#Alzagar/Guenièvre
Explore tagged Tumblr posts
laudys83 · 2 years ago
Link
Chapters: 23/? Fandom: Kaamelott Rating: Explicit Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Guenièvre/Arthur Pendragon (Kaamelott), Alzagar/Venec (Kaamelott), Guenièvre & Alzagar, Guenièvre & OC, Mevanwi de Vannes/Arthur Pendragon (Kaamelott) Characters: Guenièvre (Kaamelott), Venec (Kaamelott), Alzagar (Kaamelott), Dikhil (Kaamelott), Arthur Pendragon (Kaamelott), Original Male Character(s), Mevanwi de Vannes (Kaamelott), Angharad (Kaamelott), Galessin (Kaamelott), Lancelot (Kaamelott) Additional Tags: Adventure & Romance, Runaway, Freedom, Friendship/Love, Developing Friendships, Bromance, Gay Sex, Smut, Crushes, Secret Relationship, Secret Crush Summary:
Guenièvre brise les chaînes qui la retiennent prisonnière de la folie de Lancelot. La liberté retrouvée pourrait la reconduire vers son trône mais sa force de vivre la mènera plus loin. Poussée vers l'inexploré par sa soif d'horizon, la reine suit son chemin vers l'ailleurs et l’inconnu…
2 notes · View notes
jananabananawithnopeel · 1 year ago
Note
Bonjour 🎅
Ton Santa attend la neige en prenant des notes.
En attendant, il se demande :
Quels sont tes ships exotiques préférés ?
Coucou 👋
J’ai l’impression que ça fait des années que j’ai pas vues de noël blanc. En même temps où j'habite, y’a pas trop de neige sauf parfois en février. En tout cas, je te souhaite de jolies matins plein de flocons !
Pour répondre à ta question, je vais considérer qu’exotique, c’est tout ce qui n’est pas canon ?
J’adore Guenièvre vraiment très beaucoup, c’est une cutie I mean just look at her 🥰
Dans ma tête, j’essaie toujours de lui donner un peu d’amour et de bonheur. Donc je pars du principe que tout le monde tombe plus ou moins amoureux d’elle 😌
J’ai un faible pour Guenièvre/Demetra (another cutie). Je partage d’ailleurs un headcanon/AU avec yumeka où Demetra est en fait la maîtresse de Guenièvre et pas celle d’Arthur.
Guenièvre/Edern friendship et/ou romance. J’ai plusieurs headcanons où Guenièvre et Edern se connaissent depuis qu’elles sont nées/petites puisqu'elles viennent toutes les deux de Carmélide et que Léodagan connaît assez son père pour la recommander à Arthur. Aussi, le trope du chevalier avec sa princesse toussa 👉👈 [insert le clip de “Cup Runneth Over” by Kiki Rockwell here]
Guenièvre/Alzagar un autre ship que je dois à Yumeka ❤️
Guenièvre/Attila (vous avez dit exotique ???) Celui là ca vient de l’episode 317
Arthur a ramené Grüdü, déguisé en femme. Attila : C'est la plus belle femme de Kaamelott ? Arthur : La plus belle. Attila : C'est Guenièvre ?
Et du coup la première fois qu’Attila voit Guenièvre pour de vrai c’est le coup de foudre (pour lui en tout cas).
Léodagan/Séli/Lancelot Bon, je dis pas ça que parce que j’ai co-écrit la seule fic avec ce ship mais listen si on prend le mec le plus puceau de Kaamelott et qu’on le met avec le vieux couple qui n’a aucun scrupule, aucune gêne et qui a probablement déjà tout essayé bin ça donne ce ship et c’est bien
Mevanwi/Lancelot listen LISTEN. EUX. Juste. Two vilain bitches. Ils se détestent, ils sont toxiques et ça me suffit.
Nessa/Kolaig Les deux disparaissent dans KV1 au même moment et on entend plus jamais parler d’eux
Le headcanon ici, c’est que Nessa non plus elle était pas complètement insensible au brun à bouclette qui écrit de la poésie en secret à sa maîtresse et vient de temps en temps leur parler à la fenêtre. Après sa chute, Kolaig n’est pas mort, mais il a quand même pris cher et n’est pas en état d’aller au rocher avec Arthur pour retirer Excalibur. Heureusement, sa sœur (celle dont le pâtissier de Kaamelott est amoureux) habite pas loin. Le choc initial passé d’avoir le roi et la reine de Bretagne (tous les deux présumés morts), ainsi que deux illustres chevaliers (c’est comme ça qu'ils se sont présentés) et son frère à moitié mort chez elle, elle accepte de garder son frère jusqu’à son rétablissement. Le problème ? C’est qu’elle doit aller chercher quelques herbes pour soigner son frère, mais Kolaig ne peut pas rester seul. Nessa, restée silencieuse jusque-là, saute sur l’occasion et se propose de rester et veiller sur lui. Arthur, Guenièvre, Perceval et Karadoc (enfin surtout Guenièvre) finissent par reprendre la route avec la conscience tranquille, Kolaig est entre de bonnes mains.
Uther!Yvain/Ygerne  Je suis tellement désolé de ressortir des trucs du fin fond de Tumblr mais ce crackship ne m’a jamais quitté depuis qu’il est discuté dans ce post. Je n’ai rien a dire pour ma défense I’d still read this ship.
Capito/Sallustius Je trouve qu'ils agissent comme un vieux couple marié. Ils me rappellent des gens que je connais.
Très curieuse de savoir ce qu'il leur est arrivé après qu’Arthur les ai viré de Bretagne et de l’ambiance sur le bateau pendant le voyage du retour.
La Dame du Lac/La Dame du Feu Je sais qu’elles ont genre 2 répliques, mais c’est pas ça qui va m'arrêter. Si elles sont pas besties elles sont soulmate, l’un comme l’autre ca me va.
