#camionnette
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un camouflage de van contre le vol
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/un-camouflage-de-van-contre-le-vol/
un camouflage de van contre le vol
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Ford Maverick 2025: Le Nouveau Pickup Abordable et Polyvalent
Découvrez le Ford Maverick 2025, le pickup compact révolutionnaire avec un design audacieux, des motorisations hybrides et EcoBoost, et une technologie avancée. Le Ford Maverick 2025 présente un design extérieur audacieux et moderne. Ce pickup compact affiche une calandre imposante et des lignes dynamiques. Les phares à LED et les feux arrière stylisés renforcent son allure contemporaine.…
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Pollution numérique, croissance et ressources galactiques
Image : stevosdisposable, Unsplash
Outre leurs aspects positifs, les plateformes numériques et les réseaux sociaux polluent. D’une part, en raison des ressources et de l’énergie requises pour fabriquer les équipements, les alimenter et transmettre des données (ce qui représente plus de 2 % des émissions globales de gaz à effet de serre1); et d’autre part, indirectement, en tant qu’outils d’influence et de véhicules publicitaires omniprésents qui nous incitent à consommer toujours davantage.
Le lobbying des grandes entreprises et les réglementations laxistes qui en résultent resserrent l’emprise du secteur privé sur nos vies en ligne et hors ligne. Dans un monde aux ressources finies, il faut rejeter l’idée même de croissance économique continue. Cet objectif physiquement impossible à maintenir est pourtant celui que nos gouvernements ne cessent de viser, à l’encontre du gros bon sens et du pragmatisme dont plusieurs se réclament.
Ne serait-ce que pour cette occultation délibérée des conséquences à long terme de nos comportements, les États méritent d’être visés par des poursuites citoyennes comme celle intentée dernièrement contre la Suisse pour inaction climatique2.
Voie lactée
Dans un article3 publié dans Nature en 2022, l’astrophysicien Thomas W. Murphy Jr démontre que le maintien d’un taux de croissance économique mondiale de 2,3 % par année (le FMI prévoit qu’il sera de 3,2 % en 2025) exigerait, après quelque 2 500 années, l’équivalent de l’énergie produite par les 100 milliards d’étoiles de la Voie lactée! Tout cela au bout d’une période correspondant à un peu plus de la moitié de l’âge de la grande pyramide de Gizeh, une longue période historique, mais courte à l'échelle d'une espèce.
Stimulation de la croissance – on nous prend par les sentiments
Au-delà des gaz à effet de serre et de la pollution qu’engendrent les technologies numériques elles-mêmes, il y a un problème bien plus profond qui relève notamment de la psychologie (les réseaux sociaux, la « science » économique) et qui touche la société dans son ensemble.
Soumis·es à une logique néolibérale implacable où prime le rendement des investissements, nous nous exposons chaque jour à des publicités qui créent plus de désirs qu’elles n’en assouvissent. Une demande stable est ainsi générée, qui sert les intérêts du capital plutôt que ceux de la société.
En effet, le « social » de « réseau social » ne désigne guère plus que la marchandise sociale vivante que nous sommes. Nous évoluons dans des bocaux en forme de réseaux, toujours à la vue, occupé·es à liker, à détester, à partager, à suivre, à se comparer, à envier les riches, à déplorer (ou non) le sort que notre mode de vie réserve aux espèces non humaines qui ont le malheur de nous côtoyer (à quelques animaux de compagnie près). Mais nous ne changeons pas forcément nos habitudes pour autant. Nous gobons ce qui, utile ou non, peu importe, tombe à portée de clic, pourvu que l’objet convoité (une belle grosse camionnette à plateau pratique pour faire l’épicerie?) promette d’atténuer, ne serait-ce que momentanément, l’insécurité, l’ennui, la frustration, le désarroi, le vide existentiel, etc. Autant de sentiments exploitables par l’industrie et que la consommation matérielle ne peut durablement apaiser. Et autant de sentiments qui, chez notre industrieuse espèce, avec ses systèmes de paiement et de livraison ultraperformants, se traduisent ultimement en gaspillage de ressources et en montagnes de déchets.
Épitaphe
La stimulation ininterrompue de la consommation à des fins de croissance constitue une attaque contre le bien-être des générations actuelles et futures.
Cessons de croire au dogme absurde et dangereux de la croissance économique continue et réduisons notre consommation frénétique de biens. Sinon, la Terre aura tôt fait de disposer de nos restes en une mince strate sédimentaire toxique.
