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Artaix - le Pont Canal

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HISTORIQUE

Le Canal de Roanne à Digoin, long de 56km, est construit entre 1832 et 1838. Pour franchir la dépression de terrain correspondant au lit de la rivière Arcon, un remblai en terrassement 300m de long et suffisamment haut (jusqu'à 12m) est édifié afin d'assurer la continuité du canal. Il permet ainsi aux péniches de franchir la petite vallée.

La largeur initiale du canal à cet endroit n'autorise pas le croisement des bateaux. C'est pourquoi entre 1895 et 1904, on construit une cuvette en maçonnerie plus large que le canal initial : cette cuvette repose sur la partie supérieure du remblai existant.

Au fil du temps, des infiltrations fragilisent peu à peu l'ouvrage.

CATASTROPHE du 3 février 1933

Dans la nuit du 2 au 3 février 1933, alors que s'annonce une période de dégel, le remblai et une des parois latérales de la cuvette s'effondrent soudainement sur une centaine de mètres. La totalité des eaux du bief long de 18km (500.000 m3) s'engouffre avec force dans la brèche causant la noyade d'un marinier.

Plusieurs bateaux qui stationnent entre les écluses de Briennon et d'Artaix se retrouvent échoués dans le lit du canal. La navigation est totalement interrompue pendant de longues semaines avec de nombreux bateaux immobilisés dans le port de Roanne.

RECONSTRUCTION de la cuvette

Afin de limiter les lourdes conséquences économiques pour l'ensemble de la région, des travaux de déblaiement et de reconstruction d'une nouvelle cuvette en beton armé sont rondement menés.

Le pont-canal d'Artaix tout neuf, présenté en 1935 dans le numéro spécial 254bis de Science & Industrie, de 1934-1935.

Véritable ouvrage d'art, ce nouveau pont-canal est constitué de 15 travées qui reposent sur autant de rangées de 5 piliers de sections rectangulaire. Ceux-ci prennent appui sur une semelle en béton dont l'épaisseur varie, suivant les endroits, de 0,30 à 1.40m. La cuvette supportée par les piliers à une longueur de 112m, une largeur de 14m et une profondeur de 3.20 m,. Les travaux qui ont coûté 1.500.000 francs de l'époque sont réalisés en deux mois. La navigation est ainsi rétablie 4 mois seulement après l'accident. Ce délai est remarquablement court...

De nos jours, la vue du pont-canal est génée par la végétation.

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ARTAIX - le PONT-CANAL suite

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La catastrophe du vendredi 3 février 1933

sur le canal de Roanne à Digoin, au Pont-Canal d'Artaix.

Vous vous situez ici, près du village d’Artaix, sur le chemin de halage, rive droite du canal «de Roanne à Digoin», à mi-distance entre ces deux villes.

Ce lieu, d’apparence si paisible de nos jours a pourtant connu une activité intense pendant plus d’un siècle, de 1838 jusqu’aux années 1950.

Cette voie navigable a vu passer jusqu’à 5 335 bateaux en 1896 et a enregistré un tonnage record de 583 480 tonnes de marchandises en 1918 au port de Roanne.

À l’origine, le canal était à cet endroit constitué d’une cuvette maçonnée sur un remblai surplombant de 12 m l’aqueduc sous lequel coule L’Arçon. Celle-ci avait été élargie au XXe siècle.

NUIT TRAGIQUE

extrait du "Journal de Roanne"

Au fil du temps, des infiltrations ainsi que les hivers rigoureux comme celui de 1932/33 mirent à mal cet ouvrage. Deux péniches, Le "Pierre" et "l'Aquilon" étaient bloquées par la glace près du village: « Minuit venait de sonner au clocher de l’église, tout dormait aux alentours.

Soudain, il y eut un craquement sinistre suivi d’un grondement analogue à celui du tonnerre, les échos se répercutèrent tout au long de la vallée de l’Arçon ».

La berge de contre halage venait d’éclater ouvrant une brèche de 106 m de longueur vidant sur 18 km le plus long bief de ce canal en emportant 30 000 m³ de maçonnerie et de terre. (le bief désigne le secteur d’une voie navigable compris entre deux écluses).

Sur le bateau L’Aquilon, Henri Espinasse, Charretier de son état, alors âgé de 29 ans voulant se rendre à l’écurie pour sauver ses chevaux, chuta dans les eaux glaciales. Son corps broyé et à moitié enseveli ne fut découvert que le lendemain matin par l’Abbé Defaye à 500 m du lieu où vous vous trouvez. Sans famille connue, Henri fut inhumé au cimetière d’Artaix.