J’ai beaucoup d’autre ship bizarre mais je me suis retenu et j’en ai mis que 10 voilà 😊
Et bientôt et passe une bonne fin de semaine petit Santa 💖
6 notes · View notes
yumeka-chan · 2 years ago
Note
ton ship le plus rare ?
Bonne question...
Je dirais Alzagar/Guenièvre/Arthur
0 notes
mockscreens · 2 years ago
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
parce que ça faisait assez longtemps que j'en avais pas posté!
please like/reblog if you save!
more kv1 lockscreens here!
42 notes · View notes
kaantt · 3 years ago
Text
Avec @kabbal nous avons réparti les ships Kaamelott selon ce template :
Tumblr media
59 notes · View notes
trekkedin · 3 years ago
Photo
Tumblr media
J’ai vu ça, j’ai pensé à kv1
36 notes · View notes
thehappyegg · 3 years ago
Note
FMK Venec - Guenièvre - Perceval
Marry Perceval
Fuck Guenièvre
Kill Venec
7 notes · View notes
tartan-frog · 3 years ago
Text
Merlin a enfin réussi à faire un truc. Heureusement qu'il peut compter sur Elias pour lui rappeler que c'est inutile.
Tumblr media
Btw tant qu'on est dans le thème je vous propose une répartition des persos de Kaa même si plein de gens l'ont déjà fait.
Le ∆ signifie "CHANGE MY MIND" et le ~ suivi d'une maison indique un Chapeauflou.
Gryffondor | Gryffindor
- Léodagan
- Perceval ~ Poufsouffle
- Karadoc
- Caius
- Guethenoc
- Roparzh
- Drusilla
- Nonna
Poufsouffle | Hufflepuff
- Merlin ∆
- Arthur ~ Gryffondor
- Guenièvre ~ Gryffondor
- Bohort ~ Gryffondor
- Dame du Lac
- Gauvain
- Galessin
- Dagonet
- Maître d'armes
- Firmus (mari d'Aconia)
- Duc d'Aquitaine ∆
- Anton
Serdaigle | Ravenclaw
- Lancelot
- Père Blaise
- Le tavernier
- Angharad
- Calogrenant
- Lionel
- Méléagant
- Ygerne
- Aconia
- Caesar Imperator
- Verinus
- Anna de Tintagel
- Claude le Jurisconsulte
Serpentard | Slytherin
- Élias ∆
- Mévanwi ∆
- Manilius ∆
- Séli ∆
- Yvain
- Aélis
- Azénor
- Demetra
- Loth ∆
- Venec ∆ ~ Gryffondor
- Sallustius
- Cryda
- Duchesse d'Aquitaine
- Alzagar ∆
Voilà j'ai hâte d'entendre vos avis et de débattre des maisons de chacun.e.s !
20 notes · View notes
dagss · 3 years ago
Text
ok récap :
se marie avec le fils de roparzh = mehben (ariane astier)
sauve arthur à la fin = mehgan (jeanne astier)
fils à roparzh et mari de mehben : petrok (lucas garcia)
fils de loth qui fait de la magie = gareth (thomas neyret)
wisigoth qui nage comme ça = recaredo (antoine bordes)
wisigoth que "ça traversé la sandale" = agila (alain le bars)
un des mecs qui creusent = "la pègue" (mehdi rahim-silvioli)
un autre mec qui creuse = "la drille" (mathieu dubloclard)
un autre mec qui creuse = Brise-Bûche (cyrille coton-bonacchi)
l'amoureux de guenièvre = kolaig (sylvain quimène)
le pote du mec de mehben et de gareth = iagu (hugo leman)
le ptit chevalier à la seiche = lucan (ethan astier)
p'tit bout de chou assis sur les genoux de léodagan = aaron astier
le deuxième p'tit chevalier qui s'est fait poursuivre par des méchants = trévor (james astier)
le chevalier de provence = rostan (paul valy)
le chevalier + âgé qui est le frère de l'autre chevalier = bedever (stephan lhuillier)
le chevalier avec un bonnet péruvien là = girflet (hugo halet)
le frère à perceval : lamorak (françois raison)
le péager qui doit arrêter arthur et venec parce qu'ils ont dit que la duchesse d'aquitaine c'était une pute : le péager (mark eacersall)
le mec qui suit mevanwi en disant de se la fermer : le géôlier (damien roux)
papinius = papinius obvi (ayman el kadhi)
"arturus on voit ta bite" = varus (achille de san nicolas)
l'autre pote d'arturus qui est à droite quand ils font coucou à shedda = casca (charlie konate-decourchelle)
l'autre pote d'arturus qui s'inquiète "s'ils voient qu'on est plus dans nos dortoirs à la caserne......" = iustus (louy valy)
instructeur n°1 qui traduit furadja à l'autre : libo (yoann vellaud)
instructeur n°2 aka "la guerre c'est de la musique" et "merci connasse, ouais je la sens pas" : matius (dominique bastien)
la nouvelle femme de guethenoc : ffraid (luna karys)
le mec qui suit alzagar torse poil dans la neige : dikhil (sakir uyar)
65 notes · View notes
saecookie · 3 years ago
Note
Guenièvre, Alzagar, Arthur
ESSAIE DE T'EN SORTIR AVEC CETTE COMBINAISON POUR VOIR
Facile
Fuck Alzagar Marry Guenièvre Kill Arthur
18 notes · View notes
laudys83 · 2 years ago
Link
Chapters: 14/? Fandom: Kaamelott Rating: Explicit Warnings: No Archive Warnings Apply Relationships: Guenièvre/Arthur Pendragon (Kaamelott), Alzagar/Venec (Kaamelott), Guenièvre & Alzagar, Guenièvre & OC, Mevanwi de Vannes/Arthur Pendragon (Kaamelott) Characters: Guenièvre (Kaamelott), Venec (Kaamelott), Alzagar (Kaamelott), Dikhil (Kaamelott), Arthur Pendragon (Kaamelott), Original Male Character(s), Mevanwi de Vannes (Kaamelott), Angharad (Kaamelott), Galessin (Kaamelott), Lancelot (Kaamelott) Additional Tags: Adventure & Romance, Runaway, Freedom, Friendship/Love, Developing Friendships, Bromance, Gay Sex, Smut, Crushes, Secret Relationship, Secret Crush Summary:
Guenièvre brise les chaînes qui la retiennent prisonnière de la folie de Lancelot. La liberté retrouvée pourrait la reconduire vers son trône mais sa force de vivre la mènera plus loin. Poussée vers l'inconnu par sa soif d'horizon, la reine suit son chemin vers l'ailleurs et l’inconnu…
2 notes · View notes
jananabananawithnopeel · 3 years ago
Note
As-tu des prompts à proposer pour des fics/chaps/OS qui te tentent plus que d'autres ?
