#califat islamique
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lepartidelamort · 9 months ago
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Pour ceux qui croiraient encore que Daech n’a pas les mêmes intérêts qu’Israël ou le Grand Israël, qu’ils regardent ce petit montage :
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Le Point du 29 novembre 2016 nous explique, car tout le monde commençait à se poser la question, « pourquoi Israël a (longtemps) échappé à Daech »... Où l’on sent Netanyahou terriblement préoccupé par l’État islamique, pourtant aux portes d’Israël...
On sait que ce mouvement djihadiste était en partie (il y avait de nombreux jeunes djihadistes « sincères » qui, ne voyant pas la manipulation supérieure, pensaient vraiment installer le califat en Irak et au Levant) le faux-nez de l’axe israélo-américain, qui avait besoin de détruire le dernier pays arabe laïc résolument antisioniste. La Syrie était en voie d’être rasée, mais les Russes sont intervenus à temps. Cela ne leur a pas été pardonné. Aujourd’hui, pour d’autres raisons encore, la Russie le paye par la déstabilisation de l’Ukraine et la guerre à ses portes.
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cy-131 · 2 months ago
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Un marché tentaculaire d’otages yézidis, hébergé sur l’application de Pavel Durov, s’est développé en toute impunité à travers le « califat ». Aux charges visant déjà, en France, le sulfureux patron de Telegram pourrait s’ajouter celle de complicité de crimes contre l’humanité
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valentin10 · 3 months ago
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Irak : 15 membres de l’Etat islamique tués dans un raid, annonce l’armée américaine – Libération
Le Commandement américain a rappelé dans la nuit de vendredi à samedi 31 août que l’EI, malgré la chute de son «califat» autoproclamé fin 2017, «reste une menace pour la région, nos alliés ainsi que pour notre territoire national». — À lire sur…
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yespat49 · 4 months ago
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Le califat africain qui dura vingt ans
(…) Pendant plus d’une décennie, les islamistes consolident leur emprise sur leur territoire sans craindre aucune contestation. Muhammad Ahmad introduit un nouveau régime à l’ombre de son drapeau noir, la mahdiyya. Une stricte charia est mise en place. La musique est bannie. La pendaison, jugée non islamique, est interdite et remplacée par la décapitation. L’esclavage retrouve tous ses droits.…
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whencyclopedfr · 6 months ago
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Osman
Osman ibn Affan (576/583-656) était un converti de la première heure à l'islam, un ami proche et le gendre du prophète Mahomet (570-632), et le troisième calife (r. de 644 à 656) du califat rashidun (632-661). Ses actes de charité et sa modestie lui valurent une place de choix dans la première communauté islamique, et il était l'un des compagnons préférés et les plus loyaux du prophète Mahomet. N'ayant pas la force politique de ses prédécesseurs, il fut marionnettisé par ses proches du clan Banu Umayya (qui s'élèverait plus tard au siège califal sous le nom de dynastie omeyyade) pendant toute la durée de son mandat. Cette situation suscita une résistance contre son règne, qui se traduisit par une rébellion ouverte et aboutit à son assassinat en 656. Sa mort créa une fracture dans l'empire islamique, dont les effets sont encore perceptibles aujourd'hui.
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observatoiredumensonge · 8 months ago
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La thèse lénifiante du loup solitaire est bien une fumisterie.
L’État islamique vient de le révéler. Par Gabrielle Cluzel Vous pouvez soutenir notre juste combat en vous abonnant à Semaine du MENSONGE, pour 15€ un an, (au lieu de 18), paiement sécurisé, envoi chaque lundi, cliquez sur l’image ci-dessous : La thèse lénifiante du loup solitaire est bien une fumisterie. L’État islamique vient de le révéler. Commémorant le dixième anniversaire du califat…
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lonesomemao · 8 months ago
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EMOTION DECATHLON
Attentat
De l'état islamique
A Moscou
Ce n'est donc pas
Al-qaïda le califat
EI-K l'a fait
Divorce entre un islamisme
Et un brejnévisme
Afghanistan
Le khrouchtchévisme
Contre Israël au-dessus d'une URSS
On le prend obligés abruptement
Des nazis blancs sont chiants
Dimanche 24 mars 2024
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infosisraelnews · 1 year ago
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🔴 Plus de détails sur l'attentat à Paris : le terroriste se revendique de Daesh et la cellule islamiste Forsane Alizza.
