#cadeau femme enceinte
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Message destiné aux adultes professionnels de Tumblr : offrir un cadeau de naissance à une femme enceinte (environ 6-7 mois) dont on est plutôt proche, c'est ok ou il est préférable d'attendre le terme ? Merci bisous
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NSBC • Chapitre 15
Je n’ai pas voulu garder ça pour moi, alors j’en ai parlé à Ed. Il m’a rassurée, en me disant que c’est parce que j’y pensais trop, et que ça viendrait naturellement, comme pour Gabriel et Raphaël.
« Je me doute que c’est difficile pour toi, ma chérie, mais on y arrivera, ne t’en fais pas. »
Il a vraiment un don pour me faire me sentir bien…
Côté professionnel, au moins, ça marche mieux. Thierry est parti à la retraite, et il m’a choisie pour le remplacer au poste de « Pionnier des Nouvelles Technologies ». J’ai donc mis à profit mon nouveau titre…
J’en ai parlé à Victoria, aussi. Elle m’a dit qu’elle s’en fichait, et qu’elle était très bien à son poste actuel. Bon, et bah tant mieux, hein !
« Tu es brillante, Solange. Tu le mérites, a-t-elle rajouté avant de retourner à ses tâches quotidiennes. »
Le rouge m’est monté aux joues très rapidement. Venant d’un génie comme elle, ça me fait extrêmement plaisir… !
Et vous savez quoi ? Edward avait raison. J’ai arrêté de me prendre la tête, et c’est bon, je suis de nouveau enceinte ! Si vous saviez comme je suis heureuse !
Vous savez quoi ? Même si ce n’est pas une fille, je l’aimerai de tout mon cœur, ce bébé, tant il a été compliqué à concevoir.
Les semaines qui suivent me montrent également qu’il me rend moins malade que les deux précédents. J’ai toujours des nausées, bien sûr, mais je n’ai pas vomi une seule fois pour l’instant ! La classe !
Et c’est déjà l’anniversaire de Raphaël. Bientôt le mien, mais j’essaie de ne pas y penser… Pour l’instant, on fête la poussée de croissance de mon petit bout !
Mon ventre est déjà bien rond… J’espère que je n’aurai pas de… multiples surprises à la naissance…
Ne pensons pas cela ! Observons plutôt mon deuxième bébé qui est déjà un beau garçon !
Et malheureusement pour eux, le temps est venu pour les aides aux devoirs groupées ! Je vois bien qu’ils ont envie d’aller jouer dehors, mais ce n’est pas le moment.
Nous avions préparé la chambre à l’étage pour Raphaël, et il a eu l’air d’aimer son cadeau. Il s’y est senti suffisamment bien pour y dormir dès la première nuit.
Et contrairement à ce que j’avais pensé à un moment donné, nous n’allons pas tout de suite vendre le petit lit de bambin présent dans notre chambre…
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Aujourd’hui, c’est le Jour de l’Amour, et je ne l’ai pas oublié !
Et apparemment, Edward non plus…
« Mon amour, la femme de ma vie… Je ne suis vraiment pas doué pour les grandes déclarations, mais il y a au moins une question que je peux te poser… Veux-tu m’épouser ?
— Pendant le jour de l’Amour ? Quel cliché, mon chéri… Mais comment veux-tu que je dise non, face à un aussi gros diamant ? »
« Toujours fidèle à toi-même, à ce que je vois…
— Évidemment… Je t’aime tellement, Edward.
— Moi aussi, mon ange… »
Et dans la lignée des surprises, mon petit dernier m’a offert une fleur quand je suis rentrée du travail. Quel amour !
« Pour la plus belle des mamans ! »
Alala, il sait comment parler à sa mère, celui-là ! Mais s’il croit qu’il va échapper aux devoirs comme ça, il se trompe ! Cependant, laissons-le croire que ça fonctionne, pour l’instant… Hihi.
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Tu es créé spécialement pour le plan de Dieu
Par le pasteur David Porter
Parlons un peu des Cabulites, des Cabuliens ou peut-être des Cabulois ? Ou quel que soit le pluriel des habitants de Cabul !! Je ne parle pas de Kaboul, la ville d’Afghanistan mais d’une région constituée de petites villes dans le nord-ouest d’Israël, il y a trois mille ans.
D’accord David, alors, raconte-moi. Qui sont ces gens et qu’ont-ils de si spécial ?
Eh bien tu vois, Hiram ( j’aime ce nom ), roi de Tyr, a donné un coup de main à Salomon, roi d’Israël, pour son gigantesque projet de construction. Il a envoyé de l’or et toutes sortes de bois pour que Salomon puisse asseoir sa grandeur.
L’or qu’Hiram a envoyé à Salomon pour construire le temple et son palais pourrait valoir environs 250 millions d’euros à l’heure actuelle.
En échange, Salomon a donné à son ami du grain et certainement beaucoup d’autres choses mais il voulait aussi lui faire un cadeau spécial. Alors, il lui a donné vingt villages dans la partie nord-ouest de son territoire, pas très loin du royaume d’Hiram.
Un cadeau miteux
Hiram a sauté dans sa Mercedes ( ou dans ce qu’il avait d’équivalent, une Porsche peut-être ) et il est parti voir son cadeau.
Il n’a pas été très impressionné et a certainement fait la même tête que ta femme la dernière fois que tu as voulu lui faire une surprise en lui achetant une robe que tu as choisi tout seul. Ça a bien marché, n’est-ce pas ?
« Hiram sortit de Tyr, pour voir les villes que lui donnait Salomon. Mais elles ne lui plurent point, et il dit : Quelles villes m'as-tu données là, mon frère ? Et il les appela pays de Cabul, nom qu'elles ont conservé jusqu'à ce jour. Hiram avait envoyé au roi cent vingt talents d'or. » 1 Rois 9:12–14
Hiram les a appelées Cabul, ce qui signifie sale, déplaisant, bon à rien.
Quel homme ingrat ! A quoi s’attendait-il en échange de 250 millions d’euros ?
As-tu déjà eu l’impression d’être un habitant de Cabul ? Les gens comme Hiram ne pensent pas grand bien de toi à cause ...
D’une famille pauvre ? De la mauvaise race ? Du manque d’argent ? D’une mauvaise santé ? D’un manque d’éducation ? D’un manque de beauté ? Du fait que tu n’es pas hyper-intelligent ? Du fait que tu n’as pas d’amis dans les bons cercles ?
Est-ce que les gens conduisent sur l’autoroute de la vie sans t’accorder un deuxième regard ? Cabul ! Inintéressant ! Rien dont tu puisses profiter !
Si tu étais dans « La France a un incroyable talent », tu serais dans le premier épisode. Tu sais, celui où les spectateurs rient en voyant des gens qui essayent de chanter.
Comment réagis-tu à ta citoyenneté de Cabul ?
Essayes-tu de vivre en fonction de ce que les snobs attendent de toi ? A l’école, une des jeunes filles avait dit que son père avait parié qu’elle serait enceinte avant d’avoir seize ans. Que fais-tu quand ta propre famille s’attend à ce que tu continues à vivre selon la façon Cabulienne ?
Ou peut-être vis-tu avec un sentiment constant d’infériorité. Ton credo est : « Ils ont tort à mon sujet. Je vais leur montrer ! » C’est un peu mieux mais même si nous arrivons ainsi à quitter Cabul, cela nous conduit souvent à avoir de mauvaises attitudes.
Si tu es un Cabulien, souviens-toi de trois choses :
* Tu as quelque chose de spécial. Dieu t’a créé unique, d’où que tu viennes. Tu n’as pas à le prouver à qui que ce soit ; c’est vrai.
* Tu es en vie pour une raison. Tu n’es pas un accident. Personne d’autre ne peut jouer le rôle que Dieu a prévu pour toi.
* Ta contribution est importante. Tu apportes quelque chose de vital au plan de Dieu.
« Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. Vous m'invoquerez, et vous partirez ; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. » Jérémie 29 :11-13
Ne te limite pas pour la simple raison que tu viens de Cabul.
Près de mille ans après Hiram, un gars nommé Nathanaël a manifesté son mépris pour une ville de la région de Cabul. En parlant de Jésus : « Nathanaël lui dit : Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? Philippe lui répondit : Viens, et vois. » Jean 1:46
Il s’est bien trompé ! n’est-ce pas ? Confie-toi en Dieu et sois ce pourquoi Il t’a créé et les gens qui te rejetaient seront surpris.
Une prière pour aujourd’hui
Seigneur, Tu as des plans merveilleux pour ma vie, merci de me rappeler combien je suis précieux et de me conduire dans les projets que Tu as préparés spécialement pour ma vie. Amen
( Toutes les pensées quotidiennes sur : *viechretienne. net/pensee-du-jour* ). ☀️réduire l'espace entre le "point" et le "net"☀️ dans votre barre d’adresse.
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Ces nouvelles boutiques parisiennes à découvrir d’urgence !
Ah Paris… La capitale de la mode et du shopping par excellence. Si vous vouez une véritable addiction au shopping et que vous adorez passer des heures à dénicher LA boutique parfaite, vous êtes au bon endroit ! La rédaction vous a concocté une liste de nouvelles boutiques parisiennes à découvrir absolument. La Samaritaine, une ode au luxe et à la France Vous n’avez pas pu passer à côté de cette information ! Après plus de seize ans de travaux, l’iconique magasin parisien a rouvert ses portes. Avec ses 20 000 mètres carrés d’espace de vente, la Samaritaine est un véritable temple du luxe et de la mode. Ce bâtiment Art Nouveau, symbole parisien depuis plus d’un siècle et demi tourne son regard vers l’avenir. Ce nouveau magasin se met à la pointe des tendances pour redevenir LE lieu parisien incontournable. Allez-vous opter pour une séance de shopping no limit au sein des 600 marques présentes ? La Samaritaine – 19 rue de la Monnaie – 75001 Paris Neuvième Ciel, la mode pour les mamans, et pas que ! C’est tout récemment que la start-up Neuvième Ciel, qui proposait uniquement de la vente en ligne, a ouvert sa boutique. Située en plein cœur du quartier des Batignolles, la boutique vous permet de découvrir les pièces iconiques Neuvième Ciel mais également Candice, la créatrice emblématique et son armée de petites mains. Son leitmotiv ? Sublimer la femme enceinte. Ajoutant à cela son envie de produire 100% Made In France et de manière responsable, c’est l’endroit parfait si vous attendez un heureux évènement ou même pour faire un cadeau à une amie ! Entre la robe Sénanque et la tunique Pamela, pour quel modèle allez-vous craquer ? Boutique Neuvième Ciel – 53 rue Legendre – 75017 Paris La Milibootik, véritable temple du design En juin dernier, Miliboo ouvre un troisième concept store en plein cœur de la capitale. Cette boutique, située Rue de Rivoli, offre une expérience client unique basée sur la digitalisation. En effet, par le biais de bornes digitales situées dans la surface de vente, il est désormais possible de découvrir l’ensemble des références Miliboo ainsi que de les commander. Organisée sur deux étages, la boutique offre des ambiances éclectiques à ses visiteurs. Au rez-de-chaussée, un mélange de mobilier tendance et design sera présenté tandis qu’à l’étage, des pièces de vie seront repensées. Si vous avez envie de craquer pour une pièce design forte, foncez chez Miliboo ! Concept Store Miliboo – 83 bis Rue de Rivoli – 75001 Paris Clarins Marais, un espace avant-gardiste et responsable Dès l’entrée de la boutique, vous serez transporté dans une quête ludique et sensorielle. Vous pourrez découvrir de nombreuses expériences inédites telles que le test digital du Toucher Professionnel Clarins, l’Atelier de la peau ou encore le Marché Beauté Voyage. Soucieuse de ses engagements, la marque Clarins a conçu la boutique dans une démarche responsable et écologique. Vous laisserez-vous tenter par une expérience shopping inédite ? Boutique Clarins Marais – 45 Rue Vieille du Temple – 75004 Paris Vous connaissez désormais les nouvelles adresses parisiennes pour organiser un week-end shopping. N’hésitez pas à nous faire part de vos adresses coups de cœur et de vos spots cachés, nous serions ravies d’y faire un petit saut ! À lire aussi : Comment ne plus rater le livreur ? Read the full article
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As-tu des prompts à proposer pour des fics/chaps/OS qui te tentent plus que d'autres ?
A/G - AGA ou A/G de préférence 😁 (obsession tout ça)
Any type of prompt (even if smut/fluff are m'y favorites)
Oui ! J'ai ca, plein plein de ca même ❤️
Ils sont en électrons libre dans ma tête, j’y pense tout le temps. Tiens, sers-toi !
Et je te l'ai même fais à temps pour ta semaine de repose, imagine 😁
Alzagar/Guenièvre/Arthur (AGA et AG/A) Prompt List
Fluff
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Alzagar et/ou Arthur s'endorment en caressant le ventre de Guenièvre, rond et plein de leur premier enfant.
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Alzagar/Arthur regarde Guenièvre dormir.
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Guenièvre est en train d'accoucher sauf que Arthur et Alzagar se sont fait viré de la chambre parce que "tout ça s'est votre faute !" et "vous aussi, c'était votre idée."
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Alzagar et Guenièvre sont en train de danser. De loin Arthur les regarde en souriant.
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Guenièvre qui s'endort dans les bras d'Alzagar pour la première fois.
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Alzagar et Guenièvre dans un bain. Ils se lavent l'un l'autre et discutent. (Pas de smut ici, juste de la tendresse et beaucoup d’intimité)
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The moment Guenièvre realized she was in love with Alzagar was when even the color of the flowers reminded her of his eyes, the songs of the bards were all about him and even the melody of the wind would sing his name.
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Alzagar revient avec un cadeau un peu particulier.
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Alzagar qui veut faire la cuisine pour Guenièvre, un plat typique de chez lui.
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Une déclaration d'amour d’Alzagar pour Guenièvre.
(m'en fout si c'est cliché avec des "mon coeur déborde pour vous, tellement qu'il ne m'appartient plus" mais faut que ce soit grandiose et sincère et plein d’amour)
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La chemise d'Alzagar, le pantalon d'Arthur, la besace en cuir enchanté que lui a ramené le premier de voyage, les bottes que lui a offert le second et un grand sourire pour compléter sa tenue.
"C'est bon je suis prête, on peut y aller."
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Guenièvre annonce à Alzagar qu'elle est enceinte, fous de joie il la prend dans ses bras et la fait tourner dans les airs.
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(suite du précédent ?)
Guenièvre et Alzagar annonce à Arthur qu'elle est enceinte. Dans la folie du moment, il embrasse Guenièvre puis Alzagar sur la bouche puis le prend dans ses bras avant de lui murmurer tout ému "On va être papa."
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Soulmates AU (ça mérite peut être un multi-chapitre :D)
L'Initial des âmes sœurs est gravé dans le poignet et disparaît quand ils se rencontrent.
Le G sur le bras d'Arthur disparaît très vite mais le A qu'à Guenièvre ne fait que s'estomper. Il ne disparaîtra vraiment que quand elle rencontrera Alzagar.
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Arthur et Alzagar se sont disputés et Guenièvre est décidé à réconcilier son mari et son amant pour le bien de tout le royaume de Logres.
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La Mariage Druidique (ft. Merlin)
"Dites, on peut marier combien de personnes dans un mariage de druide ?”
“Autant que vous voulez, tant que tout le monde est d’accord et sincère. C’est une promesse devant les Dieux surtout.”
“Ok super. Révisez votre druidique, Alzagar, ma femme et moi on veut se marier.”