A/G - AGA ou A/G de préférence 😁 (obsession tout ça)
Any type of prompt (even if smut/fluff are m'y favorites)
Oui ! J'ai ca, plein plein de ca même ❤️
Ils sont en électrons libre dans ma tête, j’y pense tout le temps. Tiens, sers-toi !
Et je te l'ai même fais à temps pour ta semaine de repose, imagine 😁
Alzagar/Guenièvre/Arthur (AGA et AG/A) Prompt List
Fluff
--
Alzagar et/ou Arthur s'endorment en caressant le ventre de Guenièvre, rond et plein de leur premier enfant.
--
Alzagar/Arthur regarde Guenièvre dormir.
--
Guenièvre est en train d'accoucher sauf que Arthur et Alzagar se sont fait viré de la chambre parce que "tout ça s'est votre faute !" et "vous aussi, c'était votre idée."
--
Alzagar et Guenièvre sont en train de danser. De loin Arthur les regarde en souriant. 
--
Guenièvre qui s'endort dans les bras d'Alzagar pour la première fois.
--
Alzagar et Guenièvre dans un bain. Ils se lavent l'un l'autre et discutent. (Pas de smut ici, juste de la tendresse et beaucoup d’intimité)
--
The moment Guenièvre realized she was in love with Alzagar was when even the color of the flowers reminded her of his eyes, the songs of the bards were all about him and even the melody of the wind would sing his name.
--
Alzagar revient avec un cadeau un peu particulier.
--
Alzagar qui veut faire la cuisine pour Guenièvre, un plat typique de chez lui. 
--
Une déclaration d'amour d’Alzagar pour Guenièvre.
(m'en fout si c'est cliché avec des "mon coeur déborde pour vous, tellement qu'il ne m'appartient plus" mais faut que ce soit grandiose et sincère et plein d’amour)
--
La chemise d'Alzagar, le pantalon d'Arthur,  la besace en cuir enchanté que lui a ramené le premier de voyage, les bottes que lui a offert le second et un grand sourire pour compléter sa tenue. 
"C'est bon je suis prête, on peut y aller."
--
Guenièvre annonce à Alzagar qu'elle est enceinte, fous de joie il la prend dans ses bras et la fait tourner dans les airs.
--
(suite du précédent ?) 
Guenièvre et Alzagar annonce à Arthur qu'elle est enceinte. Dans la folie du moment, il embrasse Guenièvre puis Alzagar sur la bouche puis le prend dans ses bras avant de lui murmurer tout ému "On va être papa."
--
Soulmates AU (ça mérite peut être un multi-chapitre :D)
L'Initial des âmes sœurs est gravé dans le poignet et disparaît quand ils se rencontrent. 
Le G sur le bras d'Arthur disparaît très vite mais le A qu'à Guenièvre ne fait que s'estomper. Il ne disparaîtra vraiment que quand elle rencontrera Alzagar.
--
Arthur et Alzagar se sont disputés et Guenièvre est décidé à réconcilier son mari et son amant pour le bien de tout le royaume de Logres.
--
La Mariage Druidique (ft. Merlin) 
"Dites, on peut marier combien de personnes dans un mariage de druide ?”
“Autant que vous voulez, tant que tout le monde est d’accord et sincère. C’est une promesse devant les Dieux surtout.”
“Ok super. Révisez votre druidique, Alzagar, ma femme et moi on veut se marier.”
--
Smut
Depuis que Guenièvre lui à dit qu’elle adorait la sensation de sa barbe sur sa peau, Arthur/Alzagar se fait une mission d’explorer chaque parcelle de son corps avec son visage.
--
The 'A' Game
A blindfolded Guenièvre has to guess which one of her lovers is touching her. Meanwhile Alzagar and Arthur take turns to drive her crazy. 
Tags : Orgasm Denial
--
Il retire la main qu'elle utilise pour étouffer ses gémissements.
"Personne ne peut vous entendre ici, vous pouvez faire autant de bruit que vous le voulez."
--
Et si on inversait les rôles ? 
Cette fois, c'est Alzagar qui regarde Arthur et Guenièvre depuis le fauteuil.
(Pas sûr qu'il tienne longtemps assis)
--
DP avec Guenièvre au milieu. That’s it, that’s the smut :D
--
La Tentatrice
Guenièvre pleasures herself while her lovers sit in front of the bed.
Tags : Masturbation, voyeurisme
--
(alcôve. 4 ever alcôve)
"Anyone could hear us or pass by !"
"Then I guess you'll have to stay quiet."
--
Le Lac de l'Ombre (Je vois bien un two-shot)
La fic qui j'ai dans la tête depuis des semaines où ils vont au lac, picnic et détente, Guenièvre apprend à Alzagar à faire des couronnes de fleur pendant qu'Arthur est en train de somnoler à côté. Elle en fait une pour Arthur et une pour Alzagar.
Ils discutent, se baignent, rient, Guenièvre insisté pour qu'Arthur raconte la légende du lac à Alzagar.
Alzagar décide d'apprendre à Guenièvre à se défendre et ça finit en smut threesome dans l'herbe.
--
Journée Spa
En visite à Rome, Alzagar, Arthur et Guenièvre profitent des bains mis à leur disposition. (Pas forcément smut)
--
Angst
Arthur sur son lit de mort qui fait promettre à Alzagar et bien prendre soin de Guenièvre.