Le terroriste a été interpellé par les policiers ce samedi soir vers 22h20 alors qu’il venait d’attaquer plusieurs passants, avec un couteau et un marteau, sur le 16e et le 15e arrondissement de Paris, selon nos informations. Un premier bilan fait état d’un mort et un blessé. Il a diffusé une vidéo de deux minutes dans laquelle il se déclare comme “un soutien du califat de l’État islamique”. Il…
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pdj-france · 1 year ago
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BEYROUTH (AP) – Des hommes armés ont tendu une embuscade à un bus transportant des militaires syriens dans l'est du pays, tuant au moins 20 personnes et en blessant d'autres, ont affirmé vendredi des militants de l'opposition. L'attaque de jeudi soir aurait été menée par des membres du groupe État islamique dont les cellules dormantes dans certaines parties de la Syrie portent toujours des attaques meurtrières malgré leur défaite en 2019. L'Observatoire syrien des droits de l'homme, basé en Grande-Bretagne, a annoncé que 23 militaires syriens avaient été tués et 10 blessés dans l'attaque sur une route du désert près de la ville orientale de Mayadeen, dans la province de Deir el-Zour, à la frontière de l'Irak. Un autre collectif d'activistes qui couvre l'actualité dans l'est de la Syrie a annoncé que 20 militaires avaient été tués et d'autres blessés. Le média d'État syrienne SANA a cité un responsable militaire anonyme disant que l'attaque s'est produite jeudi soir, "tuant et blessant un certain nombre de militaires". Il n'a donné aucun autre détail, ni une ventilation du nombre de victimes. L'EI contrôlait de grandes parties de la Syrie et de l'Irak où il a annoncé un califat en juin 2014. D'année en année, il a perdu des terres et a été vaincu en Irak en 2017 et deux ans plus tard en Syrie. durant l'une duurs plus meurtrières en un an, des cellules dormantes de l'EI ont attaqué des salariés qui ramassaient des truffes près de la ville centrale de Sukhna en février, tuant au moins 53 personnes – principalement des salariés mais aussi des forces de sécurité du gouvernement syrien. Les chercheurs qui suivent les groupes djihadistes affirment qu'il est trop tôt pour dire si la nouvelle vague d'attaques marque une nouvelle résurgence des extrémistes qui ont gouverné par la terreur des millions de personnes en Syrie et en Irak. Quelques jours auparavant, l'EI a annoncé le décès en Syrie de son chef peu connu, Abu al-Hussein al-Husseini al-Qurayshi - qui dirigeait l'organisation extrémiste depuis novembre - et a nommé son successeur. Il était le quatrième à être tué depuis que son fondateur Abu Bakr al-Baghdadi a été tué en 2019 par les troupes américaines dans le nord-ouest de la Syrie. L'écrivain d'Associated Press, Albert Aji, a contribué à ce reportage depuis Damas, en Syrie.
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lefondamentsdelislam · 2 years ago
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ETABLIR LA SOUNNA : Partie 4.6
L'écriture des hadiths
Les premières compilations de hadiths furent écrites pendant le califat de Omar ibn Abd al-'Aziz, au début du deuxième siècle islamique (719-722). Toutefois, notons que tous les hadiths qui étaient rassemblés dans des livres circulaient de façon orale. D'ailleurs, la plupart avaient déjà été enregistrés dans des collections individuelles.
L'écrasante majorité des Arabes étaient illettrés. Quand la Révélation commença, un désir d'apprendre à lire et écrire fut suscité et encouragé par le Prophète. Rappelez-vous qu'il libérait les prisonniers capturés à Badr qui savaient lire et écrire seulement une fois chacun d'eux avaient enseigné la lecture et l'écriture à dix musulmans. Qui plus est, la Révélation commença par ce commandement:
LIS, AU NOM DE TON SEIGNEUR QUI A CRÉÉ, QUI A CRÉÉ L'HOMME D'UNE ADHÉRENCE. LIS! TON SEIGNEUR EST LE TRÈS NOBLE, QUI A ENSEIGNÉ PAR LA PLUME [LE CALAME], A ENSEIGNÉ À L'HOMME CE QU'IL NE SAVAIT PAS. (96:1-5)
Malgré l'importance attachée au savoir et à son acquisition, dans les premiers temps de sa mission de Messager, en dehors de la Révélation, le Prophète n'autorisait pas ses Compagnons à mettre à l'écrit ce qu'il disait. Par exemple, il dit: «N'écrivez pas ce que je dis. Si vous avez écrit quelque chose reçu de moi et qui ne fait pas partie du Coran, détruisez-le.» Il ne voulait pas que les Compagnons confondent les versets coraniques avec ses propres paroles. Le Coran était encore en train d'être révélé et enregistré sur des feuilles ou sur des morceaux de parchemin ou de bois; il n'allait prendre sa forme finale de livre que plus tard.