Mais peut-être qu’il y a une appli pour gérer ce genre de situation. À suivre…
Références :
Cliche, Jean-François (2020, 7 janvier, mis à jour le 8 mars 2023). « Vérification faite: le streaming, aussi polluant que tous les avions du monde? ». Le Soleil (Québec), sur le site lesoleil.com. Consulté le 15 avril 2024. https://www.lesoleil.com/2020/01/08/verification-faite-le-streaming-aussi-polluant-que-tous-les-avions-du-monde-7acb2bf064ed0ba0d6b6bdb6b9e3f13d/
Agence France-Presse (2024, 9 avril). « La Cour européenne des droits de l’homme condamne la Suisse pour inaction climatique ». Radio-Canada, sur le site ici.radio-canada.ca. Consulté le 15 avril 2024. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2063533/climat-cedh-jugement-historique-condamnation-suisse
Murphy, Thomas W. Jr. (2022, août). « Limits to economic growth ». Nature Physics, vol. 18, sur le site nature.com. Consulté le 15 avril 2024. https://www.nature.com/articles/s41567-022-01652-6.epdf?sharing_token=yNwL92oPzcpklZSqVsr-ndRgN0jAjWel9jnR3ZoTv0N0u2htmeT1Hou6SrdtT_vjhsjDi8mPyrY6gILuO1cIPYM5r9vTrCV6dFSGWkHiq63t24rvELuWNN1w82farMIezAYiWj7ialZ8KkzI_SEgHP98WBPRE6PFu8lx9H4EP5A%3D
#voie lactée#pollution#réseaux sociaux#plateformes numériques#croissance#publicité#consommation#camionnette
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UN HOMME UN VRAI
(Des mots sur une camionnette.)
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Votre Taxi camion #Paris et région Parisienne
#taxi camionnette#déménagement urgent#petit déménagement#transport de meuble#man and the van#taxi camion#camion avec chauffeur#déménagement Paris
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RENAULT NN Camionnette 1921
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saga: Soumission & Domination 353
Nathan, l'apprenti de Julien-2 + WE à la campagne-1
Je m'occupe de son moyen de transport. Comme son scooter squatte le garage, je demande à Cyril de passer le voir. Analyse : un vieux Peugeot tout pourri, carters rapiécés, moteur à l'article de la mort d'après lui, c'est plus une ruine qu'un scooter digne de ce nom. Je le charge de me remplacer ça de toute urgence.
Dans la soirée il arrive avec la camionnette de son père. Dedans un scooter tout neuf de chez Peugeot aussi, un Speedfight Darkside. Ce n'est qu'un 50cc 4 temps mais sans permis, c'est le maximum qu'il puisse piloter. Toute option plus la sacoche étanche pour PC, et bien sur le casque qui va bien un Shark Race R pro en mat ça ira avec son nouveau blouson en cuir noir lui aussi. Faudrait pas qu'il s'abime maintenant qu'il a rejoint ma petite troupe !
Cyril repart avec le vieux pour le mettre à la casse !
Je fais part à Julien de la surprise qui attend son apprenti. Il me dit vouloir participer et me demande combien j'ai besoin. La réponse est vite faite : rien bien sûr !
Je l'entends gueuler dans sa boutique. J'espère qu'il n'a pas de client. Il me dit qu'il se rattrapera sur les équipements. Quand je lui dis que ça aussi c'est déjà fait. Il abdique. Je lui suggère de le récompenser par une prime, à son âge et avec ses parents, il a sûrement plus besoin d'argent que d'un casque en plus !
A l'entrainement suivant, qui n'en est qu'un, il faut bien de temps en temps être " sérieux " (donc pas de baises pour ceux qui n'auraient pas compris), nous lui faisons la surprise. Au moment du départ, il me dit qu'il va récupérer son scoot pour pouvoir rentrer chez lui le WE. De toute façon Enguerrand et Max doivent aller à la " campagne " et Julien doit bien s'en séparer de temps en temps pour respecter la législation du travail.
Je l'accompagne jusqu'à sa nouvelle monture garée à coté de nos motos. Il cherche son vieux scooter du regard et me demande où je l'ai mis. Je tape sur la selle de son nouveau jouet et lui tends ses nouvelles clefs. En même temps je l'informe qu'il n'avait pas le choix, des engins comme celui qu'il avait avant n'avait pas droit de cité dans mon garage.