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Smut
Depuis que Guenièvre lui à dit qu’elle adorait la sensation de sa barbe sur sa peau, Arthur/Alzagar se fait une mission d’explorer chaque parcelle de son corps avec son visage.
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The 'A' Game
A blindfolded Guenièvre has to guess which one of her lovers is touching her. Meanwhile Alzagar and Arthur take turns to drive her crazy.
Tags : Orgasm Denial
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Il retire la main qu'elle utilise pour étouffer ses gémissements.
"Personne ne peut vous entendre ici, vous pouvez faire autant de bruit que vous le voulez."
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Et si on inversait les rôles ?
Cette fois, c'est Alzagar qui regarde Arthur et Guenièvre depuis le fauteuil.
(Pas sûr qu'il tienne longtemps assis)
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DP avec Guenièvre au milieu. That’s it, that’s the smut :D
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La Tentatrice
Guenièvre pleasures herself while her lovers sit in front of the bed.
Tags : Masturbation, voyeurisme
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(alcôve. 4 ever alcôve)
"Anyone could hear us or pass by !"
"Then I guess you'll have to stay quiet."
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Le Lac de l'Ombre (Je vois bien un two-shot)
La fic qui j'ai dans la tête depuis des semaines où ils vont au lac, picnic et détente, Guenièvre apprend à Alzagar à faire des couronnes de fleur pendant qu'Arthur est en train de somnoler à côté. Elle en fait une pour Arthur et une pour Alzagar.
Ils discutent, se baignent, rient, Guenièvre insisté pour qu'Arthur raconte la légende du lac à Alzagar.
Alzagar décide d'apprendre à Guenièvre à se défendre et ça finit en smut threesome dans l'herbe.
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Journée Spa
En visite à Rome, Alzagar, Arthur et Guenièvre profitent des bains mis à leur disposition. (Pas forcément smut)
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Angst
Arthur sur son lit de mort qui fait promettre à Alzagar et bien prendre soin de Guenièvre.
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(bon là faudra peut être multi chap) Past-abuse, past-trauma
Lancelot est enfin capturé et fait prisonnier. Guenièvre enceinte de son deuxième enfant veut le voir pour finir de guérir de toutes les horreurs qu'il lui a fait subir. Alzagar et Arthur se disputent pour savoir si c'est une bonne idée, ils ont tous les deux très peur pour elle et ont du mal à comprendre pourquoi elle veut faire ça. Ils finissent par accepter mais ils seront tous les deux dans la pièce avec elle.
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Fluff/Angst
Pendant une chasse, Alzagar est grièvement blessé, quand il retourne à Kaamelott c'est dans une civière. Guenièvre est dans tous ses états.
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Bonus Round
3 fois où on a appelé Alzagar "Sire" et 1 fois où Arthur a été pris pour Alzagar.
#kaamelott#Writing Prompt#Alzagar/Guenièvre/Arthur#guenièvre pendragon#arthur pendragon#Alzagar#AGA#Alzagar/Guenièvre#Kaamelott#my art#Prompt List#MTB#Yumeka
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Attaque et découverte
Arthur et Guenièvre se promenaient en forêt. C'était une habitude qu'ils avaient prise ces trois derniers mois. Tous les jours, en fin d'après-midi, ils allaient se promener et revenaient pour le diner. Après avoir passé dix ans enfermée dans une tour, Guenièvre avait envie de profiter de sa liberté et voir autant de paysages que possible. Arthur insistait toujours pour l'accompagner. Il disait que c'était pour qu'elle ne soit pas seule sans défense si elle tombait sur Lancelot ou un membre de sa clique. Mais, bien que ce soit en partie vrai, c'était surtout une excuse pour passer du temps ensemble sans être dérangés toutes les trente secondes. Il appréciait ces moments. Ils parlaient de tout et de rien, du moment que le sujet n'avait aucun rapport avec Lancelot ou la quête du Graal. Tous deux avaient été très clairs là-dessus : interdiction d'évoquer des sujets stressants. C'était avant tout un moment de détente. Guenièvre était en train de lui raconter une anecdote sur son enfance lorsqu'elle fut tout à coup prise de haut-le-cœurs.
"-Hou là ! Tout va bien ? Demanda Arthur.
-Oui, oui. Je sais pas ce que j'ai, depuis ce matin, ça n'arrête pas. Si demain ça continue, j'irai voir Merlin.
-Ça vaut peut-être mieux. Vous voulez qu'on rentre ?
-Non, c'est bon. Si vraiment ça va pas, je vous dirai. J'espère juste que c'est pas une épidémie ou quelque chose dans ce goût-là, parce que j'ai entendu Angharad se plaindre de nausées à Nessa, ce matin."
Sur ces mots, elle s'éloigna pour observer un oisillon qui essayait de s'envoler. Soudainement, elle se mit à vaciller et commença à s'affaisser. Pris de panique, Arthur se précipita vers elle, la rattrapa et s'agenouilla.
"-Guenièvre ! Qu'est-ce qui vous arrive ?
-Je... Je me sens fatiguée, tout à coup...
-Hé bien, Sire, vous appréciez ma petite surprise ? Fit une voix familière."
Arthur leva la tête et vit Mevanwi surgir de derrière un arbre.
"-Vous ! Qu'est-ce que vous lui avez fait ?!
-Oh, rien de bien folichon. Juste un petit sort d'épuisement. Estimez-vous heureux, j'aurai pu être bien plus sadique."
Arthur sentit une rage sans nom s'emparer de lui. Il se leva, dégaina Excalibur et s'avança vers Mevanwi, prêt à en découdre. Mais avant qu'il ait pu faire quoi que ce soit, elle claqua des doigts et se volatilisa. Il poussa un juron et rengaina son épée. Il se précipita vers Guenièvre et s'agenouilla près d'elle.
"-Vous vous sentez capable de marcher ?"
Elle secoua négativement la tête.
"-C'est pas grave, je vous porterai."
Il la hissa dans ses bras tandis qu'elle passait ses bras autour de son cou. Le seule autre fois qu'il l'avait portée ainsi, c'était le jour de leur mariage... Il avait espéré pouvoir la reporter comme ça, mais pas dans ce genre de situation. Tandis qu'il marchait vers Kaamelott, un tourbillon de pensées lui traversa l'esprit. Tout était de sa faute ! Il aurait dû être plus attentif ! S'il avait repéré Mevanwi plus tôt, Guenièvre ne serait pas dans cet état ! Il fut tiré de ses réflexions par la voix de Guenièvre :
"-Arthur ?
-Oui ?
-Vous... Vous n'avez pas à vous en vouloir. Ce n'est pas de votre faute.
-Mais...
-Mais rien du tout ! Si vous devez blâmer quelqu'un, blâmez Mevanwi. C'est elle qui a lancé ce sort, après tout."
Là, elle ferma les yeux et ses bras tombèrent mollement. Il sentit la panique l'envahir.
"-Non, non, non ! Guenièvre !"
Il accéléra le pas. Au bout d'un temps bien trop long à ses yeux, il atteignit enfin Kaamelott. Il remercia intérieurement tous les dieux auxquels il pouvait penser que Léodagan et Séli soient en Carmélide. Il se sentait déjà suffisamment coupable sans en plus devoir supporter leurs reproches. Quand il entra dans leur chambre, il y trouva Nessa.
"-Vous, allez vite chercher Merlin !"
Tandis que la servante sortait de la pièce, il allongea Guenièvre sur le lit. Au bout de quelques minutes, Merlin entra.
"-Sire ? Il est arrivé quelque chose à la reine ?
-On a croisé Mevanwi. Elle lui a jeté un sort.
-Vous savez quel genre de sort ?
-Un sort d'épuisement. Enfin, si elle a bien dit la vérité. Avec elle, on ne sait jamais. Je veux que vous l’examiniez pour savoir si elle va s'en sortir."