C'était une précaution parfaitement compréhensible, car il voulait être sûr que les générations futures ne confondraient pas ses paroles avec celles de Dieu. Cela est très clair dans un hadith rapporté par Abou Houraïra: «Un jour, le Messager s'approcha de nous tandis que des amis écrivaient ce qu'ils l'avaient entendu dire. Il leur demanda ce qu'ils écrivaient, et ils répondirent: 'Ce que nous t'avons entendu dire.' Le Messager les avertit: 'Savez-vous que les communautés qui vous ont précédés se sont égarées parce qu'elles ont écrit ce qui ne se trouvait pas dans le Livre de Dieu?'»
Une autre raison de cette prohibition est que la plupart des révélations coraniques vinrent en des occasions spécifiques. Ainsi, certains de ses versets sont clairs et concis, tandis que d'autres sont ambigus. Des versets allégoriques apparaissent à côté d'autres versets explicites et inabrogeables. Comme une communauté purement islamique continuait à évoluer, certains commandements vinrent remplacer les précédents.
En diverses occasions, le Messager devait aussi s'adresser à une grande variété de personnes aux tempéraments et aux niveaux de compréhension différents, ainsi qu'aux «nouveaux» et aux «anciens» musulmans. Par exemple, quand un nouveau converti demandait quelle était la meilleure action, il répondait que c'était la croyance et la pratique des cinq prières quotidiennes. Cependant, à une période où le djihad était la priorité, il avait dit que c'était le djihad sur le sentier de Dieu. En outre, comme l'islam est valable pour tous les temps et tous les peuples, il recourait souvent aux allégories, aux comparaisons, aux paraboles et aux métaphores.
Ces facteurs et d'autres encore l'ont peut-être conduit à interdire à certains individus d'écrire ses paroles. Si tout le monde avait conservé un registre personnel de ses paroles et était incapable de distinguer entre le réel et le métaphorique, le concret et l'abstrait, l'abrogé et l'abrogeant, le général et le particulier et l'occasionnel, il en aurait résulté chaos et malentendu. C'est pour cela que Omar avertissait parfois les gens de ne pas narrer négligemment les hadiths.
Toutefois, beaucoup de hadiths montrent que le Messager autorisait ses Compagnons à écrire ses paroles. En effet, le temps vint où les Compagnons atteignirent la maturité intellectuelle et spirituelle nécessaires pour pouvoir faire la distinction entre le Coran et le Hadith. Par conséquent, ils pouvaient désormais accorder l'attention et l'importance dues à chacun, et comprendre les circonstances liées à chaque hadith. C'est pourquoi le Messager les incita enfin à enregistrer ses hadiths.
Abou Houraïra relate: «Aucun des Compagnons du Prophète n'a rapporté de hadîth plus que moi, exception faite de Abd Allah ben 'Amrû, car lui écrivait [les hadîth], tandis que moi non.» Abd Allah rapporta qu'il écrivait tout ce qu'il entendait du Messager. Certains lui dirent: «Tu prends note de tout ce qui sort de la bouche du Messager de Dieu. C'est un être humain; il est parfois en colère, et parfois content.» Abd Allah soumis l'affaire au Messager de Dieu, qui montra sa bouche bénie et dit: «Écris, car je jure par Celui qui détient mon âme dans Sa main, que seule la vérité sort d'ici.»
Content ou irrité, le Messager de Dieu ne prononce rien sous l'effet de la passion; ce n'est rien d'autre qu'une révélation inspirée. (53:3-4) Comme chacune de ses paroles et de ses actions avait une portée sur l'islam, elles devaient être enregistrées. Les Compagnons accomplissaient cette tache sacrée soit en mémorisant soit en enregistrant ce qu'ils entendaient ou voyaient. Le résultat est que sa vie est la biographie la plus complète qui ait jamais existé. Chaque aspect, même dans les moindres détails, a été transmis de génération en génération. C'est pourquoi nous devons être reconnaissants envers les Compagnons et les deux ou trois générations qui les suivirent, et surtout les Traditionistes, qui enregistrèrent puis transmirent ses paroles et ses actions.
Un jour, quelqu'un se plaignit auprès du Messager: «Ô Messager de Dieu, nous entendons beaucoup de choses de toi. Mais la plupart échappent à notre esprit car nous n'arrivons pas à les mémoriser». Le Messager répondit: «Demande de l'aide à ta main droite.» En d'autres termes, écris ce que tu entends. Quand Rafi' ibn Khadij demanda au Messager s'ils pouvaient écrire ce qu'ils entendaient de lui, il lui dit qu'ils pouvaient. Comme le rapporte le Sunan de ad-Darimi, le Messager conseilla: «Enregistrer le savoir par l'écriture.» Lors de la conquête de La Mecque, le Messager fit un sermon. Un Yéménite nommé Abou Shah se leva et dit: «Ô Messager, s'il te plaît, écris ces [paroles] pour moi.» Le Messager ordonna que cela fût fait.