--
(bon là faudra peut être multi chap) Past-abuse, past-trauma
Lancelot est enfin capturé et fait prisonnier. Guenièvre enceinte de son deuxième enfant veut le voir pour finir de guérir de toutes les horreurs qu'il lui a fait subir. Alzagar et Arthur se disputent pour savoir si c'est une bonne idée, ils ont tous les deux très peur pour elle et ont du mal à comprendre pourquoi elle veut faire ça. Ils finissent par accepter mais ils seront tous les deux dans la pièce avec elle.
--
Fluff/Angst
Pendant une chasse, Alzagar est grièvement blessé, quand il retourne à Kaamelott c'est dans une civière. Guenièvre est dans tous ses états.
--
Bonus Round
3 fois où on a appelé Alzagar "Sire" et 1 fois où Arthur a été pris pour Alzagar. 
14 notes · View notes
yumeka-chan · 3 years ago
Text
Kaamelott incorrect quote
guenievre, to arthur: My life is in the hands of an idiot!
arthur, motioning to themself and alzagar: No no no no no, TWO idiots!
12 notes · View notes
sloubs · 3 years ago
Text
j'crois que aa a un truc pour les épaules...rien que dans kv1 t'as:
- alzagar qui bute le capitaine du bateau avec une flèche dans l'épaule
- arthur qui se prend une dague dans l'épaule
- shedda et sa blessure à l'épaule
- arthur qui tue furadja avec une lance dans l'épaule
et puis dans le livre V : ✨ l'épaule nue de guenièvre ✨
37 notes · View notes
trekkedin · 3 years ago
Text
Tumblr media
31 notes · View notes
belphegor1982 · 3 years ago
Note
Pour le Intimacy prompt je te laisse le choix : soit 74 pour ton OT3 💕 soit 49 pour notre roi et notre criminel préféré 💞
(shaving, then)
(il a fini à plus de 4400 mots, le bousin :D)
Sur le fil du rasoir (aussi sur AO3)
(not fully suitable for Tumblr -18)
Au départ, Arthur n’était plus chaud que ça.
– Je suis pas plus chaud que ça.
– C’est vous qui voyez, a rétorqué Venec, mais vu votre passif, je vous laisse pas tout seul dans une baignoire avec un rasoir à la main.
Ça, c’est sûr, c’est de l’argument massue. Et il faut dire que Venec, avec une délicatesse dont Arthur ne l’en aurait pas cru capable avant leur fuite à Rome, n’en use quasiment jamais.
– Ça va, a grommelé Arthur, qui n’est pas du genre à accepter sans broncher la défaite, c’était il y a dix piges.
Venec l’a fixé du regard sans rien dire. Pas besoin. Le pli de ses lèvres et le reste de crainte dans ses yeux en dit long. Une crainte vieille de plus de dix ans. Pourtant on ne peut pas dire que la dernière décennie fut exempte de frayeurs, petites et grandes.
C’est toujours bizarre pour Arthur de se rendre compte que quelqu’un, allez savoir pourquoi, tient à lui à ce point. Il y a toujours quelque chose dans un coin de sa tête qui veut gueuler Mais qu’est-ce que ça peut bien vous foutre si je suis pas là !? comme il aurait voulu gueuler à Guenièvre ou Bohort quand ils venaient le voir chez sa mère, les yeux humides, les mains tremblantes comme s’ils auraient voulu le saisir par le manteau pour… le secouer ? Le retenir ? S’assurer qu’il était encore là ? Lancelot, l’urgence de la fuite, l’envie de vivre malgré tout, tout ça lui avait donné l’impulsion de départ. Mais c’était en partie pour échapper à cet amour devenu insupportable qu’il avait accepté que Venec le vende à Quarto, et qu’il était resté aussi longtemps.
Arthur Pendragon, ancien roi de Logres, peine à accepter l’idée d’être indispensable. Lui qui a tant fait pour qu’on le laisse peinard une fois Excalibur replantée dans la roche… Pour une fois, une seule, il n’aurait pas été responsable d’un royaume tout entier, n’aurait pas eu plus de poids sur ses épaules que le péquin moyen. Ça aurait dû le soulager, combler le vide béant qu’il sentait grandir en lui les mauvais jours.
Et puis non.
Même à Rome, où une seule âme était au courant de son existence (en tant qu’Arthur, pas un des clodos anonymes qui créchaient de temps en temps dans l’ex-villa Aconia), et même après des mois à lui tourner le dos pour l’avoir trahi, cette âme trouve encore le moyen de tenir à lui.
C’en est touchant, un peu.
– D’accord, finit-il par dire. Va pour le rasage.
Peut-être qu’en d’autres circonstances il aurait pu lancer Si vous tenez tant que ça à me voir à poil sur le ton de la plaisanterie, s’il avait été d’humeur. Mais Arthur n’est pas friand de grivoiseries gratuites, et certainement pas à propos du bain. C’est un moment spécial, le bain. Après avoir passé ses jeunes années à se racler de pied en cap pour faire sa toilette sans les huiles parfumées des bourges pour calmer le feu que le strigile allumait sur la peau, Arthur devenu souverain savourait dès qu’il le pouvait une bonne trempette en compagnie de cette merveilleuse invention gauloise qu’était le savon. C’était un rare moment de détente absolue où pendant quelques minutes le monde n’existait pas.
Faire le vide, avait dit Guenièvre un jour fatidique, et elle avait eu raison. Cette fois-là, le vide avait surpris Arthur enfin détendu et l’avait happé tout entier.
Curieux que le bain reste tout de même un refuge, après ça.
Arthur se redresse un peu dans son baquet tandis que Venec tire un tabouret derrière lui. Quand il lui tend un linge humide, Arthur tique.
– Je peux savoir ce que vous fabriquez avec ça ?
– Relax, Sire, c’est juste un linge chaud, ça va pas vous mordre.