Je lui mets son nouveau casque en mains et lui dis de rentrer vite fait chez Julien. Il m'obéi. C'est ça qui est bien avec les jeunes, c'est qu'ils sont obéissants, enfin quand on ne tombe pas sur des " petites frappes " du type de Max ou d'Enguerrand qui n'en font qu'à leurs têtes ! Mais, comme je les adore ces deux-là, j'accepte beaucoup ! Pour preuve, j'abrite leurs amours avec Adam, j'ai intercédé pour que leurs parents acceptent l'organisation de leurs " agendas ". Et ce n'est pas parce que j'ai couché avec les deux. Ils sont justes, gentils, amoureux et ... mignons comme tout !
WE à la campagne :
Premier grand WE du genre. Par-là, j'entends que nous sommes tous ensembles chez les parents de Ludovic.
Pour le compte : Côme bien sûr, Ludovic et moi plus PH, invité n°1, Enguerrand et Max plus Nathan, invité n°2. J'ai pris la 300C et PH son roadster SL.
La maison se trouve envahie de 7 jeunes mecs pour 2 jours. Madame mère est ravie d'avoir ses trois fils avec elle et qu'ils aient invité des amis lui convient également.
Le père est plus circonspect même si son accueil est chaleureux. Depuis les révélations concernant ses deux derniers fils, il est devenu très attentif aux signes. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour voir qu'entre PH et son fils et moi il y a un peu plus que des relations d'amitié. Il remarque la même chose concernant le trio des jeunes.
Vendredi soir :
Nous sommes arrivés pour diner. Juste le temps d'un apéritif rapide qui permet à leurs fils de présenter nos " invités " et nous passons à table. Bien qu'il fasse beau en ce début de printemps, madame nous a fait un pot au feu. Nathan ne peut s'empêcher de la féliciter pour le choix de la viande et l'aromatisation de l'ensemble, défaut professionnel !
Les conversations tournent autour de nos études, de celles des plus jeunes et de nos invités. Les parents de PH sont connus de ceux de Ludovic, ils se sont croisés dans certaines " réunions " de la haute société liée à l'ancienne aristocratie. Ce que j'apprécie de mes " beaux-parents ", c'est qu'ils ne font pas cas des origines modestes de Nathan. Il est questionné avec la même sollicitude que PH. Le diner se termine assez tard et nous regagnons nos chambres respectives.
Mon beau-père me retient quelques minutes. Comme je m'en étais douté, il a subodoré qu'il y avait " plus " entre nous tous. Sans me mettre un ultimatum, il voulait juste savoir. Après avoir loupé autant sur ses deux derniers fils, cela se comprend un peu.
Je joue franc jeu et dévoile nos liens. Je lui avoue que j'étais déjà en couple avec PH quand nous sommes tombés amoureux de Ludovic. Il encaisse quand même le coup. Il me dit qu'il avait juste pensé qu'effectivement il y avait eu sexe entre nous mais pas qu'il y aurait plus que cela. Autant qu'il prenne tout en même temps. J'ajoute que c'est pareil mais à l'inverse pour Enguerrand et Max avec Nathan. Ce dernier est venu s'ajouter au couple de son dernier fils.
Il se sert un alcool fort. Il réfléchit et me dit que pour cette nuit, il va y avoir des ballets dans les couloirs comme aux premiers soirs de ma présence et de celle de Max dans leurs murs ! Je hausse les épaules et lui dis que ce sera probablement le cas.
Nouveau silence entre nous, puis il se lève. J'en fais autant. Il s'approche et me serre dans ses bras avant de me dire qu'il est hors de question qu'il perde ses fils. Puis il me souhaite une bonne nuit. Je retrouve Ludovic qui s'est occupé de mettre nos deux Invités dans les chambres d'amis. Je passe les voir et nous organisons un conciliabule tous ensemble, Côme compris.
Je fais un bref résumé de la conversation que j'ai eu avec le père de nos hôtes. Les fils sont assez estomaqués de sa réaction face à leurs vies sentimentales et sexuelles. Eux même l'adorent mais ils ne le pensaient pas si ouvert d'esprit. A la base c'est quand même un aristocrate catholique pratiquant et on a entre nous des pratiques nous vouant aux enfers !
Après ce conseil de guerre, Côme rentre à sa chambre et les trois jeunes se retrouvent dans celle d'Enguerrand. Comme eux nous allons devoir nous serrer dans un grand lit classique de 140 ! Mais comme nous sommes amoureux, nous pourrions dormir dans un de 90cm de large.