Ali avait une feuille qu'il attachait à son épée, sur laquelle étaient écrits des hadiths concernant entre autres le prix du sang à payer pour des blessures, la sanctification de Médine. «Je dis un fois à Ali: 'As-tu quelque chose d'écrit [autre que le Coran]? - Non, répliqua-t-il, exception faite d'une compréhension donnée à tout homme tirée du Livre de Dieu ou le contenu de ce feuillet. - Et que contient ce feuillet? - Ce qui a trait au prix du sang, à la libération des captifs (…)»Ibn Abbas laissa derrière lui un chameau chargé de livres dont la plupart traitent de ce qu'il avait entendu du Messager et des autres Compagnons. Le Messager envoya une lettre à Amr ibn Hazm, qui parlait du prix du sang pour le meurtre et les blessures, et de la loi du talion. Cette lettre fut transmise à Abou Bakr ibn Muhammad, son arrière-petit-fils.
De même, un parchemin donné par le Messager à Abou Rafi' fut ensuite transmis à Abou Bakr ibn Abd ar-Rahman ibn Harith, l'un des Tabi'un. Un grand savant de cette génération, Mujahid ibn Jabr, vit la compilation de Abd Allah ibn Amr, As-Sahifatu as-Sadiqa. Ibn Athir, un historien réputé, écrit qu'il contient environ 1000 hadiths, dont la moitié fut rapportée dans des livres de hadiths authentiques, avec tous une chaîne de Amr ibn Shu'ayb, de son père et de son grand-père.
Jabir ibn Abd Allah al-Ansari aussi laissa un livre volumineux contenant les paroles qu'il avait entendues du Messager. As-Sahifatu as-Sahiha est une autre source importante de hadiths datant des tout débuts. Hammam ibn Munabbih, son compilateur, suivait Abou Houraïra partout où il allait et écrivait les paroles prophétiques qu'il rapportait. Cette compilation, publiée récemment par Muhammad Hamidullah, a été datée à l'analyse du carbone 14 à treize ou quatorze siècles plus tôt. Presque tous les hadiths qu'elle contient se trouvent aussi dans Musnad ibn Hanbal ou dans les Sahihayn de Bukhari et Muslim.
Après ces premières compilations, le calife Omar ibn Abd al-Aziz, qui régna de 719 à 722, décida que tous les hadiths écrits et non écrits (mémorisés) seraient systématiquement compilés dans des livres. Il ordonna à Abou Bakr ibn Muhammad ibn Amr ibn Hazm, le gouverneur de Médine, de contrôler cette tâche. Muhammad ibn Shihab az-Zuhri, réputé pour sa grande érudition et son intelligence, entreprit la tâche et obtint l'honneur d'être le premier compilateur officiel de hadiths.
Mais un tel honneur fut aussi accordé à d'autres: Abd al-Malik ibn Abd al-Aziz ibn Jurayj (La Mecque), Sa'id ibn Abi Aruba (Irak), Awza'i (Damas), Zayd ibn Qudama and Sufyan ath-Thawri (Kufa), Hammad ibn Salama (Basra), et Abd Allah ibn al-Mubarak (Khorasan).
La période de compilation officielle et systématique fut suivie de la période de classification par de grands Traditionistes comme Abou Dawud at-Tayalisi, Musaddad ibn Musarhad, al-Humaydi, et Ahmad ibn Hanbal, qui publièrent leurs Musnads. Abd ar-Razzaq ibn Hammam et d'autres formèrent leurs Musannafs, et Ibn Abi Dhi'b et Imam Malik produisirent leurs Al-Muwattas. Yahya ibn Sa'id al-Qattan et Yahya ibn Sa'id al-Ansari doivent aussi être mentionnés parmi les figures de proue de cette période.
Puis vint la période des célèbres Traditionistes Bukhari, Muslim, Abou Dawud, Nasa'i, Tirmidhi, et Ibn Maja, qui formèrent les six livres de hadiths les plus authentiques, bien connus de tous. Ces personnes de grande renommée, et d'autres comme Yahya ibn Ma'in, inclurent dans leurs collections ce qu'ils considéraient comme les hadiths les plus authentiques après les avoir jugés par les critères les plus strictes.