– Je vois très bien ce que c’est, je veux juste savoir ce que vous comptez en faire.
– Ben, vous la mettre sur la figure. Ça détend. Y avait pas de barbier, à Kaamelott ? Vous aviez pas un larbin pour vous raser, le matin ?
Non, Arthur n’avait pas de larbin qui le rasait le matin sous prétexte qu’il était roi et que les rois se devaient de tout déléguer. Quand Dame Ygerne s’était aperçue que son royal fils se rasait lui-même au lieu de prendre un barbier, elle avait levé un sourcil assassin. Ça fait peuple, disait-elle. Mais Arthur avait refusé tout net de changer ses habitudes. Personne d’autre que lui n’approcherait une lame de sa peau, et puis c’est tout.
Oui, l’ironie.
Difficile d’y échapper, parfois.
Mais bon. Même avant, même quand Arthur était roi et quand Venec était mi-pourvoyeur, mi-contrebandier, semi-enquiquineur et squatteur de chambres vides à temps partiel, au fond Arthur lui faisait confiance. Venec pouvait vendre ce qui ne lui appartenait pas, au besoin vider le contenu de ses royales poches, il n’aurait jamais été jusqu’à le poignarder dans le dos. Jamais.
Et d’ailleurs, quand Arthur a mis sa vie – ou ce qu’il en restait – dans les mains de Venec, Venec a soufflé sur les braises jusqu’à rallumer une étincelle. Il ne l’a pas seulement caché et protégé pendant le long voyage jusqu’à à Rome, il l’a obligé à boire, à manger, à bouger, à ouvrir les yeux. Arthur a retrouvé le chemin vers lui-même qu’il avait perdu en suivant le fil du sel, de l’iode, du pain un peu rassis, et de la piquette diluée à l’eau et partagée sans jamais avoir besoin de demander. Arthur a peu à peu retrouvé des forces en piochant dans celles de son compagnon, offertes sans contrepartie aucune. Et chaque fois qu’il revenait à lui, chaque fois que le gouffre s’ouvrait pour le tenter, Venec était là, avec ses mains habiles, sa voix calme, ses yeux perçants, plus bleus même que le ciel quand il se décide à être vraiment bleu.
Les semaines passées dans l’ex-villa Aconia, consacrées uniquement à un retour à la vie dont la constance avait surpris Arthur, aurait pu être les meilleures de sa vie sans les fantômes qui lui tiraillaient l’âme et lui plombaient les membres.
Pas une fois durant le trajet retour, de Myos Hormos à Alexandrie, de Tarraco à Burdigala, Venec n’a évoqué ces semaines-là. Il a parlé, beaucoup ; plaisanté, de temps en temps. L’a asticoté, aussi, pas mal. Mais il n’a pas soufflé mot de ce qu’ils ont partagé à cette époque. Les quelques neuf années écoulées depuis, plus le fait que Venec a somme toute balancé Arthur à Alzagar, ont refroidi les relations autrefois assouplies par la proximité des corps et des cœurs. Évidemment, entre le planton qui les surveillait constamment, le froid, et le bruit de la cage à roulettes, l’environnement ne se prêtait pas tellement aux confidences.
Mais là… c’est différent.
Et puis, même en l’ayant arraché à une vie de labeur souvent harassant mais tranquille, Venec reste Venec. Et Arthur a confiance en lui.
Il laisse Venec lui emmailloter la figure. C’est pas désagréable. Le linge est humide, bien chaud sans être brûlant ; la chaleur, combinée à l’eau du bain, passe comme un baume sur des petites plaies à vif. Ça ne cicatrise pas, mais ça calme. À tel point qu’Arthur se prend à regretter la sensation lorsque Venec le lui retire.
L’étape suivante consiste à lui passer de l’huile sur le museau. Arthur lève les yeux au ciel.
– Dites, vous trouvez vraiment que c’est nécessaire ? Ils ont déjà foutu tout un tas d’huiles de bain là-dedans, j’ai l’impression de mariner comme un fromage grec.
– C’est nécessaire pour le rasage.
– Je vois. Vous me faites la totale.
– Exactement. Maintenant fermez la bouche, parce que sinon vous allez bouffer du savon. Ou du blaireau, au choix.
Arthur ne sait pas où Venec a appris l’art du rasage, mais le savon à barbe est monté comme de la crème fouettée et la brosse danse sur sa peau sans jamais la racler. C’est la première fois en dix ans que quelqu’un le touche avec autant de sollicitude. Des petits ronds rapides, minutieux, qui couvrent de mousse le bas de son visage en laissant libres les lèvres. La crème de savon ne franchit jamais le seuil des narines. Un vrai pro.
C’est tentant de le lui faire savoir. Mais les compliments ne sont jamais venus facilement, pour Arthur. Et puis ouvrir la bouche, ce serait défaire tout ce beau boulot. Alors il se tait, et il continue à se laisser aller.
Il y a bien une seconde d’hésitation au moment où le rasoir passe devant ses yeux. Arthur ne sait pas si c’est lui ou bien Venec qui marque ce temps, ce soupir (ou demi-soupir, juste le temps d’une croche), juste avant que la lame entre en contact avec sa peau.
C’est lent.
C’est délicat.
Et c’est tout sauf détendu, d’un coup.
Le silence est absolu, ou presque. Les larbins qui s’affairent dans la vaste demeure du Duc d’Aquitaine, le croassement lointain des corbeaux depuis la forêt voisine, tout ça a disparu. Ne restent que la chanson du rasoir, par à-coups, le bruissement des vêtements de Venec quand il essuie la lame sur un linge, et sa respiration, là, tout contre l’oreille d’Arthur. Inconsciemment Arthur calque la sienne dessus. C’est un souffle lent, régulier ; son rythme est familier comme une mélodie qu’Arthur aurait fredonnée autrefois, puis un peu oubliée, pour mieux la reconnaître en l’entendant à nouveau. Ça le calme. Mais pas que. Et ajouté à la sensation de la main de Venec (parfaitement stable) et à l’odeur de sa peau là, toute proche (même sous la crasse raclée à la romaine, même avec une effluve discrète mais tenace de sirop de dates, la peau de Venec ça reste la peau de Venec), ça a même tendance à (hmm) raidir certaines portions de sa personne au lieu de les détendre.