Il se souvint alors de ce dont ils parlaient avant que Mevanwi ne se pointe.
"-Ha, aussi, elle m'a dit souffrir de nausées depuis ce matin. Si vous pouviez faire quelque chose pour ça...
-Bien sûr, pas de problème ! Attendez dehors."
Arthur leva les yeux au ciel mais obéit. Il n'était vraiment pas d'humeur à se disputer. Il fit les cent pas devant la porte. Au bout d'un moment, il vit Perceval s'approcher.
"-Ça va, Sire ?
-Guenièvre s'est fait attaquer par Mevanwi et je ne sais pas si elle va s'en sortir où pas. Alors, non, ça ne va pas !
-A... Attaquer ?! Comment ça ?!
-Elle lui a jeté un sort ! Alors même que je l'accompagnais spécifiquement pour la protéger ! Et je n'ai rien pu faire !"
Bon sang, voilà qu'il pleurait à présent ! Il comprenait maintenant ce qu'avait bien pu ressentir Guenièvre lorsqu'il s'était tranché les veines. Mevanwi avait beau prétendre qu'elle aurait pu faire pire, il savait bien, pour l'avoir vu de nombreuse fois chez ses collègues esclaves de ces dix dernière années, que "mourir d'épuisement" n'était pas qu'une expression. Ne pas savoir était pire que tout. Si elle mourrait... Non, il ne voulait même pas songer à cette éventualité ! Il sentit une main se poser sur son épaule. Il leva la tête et vit que Perceval le regardait d'un air plein de compassion.
"-Vous en faites pas, Sire. Elle est forte, la reine. Elle s'en sortira forcément !"
Il força un sourire et essuya ses larmes. A ce moment-là, la porte de la chambre s'ouvrit et Merlin en sortit.
"-Alors ?
-J'ai deux bonnes nouvelles à vous annoncer. La première, c'est qu'elle va s'en sortir."
Sentant ses jambes trembler, Arthur s'assit par terre en poussant un soupir de soulagement.
"-Merci, Merlin ! Vraiment, merci !
-Y'a pas de quoi, Sire ! Bon, par contre elle restera inconsciente pendant deux ou trois jours. Et même après son r��veil, il vaudra mieux qu'elle reste alitée jusqu'à la fin de la semaine. Surtout au vu de la deuxième bonne nouvelle.
-Et quelle est-elle, cette nouvelle ?"
Un grand sourire s'afficha sur le visage du druide.
"-Et bien... Mes félicitations au futur papa !"
Arthur cligna des yeux en entendant ça, le temps que la phrase s'enregistre dans son cerveau.
"-Vous... Vous en êtes sûr ?
-Absolument certain ! J'ai vérifié trois fois.
-Pourquoi trois fois ?
-Bah, déjà, pour être sûr de pas m'être gouré. Depuis le temps que vous voulez des enfants, ça serait con que je vous donne des faux espoirs. Et aussi pour m'assurer que les bébés ne souffrirons pas de répercussions à cause du sort. Je peux affirmer que ça ne sera pas le cas.
-Vous avez bien fait. Mais... Attendez une seconde ! "Les" bébés ?!
-Ouais ! C'est des jumeaux ! Bon, je peux retourner à mon laboratoire ?
-Ouais, c'est bon. Merci encore.
-De rien !"
Merlin se retira. Perceval s'assit à côté d'Arthur, mais il n'y prêta pas attention. Une myriade de pensées lui traversait l'esprit. Il allait être père. Enfin, après toutes ces années ! Fera-t-il un bon père ? Il l'espérait. Il fera tout pour, en tous cas.
"-Tout va bien, Sire ? Fit Perceval, le tirant de ses interrogations.
-Ouais, ouais. Je me demandais juste si je ferai un bon père.
-Soyez pas ridicule, Sire ! Bien sûr que oui ! Un mauvais père se poserait même pas la question."
Arthur secoua la tête en souriant. Des fois, il enviait la capacité de Perceval à rester positif.
"-En tout cas, on dirait que c'est la journée des grossesses. Angharad aussi est enceinte.
-Non ?! Elle aussi ?!
-Ouais ! Elle l'a apprit ce matin.
-Mais c'est super, Perceval ! Mes félicitations !
-Merci, Sire ! Et mes félicitations, à vous aussi ! Bon, faut que je vous laisse. Karadoc m'a demandé de l'aider à trouver un cadeau d'anniversaire pour Meghan. A plus tard !"
Arthur regarda son chevalier s'éloigner en souriant. Il avait été ravi quand Perceval lui avait annoncé son mariage avec Angharad. Il n'avait aucun doute sur le fait que Perceval ferait un excellent père. Après tout, il avait aidé Karadoc à élever ses filles, et vu comment les deux jeunes femmes avaient tourné, il avait fait du très bon boulot. Il entra dans la chambre, s'assit au bord du lit et prit la main de Guenièvre.
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Les sensations revenaient petit à petit à Guenièvre. Elle sentait qu'elle était dans un lit, ce qui était étrange, car elle ne se rappelait pas être allée se coucher. Les souvenirs lui revinrent alors en mémoire. Sa promenade quotidienne avec Arthur, la soudaine sensation de fatigue qu'elle avait ressentie, Mevanwi... Quelqu'un lui tenait la main. Péniblement, elle ouvrit les yeux. Quand sa vision se fut réajustée, elle reconnut le décor de leur chambre, à Arthur et elle. Elle tourna la tête pour voir qui lui tenait la main. C'était Arthur, agenouillé par terre, l'air inquiet. Tout se passa alors très vite. Un moment, l'expression de son visage passait de l'inquiétude à un soulagement profond. L'autre, il la serrait contre lui comme si sa vie en dépendait.
"-Ne me faites plus jamais une peur pareille ! J'ai cru que vous alliez... que vous... Ne me faites plus peur comme ça !"
Il tremblait... Elle avait vraiment dû lui faire une belle frayeur pour qu'il soit aussi agité. Au bout d'un moment, il finit par la relâcher.
"-J'ai... j'ai été inconsciente combien de temps ?
-Trois jours. Et il faudra que vous restiez au lit jusqu'à la fin de la semaine, surtout au vu de ce que Merlin a découvert.
-Qu'est-ce que qu'il a découvert ? C'est en rapport avec mes nausées ?"
Sans mot dire, Arthur lui reprit la main et la posa sur son ventre. Elle le regarda un moment avant de comprendre ce que cela signifiait.
"-C'est... C'est certain ?
-Merlin a été catégorique. Il dit que c'est des jumeaux."
Ils se regardèrent sans rien dire pendant quelques instants. Puis, il éclatèrent de rire. Guenièvre avait l'impression qu'un poids lui avait été enlevé des épaules et nul doute que c'était aussi le cas pour Arthur.
"-J'espère qu'au moins l'un des deux est garçon.
-Moi, je serai pas mécontent d'avoir une fille. Mais honnêtement, tout ce que je veux, c'est qu'ils naissent en bonne santé. Au fait, quand vous disiez espérer qu'il n'y avait pas d'épidémie, vous n'étiez pas si loin du compte.
-Comment ça ?
-Angharad est également enceinte.
-Oh, c'est génial ! C'est le seigneur Perceval qui doit être content !
-Il est ravi. Angharad a proposé hier de servir de nourrice si vous n'avez pas assez de lait pour les deux bébés.
-Oh, je veux bien, oui."
Guenièvre sentit soudain son ventre gargouiller. Arthur eu un petit rire.
"-Je vais vous faire apporter à manger."
Et il quitta la pièce. Guenièvre commença à réfléchir à des idées de nom pour les bébés.
#kaamelott#angst#arthur x guenièvre#pandranièvre#Le titre est nul#je suis très mauvaise pour trouver des titres à mes fanfictions
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Bonne année!
Depuis plusieurs années, je déteste le nouvel an.