Par exemple, Imam Bukhari recherchait un hadith d'un homme connu pour sa fiabilité et sa piété. Quand il vit cet homme tenir son chapeau vers son cheval en lui faisant croire qu'il était rempli de nourriture afin de pouvoir l'attraper, il demanda à l'homme si le chapeau contenait quelque nourriture pour l'animal. Entendant une réponse négative, Bukhari repartit sans prendre de hadith de cet homme. D'après lui, celui qui était capable de tromper un animal de cette façon pouvait peut-être aussi tromper les gens. Tels étaient les critères stricts appliqués lors du jugement de la fiabilité des rapporteurs.
En bref, les Traditions Prophétiques (hadiths) étaient soit écrites soit mémorisées à l'époque des Compagnons. Quand le premier siècle islamique prit fin, ils circulaient partout sous forme écrite ou orale. Le calife Omar ibn Abd al-Aziz chargea d'éminents savants de produire la première compilation officielle dans différentes villes. Les Traditions authentiques se distinguaient de celles qui étaient fabriquées grâce à l'attention la plus scrupuleuse et aux critères les plus strictes. Après qu'ils étaient classifiés, l'une des compilations ou collections des plus systématiques et des plus précises fut entreprise par les Traditionistes les plus en vue de l'époque.
Plus tard, de nouveaux livres de Traditions authentiques virent le jour. De plus, d'illustres critiques de Hadith comme Ibn Hajar al-Asqalani, Ibn Abd al-Barr, Dhahabi, Ibn al-Jawzi, et Zayn ad-Din al-Iraqi firent un compte rendu de tous les hadiths et écrivirent de longs recueils à propos de leurs rapporteurs.
Suite à une telle effervescence de travail savant, la Sounna nous est parvenue par les chaînes les plus fiables. Personne ne peut douter de l'authenticité de cette seconde source de l'islam, qui se rapproche du Coran en pureté, authenticité et fiabilité.
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toutmontbeliard-com · 2 years ago
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Bar des sciences Montbéliard : "Djihadisme et Contre-terrorisme au XXIème siècle"
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Le Bar des sciences de Montbéliard est une initiative qui permet de parler de sciences en favorisant la rencontre entre le chercheur, le citoyen, l’industriel, le militant. Un bar des sciences n’est pas une conférence mais un dialogue décomplexé, un débat libre et respectueux, un temps durant lequel chacun peut exprimer ses certitudes, ses interrogations, ses craintes, ses espoirs, ses colères… Toute pensée est légitime, tout point de vue est intéressant dans le respect mutuel. Le prochain Bar des sciences aura lieu le mercredi 1er février 2023 à 20h00 à l'Hôtel Bristol de Montbéliard, sur le thème "Djihadisme et Contre-terrorisme au XXIème siècle… 22 ans après le 11 septembre…", avec Marc Hecker, Directeur de la recherche et de la valorisation à l’Institut français des relations internationales (Ifri), Rédacteur en chef de la revue Politique étrangère. Vingt-deux ans après l’effondrement des tours du World Trade Center et le début de la "guerre globale contre le terrorisme" en Afghanistan, les Talibans ont repris le pouvoir à Kaboul, poussant les Américains à se retirer précipitamment. Au cours des deux dernières décennies, Al-Qaïda a fait preuve d’une résilience remarquable, et de nouveaux groupes, comme l’État islamique, sont apparus. La chute du "califat" proclamé par Daech n’a pas signé la fin de cette organisation, et encore moins celle de son idéologie mortifère. Pourquoi les États-Unis, la France et leurs alliés, en dépit de leur supériorité militaire, ont-ils échoué à éradiquer le djihadisme ? Fruit de nombreuses années d’enquêtes de terrain, Marc Hecker offre la première histoire de la guerre contre le terrorisme. Décryptant les dynamiques stratégiques de cet affrontement, il explique pourquoi il est si difficile de briser la spirale de la violence et tirent des leçons essentielles pour l’avenir. Où en est la France dans cette menace permanente ? infos > www.pavillon-sciences.com (source communiqué) Read the full article
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lepartidelamort · 17 days ago
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In Memoriam : le gros con d’extrême-gauche David Perchirin, refroidi par le Califat.
11 ans déjà.
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David Perchirin
C’est bien gentil, les commémorations, mais c’est mieux d’en retenir quelque chose.