Les dégâts de cette catastrophe furent filmés et diffusés à travers tout le pays par l’intermédiaire des actualités cinématographiques « Pathé Gaumont ». On dénombra pas moins de 2 000 voitures et 18 000 curieux venus constater l’ampleur du sinistre aux dires du journal de l’époque

Reconstruction d'un nouveau Pont-canal.

Le pont-canal d'Artaix tout neuf, présenté en 1935 dans le numéro spécial 254bis de Science & Industrie, de 1934-1935.

Description du Pont-canal actuel

Véritable ouvrage d'art, ce nouveau pont-canal est constitué de 15 travées qui reposent sur autant de rangées de 5 piliers de sections rectangulaire. Ceux-ci prennent appui sur une semelle en béton dont l'épaisseur varie, suivant les endroits, de 0,30 à 1.40m. La cuvette supportée par les piliers à une longueur de 112m, une largeur de 14m et une profondeur de 3.20 m,. Les travaux qui ont coûté 1.500.000 francs de l'époque sont réalisés en deux mois. La navigation est ainsi rétablie 4 mois seulement après l'accident. Ce délai est remarquablement court...

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Artaix Mémoire d'Outre Loire

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Inauguration du Panneau le Bac sur la Loire, le 14 avril 2019.

Roland RONDEPIERRE (Président de l’association Mémoire d'Outre Loire) évoque l'histoire du port et le temps ou il fallait emprunter le bac pour passer d’une rive à l’autre.

Au milieu : André ACCARY, Président du Conseil Départemental 71 Saone et Loire

A gauche : Eric NEVERS , Maire d’ARTAIX

A droite : Roland RONDEPIERRE, Président association Mémoire d'outre Loire Artaix.

Pas sur la photo : Maurice JANVIER, vice Président de l’Office du Tourisme de Marcigny 71

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Ce panneau est la manière physique de raconter l’histoire locale, en plus, pour accéder à nos informations, vous avez la possibilité de vous connecter à notre site/blog au moyen du QR code apposé au bas du panneau.

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Mr Eric Nevers, maire d'Artaix

"félicite l'association pour l'excellent travail accompli depuis sa création".

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Mr ACCARY, lui même féru d'histoire, s'est dit "heureux de voir émerger des initiatives locales."

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Les bénévoles de l'association, à gauche Mr le Maire, à droite Le Président.

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Clic ci-dessous pour accès descriptif du Panneau "le Bac sur la Loire"

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DISCOURS de Mr Roland Rondepierre, prononcé lors de l'inauguration du Panneau le Bac sur la LOIRE , le 14 avril 2019.

Bienvenue en bord de Loire , plus exactement dans ce cadre magnifique du Port d’ARTAIX, ce lieu emprunt d’histoire qui, d’après Mario ROSSI, existait déjà au temps des Romains.

Le passage de cet endroit fut très important pour les bateaux navigant sur la Loire jusqu’au milieu du 19eme siècle.

Au moyen age, le seigneur riverain, propriétaire des terres bordant le fleuve, y percevait des droits de passage très onéreux ainsi que des taxes sur toutes les marchandises embarquant ou débarquant au port.

Il existait ici autrefois un important chantier de construction de bateaux où, comme l’attestent les cahiers paroissiaux du 17ème et 18ème siècle, beaucoup d’habitants d’ARTAIX étaient employés. Ils exerçaient les métiers de charpentiers , forgerons, cordiers, cloutiers, cordiers ou encore fabricants de rames.

La Loire fait donc partie de l’ADN des habitants d’Artaix. Elle les a nourris, donné du travail jusque vers 1860, epoque de la construction du canal et des lignes de chemins de fer qui mire fin à la navigation sur la LOIRE.

Cet endroit était aussi très emprunté pour traverser le fleuve et fut le témoin de nombreux conflits entre le différents seigneurie des alentours.

Il y avait ici une autre activité au service du public de la région pour se rendre d’une rive à l’autre c’était le passage du « Bac » dont l’origine n’est pas connue.

Aucun pont n’existant par ici avant la construction de celui de Chambilly en 1838, on utilisait des barques de tailles différentes dimensions.

Sur le grand Bac, appelé « charrière » on pouvait transporter deux voitures à cheval ainsi que du bétail.

Le petit Bac, de moindre dimension assurait la traversée d’une trentaine de personnes.

L’embarquement se faisait à l’aide d’un ponton monté sur deux roues de char cerclées de fer qui pouvait s’adapter facilement aux différents niveaux des eaux.

Il s’agissait ici d’un Bac dit « a traille » car il était relié à un câble aérien fixé à un chevalement en tronc de chêne sur chaque rive.

