine. jadore ! En sortant, un type se lave les mains dans un saladier et balance tout ça dans des petites boules soufflées. Ça a lair bon et répugnant. Évidemment on essaye. Depuis, je fais caca tous les jours.
Les Tran, Catherine Tsétsé, le lonely, aiment cette ville....nous moins. On fuit avec un jour d’avance dans un bus correctement défoncé et sale pour Pushkar.
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Festival des Musiques Innovatrices / Saint-Etienne, Andrézieux et Saint-Héand (1987-2014)
15ème édition du 10 au 18 Juin 2004 : Blast - Catherine Crachat - Sklarska Poreba - Anthony Pateras - Robin Fox - Mark Harwood - Pan Sonic - Le Petit Cirque - Zu - La Campagnie des Musiques à Ouïr - Jéranium - Alessandro Bosetti - Groundlift - Kaffe Matthews - Ash In The Rainbow - Kouhei Matsunaga / John Duncan / Rudolf EB ER / Zbigniew Karkowski
ToTo n’aime pas la soupe / les concerts à Saint-Etienne en 2004 : Will Guthrie - Jacques Di Donato / Isabelle Duthoit / Bruno Meillier
RIP Mika Vainio, Zbigniew Karkowski
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Festival des Musiques Innovatrices / Saint-Etienne (1987-2014)
13ème Edition du 1 Au 10 Juin 2002 : Diane Labrosse / Martin Tétreault - Pierre Bastien / Jean-Pierre Marsal - Rotophormen - Nmperign - Masayoshi Urabe - Michael Vorfeld - Palinckx - Nappe - Janek Schaefer - Pita - Alexandre Pax - L’ensemble Rayé - Pascale Labbé / Christine Wodrascka - Viktoria Frey - Axel Dörner - Super Jean-François Plomb - Exposition photos Dominique Saliba
ToTo n’aime pas la soupe / les concerts à Saint-Etienne en 2002 : Voé - Catherine Crachat - Taku Unami / Masafumi Ezaki / Masahiko Okura - Oligo-Eléments
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