Le Monde :
Quand son deuxième enfant naît, il y a sept ans, il songe à l’appeler Abd El-Kader, du nom de l’un des pères de l’identité nationale algérienne, avant de lui choisir un prénom plus sage, Niels. Ainsi était David Perchirin, selon ses proches, un esprit libre qui goûtait la révolte et la rébellion jusque dans ses icônes. Né en 1973, originaire de la pointe Bretagne, dans le Finistère, ce journaliste indépendant, récemment reconverti en professeur des écoles, à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), grandit à Gouesnou, une petite commune pavillonnaire située près de Brest. Puis il part faire ses études à Rennes, où il intègre, en 1991, la première promotion de l’IEP. De ces années de jeunesse où il forge de solides amitiés, reste le souvenir, fort et vivant chez ses proches, de fêtes mémorables dans la colocation qu’il partageait avec Sophie Cheval et Cédric Mauduit, tombé avec lui au Bataclan sous les balles des terroristes. « C’est vite devenu le quartier général de la promo, où se déroulaient les fêtes les plus folles et des discussions politiques jusqu’au bout de la nuit… Des débats infinis sur la montée du nazisme ou la meilleure période des Stones », raconte une de ses camarades, Carine Rolland, devenue première adjointe au maire du 18e arrondissement de Paris. « David était quelqu’un d’à part. D’une agilité intellectuelle rare. D’une curiosité sans fin envers les choses et les êtres. Il aimait les joutes oratoires et la confrontation des idées, parfois jusqu’au conflit, ajoute-t-elle. Il était érudit, mais ce n’était pas un sachant universitaire. Il y avait dans sa culture quelque chose de très personnel et singulier. Il aimait décoder, traquer les préjugés, le moindre signe de xénophobie… »
David était ce que l’on appelle un sale gauchiste, sectaire et paranoïaque.
Vivant, il serait aujourd’hui un militant LFI.
« J’étais l’archétype de la bonne élève. Lui, libertaire, passionné par la politique et le rock, qui était chez lui une manière de vivre libre, m’a appris qu’on pouvait vivre pleinement en accord avec ses valeurs, confie Sophie Cheval, amie fidèle et marraine de sa fille de 13 ans, Siloé, aujourd’hui psychologue. J’étais fascinée par ses allers-retours permanents entre vie et pensée. On se réveillait au son des Ramones. On s’endormait au son des Cramps. La musique ne s’arrêtait jamais. » Cette passion pour le rock, de Nick Cave à Joy Division, du punk au garage, était le fil de sa vie. Un fil qui passait par les festivals, les concerts et les nuits parisiennes. « Il en aimait l’énergie et le caractère expérimental et provocateur », dit Owen Beuchet, professeur de français au Danemark. S’il n’avait pas renoncé au plaisir
d’aller boire une bière à un concert avec ses amis, sa paternité et sa volonté de s’impliquer dans l’éducation de ses enfants aux côtés de sa femme Claire, journaliste, de réfléchir à la transmission, l’avaient conduit à devenir enseignant, en 2013.
« Journaliste indépendant », c’est bien, mais ça paie moins que prof de gauche dans le 93.
C’est peu dire si le 13 novembre 2015, la survenue d’un commando islamique venu massacrer du gaouri a pris par surprise notre « enseignant » anarcho-communiste breton, militant pathologiquement pro-bougnoules.
Bing !
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Le racisme n’est pas une idée, mais un moyen de maximaliser ses chances de survie dans un monde où la lutte des races est permanente.
Ne devenez pas comme David Perchirin.
Mieux vaut être raciste que mort.
youtube
Démocratie Participative
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frenchbulletin · 2 years ago
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ONU : l'État islamique a utilisé des armes chimiques
ONU : l’État islamique a utilisé des armes chimiques
Des experts de l’ONU affirment avoir documenté l’utilisation d’armes chimiques par le groupe djihadiste État islamique pendant son califat autoproclamé, selon un rapport qui doit être discuté au Conseil de sécurité plus tard dans la journée. Des membres d’Unitad, le groupe d’enquêteurs chargé d’aider à tenir l’EI responsable de ses crimes, disent avoir reçu “des témoignages, des preuves…
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les-epees · 3 years ago