La tension nécessaire pour adapter la hauteur du câble au niveau des eaux était assurée à l’aide du cabestan, sorte de tour en bois manœuvré à la force des bras.

Les anciens me racontaient, il y a peu de temps encore qu’après la construction du pont de Chambilly, et ceci jusqu’ à la fin des années 1950, les habitants de Marcigny traversaient la Loire ici sur le Bac avec leurs vélos, prenaient un réconfortant ici à l’auberge du port, très renommée à l’époque, et rentraient chez eux par le pont. C’était souvent la sortie du dimanche.

Nous avons donc décidé de sortir de l’oubli ce moyen de transport, de surcroît très écologique, dont l’activité était encore importante au début du 20 ème siècle surtout les jours de marché à Marcigny et qui perdura jusqu’en 1959, date à laquelle, le Bac ayant été emporté par une violente crue fut retrouvé fracassé à Digoin . On décida alors de ne pas le réparer.

Les derniers passeurs furent Marius et Germaine JOLIVET, ils habitaient la maison que l’on voit ici, juste au dessus du port.

En nous appuyant sur le passé, nous voulons aider à conserver l’identité de notre village.

En transmettant la mémoire de l’activité de ces lieux qui furent les témoins de la vie de nos ancêtres, nous espérons susciter la curiosité et la réflexion des plus jeunes afin de rendre plus attrayant l’avenir de nos bords de Loire où il fait encore si bon vivre .

Un grand merci à tous ceux qui ont participé à la réalisation de ce panneau, à ceux qui nous aident physiquement et pécuniairement tout au long de l’année , à ceux qui nous ont fourni des documents, ainsi qu’à la revue Mémoire Brionnaise

Merci bien sûr à

tous les membres de notre association,

ainsi qu’à Caroline CAPELLE TOURN, l’auteur de la photo reproduite sur le fond du panneau,

et à Alexis TOURN, le concepteur graphique du panneau.

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Roland Rondepierre, Président de l'association ARTAIX Mémoire d'outre Loire.

[lalignedujour]

Celle-ci, c'était à vélo, le long du canal de Roanne à Digoin. J'avais pas vu les ronces qu'il y avait sur le côté et paf. C'était pas grand chose, mais c'est resté quand même. Ça fait - quoi ? - quatre ans maintenant ? Cinq ?

[valeriequemenerphotography]

Nouveau terrain de jeu au canal latéral de Roanne à Digoin :) . . . #canal #canalroannedigoin #saoneetloire #saoneetloiretourisme #bourgogne #bourgognefranchecomte #france_vacations #hello_france #super_france #visitelafrance #jaimelafrance #grandest_focus_on #urbanphotography #urbanlandscape #documentingspace #photozine (à Digion France) https://www.instagram.com/p/B7YZIWTozvX/?igshid=1luh6wzn0gpfx

[lerepondeurdesinsoumis]

Alors qu'il est un atout, notre réseau demeure mal exploité, quand il n'est pas totalement inexploité

Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, nous connaissons depuis de nombreuses années une situation dans laquelle les voyants de tous les secteurs des transports sont au rouge, avec une augmentation des émissions de gaz à effet de serre due à la progression de tous les trafics routiers au détriment du ferroviaire et du fluvial.

Pourtant, vous en conviendrez, pouvoir naviguer sur des milliers de kilomètres, c'est la richesse de la France. Avec 8 500 kilomètres de voies navigables, ce réseau fluvial est le plus long de l'Europe.

Alors qu'il est un atout, notre réseau demeure mal exploité, quand il n'est pas totalement inexploité. Cette situation, due aux politiques du tout routier, conduit, d'une part, à une augmentation des émissions de gaz à effet de serre, et, d'autre part, à une saturation de nos routes – il n'y a qu'à faire un trajet sur le réseau autoroutier pour s'apercevoir du nombre faramineux de camions présents…

La marge de progression du transport fluvial est considérable ; pour comparaison, nos voisins néerlandais et allemands utilisent leurs réseaux, légèrement moins importants que le nôtre, entre quatre et six fois plus que nous.

Dans le département de la Loire, la ville de Roanne et le canal Roanne-Digoin ont tous les atouts pour contribuer au développement du fluvial : la chambre de la batellerie est prête à affréter des produits, des industriels roannais sont intéressés, la majorité des élus locaux ont émis un avis favorable, les vignerons de la Côte-roannaise sont prêts à véhiculer leur vin par péniche et Voies navigables de France a réalisé d'importants travaux sur le canal ces dernières années.