(Des portions qui ne se sont que très peu manifestées pendant la dernière décennie. Arthur décide illico de mettre cette mutinerie anatomique sur le compte de l’habitude perdue de l’intimité et la chaleur de l’eau du bain.)
La lame glisse dans le sens du poil. Doucement. Puis, une fois que le menton d’Arthur a l’air débarrassé du gros de la tignasse qui y avait élu domicile et qu’il se dit qu’il va pouvoir sauver la face, le rasoir revient, cette fois dans l’autre sens.
(Eh merde. Il aurait dû demander un bain moussant plutôt que les huiles de bain qu’on lui a imposées. Il n’a rien, absolument rien pour camoufler une érection qui a largement dépassé le stade de la demi-molle.)
Si encore il était en droit d’espérer que Venec en ait envie, lui aussi… Mais après neuf ans d’absence, puis des lieues et des lieues à lui faire la gueule dans un silence aussi glacial qu’un hiver breton, ce genre d’intimité est sans doute très, très loin des pensées de Venec. Et c’est normal. Arthur a eu beau offrir sa confiance à Venec une nouvelle fois avec le coup du rasage, il sait qu’il a tout fait pour que ce ne soit pas réciproque.
(Ce ne serait pas la première fois qu’il se saborde tout seul comme un con.)
– Vous voulez toujours pas qu’on vous appelle « Sire », hein ?
Ouh là. Heureusement que Venec est en train d’essuyer son rasoir. Le son de sa voix, pourtant basse, fait bondir Arthur comme si on le réveillait en sursaut. Il aurait pu ajouter une bonne estafilade à sa collection.
– C’est à dire qu’à partir du moment où je ne suis pas roi, dit-il en s’efforçant de foutre un coup de pied métaphorique au chat logé dans sa gorge, j’en vois pas l’intérêt.
– Savez, fait Venec en lui faisant pencher la tête sur le côté (légèrement, oh, très légèrement) pour le raser sous l’arête de la mâchoire, les gens qui vous appellent « Sire », c’est pas pour vous emmerder, à la base.
– Je sais.
– Moi par exemple, j’aime bien vous taquiner à l’occasion, mais pas là-dessus. Si je vous donne du « Sire » c’est juste question d’habitude.
– D’habitude…
Arthur, n’osant bouger, se contente d’un léger soupir.
– Ça fait une douzaine d’années que je suis plus roi, et vous me parlez d’habitude.
– Ben ouais. Je vous avais dit que je préférais vachement quand c’était vous, le roi.
Quelque chose, chez Arthur, se réjouit d’entendre cet imparfait. Il préférait quand c’était lui, le roi.
Une petite voix – ténue, silencieuse pendant bien des années – lui murmure que cet imparfait l’est dans tous les sens du terme et que Venec, dont il entend encore la voix obstinée, un peu déçue, avait raison de préférer un roi à un autre.
– Ça a pas vraiment changé, d’ailleurs.
Et puis Venec penche la tête d’Arthur en arrière pour avoir accès à sa gorge. Arthur sent son souffle sur son cou, sur le creux de son épaule nue, encore humide. Les mots le fuient, ses pensées s’éclipsent. Ne restent que le désir, ranimé comme si Venec avait soufflé sur les braises, et la tendresse amusée qu’il s’est toujours laissé ressentir pour le bandit. Les deux sensations se percutent et forment le début d’une de ces tempêtes comme il en a vu lors d’un passage par l’Égypte, il y a cinq ans. Un monstre de sable qui vous prend à la gorge, vous plaque par terre, vous bouche la vue. On se sent tout petit face à un machin pareil.
Est-ce bien le moment pour que son cerveau lui rappelle qu’il n’a pas tenu quelqu’un dans ses bras depuis dix ans, franchement.
Arthur garde les yeux fermés, comme pendant la tempête de sable. S’il les ouvre, s’il voit les bras de Venec (en manches de chemise remontées sur ses avants-bras), sa poitrine et le creux de sa gorge juste au-dessus du laçage de sa tunique, il va être tenté d’y poser ses doigts. Ses lèvres. D’offrir les siennes.
(Quelque part, le déluge de sensations est pire sans la vue. Son désir ne faiblit pas. Au contraire, il en est même attisé.)
Le tout dernier coup de lame sur sa peau donne l’impression d’une infinie minutie. La respiration contre sa joue s’est accélérée, presque saccadée. Quand Arthur entrouvre les yeux, il s’aperçoit que la main de Venec tremble un peu.
Arthur attend patiemment que Venec essuie le rasoir et le pose sur le meuble qui contient le petit bazar nécessaire. Puis tire son tabouret et s’asseye presque en face de lui, le bras gauche sur le bord du baquet. Presque les yeux dans les yeux.
Putain, qu’ils sont bleus.
– Moi non plus, j’ai pas vraiment changé, croasse Arthur, le chat toujours planté dans la gorge ; le mélange est intéressant, zoologiquement parlant. Je suis toujours un peu un connard, des fois.
Désolé, veut-il dire, désolé de vous avoir fait la gueule aussi longtemps alors que vous méritiez pas plus d’une semaine à tout casser.
Le sourire de Venec est un éclair dans son visage buriné. Sa barbe a tourné poivre et sel depuis Rome. Arthur a immédiatement envie d’y fourrer ses doigts.
– Je sais, dit Venec en avançant d’un pouce. Je vous en tiens pas rigueur. Et puis vous m’avez jamais fait l’insulte de me prendre pour un enfant de chœur non plus.
– Encore heureux.
Arthur ne bouge pas d’un cil, figé par l’instant. Il ose à peine respirer. Ce n’est pas à lui de faire le premier pas – pas après le long voyage en silence.