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Au Sahel, dix ans après l’accueil triomphal fait aux forces françaises, et après que 52 des meilleurs enfants de France soient tombés pour défendre des Maliens préférant émigrer en France plutôt que se battre pour leur pays, les manifestations anti-françaises se succèdent. Les convois militaires circulent désormais sous les insultes, les crachats et les jets de pierre. Sur l’axe routier partant de la Côte d’Ivoire, la situation devient à ce point difficile que la question du ravitaillement de Barkhane commence à se poser. Fin novembre 2021, au Niger, après la mort de plusieurs manifestants qui avaient bloqué un convoi militaire français, le gouvernement nigérien a mis en accusation Barkhane… La stratégie française de redéploiement au Niger des forces jusque-là stationnées au Mali va donc relever de l’équilibrisme… La situation régionale est à ce point dégradée que, par crainte de manifestations, le président Macron vient de renoncer à se rendre sur place afin d’y rencontrer les responsables régionaux. Peut-être se rendra-t-il uniquement sur une emprise militaire pour fêter Noël avec une unité française. Pourquoi un tel désastre politique? Après nous être auto-chassés de Centrafrique par l’accumulation de nos erreurs, allons-nous donc connaître un nouvel et humiliant échec, mais dans la BSS cette fois ? Comme je ne cesse de le dire et de l’écrire depuis des années, et comme je le démontre dans mon livre Les Guerres du Sahel des origines à nos jours, les décideurs français, ont dès le départ fait une fausse analyse en voyant le conflit régional à travers le prisme de l’islamisme. Or, la réalité est différente car l’islamisme est d’abord la surinfection de plaies ethno-raciales millénaires qu’aucune intervention militaire n’est en mesure de refermer. Au nord, il s’agit de la résurgence d’une fracture inscrite dans la nuit des temps, d’une guerre ethno-historico-économico-politique menée depuis 1963 par les Touareg. Ici, la solution du problème est détenue par Iyad Ag Ghali, chef historique des précédentes rebellions touareg. Depuis 2012, je n’ai cessé de dire qu’il fallait nous entendre avec ce chef Ifora avec lequel nous avions des contacts, des intérêts communs, et dont le combat est d’abord identitaire. Or, par idéologie, par refus de prendre en compte les constantes ethniques séculaires, ceux qui définissent la politique africaine française ont considéré tout au contraire qu’il était l’homme à abattre… Le président Macron a même plusieurs fois ordonné aux forces de Barkhane de l’éliminer et cela, jusqu’à dernièrement, au moment où les autorités de Bamako, négociaient directement avec lui une paix régionale…Déjà, le 10 novembre 2020, Bag Ag Moussa, son lieutenant, avait été tué par une frappe aérienne. Le conflit du sud (Macina, Liptako, région dite des « Trois frontières » nord et est du Burkina Faso), a lui aussi des racines ethno-historiques résultant de la confrontation séculaire entre Peul et diverses populations sédentaires. A la différence du nord, deux guerres très différentes s’y déroulent. L’une est l’émanation de larges fractions Peul conjoncturellement regroupées sous le drapeau d’AQMI (Al-Quaïda pour le Maghreb islamique). L’autre est effectivement d’abord religieuse et elle est menée par l’Etat islamique l’EIGS (Etat islamique dans le Grand Sahara). L’EIGS a pour objectif la création dans toute la BSS (Bande sahélo-saharienne), d’un vaste califat trans-ethnique remplaçant et englobant les actuels Etats. Tout au contraire, les chefs régionaux d’AQMI qui sont des ethno-islamistes, ont des objectifs d’abord locaux et ils ne prônent pas la destruction des Etats sahéliens. Avec un minimum d’intelligence tactique, en jouant sur les rapports de force régionaux et ethniques, la question du nord Mali pouvait être rapidement réglée, ce qui aurait permis un rapide désengagement permettant d’opérer la concentration de nos moyens sur la région des « 3 frontières », donc contre l’EIGS[1]. Or, à l’inverse de ce que préconisaient les chefs militaires de Barkhane, Paris s’obstina dans une stratégie « à l’américaine », « tapant » indistinctement les GAT (Groupes armées terroristes), et refusant toute approche « fine »… « à la Française »...comme nos anciens l’avaient si bien réussi en Indochine et en Algérie. Le fond du problème est que, pour les dirigeants français, la question ethnique est secondaire ou même artificielle, quand elle ne relève pas, selon eux, du romantisme colonial... Le dernier et caricatural exemple de l’aveuglement idéologique, fut la réaction de Paris face au coup d’Etat du colonel Assimi Goïta qui s’est produit au Mali au mois d’août 2020. Au nom de la démocratie, de la bonne gouvernance et de l’Etat de droit, notions relevant ici du surréalisme politique, la France a coupé les ponts avec l’ancien commandant des Forces spéciales maliennes dont la prise de pouvoir était pourtant une chance pour la paix. Ayant par ses fonctions une juste appréciation des réalités du terrain, ce Minianka, branche minoritaire du grand ensemble sénoufo, n’avait en effet de contentieux historico-ethnique, ni avec les Touareg, ni avec les Peul, les deux peuples à l’origine des deux conflits du Mali. Il ouvrit donc des négociations avec Iyad Ag Ghali, ce qui ulcéra les décideurs parisiens. Englués dans leurs a priori idéologiques, ces derniers ne prirent pas la mesure du changement de contexte qui venait de s’opérer, et ils continuèrent à parler de refus de « négocier avec le terrorisme ». Prenant pour prétexte ce coup d’Etat, Emmanuel Macron décida de replier Barkhane, ce qui fut compris comme un abandon. Et, pour achever le tout, Bamako ayant demandé l’aide de la Russie, la France menaça, ce qui fut dénoncé comme étant du néo-colonialisme…. Reposant sur un refus obstiné de prise en compte des réalités du terrain, cette accumulation d’erreurs a donc conduit à une impasse. Désormais, la question est de savoir comment en sortir sans danger pour nos forces. Et sans que notre départ ouvre la porte à un génocide qui nous serait reproché. Pour mémoire, au Rwanda, c’est parce que l’armée française s’était retirée qu’il y eut génocide, car, si les forces du général Kagamé n’avaient pas exigé leur départ, ce génocide n’aurait en effet pas eu lieu. Quatre grandes leçons doivent être tirées de ce nouvel et cuisant échec politique africain : 1) L’urgente priorité étant de savoir ce que nous faisons dans la BSS, il nous faut donc définir enfin, et très rapidement, nos intérêts stratégiques actuels et à long terme afin de savoir si oui ou non, nous devons nous désengager, et si oui, à quel niveau, et sans perdre la face. 2) A l’avenir, nous ne devrons plus intervenir systématiquement et directement au profit d’armées locales que nous formons inlassablement et en vain depuis la décennie 1960 et qui, à l’exception de celle du Sénégal et de la garde présidentielle tchadienne, sont incompétentes. Et si elles le sont, c’est pour une simple raison qui est que les Etats étant artificiels, aucun véritable sentiment patriotique n’y existe. 3) Il faudra privilégier les interventions indirectes ou les actions rapides et ponctuelles menées à partir de navires, ce qui supprimerait l’inconvénient d’emprises terrestres perçues localement comme une insupportable présence néocoloniale. Une redéfinition et une montée en puissance de nos moyens maritimes projetables serait alors nécessaire. 4) Enfin et d’abord, nous devrons laisser l’ordre naturel africain se dérouler. Cela implique que nos intellectuels comprennent enfin que les anciens dominants n’accepteront jamais que, par le jeu de l’ethno-mathématique électorale, et uniquement parce qu’ils sont plus nombreux qu’eux, leurs anciens sujets ou tributaires soient maintenant leurs maîtres. Cela choque les conceptions éthérées de la philosophie politique occidentale, mais telle est pourtant la réalité africaine. Depuis plus d’un demi-siècle, en Afrique, l’obsession occidentale des droits de l’homme conduit aux massacres, l’impératif démocratique provoque la guerre et les élections débouchent sur le chaos. Plus que jamais, il importe donc de méditer cette profonde réflexion que le Gouverneur général de l’AOF fit en 1953 : « Moins d’élections et plus d’ethnographie, et tout le monde y trouvera son compte »… En un mot, le retour au réel et le renoncement aux nuées.
[1] L’on pourra à ce sujet se reporter à mon communiqué en date du 24 octobre 2020 intitulé « Mali : le changement de paradigme s’impose ».
Bernard Lugan, “Les causes de l’échec politique de la France au Sahel”, L’Afrique réelle, 18 décembre 2021
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yespat49 · 7 months ago
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Un Califat islamique en Allemagne ?
Une manifestation de musulmans de Hambourg, samedi dernier, est passée relativement inaperçue en France, mais elle n’en finit plus de secouer l’Allemagne, qui sort ainsi d’une espèce de torpeur pétrie d’idéologie humaniste molle. Des dizaines de musulmans radicaux ont défilé dans une rue de Hambourg, la célèbre ville-port, en réclamant rien moins que l’instauration d’un Califat, c’est à dire, le…
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whencyclopedfr · 1 year ago
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Ali ibn Abi Talib
Ali ibn Abi Talib, ou plus simplement Ali, (601-661) fut l'un des premiers musulmans, cousin et gendre du prophète Mahomet (570-632). Il régna ensuite en tant que quatrième calife de l'islam de 656 à 661, date à laquelle il fut assassiné. Il consacra une grande partie de son mandat à remettre de l'ordre dans l'empire au cours de la première guerre civile de l'empire islamique ou première Fitna (656-661). Une faction de la communauté islamique, connue sous le nom de musulmans chiites, le considère comme le seul héritier légitime de la position temporelle de Mahomet et le premier d'une longue série de leurs chefs spirituels ou imams. Les musulmans sunnites, une autre faction de la communauté, le tiennent également en haute estime, mais considèrent également ses trois prédécesseurs, Abu Bakr (r. de 632 à 634), Omar (r. de 634 à 644) et Othman (alias Osman, r. de 644 à 656), comme les chefs légitimes de la communauté primitive et les désignent collectivement en tant que Califes bien guidés (alias califat rashidun, 632-661).
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