Tous les feux sont donc au vert, si ce n'est que la force publique manque d'entrain lorsqu'il s'agit de prendre des décisions et d'accompagner le développement du fluvial, et que la chambre de commerce et d'industrie demeure silencieuse ; pourtant, il ne reste qu'à aménager le quai, à apporter les grues, et à trouver un gestionnaire.

À l'occasion de ce débat, je vous demande donc, madame la ministre, ce que le Gouvernement entend faire pour amplifier le report de marchandises sur notre réseau fluvial. Je rejoins ce qui a été dit à propos du coût : quand effectuer le trajet Roanne–Le Havre coûte quatre fois plus cher par bateau que par la route, on peut concevoir être limité dans le développement du fret fluvial. Il est donc nécessaire que la puissance publique intervienne pour contribuer à réduire le coût de transport et pour encourager le développement du fret fluvial.

M. le président. La parole est à Mme la ministre.

Mme Élisabeth Borne, ministre auprès du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire, chargée des transports. Madame la sénatrice, vous m'interrogez sur la politique du Gouvernement en matière de fret fluvial.

J'ai eu l'occasion de l'évoquer, le premier enjeu est la remise à niveau de notre patrimoine. En effet, les montants qui y ont été consacrés, au cours des dernières années, sont très en deçà des besoins pour maintenir notre réseau fluvial en état, sans parler de le moderniser… Il fait donc vraiment partie des travaux du Conseil d'orientation des infrastructures de programmer des moyens suffisants pour la régénération et la modernisation de nos itinéraires fluviaux.

Peut-être faudra-t-il avoir une politique centrée aussi sur les quelques itinéraires les plus prometteurs du point de vue du fret fluvial – c'est le sens des questions posées dans le rapport sur l'éventuelle fermeture au trafic de certaines voies –, mais il faudra vraiment, dans le cadre du projet de loi de programmation des infrastructures, que je présenterai, faire des choix plus ambitieux, du point de vue tant de la régénération que de la modernisation de notre réseau fluvial.

Je mentionnais l'axe Seine ; on a aujourd'hui à portée de main une autoroute fluviale, si je puis dire, qui ne demande qu'à être modernisée pour permettre un report important de la route sur le fleuve.

Effectivement, d'autres canaux sont de plus petite importance. Vous mentionnez en particulier le canal de Roanne à Digoin – un canal latéral à la Loire datant du XIXe siècle. L'emport maximal des péniches est, en l'occurrence, de 300 tonnes sur cet itinéraire ;…

Mme Cécile Cukierman. En effet !

Mme Élisabeth Borne, ministre. … il n'est donc plus utilisé aujourd'hui pour le fret, même si des passages spécifiques restent possibles. En revanche, cet axe connaît une dynamique touristique certaine, et je pense que le département de la Loire est très mobilisé pour y favoriser le développement du tourisme fluvial.

Les investissements de VNF sur l'itinéraire permettront de conforter ce développement du tourisme fluvial, qui est une des autres utilisations possibles de notre réseau de voies navigables, en France.

from Groupe Communiste, Républicain, Citoyen et Écologiste https://ift.tt/2M5D1AS via IFTTT

[wikitopx]

On the Loire, Roanne is an old river port that has been reborn as a resting place for tourists.

Most people know Raonne for two reasons: Archaeological Museum, where there is an Egyptology department there with the best in the country. But also for food, like the restaurant, La Maison Troisgros here has held three Michelin stars continuously since 1968. The Loire was part of Roanne's charm and was demolished to create a large lake and a beautiful canyon where the hills filled with green vines fell into the water. Discover the best things to do in Roanne.

[toc]

1. Musée des Beaux-arts et d’Archéologie Joseph-Déchelette

Roanne Lemon City Museum shines for archeology and decorative art. It has a compelling Egyptology collection with funerary masks, steles, amulets, sarcophagi and vases going back to the 4th Dynasty around 4,500 years ago.

Most of these were brought back to France by the museum's name, archaeologist Joseph Déchelette. After that, the ceramics is lauded as the richest in the region and has faience from Delft, majolica and Italian tiles from the 16th to the 18th century.

Until the 1900s, Roanne had her own terracotta industry and this was also covered in galleries.

2. Guided Tour of the Centre

At 10:30 on Tuesdays in July and August, a guide from the tourist office leads groups around the town pointing out the main sights and the story behind them. It’s the best way to find some details you might otherwise have missed, like the Gallo-Roman pottery kilns.

You'll also go inside Château de Roanne, an 11th-century mansion, which now houses the Roanne town hall, as well as the tourist office. Among the thing you’ll see on the streets are medieval houses like the Maison à Pans de Bois, a cute timber-framed house listed as a French historic monument.