En évitant de faire trop de bruit, nous faisons l'amour comme je suis sûr qu'ils font pareil à côté. Seul Côme doit se contenter d'une branlette je pense.
Cela fait maintenant 6 mois que nous avons intégré Ludovic mais c'est comme au premier jour, comme avec Ernesto aussi. La connaissance de nos corps n'étanche pas la soif que nous en avons et les pipes comme les sodomies sont toujours aussi intenses. Le plaisir qu'on en retire est toujours aussi extatique. Mais là nous devons le faire en silence. C'en est d'ailleurs tellement vrai que nous entendons le trio d'à côté occupé à faire de même mais avec moins de retenue. C'est au point que Ludovic enfile un slip et part leur dire de mettre moins d'enthousiasme.
D'à côté les bruits arrivent plus sourds, quand il revient c'est avec une idée d'emboitement nouvelle. Enfin, nouvelle c'est beaucoup dire mais plutôt une que nous n'avions pas faite depuis quelques temps.
Explication : moi sur le dos, la bite bien verticale s'enfonçant dans les muqueuses accueillantes de mon PH. Ludovic vient enjamber ma taille et présenter sa propre rondelle (et inversement : sa rondelle propre) à l'assaut perforant de la queue de PH.
En me redressant, j'arrive pile à la bonne hauteur pour emboucher sa bite, ce qui ferme le cercle (enfin le mien). Au-dessus de moi, ils se roulent une pelle. La mise en mouvement demande un peu d'adaptation mais quand nous trouvons les rythmes adéquats, ça frise le divin !
En fait c'est simple. Ma tête prise entre les mains de Ludovic pompe son dard selon la cadence et la profondeur qu'il impulse, quant à ma bite elle est " traite " par l'anus de PH au rythme avec lequel il défonce le cul de Ludovic. Moi, je n'ai qu'à me laisser faire et à profiter du moment. Je prends un pied terrible. Et c'est l'arrivée du sperme de Ludovic dans ma bouche qui déclenche ma propre éjaculation. PH, coincé entre nous deux ne tarde pas à son tour à juter et remplir Ludovic.
Gros dodo sans même passer par la case salle de bain !
Samedi :
Réveils discrets. PH rejoint sa chambre et froisse un peu le lit pour donner le change à madame, avant de le refaire. En passant il fait de même dans la chambre de Nathan qui lui n'y avait pas pensé.
Petit déjeuner avec Côme. Les parents se sont levés plus tôt et les petits ne sont pas encore sortis du lit.
Je discute avec Côme de sa dernière prestation. De son côté tout va bien. Les femmes à qui je l'envoie sont toutes ravies de ses performances aussi bien en représentation, car son intellect est du niveau de son physique, qu'au lit (enfin quand il leur laisse le temps d'y arriver). Ses 20x6 les font grimper au 7ème ciel que ce soit par le chemin classique (leurs chattes) que par les voies étroites (leurs rondelles).
Il nous dit juste qu'il craint un peu ! Sa relation avec Jona et François lui fait se poser pas mal de question, même s'il assure avec mes clientes. Il s'est aperçu qu'il n'a plus de " petite copine " depuis quelques mois et qu'il en avait pris conscience hier soir, seul dans son lit à imaginer ce qui pouvait bien se passer dans nos deux chambres.
Ludovic dédramatise et lui dit que c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé la bonne fille et qu'en plus il n'en a pas le temps. Quand il la trouvera, tout le reste ne sera plus qu'une expérience parmi tant d'autres. Je regarde Côme qui n'a pas l'air convaincu.
Les trois petits débarquent à ce moment-là. Bruyamment en plus ! Nathan est dans le moule. A voir les vêtements qu'ils ont sur le dos, je dirais qu'il y a eu échange ou osmose.
Madame arrive attirée par le bruit. Elle sert les derniers arrivés après les avoir embrassés indifféremment. Je crois qu'elle est contente d'avoir sa maison pleine, même s'il n'y a pas de fille. Ils se font servir comme des petits princes et quand Nathan veux l'aider, il se fait rassoir d'autorité. La dernière tartine engouffrée, Enguerrand emmène ses amis visiter la propriété, enfin surtout pour Nathan.
Avec les deux autres frères et PH, je rejoins leur père pour aider un peu. On passe se changer et enfiler des cottes et des bottes. Evidement ça part en couilles ! Ludovic se met carrément à poil dessous et nous fait tous bander à tortiller de son petit cul. Je garde mon boxer et mon t-shirt comme les deux autres.