Avant j’adorais ça. On faisait la fête avec la famille puis les amis. On passait la journée à préparer le réveillon et le lendemain, on le passait à ranger même avec la gueule de bois. Cependant, durant le 1er Janvier, il arrive toujours quelque-chose d’incompréhensible.
Tout commença à l’aube de mon cinquantième anniversaire. Autant dire au milieu de ma vie. Avec la famille, on fêtait ce nouvel an comme il se doit. Heureux comme jamais car notre fille annonça être enceinte. J’allais être grand-père. D’habitude, je ne bois pas de champagne mais à ce moment, je fis une exception et dégustai ce nectar en imaginant moi et mon épouse en train de dorloter notre premier petit enfant. Garçon ou fille ? Je me fichais éperdument. La fête continua mais l’alcool me fit tourner la tête, alors, je partis me coucher et me réveillai tard dans la journée du premier janvier.
En déambulant dans les couloirs de la maison, j’eus une étrange sensation de déjà-vu. Les enfants, leurs conjoints et un couple d’amis mangeaient les restes sans m’avoir attendu. Je m’assis en répétant à tue-tête : « Bonne année » recevant les réponses par des cris rieurs. On espérait que cette nouvelle année soit plus belle surtout avec l’annonce de ma fille Lucia. D’ailleurs, après avoir grignoté un morceau de chapon, je levais mon verre et portais un toast à ma fille et son copain en espérant que leur enfant me ressemble. Tout le monde rit pourtant Lucia me regarda d’un air gêné, son visage avait rougi. « Mais, je ne suis pas enceinte » contredit elle. « Pourtant tu l’as dit hier » affirmai-je. J’observais tout le monde qui me dévisageait. Aurai-je rêvé ? Peut-être, pourtant la scène se répétait en mémoire.
Dès lors, je passais à autre chose en souhaitant une bonne année 2021. Encore une fois, tout le monde rit, mon épouse dit : « on est en 2020, chéri. » Après avoir discuté et persisté en disant qu’on avait changé d’année, je découvrais qu’ils s’étaient liés contre moi en insistant qu’on était en 2020. Dès lors, je retournai dans ma chambre, énervé et en colère d’être le pigeon de leur plaisanterie. Mon épouse me rejoignit pour en discuter. Seulement, elle persistait tellement que j’acceptai de regarder les informations. Et effectivement, je revivais une seconde fois 2020. D’ailleurs, mon téléphone aussi confirmait la date : 1er janvier 2020.
Je vécu de nouveau cette terrible année. Je dus supporter un énième confinement, des couvre-feux agaçants car je devais courir pour rentrer après le boulot. L’année était plus pénible que la première fois et c’est avec bonheur que je fêtais encore le nouvel an. Nous étions tous autours de la table à lever notre verre tout en comptant. Puis, nous criâmes ensemble, oubliant les gestes barrières. Nous nous embrassâmes, j’étais encore plus content surtout que je savais quelle nouvelle allait raconter Lucia quand elle demanda la parole. Je bus de nouveau une coupe de champagne et après une heure, je me sentis étourdi pas l’alcool et la fatigue. Je partais me coucher, ravi de pouvoir enfin vivre l’an 2021.
En me levant, quelque-chose était différent. Je ne pouvais dire exactement, mais il y avait un truc étrange, l’atmosphère ou l’alcool qui continuait de faire effet. Je descendis et rejoignis la famille et les invités.
Ils étaient plus nombreux que la veille. Il y avait un oncle qui maintenant est en maison de retraite. Il y avait des cousins qui habitaient à l’autre bout de la France, il y avait mes meilleurs amis. Eux aussi n’étaient pas venus car ils habitaient la Vendée. Je ne comprenais rien à leur présence. En me voyant, ils me souhaitèrent une bonne année et par prudence, je répondis en souriant sans montrer d’inquiétude. Je discutais avec les plus proches de ma place. De plus, une sensation de déjà-vu apparut soudainement. On était en 2019.
Je ne sais pas comment cela était possible mais nous étions bien en 2019. Ma fille Lucia venait d’emménager avec son copain. Mes fils étaient en première année à l’université. Ma femme m’embrassa en me remerciant de nouveau pour mon cadeau. C’était une bague qu’elle avait repérée en faisant les boutiques avec ma sœur. Je ne comprenais pas comment les années pouvaient régresser. Pourtant, je le vivais.
Je n’ai pas cherché à en parler ni à trouver une solution. L’année se passa comme elle s’était passée. Encore une fois, j’étais fier de mes jumeaux pour leur BAC et les deux avec mention. Puis arriva la période des réveillons. Je fus troublé et angoissé pendant celui de Noel à l’approche du premier de l’an. Et quand nous fêtâmes le passage à 2020, je me sentis à la fois soulagé et inquiet de pas me retrouver coincé dans le temps. Seulement, ce n’était que partie remise parce que le lendemain, nous étions le 1er janvier 2018.
Chaque année, je revivais le réveillon précédent mon année. Il y eut 2017, 2016, 2015 et ainsi de suite. En 2014, je reconnus mon père décédé cette année et revis son arrêt cardiaque. En 2013, c’était celui de ma mère. Je ne sais pas pourquoi, mais je régressais dans le temps. Il en était de même pour mon corps, il retrouvait son éclat, sa jeunesse. Ma femme retrouvait ce grain de folie qui la rendait pétillante. Nous partîmes en vacances, revivant notre séjour en Inde. J’étais heureux de recommencer ce voyage. Cependant, le retour en arrière continuait.
J’avais beau connaitre l’histoire, les larmes jaillirent à la naissance des enfants. Les jumeaux puis Lucia qui est l’ainée. Mon job, la maison achetée, ma mutation, celle de mon épouse, notre mariage. Sa présentation à la famille, à mes parents. La mort de mes grands-parents, L’accident d’une cousine… tout repassait soudainement en même temps que la décroissance du temps.
La rencontre avec ma femme m’avait toujours fait rire. Je n’ai jamais su comment j’avais fait pour la conquérir. Et je réussissais encore cet exploit. L’université fut une formalité tout comme les années lycées et collèges. Je retrouvais mes amis d’enfance, mes premières sorties, mes premières beuveries, mes premières coucheries. Et chaque fois, j’espérai voir le temps retrouver son sens logique. Mais l’année suivante devenait toujours la précédente.
Il y a eu ensuite les jouets, les cours de récrées, les premières rentrées d’école. Et puis les premiers mots, les premiers pas. Ce que mes parents étaient gâteaux quand j’avais un an. Enfin, je ne peux rien dire car même si je suis conscient, je dois accepter qu’on me torche le cul et porter des couches à longueur de journée. Ce que leur bouilli n’est pas bonne non plus ! Il est loin maintenant le réveillon de mes cinquante ans. C’était il y a cinquante ans. Celui-ci, je le passe dans un panier et ils sont tous à me regarder avec des sourires niais et des gouzis-gouzis. Ils sont tous là les tontons, tantines et les cousins qui me feront chier dans quelques année, enfin logiquement car ils se sont tous levés pour compter ensemble. Et quand arrive la nouvelle année, ils s’embrassent tandis que moi, je me demande ce qui pourrait se passer dans quelques heures. Car c’était mon tout premier réveillon et avant celui-ci, je n’en ai connu aucun.
Je déteste le nouvel an.
Bonne année !
Alex@r60 – janvier 2021
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Top 5 des livres nauséabonds (pas forcément mauvais : juste des livres dont l'histoire ou le message était abject) que tu as lu.
Merci @characterfromthebook et bien bienvenue en zone crado ! En général j’ai tendance à abandonner les livres nauséabonds parce que je considère que la vie est trop courte pour me mettre mal à l’aise avec un livre maiiiiiiis j’ai quelques trucs particulièrement abjects ;D
Prenez votre vogalen et en avant !