3. Gorges de la Loire – Nord

It's not hard to find inspiration for the roaches around Roanne: If you follow the river upstream for a few minutes, you'll come to a beautiful canyon with shallow steep walls, formed by Villerest Dam.

The river expands here and weaves through an enchanting blend of Mediterranean and temperate landscapes with grasslands and slopes carved with vineyards.

Lending real drama to the lake is the perched village of Saint-Jean-Saint-Maurice lifted high above the river, and the romantic Château de La Roche, stranded on an island in the river after the dam was completed in the 20th century.

4. Train Touristique des Belvédères

If you’re visiting the gorge with littler family members you can opt for this mini train instead of hiking. It’s a seven-kilometer loop designed to give you the best panoramas from the hills around the Loire.

The ride will only take over an hour, and there is a guided comment as you go. The train operates from May to September, and during the school holidays, there are now balloon modelers, magicians, clowns, and musicians to keep kids entertained.

5. Château de La Roche

The unforgettable castle in Gorges de Loire is open daily during the summer months. Looks can be a little deceiving because although the castle was founded in the 1200s it suffered down the ages.

It was a ruin when the dam was built, but in the 1990s the building was given a new fairytale design and was linked to the shore by a new bridge. There are five galleries telling the story of the castle disturbance and decorating it in a medieval style.

Every Friday evening in the summer you can come to the castle for a glass of wine and ponder the scene from the terrace.

6. Les Halles Diderot

Open every morning, except on Mondays, the Roanne covered market has lots of delicious food, as you expect from a townhouse to the legendary Maison Troisgros. Les Halles Diderot is a luxurious culinary experience, similar to the Baul Bocuse market in Lyon.

Many of the traders are at the top in their fields, like the Pralus chocolatier, the fishmonger Mr. Chavrier and the fromagerie Mr. Mons. There are three restaurants in the market, and for a real foodie activity, you can come to taste freshly shucked oysters.

7. Port de Plaisance

Now just for entertainment, the Roanne Hay river port used to transport tons of coal, ceramics, cereals, and timber all the way to Nantes on the Loire and Paris on the canal system.

Previously, they would use the taxi cabs of Muslims, specially made from oak with the flat hull. That ended in 1992, and today, it is a popular mooring point because of its low price and cheerful atmosphere. You can hire an electric boat from the jetty here.

These accommodate up to seven people and you won’t need a license; in the summer you can just show up and embark on a little voyage on the canal between Roanne and Digoin, 70 kilometers to the north.

8. Roanne’s Chapels

Roanne has several churches, and the smaller they get, the more interesting they are. Take Chapelle Saint-Michel, founded in 1617 for a Jesuit university and designed in the Italian Renaissance style.

The ingenuity inside deserves a closer look for the altar with a multicolored marble mosaic, carved wooden platform, and stalls. Over the last 400 years, it’s been used home, a grain deposit and even a post office.

9. Lac de Villerest

Downstream from the Gorges de Loire and a little closer to Roanne is the lake where the town comes to unwind in summer. Like the canyon, this was created and created by Villerest.

On the banks are gently sloping hills with forests and meadows, agricultural farms and recreational facilities that you can take full advantage of. On the north shore, there’s a beach watched by lifeguards in July and August, and combined with a mini-golf course, campsite and kids’ playgrounds.

There is also a small port where you can take a boat to Château de La Roche.

10. Musée Alice Taverne d’Ambierle

In the village of Ambierle, a few kilometers west is a museum with the coveted “Musée de France” label. Alice Taverne was a 20th-century historian and ethnographer who helped safeguard the folk traditions of the region she grew up in.

The objects that Tavierne collected were the basis of a museum in 1952. What you see are patterns of local life from 1840 to 1950, with the interior of houses (both modest). expensive and premium), a lace workshop, cooperation, general stores and a lot more.

Each display is full of authentic historical details, such as classic signs, tableware, and food containers.

More ideals for you: Top 10 things to do in Rambouillet

From : https://wikitopx.com/travel/top-10-things-to-do-in-roanne-709622.html

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Contact email : mol.artaix@gmail.com

CAPELLE Jean-paul (Président)

RONDEPIERRE Roland (Vice-président)

CAPELLE Roselyne (Secrétaire)

LAILLET René (Tresorier)

Date de création de l'association : 2014.

Son but : retracer l’histoire du village au travers de photographies, textes ou légendes et valoriser les actions en vue de la préservation du patrimoine communal.

Le montant de la cotisation annuelle est fixé à 10 euros (gratuit la première année)

L’association compte une vingtaine de membres actifs cotisants.

Quelques autres habitants de la commune sont sympathisants et apportent leur aide pour les manifestations.