Quand nous arrivons il ne reste plus qu'à distribuer le grain aux vaches et à pailler les box des taurillons. Les fils de la maison se chargent des jeunes mâles et avec PH, nous ne prenons pas de risque en nous occupant de leurs mères. On rejoint les deux frères et nous nous " égarons " dans la réserve de paille. Ludovic bande encore ou de nouveau et il me coince entre deux piles de bottes. PH n'est pas en reste et sans réfléchir se saisi de Côme à qui il roule un patin.
Est-ce l'ambiance ou sa déstabilisation passagère ? Mais ce dernier se laisse faire. Les zips descendent, nos t-shirts volent et c'est rapidement que nous baisons. Côme bande comme un fou et comme par magie, des kpotes sortent des poches de Ludovic ! On se chauffe à grand coups de langues. Elles naviguent des bouches aux bites en passant par les rondelles et les tétons.
Ludovic n'a pas à me chercher longtemps avant que je ne l'emmanche de face, dos sur une botte de paille, ses jambes entourant ma taille. A nos côtés, PH se fait démonter la rondelle par un Côme que j'avais connu plus circonspect. Ludovic pivote jusqu'à pouvoir rouler un patin à PH.
Je le pousse un peu et ils se mettent en 69. Je me penche au-dessus du dos de PH, tire la tête de Côme vers la mienne et lui roule une pelle. L'ensemble est très excitant et c'est exactement ce qu'en pensent les trois jeunes qui nous surprennent dans cette position.
C'est un " Heureusement que c'est nous que maman a envoyé vous chercher, papa aurait quand même été surpris du spectacle ! " sorti, bien sûr, de la bouche d'Enguerrand.
Comme je décolle ma bouche de celle de son frère, il s'immisce entre nous et la sienne vient chercher la mienne. Je saurais un peu plus tard que Max s'est occupé de clore le bec de Côme comme ce dernier allait protester et que Nathan lui s'est glissé entre mes amours pour interrompre leur 69.
Emportés par nos hormones, les jeunes se retrouvent vite fait dans le plus simple appareil et enfilés. Côme se fait Nathan comme je m'occupe d'Enguerrand et que Max se fait prendre par ses deux extrémités, PH à la sortie et Ludovic à l'entrée. Pendant un bon moment on n'entend plus que nos halètements. Ils se transforment en gémissements puis en petits cris de jouissance alors que nos spermes vont se perdre dans la paille.
La " chose " a été heureusement plus rapide qu'elle ne m'avait semblée. Et quand nous arrivons pour déjeuner, les apparences sont sauves !
L'après-midi nous récupérons en post café avachis dans les canapés, mollifiés par la chaleur lénifiante du foyer ouvert. La fin de journée se passe à aider les trois jeunes à bosser leurs cours. Pris en " cours particulier ", ils abattent en 2 heures la totalité de ce qu'ils avaient à faire.
Soirée en famille. C'est étrange et pas que pour moi. PH et Max, fils uniques eux aussi, n'ont jamais connu ce genre de chose. Nous sommes 9 dans le grand salon. Après un café nous nous engageons dans un " Trivial Pursuit ". Nous nous mettons par paire sauf les plus jeunes qui arguent de cet état pour rester ensembles. Les réponses fausses sont aussi et même plus amusantes que les vraies et provoquent de éclats de rires. La bataille dure deux bonnes heures et les parents gagnent d'une très courte tête devant Côme et PH suivis de Ludovic et moi, le trio ayant plus fait rire que des étincelles.
Quand nous montons nous coucher, le père prends son petit dernier à part et lui demande d'être plus discret que la nuit précédente.
Je traine un peu et quand il est seul, je le serre contre moi et le remercie d'être ce qu'il est. Il me tapote le dos et me dit " ce sont mes fils ".
Ces simples mots contiennent tout !
J'ai une chance d'avoir un beau-père pareil, c'est trop, il me cueille !
Jardinier
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Citroën C4 IX Camionnette 1932. - source Victor Dos Santos.