Un souvenir lui revient en tête ; une plage bretonne, au coucher de soleil, une empoignade qui avait fini par un autre style de corps à corps. Un désir tellement fort – malgré le sable et l’eau de mer – qu’ils en avaient tremblé comme des gamins, Venec comme lui. C’est Arthur qui avait fait le premier pas, alors, suivi de très près par Venec.
Là, tout de suite, Venec n’a que quelques pouces à faire s’il veut le faire, ce fameux premier pas. Ses yeux sont rivés sur les lèvres d’Arthur –
(et oh, d’autres genres de souvenirs lui reviennent, Venec qui goûte à ses lèvres à pleines dents, quitte à les lui laisser rouges et gonflées)
– mais c’est sa main qui se lève, lentement comme pour ne pas effaroucher un oiseau, et qui se pose contre la joue d’Arthur. Son pouce effleure sa pommette.
C’est un premier pas.
La tension ne retombe pas, mais quelque chose en Arthur lâche prise. Il laisse tomber son front contre celui de Venec et esquisse un sourire.
– Vous croyez qu’il y a d’autres choses qui n’ont pas changé ?
– Chaipas, murmure Venec. Mais j’ai bien envie d’essayer pour voir, pas vous ?
Cette fois, pas moyen de savoir qui fait le premier pas. Le baiser vient naturellement, en un seul mouvement. La main de Venec est chaude contre la joue d’Arthur, celle d’Arthur se glisse derrière la nuque de Venec, et leurs bouches continuent à se chercher comme si elles s’étaient cherchées pendant dix ans. Un souffle plus tard, et ils replongent, avec les langues cette fois, les lèvres et les dents. Arthur manque sérieusement de pratique et il a un sacré retard à rattraper. Ça fait longtemps, très longtemps qu’on n’a pas voulu de lui comme ça. En fait, la dernière fois… la dernière fois, c’était Venec lui-même, pendant ces jours mi-rêvés mi-fantômatiques à Rome.
Arthur a bien quelques fantômes qui le gênent encore aux entournures. Sa tête est loin d’être débarrassée de tout le bordel qui l’a encombrée jusqu’à ce que le vide devienne la seule échappatoire. Mais il a appris, durant ses années d’esclavage (plus théorique que celui de beaucoup de ses compagnons d’infortune), à se concentrer sur l’instant présent – et l’instant présent, c’est Venec, l’urgence de leurs baisers, l’envie folle d’Arthur de les pousser plus loin, d’étreindre et d’être étreint jusqu’à en voir des étoiles.
Et au vu des bruits de vêtements qu’il entend, du fait que les mains de Venec le quittent pour farfouiller dans ses ceintures et ses attaches, il ne doit pas être le seul.
Une fois débarrassé de la dernière épaisseur – une chemise de lin qui a dû être blanche avant leurs mois de pérégrinations à travers le monde connu – Venec se penche à nouveau pour embrasser Arthur. Arthur choisit une autre forme d’embrassade et l’attrape à bras-le-corps. Venec passe par-dessus le bord du baquet pour finir dans l’eau avec un glapissement de surprise.
Pendant que les remous se calment et que Venec trouve une position plus confortable, Arthur l’observe – les observe. C’est qu’ils seraient presque devenus vieux, à force de vivre. Ils ont tous deux des grains de beauté en plus, des rides, des cicatrices. La peau un peu plus lâche, les muscles un peu moins durs. Les années ont laissé leur empreinte sur leur corps, chacun à sa façon. C’est presque une surprise. Arthur n’a pas prêté plus que ça attention ni à son corps, ni à celui des autres, depuis des années.
La dernière fois, ils n’étaient déjà plus des jeunes hommes.
Qu’à cela ne tienne. La jeunesse n’a qu’un temps. Et l’expérience, c’est pas si mal.
Venec suit son regard, mi-figue mi-raisin, et en tire une interprétation erronée.
– Ben, ouais. Ça fait dix piges, quoi.
– M’en fous, fait Arthur, avant de le saisir par tout ce qu’il peut attraper et de l’attirer contre lui. Ça fait dix piges pour moi aussi, au cas où vous l’auriez pas remarqué.
– Pas ma faute si vous aimez vous faire désirer—aah—
L’ombre d’un « Sire » plane à la fin de la phrase, détrôné in extremis par un gémissement dû à la mise en contact de certaines parties stratégiques. Arthur lui-même doit se mordre la lèvre inférieure pour ne pas y faire écho. Pas besoin que toute la cabane rapplique, ce qui risque d’arriver s’ils font un peu trop de bruit.
Le mouvement suivant lui arrache tout de même un râle malgré ses efforts pour l’étouffer. Le plaisir lui saisit la poitrine, le prend à la gorge, et pour se décharger du trop-plein il presse son visage contre le cou de Venec.
Venec, visiblement, a également son trop-plein à lui. Son poids sur Arthur se fait plus lourd. C’est peut-être dû au fait qu’il ne s’accroche que d’une main au bord du baquet. L’autre s’est glissée entre eux, niveau bas-ventre, les a rivé l’un à l’autre, et nom de Dieu que c’est bon.
– C’est ça que vous aviez en tête ? demande Venec, et Arthur lui envie sa cohérence. Lui est à moitié parti. Tous ses sens sont en feu. Son sens de l’éloquence a foutu le camp.
Honnêtement, il ne sait pas trop ce qu’il avait en tête en attirant Venec à lui. Le flacon d’huile d’olive (pour un massage qu’il avait décliné) posé sur une desserte paraît bien loin. Oui, il aurait aimé partir sur ce genre de danse, au dehors et en dedans, cette étreinte ultime où on se sent enfin complet, gorgé de plaisir, quitte à subir quelques désagréments après. Ou bien l’inverse, se donner entièrement, jusqu’à l’ivresse, jusqu’à voir la jouissance prendre son partenaire et ne le lâcher qu’une fois repu. Mais vu où ils en sont maintenant, vu le rythme de leur musique intérieure, ils sont un peu trop proches de la ligne d’arrivée pour se permettre ce genre de détour.