◇Gestion de 2 événements annuels :

le 1er Mai - La marche du Muguet, randonnées pédestres autour d’Artaix ( 5, 10, 15, 20 km)

le 1er dimanche de Juillet - la Guinguette avec orchestre et repas au bassin du canal.

Organisée dans le cadre des « Voix d’eaux de l’été » , animation initiée par l’association du canal de Roanne à Digoin, nous participons depuis 2016.

◇Historique des actions menées :

fin Avril 2016 - Un premier panneau le PONT CANAL explicatif décrivant la catastrophe du 3 Février 1933, (éclatement de la cuvette du canal au-dessus de la rivière Arçon, et construction du nouveau « Pont-Canal ») été mis en place en présence des élus locaux.

printemps 2019 - Un second nous rappelle l’activité du passage du BAC sur la Loire pour traverser la Loire au Port d’Artaix . Mr ACCARY président du conseil départemental était présent à l’inauguration au.... suite....

le 28 septembre 2019 – Inauguration du panneau José PELLETIER, posés au centre du village, en présence de plus de 150 personnes, en l’honneur de José Pelletier, enfant du pays et coureur cycliste deux fois vainqueur du Tour de France en 2ème catégorie (1920 et 1922).

◇Les débuts

L’association « Artaix Mémoire d’Outre Loire » a été créé en 2014, sous l’impulsion d’Eric Nevers , maire du village depuis cette même date.

Elle a pour but de retracer l’histoire du village au travers de photographies, textes ou légendes et valoriser les actions en vue de la préservation du patrimoine communal

Le 8 juin 2014 - Une invitation a été envoyée aux habitants de la commune et une première réunion constituante a eu lieu. Une vingtaine de personnes y ont participé.

La proposition du maire concernant l’intitulé de l’association a été retenue et après la lecture des statuts, le bureau a été constitué comme suit :

Président : Roland RONDEPIERRE

Secrétaire : Nicole PELLARINI

Tésorière : Elodie NEVERS

Arnaud BONNET , Marie Noëlle RAJAT et Corine LIDOINE sont élus au conseil d’administration.

Les autres personnes présentes sont membres actifs de l’association.

Quelques idées ont déjà émergé de cette première réunion et le président étant déjà en possession de plusieurs documents anciens, une exposition photos a été mise en place. Elle a été très appréciée par de nombreux habitants de la commune et des familles de l’extérieur qui avaient eu un lien avec notre village.

Par la suite il a fallu trouver des moyens pour récolter des fonds.

DATE - Un premier concert donné à l’église par l’Harmonie de Marcigny a attiré une centaine de personnes , apportant ainsi leur soutien sans faille à l’association .

Mai 2015 - La décision de réorganiser la randonnée pédestre du Muguet a été prise et a eu lieu le 1er Mai

Juillet 2016 - Dans le cadre des « Voix d’eaux de l’été » , animation initiée par l’association du canal de Roanne à Digoin, Artaix MOL y participe depuis 2016 en proposant une guinguette avec orchestre et repas friture au bassin du canal début juillet

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molartaix vous propose 6 circuits randonnees sur Artaix Saône et Loire France

Lien vers le Nouveau Site

ou continuer sur l ancien

6 Circuits randonn��es pédestres

Départ devant l'église

Arrivée devant l'église

Circuit A

- les Mariniers -

3km / dénivelé + - 30m

difficulté : facile / temps : 45mn

Faire un clic ou mettre le doigt sur la fiche ci dessus pour télécharger document circuit A

télécharger la fiche tech. du circuit A

télécharger la trace .gpx du fichier A

Circuit B

- du Canal à la Loire -

6 km / dénivelé : +et- 45m

Difficulté : facile / temps : 1h45mn

Faire un clic ou mettre le doigt sur la fiche ci dessus pour télécharger document circuit B

télécharger la fiche tech. du circuit B

télécharger la trace .gpx du circuit B

Circuit C

- du Canal aux 4 vents -

7km / dénivelé : +et- 48m

Difficulté : moyen / temps : 1h45mn

Faire un clic ou mettre le doigt sur la fiche ci dessus pour télécharger document circuit C

télécharger la fiche tech du circuit C

télécharger la trace .gpx du circuit C

Circuit D

- du Port aux 4 vents -

9km / dénivelé : +et- 58m

Difficulté : moyen / temps : 2h30mn

Faire un clic ou mettre le doigt sur la fiche ci dessus pour télécharger document circuit D

télécharger la fiche tech du circuit D

télécharger la trace .gpx du circuit D

Circuit M5

Faire un clic ou mettre le doigt sur la fiche ci dessus pour télécharger le document circuit M5

Clic sur sur le pavé ci dessous pour le detail et telecharger

Circuit M15

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ARTAIX - son Histoire

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En 1904 ARTAIX :

754 habitants, Poste et gare de Marcigny, à 4 kilomètres, à 33 kilomètres de Charolles.