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La terrifiante ville fantôme de Bodie en Californie
Nouvel article publié sur https://www.2tout2rien.fr/la-terrifiante-ville-fantome-de-bodie-en-californie/
La terrifiante ville fantôme de Bodie en Californie
#19eme siecle#abandon#Bodie#Californie#camion#camionnette#carcasse#epave#fantome#histoire#mine#or#parc national#rouille#ruine#saloon#urbex#USA#ville#voiture#architecture#imxok#voyage
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Mon voisin c'est un grand type avec une grande baraque (le terrain fait presque 1km de long sur un bon 100m de large, un grand chien (dogue allemand), une grande famille (4 garçons de 8 à 14 ans). Il est fou de travaux. Il aime le chantier, les machines, les tracteurs, les grues, il sort une machine pour le moindre truc qu'il fait chez lui. Il est prof dans l'enseignement technique pour je ne sais quel emploi mais il a accès aux machines tant qu'il veut.
Il a fait une plage pour ses gamins. Pas un bac à sable, une plage, avec un camion benne qui est rentré dans son jardin par l'immense portail et qui a déversé des tonnes de sable. Les enfants n'ont pas une balançoire, ils ont un triple module qui communique avec une cabane dans un arbre immense. Ils n'y sont jamais, et la plage sert de bac à crottes à l'immense chien.
Il n'a probablement pas eu l'enfance qu'il désirait et il veut mettre ses enfants à l'abri des frustrations, ce n'est ni bien ni mal. C'est leur truc.
Mes voisins sont envahissants. La place qu'ils prennent, le bruit qu'ils font. Les machines quand il y en a. Parler fort sur le chemin avec les autres voisins. Les gamins lorsqu'ils jouent dans leur parc avec leurs quads, leurs potes, les balles de rugby qui volent. J'adore ces gamins, ils sont très polis, le bruit des enfants ne me dérangera jamais. Le bruit de la moto du type, qu'il fait aller fort et longtemps avant de partir de chez lui. Le bruit des graviers quand il utilise l'une de ses trois voitures en faisant des dérapages devant chez lui. Sa façon d'accélérer et de rouler, qu'on entend encore quand il est au bout de la rue.
L'immense chien qui est incroyablement peureux et qui donc aboie sur tout ce qui bouge. Les oiseaux, les poules, les pintades, les oies, son ombre, moi quand je suis dans la maison et que ma fenêtre est ouverte et que je tousse, vide le lave-vaisselle, appelle mon fils, écoute de la musique. Moi quand je vais jongler dans le jardin. Moi quand il fait nuit et qu'il voit ma silhouette monter ou descendre les escaliers derrière le rideau... Etc etc etc ce chien est une plaie et j'ai peur des chiens qui aboient, je n'exagère pas quand je dis que ça m'empêche de me concentrer, d'être sereine, de m'occuper du jardin...
Bref tout ça pour dire qu'en ce moment on fait des gros travaux chez moi et pas chez lui. Il y a des palettes de matériel le long du chemin devant chez moi, la camionnette des types qui bossent reste garée toute la journée devant chez moi et pas devant chez lui.
Du coup, ce matin il a sorti sa voiture avec sa remorque à double essieux, il n'en n'a rien fait, elle est restée garée devant chez lui toute la journée (je ne suis pas sortie de la maison aujourd'hui, j'ai tout vu), et là il vient de la rentrer pour la nuit 🤷♀️
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Petit déménagement Paris
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Électricien ! Nom d'une ampoule grillée ! Quel métier déglingué ! Tout ce bazar d'électrons qui se bousculent dans les fils, des câbles, des circuits, comme des rats dans les caves d'une vieille baraque délabrée. L'électricien, il trimballe sa caisse à outils, la mine triste, la gueule dans les câbles, comme un curé dans son missel. Il tire des fils, il démonte des prises, il bidouille des interrupteurs. Ça crépite, ça claque, ça pète comme une artillerie en déroute. Un foutu court-circuit et ça explose en étincelles. L'électricien, c'est le sorcier des temps modernes, celui qui danse avec la foudre sans s'en rendre compte. Il vous dit que tout est OK, que votre petit nid douillet est à l’abri des emmerdes électriques, mais au fond de ses yeux fatigués, on devine le doute, la trouille de la panne qui pourrait tout foutre en l’air. Il vous facture une somme qui vous ferait sauter au plafond si vous aviez un fil électrique dans le dos. L'électricien, c'est un artiste de l'ombre, un voltigeur de l’électromagnétisme, un casse-cou du courant, un danseur sur le fil du rasoir. Et quand il s'en va, dans sa camionnette déglinguée, on se dit qu'on est tiré d’affaire, du moins jusqu'à la prochaine panne. Car l'électricité c'est comme la vie, on ne sait jamais quand ça va disjoncter.
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