- The king’s peace, Jo Walton
L’héroïne est violée de manière totalement gratuite dans les premières pages. Belle manière de commencer un livre ! Elle donnera naissance à un enfant qu’elle abandonnera ensuite. Plus rien de tout ça ne sera jamais plus abordé. Jusqu’au moment où l’héroïne devra pardonner à son violeur parce qu’il rejoint l’armée de son roi. Elle se rendra alors compte que ce n’est pas un mauvais bougre. Abject.
-Le manga Berserk, Kentaro Miura (je crois mais j’ai pas envie de vérifier)
Je n’ai pas lu ce truc, j’ai juste parcouru des extraits. En fait je connais ce machin grâce à un de mes anciens potes d’études. Le gars célébrait cette oeuvre comme étant “trop d4rk et mature”. En fait c’est aussi mature qu’un adolescent boutonneux qui est en pleine puberté et en mode “sang, sexe et boobs !”. Entre scènes de viol à la pelle, dont une qui dure sur plus de 30 pages, c’est cadeau, et autres immondices, je conseille à l’auteur d’entamer le plus rapidement possible une psychanalyse et de coupler ça à la prise d’un calmant bien lourd, histoire d’arrêter de produire de la bouse.
-La saga A song of ice and fire, de GRRM
Je sais que ce que je suis sur le point d’écrire va être controversé, mais bon j’ai envie de dire vous me connaissez xDDD
Bref donc ce cycle me débecte à cause de la violence omniprésente, graphique et gratuite, envers les femmes. Alors l’auteur se défend en disant que c’est parce qu’il écrit sur une époque sombre et violente. Certes, mais les trois quarts des choses qu’il décrit ne sont PAS NECESSAIRES à son intrigue. Pourtant, ce ne sont partout que corps féminins violés et mutilés. Le tout ad nauseam. Le viol devient un simple élément de décor, d’ambiance. On a compris que son univers était violent, pas la peine d’en rajouter. En plus de ça, beaucoup de ses personnages masculins s’adonnent à la violence envers les femmes : on a le client de prostituées (le john quoi) coupable de féminicide, celui qui a tué sa femme etc. donc oui on te force a être dans la tête de ces types en PDV interne. Trop bien !
Qui plus est, le monsieur insiste en disant que les mariages de jeunes filles à peine pubère sont rares dans son univers. Pourtant, il multiplie les exemples de gamines mariées à 11,12, 13 ans enceintes et forcées d’avoir des relations sexuelles. Bref, George je pense que t’as un sérieux problème. Arrête de te cacher derrière tes excuses de réalité historique.
-Dentelles et nécromancie, Georgia Caldera
Une héroïne soumise et innocente et un héros trop d4rk et torturé qui la traite très mal, lui ment, la contrôle...et pourtant ils finissent mariés ! Quelle belle histoire d’amour !
-Mémoires d’une fleur, Jacques Pimpaneau
L’histoire d’une courtisane dans la Chine ancienne. L’auteur y a déversé ses fantasmes les plus abjects. L’héroïne subit un viol collectif et finit par aimer ça. Rien de plus à dire.
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French/Français : Leona Kingscholar X Readerfem! provocatrice
Pour la compréhension de tous, le Reader est une femme et possède la capacité de renforcer ses muscles. Cependant, ça la fatigue énormément ! Bonne lecture.
Pas de Lémon/nsfw
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Durant la nuit, j'entends au loin Grim tousser. Ce n'est pas de la comédie j'ai l'impression.
C'est au lever du jour que je constate que mon compagnon de chambre grelotte, m'approchant, je le réveille doucement et il m'annonce ne pas se sentir bien. Soupirante, je lui fais remarquer qu'il avait pris un bain froid soi-disant pour que ses poils soient doux. Me râlant dessus, il éternue tout en se pelotant sous la couette. Touchant son front, je lui demande de m'attendre le temps que je me prépare. Vêtement et masque enfilé, je pose sur mes épaules mon manteau puis y met Grim sur moi avant de refermer le tout. Je dois le maintenir à sa température, le pauvre n'a même plus la force de protester.
Dans l'allée principale, j'ai l'air d'une femme enceinte mais la tête de Grim ressort un peu pour prendre l'air. Entendant mes amis au loin, je les salue puis Deuce s'inquiète de ma santé en pensant me servir de Grim comme d'un chauffage. Chose à quoi je réponds en exposant l'intelligence de mon compagnon. Ace se moque de lui mais le pauvre est tellement faible qu'il a seulement la force de le regarder méchamment. J'annonce au garçon que je pars afin d'amener Grim à l'infirmerie. Ace me conseille de ne pas arriver en retard au cours de Crewel et j'hoche simplement la tête.
L'animal déposé, le mot d'excuse de son absence et de mon retard en poche, je fonce directement en cour. Lorsque mon professeur ferme la porte, j'arrive à m'engouffrer dans celle-ci sous les petits applaudissements d'Ace. Il n'en rate pas une !
- Puis-je savoir la raison de votre retard Fuyu, me demande Crewel menaçant.
- Eh bien, ris-ai-je un peu en voyant son fouet frapper doucement sa main. Grim est tombé malade, je l'ai amené à l'infirmerie... Voici nos mots.
- Hum, prononce-t-il en les regardant. Je vais prendre votre mot de retard, espérant que ce genre de chose ne se reproduise pas.
- Oui monsieur, m'excuse-ai-je en m'asseyant.
- Bien, mise à part l'absence de Grim... Tout le monde est présent. Le proviseur a jugé bon de vous offrir un avant-goût de ce que vous aurez lors des deux prochaines années. Pour ce faire, vous serez sous la tutelle d'un de vos aînés durant une journée complète. Cette journée se déroulera demain, comptant sur vous pour vous comporter comme de bon chiot face à vos aînés. Si j'ai vent d'un quelconque comportement indésirable, vous aurez le droit à une punition exemplaire.
- Oui, annonce tout le monde.
- Bien, sur ce, commençons.
Durant le cour, je me concentre du mieux que je peux, demain risque d'être fort intéressant !
En sortant de la classe, quelqu'un me rentre dedans, sous mes protestations, j'y aperçoit Leona. Bon sang, son commentaire sur le fait que je lui ai rentré dedans m'agace. Je lui fais remarquer que je sors de ma classe et qu'il est un peu sur mon chemin. Il réplique que c'est son chemin et qu'il ne m'a pas vu à cause de ma taille. Protestant pour défendre mon 1 mètre 70 si chèrement acquis, il souffle simplement des narines avant de partir. Deuce me conseille de ne pas trop l'énerver mais Ace m'encourage à entrer dans cette voie. Me tournant vers eux, j'annonce que je ne pense pas être avec Leona pour demain. Avouant même que ce serais le comble de tomber sur lui comme accompagnant demain. Après tout, je vais seulement apprendre à sécher les cours et à procrastiner.
Lors de nos attributions, je regarde en rage l'emploi du temps ainsi que le nom de mon accompagnateur
- Vous sentez cette odeur les gars, demande-ai-je.
- Laquelle, me demande Deuce.
- L'odeur de la putain d'ironie, dis-je en montrant ma feuille. J'ai Leona Kingscholar.
- Super, râle la voix de mon accompagnateur. De tous les herbivores potables, il fallait que je tombe sur la pire.
- Je te rassure, t'es pas un cadeau.
- Tu devras me suivre et ne pas trop faire de bruit. C'est une chance pour toi de te tenir à mes côtés alors ne la gâche pas inutilement.
- Oui, oncle Leona, souris-ai-je.
Sous ses grognements, Crewel nous souhaite une bonne journée. Regardant les garçons, ils m'envoient tout leur courage et leur soutien. Allez, courage T.P, c'est juste 8 heures à être à ses côtés. Même si ce sera 8 heures de luttes acharnées. Attendant qu'il parte, je regarde notre emploi du temps, c'est cour de potion. En plus avec Crewel, ça risque de donner. Mais je ne tiens pas à lui donner raison, à la moindre occasion, je prends le bâton qu'il me tend pour lui frapper les chevilles.