Superficie : 2.177 hectares, dont 930 en prairies, 736 en céréales et cultures, 429 en bois et 82 en vignes. Vins assez bons, soutout ceux de Michoyers et des Pérates.

Commerce de bétail gras et de grains. Tissage de la soie.

Village situé sur une petite éminence près de la rive gauche de la Loire. Territoire traversé par le canal de Roanne à Digoin.

Château moderne des Sagets. Église nouvelle.

La « ville » d'Artaix et la terre de Chenay étaient situées sur les confins du Forez et de la vicomté du Mâconnais.

Cette situation fit leur malheur, parce, que non seulement leurs seigneurs les accablèrent d'impôts sous prétexte de construction et d'entretien des fortifications, mais encore parce que suivant la fortune des armes, ou la fantaisie de leurs seigneurs, ceux-ci durent prêter hommage tantôt au comte de Forez, tantôt au duc de Bourbon ou de Bourgogne et payer beaux deniers à ses suzerains sans préjudice du simple hommage dû au seigneur de Luzy.

Les titres du XIII° siècle, époque des petites guerres féodales, fournissent trop souvent des échos de ces difficultés ainsi que des plaintes et de la misère des habitants.

Artaix possédait un port sur la Loire. Les crues du fleuve l'ont fait disparaître depuis longtemps. Le port a été remplacé par un bac aujourd'hui très fréquenté.

Artaix en Duché était du bailliage de Semur et de la justice de Maulevrier et formait les trois quarts de la paroisse.

Artaix en Royauté dépendait du bailliage de Mâcon, et de la justice de Marcigny. Le prieur de Marcigny nommait à la cure.

La prévoté de Marbau fut donnée au XII° siècle par Béatrix de Marbau au prieur de Marcigny ; elle comprenait :

1 Foretille, les Ramiers, le Port, les Brénons, les Bois.

Par arrêt du Grand Conseil, en 1577, pour finir les contestations entre les seigneurs d'Artaix et la prieure de Marcigny, Henri Groslat, conseiller commissaire, envoyé sur les lieux, fit planter des bornes aux armes des deux seigneurs.

Celui d'Artaix et de Maulevrier était, en 1500, Philibert de l'Espinasse. Odette Belle, sa veuve, se pourvut en 1506, pour la reprise de ses droits, contre Anne de Pressen duchesse d'Etampes, donataire d'Aymard de l'Espinasse, héritier de ces terres.

Le port d'Artaix était un péage très onéreux. Le Roi, par un arrêt de son conseil du 28 février 1730, maintint son droit de bac et de péage et de deux sous six deniers sur chaque bateau montant ou descendant la Loire et supprima tous les droits de péage. J. de Châteauvilain, fils du fondateur du chapitre de Semur, affecta la rente de 20 livres donnée aux chanoines, sur le port d'Artaix, dépendant de la baronnie. Ils en jouirent jusqu'à leur suppression en 1776.

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ARTAIX - le Gué Sadin de la rivière l'Arcon

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Pendant très longtemps, ce passage a été beaucoup fréquenté. Surtout avant 1835, date de la construction du pont sur la Loire à Chambilly afin de rejoindre le Port d’Artaix . De là, on pouvait traverser le fleuve en direction de Marcigny ou bien y embarquer les produits locaux jusqu’au milieu du 19eme siècle, avant la construction du canal de Roanne à Digoin qui mit fin à la navigation sur la Loire.

La FETE du MUGUET au Gué Sadin

Fondé en 1946, le Comité des Fête organisait ici, chaque année, le premier dimanche de Mai, la Fête du Muguet. Cette manifestation, mise en place dans le but de retenir une jeunesse qui, déjà à cette époque, avait tendance à s’exiler vers la ville.

Les pionniers de cette longue histoire du Comité des Fêtes d’Artaix , qui dure depuis 75 ans , ont du faire preuve de beaucoup de courage et de dévouement pour réussir à attirer un nombreux public dans ce lieu sans aucune commodité. Cette fête perdura jusqu’en 1973.

Au sortir de la deuxième guerre mondiale, les plaisirs simples étaient très appréciés. Différentes animations y étaient présentes : Bal, tir à la carabine, jeu de quilles etc.

Des tables étaient installées sous les arbres et on pouvait se restaurer tout au long de de la journée.