Il arrive à peine à articuler :
– Je sais p—pas. Vous ?
Un rire passe en coup de vent sur le visage de Venec.
– Moi non plus. J’improvise. Vous avez envie de quoi, vous ?
Sa voix est rauque, tremblante, et encore beaucoup trop ferme pour quelqu’un dans sa position actuelle. Sa peau est brûlante contre le bas-ventre d’Arthur. Pas moyen de savoir si c’est celle de sa main ou de son sexe.
Arthur le saisit par la taille, les fait pivoter jusqu’à échanger leurs places, et murmure à l’oreille de Venec :
– Là, tout de suite ? Vous. J’ai juste envie de vous.
Le corps entier de Venec est parcouru d’un frisson comme une terre frappée par un séisme.
Leurs lèvres, leurs mains, leur tout se retrouve, se mêle, s’enlace. Tout se mélange : faim et tendresse, avidité et familiarité, envie, affection, joie des retrouvailles de corps rompus à cette danse intime. Les voix, aussi. Tant pis pour la discrétion. La passion monte et monte dans l’un et dans l’autre, les soulève, les fusionne, jusqu’à l’explosion, la foudre qui enflamme l’arbre en le traversant de part en part, l’illumination et les étoiles, paupières closes et bouches grand ouvertes.
Le silence, après une tempête pareille, a toujours un goût particulier.
Arthur se love dans ce silence et dans les bras de Venec, laisse aller sa tête dans le creux de son cou, et s’abandonne à l’après.
Au juste après, pour être précis.
Autour d’eux, l’eau du bain refroidit lentement. De temps en temps le silence est troublé par un clapotis (à chaque changement subtil de position), un éclat de voix derrière une porte ou deux, le vent d’hiver qui joue dans la cheminée où crépitent quelques braises. Le genre de moment qu’on voudrait étirer, pour qu’il dure longtemps, très longtemps. Le genre d’après qu’on serait tenté de vouloir transformer en toujours, avec un peu plus de naïveté et un peu moins de cynisme.
Arthur dépose un baiser fatigué sur la clavicule de Venec. L’instant d’après, il lui est rendu, parmi ses cheveux trop longs qu’il n’a aucunement l’intention de couper.
Ce ne sont pas des baisers qui ont le goût du toujours des contes de fées, mais plutôt quelque chose comme On se sent bien, quand même, comme ça. Et ça peut continuer. Si vous voulez.
Comme avant. Mais avant quoi, exactement ?
– Pas question que je redevienne roi, dit Arthur dans un souffle. Sa main quitte celle de Venec, dont les doigts frôlent leurs membres encore tout proches. Peaux sensibles ; caresses fantômes. Sa paume se pose sur la hanche de Venec, moins à vif, tout aussi intime.
Les poils grisonnent sur sa poitrine. Arthur les a connus bruns. Pour eux deux, désormais, le poivre et le sel alternent du cou jusqu’aux cuisses.
La main droite de Venec, celle qui ne flotte pas entre leurs deux corps, fait un petit voyage jusqu’au bas des reins d’Arthur.
– M’en fous, l’entend murmurer Arthur dans ses cheveux. Du moment que vous ne disparaissez pas encore pendant dix ans.
J’aurais jamais dû vous vendre à l’autre connard, l’entend presque dire Arthur, qui répond en silence, en espérant être tout aussi clair, C’est moi qui vous avais demandé de m’envoyer loin.
Dire qu’il coulait des jours heureux à la tannerie de Damian le Sassanide serait une exagération. Mais il n’était pas vraiment malheureux, non plus. Pas le temps de s’apitoyer sur son sort quand on a les os rompus par la fatigue au coucher du soleil.
Il aimerait pouvoir promettre à Venec que non, il ne disparaîtra pas à nouveau, ou pas pendant aussi longtemps. Il sait que ce serait au mieux un vœu pieux, au pire un mensonge. Si les mercenaires de Lancelot sont si zélés que ça, c’est dans son intérêt de rester le plus loin possible du Royaume de Logres, et le plus anonyme possible.
Mais…
Revoir le Duc d’Aquitaine – revoir Venec –
(refaire l’amour avec Venec)
– ça fait remonter des souvenirs. Des mauvais, oui, mais pas que. Arthur se demande qui, de ses chevaliers (ses chevaliers, pas ceux de Lancelot), sont encore en vie. Ce qu’il est advenu d’eux. De l’idéal, aussi, qui l’a fait traverser le continent puis le bras de mer qui sépare Gaunes de la Bretagne, puis construire une table, un symbole devenu promesse de justice et d’égalité. La Table Ronde, Kaamelott, c’était un beau rêve, même s’il a tourné au désastre. Peut-être qu’un jour quelqu’un prendra le relais. Arthur, lui, a déjà donné, merci bien.
Mais…
Mais.
Arthur ferme les yeux. Repousse tous les « mais ». Pour l’instant rien d’autre ne compte que l’eau tiède qui les enveloppe lui et son amant d’hier et d’aujourd’hui, en train de leur faire une peau fripée comme deux petits vieux. Les sensations, peau contre peau, tous deux parfumés aux huiles de bain, le corps lourd, les mains fatiguées de la meilleure des fatigues.
– Je ferai de mon mieux, dit-il avec autant de conviction qu’il en est capable. (Ça, au moins, ce n’est ni un mensonge ni un vœu pieux.)
La tête de Venec bouge contre la sienne.
– Ah ouais ?
– Ouais. Après tout, ajoute-t-il avec le genre de sourire tinté de sarcasme qu’il ne s’est pas autorisé depuis dix ans, je vous dois un rasage, maintenant.
Le rire silencieux de Venec vaut plus que toutes les promesses impossibles à tenir.
(on va dire que c'est un AU où la barbe d'Arthur repousse en quelques jours? :3)
21 notes · View notes