Après avoir enfilé nos tenues de chimiste, je me tiens prête à voir ce que donne les cours de potions. Se plaçant au centre de la pièce, le but est d'aider nos aînés dans la préparation d'une potion. Celle-ci demandant à être préparé avec le plus grand soin, celui qui dirige le tout est notre aîné mais le professeur nous offre tout de même les étapes ainsi que des photos en couleur comme référence. Au moment où la feuille tombe dans mes mains, Leona s'empresse de la prendre en m'ordonnant de ne pas trop interférer dans sa manière de faire.
Non mais ! Pour le moment, et même si ça m'embête, je me surprends à admirer sa précision concernant les dosages. Je me contente de faire les mélanges de mon côté afin de bien être vu par le professeur. Quand la prochaine étape arrive, je prends l'ingrédient mais Leona m'arrête en disant que je me trompe. Je lui répète que non en se basant sur ce que pouvait donner cet ingrédient avec la couleur sur la fiche. Riant à mon nez, je prépare rapidement la potion pour arriver à la même étape. Tendant le tout à Leona, je lui annonce qu'on va voir qui a gagné. Lorsque le professeur passe à côté de nous, il nous demande la raison pour lesquels il y a deux potions. Souriante, je coupe Leona qui allait se donner raison, j'explique alors au professeur qu'on a eu un différent et qu'il voulait voir qui avait raison dans l'histoire. Regardant Leona, j'ajoute que même nos ainés peuvent faire des erreurs. Le prof hoche simplement la tête tandis que Leona grogne toute sa haine sur moi en disant simplement avoir de la chance. Il ne veut simplement pas avouer que j'ai eu raison.
Au cours de Trein, je ne suis pas étonnée de le voir dormir en moins de 3 secondes. Voyons le bon côté des choses, il fait acte de présence. Remarquant le regard du professeur sur mon accompagnateur, je le réveille brutalement en lui marchant sur le pied. Râlant de ce que j'ai fait, le professeur demande à Leona de ne pas amener une de ses élèves prometteuses vers le bas. Je souris alors et remercie le professeur de ce compliment. En y ajoutant même, à voix basse, que ma présence pourra peut-être l'aider.
En sport, je m'échauffe avec Leona qui ne semble toujours pas ravis. C'est un 500 mètres, bien que je ne doute pas des capacités de mon partenaire, j'aimerai voir jusqu'où peuvent aller mes pouvoirs. Un renforcement musculaire n'use pas beaucoup de magie, j'ai appris à respirer avec Deuce et Jack. En plus de savoir correctement courir ! Le lion ne refusera jamais un défi, surtout si c'est une question de fierté.
- Leona, dis-je. On peut courir à deux et voir qui fera le moins de temps possible ?
- Tu oses me défier, demande Leona. Tu n'es qu'une herbivore.
- As-tu peur de perdre ?
- La victoire serait trop facile, ris Leona.
- Eh bien, ça sera une occasion de me faire taire.
Tapant doucement son torse, son regard et ses gestes veulent tout dire. Les élèves semblent déglutir mais Rook, lui, semble s'intéresser par la tournure des événements. Nous nous plaçons tous les deux sur la piste, je me sens prête ! Au coup de sifflet, nous commençons à courir. Au départ, mes muscles sont à peine renforcés et un petit écart se creuse. Lui tirant la langue, un grognement rageur traverse sa gorge où il commence à accélérer. Quand l'écart est beaucoup trop grand, je commence à faire bouger rapidement mes jambes ainsi que ma magie afin d'arriver à sa hauteur. Même si c'est dur de maintenir le tout sur 500 mètres, le désir de lui faire ravaler son clapet m'aide à avancer. Sur les derniers mètres, nous franchissons la ligne d'arriver en même temps où le prof annonce également le temps que nous avons effectués. Reprenant mon souffle, je m'avoue accepter un ex-aequo. Pour ne pas trop perdre la face. Cependant, Léona n'a pas l'air d'accepter car il considère ça comme une défaite, l'ai-je poussé à bout ?
Après les cours, je pars rejoindre mes amis mais Leona m'amène dans un coin isolé afin de me coincer contre un mur.
- Si t'essayes de me pousser à bout, annonce Leona. T'as réussi.
- Merci, souris-ai-je. Cette journée a été très instructif pour moi.
- Pff, la seule chose que tu faisais été de me casser les pieds.
- Vraiment, dis-je un peu rouge en sentant son souffle sur mon visage. Je suis ravie alors.
- Comment je peux faire taire cette bouche, se demande Leona en rapprochant son visage du mien.
- Eh bien, il y a différentes manières. Mais je ne suis pas sûr qu'elle te convienne.
- Mais j'imagine qu'elle convient à toi. Tu es vraiment la seule personne qui a su sortir de ma zone de confort.
Je le remercie de ce compliment, glisse mes mains sur ses côtes. Me délectant de son regard chaud sur moi puis de la forme de ses muscles, je le tourne contre le mur. Attendant surement que je fasse quelque chose, je frôle mes lèvres avec les siennes. J'ai envie de me jeter dans ses bras mais ce serait lui donner raison. M'éloignant sous sa frustration, je rejoins mes amis en jetant un dernier regard à Leona.
Mais ce jeu à l'air de lui plaire.
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Maison en bord de mer
Il avait passé des années dans cette maison. Cette jolie demeure qui surplombe la plage principale de sa ville natale, Douarnenez, en Bretagne.
Sa femme lui en avait fait cadeau pour leur 10 ans de mariage, elle avait prononcé ces mots : « Tout est tellement plus paisible ici, l’air de l’océan m’apaise, et ce serait une superbe maison de famille tu ne penses pas ? ». Il la regardait avec des yeux tendres et amoureux. Qu’est ce qu’il l’aimait.
Ils s’étaient rencontrés à l’université où ils étudiaient tous les deux la littérature. Il se souvient encore du jour où il l’a rencontré : elle avait une démarche lente, un peu comme si elle cherchait son chemin et elle portait une robe verte avec un long collier en argent. Elle est allée s’asseoir au premier rang de l’amphithéâtre, sur le siège à côté du sien. En lui arborant le plus beau des sourires, elle mit sa main sur son épaule et lui demanda si elle était dans la bonne salle de classe. Il acquiesça et lui rendit son sourire.
Très vite ils furent tout deux persuadés qu’ils allaient passer le reste de leur vie ensemble et ce fut le début d’une incroyable histoire d’amour et d’amitié. Ensemble, ils étaient invincibles.
A la fin de leurs études, ils partirent parcourir le monde à la recherche de nouvelles sensations, de l’apprentissage de nouvelles langues et de la découverte de cultures différentes de la leur.
Un an plus tard, elle était enceinte. Ils décidèrent alors de rentrer en France.
De nombreux évènements nous amènent à ce triste jour de décembre. La pluie bat son plein et il est assis sur le canapé près de la fenêtre. Il regarde les vagues s’échouer sur la plage, le regard vide, inanimé. Il vient tout juste de se réveiller de sa sieste, il a encore rêver d’elle. C’est alors que sa fille entre dans la pièce, une tasse de thé brulante entre les mains qu’elle s’apprête à lui tendre alors qu’elle s’assoit à ses côtés. En mettant sa main sur son épaule elle lui dit « A moi aussi elle me manque ».
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D’un cancer à une nouvelle vie
Je m’appelle Céline, j’ai 29 ans ; j’ai 5 formidables enfants et un bon mari grâce à Dieu.
Mais tout n’a pas été toujours rose dans ma vie. Quand on a le Seigneur Jésus-Christ dans sa vie, on se croit invincible, à l’abri de tout. On pense pouvoir tout diriger, mener sa vie comme un bon chrétien. On passe notre temps à louer Dieu et à le remercier. Lorsque tout va bien, ce n’est pas très compliqué. Mais même en tant que chrétien, peut-on tout accepter avec le sourire ? On le devrait pourtant.