Dans l’allégresse générale, les couples dansaient au son de l’accordéon et du saxophone au rythme de la batterie, sur un parquet couvert, parfois entouré par les eaux de la rivière en crue

Les jeunes partaient d’ici à la découverte des petits coins secrets et discrets des sous-bois afin d’y cueillir les plus beaux brins de muguet pour les offrir à une personne bien aimée.

Plusieurs grands chênes entourant la petite place ont étés abattus, emportant avec eux le souvenir des ébats amoureux des jeunes des générations qui nous ont précédées.

Pour ceux qui aiment la tranquillité, vous pouvez toujours profiter du calme et de la fraîcheur des ombrages de cet endroit bucolique, autour duquel, il est encore possible de nos jours, d’y cueillir l’éternel brin d’amour.

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Marche du Muguet Artaix

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Evenement le lundi 1er mai 2023

Départ / Arrivée salle des fêtes Artaix

Inscriptions à partir de 8h

Prix suivant le circuit (gratuit pour les enfants de - 12ans.

Ravitaillements sur les parcours et un brin de muguet (en fonction de la cueillette )

Pour tous les randonneurs participation â une TOMBOLA, tirage du gagnant en fin de journée.

contact : mol.artaix@gmail.com

Tel : 0661235836

Notre Association vous propose de participer â la

Marche du Muguet

le 1er mai

4 circuits : 05*- 10 - 15 - 20

*circuit 05 JEUX QUIZZ pour les enfants (gratuit -12ans)

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Circuit 05 *

Km : 5.83 / dénivelé : +et-22m /

Les exploits cyclistes de José Pelletier, l’église, le lavoir près du pont sur le canal de Roanne à Digoin. sur les pas des canalous, vue sur la ferme du Pascal, le Pont-Canal et le déversoir. Le chemin de halage entre deux rives boisées qui semblent vous protéger du monde extérieur. Le Port sur la Loire, un lieu chargé d’histoire et le passage du Bac » qui perdura jusqu’en 1959. La borne de nivellement au bord du fleuve. La passerelle du Moulin sur la rivière Arçon au pied du village.

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Circuit 10

Ouvert que le 1er mai

Km : 10 / dénivelé : +et- 68m /

Sur la route du « Maconnais » avec vue sur la vallée de la Loire et les collines brionnaises. Les sous-bois du Gué Sadin où se cache le muguet porte bonheur et la passerelle sur la rivière Arçon » dans un cadre bucolique. Le Bassin et le chemin de halage du canal de Roanne à Digoin , entre deux rives boisées qui semblent vous protéger du monde extérieur. Le Port sur la Loire ; un lieu chargé d’histoire et le passage du « Bac » pour relier Marcigny qui cessa son activité en 1959. La borne de nivellement au bord du fleuve. Le Pont-Canal vu du dessous. La passerelle du Moulin au pied du village.

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Circuit 15

Ouvert que le 1er mai

Inscriptions jusqu'à 13h

Km : 14.96 / dénivelé : +et-134m /

En montant le chemin creux, vue sur la vallée de la Loire et les collines du brionnais puis, après le « Bois des Rapes » sur la ligne bleu des Monts de la Madeleine, derniers contreforts du Massif Central ». Les sous-bois du Gué Sadin ou se cache le muguet. La montée vers « Les Ménards » et, avant de reprendre le bois, point de vue sur Marcigny. Le Bassin et le chemin de halage du canal de Roanne à Digoin, entre deux rives boisées. Le Port sur la Loire, un lieu chargé d’histoire et le passage du Bac pour relier Marcigny qui cessa son activité en 1959. La borne de nivellement sur la droite au bord du fleuve. Le Pont-Canal vu du dessous. La passerelle du Moulin au pied du village.

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Circuit 20

Ouvert que le 1er mai

Inscription jusqu'à 12h

Km : 20.35 / dénivelé : +et- 98m /

Les exploits cyclistes de José Pelletier, l’église, le lavoir près du pont sur le canal de Roanne à Digoin. Les chemins bordant la Loire . La passerelle sur la rivière Arcelle et le Pont aqueduc des Vernes. Le chemin de halage puis la montée vers les collines boisées où se cache le muguet. La passerelle du Gué Sadin dans un cadre bucolique sur la rivière « Arçon ». Le Bassin, la Levée du canal sur les pas des Canalous. Le Port sur la Loire, un lieu chargé d’histoire et le passage du Bac pour relier Marcigny avant la contruction du pont de Chambilly en 1838. La borne de nivellement au bord du fleuve. Le Pont-Canal vu du dessous. La passerelle du Moulin sur la rivière « Arçon » au pied du village.

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