En mars 2006, mon époux était parti en Côte d’Ivoire pour une durée de 4 mois pour son travail, j’ai donc profité de ce temps d’absence pour rendre visite à ma famille dans la région parisienne. J’ai décidé lors de ces vacances au mois d’avril de faire un bilan de santé complet (ophtalmologiste, dentiste…). Lors de ma visite chez le gynécologue, j’ai dû effectuer un frottis de contrôle. Quelques semaines plus tard, j’apprends que le résultat est « anormal ». Des examens supplémentaires s’imposaient (biopsie, colposcopie…). Résultat : cancer du col de l’utérus.
À l’annonce de cette nouvelle, je me suis effondrée. Pourquoi Seigneur ? J’ai une vie saine et je fais ta volonté. Une intervention chirurgicale s’imposait. Il a fallu annoncer la nouvelle à mon mari qui était à des milliers de kilomètres de moi. Il a été rapatrié le 18 juin 2006 pour être présent à mes côtés. Les médecins m’avaient prescrit une pilule contraceptive afin que je n’aie pas de saignements lors de l’opération qui devait se dérouler le 26 juin 2006. Le gynécologue m’a ensuite expliqué qu’il serait difficile voir impossible pour moi de porter un enfant à son terme si je devais tomber enceinte. J’étais perdue et je me laissais porter par les évènements sans savoir pourquoi cela m’arrivait.C’est bizarre comme on cherche toujours des raisons à nos problèmes.
Après mon intervention, j’ai été sous traitement durant quelques semaines. Mais je me sentais toujours mal avec de violentes douleurs. Après avoir changée de traitement plusieurs fois, mon état ne s’était toujours pas amélioré. Un jour, lorsque mon mari travaillait et que les enfants étaient chez leurs grands-parents, j’ai été invitée par mon Pasteur et sa femme. Les douleurs étaient revenues alors que je partageais le repas avec eux. C’est alors que mon Pasteur Arnaud, m’emmena d’urgence à l’hôpital. Après des examens et une échographie, je vois à l’écran un petit être. J’étais enceinte depuis environ 16 semaines (début de grossesse le 20 juin 2006 ; j’étais donc enceinte lors de l’opération). Mais comment est ce possible ?
Je m’effondre. Comment vais-je le dire à mon mari ? En l’annonçant à mon Pasteur, il semble fou de joie ; il l’était certainement plus que moi. J’avais déjà 4 enfants dont le dernier avait à peine un an. Et puis, la maladie…j’avais aussi prévue de reprendre mes études. Bref, j’avais plein de projets, et tout était chamboulé. Et tout ça pour un enfant que je ne désirai pas et que je n’étais même pas sûre de pouvoir garder. Et qui me garantissait qu’il serait en bonne santé avec tous ces médicaments ? Mon mari lui, était beaucoup plus ravi. Il a juste dit : « Il va falloir que l’on change de voiture ». Je m’en voulais de ces mauvais sentiments. Après tout, je priais pour que Dieu me guérisse et non pas pour avoir un bébé. Mais Dieu n’a-t-il pas le droit de m’offrir ce cadeau ? Ce formidable cadeau.
Plus le temps passait et plus je m’attachais à cet enfant qui était issu d’un miracle. La première fois que je l’ai senti bouger, j’ai oublié tous mes soucis. Je l’ai aimé tout simplement comme j’aime mes autres enfants. Le Seigneur a aussi permis que je continue mes études durant ma grossesse, soutenue par ma famille et mon église. Et le 12 mars 2007 est né Malcolm, qui signifie « faiseur de miracles ». Car c’est un vrai miracle de Dieu. Et comme un miracle ne vient pas sans un autre, aujourd’hui je suis guérie du cancer. Ce sont les anticorps du bébé que j’ai développé durant ma grossesse qui ont facilités ma guérison.
Grâce à Dieu j’ai appris l’acceptation (accepter ce qu’il nous donne sans condition) et le renoncement (renoncer à nos propres projets pour suivre la volonté de Dieu). Aujourd’hui, je le loue et je le remercie pour tous ses bienfaits. L’homme cherche toujours des raisons à ce qui lui arrive, mais c’est manquer de foi que de ne pas accepter ce qui nous arrive. Dieu sait tout au-delà de nos espérances. Remercions-le car il a posé son regard sur nous.
Faisons lui confiance.
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Ces nouvelles boutiques parisiennes à découvrir d’urgence !
Ah Paris… La capitale de la mode et du shopping par excellence. Si vous vouez une véritable addiction au shopping et que vous adorez passer des heures à dénicher LA boutique parfaite, vous êtes au bon endroit ! La rédaction vous a concocté une liste de nouvelles boutiques parisiennes à découvrir absolument. La Samaritaine, une ode au luxe et à la France Vous n’avez pas pu passer à côté de cette information ! Après plus de seize ans de travaux, l’iconique magasin parisien a rouvert ses portes. Avec ses 20 000 mètres carrés d’espace de vente, la Samaritaine est un véritable temple du luxe et de la mode. Ce bâtiment Art Nouveau, symbole parisien depuis plus d’un siècle et demi tourne son regard vers l’avenir. Ce nouveau magasin se met à la pointe des tendances pour redevenir LE lieu parisien incontournable. Allez-vous opter pour une séance de shopping no limit au sein des 600 marques présentes ? La Samaritaine – 19 rue de la Monnaie – 75001 Paris Neuvième Ciel, la mode pour les mamans, et pas que ! C’est tout récemment que la start-up Neuvième Ciel, qui proposait uniquement de la vente en ligne, a ouvert sa boutique. Située en plein cœur du quartier des Batignolles, la boutique vous permet de découvrir les pièces iconiques Neuvième Ciel mais également Candice, la créatrice emblématique et son armée de petites mains. Son leitmotiv ? Sublimer la femme enceinte. Ajoutant à cela son envie de produire 100% Made In France et de manière responsable, c’est l’endroit parfait si vous attendez un heureux évènement ou même pour faire un cadeau à une amie ! Entre la robe Sénanque et la tunique Pamela, pour quel modèle allez-vous craquer ? Boutique Neuvième Ciel – 53 rue Legendre – 75017 Paris La Milibootik, véritable temple du design En juin dernier, Miliboo ouvre un troisième concept store en plein cœur de la capitale. Cette boutique, située Rue de Rivoli, offre une expérience client unique basée sur la digitalisation. En effet, par le biais de bornes digitales situées dans la surface de vente, il est désormais possible de découvrir l’ensemble des références Miliboo ainsi que de les commander. Organisée sur deux étages, la boutique offre des ambiances éclectiques à ses visiteurs. Au rez-de-chaussée, un mélange de mobilier tendance et design sera présenté tandis qu’à l’étage, des pièces de vie seront repensées. Si vous avez envie de craquer pour une pièce design forte, foncez chez Miliboo ! Concept Store Miliboo – 83 bis Rue de Rivoli – 75001 Paris Clarins Marais, un espace avant-gardiste et responsable Dès l’entrée de la boutique, vous serez transporté dans une quête ludique et sensorielle. Vous pourrez découvrir de nombreuses expériences inédites telles que le test digital du Toucher Professionnel Clarins, l’Atelier de la peau ou encore le Marché Beauté Voyage. Soucieuse de ses engagements, la marque Clarins a conçu la boutique dans une démarche responsable et écologique. Vous laisserez-vous tenter par une expérience shopping inédite ? Boutique Clarins Marais – 45 Rue Vieille du Temple – 75004 Paris Vous connaissez désormais les nouvelles adresses parisiennes pour organiser un week-end shopping. N’hésitez pas à nous faire part de vos adresses coups de cœur et de vos spots cachés, nous serions ravies d’y faire un petit saut ! À lire aussi : Comment ne plus rater le livreur ? Read the full article
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